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Formation Continue du Supérieur
31 mars 2013

Filles et garçons en contrat d'apprentissage

http://www.gref-bretagne.com/Groups/publication_gref/images/images_2013/observatoire/vismix.imgFilles et garçons en contrat d'apprentissage (mars 2013) - Orientation, parcours de formation et insertion
Les filles représentent moins de 30% des apprentis en Bretagne.

Les formations de l’enseignement professionnel et donc de l’apprentissage apparaissent très sexuées.
Les filles se retrouvent principalement sur des spécialités de services, les garçons sur des formations relevant de la production.
Toutefois, ces orientations évoluent progressivement. A l’issue de leur contrat, alors que les filles sont globalement plus diplômées, leur part en emploi se situe légèrement en deçà de celle des garçons. Cette moindre insertion est notamment conditionnée par les choix de formation, conjugués à la forte relation formation-emploi intrinsèque à l’apprentissage. Télécharger l'étude.
En région Bretagne, après la troisième, les jeunes s’orientent plus fréquemment qu’au niveau national vers l’enseignement général et technologique. 38% des jeunes bretons se dirigent vers l’enseignement professionnel, essentiellement sous statut scolaire. Comme au niveau national, les filles n’ont pas les mêmes parcours de formation que les garçons. Elles sont moins nombreuses que ces derniers à suivre une formation professionnelle. De plus, lorsqu’elles se dirigent vers l’enseignement professionnel, elles se retrouvent davantage que les garçons sur les spécialités tertiaires et nettement moins fréquemment sur des spécialités de production. Enfin, compte tenu de l’offre de formation, elles signent moins souvent que les garçons un contrat d’apprentissage et se forment davantage sous statut scolaire.
Plus de 18 000 jeunes sont en contrat d’apprentissage en Bretagne en 2011, soit 4,9% de la population de 16 à 25 ans. Ce dispositif a fortement évolué au cours des dernières années. Dans un contexte marqué par la baisse démographique de la population jeune, les effectifs en apprentissage ont augmenté de 12% depuis 2001. Le nombre de jeunes formés au niveau V (niveau CAP-BEP) diminue. A contrario, au niveau IV (niveau Bac), les effectifs se sont accrus de 55% entre 2001 et 2011, et ceux de niveaux III et plus (niveau BTS et plus) ont plus que doublé. Toutefois, le niveau V regroupe encore près de la moitié des effectifs en apprentissage. Le niveau IV rassemble 30% des apprentis et les niveaux III et plus 20%. Cette évolution est liée à la réforme du Bac professionnel en 3 ans qui a abouti à la substitution des BEP par des Bacs professionnels. Elle est aussi la conséquence du développement important de l’offre de formation par apprentissage aux niveaux IV et plus, notamment dans l’enseignement supérieur avec l’ouverture de formations aux niveaux Licence professionnelle, Master et Ingénieur.
Les formations en production demeurent prépondérantes en apprentissage: ainsi, 64% des apprentis suivent une formation dans ce domaine contre 36% dans le domaine des services. Les formations de la production se caractérisent principalement par la prévalence du niveau V: 58% des effectifs en production se forment à ce niveau. Toutefois, en lien avec l’évolution de la carte des formations par apprentissage, les effectifs formés dans cette spécialité et à ce niveau ont fortement baissé au profit des formations de niveaux IV et plus.
Les formations dans les domaines des services se répartissent équitablement sur les différents niveaux de formation. 35% sont formés au niveau V, 33% aux niveaux IV et 32% aux niveaux III et plus.
Comparée au niveau national, la formation par apprentissage en région Bretagne reste davantage axée sur les spécialités relevant de la production (64% contre 59%) et sur les formations de niveau V (50% contre 43%).
La plupart des jeunes apprentis formés au niveau V viennent de collèges et dans une moindre mesure de lycées professionnels. Au niveau IV, si les jeunes proviennent principalement du collège et du lycée, un peu plus de 40% d’entre eux sont issus de l’apprentissage. Aux niveaux III et plus, les jeunes apprentis sortent essentiellement du lycée ou de l’enseignement supérieur.
Globalement, l’apprentissage est une voie de formation traditionnellement masculine. Au cours des dix dernières années, la part des filles formées dans le cadre d’un contrat d’apprentissage en région Bretagne est restée stable alors que celle-ci a légèrement progressé au niveau national. En Bretagne, les filles représentent à peine 30% des effectifs contre 31,8% au niveau national. Cette faible féminisation des effectifs est à mettre en perspective avec la nature des formations dispensées.
Les formations sont très sexuées. Seules quelques spécialités de formation accueillent un public mixte (où garçons et filles représentent au moins 1/3 des effectifs). 81% des filles suivent une formation dans le domaine tertiaire. 82% des garçons se forment sur une spécialité de production.
Toutefois, la mixité augmente avec l’élévation du niveau de formation. Si la part des filles en apprentissage demeure inchangée, les choix de formation des filles et des garçons se diversifient progressivement. En effet, de plus en plus de filles se dirigent vers des formations de spécialités de production. A l’inverse, les garçons s’orientent plus fréquemment vers des formations tertiaires. Ainsi, sur les spécialités de production, le taux de féminisation est passé de 5% à 9% entre 2001 et 2011. Sur les spécialités tertiaires, il est passé de 74% à 65%.
A l’instar des autres dispositifs de formation initiale ou continue, la part des filles en apprentissage augmente avec le niveau de formation. Les filles représentent 24% des apprentis au niveau V, 33% au niveau IV et 34% aux niveaux III et plus. Cette répartition est liée à l’offre de formation existante par niveau et spécialité de formation. En effet, au niveau V, la plupart des jeunes suivent une formation dans le domaine de la production, or ce sont des formations qui accueillent un public essentiellement masculin. En revanche, aux niveaux IV et plus, davantage de jeunes suivent une formation tertiaire, formation accueillant un public principalement féminin.
Lorsqu’elles signent un contrat d’apprentissage, les filles sont autant exposées que les garçons au risque de rupture. Celui-ci s’établit autour de 18% pour les contrats rompus hors période d’essai. Il est identique pour les filles et les garçons. Toutefois, des écarts se profilent en fonction des spécialités de formation. Ainsi, lorsque les filles suivent une formation dans le domaine de la production, elles sont plus souvent en situation de rupture que les garçons. Inversement, les garçons rompent davantage que les filles leur contrat de travail lorsqu’ils suivent une formation dans le domaine tertiaire.
Par ailleurs, compte tenu de l’offre de formation, les filles signent davantage de contrats au niveau Bac et plus. Les garçons sont eux plus présents sur des contrats au niveau CAP-BEP. Les taux de rupture sont plus élevés cependant pour les filles que pour les garçons au niveau V. A l’inverse pour les formations de niveaux III et plus, ce sont les garçons qui sont le plus sujets aux ruptures.
A l’issue de leur contrat d’apprentissage, un tiers des apprentis poursuit sa formation initiale, essentiellement dans le cadre d’un nouveau contrat d’apprentissage. Les filles signent moins fréquemment que les garçons un nouveau contrat d’apprentissage. Cette différence est liée au niveau et à la spécialité des formations suivies. En effet, les poursuites d’études concernent majoritairement des jeunes de niveau V. Si la plupart des apprentis continuent dans le même domaine de formation, un peu moins de 18% changent de spécialité de formation. Lorsqu’il y a réorientation, les filles tendent à délaisser les spécialités de production au profit des spécialités de services. Les garçons font le chemin inverse.
A la sortie du dispositif, les filles ont un niveau de formation plus élevé que les garçons et sont plus diplômées. Pourtant lorsqu’elles entrent sur le marché du travail, elles ont un peu plus de difficultés à s’insérer que les garçons. 7 mois après la fin de leur contrat d’apprentissage, 68% des garçons sortant d’apprentissage ont un emploi contre 67% des filles. L’accès à l’emploi augmente avec le niveau de formation. Les jeunes qui se sont formés dans le domaine de la production s’insèrent plus rapidement que ceux issus d’une spécialité tertiaire, hormis aux niveaux III et plus. Toutefois, ces constats globaux masquent des disparités en fonction du sexe, du niveau et de la spécialité de formation suivie.
Au niveau V, les filles s’insèrent moins bien que les garçons, quelle que soit la spécialité de formation. L’écart entre les filles et les garçons est de 8 points. Toutefois, les filles formées dans le domaine de la production accèdent plus aisément à une situation d’emploi que celles issues d’une filière tertiaire (+8 points). Leur insertion à l’issue des formations en coiffure et en vente est à ce titre particulièrement compliquée. Au niveau IV, si globalement les garçons s’insèrent mieux que les filles (+6 points), l’accès à l’emploi est plus rapide pour les filles que pour les garçons sur les formations tertiaires et pour les garçons que pour les filles sur les spécialités de production. Par ailleurs, les filles issues de formations relevant de production accèdent autant à l’emploi que celles issues d’une filière tertiaire.
Aux niveaux III et plus, les filles s’insèrent mieux que les garçons (+2 points). Elles trouvent plus facilement un emploi lorsqu’elles sont issues d’une formation tertiaire plutôt que d’une spécialité de production. Par ailleurs, à noter que les garçons issus de filière tertiaire s’insèrent dans les mêmes conditions que ceux issus de la production.
Toutefois, l’insertion des filles et des garçons n’est pas uniquement liée au domaine de formation tertiaire ou de production. Elle diffère aussi en fonction de la nature des spécialités de formation et/ou des diplômes préparés. Ainsi, par exemple, bien que peu nombreuses, les filles s’insèrent mieux ou aussi bien que les garçons dans quelques spécialités de production comme l’agriculture ou la production alimentaire. A l’inverse, les garçons s’insèrent mieux ou aussi bien que les filles sur quelques spécialités tertiaires comme le commerce ou la gestion et le traitement de l’information.
Lorsqu’ils ont un emploi, près de la moitié des apprentis travaillent dans leur entreprise d’apprentissage, 7 mois après la fin de leur contrat d’apprentissage. Les garçons restent plus souvent que les filles dans leur entreprise d’apprentissage. 86% des jeunes occupent un emploi en relation avec leur formation.
De ce fait, les conditions d’emploi à l’issue du contrat d’apprentissage sont étroitement liées aux formations suivies. Pourtant, si les filles exercent plus fréquemment que les garçons un métier en relation avec leur formation, elles sont moins souvent en CDI et travaillent davantage à temps partiel.
GREF Bretagne
Mission Observatoire emploi-formation

Technopole Atalante Champeaux 91, rue de Saint-Brieuc CS 64347 35043 RENNES CEDEX Tél. 02 99 54 79 00 Fax 02 99 54 00 00. Email: observatoire@gref-bretagne.com. www.gref-bretagne.com.
http://www.gref-bretagne.com/Groups/publication_gref/images/images_2013/observatoire/vismix.img Buachaillí agus cailíní conradh foghlama (Márta 2013) - Cúrsaí Treoshuíomh oiliúna, agus isteach
Cailíní ionann níos lú ná 30% de na printísigh sa Bhreatain.
Oiliúint ar fhoghlaim gairme agus dá bhrí sin beidh sé le feiceáil an-gnéasach.
Cailíní le fáil den chuid is mó ar sheirbhísí speisialtachta, buachaillí oiliúint faoi tháirgeadh.
Mar sin féin, na treoirlínte seo éabhlóidiú de réir a chéile. Ag deireadh a gconartha, cé go bhfuil cailíní go ginearálta níos oilte, is é a sciar i bhfostaíocht beagán níos ísle ná sin de bhuachaillí. Tá an chur isteach níos ísle tionchar go háirithe ag an rogha na hoiliúna, mar aon le caidreamh láidir oiliúna fostaíochta intreach don fhoghlaim. Níos mó...
24 mars 2013

Chômage: pourquoi les femmes sont plus exposées que les hommes

L’égalité face à l’emploi est loin d’être acquise en France. Alors que les femmes sont plus diplômées que leurs confrères masculins, elles restent néanmoins plus touchées par le chômage. Décryptage.
En 25 ans, les taux de chômage masculin et féminin se sont rapprochés

Le chômage en France touche davantage les femmes que les hommes. La formation, l’âge, les enfants conditionnent l’insertion des femmes sur un marché du travail fortement marqué par le temps partiel. Si, en 2009, l’écart du taux de chômage était quasi-nul entre les deux sexes, la disparité s’est depuis accrue.
Selon l’Observatoire des inégalités, en 2009, alors que les femmes tiraient profit de la création d’emplois dans les secteurs du service, de l’enseignement ou de la santé, la crise était plus néfaste pour les hommes qui occupaient des postes fortement touchés par la crise tels que le bâtiment ou l’industrie. Un phénomène inédit depuis les années 70 qui a eu pour conséquence de réduire l’écart du taux de chômage entre les deux sexes. Au cours de l’année 2010, la crise a finalement touché l’emploi tertiaire, secteur très investi par les femmes. Depuis, l’écart du taux de chômage entre hommes et femmes persiste, mais se réduit. Il était presque de 4 points en 1985 et de 0,9 point en 2011. En 2011, 8,8% des hommes actifs étaient au chômage contre 9,7% des femmes actives.
Les femmes réussissent mieux à l’école mais s’insèrent moins bien dans le monde du travail

C’est un fait, les filles réussissent mieux leurs études que les garçons. Pourtant, la question de la réussite sociale des femmes reste préoccupante: si elles réussissent mieux dans le domaine scolaire, elles s’insèrent moins facilement dans le milieu professionnel.
A la fin du collège, quelque soit le milieu social des filles ou leur réussite scolaire, elles sont plus nombreuses à s’orienter vers l’enseignement général ou technologique plutôt que professionnel. De plus, elles délaissent l’enseignement scientifique et technique au profit des filières littéraires. Après le Baccalauréat, ce constat se maintient. Dans les classes préparatoires, 75% de l’ensemble des élèves en filière littéraire sont des filles alors qu’elles ne sont que 30% en filière scientifique. Par exemple, 26% des diplômes d’ingénieurs sont obtenus par des femmes. Dans l’administration publique, l’enseignement, la santé humaine ou l’action sociale, la part des femmes est de 66,9% tandis que dans l’industrie (28%), la construction (10%) et le commerce (45%), la part des femmes reste faible.
Certains secteurs dits mieux qualifiés et mieux payés restent encore largement occupés par les hommes. A ce titre, Michèle Perrot, historienne et féministe française rappelle que « Ce modèle de société, fondé sur une division très forte du travail entre les sexes, et qui nous vient de très loin, a été érodé mais n'a pas disparu. » Par exemple, dans le numérique, entre 2008 et 2011, la désaffection des jeunes femmes pour les formations scientifiques et techniques reste marquée: 55 000 femmes pour 78 000 hommes.
Réussir dans sa vie professionnelle et s’épanouir dans sa vie personnelle reste un challenge quotidien pour les femmes. Alors que les places en crèche manquent, que la grossesse reste un frein à la carrière, « les promotions dépendent encore de leur présence en entreprise et des résultats» . Bien heureusement, entreprises, institutions et associations s’investissent sur ce sujet et œuvrent au quotidien pour plus d’égalité! A titre d’exemple, « Les femmes se réapproprient le secteur du numérique ».
Equality in employment is far from being achieved in France. While women are more educated than their male counterparts, they are still most affected by unemployment. Decryption.
In 25 years, the unemployment rate for men and women have approached
Unemployment in France affects women more than men. Training, age, children determine the inclusion of women on the labor market strongly influenced by part-time. If, in 2009, the gap in the unemployment rate was almost zero between the two sexes, the disparity has since increased. More...
24 mars 2013

Colloque Femmes et Sciences 2013

Le colloque Femmes et Sciences aura lieu le vendredi 12 avril 2013 au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Cet évènement aura pour thème: «  Nouveaux parcours, doubles cursus et passerelles à l’Université, Sont-ils favorables aux femmes scientifiques dans l’entreprise et la recherche? ».
L’objectif de cette journée est de valoriser ces innovation pour permettre une meilleure reconnaissance des diplômes universitaires et d’aider à l’orientation et à l’insertion professionnelle des femmes scientifiques.
L’association organise chaque année un colloque qui traite soit de questions liées à l’éducation scientifique des jeunes, et des filles en particulier, soir de problèmes que rencontrent les femmes dans les métiers scientifiques et techniques, et plus généralement les femmes cadres. La Mission pour la place des Femmes est un partenaire de l’association, dont elle soutient les actions.
Cette année, les intervenants et les participants seront des responsables de ministères, d’universités, des responsables de parcours pédagogiques, des étudiant-e-s et des représentants d’entreprises.
L’inscription est obligatoire et gratuite. Vous pouvez vous inscrire à cette adresse: http://www.femmesetsciences.fr/.
Plaquette de présentation de l’évènement.
Nouveaux parcours, doubles cursus et passerelles à l'Université - Sont-ils favorables aux femmes scientifiques dans l'entreprise et la recherche?
Vendredi 12 avril 2013 Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche - Amphithéâtre Poincaré Entrée 25 rue de la Montagne-Sainte-Geneviève 75005 Paris.

L’association Femmes & Sciences, créée en 2000 et membre de la Plateforme européenne des femmes scientifiques (EPWS), a pour buts:
- de renforcer la position des femmes dans les métiers scientifiques et techniques du public ou du privé: Femmes & Sciences entreprend des actions pour aider les femmes scientifiques à la pleine réussite de leur carrière, à tous niveaux;
- d’inciter les jeunes, et plus particulièrement les jeunes filles, à s’orienter vers ces carrières. De nombreuses femmes scientifiques de l’association interviennent auprès des jeunes, des éducateurs, dans les écoles et les forums pour témoigner de leur métier et stimuler les engagements des jeunes vers les sciences.
L’association organise chaque année un colloque sur un thème lié à ses objectifs. Celui de 2013 porte sur les formations à l'université et leurs débouchés. www.femmesetsciences.fr.
Objectifs

Les universités proposent de nouveaux parcours en sciences et applications avec des doubles cursus et des passerelles qui facilitent les changements d’orientation et l’insertion dans le monde professionnel. Ces propositions augmentent l’attractivité des carrières scien- tifiques, en particulier auprès des jeunes femmes influencées par des stéréotypes défavorables, et prennent en compte des capacités appréciées par les recruteurs, Objectifs Programme telles que créativité, aptitude aux contacts humains, sens de l’équipe ou compétences en gestion.
L’objectif de ce colloque est de valoriser ces innovations, de permettre une meilleure reconnaissance des diplômes universitaires et d’aider à l’orientation et à l’insertion pro- fessionnelle des femmes scientifiques. Les intervenants et les participants seront des responsables de ministères, d’universités, des responsables de parcours pédagogiques, des étudiant-e-s et des représentants d’entreprises.
Le contexte est favorable avec une nouvelle offre de formations, le développement de l’alternance ainsi que la mise en place des programmes d’excellence, dont certains encouragent les interactions avec les entreprises et offrent de nouvelles possibilités de recrutement.
Inscriptions
L’inscription au colloque est obligatoire pour entrer au Ministère. Elle est gratuite. Pour faciliter les échanges pendant la pause déjeuner, un buffet sera organisé sur place. Une participation de 15 € (gratuite pour les collégiens, lycéens et étudiants) est demandée pour ce repas. Les inscriptions se font en ligne avant le 9 Avril 2013, les frais de déjeuner pouvant être réglés par carte bancaire (souhaité) ou par chèque www.femmesetsciences2013.eventbrite.fr.
Comité d’organisation
Association Femmes & Sciences: Claire Dupas, Colette Guillopé, Claudine Hermann, Martine Lumbreras, Gwendoline Petitjean, Brigitte Ro cca-Volmerange
Mission pour la Place des femmes au CNRS: Anne Pépin
Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche: Magali Boisseau-Dossou, Martine Laforgue, Agnès Netter, Nicolas Tariel. Télécharger la Plaquette de présentation de l’évènement.

Women and Science symposium will be held Friday, April 12, 2013 the Ministry of Education and Research. This event will focus on "New course, dual courses and walkways at the University, they are favorable to women in business and scientific research?".
The aim of this day is to promote the innovation to enable better recognition of university diplomas and help guidance and professional integration of women scientists. More...

23 mars 2013

Why do more women than men in academia engage in the community?

When I started writing this blog last September, I indicated that this question around the predominance of women in community-university engagement would be one of the topics I would consider. For weeks I have been regretting making this promise because, although I think it’s a good question, I did not have a good answer.
Research and anecdotal evidence both show a higher participation rate of women from academia in activities such as community service learning (CSL) and community-based research (CBR). Research in the U.S. has demonstrated that women faculty are more likely to participate in community-based service activities than male faculty (e.g., see Wade and Demb 2009, page 11). (This article also presents an interesting model that describes the factors influencing faculty participation in community engagement.)
The gender imbalance shows up among students, too. It is the norm for research samples of students doing service learning to include more women than men, sometimes by a wide margin. While this predominance of female students among service learners is sometimes remarked on in the literature, there is a dearth of research or even speculation about why this imbalance exists. Read more...

19 mars 2013

Journée de la femme: les présidentes et directrices de la CPU à la UNE

http://www.cpu.fr/fileadmin/fichiers/Actualites/Fevrier_2013/Web2.jpgSur la photo, en haut, de gauche à droite:
Catherine Virlouvet - Ecole française de Rome
, Fabienne Blaise - Université Charles De Gaulle Lille 3, Hélène Pauliat - Université de Limoges, Danielle Tartakowsky - Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis,  Manuelle Franck - INALCO, Catherine Dessein - Directrice par interim de l’EHESP, Frédérique Vidal - Université Nice Sophia Antipolis, Lise Dumasy - Université Stendhal Grenoble 3, Brigitte Plateau - Grenoble INP, Béatrix Midant-Reynes - Institut français d’archéologie orientale, Corinne Mence-Caster - Université des Antilles et de la Guyane, Monique Canto-Sperber - Paris Sciences et Lettres, Anne Fraïsse - Université Paul-Valéry Montpellier 3, Christine Lemardeley - Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, Marie-Christine Gangloff-Ziegler - Université de Haute Alsace, Marie-France Barthet - Université de Toulouse, Anne-Sophie Barthez - Université Paris Grand Ouest.
17 mars 2013

‘Manifesto for Change’ for women in higher education

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Katherine Forestier. Hong Kong: zero. Japan: 2.3. India: three. Kuwait: three. Turkey: seven. UK: 14. Australia: 17. The numbers tell a story. They are the percentages of universities that have women as leaders in a range of jurisdictions around the world. Knowledge that women are under-represented in the upper echelons of higher education is not new. But after academics from countries in Asia, Europe, the Middle East and North Africa shared experiences and information, they came up with an action plan for change. On 6 March the “Manifesto for Change” was resoundingly endorsed by participants attending the session “Action for Women in Higher Education Leadership” at the Going Global 2013 conference, the culmination of a year of workshops held by the British Council in Hong Kong, Japan, Kuwait and finally Dubai, supported by new research. The manifesto calls for actions to hold institutions to account by: including gender equity in ranking and quality indicators; transparency about the representation of women, including their participation in research – usually the stepping stone to leadership; a commitment to invest in women; and the need for more international data on and research into what is holding women back, and what enables success. Read more...
10 mars 2013

Gender equality and higher education

Hedda - Higher Education Development AssociationBy Marielk. Today, on 8th of March – International Women’s Day, is perhaps a good time to re-examine the current situation of women in higher education. With decades of focus on emancipation and womens rights in large parts of the Western world – where do we stand on this issue?
Women in higher education and research has received some attention during recent year in Europe. Perhaps the most widely debated recent case is the “Science, its a girl thing!” campaign from the European Commission that received widespread criticisms and arguably did not really further the gender equality agenda, but rather re-emphasized existing stereotypes. A number of initiatives have been emerged in recent years related to women in research, and the topic has also received attention on European level, where the 2nd Gender Summit was held in the end of November. The question of glass ceilings and speculations around the reasons why women are still underrepresented are still debated (see for instance a guest entry by dr Joanne Pyke on the Hedda blog examining the Australian case), however, recent research by Allison K. Shaw and Daniel E. Stanton  suggest that when analyzing the data over 30 years in the USA, the trend is that the role of gender is diminishing and the issue points lie in the choice of undergraduate field and application rates to tenured jobs There is further research that has suggested that it is not so much discrimination but aspects related to family life that would lead to less women applying for tenure positions. Read more...
10 mars 2013

Gender equality and gender mainstreaming in research

European Commission logoIn spite of national and EU-level strategies on gender equality, European research still suffers from a considerable loss and inefficient use of highly skilled women. The annual increase in female researchers is less than half the annual number of female PhD graduates and too few women are in leadership positions or involved in decision-making. In 2005 the Council set a goal for women to be in 25% of leading public sector research positions, but in 2009 only 13% of the heads of higher education institutions were women. The integration of a gender dimension into the design, evaluation and implementation of research is also still too limited. The challenge is to improve on all these points to increase the quality and relevance of research. The Commission is already committed to ensure 40% of the under-represented sex in all its expert groups, panels and committees and will apply this particularly under Horizon 2020.
Encouraging gender diversity to foster science excellence and relevance.
9 mars 2013

Sexism rife in universities, warns NUS report

Times Higher EducationBy Chris Parr. More than half of female students identify “prevailing sexism, ‘laddism’ and a culture of harassment” at their universities, according to a survey by the National Union of Students.
The report, That’s what she said: Women students’ experiences of lad culture in higher education, released on 8 March to coincide with International Women’s Day, found that nights out and sports teams were hotspots for  “lad culture”, defined as a “pack” mentality and the use of sexist, misogynist and homophobic “banter”.
Such behaviour could spill over into “sexual harassment and humiliation”, the NUS said. This included verbal harassment and “catcalling”, while groping in nightclubs was viewed by some as part of a “normal” night out. Read more...
9 mars 2013

Gender leadership gap tackled by manifesto

Times Higher EducationBy Jack Grove. A document that aims to bridge the gender leadership gap in higher education worldwide has been officially launched at an international conference. Manifesto for Change, produced by the Action for Women in Higher Education Leadership group, calls for the number of women in senior academic positions to help determine a university’s global ranking. It also wants more data on the gender imbalance among university leaders and professorships held by women to force higher education institutions to address the issue. Read more...
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