A la sortie de l’université, les diplômé.e.s de master comptent plus de femmes que d’hommes. Le taux d’insertion professionnelle, 30 mois après la validation du diplôme, est similaire entre femmes et hommes. Mais les conditions d’emploi se caractérisent par de fortes disparités en défaveur des femmes.
Ces écarts dans les conditions d'emploi tiennent d’abord aux disciplines de formation. Dans les domaines disciplinaires où la part de femmes est la plus élevée, les débouchés sur le marché de l’emploi sont moins favorables. Mais dans les domaines moins féminisés, les inégalités professionnelles sont importantes.
En outre, quelle que soit l’origine disciplinaire, les trajectoires d’insertion divergent, avec davantage de femmes en emploi au sein des secteurs associatifs et publics, dans lesquels les rémunérations apparaissent plus faibles et les contrats plus précaires.
A discipline, type d’employeur et secteur d’activité donnés, les inégalités persistent et c’est surtout en matière de rémunération que l’écart résiduel reste le plus important,représentant encore deux tiers.
Les inégalités femmes/hommmes dans l'insertion pro des diplômé.e.s de master. Voir l'article...
Response to Prime Minister’s education and tuition fees proposals
Responding to the proposals in the Prime Minister's speech, Dame Julia Goodfellow, President of Universities UK and Vice-Chancellor of the University of Kent, said: "Universities already work closely with schools and colleges to raise aspirations and attainment. This ranges from outreach programmes and summer schools, to curriculum improvement, working with teachers, and providing information on progression to higher education. More...