
Un groupe chinois a acheté DEMOS, numéro 2 de la formation professionnelle en France

Par Céline Rousseau et Olivier Vogel. Alors que le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve a présenté ce lundi son projet pour structurer "l'islam de France", à Strasbourg un master en islamologie existe depuis 2009. Une cinquantaine d'étudiants y seront inscrits cette année. Ce lundi, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, a annoncé une "nouvelle étape dans la construction de l'islam de France". Parmi les propositions du ministre de l'Intérieur : "la création d'une mission en vue de proposer la création de nouveaux cursus d'islamologie dans les universités".
Des cours de sciences humaines et sociales, pas de religion
C'est ce que propose depuis 2009, l'université de Strasbourg avec un master en islamologie. Il s'agit de cours de sciences humaines et sociales, et non pas de la théologie (comme le droit local d'Alsace-Moselle le permet pour les religions catholique et protestante), précise Françis Messner, responsable de ce master en islamologie. Il y est enseigné l'histoire de l'islam, de ses courants, la langue arabe et la finance islamique, notamment. Voir l'article...
Le service des inscriptions à l'Université de Guyane ne désemplit pas. Même si la campagne des inscriptions a démarré sur internet au mois de juillet, il y a encore des retardataires, des changements de dernière minute ou des remises de pièces qui nécessitent que les étudiants les règlent sur place. Voir l'article...
300 étudiants étrangers ont été reçus ce jeudi 1er septembre 2016 dans l’amphithéâtre Pierre-Daure à l'université de Caen. Un forum est ensuite organisé dans l'après-midi pour faciliter leur installation et leur vie quotidienne. Ils viennent du Japon, du Venezuela, de Malaisie ou encore d'Allemagne. Les étudiants étrangers faisaient eux aussi leur rentrée ce jeudi 1er septembre 2016 à l'université de Caen (Calvados). Ils étaient 300 primo-arrivants à découvrir le campus. Voir l'article...
Par Laurence Guilmo. Seulement 40 % des étudiants en première année réussissent directement à passer en deuxième année. Plus d'un quart redouble et un tiers ne se réinscrivent pas à la fac. Pour lutter contre l'échec, certains établissements, dont l'université de Bretagne occidentale (UBO) à Brest, aimeraient supprimer les deux sessions d'examens annuelles et les remplacer par du contrôle continu intégral (CCI). Voir l'article...
Par Camille Stromboni. Des universités libres d’expérimenter et de sélectionner en master : Emmanuel Macron a partagé son diagnostic et sa vision de l’avenir de l’enseignement supérieur, au lendemain de sa démission du gouvernement, devant les présidents d’université, réunis à Paris le 31 août. L’occasion de défendre plus de liberté pour l’université, afin de répondre aux mutations en cours. L’ancien ministre en identifie quatre principales : l’explosion du nombre d’étudiants, la compétition internationale, la révolution numérique et la transformation du marché du travail. Voir l'article...