Par Julien Pompey. Issu du projet lancé par les universités de Cergy-Pontoise (UCP) et de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), le futur IEP vient d'être officiellement nommé. Et, comme attendu, il sera baptisé "Sciences Po Grand Paris" (ouest), et ouvrira dès la prochaine rentrée en recevant dans un premier temps 80 étudiants.
Il était très souvent avancé, il est désormais officialisé. Le nom du nouvel Institut d'Etudes Politiques sera en effet "Sciences Po Grand Paris" (ouest), viennent d'annoncer les universités de Cergy-Pontoise (UCP) et de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), qui sont à l'initiative de ce projet. "Le nom 'Sciences Po Grand Paris' (ouest) correspond à l'inscription de cet institut dans la dynamique de construction de la métropole parisienne. Son implantation en périphérie de la capitale permettra d'asseoir la filière Sciences Po au sein de territoires souvent délaissés d’Île-de-France. Suite...

Une délégation chinoise de l'université de Guilin s'est rendue à Annecy, afin de rencontrer des représentants de l'université de Savoie. Objectif : rapprocher les deux établissements, issus de villes jumelées.
Le 20 septembre dernier, la Chine était à Annecy ! Enfin, plus exactement, une délégation chinoise, menée par le président de l’université de Guilin, M. Qinglin Xie. Avec lui, Mme Linqing Huang, doyenne de la faculté des sciences humaines et des sciences sociales, M. Haiping Yu, doyen de la faculté des langues étrangères, M. Kelin Quan, vice-doyen de la faculté des échanges internationaux, et M. Anfu Cheng, qui représentait les anciens diplômés de l'université. Une visite qui reposait sur le jumelage entre Annecy et Yangshuo, ville voisine de Guilin. Avec l'objectif de faire en sorte que chaque université fasse connaissance avec l'autre, et examine les possibilités d'échanges. Suite...

Par Anaïs Grockowiak. Le budget 2014 vient d'être rendu public, et il est plutôt bon pour l'enseignement en général. En effet, l'éducation nationale comme l'enseignement supérieur ne souffriront pas de coupes budgétaires, et seront même légèrement revus à la hausse. Etudiants, recherche, personnel : tous bénéficieront de ces largesses…
C'est officiel : le budget de l'Education nationale et celui de l'Enseignement supérieur demeureront stables en 2014, gagnant même quelques millions d'euros ! Suite...

Après le budget de l'Education nationale, c'est au tour de celui de l'Enseignement supérieur de connaître une légère augmentation. Celle-ci profitera notamment aux étudiants, qui verront leurs bourses croître.
A l'instar de l'Education nationale, le budget de l'Enseignement supérieur, pour 2014, sera préservé et même très légèrement augmenté, gagnant 0,5 % (contre 2,2% l'année précédente). "Cela montre bien que l'éducation, de la maternelle à l'université, est la priorité de ce gouvernement", s'est réjouie la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso. Surtout au regard des 9 milliards d'euros de coupes budgétaires qui vont toucher les autres ministères. Suite...

Par Julien Pompey. De la Provence à la Lorraine, en passant par la Bretagne, la Bourgogne et l'Aquitaine, de nombreux projets de fusion d'universités ont été annoncés ou finalisés. Visibilité, lisibilité, pluridisciplinarité, volonté de bien figurer dans les classements… Orientations analyse et détaille les raisons pour lesquelles un nombre croissant d'universités se lancent dans des fusions.
Un vent de fusion souffle véritablement sur tout l'enseignement supérieur français. Car les grandes écoles de commerce et d'ingénieurs ne sont pas les seules touchées, bien au contraire : les universités sont plus que jamais concernées. Le vent a bien entendu commencé du côté de Marseille, connu pour son fort Mistral. Issue de la fusion entre les trois facultés provençales, Aix-Marseille Université (AMU) se présente aujourd'hui comme le premier établissement universitaire francophone, riche de 72 000 étudiants et 7 800 salariés. La Cité phocéenne, après avoir été nommée Capitale de la culture européenne 2013, rêve désormais, dans un futur proche, de devenir la "Capitale des savoirs du sud de l'Europe". Suite...

100 millions d'euros : c'est ce que coûterait, à l'Etat, la fraude aux bourses universitaires. Car certains étudiants s'inscrivent… mais ne vont plus en cours par la suite !
Pas moins de 20 000 dossiers d'étudiants ont été remarqués pour des problèmes d'assiduité depuis la rentrée, selon les informations de la radio RTL. Problème : ces étudiants sont parmi les 640 000 boursiers, et certains perçoivent jusqu'à 5 500 euros par an… Une fraude qui coûterait, en moyenne, près 100 millions d'euros à l'Etat ! Suite...