By Natalie Angier. Peter Ostrander, the tireless coordinator and cheerleader for a renowned science and mathematics magnet program at Montgomery Blair High School in Silver Spring, Md., was not satisfied. Over the past few years, the pool of applicants had included nearly as many girls as boys, and the acceptance rate — based largely on test scores and grades — had followed suit. More...

By Mark Guzdial. NYTimes just had a nice article about the Georgia Tech online Masters degree program based in MOOCs.  I’m glad that the OMS (Online MS) group is getting that kind of attention. For my research interests, I’m more excited about the alternative to MOOCs described below.  I am not well-versed in feminist perspectives, but I appreciate the values that are informing Anne Balsamo’s design and do see that this approach has a greater chance of drawing in women (based on research like Joanne Cohoon’s) than traditional MOOCs. More...

Vincent Feltesse, député de la Gironde, a remis le 2 juillet 2013 à Najat Vallaud-Belkacem, un rapport sur l’« Egalité femmes-hommes dans les territoires ». Il propose un état des lieux des bonnes pratiques dans les collectivités locales et fait des recommandations pour les généraliser.
Parmi ses 20 propositions, Vincent Feltesse propose notamment d’ajouter explicitement l’objectif d’égalité Femmes-Hommes dans le code des marchés publics. Il préconise l’introduction dans le cahier des charges des appels d’offres d’une clause incitant au respect du principe d’égalité, figurant dans le dossier de consultation des entreprises souhaitant soumissionner...
Consulter le rapport Feltesse (juillet 2013, 154 p.)
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Von Anika Kreller.Beate Schücking ist eine von sehr wenigen Frauen an der Spitze einer deutschen Universität. Sie wurde bekannt, als die Uni Leipzig beschloss, Hochschullehrer als "Professorin" zu bezeichnen. Beate Schücking sagt, es gebe zwei rote Fäden, die sich durch ihr Leben zögen. In den letzten Wochen hat sich einer davon zu einem Wollknäuel verklumpt. Es fing damit an, dass sich einige Mitglieder des erweiterten Senats der Universität Leipzig an den ausschließlich männlichen Bezeichnungen in der Grundordnung der Uni störten, also suchte man Alternativen. Die Schrägstrichvariante "Professor/innen" war zwar geschlechtergerecht, aber zu umständlich. Also entschied man sich für das sogenannte generische Femininum: Fortan sollte in der Grundordnung der Uni durchgängig von Professorinnen die Rede sein, und eine Fußnote sollte klarstellen, dass damit auch Männer gemeint sind. Von da an wurde es kompliziert. Im April beschloss der Senat die Änderung, im Mai nickte Beate Schücking als Rektorin sie ab, im Juni bekamen Medien Wind davon. Mehr...

Pour la septième année consécutive,le ministère de l'Education nationale rend publique,à l'occasion du 8 mars,journée internationale des droits des femmes,une série de statistiques qui renseignent sur la réussite comparée des filles et des garçons depuis l'école jusqu'à l'entrée dans la vie active.Cette parution reflète l'engagement du système éducatif dans les objectifs de mixité et d'égalité,objectifs déclinés dans la convention interministérielle pour 2013-2018. Télécharger la brochure Filles et garçons sur le chemin de l'égalité de l'école à l'enseignement supérieur 2013. Feuilleter la brochure : Filles et garçons sur le chemin de l'égalité de l'école à l'enseignement supérieur 2013
Quelques chiffres clés
Les filles réussissent mieux que les garçons à l'école. Elles connaissent moins de difficultés scolaires, elles poursuivent des études plus longues et  plus de 45% d'entre elles obtiennent un diplôme d'enseignement supérieur contre 37 % seulement des garçons.Le moment est sans doute venu de s'interroger sur les difficultés persistantes des garçons :12 % des garçons de 17 ans connaissent des difficultés de lecture, 22 % des garçons sortent de formation initiale sans diplôme.
Cette réussite scolaire des filles ne se traduit toutefois pas encore dans l'orientation et le choix des spécialités. En 2011,les filles ne représentent que 40 % des élèves des terminales scientifiques, un mince progrès : elles étaient 38% en 2005. Quand ils se jugent très bons en mathématiques, 8 garçons sur 10 s'inscrivent en série S. Dans la même situation, seules 6 filles sur 10 effectuent la même démarche.

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