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Formation Continue du Supérieur

10 août 2016

ObservIA > Qualite / hygiene / securite / surete / environnement

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesSpécialiste en sécurité et sûreté
Définir, planifier et piloter l'ensemble des activités de prévention, de sûreté et de sécurité des biens et des personnes . Peut être en charge de l'animation d'une ou plusieurs équipes dédiées.

10 août 2016

ObservIA > Contrôle / analyse / laboratoire > Contrôleur(se) sanitaire / laborantin(e)

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesProcéder à des tests et à des contrôles sur des matières premières et consommables, des en-cours de fabrication, des produits fabriqués, ou élaborés par le service recherche, dans le cadre de directives ou de protocoles d'analyse préétablis. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Logistique

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesOpérateur(trice) logistique 
Réaliser tout ou partie de la réception, du stockage, de la manipulation de matières ou de produits, de la préparation de commandes, du chargement des moyens de transport et de la distribution des marchandises en utilisant les engins et moyens de transports à disposition, dans des conditions de sécurité, traçabilité et délais.

10 août 2016

ObservIA > Achats / commercialisation / ventes

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesChargé de relations clientèle Achats / commercialisation / ventes
Assurer le traitement des contacts clients et consommateurs (demandes d'informations et/ou réclamations).

10 août 2016

ObservIA > Marketing

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesChef de produit / chef de gamme
Définir et mettre en place la stratégie de développement pour le(s) produit(s) / la marque ou la gamme dont il a la charge, définir les spécifications du produit ou des adaptations locales ainsi que les outils de commercialisation.

10 août 2016

ObservIA > Production (fabrication / conditionnement)

10 août 2016

ObservIA > Innovation, recherche et développement > Spécialiste nutrition / diététique

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesConduire les études de faisabilité et de mise au point de projets de développement ou de création de produits alimentaires sur les plans nutritionnels, scientifiques et réglementaires. Coordonner les essais, les réalisations et les certifications correspondants. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Innovation, recherche et développement > Chercheur(se) / développeur(se) en procédés de production alimentaire

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesÉtudier, développer et mettre au point des procédés de production visant à l'amélioration et à l'optimisation des procédés existants, à la conception de nouveaux procédés, à l'adaptation des nouvelles technologies. Mettre au point leurs conditions opératoires (micro pilote ou unité pilote) et les transposer au plan de la fabrication. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Carrousel des métiers par famille

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesÀ partir d’une nomenclature structurée, OBSERVIA a élaboré la cartographie des métiers des industries alimentaires consistant à offrir une représentation globale et générale des principaux métiers du secteur.
Cette cartographie constitue un référentiel majeur de la situation actuelle des métiers du secteur. Elle est un véritable outil de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences en entreprise. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Pâtes alimentaires sèches et couscous non préparé

Observatoire des métiers des Industries Alimentaires

De la semoule de blé dur aux pâtes alimentaires & couscous
Le Comité Français de la Semoulerie Industrielle (CFSI) et le Syndicat des Industriels Fabricants de Pâtes alimentaires de France (SIFPAF) regroupent l’ensemble des industries de la transformation de la semoule de blé dur en pâtes alimentaires et couscous : www.semouleetpates.com
Cette industrie, employant au total 1 500 salariés, se caractérise par une forte intégration et par un petit nombre d’intervenants : 7 groupes (soit 6 semouleries, 8 usines de pâtes et 4 sites de production de couscous), dont 2 représentent environ 80% de la production française.
En 40 ans, cette industrie stratégique, qui s’est construite au sein d’une filière française très concurrencée, est passée de 200 à 7 fabricants de pâtes et de couscous. Et pour faire face à la concurrence italienne, ce secteur d’activité a réalisé d’importantes restructurations avec des répercussions sur l’emploi.
Deux grandes marques françaises, Panzani et Lustucru Rivoire & Carret sont présentes quotidiennement dans le panier de la ménagère. D’autres marques se distinguent aussi dans les linéaires : Alpina, Grand’Mère, Valfleuri, Tipiak, …
En bref, la moyenne annuelle française :

 

  • 2 Mt de blé dur produites
  • 650 000 tonnes de blé transformées
  • 500 000 tonnes de semoule produites
  • 240 000 tonnes de pâtes alimentaires sèches et 86 000 tonnes de couscous produites
  • 8 kg de pâtes et 1,3 kg de couscous consommés

 

La filière Semoule, Pâtes & Couscous en détail : chiffres-clés 2012
La pâte alimentaire est un produit de consommation quasi-quotidienne de tous les ménages : le taux de pénétration des foyers français est de 97%. C’est un produit alimentaire de base qui se caractérise par une forte fréquence d’achat (les foyers consommateurs achètent en moyenne 11,6 kg/an répartis en 11,2 achats). L’industrie nationale contribue donc à l’indépendance alimentaire de la France.
Les pâtes offrent une multitude de formats. Des classiques spaghettis et coquillettes aux mini pâtes (destinées aux jeunes enfants) en passant par les pennes, fusillis, farfalles et autres tagliatelles.
Aliment naturel, les pâtes et le couscous doivent leur valeur nutritionnelle à la semoule de blé dur qui les compose. Voir l'article...

Biscotterie, biscuiterie, chocolaterie, confiserie, aliments enfants et diététiques, entremets et desserts ménagers...

Dans la panification croustillante, recouvre les biscottes au son, aux céréales, briochées, braisées, complètes, au germe de blé, sans sel, pains grillés, toasts, croûtons... Alors que dans la panification moelleuse on retrouve les pains de mie, brioches, pains au lait,pains au chocolat, croissants, préemballés.

Ces aliments, consommés essentiellement au cours des repas, sont issus des céréales, notamment la farine qui reste l’ingrédient principal.

Les industriels du secteur font preuve d’un savoir-faire de tradition boulangère depuis plus d’un siècle qui permet de préserver la fraîcheur et la qualité des produits.

C’est une filière responsable qui s’est dotée d’un répertoire des dénominations pour préserver les recettes traditionnelles de certains croustillants.

Cela fait plus de 150 ans que les biscuitiers offrent aux consommateurs une large gamme de biscuits puisant leurs recettes dans la tradition culinaire, et les adaptant aux nouvelles attentes et modes de vie des consommateurs.

Les biscuits restent présents raisonnablement au quotidien dans tous les moments de notre vie, à la maison, lors des goûters en famille ou des petits déjeuners.

Avec une consommation de 8,6 kg par habitant, cette filière représente plus de 100 unités de production, emploie près de 12 850 salariés et participe à l’activité économique de toutes les régions françaises.

Apparues dès 1863, on les retrouve, aujourd'hui, comme nourriture privilégiée du petit-déjeuner. Une vaste activité économique s'est développée autour de ce marché, avec l'apparition d'une multitude de marques, catégories et goûts de céréales différents.

  • les céréales prêtes à préparer : les flocons d’avoine,
  • les céréales prêtes à consommer : les pétales de maïs, les mueslis, les céréales "lignes et forme", les céréales riches en fibres, les céréales au son de blé, les céréales au blé complet en galette et les céréales pour "enfants".

La variété est un des atouts des céréales pour petit-déjeuner : blé, riz, maïs, avoine, orge, pétales, flocons soufflés, mueslis, chocolat, miel, fruits…. La plupart d'entre elles sont généralement accompagnées de lait, de fromage blanc ou de fruits. Il existe aujourd’hui plus de 50 variétés de céréales pour petit déjeuner. Cette large palette de saveurs, de formes et de textures est adaptée à tous les goûts et permet au consommateur de composer chaque jour le petit déjeuner dont il a envie.

Issu du nectar des fleurs et produit par les abeilles, le miel est l’un des aliments les plus naturels, les plus sains et les plus subtilement parfumés qui puissent se trouver. De la fleur au pot de miel, rien n’est enlevé ni ajouté. Seul le mélange avec un autre miel est autorisé. Il faut savoir que pou pour produire 1 kg de miel, les abeilles doivent visiter plus de 500 000 fleurs et parcourir 40 000 km…

Il existe des produits transformés ayant le miel comme ingrédient essentiel, c’est le cas des spécialités type pain d’épices, bonbons à base de miel…

Les abeilles nous donnent également de la gelée royale, de la propolis, du pollen et de la cire.

Le miel est utilisé par l’industrie alimentaire dans plusieurs secteurs :

  • céréales pour petits déjeuners,
  • pains d’épices,
  • nougats et autres confiseries,
  • aliments pour enfants et produits diététiques,
  • entremets, petits déjeuners, aides à la pâtisserie et biscotterie.

Le miel est destiné à 98% à un usage alimentaire mais il est également utilisé pour les soins corporels et autres produits d’hygiène (shampoing, crème hydratante,…).

Il n’y a pas un café mais des cafés. Ces cafés ont des caractéristiques différentes selon leur espèce, leur variété, leur zone de culture… C’est l’opération de la torréfaction qui donne aux grains de café leur odeur, leur couleur et leur goût. La torréfaction consiste à griller le café pour en développer l’arôme.

Il y a seulement dix ans, 60 % du café étaient vendus en grains et 40 %, moulus. La proportion de moulu a considérablement augmenté ; les anciens moulins à meules, en pierre ou à marteaux, qui écrasaient le café en donnant une granulométrie très irrégulière ont été avantageusement remplacés par des moulins à cylindres métalliques cannelés qui découpent le café et lui donnent une granulométrie parfaite. Ces cylindres sont refroidis par circulation d’eau recyclée et maintenus à une température constante de 12°. De cette façon, aucun réchauffement ni altération du produit n’est à craindre. Les techniques ont permis une amélioration de la qualité des cafés moulus ainsi qu’une facilité de conditionnement et d’utilisation pour les cafés présentés en dosettes ou capsules. Cette tendance est une vraie révolution puisque les dosettes représentent aujourd'hui plus de 20% de la valeur du marché du café.

Le cacao demeura très longtemps en France à l'usage exclusif de la Cour et de l'aristocratie. C'est peut-être la raison pour laquelle le chocolat français est resté un produit noble, à grande teneur en cacao, ce qui en fait son prix mais aussi sa qualité.
Ce n’est qu'au début du XIXe siècle, avec le développement des techniques de fabrication et, en particulier, la baisse du prix du sucre, que le chocolat put connaître un grand développement industriel, ses qualités gustatives et ses vertus en faisant une friandise et une boisson très appréciées.

Le fruit du cacaoyer la "cabosse", ressemble à un petit ballon de rugby d'une vingtaine de centimètres. Les cabosses mûres sont récoltées et les graines en sont extraites et vont subir une série de fermentations, indispensables à la qualité du cacao. Après la fermentation, qui dure entre 4 et 8 jours selon les variétés et les conditions, vient le séchage qui permettra leur bonne conservation. Les fèves sont étalées au soleil et leur humidité passe de 60% à 7%. Une fois séchées, les fèves sont emballées en sacs de 60 kilogrammes et expédiées aux usines des pays consommateurs. C'est le cacao marchand, matière première de l'industrie du chocolat. Le chocolat ainsi obtenu possède un taux de cacao qui varie de 60 à 70%.

L’industrie du chocolat est un secteur florissant, 30 000 tonnes de chocolats sont vendues chaque année en France pendant les fêtes, avec Pâques en période de prédilection. La consommation du chocolat des Français connaît donc un progrès total depuis ces dix dernières années.

Le secteur de la confiserie est un secteur dynamique et profondément ancré dans notre patrimoine régional et gourmand. Il compte une centaine d’entreprises et des milliers d’artisans. On dénombre pas moins de 20 variétés de bonbons et plus de 600 spécialités régionales de confiserie avec une production de 163 300 tonnes de bonbons de sucre cuit et sucettes, boules de gommes, pâtes de fruits, pâtes d'amande dont les calissons, pastilles, chewing-gums, réglisses, nougats, guimauves et fruits confits…en 2009.

Dans leur grande majorité, les bonbons sont fabriqués à partir du sucre, qui va être travaillé différemment selon le type de bonbons et confiseries à produire.

C’est un travail minutieux qui nécessite précision et savoir-faire : la température de cuisson, le tour de main, la viscosité d'une pâte, l'évaporation de l'eau,… sont des éléments primordiaux.

Alors qu'auparavant les confiseurs n'avaient d'autres solutions que de goûter le sucre lors de la cuisson, la technologie nous permet aujourd'hui de déterminer précisément les stades de cuisson à partir des températures.

Autrefois, la cuisson du sucre s'effectuait uniquement à feu nu, dans une bassine de cuivre. Aujourd'hui, en parallèle à cette technique traditionnelle, existe la cuisson dite "industrielle", qui se fait sous vide, dans des cuiseurs chauffés à la vapeur.

Entre 5 et 6 grammes de bonbons, confiseries et chewing-gums sont consommés en moyenne quotidiennement par personne en France soit l'équivalent d'un petit bonbon par jour et par personne…

Sources concentrées de nutriments ou de plantes, les compléments alimentaires apportent une solution ponctuelle à un risque permanent ou momentané de déficiences. 37% des Français y ont eu recours afin de corriger une situation spécifique en matière de :

  • santé : renforcer ses défenses, renforcer ses os et ses articulations, améliorer la circulation veineuse, améliorer son confort digestif, améliorer sa mémoire et sa concentration,
  • bien-être : améliorer sa forme et son tonus, combattre son stress et améliorer son humeur, les formules anti-âge,
  • beauté : préparer son corps au soleil, améliorer l'état de ses cheveux, de sa peau, de ses ongles,
  • minceur : améliorer le drainage, accompagner la perte de poids, contrôler l'appétit.

Il existe des centaines de composants différents pour les compléments alimentaires. Toutefois, sept grandes familles ressortent classiquement :

  • les vitamines,
  • les minéraux et oligo-éléments,
  • les antioxydants,
  • les acides gras essentiels, acides aminés et protéines,
  • les flavonoïdes,
  • les plantes et préparations,
  • les fibres,
  • les excipients.

Bien plus que des nutriments en vogue, les vitamines et minéraux sont des éléments indispensables à notre organisme pour son fonctionnement et sa construction.

Très pratiques d'emploi, les compléments alimentaires sont commercialisés sous forme de gélules, de comprimés, d'ampoules, de capsules, de tisanes, de solutions buvables, etc…

Les aliments de l’enfance proposent une alimentation spécifique et adaptée, encadrée par une réglementation européenne très stricte.

Cette exigence réglementaire intervient à 2 niveaux :

  • Une sécurité et une qualité accrues pour tenir compte de la fragilité du petit enfant,
  • Une composition adaptée aux besoins nutritionnels spécifiques du petit enfant jusqu’à 3 ans : les aliments infantiles couvrent les besoins nutritionnels du petit enfant en lui apportant la juste dose en glucides, protéines, lipides, minéraux et vitamines.

…Et intervient sur 2 univers :

  • Les laits pour bébé : préparations pour nourrissons, laits de suite, laits de croissance, laits pour prématurés et nourrissons de faible poids,
  • Les aliments de diversification adaptés aux bébés : aliments en pots, céréales infantiles, petits plats, biscuits, jus de fruits, purées et potages, produits laitiers frais pour bébés.

Avec 828 000 naissances en France en 2010, le marché français des aliments de l’enfance a généré un volume 137 000 tonnes produits.

Symbole de détente, de convivialité et d'échange, l'apéritif reste pour le consommateur un moment

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