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Formation Continue du Supérieur

27 décembre 2012

Enquêtes, études et rapports de la CPU

Conférence des présidents d'universitéLa Conférence des Présidents d'Université (CPU) représente et défend les intérêts des établissements qu'elle regroupe: universités, instituts nationaux polytechniques, des écoles normales supérieures, grands établissements, pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES).
Voici les enquêtes, études et rapports qu'elle a déjà publiés.
De la culture à l'Université 128 propositions.
Par la commission Culture et Université présidée par Emmanuel Ethis, Président de l'Université d'Avignon et des p... Télécharger - 09/05/2012.
La répartition des dépenses publiques de l’enseignement supérieur et des aides associées
(étude INSEE) Télécharger - 03/02/2012.
Effets redistributifs de l'enseignement supérieur
Télécharger- 29/01/2012.
Les effets redistributils - document de travail de septembre 2011 - texte de synthèse finale et propositions CPU Télécharger - 28/01/2012.
Etude relative à la mise en place du numérique
dans les programmes de rénovation des Universités portés par des montages innovants ou par des PPP (étude CPU-CDC) Télécharger - 26/10/2011.
Mettre en place un learning centre (étude CPU-CDC). Enjeux et problématiques Télécharger - 28/06/2011.
Le transfert du patrimoine universitaire (Etude CPU-CDC). Cette étude, réalisée par la CPU et la CDC en association avec l’Amue et divers établissements, est avant tout... Télécharger - 28/06/2010.
L'université numérique: éclairages internationaux. La CPU a publié en janvier 2009, avec la Caisse des Dépôts, un guide méthodologique de l’université numérique, étude gén... Télécharger - 23/06/2010.
Exécution du budget 2009: analyse du rapport annuel de performance (RAP 2009) concernant l'enseignement supérieur. La CPU a analysé le rapport annuel de performance 2009 (RAP 200... Télécharger - 23/06/2010.
Les fondations des universités à l'étranger Télécharger - 05/06/2010.
Etude Tecknowmetrix-CPU sur la participation des universités aux projets européens et ANR Télécharger - 10/02/2010.
Etude de l'OST
en partenariat avec la CPU sur les personnels non titulaires de la recherche dans les EPST et les EPSCP Télécharger - 07/12/2009.
Etude comparative de l'EUA sur l'autonomie des universités européennes
Télécharger - 30/11/2009.
Principes et recommandations pour une réforme réussie de la formation des enseignants.
Contribution du groupe «inter-conférences universitaires», coordonné par Daniel Filâtre, adressée à Madame la Ministre de l’Enseignement Sup... Télécharger - 17/07/2009.
Méthode pour la création d'une fondation - FONDADEV.
La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger - 19/06/2009.
Comment développer les ressources financières des universités par le biais des fondations - DGRI.
La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger - 19/06/2009.
Enquête sur les ressources propres des universités - KPMG.
La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger - 19/06/2009.
Etude sur les fondations universitaires à l'étranger - CDC. La CPU conduit une politique d’ouverture vers des acteurs sociaux-économiques susceptibles d’apporter aux universités des out... Télécharger- 19/06/2009. 
Les échanges économiques entre l'Hôpital et l'Université dans le cadre des CHU. Recherche réalisée pour la Conférence des Présidents d’Université par le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé (Lego... Télécharger- 18/11/2005.
Les applications informatiques spécifiques
mises en place dans les établissements d’enseignement supérieur. Enquête CPU Télécharger - 31/08/2004.
"Budget global des Universités":
rapport final du groupe de travail de la CPU. La réflexion sur le budget global fait suite aux réflexions menées par la CPU sur le thème de l’autonomie, autour du Colloque... Télécharger - 22/08/2002.
Conférence des présidents d'université The Conference of the President of University (CPU) represents and defends the interests of institutions that includes universities, national institutes polytechnics, teacher training colleges, major institutions, research centers and higher education (PRES). Here investigations, studies and reports that it has already been published.
Culture at the University 128 proposals. For the Committee on Culture and chaired by Emmanuel Ethis University, President of the University of Avignon and p ... Download - 09/05/2012. More...
27 décembre 2012

Les Guides de la CPU

Conférence des présidents d'universitéLa Conférence des Présidents d'Université (CPU) représente et défend les intérêts des établissements qu'elle regroupe: universités, instituts nationaux polytechniques, des écoles normales supérieures, grands établissements, pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES).
Voici les Guides qu'elle a déjà publiés.
Guide de l'accompagnement de l'étudiant handicapé à l'université.
Télécharger le guide. 08/11/2012.
Guide de l’intelligence économique pour la recherche.
Télécharger. 23/03/2012.
Compétences et responsabilités des présidents d'université.
Télécharger. 24/02/2012.
L’autonomie universitaire en Europe II. Télécharger. 03/02/2012.
Rapport sur les classements mondiaux d'universités et leur impact.
Télécharger. 23/09/2011.
Guide des bonnes pratiques pour le recrutement et la gestion des personnels non statutaires des SIUMPPS et SUMPPS. Télécharger. 26/05/2011.
Guide méthodologique pour l’élaboration du tableau de bord stratégique du Président d’Université et de l’équipe présidentielle.
Le renforcement de l'autonomie des universités et l'élargissement de leurs compétences instaurés par la loi de 2007 "liberté e... Télécharger. 11/05/2010.
Guide des bonnes pratiques en matière de fondations partenariales et universitaires.
Télécharger. 10/02/2010.  
Guide "Informatique et Libertés pour l'enseignement supérieur et la recherche"
(nouvelle version). L'évolution croissante des technologies de l’information et de la communication et de leurs usages exige que chacun de nous s... Télécharger. 06/01/2010.
Le Guide des bonnes pratiques en matière de développement durable dans les universités françaises.
Télécharger. 04/06/2009.
Guide méthodologique de l'université numérique.
Télécharger. 28/05/2009.
Guide de l'accueil de l'étudiant handicapé à l'université.
Comme le guide « Laïcité et enseignement supérieur », édité en 2004 par la CPU, ce « Guide de l’accueil de l’étudiant... Télécharger. 14/12/2007.
Synthèse du guide Laïcité et enseignement supérieur. Télécharger. 01/10/2004.
Guide Laïcité et enseignement supérieur. Télécharger. 30/09/2004.
Conférence des présidents d'université ΕΔΙΜΒΟΥΡΓΟΥ της P κάτοικος του U niversity (CPU) εκπροσωπεί και υπερασπίζεται τα συμφέροντα των θεσμών που περιλαμβάνει τα πανεπιστήμια, πολυτεχνεία εθνικά ινστιτούτα, κολέγια κατάρτισης των εκπαιδευτικών, μεγάλα ιδρύματα, ερευνητικά κέντρα και τριτοβάθμιας εκπαίδευσης (PRES).
Εδώ είναι οι οδηγοί που έχει ήδη δημοσιευθεί.
Οδηγός που συνοδεύουν τα άτομα με αναπηρία φοιτητής στο πανεπιστήμιο. Κατεβάστε τον οδηγό. 08/11/2012.
Οδηγός επιχειρηματικής ευφυΐας για την έρευνα. Download. 23/03/2012.
Εξουσίες και τις ευθύνες των πανεπιστημιακών Προέδρων. Download. 24/02/2012.
Πανεπιστήμιο Αυτονομία στην Ευρώπη II. Download. 03/02/2012. Περισσότερα...
27 décembre 2012

10 ans de la VAE - validation des acquis de l'expérience - La loi de modernisation sociale

0908FCUV12002-2012, la VAE a 10 ans. Chaque université dispose d’un service chargé de l’accueil et de l’orientation des publics en reprise d’études ainsi que de l’aide à la constitution des demandes de validation d’acquis professionnels. Il se situe souvent dans le service commun de formation continue. La validation des acquis de l'expérience s’adresse à tous ceux qui souhaitent compléter leur formation ou obtenir un diplôme dans un objectif professionnel ou personnel.
L'université peut reconnaître et valider les compétences acquises
dans la vie professionnelle ou non professionnelle pour faciliter l’accès aux diplômes. Une possibilité de reconnaissance des acquis issus de l’expérience professionnelle ou non professionnelle.
Legifrance - Retour à l'accueilLa VAE - validation des acquis de l'expérience - a été instituée par la LOI n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale.
Plus précisément, il s'agit des articles 133, 134, 135, 136, 137, 138, 139, 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, au nombre de 14, qui constituent la Section 1: Validation des acquis de l'expérience du Chapitre II: Développement de la formation professionnelle du Titre II: Travail, emploi et formation professionnelle de la LOI n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale.


Chapitre II: Développement de la formation professionnelle
Section 1: Validation des acquis de l'expérience
Article 133

L'article L. 900-1 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé:
« Toute personne engagée dans la vie active est en droit de faire valider les acquis de son expérience, notamment professionnelle, en vue de l'acquisition d'un diplôme, d'un titre à finalité professionnelle ou d'un certificat de qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l'emploi d'une branche professionnelle, enregistrés dans le répertoire national des certifications professionnelles visé à l'article L. 335-6 du code de l'éducation. Lorsque la personne en cause est salariée, elle peut bénéficier d'un congé pour validation des acquis de l'expérience dans les conditions de durée prévues à l'article L. 931-22 et selon les modalités fixées aux articles L. 931-23, L. 931-25 et L. 931-26 ainsi qu'aux premier et deuxième alinéas de l'article L. 931-24. Les conditions d'application de ces dispositions sont fixées par décret en Conseil d'Etat. »
Article 134
I. - Les articles L. 335-5 et L. 335-6 du code de l'éducation sont ainsi rédigés:
« Art. L. 335-5. - I. - Les diplômes ou les titres à finalité professionnelle sont obtenus par les voies scolaire et universitaire, par l'apprentissage, par la formation professionnelle continue ou, en tout ou en partie, par la validation des acquis de l'expérience.
« La validation des acquis produit les mêmes effets que les autres modes de contrôle des connaissances et aptitudes.
« Peuvent être prises en compte, au titre de la validation, l'ensemble des compétences professionnelles acquises dans l'exercice d'une activité salariée, non salariée ou bénévole, en rapport direct avec le contenu du diplôme ou du titre. La durée minimale d'activité requise ne peut être inférieure à trois ans.
« La validation est effectuée par un jury dont la composition garantit une présence significative de représentants qualifiés des professions concernées.
« Le jury peut attribuer la totalité du diplôme ou du titre. A défaut, il se prononce sur l'étendue de la validation et, en cas de validation partielle, sur la nature des connaissances et aptitudes devant faire l'objet d'un contrôle complémentaire.
« Le jury se prononce au vu d'un dossier constitué par le candidat, à l'issue d'un entretien à son initiative ou à l'initiative du candidat et, le cas échéant, d'une mise en situation professionnelle réelle ou reconstituée, lorsque cette procédure est prévue par l'autorité qui délivre la certification.
« Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application des dispositions des troisième et quatrième alinéas, notamment les règles selon lesquelles le jury est constitué. Cette composition concourt à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes. Il détermine également les conditions dans lesquelles il peut être dérogé aux dispositions du premier alinéa, pour des raisons tenant à la nature des diplômes ou titres en cause ou aux conditions d'exercice des professions auxquelles ils permettent d'accéder. Le jury fixe les contrôles complémentaires prévus au cinquième alinéa.
« II. - Le jury d'un diplôme ou d'un titre à finalité professionnelle délivré au nom de l'Etat ou par des établissements publics ayant une mission de formation peut dispenser un candidat désirant l'acquérir des titres ou diplômes requis pour le préparer. Cette dispense doit se fonder sur les compétences professionnelles acquises par le candidat.
« Art. L. 335-6. - I. - Les diplômes et titres à finalité professionnelle délivrés au nom de l'Etat sont créés par décret et organisés par arrêté des ministres compétents, après avis d'instances consultatives associant les organisations représentatives d'employeurs et de salariés quand elles existent, sans préjudice des dispositions des articles L. 331-1, L. 335-14, L. 613-1, L. 641-4 et L. 641-5 du présent code et L. 811-2 et L. 813-2 du code rural.
« II. - II est créé un répertoire national des certifications professionnelles. Les diplômes et les titres à finalité professionnelle y sont classés par domaine d'activité et par niveau.
« Les diplômes et titres à finalité professionnelle, ainsi que les certificats de qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l'emploi d'une branche professionnelle, peuvent y être enregistrés, par arrêté du Premier ministre, à la demande des organismes les ayant créés et après avis de la Commission nationale de la certification professionnelle.
« Ceux qui sont délivrés au nom de l'Etat et créés après avis d'instances consultatives associant les organisations représentatives d'employeurs et de salariés sont enregistrés de droit dans ce répertoire.
« La Commission nationale de la certification professionnelle, placée auprès du Premier ministre, établit et actualise le répertoire national des certifications professionnelles. Elle veille au renouvellement et à l'adaptation des diplômes et titres à l'évolution des qualifications et de l'organisation du travail.
« Elle émet des recommandations à l'attention des institutions délivrant des diplômes, des titres à finalité professionnelle ou des certificats de qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l'emploi d'une branche professionnelle; en vue d'assurer l'information des particuliers et des entreprises, elle leur signale notamment les éventuelles correspondances totales ou partielles entre les certifications enregistrées dans le répertoire national, ainsi qu'entre ces dernières et d'autres certifications, notamment européennes.
« Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'enregistrement des diplômes et titres dans le répertoire national ainsi que la composition et les attributions de la commission. »
II. - Les titres ou diplômes inscrits sur la liste d'homologation prévue par la réglementation en vigueur à la date de promulgation de la présente loi sont enregistrés de droit dans le répertoire national des certifications professionnelles prévu à l'article L. 335-6 du code de l'éducation pour leur durée restante de validité au titre de ladite réglementation.
Article 135

L'aide aux familles, l'accompagnement social des parents, l'intervention éducative relèvent du secteur des services à domicile et s'appuient en priorité sur les associations. Celles-ci bénéficient d'un soutien dans le cadre de la formation professionnelle continue.
Article 136

Le titre III du livre IX du code du travail est complété par un chapitre IV ainsi rédigé:
« Chapitre IV
« De la validation des acquis de l'expérience
« Art. L. 934-1. - La validation des acquis de l'expérience mentionnée à l'article L. 900-1 est régie par les articles L. 335-5, L. 335-6, L. 613-3 et L. 613-4 du code de l'éducation, ci-après reproduits: ».
Article 137
Le code de l'éducation est ainsi modifié:
1° Au deuxième alinéa de l'article L. 611-4, les mots: « les articles L. 612-2 à L. 612-4 et L. 613-5 » sont remplacés par les mots: « les articles L. 612-2 à L. 612-4 et L. 613-3 à L. 613-5 »;
2° Dans la deuxième phrase du deuxième alinéa de l'article L. 613-1, les mots: « Ils ne peuvent être délivrés » sont remplacés par les mots : « Sous réserve des dispositions des articles L. 613-3 et L. 613-4, ils ne peuvent être délivrés »;
3° L'intitulé de la section 2 du chapitre III du titre Ier du livre VI est ainsi rédigé: « Validation des acquis de l'expérience pour la délivrance des diplômes »;
4° L'article L. 613-3 est ainsi rédigé:
« Art. L. 613-3. - Toute personne qui a exercé pendant au moins trois ans une activité professionnelle, salariée, non salariée ou bénévole, en rapport avec l'objet de sa demande, peut demander la validation des acquis de son expérience pour justifier tout ou partie des connaissances et des aptitudes exigées pour l'obtention d'un diplôme ou titre délivré, au nom de l'Etat, par un établissement d'enseignement supérieur.
« Toute personne peut également demander la validation des études supérieures qu'elle a accomplies, notamment à l'étranger. »;
5° L'article L. 613-4 est ainsi rédigé:
« Art. L. 613-4. - La validation prévue à l'article L. 613-3 est prononcée par un jury dont les membres sont désignés par le président de l'université ou le chef de l'établissement d'enseignement supérieur en fonction de la nature de la validation demandée. Pour la validation des acquis de l'expérience, ce jury comprend, outre les enseignants-chercheurs qui en constituent la majorité, des personnes compétentes pour apprécier la nature des acquis, notamment professionnels, dont la validation est sollicitée. Les jurys sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes.
« Le jury se prononce au vu d'un dossier constitué par le candidat, à l'issue d'un entretien avec ce dernier et, le cas échéant, d'une mise en situation professionnelle réelle ou reconstituée, lorsque cette procédure est prévue par l'autorité qui délivre la certification. Il se prononce également sur l'étendue de la validation et, en cas de validation partielle, sur la nature des connaissances et aptitudes devant faire l'objet d'un contrôle complémentaire.
« La validation produit les mêmes effets que le succès à l'épreuve ou aux épreuves de contrôle des connaissances et des aptitudes qu'elle remplace.
« Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application de l'article L. 613-3 et du présent article. »;
6° Le deuxième alinéa de l'article L. 613-5 est supprimé;
7° Au premier alinéa de l'article L. 613-6, les mots: « par l'article L. 613-5 » sont remplacés par les mots: « par les articles L. 613-3 à L. 613-5 »;
8° L'article L. 641-2 est ainsi rédigé:
« Art. L. 641-2. - Les dispositions des deux premiers alinéas du I de l'article L. 335-5 et celles de l'article L. 335-6 sont applicables aux formations technologiques supérieures. »
Article 138

Dans l'article L. 124-21 du code du travail, après les mots: « stages de formation, », sont insérés les mots: « en bilan de compétences ou en action de validation d'acquis de l'expérience, ».
Article 139

Après l'article L. 124-21 du code du travail, il est inséré un article L. 124-21-1 ainsi rédigé:
« Art. L. 124-21-1. - Sans remettre en cause le principe de l'exclusivité affirmé par l'article L. 124-1, sont également assimilées à des missions au sens du présent chapitre les périodes passées par les salariés temporaires des entreprises de travail temporaire pour des actions en lien avec leur activité professionnelle dans les conditions prévues par voie de convention ou d'accord collectif étendu. »
Article 140
L'article L. 900-2 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé:
« Il en est de même des actions permettant aux travailleurs de faire valider les acquis de leur expérience en vue de l'acquisition d'un diplôme, d'un titre à finalité professionnelle ou d'un certificat de qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l'emploi d'une branche professionnelle, enregistrés dans le répertoire national des certifications professionnelles visé à l'article L. 335-6 du code de l'éducation. »
Article 141
Après l'article L. 900-4-1 du code du travail, il est inséré un article L. 900-4-2 ainsi rédigé:
« Art. L. 900-4-2. - La validation des acquis de l'expérience ne peut être réalisée qu'avec le consentement du travailleur. Les informations demandées au bénéficiaire d'une action de validation des acquis de l'expérience doivent présenter un lien direct et nécessaire avec l'objet de la validation tel qu'il est défini au dernier alinéa de l'article L. 900-2. Les personnes dépositaires d'informations communiquées par le candidat dans le cadre de sa demande de validation sont tenues aux dispositions des articles 226-13 et 226-14 du code pénal. Le refus d'un salarié de consentir à une action de validation des acquis de l'expérience ne constitue ni une faute ni un motif de licenciement. »
Article 142

Le quatrième alinéa (2°) de l'article L. 933-2 du code du travail est complété par les mots: « ou de la validation des acquis de l'expérience ».
Article 143

Dans le dixième alinéa (1°) de l'article L. 951-1 du code du travail, après le mot: « compétences », sont insérés les mots : « ou de validation des acquis de l'expérience ».
Article 144

I. - Le troisième alinéa (2°) de l'article L. 991-1 du code du travail est ainsi rédigé:
« 2° Les activités conduites en matière de formation professionnelle continue par les organismes paritaires agréés, par les organismes habilités à percevoir la contribution de financement visée aux articles L. 953-1, L. 953-3 et L. 953-4, par les organismes de formation et leurs sous-traitants, par les organismes chargés de réaliser les bilans de compétences et par les organismes qui assistent des candidats dans leur demande de validation des acquis de l'expérience; ».
II. - Le premier alinéa de l'article L. 920-10 du même code est ainsi rédigé:
« Lorsque des dépenses faites par le dispensateur de formation pour l'exécution de conventions de formation ou de contrats de sous-traitance de formation ne sont pas admises parce qu'elles ne peuvent, par leur nature ou par défaut de justification, être rattachées à l'exécution de ces conventions ou contrats, ou que le prix des prestations est excessif, le dispensateur est tenu, solidairement avec ses dirigeants de fait ou de droit, de verser au Trésor public une somme égale au montant de ces dépenses. »
Article 145
Dans le premier alinéa de l'article L. 992-8 du code du travail, après les mots: « à un jury d'examen », sont insérés les mots: « ou de validation des acquis de l'expérience ».
Article 146
Avant l'expiration d'un délai de cinq ans à compter de l'entrée en vigueur du dispositif de validation des acquis de l'expérience, tel que défini par la présente section, un rapport d'évaluation sera adressé par le Gouvernement au Parlement. Au vu des conclusions de ce rapport, le Gouvernement déposera, le cas échéant, un projet de loi visant à procéder aux adaptations qui lui paraîtraient nécessaires.

0908FCUV1 2002-2012, VAE 10 years. Each university has a department responsible for the reception and orientation of public education and recovery assistance to the creation of applications for validation of professional experience. It is often in the service of common training. The validation of acquired experience for all those who wish to complete their education or earn a degree in a professional or personal goal.
The university can recognize and validate skills acquired in the workplace or unprofessional to facilitate access to qualifications. Possibility of recognition of prior learning through work experience or unprofessional. More...

27 décembre 2012

10 ans de la VAE - Rappel des textes pour l'Enseignement Supérieur

0908FCUV12002-2012, la VAE a 10 ans. Chaque université dispose d’un service chargé de l’accueil et de l’orientation des publics en reprise d’études ainsi que de l’aide à la constitution des demandes de validation d’acquis professionnels. Il se situe souvent dans le service commun de formation continue. La validation des acquis de l'expérience s’adresse à tous ceux qui souhaitent compléter leur formation ou obtenir un diplôme dans un objectif professionnel ou personnel.
L’université peut reconnaître et valider les compétences acquises
dans la vie professionnelle ou non professionnelle pour faciliter l’accès aux diplômes. Une possibilité de reconnaissance des acquis issus de l’expérience professionnelle ou non professionnelle.
Voici un petit rappel du cadre réglementaire et des textes de références concernant l'Enseignement Supérieur:
- Décret du 24 avril 2002 relatif à la validation des acquis de l'expérience par les établissements d'enseignement supérieur - Journal officiel du 26 avril 2002, dite VAE.
- Décret du 16 avril 2002 relatif à la validation des études supérieures accomplies en France ou à l'étranger - Journal officiel du 18 avril 2002, dite VES.
- Décret du 23 août 1985 relatif aux conditions de validation des études, expériences professionnelles ou acquis personnels en vue de l'accès aux différents niveaux de l'enseignement supérieur, dite VAP 85.
- Loi de modernisation sociale
du 17 janvier 2002. Journal officiel du 18 janvier 2002.
Legifrance - Retour à l'accueilDécret n° 2002-590 du 24 avril 2002 pris pour l'application du premier alinéa de l'article L. 613-3 et de l'article L. 613-4 du code de l'éducation et relatif à la validation des acquis de l'expérience par les établissements d'enseignement supérieur
Article 1

Le présent décret fixe, en application du premier alinéa de l'article L. 613-3 et de l'article L. 613-4 du code de l'éducation, les conditions de validation des acquis de l'expérience d'un candidat à l'obtention d'un diplôme délivré, au nom de l'Etat, par un établissement d'enseignement supérieur.
Article 2

Peuvent donner lieu à validation les acquis de l'expérience correspondant à l'exercice, continu ou non, pendant une durée cumulée d'au moins trois ans, d'activités salariées, non salariées ou bénévoles. Ces acquis doivent justifier en tout ou partie des connaissances et des aptitudes exigées pour l'obtention du diplôme postulé.
Article 3

La demande de validation est adressée au chef d'établissement en même temps que la demande d'inscription auprès de cet établissement en vue de l'obtention du diplôme. Un candidat ne peut déposer, au cours de la même année civile et pour un même diplôme, qu'une seule demande et ne peut en saisir qu'un seul établissement. La demande précise le diplôme postulé. S'il postule des diplômes différents, le candidat ne peut au total déposer plus de trois demandes de validation au cours de la même année civile. Ces obligations et l'engagement sur l'honneur du candidat à les respecter doivent figurer sur chaque formulaire de candidature à une validation d'acquis de l'expérience. La demande de validation est accompagnée d'un dossier dans les conditions prévues à l'article 4.
Article 4
Le dossier présenté par le candidat doit expliciter par référence au diplôme postulé les connaissances, compétences et aptitudes qu'il a acquises par l'expérience. Il comprend les documents rendant compte de cette expérience et de la durée des différentes activités dans lesquelles le candidat l'a acquise ainsi que, le cas échéant, les attestations correspondant aux formations suivies et aux diplômes obtenus antérieurement.
Article 5
Le conseil d'administration ou l'instance qui en tient lieu fixe les règles communes de validation des acquis de l'expérience par l'établissement et de constitution des jurys de validation ainsi que, le cas échéant, les modalités particulières applicables aux divers types de diplômes. Tout jury de validation comprend une majorité d'enseignants-chercheurs ainsi que des personnes ayant une activité principale autre que l'enseignement et compétentes pour apprécier la nature des acquis, notamment professionnels, dont la validation est sollicitée. Lorsque des personnes appartenant à l'entreprise ou à l'organisme où le candidat a exercé son activité sont membres du jury de validation, elles ne peuvent participer aux délibérations concernant ce candidat. Les membres des jurys de validation sont nommés par le chef d'établissement en considération de leurs compétences, aptitudes et qualifications et en vue d'atteindre l'objectif complémentaire d'assurer une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes.
Article 6
Le jury de validation procède à l'examen du dossier du candidat et s'entretient avec lui sur la base du dossier présenté. Lorsque l'établissement l'a prévu, une mise en situation professionnelle réelle ou reconstituée du candidat est organisée. Par sa délibération, le jury de validation détermine, compte tenu, le cas échéant, des exigences particulières mises à l'obtention du diplôme par des dispositions législatives ou réglementaires spéciales, les connaissances et les aptitudes qu'il déclare acquises. Le président du jury de validation adresse au chef d'établissement un rapport précisant l'étendue de la validation accordée ainsi que, s'il y a lieu, la nature des connaissances et aptitudes devant faire l'objet d'un contrôle complémentaire. Le chef d'établissement notifie ces décisions au candidat.
Article 7
Le décret n° 93-538 du 27 mars 1993 relatif à la validation d'acquis professionnels pour la délivrance de diplômes nationaux de l'enseignement supérieur est abrogé, à l'exception de son article 8-1. En conséquence, les dispositions du décret du 27 mars 1993 susmentionné demeurent applicables dans les îles Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie.
Legifrance - Retour à l'accueilDécret n°85-906 du 23 août 1985 fixant les conditions de validation des études, expériences professionnelles ou acquis personnels en vue de l'accès aux différents niveaux de l'enseignement supérieur
Article 1

Les études, les expériences professionnelles et les acquis personnels peuvent être validés en vue de l'accès aux différents niveaux des formations postbaccalauréat dispensées par un établissement relevant du ministère de l'éducation nationale, dans les conditions fixées par le présent décret sous réserve de dispositions législatives ou réglementaires particulières.
Article 2
La validation permet soit d'accéder directement à une formation dispensée par l'établissement et conduisant à la délivrance d'un diplôme national ou d'un titre dont l'obtention est réglementée par l'Etat, soit de faire acte de candidature au concours d'entrée dans un établissement. Un candidat ne peut être admis que dans l'établissement qui a contrôlé dans les conditions prévues à l'article 7 ci-dessous, son aptitude à suivre une des formations qu'il dispense. Dans les formations, dont le nombre d'étudiants est limité par voie législative ou réglementaire, la validation ne peut dispenser les candidats de satisfaire aux épreuves organisées en vue de limiter les effectifs.
Article 3
A l'exception des sportifs de haut niveau, mentionnés à l'article 28 de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984, les candidats non titulaires du baccalauréat ou d'un titre admis en dispense doivent avoir interrompu leurs études initiales depuis au moins deux ans et être âgés de vingt ans au moins à la date prévue pour la reprise de leurs études. Les candidats, qui ont été inscrits dans une formation et qui n'auraient pas satisfait aux épreuves de contrôle des connaissances permettant d'accéder à l'année d'études suivante, ne peuvent déposer une demande de validation pour être admis dans cette année d'études, avant un délai de trois ans. Cette condition de délai n'est pas applicable aux élèves des classes préparatoires qui demandent à bénéficier de la procédure de validation définie par le présent décret en vue d'accéder à une formation de premier ou de second cycle.
Article 4
Les titulaires de titres ou diplômes étrangers peuvent demander à bénéficier d'une validation selon les modalités fixées par le présent décret et conformément aux accords internationaux et aux dispositions réglementaires en vigueur, notamment celles du décret n° 81-1221 du 31 décembre 1981 relatif à l'accueil des étudiants étrangers.
Article 5
Peuvent donner lieu à validation:
- toute formation suivie par le candidat dans un établissement ou une structure de formation publique ou privée, quels qu'en aient été les modalités, la durée et le mode de sanction;
- l'expérience professionnelle acquise au cours d'une activité salariée ou non salariée, ou d'un stage;
- les connaissances et les aptitudes acquises hors de tout système de formation.
Article 6

Un dossier de demande de validation est présenté par chaque candidat auprès de l'établissement ou des établissements dispensant la formation qu'il souhaite suivre. La liste des pièces à fournir et la date limite du dépôt des candidatures sont fixées annuellement, pour chaque formation ou concours, par l'établissement de telle sorte que les inscriptions des candidats, après validation de leurs acquis, puissent être faites aux dates normales.
Article 7
La procédure de validation permet d'apprécier les connaissances, les méthodes et le savoir-faire du candidat en fonction de la formation qu'il souhaite suivre. Lorsque la demande de validation a pour objet l'admission directe dans une formation, les candidats peuvent, après examen de leur dossier, éventuellement assorti d'un entretien, être autorisés à passer les épreuves de vérification des connaissances. A titre dérogatoire, des dispenses, totales ou partielles, de ces épreuves peuvent être accordées. En cas de demande de dispense des titres requis pour faire acte de candidature à un concours, la procédure de validation comporte un examen du dossier des candidats, éventuellement assorti d'un entretien.
Article 8

La décision de validation est prise par le président de l'université ou le directeur de l'établissement sur proposition d'une commission pédagogique. La décision motivée, accompagnée éventuellement de propositions ou de conseils, est transmise au candidat. Le président de l'université ou le directeur de l'établissement fixe le nombre et les modalités de fonctionnement des commissions pédagogiques, après avis du conseil des études et de la vie universitaire ou de l'instance pédagogique compétente. Il fixe la composition des commissions pédagogiques et en désigne les membres, sur proposition, le cas échéant, du directeur de l'école ou de l'institut qui dispense la formation. Chaque commission pédagogique est présidée par un professeur des universités sauf dérogation décidée après avis conforme du conseil scientifique. Elle doit comprendre au moins deux enseignants chercheurs de la formation concernée et un enseignant chercheur ayant des activités en matière de formation continue. Elle peut comprendre des professionnels extérieurs à l'établissement. La participation d'au moins un de ces derniers est obligatoire pour l'accès aux formations où ils assurent au moins 30 p. 100 des enseignements.
Article 9
Les candidats admis dans une formation peuvent être tenus de suivre des enseignements complémentaires ou être dispensés de certains enseignements. Dans tous les cas, ils doivent procéder aux formalités normales d'inscription et bénéficient pendant leur scolarité d'un suivi pédagogique assuré par les enseignants chargés de la formation.
Article 10
Le président peut, sur proposition de la commission, orienter un candidat qui ne serait pas admis à suivre la formation demandée:
- vers une autre formation dispensée par l'établissement;
- ou vers une mise à niveau sanctionnée par un examen lorsque le candidat souhaite s'inscrire en première année du premier cycle.
Article 11

Lorsque la demande de validation a pour objet une dispense des titres requis pour faire acte de candidature à un concours commun à plusieurs établissements, la décision de validation est prise par le directeur de l'établissement chargé de l'organisation du concours, sur proposition d'une commission commune.
Article 12

Les établissements dressent chaque année un bilan indiquant, par formation, le nombre de demandes examinées, le nombre de demandes ayant donné lieu à décision favorable et la part des étudiants admis par cette procédure rapportée au nombre total d'étudiants.
Article 13

Les dispositions du présent décret sont applicables aux formations supérieures dispensées par les établissements relevant du ministre de l'agriculture.
Article 14

Sont abrogées les dispositions suivantes:
-décret n° 69-44 du 15 janvier 1969 relatif aux conditions d'attribution des équivalences dans les facultés des lettres et sciences humaines;
-décret n° 69-45 du 15 janvier 1969 relatif aux conditions d'attribution des équivalences dans les facultés des sciences;
-arrêté du 22 juin 1966 modifié fixant la liste des titres français admis en équivalence de l'examen de fin de première année du premier cycle en vue du diplÔme universitaire d'études littéraires et en équivalence du diplôme universitaire d'études littéraires en vue de l'inscription au deuxième cycle d'enseignement dans les facultés des lettres et sciences humaines;
-arrêté du 22 juin 1966 modifié fixant la liste des titres étrangers admis en équivalence de l'examen de fin de première année du premier cycle en vue du diplôme universitaire d'études littéraires et en équivalence du diplôme universitaire d'études littéraires en vue de l'inscription au deuxième cycle d'enseignement dans les facultés des lettres et sciences humaines;
-arrêté du 11 juillet 1966 fixant la liste des titres admis en équivalence du diplôme universitaire d'études scientifiques en vue de l'inscription au deuxième cycle d'enseignement dans les facultés des sciences et de l'examen de fin de première année en vue du diplôme universitaire d'études scientifiques;
-arrêté du 4 août 1971 fixant la liste des titres admis en équivalence du diplôme universitaire d'études scientifiques en vue de l'inscription au deuxième cycle d'enseignement dans les facultés des sciences et de l'examen de fin de première année en vue du diplôme universitaire d'études scientifiques;
-arrêté du 24 mai 1974 relatif aux aménagements d'études accordés aux élèves des classes préparatoires en vue de l'acquisition du diplôme d'études universitaires générales;
-arrêté dû 13 mai 1975 relatif à l'équivalence avec le diplôme d'études universitaires générales de certains diplômes de premier cycle délivrés par l'université de Paris-VIII.
Article 14-1
Créé par Décret n°99-820 du 16 septembre 1999 - art. 14 JORF 19 septembre 1999. Le présent décret est applicable dans les territoires de la Polynésie française et des îles Wallis-et-Futuna et en Nouvelle-Calédonie.
Legifrance - Retour à l'accueilDécret n° 2002-529 du 16 avril 2002 pris pour l'application des articles L. 613-3 et L. 613-4 du code de l'éducation et relatif à la validation d'études supérieures accomplies en France ou à l'étranger
Article 1

Le présent décret fixe, en application du deuxième alinéa de l'article L. 613-3 et de l'article L. 613-4 du code de l'éducation, les conditions de validation des études supérieures accomplies préalablement par un candidat à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement supérieur délivré, au nom de l'Etat, par un établissement d'enseignement supérieur.
Article 2

Peuvent donner lieu à validation toutes études supérieures suivies par le candidat dans un établissement ou un organisme de formation ressortissant au secteur public ou au secteur privé, en France ou à l'étranger, quelles qu'en aient été les modalités et la durée.
Article 3
La demande de validation est adressée au chef d'établissement en même temps que la demande d'inscription auprès de cet établissement en vue de la délivrance du diplôme. Un candidat ne peut déposer, au cours de la même année civile et pour un même diplôme, qu'une seule demande et ne peut en saisir qu'un seul établissement. La demande précise le diplôme postulé. S'il postule des diplômes différents, le candidat ne peut au total déposer plus de trois demandes de validation au cours de la même année civile. Ces obligations et l'engagement sur l'honneur du candidat à les respecter doivent figurer sur chaque formulaire de candidature à une validation d'études. La demande de validation est accompagnée d'un dossier dans les conditions prévues à l'article 4.
Article 4
Le dossier présenté par le candidat doit expliciter par référence au diplôme postulé les connaissances et aptitudes que celui-ci a acquises au cours des études dont il demande la validation. Il comprend les diplômes, les certificats et toutes autres pièces permettant au jury d'apprécier la nature et le niveau de ces études. En particulier, lorsque les études ont été accomplies dans le cadre défini par l'Union européenne pour favoriser la mobilité, dans un pays européen, le dossier comprend l'annexe descriptive du diplôme et les attestations certifiant les crédits obtenus représentatifs des études accomplies.
Article 5
Le conseil d'administration ou l'instance qui en tient lieu définit les règles communes de la validation des études par l'établissement et de constitution des jurys ainsi que, le cas échéant, les modalités particulières applicables aux divers types de diplômes dans le cadre de la réglementation propre à chacun d'eux.
Les jurys sont soit les jurys des diplômes concernés, soit une émanation de ceux-ci, sous leur contrôle.
Les membres des jurys sont nommés en considération de leurs compétences, aptitudes et qualifications et en vue d'atteindre l'objectif complémentaire d'assurer une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes.
Article 6
Le jury procède à l'examen du dossier du candidat et s'entretient avec lui sur la base du dossier présenté. Par sa délibération, il détermine les connaissances et les aptitudes qu'il déclare acquises au regard des exigences requises pour obtenir le diplôme postulé et compte tenu, le cas échéant, des conditions particulières mises à l'obtention du diplôme par des dispositions législatives ou réglementaires spéciales. Le jury peut formuler des recommandations ou des conseils à l'étudiant afin de faciliter la suite de sa formation. Le président du jury adresse au chef d'établissement un rapport précisant l'étendue de la validation accordée ainsi que, en cas de validation partielle, la nature des connaissances et aptitudes que le candidat devra acquérir. Le chef d'établissement notifie cette décision au candidat.
Voir aussi 10 ans de la VAE - 50 et quelques articles du blog.

0908FCUV1 2002-2012, VAE 10 χρόνια. Κάθε πανεπιστήμιο έχει μια υπηρεσία που είναι υπεύθυνη για την υποδοχή και τον προσανατολισμό της δημόσιας εκπαίδευσης και συνδρομής για την είσπραξη για τη δημιουργία εφαρμογών για την επικύρωση της επαγγελματικής εμπειρίας. Είναι συχνά στην υπηρεσία της κοινής κατάρτισης. Η επικύρωση της αποκτηθείσας εμπειρίας για όλους εκείνους που επιθυμούν να ολοκληρώσουν την εκπαίδευσή τους ή να κερδίσουν ένα πτυχίο σε ένα επαγγελματικό ή προσωπικό στόχο. Περισσότερα...
27 décembre 2012

10 ans de la VAE - 50 et quelques articles du blog

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Formations_et_diplomes/97/9/VAE_24979.jpgLe blog a consacré près de 50 articles aux 10 ans de la VAE.
Rappelons tout d'abord le cadre réglementaire et les textes de références pour l'Enseignement Supérieur:
- Loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002. Journal officiel du 18 janvier 2002.
- Décret du 24 avril 2002 relatif à la validation des acquis de l'expérience par les établissements d'enseignement supérieur - Journal officiel du 26 avril 2002, dite VAE.

- Décret du 16 avril 2002 relatif à la validation des études supérieures accomplies en France ou à l'étranger - Journal officiel du 18 avril 2002, dite VES.
- Décret du 23 août 1985 relatif aux conditions de validation des études, expériences professionnelles ou acquis personnels en vue de l'accès aux différents niveaux de l'enseignement supérieur, dite VAP 85.
http://www.vae.gouv.fr/_img/VAE_TITRE.JPGVoici les 50 articles du blog consacrés aux 10 ans de la VAE:
La professionnalisation des jurys Vae - 10 ans de la Vae

Efigip a réalisé une note thématique consacrée au jury Vae et à la professionnalisation de ses membres...
Les universités très impliquées dans le dispositif de VAE - Une pratique du jury très satisfaisante et à diffuser - Rapport de l'IGAENR

Rapport n° 2011-125 - Le fonctionnement des jurys de validation des acquis de l’expérience VAE - IGAENR. Bernard FROMENT...
Les 10 ans de la Vae - Chiffres clés

Efigip publie les chiffes clés de la Vae depuis la mise en place du dispositif et des Prc...
La VAE fête ses 10 ans cette année

Au-delà de la reconnaissance institutionnelle (la VAE est désormais la 4ème voie de certification nationale), la VAE comporte une dimension...
La VAE fête ses 10 ans à l’UPMC

Alain Gonzalez, directeur du service commun de la formation continue à l’UPMC, nous explique le dispositif...
Les "10 ans de la Validation des Acquis de l’Expérience" à Nice

Claire LOVISI, Recteur de l’Académie de Nice, Chancelier des Universités, Frédérique VIDAL, Président de l’Université, Nice-Sophia Antipolis, Marc SAILLARD, Président de l’Université Sud Toulon-Var...
La VAE, 10 ans d'acquis... pour de nouvelles expériences

Le 15 novembre dernier, plus de 150 personnes ont participé à cette manifestation régionale co-organisée par le Conseil régional et l'Etat. Deux temps forts...
La VAE fête ses 10 ans en Champagne-Ardenne
La validation des acquis de l'expérience (VAE) fête ses 10 ans d’existence

Un anniversaire que près de 210 professionnels aquitains sont venus célébrer, vendredi 23 novembre 2012, à l’Hôtel de Région, à l’initiative des CIBC/PRC d’Aquitaine...
La VAE fête ses 10 ans en Alsace

Les partenaires de la Validation des acquis de l'expérience (VAE) en Alsace sont mobilisés autour d'une série d'événements pour marquer cet anniversaire...
La VAE 10 ans après la loi de 2002

Evènement: la VAE, 10 ans après la loi de 2002...
10 ans de VAE en Aquitaine - L’Université de Pau et des Pays de l’Adour exporte la VAE à Malte

L’UPPA (Université de Pau et des Pays de l’Adour) accompagne depuis 2008 la République de Malte pour la mise en place d’un système de validation des acquis de l’expérience...
Les 10 ans de la VAE - 2002-2012

Pour l’entreprise comme pour les salariés, la VAE représente un véritable enjeu, si elle s’inscrit dans un projet collectif d’entreprise et dans une dynamique territoriale...
10 ans de la VAE en Bourgogne

A l'occasion des "10 ans de la VAE en Bourgogne", l'Etat et la Région proposent jeudi 15 novembre 2012 à Dijon...
10 ans de la VAE en Nord Pas de Calais

Dans le cadre des 10 ans de la Validation des Acquis de l’expérience, des rencontres sont prévues sur les territoires d’Arras le 23 octobre et de Dunkerque le 13 novembre et mettront en avant les dynamiques locales...
10 ans de la VAE en Rhône-Alpes

10 ans de la VAE en Rhône-Alpes - une journée pour partager dix ans d'expérience...
10 ans de la VAE en Haute-Normandie

Cet atelier va présenter une « histoire de VAE » à plusieurs voix. Le  présent témoignage met en exergue l’intervention de différents professionnels...
10 ans de réussite de VAE en Midi-Pyrénées

Retrouvez les moments forts, les lauréats des Victoires de la VAE, les responsables politiques, les experts, les acteurs régionaux de la VAE sur le blog "VAE 10 ans de réussite en Midi-Pyrénées".
Les 10 ans de la VAE des acteurs et des initiatives en Bretagne

La VAE portée par le monde économique: un avenir pour le dispositif, un atout pour le candidat?
Les 10 ans de la Vae - Portes ouvertes dans les Points relais conseil

À l’occasion des 10 ans de la Vae, les Prc ouvrent leurs portes le samedi 24 novembre 2012 de 9 h à 12 h. Les conseillers accueilleront et répondront aux questions des visiteurs...
La VAE a 10 ans cette année

Des antennes VAE, des ministères, des CFA, des partenaires sociaux, des OPCA, le FONGECIF, l’AFPA.... et de nombreux autres acteurs qui interviennent pour permettre la réalisation de la VAE se mobilisent ensemble en Ile-de-France pour mieux la faire connaître...
Les 10 ans de la VAE - 2002-2012

Des témoins apportent leur plus-value: André CHAUVET, Michel GORBATOFF, Tristan KLEIN...
VAE - dix ans déjà

Dix ans déjà. Ou plutôt: déjà dix ans? Certains seront étonnés d’apprendre que la VAE (Validation des acquis de l’expérience) existe depuis si longtemps...
La VAE d’hier à aujourd’hui, et demain

Les dix ans de la VAE en Languedoc-Roussillon. L'Etat, la Région Languedoc-Roussillon et Atout Métiers LR ont organisé une journée régionale pour les dix ans de la VAE...
10 ans déjà! La VAE fête ses dix ans en Languedoc Roussillon

Dix ans après l’adoption de la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002,instituant la VAE, la CNCP et le RNCP, George ASSERAF, Président de la CNCP est interviewé par Saïma KADRI...
Les 10 ans de la VAE - Georges Asseraf

Le colloque "les 10 ans de la VAE, initiatives et pratiques en régions" s'est tenu à Limoges (87) le 20 septembre 2012. George ASSERAF, président de la CNCP est intervenu lors de ce colloque...
Les 10 ans de la VAE - réseau des CARIF OREF

Le réseau des CARIF OREF organise une manifestation inter régionale pour fêter les 10 ans de la VAE...
Les 10 ans de la VAE par le réseau des CARIF OREF - Limoges - 20 septembre 2012

Voilà 10 ans que le vote de la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 est intervenu et l'avènement de la Validation des Acquis de l'Expérience...
La chanson des 10 ans de la VAE

Pour l'instant: place aux lauréats fêtés par un public nombreux sur la scène de la Halle aux grains! Chanson de clôture...
VAE - 10 ans - le 17 janvier 2012

Les partenaires institutionnels et les partenaires sociaux régionaux ont souhaité célébrer les 10 ans de ce dispositif...
Retour sur les 10 ans de la VAE en Pays de la Loire
Pour poursuivre le développement du dispositif, Vincent Merle compte notamment sur le travail des branches et sur la VAE collective dans les entreprises...
Anniversaire - 10 ans de VAE

Vincent Merle
, Professeur au Cnam et directeur de cabinet de Nicole Péry, secrétaire d’État à la formation professionnelle en 2002, rappelle cette spécificité très française...
10 ans de VAE en Auvergne

Cette manifestation qui a rassemblé plus de 150 professionnels a été l'occasion après 10 ans de VAE, de témoigner sur les principales avancées du dispositif...
La VAE fête ses 10 ans

Le CARIF Espace Compétences organise le 25 mai 2012 à Aubagne, en collaboration avec le réseau des certificateurs, le séminaire régional "VAE, 10 ans de mobilisation"...
VAE, 10 ans de mobilisation

2 intervenants: Vincent MERLE, Professeur au CNAM, Rapport sur la VAE; Georges ASSERAF, Président CNCP, Certifications professionnelles...
40 ans de formation professionnelle continue, 10 ans de VAE

40 ans de formation professionnelle continue, 10 ans de VAE quelle place pour l’enseignement supérieur? 39e Colloque annuel de la Conférence de Service Universitaire de Formation Continue à l'Université de Bourgogne, Dijon, les 27, 28 et 29 juin 2012...
Les 10 ans de la VAE - réseau des CARIF OREF

Certains publics, certaines situations, certaines filières interrogent de manière particulière le dispositif VAE, handicap, difficultés avec l'écrit, insertion,...
10 ans de la VAE en Rhône-Alpes

Sous forme de tables rondes, de conférences et d'ateliers, nous aborderons la question du bilan du dispositif VAE, en lien avec l'esprit initialement prévu par la loi de modernisation sociale...
La VAE souffle ses dix bougies

En Martinique, l’État et le Conseil Régional ont mis en place un schéma régional de développement de la VAE s’appuyant sur: une cellule régionale interservices (CRIS)...
Parution de l'Echo du CARIF sur les 10 ans de la VAE

« L’Echo du CARIF » vous présente de façon synthétique des  temps forts de notre activité.
Ce numéro vous rend compte du séminaire régional organisé le 25 mai dernier à l’occasion des 10 ans de la VAE...
10 ans de pratiques de la VAE dans les Universités de Bretagne

Le réseau Réuniva4 des 4 universités de Bretagne organise pour fêter cet anniversaire un cycle d’événements...
Les dix ans de la VAE en Languedoc-Roussillon

Quelles perspectives de développement de la VAE en région? - Le point de vue des partenaires sociaux...
La VAE fête ses 10 ans

Autant de questions dont vous pourrez trouver les réponses lors de manifestations organisées en Rhône Alpes où des animateurs territoriaux seront là pour vous informer...
Les 10 ans de la Vae en Franche-Comté

La Vae, innovation majeure, est devenue en 10 ans une réalité et occupe une place nouvelle dans le paysage de la formation...
LA VAE fête ses 10 ans

Depuis 10 ans, la validation des acquis de l’expérience (VAE) est une procédure qui vous permet de faire reconnaître...
Les 10 ans de la VAE à La Réunion

La VAE (Validation des acquis de l’expérience) a 10 ans, et c’est dans ce contexte que les partenaires institutionnels ont souhaité mettre en place, en complément d’une communication grand public, une action innovante: l’AGORA de la VAE...
Les 10 ans de la VAE en Haute-Loire

L'occasion de valoriser la VAE, de poursuivre son développement et d'apporter une visislibité sur les acteurs locaux investis dans ce dispositif, qui a bénéficié à un grand nombre d'altiligériens...
10 ans de la VAE - Voiron

A l'occasion des 10 ans de la VAE, la Maison de l'Emploi et de la Formation de Voiron vous informe sur ce dispositif...
Les 10 ans de la VAE en Picardie
Pour les 10 ans de la VAE, la commission VAE du CCREFP a décidé d’organiser une semaine de la VAE...

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Formations_et_diplomes/97/9/VAE_24979.jpg The blog devoted nearly 10 years to 50 articles of the VAE.
Here are 50 blog posts dedicated to 10 years of VAE:
Professionalization of juries Vae - 10 years of Vae
Efigip produced a concept note to the jury devoted Vae and professionalism of its members...
Universities involved in the very device VAE - a practice the jury very satisfactory and disseminate - Report IGAENR
Report No. 2011-125 - The functioning of juries validation of acquired experience VAE - IGAENR. Froment Bernard. More...

27 décembre 2012

Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi - CICE

http://www.upa.fr/images/bandeau1_1.jpgCrédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi -CICE-: l’UPA dénonce l’acharnement du gouvernement contre les travailleurs non salariés.
Pour la troisième fois cette année la majorité parlementaire a adopté une législation qui pénalise les travailleurs indépendants par rapport aux autres chefs d’entreprise. Dans le cadre du projet de loi de finances rectificative, le parlement a voté le 19 décembre l’article accordant aux entreprises un crédit d’impôt pour les salaires allant jusqu’à 2,5 SMIC. A contrario les travailleurs indépendants qui ont le même niveau de revenus en ont été écartés.
A entendre le ministre du Travail, c’est l’absence de salaire qui empêcherait les travailleurs indépendants de bénéficier de la mesure à titre personnel. Or, quand il s’agit de prélever les cotisations sociales, les travailleurs indépendants ne sont pas exonérés au motif qu’ils ne perçoivent pas de salaire.
De la même manière, dans la négociation en cours sur la sécurisation de l’emploi, il est prévu de généraliser la couverture complémentaire santé, une charge supplémentaire qui s’imposerait à toutes les entreprises si l’accord devait être confirmé dans ce sens, que le chef d’entreprise soit travailleur indépendant ou salarié. Ainsi, les travailleurs indépendants sont pris en compte quand il s’agit d’assumer de nouvelles charges, pas quand il s’agit d’alléger le coût du travail. Déjà, au moment d’adopter les lois de finances et de financement de la sécurité sociale pour 2013, la majorité parlementaire a choisi de prélever 1,1 milliard d’euros sur les travailleurs indépendants introduisant une discrimination inacceptable par rapport aux entreprises sous forme sociétaire, aux salariés, aux auto-entrepreneurs (bénéficiaires d’une base de prélèvements sociaux avantageuse).
Les artisans et commerçants ne comprennent pas cette mise à l’écart au seul motif qu’ils n’ont pas choisi la forme sociétaire et le statut de chef d’entreprise salarié. Ils ont préféré l’indépendance, l’engagement, le risque, et contribuent au moins autant que les autres acteurs économiques à la production de richesses. Les travailleurs indépendants offrent une alternative à la réduction des effectifs de la grande industrie en préparant les emplois de demain. En leur interdisant l’accès au crédit d’impôt, le gouvernement met à mal leur compétitivité et prépare un gâchis économique.
L’UPA qui considère que cette politique va totalement à l’encontre des intérêts du pays, continuera à réclamer une meilleure prise en compte des travailleurs non salariés.
http://www.upa.fr/images/bandeau1_1.jpg Έκπτωση φόρου για την Ανταγωνιστικότητα και την Απασχόληση-Cice: η κυβέρνηση UPA καταγγέλλει έντονα κατά τους αυτοαπασχολούμενους. Για τρίτη φορά φέτος, η κοινοβουλευτική πλειοψηφία ψήφισε νόμο που τιμωρεί τους αυτοαπασχολούμενους σε σύγκριση με άλλους επιχειρηματίες. Περισσότερα...
27 décembre 2012

Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) - le dossier MEDEF

La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) est la contribution de l’entreprise aux objectifs du développement durable. Le MEDEF se mobilise depuis plusieurs années pour sensibiliser les entreprises, et notamment les PME, sur les enjeux du développement durable et sur les moyens de mettre en place une démarche RSE. Avec la crise, la RSE apparaît plus que jamais nécessaire pour améliorer l’efficacité économique, sociale et environnementale de l’entreprise et sa compétitivité sur le long terme et répondre aux défis sociaux. C’est également un moyen capital de restaurer la confiance dans les entreprises.
L’INSEE publie une étude sur l’appropriation des démarches RSE dans les PME
L’INSEE a réalisé et publié une étude intitulée « La responsabilité sociétale des entreprises: une démarche déjà répandue ». Celle-ci montre que 64% des entreprises de plus de 50 salariés ont entendu parler de RSE et 52% ont le sentiment d’être impliquées dans ce type de démarche.
La Commission européenne a invité tous les Etats membres dans sa communication d’octobre 2011 à publier leur liste nationale d'actions prioritaires en faveur de la RSE. L'administration française a préparé un projet de texte qu'il a soumis à une consultation publique entre le 12 et le 26 novembre. Il souhaite envoyer la première contribution française à Bruxelles avant la fin de l'année 2012. 
L’AFEP, EpE, l’ORSE et le MEDEF ont adressé un courrier à la Global Reporting Initiative (GRI) pour lui faire part des recommandations des entreprises françaises sur le projet de quatrième version des lignes directrices pour le reporting extra financier.
A la suite de la proposition que le MEDEF avait formulée en clôture du colloque RSE du 7 mars 2012, le projet de plateforme nationale pour la promotion de la RSE progresse. La communication de la Commission européenne sur la RSE d’octobre 2011 encourageait ce mouvement puisqu’elle demandait aux Etats-membres de déposer leur plan d’action pour la promotion de la RSE avant la fin du premier semestre 2012.
L’Union Patronale des Alpes Maritimes (UPE 06) a porté une démarche innovante d’accompagnement de 40 PME/PMI des Alpes Maritimes sur des engagements concrets de développement durable intitulée: Performance globale 06.
La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) apparaît de plus en plus comme un levier de performance pour les entreprises. Elle ne concerne pas que les grands groupes et de plus en plus de PME s’engagent dans cette voie. De nombreuses questions de mise en œuvre se posent. Pour aider les entreprises et notamment les PME à y répondre, le MEDEF a publié un guide de bonnes pratiques: « Cap vers la RSE: faire de la responsabilité sociétale de l’entreprise un levier de performance ».
A la suite de l’action du MEDEF qui avait appelé à plusieurs reprises les pouvoirs publics à publier rapidement le décret d’application de l’article 225 de la loi Grenelle II, le décret n° 2012-557 du 24 avril 2012 relatif aux obligations de transparence des entreprises en matière sociale et environnementale a été publié au Journal officiel du 26 avril 2012. Convaincu de l’intérêt d’un reporting RSE bien construit et afin d’accompagner les entreprises dans la mise en œuvre de l’article 225, le MEDEF a élaboré en collaboration avec Deloitte ce guide méthodologique de compréhension des nouvelles dispositions et d’aide à leur bonne application.
Comment et jusqu’où la responsabilité sociétale contribue-t-elle à la performance globale de l’entreprise? Le colloque organisé par le MEDEF le 7 mars 2012 et clôturé par sa Présidente Laurence Parisot a été l’occasion d’échanger sur les bénéfices d’une démarche RSE pour les entreprises. Le MEDEF publie les actes de ce colloque.
Paris EuroPlace a lancé en 2009 sa Charte de l’Investissement Responsable (IR) pour développer l’ISR, l’information extra-financière des entreprises et la finance de long terme. Le MEDEF a signé cette charte en septembre 2011 et a mené un certain nombre d’actions pour contribuer à ces objectifs. Paris EuroPlace publie en complément un bilan 2009-2011 des actions entreprises par les signataires de la Charte (AF2I, AFG, FBF, FFSA, FIR, MEDEF, ORSE, Paris EUROPLACE, SFAF).
Ce Conseil a publié un Code de développement durable allemand qui constitue une norme de transparence d’application volontaire (basée sur le principe du « comply or explain ») pour les entreprises allemandes, mais aussi pour toutes les autres organisations (ONG, syndicats, medias, entreprises publiques, etc.).
Le décret n° 2012-132 du 30 janvier 2012 relatif à l'information par les sociétés de gestion de portefeuille des critères sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance (ESG) pris en compte dans leur politique d'investissement, a été publié au Journal officiel du 31 janvier en application de l’article 224 de la loi Grenelle 2.
La pratique de l’analyse extra financière s’est beaucoup développée ces dernières années pour permettre aux investisseurs d’intégrer la performance RSE des entreprises dans leurs critères d’investissement. Les organismes d’analyse extra financière procèdent à une évaluation de tout ou partie des politiques de développement durable des entreprises cotées, afin d’évaluer le niveau de prise en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Le magazine canadien « Corporate Knights » publie chaque année depuis 2005 lors du Forum économique mondial de Davos un classement des 100 entreprises les pus engagées en faveur du développement durable dans le monde : le « Global 100 ». Cette année, 8 entreprises françaises font partie de ce classement (contre 5 seulement l’année dernière): Vivendi (7e), Crédit Agricole (16e), Schneider Electric, (26e), Dassault systèmes (32e), L'Oréal (45e), Renault (51e), Danone (60e) et JC Decaux (83e).
La société financière internationale (SFI), institution de la Banque mondiale chargée des opérations avec le secteur privé, a révisé ses standards de performance, principes sociaux et environnementaux qui l’aident à réglementer l’obtention de ses prêts. Ces mises à jour s’appliquent à partir de ce jour, le 1er janvier 2012.
A la suite de sa communication de juillet 2002 sur la contribution des entreprises au développement durable, la Commission européenne a publié le 25 octobre dernier une communication qui présente sa nouvelle stratégie en faveur de la RSE.
Dans le cadre des travaux du B20 qu’il organise les 2 et 3 novembre prochains à Cannes, le MEDEF coordonne des réflexions croisées sur la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), sujet stratégique pour la compétitivité des entreprises.
L’AFNOR a lancé une nouvelle enquête relative à l’utilisation de l’ISO 26000 par les entreprises et les autres acteurs. Celle-ci prend une quinzaine de minutes et vise à identifier les profils des utilisateurs, les difficultés rencontrées et le type d’initiative développées pour appuyer l’utilisation de l’ISO 26000.
La deuxième version du baromètre Generali/CSA relatif aux « décideurs face aux nouveaux défis de société » montre un fort engagement des dirigeants de PME-PMI sur ces défis, en dépit des freins dus à la crise.
Le magazine canadien « Corporate Knights » vient de publier la version 2011 du « Global 100 », le classement des 100 entreprises les plus engagées en faveur du développement durable dans le monde. Ce magazine existe depuis 2002 et entend plaider pour un capitalisme responsable. 5 entreprises françaises figurent au Palmarès.
Les entreprises africaines et françaises s'inscrivent aujourd'hui au coeur d'une nouvelle relation. Pour Laurence Parisot, Présidente du Medef, qui prononçait un discours lors de la clôture du sommet devant l'ensemble des chefs d'Etat: "Les entreprises africaines et françaises sont conscientes de leurs responsabilités sociales, sociétales et éthiques. C'est la raison pour laquelle, à l'unanimité des organisations patronales, nous voulons poser aujourd'hui, à l'occasion de ce sommet historique, un acte nouveau, fort, significatif, à la hauteur de nos espérances en adoptant une charte d'engagement, de responsabilité sociale et environnementale".
Of social responsibility (CSR) is the contribution of business to sustainable development objectives. MEDEF mobilizes several years to educate businesses, particularly SMEs, on issues of sustainable development and how implement a CSR. With the crisis, CSR is more than ever necessary to improve economic efficiency, social and environmental enterprise and competitiveness in the long term and respond to social challenges. It is also a critical means to restore trust in business. More...
27 décembre 2012

La responsabilité sociétale des entreprises - une démarche déjà répandue

http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/img/ip.gifEn France, plus de la moitié des sociétés de 50 salariés ou plus déclarent s'impliquer dans la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Cet engagement est d'autant plus fréquent que la taille des sociétés est importante. Il est plus présent dans les secteurs de l'énergie et de l'environnement que dans le commerce. Les sociétés impliquées dans la RSE ont, de fait, des pratiques différenciées. En particulier, elles sont plus attentives aux enjeux de développement durable dans leur politique d'achats ou au respect de la biodiversité. D'autres actions sont plus largement mises en œuvre, y compris au sein des sociétés qui ne connaissent pas la notion de RSE. Elles relèvent davantage du volet social, même si une des actions les plus courantes est la prévention ou le recyclage des déchets.
Deux tiers des sociétés de 50 salariés ou plus connaissent la notion de RSE
64% des sociétés de 50 salariés ou plus ont entendu parler de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. 52% sont plus particulièrement impliquées dans cette démarche: non seulement elles en ont entendu parlé, mais elles ont aussi le sentiment de mener des actions dans cette perspective.
Les sociétés qui n'ont jamais entendu parler de la RSE (36%) et celles qui, bien qu'informées, estiment ne pas mener d'actions en ce sens (12%), ont des comportements similaires, qui illustrent de fait leur non-implication. Ceci n'empêche pas qu'elles mettent parfois en œuvre certaines actions relevant de la RSE. Suite de l'article...
http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/img/ip.gif Στη Γαλλία, περισσότερο από το ήμισυ των επιχειρήσεων με 50 εργαζόμενους και άνω κρατική συμμετοχή στην εταιρική κοινωνική ευθύνη (ΕΚΕ), εταιρικών εισφορών σε θέματα αειφόρου ανάπτυξης. Η δέσμευση αυτή είναι πολύ πιο συχνή από ό, τι το μέγεθος των επιχειρήσεων είναι σημαντική. Είναι παρόν στους τομείς της ενέργειας και του περιβάλλοντος στο εμπόριο. Περισσότερα...
27 décembre 2012

Message d’alerte - Le CICE ou l’inégalité de traitement en actes

http://www.synofdes.org/images/haut_3.jpgLe SyNOFDES est un syndicat professionnel ayant pour objet de regrouper, en leur qualité d’employeurs, les organismes de formation professionnelle et de promotion sociale à but non lucratif et qui se revendiquent de l’économie sociale et de ses valeurs. Présentation...
Communiqué du Président du SyNOFDES en réaction au Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi
Le CICE ou l’inégalité de traitement en actes

D’un côté, on ne peut que se féliciter de la mise en place d’un Ministère délégué à l’Economie sociale et solidaire et à la consommation, rattaché au Ministère de l’Economie; enfin une vraie reconnaissance de notre secteur, tant sur le plan économique que social, avec une identité et des valeurs qui lui sont propres. D’un autre côté, dès qu’il s’agit de réfléchir à des mesures permettant l’amélioration de la compétitivité des entreprises, on ne peut que déplorer un oubli, pour ne pas dire un mépris, en tout cas une absence de prise en considération des acteurs associatifs de l’économie sociale. En effet, le dispositif CICE (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi) qui vient d’être adopté par l’Assemblée Nationale dans le cadre du projet de Loi de Finances est pour le moins offensant à l’égard des acteurs économiques associatifs.
Le CICE prévoit, pour les entreprises privées du secteur lucratif, une possibilité de réduction de charges équivalente à 4% en 2013 et 6% en 2014 de la masse salariale brute pour tous les salaires compris entre 1 et 2,5 fois le SMIC! Il y a donc là une mesure véritablement proportionnelle à la taille et au volume d’activité de chaque entreprise. La mise en oeuvre de cette mesure est prévue sous forme de crédit d’impôt. Par contre, les entreprises associatives, non assujetties à l’impôt sur les sociétés et qui paient la taxe sur les salaires, ne relèvent donc pas du CICE, et devraient « bénéficier », en lot de consolation, d’un abattement de la taxe sur les salaires qui passerait de 6 000 € actuellement à 20 000 €, soit un effort de l’Etat de 14 000 €...
De qui se moque-t-on ?!

La taxe sur les salaires est calculée annuellement, salarié par salarié, avec des taux de 4,25% à 13,6% par tranche de salaire brut. Après calcul de cette taxe pour chaque salarié, on aboutit à un total dont chaque entreprise doit s’acquitter. Et c’est sur ce total, quel qu’il soit, que s’applique l’abattement fixe de 20 000 € qui est donc identique pour toutes les entreprises associatives de l’économie sociale, quelle que soient leur taille et leur nombre de salariés!
Pire encore, plus l’entreprise est importante, moins l’impact de la mesure agit sur la compétitivité. On est donc face à un dispositif dont l’effet est strictement inverse pour deux entreprises de même taille, dans le même secteur d’activité, selon que l’une est dans le secteur privé lucratif et l’autre associative dans le secteur privé non lucratif. Plusieurs de nos adhérents sont dans cette situation, notamment dans les plus grandes régions. On peut citer l’exemple d’un adhérent qui compte 170 équivalents temps pleins pour une masse salariale brute de 4 090 000 €. Sa taxe sur les salaires représente 322 230 €, sur laquelle, pour améliorer sa compétitivité, il devra se satisfaire en 2013 d’un abattement supplémentaire de 14 000€ et en 2014 aussi.
Par contre, une entreprise avec les mêmes caractéristiques dans le secteur lucratif privé, pourra bénéficier, en 2013, d’un crédit d’impôt de plus de 150 000 € et en 2014 de plus de 220 000 €!
Constat: un écart de 136 000 €, dès 2013, puis de 206 000 € en 2014, au profit des entreprises du secteur lucratif!
Or, dans notre secteur d’activité, ces deux entreprises soumissionnent aux mêmes appels d’offres de l’Etat ou des collectivités territoriales. Dans le champ de la Formation Professionnelle, il n’est pas rare de rencontrer des entreprises associatives de plus de 50 ou 100 salariés et ce phénomène a plutôt tendance à s’accentuer compte tenu de l’évolution de la commande publique qui suppose, pour pouvoir répondre aux appels d’offres, une taille et une surface financière importantes, afin de pouvoir prétendre à une place de mandataire et même de cotraitant au sein d’un groupement. Ne sommes nous pas là face à une distorsion de la concurrence générée par ce dispositif mis en place par l’Etat? Faudra-t-il, le moment venu, faire arbitrer cette situation par les instances ou juridictions compétentes?
Au regard du droit communautaire, ce dispositif ne constitue-t-il pas une aide d’Etat servie à une catégorie d’acteurs économiques? Si on se réfère aux chiffres de l’année 2011, publiés par l’observatoire national de l’économie
sociale et solidaire, cette dernière représente 10,3% des effectifs salariés et les Associations représentent 1 840 864 salariés, soit 8,2% du total des effectifs salariés en France. Ce n’est sans doute pas suffisant pour être pris en compte comme un acteur économique à part entière… Puisque le secteur de la Formation Professionnelle est qualifié d’activité économique soumise aux règles de la libre concurrence, faut-il comprendre que les Entreprises associatives ne peuvent pas bénéficier de mesures d’Etat destinées à améliorer la compétitivité?
Nous pensons qu’il sera difficile, dans un avenir proche, pour les acteurs associatifs de la Formation Professionnelle, d’accepter d’un côté une telle inégalité de traitement par rapport aux entreprises privées et, de l’autre côté, le nécessaire subventionnement massif, dans des formules édulcorées, de la plus grande Association de formation pour qu’elle continue d’exister.
De qui se moque-t-on?

Nous voilà donc contraints, une fois de plus, à une extrême vigilance et à la mobilisation de tous les moyens nécessaires à la reconnaissance du secteur non marchand et à la défense des intérêts de nos adhérents.
Le 20 décembre 2012. Pour le SyNOFDES, Gérard Brédy, Président. SyNOFDES – 66 cours Tolstoï – 69100 VILLEURBANNE, email: synofdes@synofdes.org, Tel. 0820.825.724.
http://www.synofdes.org/images/haut_3.jpg The SyNOFDES is a professional association whose purpose is to gather, in their capacity as employers, vocational training institutions and social welfare nonprofit and assert that the social economy and its values. More...
27 décembre 2012

Les ruptures conventionnelles chez les 50 ans et plus

Unédic, le coeur de l'Assurance chômage - Le coeur de l'assurance chômageDe 2008 à fin 2011, 570 000 personnes ont pu être indemnisées par l’assurance chômage suite à une rupture conventionnelle. Depuis la création de ce dispositif de rupture amiable du contrat de travail, son utilisation a évolué selon les classes d’âge, en particulier chez les seniors.
La rupture conventionnelle est un mode de rupture amiable du contrat à durée indéterminée. Instauré par la loi de modernisation du marché du travail du 25 juin 2008, ce dispositif ouvre droit au salarié aux allocations chômage au même titre que le licenciement.
En 2011, 9% des entrées en indemnisation font suite à une rupture conventionnelle
En 2011, près de 220 000 personnes sont entrées en indemnisation après une rupture conventionnelle, soit 9% des motifs d’entrée au régime d’assurance chômage. Si cette part a rapidement progressé depuis la mise en place du dispositif, celle-ci s’est stabilisée à partir de 2010. Cette part est plus élevée lorsque l’emploi perdu était exercé dans une entreprise de petite taille. Elle est de 19% dans les établissements de plus de 500 salariés et progresse jusqu'à 31% dans les établissements de moins de 50 salariés. Enfin, l'industrie manufacturière, construction et transports sont les secteurs où la part de la rupture conventionnelle est la plus faible.
En 2011, les ruptures conventionnelles sont moins fréquentes chez les seniors que parmi les 25-40 ans
A l’introduction de la rupture conventionnelle, les 50 ans et plus étaient les plus nombreux à bénéficier d’une allocation par ce biais. Depuis, ce mode de rupture progresse davantage chez les personnes de 25 à 40 ans. Fin 2011, un tiers des personnes de cette classe d'âge obtenant une indemnisation à l'issue d'un CDI ont mis un terme à leur contrat par une rupture conventionnelle d'un CDI. Les entrées en indemnisations à 50 ans ou plus se font moins souvent suite à une rupture conventionnelle. Ainsi, 19% des personnes âgées de 50 ans ou plus ayant obtenu une indemnisation en 2011 ont quitté leur précédent emploi suite à une rupture conventionnelle de leur CDI, contre 25 % tous âges confondus. Pourtant, 55% des entrées en indemnisation font suite à la perte d'un CDI (tous motifs confondus) chez les 50 ans et plus, contre 37 % pour l’ensemble.
Chez les seniors, les ruptures conventionnelles concernent davantage des personnes de 58 et 59 ans

En 2011, 36 000 personnes de plus de 50 ans ont bénéficié d’une indemnisation après une rupture conventionnelle, ce qui représente 10% des motifs d’entrée en indemnisation pour cette tranche d’âge. Parmi les seniors, les ruptures conventionnelles concernent principalement des personnes indemnisées à partir de 58 et 59 ans.
UNEDIC την καρδιά της ασφάλισης ανεργίας - Η καρδιά της ασφάλισης κατά της ανεργίας Από το 2008 έως το τέλος του 2011, 570.000 άνθρωποι έχουν ήδη αποζημιωθεί από ασφάλιση κατά της ανεργίας, ως αποτέλεσμα της καταγγελίας σύμβασης. Δεδομένου ότι η δημιουργία αυτού του φιλικού της συσκευής σπάσει τη σύμβαση εργασίας, η χρήση της έχει εξελιχθεί ανάλογα με την ηλικία στην ιδίως μεταξύ των ηλικιωμένων. Το διάλειμμα είναι ένας συμβατικός τρόπος αποτυχίας φιλικό σύμβαση αορίστου χρόνου. Περισσότερα...

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