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Appel à propositions relatif au programme d’action dans le domaine de l’éducation et de la formation tout au long de la vie - Programme EFTLV (2007-2013) - année scolaire et universitaire 2013-2014. NOR: MENC1243524C, circulaire n° 2013-008 du 17-1-2013. MEN - DREIC SDAEM 2A.
Texte adressé aux rectrices et recteurs d’académie, chancelières et chanceliers des universités; aux présidentes et présidents d’université; aux directrices et directeurs des établissements d’enseignement supérieur...
La présente circulaire complète les informations contenues dans l'appel à propositions 2013 - EAC/S07/12 dont l'annonce a été publiée au Journal officiel de l'Union européenne le 3 août 2012 sous la référence 2012/C 232/04. Elle précise, notamment, les priorités et les objectifs européens et nationaux du programme pour l'année scolaire et universitaire 2013-2014. Le texte de l'appel à propositions 2013 (priorités stratégiques) et le Guide 2013 du programme EFTLV sont consultables en ligne à l'adresse suivante : http://ec.europa.eu/education/. Le conseil et l'accompagnement nécessaires au montage et à la réalisation de projets européens peuvent être trouvés auprès des DAREIC des académies:http://www.education.gouv.fr/...
Présentation générale
Le programme européen d'action dans le domaine de l'éducation et de la formation tout au long de la vie ou programme EFTLV est l'instrument privilégié dont l'Europe s'est dotée en 2007 pour favoriser l'avènement d'une société de la connaissance offrant un terrain favorable à un développement économique durable, à la création d'emplois plus nombreux et plus qualifiés et à la cohésion sociale, en particulier grâce à la coopération éducative et à la mobilité à des fins d'apprentissage ou « mobilité apprenante »...
1. Caractéristiques du programme
1.1 Une structure unique intégrant toutes les activités
Les programmes communautaires d'éducation et de formation sont parties intégrantes, depuis 2007, du Programme d'action dans le domaine de l'éducation et de la formation tout au long de la vie (programme EFTLV) auquel ont accès:
- les 27 États membres de l'Union européenne;
- les pays de l'EEE/AELE : l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège;
- la Turquie et la Croatie;
- la Suisse;
- l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, la Serbie et l'ancienne République yougoslave de Macédoine (uniquement pour certaines actions);
- les « Pays et territoires d'outre-mer »;
- les pays tiers ne participant pas déjà au programme (sous certaines conditions restrictives)...
1.2 Une agence nationale de gestion du programme
L'agence Europe éducation formation France (agence 2E2F), groupement d'intérêt public installé à Bordeaux, est chargée de la mise en œuvre du programme pour l'éducation et la formation tout au long de la vie dans notre pays (voir coordonnées complètes au point 4).
2. Priorités et objectifs européens et nationaux
2.1 Priorités et objectifs européens
Le programme EFTLV a vocation, d'une part, à renforcer la contribution de l'éducation et de la formation à la réalisation des priorités et des objectifs phares de la stratégie de croissance « Europe 2020 » définie par l'Union européenne pour la décennie en cours, et, d'autre part, à soutenir la mise en place du nouveau cadre stratégique pour la coopération européenne dans le domaine de l'éducation et de la formation (« Éducation et formation 2020 ») que les États membres ont élaboré afin de faire de l'éducation et de la formation tout au long de la vie et de la mobilité des apprenants une réalité, d'améliorer la qualité et l'efficacité de l'enseignement et de la formation, de favoriser l'équité, la cohésion sociale et la citoyenneté active, et, enfin, d'encourager la créativité et l'innovation à tous les niveaux de l'éducation et de la formation...
2.2 Priorités et objectifs nationaux
2.2.1 Plusieurs actions/dispositifs du programme EFTLV et régions françaises auront un caractère prioritaire non exclusif en 2013, au vu des tendances observées lors des précédents appels à propositions:
1) Il apparaît que certaines actions souffrent d'un manque d'attractivité qui se traduit par une sous-consommation des crédits d'intervention qui leur sont alloués: c'est le cas des partenariats Comenius Regio, de la mobilité Leonardo da Vinci pour les professionnels de l'enseignement et de la formation professionnels, de la mobilité d'enseignement et de formation Erasmus et de la mobilité de formation continue Grundtvig...
2.2.2 Par ailleurs, afin de tenir compte du contexte national, lors de la conception du projet, il est souhaitable de ne pas perdre de vue les objectifs nationaux de chaque sous-programme:
Erasmus:
- renforcer l'espace européen de l'enseignement supérieur (EEES) par l'accroissement significatif de la mobilité, en particulier des étudiants et des enseignants, à la fois quantitativement et qualitativement, qu'il s'agisse d'études ou de périodes de formation en milieu professionnel, et par le développement de la dimension européenne, via les cours et les programmes d'études ainsi que les réseaux thématiques;
- et développer la professionnalisation des formations universitaires et leur ouverture sur l'EEES, les entreprises et le marché du travail européen;
Dans cette perspective, il importe:
- d'amplifier considérablement la mobilité, afin qu'elle irrigue tous les aspects du développement stratégique de l'établissement d'enseignement supérieur; à cet effet, il est recommandé d'exploiter plusieurs leviers:
. s'appuyer sur de véritables stratégies d'établissement, inscrites dans les contrats quinquennaux, qui prennent en compte la mobilité européenne et tous ses aspects connexes (politique linguistique, politique d'accueil des étudiants, dimension pédagogique, politique de recherche) et favoriser l'ancrage des projets de mobilité de l'établissement dans des partenariats internationaux assis sur des programmes dotés de « fenêtres de mobilité », des programmes conjoints et des diplômes doubles ou conjoints,
. inciter davantage à plus de mobilité étudiante, y compris dans les filières les moins représentées dans Erasmus - comme les filières scientifiques et les cursus de formation en alternance (contrat d'apprentissage ou contrat de professionnalisation) -, et, à cet effet, organiser des journées d'information et des forums électroniques pour mettre en valeur des témoignages et échanges d'expériences des étudiants Erasmus, mais aussi informer plus largement sur les atouts d'Erasmus, les opportunités offertes par les universités partenaires des pays moins sollicités, et les possibles soutiens linguistiques offerts par les cours intensifs de langues (Ciel) au profit des langues moins répandues et moins enseignées,
. susciter davantage la mobilité des enseignants, qui est indispensable pour accroître l'européanisation des cursus et la mobilité étudiante, sans oublier celle des personnels administratifs;
- d'asseoir davantage la qualité des échanges Erasmus, en portant une attention particulière à la concrétisation des principes recommandés par la Charte européenne de qualité pour la mobilité ainsi qu'à l'utilisation systématique des conventions d'études (« learning agreements ») et des conventions de stage Erasmus, à l'exploitation des possibilités offertes pour la validation des périodes d'études et de formation en milieu professionnel à l'étranger et des acquis, ou encore à la généralisation des documents offerts par le portfolio Europass;
- et, pour l'attribution des bourses Erasmus, de tenir compte, autant que possible, de la situation sociale des étudiants et des aides susceptibles de leur être attribuées, en particulier les aides financières qui peuvent être accordées par le MESR (c'est-à-dire les bourses d'enseignement supérieur sur critères sociaux ou BCS, qui peuvent être portables dans les pays membres du Conseil de l'Europe, et les aides à la mobilité internationale ou AMI) et les bourses proposées par les collectivités territoriales.
À noter: les bonnes pratiques mises en valeur par l'étude de l'agence 2E2F intitulée « Génération Erasmus - 25 ans de bonnes pratiques » peuvent constituer des pistes utiles à tout établissement pour atteindre ces objectifs: http://www.europe-education-formation.fr/docs/20121005_etude-universites-bd.pdf ou http://www.europe-education-formation.fr/erasmus.php...
3. Conditions nationales d'éligibilité 2013-2014
3.1 Comenius
Conditions nationales d'éligibilité à Comenius
Sont éligibles au programme Comenius les établissements de formation initiale, de la maternelle à la fin du second cycle général, technologique ou professionnel, sous tutelle du ministère de l'éducation nationale, du ministère des affaires étrangères ou des ministères chargés de l'agriculture, de la défense, de la santé, des sports et de la culture, qu'ils soient publics ou privés sous contrat...
3.2 Erasmus
Conditions nationales d'éligibilité à Erasmus
Peuvent faire acte de candidature à la Charte universitaire Erasmus (voir en annexe) les établissements d'enseignement supérieur ou d'enseignement post-baccalauréat publics, privés sous contrat, privés reconnus par l'État ou consulaires et habilités par l'État à délivrer des diplômes sanctionnant des études supérieures ou post-baccalauréat, reconnus éligibles compte tenu de la garantie de qualité des diplômes qu'ils délivrent, c'est-à-dire:
- les diplômes sanctionnant une formation de niveau supérieur, inscrits au RNCP (y compris les diplômes d'université et autres diplômes d'établissement qui y figurent);
- ou, pour les diplômes qui ne seraient pas encore inscrits au RNCP:
. les diplômes nationaux de l'enseignement supérieur (par exemple la licence),
. les diplômes d'État sanctionnant une formation d'enseignement supérieur ou post-baccalauréat (par exemple le diplôme d'État d'architecte conférant le grade de master),
. les titres reconnus (par exemple les titres d'ingénieur diplômé),
. les diplômes visés par l'État (par exemple les diplômes de sortie des écoles de commerce visés par l'État),
. ainsi que les diplômes d'université et autres diplômes des établissements sous tutelle du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche.
S'agissant du BTS, diplôme national de l'enseignement supérieur que délivre le recteur d'académie, seuls sont reconnus éligibles les établissements publics ou privés sous contrat d'association avec l'État, ainsi que les établissements qui préparent au BTS en alternance (cf. contrats d'apprentissage ou contrats de professionnalisation). Pour ce qui concerne les diplômes d'État que ne délivre pas un chef d'établissement (par exemple les diplômes comptables supérieurs), seuls sont reconnus éligibles les établissements placés sous tutelle et contrôle pédagogique de l'État ou bénéficiant pour leurs formations d'un agrément par l'État (y compris les centres de formation d'apprentis).
3.3 Leonardo da Vinci
Conditions nationales d'éligibilité à Leonardo da Vinci
Sont éligibles au programme Leonardo da Vinci tous les organismes intervenant dans le champ de l'enseignement et de la formation professionnels, quel que soit leur statut : établissements de formation ou centres et organismes de formation professionnelle, centres de recherche, entreprises, organisations professionnelles, associations sans but lucratif, collectivités territoriales, etc...
3.4 Grundtvig
Conditions nationales d'éligibilité à Grundtvig
En raison de la variété des actions qui peuvent être financées dans le cadre de Grundtvig, les types d'organismes (et de formateurs d'adultes) éligibles sont très nombreux : établissements impliqués dans la formation initiale ou continue des personnels de l'éducation des adultes, mais aussi centres de formation, universités, associations, musées, collectivités territoriales...
3.5 Programme transversal
Conditions nationales d'éligibilité pour la participation aux visites d'étude
Sont éligibles au financement d'une bourse de visite d'étude tous les personnels des établissements en position de responsabilité (chefs d'établissement, professeurs principaux, etc.), y compris ceux effectuant l'intégralité de leur service dans des classes de BTS ou dans des classes préparatoires aux grandes écoles...
4. Informations pratiques
Pour toute recherche d'information complémentaire concernant, notamment, la nature des programmes et de leurs actions ou la préparation et l'envoi des candidatures, vous pouvez vous connecter au site internet de votre académie ou de votre établissement d'enseignement supérieur (rubrique Relations internationales)...
Glaonna ar thograí do chlár gníomhaíochta i réimse an oideachais agus na hoiliúna ar feadh an tsaoil - Clár um Fhoghlaim ar Feadh an tSaoil (2007-2013) - bliain acadúil 2013-2014 NOR:. MENC1243524C, Ciorclán Uimh 2013-008 de 17-1-2013. MEN - DREIC SDAEM 2A. FEAR - DREIC SDAEM 2A. Téacs a sheoladh chuig Rectors Acadamh, athmhuinchillí Seansailéirí, an Uachtaráin príomhoidí ollscoile na gcoláistí. Níos mó...
Ian raises a really important issue that I don’t think is being discussed enough. I predict that computer science MOOC completers are even more white and male than in existing computing education. Replacing more face-to-face CS courses with MOOCs may be reversing the hard-fought gains we’ve made through NCWIT and NSF BPC efforts. I’ve asked both Udacity and Coursera about the demographics of their completers. Coursera said that they don’t know yet because they simply haven’t looked. Udacity said that it’s “about the same” as in existing face-to-face CS classes.
To address issues of inequality, we will have to do something different than what we are doing now, but we want to do something different that has better results. We need to be careful that we don’t make choices that lead us to a worse place than we are now. Here’s a concrete proposal: Any institution that belongs to NCWIT (or more significantly, the NCWIT Pacesetters program) that runs a MOOC for computer science and does not check demographics should have its membership revoked. (See Note.) We should not be promoting computer science education that is even more exclusive. We need new forms of computer science education that broaden participation. At the very least, we ought to be checking — are we doing no harm? Are we advancing our agenda of broadening participation, or making it more exclusionary? Read more...
Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques.Le CNFPT ne veut pas payer la formation certifiante ou qualifiante des emplois d’avenirs des collectivités territoriales. Ainsi que nous le pressentions, la question du financement de la formation des jeunes employés en emplois d’avenir dans les collectivités territoriales se pose (voir Formation des emplois d’avenir: des moyens mobilisés davantage dans l’ESS que dans le public).
En effet, dans une note "Présentation du dispositif d’accompagnement et de formation des collectivités territoriales et des bénéficiaires par le CNFPT" publiée en annexe du Projet de schéma d’orientation régional pour les emplois d’avenir de Poitou Charentes, il est écrit on ne peut clairement "le CNFPT n’a pas la vocation à prendre en charge financièrement des formations certifiantes ou diplômantes." Suite de l'article...
Présentation du dispositif d’accompagnement et de formation des collectivités territoriales et des bénéficiaires par le CNFPT
d) Professionnaliser sur un métier ou préparer à un concours
Tous les emplois d’avenir bénéficieront d’une formation de deux jours dans l’objectif d’acquérir les connaissances nécessaires sur l’environnement professionnel: Formation d’Intégration des Emplois d’Avenir (FIEA) dont le référentiel sera national. Les emplois d’avenir bénéficieront de l’offre catalogue du CNFPT. Le recueil d’information sur les profils recrutés et les emplois à occuper permettront à la délégation régionale du CNFPT de prévoir des dédoublements de session. La présentation aux services Ressources Humaines des itinéraires métiers existants pourra simplifier le travail de positionnement et de définition des PARCOURS INDIVIDUALISÉS DE FORMATION.
NB: le CNFPT n’a pas la vocation à prendre en charge financièrement des formations certifiantes ou diplômantes.
En fonction des résultats de l’orientation, les bénéficiaires des emplois d’avenir pourront bénéficier d’une préparation aux concours.