Fonction publique territoriale - Autres congés et droits à la formation
Mise en disponibilité pour études et recherches
Bénéficiaires
Agents titulaires. Suite...
Mise en disponibilité pour études et recherches
Bénéficiaires
Agents titulaires. Suite...
Objectifs
Permettre à l'agent de bénéficier, à sa demande, d'un congé en vue de participer ou de se préparer aux actions de validation des acquis de son expérience par un diplôme, titre ou certification inscrit au Répertoire national des certifications professionnelles (Rncp).
A noter : ces actions de VAE peuvent également être financées par l'administration dans le plan de formation, donnant alors lieu à une convention administration - agent - organisme concourant à la validation.
Une décharge partielle de service peut également être octroyée à l'agent engagé dans une procédure de VAE.
Bénéficiaires
Tout fonctionnaire justifiant de 3 années d'expérience (consécutives ou non ; issue de son activité professionnelle, syndicale, bénévole…) en rapport direct avec la certification visée.
A noter : les agents non titulaires occupant un emploi permanent et les assistants maternels et familiaux bénéficient également du congé pour VAE. Suite...
Objectifs
Permettre à l'agent d'analyser ses compétences, aptitudes et motivations en vue de définir un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation.
A noter : le congé pour bilan de compétences est particulièrement indiqué avant de suivre des formations de préparation aux concours et examens de la fonction publique ainsi qu'avant de solliciter un congé de formation professionnelle.
Bénéficiaires
Fonctionnaires justifiant de 10 ans de services effectifs. A noter : les agents non titulaires occupant un emploi permanent et les assistants maternels et familiaux bénéficient également du congé pour bilan de compétences. Suite...
Objectifs
Pour les agents et leurs employeurs, construire et accompagner les projets de formation à vocation professionnelle, sur certaines actions de formation inscrites au plan de formation.
Bénéficiaires
Tout agent occupant un emploi permanent. A noter : les agents non titulaires occupant un emploi permanent et justifiant d'au moins un an de services effectifs dans la même collectivité ou le même établissement bénéficient du DIF. Suite...
Objectifs
Permettre à l'agent de suivre, à sa demande, des formations à caractère professionnel ou personnel, indépendamment de celles proposées par l'administration dans le cadre du plan de formation.
Bénéficiaires
Agents (titulaires ou non) justifiant d'au moins 3 ans de services effectifs. A noter : les agents non titulaires doivent en outre justifier de 12 mois, consécutifs ou non, dans la collectivité ou l'établissement auquel est demandé le CFP.
Un fonctionnaire mis à disposition dans une autre collectivité peut également bénéficier du CFP.
Une décharge partielle de service peut également être octroyée aux agents, titulaires ou non, pour suivre une action de formation tout en restant en position d'activité. Suite...
Objectifs
Permettre à l'agent de suivre une formation pendant son temps de travail suite à la nomination dans son emploi (formation initiale après recrutement) ou en cours de carrière (formation continue).
Bénéficiaires
Agent, titulaire ou non selon les formations. Suite...
Cette année, l'arabe est absent des concours du Capes alors que la demande d'enseignants dans le second degré est bien réelle, expliquent les professeurs Joseph Dichy et Pierre-Louis Reymond. Ils réclament « de toute urgence une politique claire » en faveur de l’enseignement de l'arabe dans le service public, l’une des principales langues d’échanges économiques et culturels de la France.
Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, a affirmé à plusieurs reprises son intérêt et son soutien à l’enseignement de l’arabe dans le service public. En dépit de ce soutien et de la vision très juste qui est la sienne, le capes d’arabe est aujourd’hui fermé ! Face à l’enjeu historique qui est celui de l’enseignement de l’arabe en France, on ne peut faire aujourd’hui l’économie d’un débat public, à travers le site de Médiapart.
Joseph Dichy, professeur à l’Université Lumière-Lyon 2, secrétaire général du Comité interuniversitaire d’études arabes (Cidea),
Pierre-Louis Reymond, professeur de classes préparatoires aux grandes écoles au lycée du Parc, Lyon, président de l’Association française des arabisants (Afda). Suite...
Important: une tribune commune CIDEA/AFDA
Bonjour à tous,
La situation très grave de l'enseignement de l'arabe en France, suite à la non ouverture du CAPES d'arabe, est décrite par Pierre-Louis Reymond, président de l'Association française des arbisants (AFDA) et moi-même pour le CIDEA (Comité interuniversitaire d'études arabes**), dans une Tribune que nous avons adressé à Médiapart.
Ce matin, 12 février, elle est à la Une (www.mediapart.fr), et est annoncée, dans une version légèrement remaniée, dans Lemonde.fr.
Voici par ailleurs son lien permanent, que je vous demande de diffuser autour de vous:
http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/110214/va-t-rouvrir-le-capes-d-arabe.
L'enjeu est énorme pour nos enseignements en général, et pour le rôle que doit jouer dans ce domaine le service public laïc.
Bien cordialement à tous,
Joseph Dichy, Secrétaire général du CIDEA
**Créé dès la fin des années 1970 sur une recommandation du service public, le Comité interuniversitaire d’études arabes (CIDÉA) comprend six membres élus par les directeurs de départements d’arabe langue et civilisations étrangères ou langues étrangères appliquées de l’enseignement supérieur français. Il constitue une structure de consultation pouvant répondre à la demande des ministères de tutelle, et contribuer à une harmonisation des enseignements et à l’information des départements d’études arabes dans le cadre des grandes orientations du Ministère de l'Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Liens utiles
La loi du 22 juillet 2013 prévoit la définition d’une stratégie nationale de l’enseignement supérieur (StraNES). Le ministère lance la réflexion avec l’installation du comité d’expertise présidé par Sophie Béjean, et dont Bertrand Monthubert est le rapporteur général. Les auditions de personnalités concernées par les enjeux de l’enseignement supérieur français aboutiront à un rapport qui sera remis à la ministre, en juin 2014. Les 25 membres du comité pour la stratégie nationale de l'enseignement supérieur. Lettre de mission à la présidente du comité StraNES.
Définir ce que la Nation attend de son enseignement supérieur
La définition d’une stratégie nationale de l’enseignement supérieur (StraNES) est une nouveauté en France issue de la loi du 22 juillet 2013.
Cette loi prévoit que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche élabore, au niveau national, une stratégie dédiée à l’enseignement supérieur, constituant, avec la stratégie nationale de recherche (élaborée dans le même temps), un Livre blanc qui sera présenté au gouvernement et au parlement.