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Formation Continue du Supérieur

23 janvier 2012

Etudier en licence: parcours et insertion

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/publications/relief/etudier-en-licence-parcours-et-insertion/34973-1-fre-FR/Etudier-en-licence-parcours-et-insertion_large.pngPar I. Borras, D. Epiphane, P. Lemistre, G. Ryk (éditeurs), Relief, n° 36, 2012, 240 p. Télécharger la publication. Cet ouvrage est le résultat des derniers travaux du groupe de travail sur l'enseignement supérieur (GTES), qui réunit des chargés d'études du Céreq et de ses centres associés, des représentants des observatoires des universités et de la DGESIP.
La thématique porte sur les parcours des étudiants de licence (L). L'analyse est présentée en deux temps: modalités d'accès au L et parcours pendant les trois premières années de formation; poursuite d'études et insertion des diplômés de L3.
Des choix effectués par les bacheliers après le bac aux déterminants des poursuites d'étude, des mesures et les analyses du décrochage en L1 à l'insertion des diplômés de L3, professionnelles ou générales, les différents contributeurs passent au crible tout le premier cycle de l'enseignement supérieur.
Conclusion

Ces premiers résultats doivent être creusés. Ils confirment que les jeunes qui sortent avec des diplômes de master 2 scientifiques n'ont pas tous connu le même parcours de formation dans l'enseignement supérieur. Certains ont contourné le 1er cycle universitaire par le biais des CPGE ou des IUT/STS, d'autre sont issus de PCEM ou d'école d'ingénieur et tous reviennent ensuite à l'université poursuivre leurs études en master et décrocher un master 2 de sciences. Ces diplômés ont donc des diplômes très « proches » en ce sens qu'ils partagent des compétences générales en sciences très importantes, acquises au cours de cursus qui ont duré au minimum 5 ans. La spécialité du master 2, souvent très sélective à l'entrée et qui renvoie à des savoirs précis, ne semble pas avoir une importance très discriminante sur l'accès à l'emploi au sein de cette population, hormis les difficultés bien connues des diplômes de sciences de la vie. Ces diplômés sont donc en partie concurrents sur des emplois d'ingénieur et de cadre technique. Pourtant leur parcours les différencie et, derrière ce parcours et pouvant même l'expliquer, l'existence d'un projet professionnel. L'accès à ces différents parcours dépend également des performances scolaires antérieures et de l'origine sociale des jeunes, les plus favorisés allant vers les premiers cycles les plus prestigieux (CPGE, PCEM, école...). Le contournement du 1er cycle universitaire est donc en plus d'une réalité quantitative qui concerne plus d'un jeune diplômés de M2 scientifique sur deux (55%) une stratégie mise en place par des jeunes bien dotés et avec apparemment une certaine efficience en termes d'insertion professionnelle. La diversité des parcours au sein de l'enseignement supérieur, y compris pour l'obtention de mêmes diplômes, permet à chacun de trouver sa voie. Mais il semble bien que les jeunes qui arrivent à mettre en place des stratégies cohérentes dès le début de leurs études, tirent aussi plus vite et mieux leur épingle du jeu.Télécharger la publication.
Voir aussi Évaluation du non-recours au tutorat à l’université, Peut-on forcer les étudiants à la réussite.
By I. Borras, D. Epiphanius, P. Lemistre, G. Ryk (Eds.), Relief, No. 36, 2012, p. 240 Download the publication. This book is the result of the recent work of the Working Group on Higher Education (WGHE), which brings together research officers of Céreq and its associated centers, representatives of universities and observatories of DGESIP.
The theme focuses on the path of the undergraduate students (L).
The analysis is presented in two parts: how access to the path L and the first three years of training, further education and integration of graduates of L3.
Choices made by graduates from the tray to the determinants of action study, measures and analyzes the stall L1 to L3 insertion of graduates, vocational or general, the various contributors scrutinize the entire first cycle Higher Education.

Conclusion

These initial results should be dug.
They confirm that young people leaving with two master degrees in science are not all met the same training course in higher education. More...
23 janvier 2012

La quasi-totalité des universités devient autonome en 2012

http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2010-05/2010-05-20/article_matignon.JPGAu 1er janvier 2012, huit nouvelles universités basculent dans l'autonomie. Il s'agit de la dernière vague d'établissements passant sous le régime de la LRU. La gestion des ressources humaines, du budget global, et parfois le transfert du patrimoine relèvent des nouvelles responsabilités et compétences des universités.
Au 1er janvier 2012, les huit dernières universités de métropole sont devenues autonomes. Il s'agit de Grenoble-III, Lille-III, Lyon-II, Montpellier-III, Paris-VIII, Paris-X, Perpignan, et l'université de Toulon et du Var.
Les universités de la Réunion et d'Antilles-Guyane le seront courant 2012 et celle de Polynésie en 2013.
L'autonomie des universités s'est faite en quatre vagues après le vote, en 2007, de la loi relative aux responsabilités et aux libertés des universités (LRU):
* 2009: 18 universités pionnières passent à l'autonomie;
* 1er janvier 2010: 33 universités suivent;
* 1er janvier 2011: 22 autres universités le deviennent à leur tour. A cette date, près de 90% des universités françaises et une grande partie des écoles sont autonomes.
La LRU permet aux universités de mener leur propre politique de ressources humaines (gestion du personnel, recrutement des contractuels, primes aux personnels et de création d’intéressement) mais aussi de gérer leur budget global.
L'autonomie rend également possible le transfert des biens immobiliers de l'Etat à l'université. Cet acte constitue pour l'université une reconnaissance de sa capacité à gérer son patrimoine.
La dévolution du patrimoine est actuellement limitée à trois universités: Clermont-I, Toulouse-I Capitole et l'université de Poitiers mais pourrait se généraliser.
On est en train de dessiner le paysage du supérieur pour les trente à quarante ans à venir. Laurent Wauquiez.
http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2010-05/2010-05-20/article_matignon.JPG 1. januar 2012 otte nye universiteter i klippen autonomi. Dette er den seneste bølge af virksomheder fra under den primære jernbanevirksomhed. Forvaltning af menneskelige ressourcer, det samlede budget, og undertiden overførsel af velstand er de nye ansvarsområder og kompetencer universiteter.
1. januar 2012, har de seneste otte hovedstadsområdet universiteterne blive selvstændige.
Dette er Grenoble-III, Lille III, Lyon-II-III Montpellier, Paris-VIII, Paris-X, Perpignan, og University of Toulon og Var.
Universiteter Réunion og Antillerne, Guyana vil blive i 2012, og at i Polynesien i 2013
. Mere...
22 janvier 2012

Résultats de la première évaluation nationale du CIF

http://www.fpspp.org/portail/images/ssi/resultat%20de%20la%20premiere%20eval%20CIF/impact%20du%20CIF.JPGLe Congé Individuel de Formation (CIF) a permis depuis la date de la création de son financement  (en 1983) au réseau des FONGECIF de prendre en charge près d’un million de parcours individualisés de formation.
Le FPSPP a décidé d’en mesurer chaque année les effets: Est-ce que le CIF aboutit à un changement professionnel, est ce qu’il permet réellement une transition professionnelle, qu’en pensent ceux qui ont bénéficié d’un CIF, le CIF a-t-il réellement changé leur vie professionnelle un an après la fin du CIF?
L’enquête que nous vous présentons ci-après répond à ces questions et à beaucoup d’autres. Nous vous proposons de prendre connaissance des résultats de cette enquête en cliquant ICI. Que sont devenus les bénéficiaires du CIF un an après leur formation - Les résultats de la première évaluation nationale? Document associé: Les résultats de la première évaluation nationale du CIF.
Depuis 1983, les FONGECIF ont financé plus d'un million de parcours de formation... des parcours généralement de longue durée conduisant en grande majorité à des qualifications professionnelles et très souvent à des reconversions radicales. Les FONGECIF mesuraient déjà régionalement les effets de ces formations sur leurs bénéficiaires. Cependant, les informations issues de ces enquêtes régionales étaient difficilement consolidables au niveau national du fait des différences de méthodologies utilisées. À l'heure où beaucoup s'interrogent sur les notions de compte individuel et de formation tout au long de la vie, il nous semblait important de disposer d’une vision précise et régulièrement actualisée des impacts nationaux du Congé Individuel de Formation. L’étude, dont les principaux résultats vous sont présentés dans ce document, a nécessité deux ans de travaux du réseau des FONGECIF, animés par le cabinet Ambroise Bouteille et le Fonds Paritaire. La réalisation de l'enquête a été confiée à un prestataire reconnu, l’institut Ipsos. Il s'agit de la première mesure nationale des effets du Congé Individuel de Formation. Cette enquête sera renouvelée tous les ans afin de constater les évolutions significatives des effets très concrets de ce dispositif. Au-delà des résultats présentés ici, l’ensemble des données de cette première enquête sera exploité afin de nourrir notre réflexion et d’affiner la compréhension des mécanismes des transitions professionnelles. Cette enquête a aussi pour vocation d’améliorer le pilotage du Congé Individuel de Formation, dispositif phare de la sécurisation des trajectoires professionnelles.
Le contexte

Le Fonds Paritaire, dans le cadre de sa mission d’animation du réseau des FONGECIF et du FAF TT, conduira désormais chaque année une étude afin de mesurer l’impact du Congé Individuel de Formation sur l’évolution professionnelle des bénéficiaires de ce dispositif. La première enquête réalisée porte sur les parcours achevés en 2009. Elle constitue le point de départ d’un baromètre annuel qui permettra d’analyser l’évolution des résultats au fil des années. Pour la première fois, ce type d’enquête est réalisé au niveau national. Cette nouvelle échelle permet de travailler d’une part sur un échantillon significatif et d’autre part sur une méthodologie homogène pour toutes les régions.
Les objectifs

Le Congé Individuel de Formation (CDI, CDD et intérimaires) est le premier des dispositifs étudiés. Il sera suivi à terme du congé Bilan de Compétences et de la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). L’évaluation concerne à la fois les effets de l’action sur les bénéficiaires un an après leur formation et leur accompagnement par les FONGECIF et le FAF TT. Elle permet d’apprécier la valeur ajoutée du Congé Individuel de Formation et de l’aide apportée à la construction des projets professionnels par le réseau des FONGECIF et du FAF TT. Il importe notamment de montrer que les sommes investies dans ces dispositifs sont justifiées par un véritable impact sur l’évolution professionnelle de leurs bénéficiaires.
La méthode

Les partenaires sociaux ont confié à des professionnels:
• l’élaboration du questionnaire (cabinet Ambroise Bouteille et Associés) sur la base d’un travail préalable interne au sein du réseau.
• l’administration de l’enquête et le traitement des données (institut Ipsos).
Il convient de noter un excellent taux de réponse qui garantit la fiabilité des résultats: 13875 personnes ont répondu à ce questionnaire (soit 51% des personnes destinataires de l’enquête).
Le Congé Individuel de Formation (CIF) permet à tout salarié en contrat de travail à durée indéterminée (CIF-CDI), en contrat de travail temporaire (CIF Intérimaire), ainsi qu’à tout salarié titulaire ou demandeur d’emploi ancien titulaire d’un contrat de travail à durée déterminée (CIF-CDD), et sous certaines conditions, de suivre, à son initiative et à titre individuel, une formation de son choix. FONGECIF: Fonds de gestion du Congé Individuel de Formation. FAF TT: Fonds d’assurance formation du travail temporaire.
Le profil des bénéficiaires du CIF

S’il bénéficie équitablement aux hommes et aux femmes, avec une moyenne d’âge de 37 ans, le CIF concerne prioritairement les ouvriers et les employés (80%).
Il s'adresse, en premier lieu, aux salariés faiblement qualifiés (60% sont de niveau VI, V ou IV). Ce dispositif répond ainsi aux objectifs visés par les partenaires sociaux et exprimés dans l'Accord National Interprofessionnel de 2009.
Un puissant vecteur de changement professionnel
Une employabilité accrue

Les personnes ayant bénéficié d’un congé individuel de formation après un CDD (CIF CDD) ou dans le cadre d’un contrat de travail temporaire (CIF Intérim) accèdent en proportion importante à un CDI un an après leur formation. Dans un contexte économique difficile, 81% d’entre eux sont en emploi.
Une transition professionnelle sécurisée

Les personnes ayant bénéficié d’un CIF alors qu’elles étaient en CDI (CIF CDI) sont pour 87% d’entre elles en situation d’emploi un an après la fin de leur formation. Quel que soit le changement opéré dans leur parcours, elles ont en très grande majorité trouvé une solution, principalement en CDI. Pour les autres, il s’agit probablement d’une situation transitoire vers leur objectif professionnel.
La situation professionnelle change

Pour les personnes interrogées, la comparaison de la situation professionnelle avant le CIF et un an après (tous types de CIF confondus) fait apparaître une évidente dynamique d’évolution. Ce changement représente une amélioration, notamment pour l’évolution professionnelle (78%) et les responsabilités (75%).
et ce changement est positif.

Le niveau de satisfaction global sur la situation professionnelle un an après le CIF est très favorable (76% de satisfaction). Les réponses sont homogènes quel que soit le type de CIF.
Une évolution professionnelle satisfaisante grâce au CIF

Pour le bénéficiaire, le CIF est la cause principale du changement dans la plupart des cas, tout particulièrement sur la profession (80%) et les responsabilités (72%), mais aussi pour la progression dans la catégorie socioprofessionnelle (70%).
Un moteur essentiel de l’ascenseur social
La reconnaissance par le diplôme
90% des formations suivies se concluent par un examen : diplôme, titre, certification

La reconnaissance qu’offrent les certifications (diplômes, titres professionnels etc.) est déterminante dans le choix de la formation qui vise souvent une première qualification professionnelle ou une reconversion. Le CIF représente la seconde chance d’accès à une qualification reconnue, pour une population dont la formation d’origine est majoritairement de niveaux IV et inférieurs.
94%, un taux de réussite exceptionnel aux examens.

La quasi-totalité (98%) des bénéficiaires ayant suivi une formation comportant un examen s’y est présentée. Le taux de réussite élevé, très supérieur aux moyennes nationales, témoigne de l’engagement fort des salariés dans leur projet.
À la recherche de mobilité professionnelle

• les trois premiers objectifs de départ traduisent l’exigence de mobilité professionnelle, notamment le souhait de reconversion et une sensibilité importante à la question de l’employabilité.
• la promotion sociale est un objectif poursuivi par la moitié des bénéficiaires. On peut noter que près d’un tiers d’entre eux ont un projet de création ou de reprise d’entreprise.
• Les bénéficiaires de CIF CDD et de CIF Intérim expriment plus fortement qu’au niveau global deux objectifs de départ: la progression dans le métier d’origine et l’employabilité.
Des objectifs largement atteints

Le CIF est un investissement déterminant pour la réussite du projet professionnel. Il répond largement aux attentes exprimées par les bénéficiaires. Il facilite notamment la reconversion professionnelle et développe l’employabilité. C’est également un outil utile à la construction d’un projet de création et de reprise d’entreprise. Quand il n’est pas atteint un an après la fin de la formation, l’objectif n’est pas pour autant abandonné: en forte proportion (48%) les bénéficiaires poursuivent toujours leur projet professionnel ou n’y ont renoncé que momentanément (17%).
Une dynamique de deuxième chance

Le CIF participe activement aux politiques de l’emploi. Il atteint les objectifs qui lui sont fixés: mobilité professionnelle, employabilité, ascension sociale... L’investissement financier et personnel qu’il représente doit être envisagé sur un parcours de vie professionnelle. C’est par définition un dispositif tourné vers les salariés ayant un besoin de qualification, une fois dans leur carrière. Le CIF peut être considéré comme un outil de la seconde chance vers la qualification, la sécurisation des parcours et l’ouverture durable à l’emploi.
L’accompagnement des FONGECIF: une mission centrée sur l’individu et son projet
Une satisfaction globale très marquée pour l’ensemble des services

L’accès à la formation tout au long de la vie suppose une connaissance des outils d’évolution professionnelle mis à disposition des salariés et des demandeurs d’emploi. Le CIF est une ressource qui offre de réelles perspectives d’évolution, complétée par le Congé Bilan de Compétences et la Validation des Acquis de l’Expérience. Les FONGECIF et le FAF TT ont développé une offre de services complète, en constante progression, dont l'enjeu est d'accompagner les trajectoires et les transitions professionnelles. Ils accueillent, renseignent, conseillent et accompagnent des hommes et des femmes dans leurs parcours, pour les aider à concrétiser leurs projets individuels.
L’accueil et l’information: une première étape active et efficace

Le recours aux services fait apparaître une forte prépondérance de l’accueil téléphonique et une grande disponibilité pour l’accueil physique.
Le conseil et le suivi: une aide concrète à la construction du projet professionnel

Une majorité de bénéficiaires ont utilisé les services de conseil par le biais d’entretiens individuels en face à face (67%) et au téléphone (57%). Viennent ensuite les ateliers projet (38%).
Un soutien efficace dans la réussite du projet professionnel

• Les résultats de cette enquête traduisent de façon concrète les choix faits par les partenaires sociaux pour sécuriser les parcours professionnels du plus grand nombre: un très large accès aux services déployés par les FONGECIF et le FAF TT, un haut niveau de satisfaction au regard des services déployés. La fonction d'information, de conseil et d'accompagnement est indispensable pour assurer une orientation, une formation et un suivi de qualité permettant de répondre aux objectifs de transition professionnelle recherchés.
Voir aussi Enquête qualitative Professionnalisation 2010, Synthèse du dispositif CIF, 1er bilan du Fpspp, CIF, l'enquête qualitative du FPSPP, Parution du Décret sur le FPSPP.

Individuálne študijné voľno (CIF) má odo dňa vzniku jeho financovania (v roku 1983) do siete FONGECIF na podporu takmer milión individuálnej prípravy.
FPSPP rozhodol, ako merať účinky každý rok: Bude CIF viedlo k zmene povolania, je to, čo skutočne robí obrátku, myslím, že tí, ktorí majú prospech z CIF, CIF sa naozaj zmenilo život rok po skončení CIF?
Prieskum, ktorý uvádzame nižšie uvedené adresy na tieto otázky a mnoho ďalších. Odporúčame prečítať si výsledky tohto prieskumu kliknutím ICI. Tam, kde sú príjemcami CIF jeden rok po ich výcvik - Výsledky prvého národného hodnotenia?
Súvisiace dokument: Výsledky prvého národného hodnotenia CIF. Pozri aj kvalitatívny výskum Profesionalizácia 2010, Zhrnutie zariadenia CIF, prvý záznam Fpspp, CIF, kvalitatívne prieskum FPSPP, vyhláška o zverejnení FPSPP. Viac...

22 janvier 2012

De la formation au métier: entre savoir, savoir-faire et savoir-être

http://www.prisme-limousin.fr/sites/default/files/filemanager/image/couv%2080%20foc.pngNathalie Garçon (Insee), Fabien Dulcire, Jeanne Jimenez (Prisme). Importants en Limousin, les domaines réglementés - sanitaire et social ou agricole - et les métiers à forte technicité de la mécanique, la maintenance ou l'informatique, recrutent sur des savoirs spécifiques.
Dans d'autres domaines, compétences génériques, capacité d'adaptation et expérience acquise jouent un rôle déterminant qui détend le lien entre formation initiale et emploi.
Pour l'insertion des jeunes sur le marché du travail, ce lien tend à se renforcer.
VAE et formation continue
La validation des acquis de l’expérience (VAE) permet d’obtenir tout ou partie d’un diplôme, d’un titre à finalité professionnelle ou d’un certificat reconnu officiellement, sur la base de l’expérience, professionnelle et bénévole. Elle concerne tous les secteurs professionnels. Les plus demandés en Limousin en 2010: le diplôme d’État d’auxiliaire de vie sociale, les métiers du commerce et de la vente, celui de technicien supérieur en gestion de production.
La formation continue en entreprise permet aux salariés d’acquérir des compétences supplémentaires, mises en oeuvre en emploi, qui complètent celles acquises en formation initiale. Ces dispositifs sont impulsés par les partenaires sociaux.

Télécharger le numéro 80 de Focal De la formation au métier - entre savoir, savoir-faire et savoir-être 1 et 2.
La formation initiale est déterminante pour l’accès des jeunes au premier emploi stable. Plus tard, elle facilite - ou non - la mobilité professionnelle tout au long de la vie.
Mais la relation réelle qui se tisse, sur un territoire, entre formation reçue et emploi exercé ne relève pas d’une « adéquation » simple. Complexe, changeante, elle dépend de nombreux facteurs. Elle a connu de fortes évolutions, sous l’effet de l’élévation générale du niveau de formation et des transformations du tissu productif. Comprendre les dynamiques à l’oeuvre, en Limousin, entre la formation initiale des actifs et l’emploi offert est un préalable pour agir en faveur de l’insertion des jeunes. C’est un besoin renforcé dans le contexte actuel, alors que le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles de 2011 s’engage sur une offre de formations professionnelles diversifiée et de qualité, à travers une couverture territoriale équitable, et une articulation dynamique avec le développement économique du Limousin.
Quelle formation initiale ont reçue les actifs limousins qui exercent un métier donné? Est-elle spécialisée ou bien ce métier recrute-t-il, au contraire, dans un large éventail de formations? Plus ce lien formation - emploi est fort et précis, plus il sera aisé d’alimenter un domaine professionnel donné par la mise en place de formations adaptées et spécifiques; plus ce lien est diffus, plus la rencontre entre offre et demande d’emploi fera appel à d’autres leviers.
Des spécificités économiques

Services aux particuliers et aux collectivités, santé et action sociale, administration publique, bâtiment-travaux publics, et commerce: ces cinq domaines professionnels concentrent la moitié de l’emploi limousin. Les trois premiers - services aux particuliers, santé et administration - rassemblent même un tiers des actifs. L’emploi régional reste marqué par une forte présence de la sphère publique.
L’industrie, qui offre 15% de l’emploi limousin, est plus fortement tournée vers les matériaux souples, fruit d’un passé emblématique autour du cuir ou de la tapisserie, les métiers du bois, l’industrie graphique, l’électricité et l’électronique.
Une autre particularité du tissu régional, liée à une tradition séculaire d’élevage, est le poids de l’emploi agricole, le double de celui de la métropole.
En revanche, la région offre peu d’emplois dans les domaines à forte valeur ajoutée que sont la recherche, l’informatique ou l’ingénierie industrielle. Hors champ public, les emplois tertiaires sont eux aussi moins développés qu’en métropole, en particulier dans la banque - assurance et la gestion administrative des entreprises.
L’élévation du niveau de diplôme

Les spécificités de l’économie ne sont pas sans lien avec la formation. Dans l’ensemble, le niveau de formation des actifs est assez semblable en Limousin et en France. Dans la région, cependant, plus d’un actif sur deux a un niveau de formation inférieur au bac, soit légèrement plus qu’en métropole.
Mais les nouvelles générations, celles qui sont entrées sur le marché du travail depuis moins de onze ans, sont beaucoup plus diplômées que leurs aînées. La part des actifs n’ayant pas atteint le niveau bac a été divisée par deux, celle de ceux qui ont suivi des études supérieures a presque doublé. Ces écarts entre générations existent dans tout domaine professionnel, mais avec des intensités inégales.
L’élévation générale du niveau de diplôme, qui est le fruit des politiques nationales menées dans les années 1980 visant l’objectif de 80% d’une classe d’âge au niveau bac, répond aussi à une volonté des entreprises de recruter un personnel plus qualifié, capable de s’adapter à des évolutions rapides.
Spécialité de formation et emploi

Cependant, le niveau de diplôme n’est pas le seul critère auquel s’attache le recruteur. La spécialité de formation joue aussi un rôle clé. Trois types de liens entre formation et emploi vont alors se dégager: il existe des métiers qui ne peuvent être exercés sans une formation spécifique alors que d’autres mobilisent plutôt des compétences transversales; des métiers où le niveau de diplôme, la formation continue et l’adaptabilité du candidat suffiront pour assurer l’adéquation à l’emploi; d’autres enfin où l’expérience professionnelle pourra se substituer au diplôme spécialisé.
Des facteurs réglementaires

Des facteurs réglementaires expliquent parfois l’intensité du lien entre la formation et l’emploi. C’est le cas dans deux domaines phares du Limousin: le sanitaire et social, où l’accès aux professions de la santé est défini par arrêté ministériel, et l’agriculture, où les aides à l’installation sont subordonnées à l’acquisition d’une capacité professionnelle agricole.
Dans le domaine des professions agricoles, plus de six jeunes actifs sur dix sont issus d’une formation aux métiers de l’agriculture, de la forêt ou de la nature; symétriquement, les jeunes qui suivent un cursus de formation « agricole » exercent ensuite, huit fois sur dix, l’un des métiers visés.
De même, les métiers de bouche tels que cuisiniers, bouchers ou boulangers, qui constituent plus de la moitié des emplois de l’hôtellerie - restauration - alimentation, demandent une formation directement liée à l’emploi.
Une forte technicité

Une technicité requise élevée contribue aussi à tisser un lien étroit entre le contenu de la formation et le métier exercé. Les formations très spécialisées à fort contenu technique ou technologique, comme la mécanique, la maintenance ou l’informatique, permettent ainsi de trouver un emploi dans la cible professionnelle du diplôme.
La maintenance, bien que marquée par la technicité, tend à diversifier ses voies de recrutement. Ce domaine regroupe les ouvriers qualifiés de la réparation automobile, avec un tiers des effectifs, les ouvriers qualifiés et les techniciens de la maintenance. Si la mécanique, l’électricité et l’électronique restent leurs principales spécialités de formation, toutefois, les recrutements d’actifs issus de formations générales sont en hausse. Des machines de plus en plus sophistiquées et la nécessité de disposer d’un personnel polycompétent peuvent expliquer que la provenance des jeunes actifs se soit élargie par rapport à celle de leurs aînés, présents sur le marché du travail depuis plus de dix ans.
Formation - emploi: un lien souvent diffus

Dans la plupart des domaines professionnels, la relation est plus diffuse entre spécialité de formation et emploi. Les formations initiales déterminent alors peu les professions exercées.
Ainsi, dans les métiers du transport-logistique ou du commerce, les actifs sont issus d’un spectre de formations extrêmement large. Dans le transport-logistique, plus de la moitié des actifs jeunes sont des conducteurs de véhicules (taxis, ambulances, bus…). C’est par le biais de la formation continue interne qu’ils effectuent les formations souvent indispensables dans leur métier (exemple: l’attestation de formation à la conduite obligatoire). De même, toujours dans le transport-logistique, plus d’un actif sur quatre effectue de la manutention et, là aussi, la formation continue intervient. Les professionnels de la branche ont mis en place des Certificats de Qualification Professionnelle pour pallier le manque de formations initiales.
Un lien formation - emploi diffus n’est pas nécessairement le signe d’un dysfonctionnement. L’absence d’adéquation directe entre formation initiale et profession peut être liée au rôle de la formation continue, aux pratiques de gestion des entreprises, à l’importance que les recruteurs accordent au niveau de diplôme plutôt qu’à la spécialité de formation… De nombreux diplômes, en particulier dans le tertiaire, offrent des compétences génériques aisément transférables. Ainsi, dans la fonction publique, le mode de recrutement par concours est lié au niveau de diplôme et non à la spécialité de formation. Enfin, les savoirs détenus par les actifs ne sont pas le seul fait du diplôme obtenu en fin de formation initiale: les ajustements sont possibles en cours de carrière.
L’expérience peut se substituer au diplôme

Dans certains domaines professionnels, les formations diffèrent peu entre les générations au travail: c’est le cas dans les études-recherches et dans la santé-action sociale, qui emploient des actifs très diplômés aujourd’hui comme hier, ainsi que dans la communication, informations, arts et spectacles.
Dans d’autres domaines, où l’expérience va jouer un rôle prédominant, la formation des personnes en emploi dépend de leur ancienneté. Les compétences acquises par l’expérience viennent, pour les plus anciens, se substituer au diplôme dont disposent les plus jeunes. La reconnaissance de l’expérience professionnelle est favorisée dans les domaines où le lien formation-emploi est le plus lâche : le commerce, le transport, l’administration. Mais ces disparités générationnelles sont aussi focalisées sur les domaines professionnels les moins qualifiés: les industries de process (agroalimentaire, céramique…) ou les services aux particuliers.
Un lien qui se renforce pour les jeunes

Dans certains domaines où le lien formation-emploi est plutôt distendu, il tend à se renforcer pour les jeunes sur le marché du travail. Les recrutements se resserrent sur les spécialités coeur de métiers. C’est le cas pour l’électricité et l’électronique mais aussi pour l’informatique, la gestion et administration des entreprises, le commerce, les services aux particuliers, la communication-information.
Dans le commerce, où plus de quatre actifs sur dix exercent le métier de vendeur, les jeunes sont, plus souvent que leurs aînés, issus de formations en lien direct avec le métier. Parmi les actifs qui travaillent depuis moins de onze ans, 28% ont suivi une formation initiale en commerce-vente, contre 11% des plus anciens. Cependant, le commerce recrute largement au-delà des diplômés en commerce-vente, notamment sur les qualités individuelles et comportementales.
La banque - assurance présente un profil différent dans la mesure où les jeunes sur le marché du travail, plus souvent que par le passé, sont issus d’une formation commerciale, en particulier dans les postes en relation avec la clientèle. Les profils financiers sont orientés sur des activités de « back office ».
Des métiers très qualifiés favorables à l’insertion

Les jeunes actifs, sortis de formation initiale depuis moins de onze ans, sont plus nombreux dans les domaines professionnels réclamant de hauts niveaux de qualification. Les métiers très technologiques de l’informatique et des télécommunications emploient ainsi 40% de jeunes actifs. Les études et la recherche en comptent presque autant, suivis par la santé ou la communication. Ces domaines jouissent aussi, auprès des jeunes, d’une bonne image qui les rend particulièrement attractifs.
Les jeunes actifs sont malgré tout très présents dans d’autres domaines professionnels, qui ne requièrent pas les mêmes diplômes. Ils occupent ainsi plus d’un poste sur trois dans les métiers tertiaires du commerce ou de l’hôtellerie-restauration, témoignage de l’attrait exercé par ces métiers ou de la facilité d’entrée dans ces professions pour les jeunes, quel que soit le niveau de qualification. Ces domaines sont souvent considérés comme permettant une première entrée dans la vie active pour les primo diplômés. A contrario, les jeunes actifs n’occupent que 15% de l’emploi dans les services aux particuliers.
Orientées en priorité sur une population plus jeune et plus qualifiée, les embauches effectuées depuis moins d’un an concernent des domaines à forte évolution technologique et en développement, mais elles répondent aussi à des politiques de recrutement très favorables aux jeunes diplômés. Les jeunes actifs fournissent ainsi huit recrutements sur dix dans les métiers de la santé, ou de la culture et du sport, et plus de trois sur quatre dans les domaines tertiaires de l’informatique, de la banque-assurance ou des études et recherche.
Le risque du déclassement

Si les professions les plus qualifiées ou les domaines à fort contenu technologique favorisent l’insertion de jeunes générations de plus en plus diplômées, dans d’autres métiers les jeunes peuvent subir un effet pervers de l’élévation générale du niveau de diplôme: le déclassement.
La montée en qualification de l’emploi accompagne l’élévation générale du niveau de diplôme, mais avec des rythmes différents, ce qui induit une difficulté pour les jeunes à trouver des emplois d’un niveau correspondant à celui de leurs diplômes. C’est encore plus vrai pour le premier emploi, point d’entrée dans la vie active. En fonction des pratiques de recrutement et de gestion, certains domaines professionnels exposent plus que d’autres au risque de déclassement. Ainsi, 30% des employés et techniciens de la banque-assurance peuvent être considérés comme déclassés. De même, un quart des vendeurs du commerce ont un niveau supérieur au bac.
Un effort continu

En Limousin, comme dans les autres régions, le niveau de formation initiale est en progression continue ces dernières décennies. Cette progression reste essentielle pour permettre aux jeunes de développer leurs compétences et pour favoriser leur insertion, tant dans les professions hautement qualifiées que dans les nombreux métiers où niveau de diplôme et capacité d’adaptation priment sur la spécialité de formation. Au-delà, les politiques de formation tout au long de la vie doivent accompagner la nécessaire adaptation des métiers aux évolutions économiques, technologiques et sociales. Télécharger le numéro 80 de Focal De la formation au métier - entre savoir, savoir-faire et savoir-être 1 et 2.
http://www.prisme-limousin.fr/sites/default/files/filemanager/image/couv% 2080% 20foc.png Nathalie Garçon (INSEE), Fabien Dulcire, Jeanne Jimenez (PRISM). Important in Limousin, regulated areas - health and social and agricultural - and trades high tech mechanics, maintenance and information technology, knowledge of recruiting specific.
In other areas, generic skills, adaptability and experience play a key role that relaxes the link between training and employment.

For the integration of young people in the labor market, this link tends to strengthen.

VAE and Continuing Education
The accreditation of prior learning (APL) provides all or part of a diploma, as new vocational certificate or officially recognized on the basis of experience, professional and volunteer. It applies to all occupational sectors. Popular in Limousin in 2010: the State diploma of auxiliary social life, jobs and trade sales, the senior technician in production management.
The in-company training allows employees to acquire additional skills, implemented in employment, which complement those acquired in initial training. These devices are driven by the social partners. More...
22 janvier 2012

Euromed Management fusionne avec BEM

http://www.meridienmag.fr/pictos_site_21/logo_meridien.jpgA.D avec Jean-Philippe Dejean (à Bordeaux). Enfin… Après plusieurs projets de rapprochement avortés, l’école de commerce de Marseille a trouvé pointure à son pied. Une nouvelle alliance stratégique est en train de s’opérer au sein des locaux de Bordeaux management school (BEM). La fusion entre Euromed Management et son homologue de Bordeaux, devrait être annoncée dans les heures qui viennent. Les derniers points du contrat sont en train d'être négociés mais la fusion sera effective au 1er janvier 2013.
Course à la taille critique, aux meilleurs enseignants, au prestige... Face à la concurrence internationale et à la dictature des classements, les écoles n’échappent pas à la problématique propre à toute entreprise : gagner en puissance et en visibilité, mutualiser des moyens et réaliser des économies d'échelle.
Alors que nous avions vent des tractations en coulisses entre Euromed Management et l'ESC-Toulouse, c’est finalement vers l’autre ville des bords de la Garonne et rivale de la Toulousaine que la Phocéenne se tourne.
Alors que l’école marseillaise (50 M€ de budget) est gérée par une association, celle de Bordeaux (31 M€ de budget) est un service de la Chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux. Des différences juridiques qui font l’objet des tractations en cours.
Les actifs immobiliers devraient rester la propriété de chaque CCI, a précisé Jacques Faurens, vice-président de la CCIB en charge de la formation, tandis que les deux écoles se fondront dans une entité unique.
Euromed Management parvient enfin à concrétiser. Ce n’est pas faute d’avoir ces derniers temps “discuté avec les uns et les autres”. On se souvient du projet avec l’école de commerce de Nice, Ceram, qui a finalement préféré l'ESC de Lille, donnant naissance en 2009 à la School of Knowledge Economy and Management (Skema).
Quant au rapprochement avec l'ESC-Toulouse, il n'a pas abouti faute d’un consensus trouvé avec la nouvelle équipe de la CCI toulousaine.
Un autre projet de fusion, d’envergure, serait en préparation. Il impliquerait (liste non définitive) les ESC de Pau, Brest, Amiens, Troyes, Clermont, et l’Escem (Tours-Poitiers). Sous le nom de code France Business School.
http://www.meridienmag.fr/pictos_site_21/logo_meridien.jpg DC, con Jean-Philippe Dejean (a Bordeaux). Finalmente dopo diversi progetti di riavvicinamento abortito, la business school di dimensioni Marsiglia trovato ai suoi piedi. Una nuova alleanza strategica si svolge all'interno dei locali di Bordeaux Management School (BEM). La fusione di gestione Euromed e la sua controparte a Bordeaux, dovrebbe essere annunciato nelle prossime ore. Gli ultimi punti del contratto sono in fase di negoziazione, ma la fusione avrà effetto dal 1 gennaio 2013. Più...
22 janvier 2012

Opération Campus: les chantiers s'accélèrent

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Operation_Campus/33/3/une-operation-campus_146333.79.jpgLaurent Wauquiez s'est rendu jeudi 19 janvier à Toulouse pour visiter deux chantiers emblématiques financés par l'opération Campus: la maison de la recherche et de la valorisation, financée à hauteur de 15 millions d'euros, et l'Espace de recherche Clément Ader, financée à hauteur de 50 millions d'euros. Au total, l'Opération Campus fait bénéficier Toulouse de 550 millions de crédits Etat.
Le ministre a posé la première pierre du chantier de l'espace Clément Ader, spécialisé dans les matériaux de l'aéronautique, financé à hauteur 50 millions d'euros. Il contribuera à renforcer le positionnement de Toulouse comme capitale de l'aéronautique européenne. C'est le signe de l'ambition même de l'opération Campus: réinventer nos universités pour mieux les ancrer dans les territoires et en faire les moteurs de notre développement scientifique, culturel et économique.
Il a également visité La Maison de la Recherche et de la Valorisation, financée à hauteur de 15 millions d'euros, qui sera un nouveau lieu de vie en plein centre du campus accueillant des fonctions communes et fédératrices de l'Université de Toulouse dans le domaine de la recherche, des missions communes en informatique et formation continue.
Ces chantiers préfigurent la mue des campus toulousains en cours grâce aux 550 millions d'euros que l'Etat apporte à Toulouse dans le cadre de l'Opération Campus et en plus du contrat de projet Etat-Projet (CPER).
Le Ministre a également rappelé que l'engagement de l'Etat allait bien au-delà de l'immobilier, avec une progression des moyens de fonctionnement des universités toulousaines de +22% depuis 2007, et avec les investissements d'avenir, qui sont un succès pour Toulouse: les acteurs scientifiques toulousains ont déjà remporté 745 millions d'euros de financement de l'Etat alors que les appels à projets des investissements d'avenir ne sont pas terminés.
L'Opération Campus va permettre de réinventer l'ensemble des campus toulousains, en commençant par le site du Mirail, pour lequel 175 millions d'euros de l'Etat sont ciblés, en plus du CPER.
L'opération Campus permettra de faire émerger deux sites universitaires de grand standing: l'un situé dans le cœur historique de la ville, le quartier des sciences, avec des nouveaux équipements de vie étudiante, et surtout un grand Campus scientifique à Rangueil, le Campus Grand Sud Est, qui prendra la forme d'une "Ville-Parc".
Les campus Toulousains se métamorphosent, au bénéfice de ses étudiants et de ses chercheurs, avec des sites plus verts, avec des nouveaux équipements pour les étudiants et les chercheurs: Maison de la réussite en licence, Maison des étudiants et des personnels, Des restaurants universitaires, Bâtiment des langues et espace de conférence mutualisé, Equipements sportifs, Médecine étudiante.
Au total, plus de 30 millions d'euros ont déjà été versés par l'Etat sur le site de Toulouse dans le cadre de l'Opération Campus entre 2009 et début 2012 pour faire partir les premiers chantiers, et avec la signature des Partenariat Public-Privé du Mirail dans les prochaines semaines et l'envoi de l'appel d'offre du Partenariat Public-Privé du Campus Grand Sud-Est, l'engagement financier de l'Etat sera total.
Les premiers chantiers de l'Opération Campus, comme l'espace Clément Ader ou la Maison de la Recherche et de la Valorisation, en annoncent de nombreux autres dès les premiers mois de l'année. Au niveau National, avec l'Opération campus ce sont 5 milliard d'euros qui ont été investis pour moderniser les Campus, dont 1 milliard d'euro de projets est d'ores et déjà partis. C'est un investissement massif et sans précédent. Au total, plus de 50 chantiers de vie étudiante démarreront début 2012 avec ces crédits.
Dès son arrivée au ministère, Laurent Wauquiez a accéléré les chantiers du plan campus en supprimant les lourdeurs administratives dès que cela était possible. Surtout, il a libéré en décembre dernier 173 millions d'euros de crédits supplémentaires pour les sites de l'Opération Campus en rendant disponible les intérêts produits sur l'année 2012. Ce montant vient s'ajouter au 270 millions d'euros d'intérêts libéré en 2011. Soit, au total, 440 millions d'euros pour les premiers chantiers sur toute la France.
Ils seront affectés sur des opérations pouvant être menées dès début 2012, pour améliorer de manière tangible et rapide la vie sur le campus. Par exemple:
* un restaurant étudiant flottant sur les quais de la ZAC Rive Gauche à Paris (3,5 millions d'euros),
* la création d'un bâtiment dédié aux services aux étudiants en entrée du campus d'Aix (4,5 millions d'euros),
* l'extension de la bibliothèque de biologie-santé à Bordeaux (1,7 million d'euros),
* la création d'un campus vert sur le campus de Lyon La Doua (3,3 millions d'euros),
* la création d'une maison de la vie étudiante à Grenoble (2,1 millions d'euros),
* la fin du campus vert Grand Sud Est de Toulouse (6,6 millions d'euros).
Ces chantiers sont l'illustration que les profondes transformations engagées par le Gouvernement depuis quatre ans dans l'enseignement supérieur se concrétisent sur le terrain: les projets ont démarré, les chantiers s'accélèrent, les bâtiments sortent de terre. C'est le signe tangible de son investissement dans les secteurs d'avenir, dans l'université, dans la recherche.
L'université est en mouvement: le Gouvernement a fait le choix de la jeunesse et de l'avenir en investissant massivement pour offrir aux étudiants, enseignants et chercheurs les meilleures conditions d'études et de travail possibles.
Laurent Wauquiez besøgte torsdag 19 Jan i Toulouse for at besøge to projekter finansieret af den ikoniske Campus operation: hjemsted for forskning og udvikling, der finansieres med et beløb på 15 millioner euro, og Rumforskning Clement Ader, der finansieres med et beløb på 50 millioner euro. I alt nydt Operation Campus Toulouse 550 millioner statslige bevilling.
Ministeren lagde grundstenen af værftet plads Clement Ader, med speciale i rumfart materialer, der finansieres med 50 millioner euro.
Det vil bidrage til at styrke den position i Toulouse som hovedstad i den europæiske luftfart. Dette er tegn på ambitioner for operationen Campus: At opbygge vore universiteter til bedre at forankre dem i de områder og gøre motorer af vores videnskabelige, kulturelle og økonomiske. Mere...
22 janvier 2012

Daniel Percheron: « La décentralisation devrait confier l'université aux Régions »

http://www.lavoixdunord.fr/img/lavoixemploi.jpgPar Marie Vandekerkhove et Lakhdar Belaïd. Comme il l'a fait pour les lycées, l'État devrait confier la gestion des universités aux Régions. Pour le président du conseil régional, c'est le seul moyen de réussir l'économie du savoir... que cet ancien prof critique par ailleurs. Hier, il s'exprimait sur la formation dans le Nord - Pas-de-Calais, en marge du Salon de l'étudiant qui se poursuit aujourd'hui encore à Lille.
Université. « Les lycées aux Départements et l'université à la Région, avec des ressources ! La décentralisation favorise le consensus. En dix ans, vous mettez les universités françaises au niveau des meilleures du monde ! » Même si la région est la grande oubliée de l'IDEX (700 M€ du grand emprunt), la faute à « Valérie Pécresse, la diablesse », le plan campus est un « événement heureux ». Il réconcilie les universités métropolitaines avec la cité « et il n'y a pas de grande université sans mariage avec son territoire ».
Mais il critique la course à l'économie du savoir, imposée par Lisbonne, estimant que « l'Europe a commis une erreur dans les années 1990 en pensant qu'elle pouvait sacrifier l'industrie ».
http://www.lavoixdunord.fr/img/lavoixemploi.jpg Marie Vandekerkhove a Lakhdar Belaid. Ako to bolo u stredných škôl, by mal štát poveriť riadením vysokých škôl v regiónoch. Pre regionálny predseda, je jediný spôsob, ako uspieť v znalostnej ekonomike... že tento bývalý učiteľ tiež dôležité. Včera, keď hovoril o vzdelávaní v oblasti Nord - Pas de Calais, na okraji Zobraziť študent, ktorý pokračuje aj dnes v Lille. Viac...
22 janvier 2012

Formation des chômeurs: un système inefficace

http://www.finance-watch.org/wp-content/uploads/2011/06/Le_Monde_logo.pngPar Samuel Laurent. “Former et pas seulement indemniser, tel doit être notre but”. A quelques semaines de la fin de son mandat, Nicolas Sarkozy a fait des chômeurs et de leur formation l'une de ses priorités, qui sera abondamment discutée lors du sommet pour l'emploi. Une nouvelle fois: sommet social en 2009, lois, décrets, et discours sur ce thème ont ponctué le quinquennat. Pourtant, la formation des chômeurs n'est pas au mieux.
Fin 2009, la Dares comptabilisait 8% des demandeurs d'emploi en formation, contre 10% fin 2004. On comptait 637000 entrées en formation de demandeurs d'emploi en 2003, on n'en recense plus que 516 000 en 2008, un recul de 18% en cinq ans.
RIGIDITÉS

La France consacrait, en 2009 pas moins de 31 milliards d'euros à la formation continue des adultes, dont 15% destinés aux chômeurs. Une manne qui ne se traduit pas en efficacité. Les associations de chômeurs parlent de “parcours du combattant” pour parvenir à décrocher une place, ou d'offres “inadaptées”. Ce que confirment les chiffres.Selon l'Insee, citée dans un rapport de Jean-Marie Marx sur la formation des chômeurs, rendu en janvier 2010, seuls 10% des chômeurs anciens ouvriers, sont entrés en formation, contre 27% de ceux qui étaient cadres avant de perdre leur emploi. De même, 18% des 26-49 ans étaient formés, contre seulement 5,6% des 55-59 ans et 10,6% des moins de 25 ans.
Président d'ABCDE, une association de chômeurs en Alsace, Marc Desprats juge que “les formations sont essentiellement tournées vers des gens proches de l'emploi”, et visent trop, selon lui, à fournir un emploi direct à leur sortie plutôt qu'une aide à la réorientation professionnelle. De fait, aucun métier liée à l'informatique ou aux nouvelles technologies ne figure dans les dix formations les plus demandées auprès de l'association pour la formation professionnelle des adultes (AFPA).
> Lire aussi Albert Rose, 57 ans, employé "comme un stagiaire, à faire des photocopies"

L'écart semble souvent grand entre les demandes des chômeurs et les formations effectuées. Le rapport de Jean-Marie Marx, notait que, si un chômeur sur deux demande une formation en moyenne, seulement 16% obtiennent l'accord de Pôle Emploi, et seulement 7% entrent effectivement en formation dans les six mois qui suivent.
ACHATS PAR LOTS
Avec la décentralisation, l'Etat se désengage de la formation des chômeurs: il finançait 36% des entrées en formation en 2004, contre 12% en 2009. Les régions sont passées dans le même temps de 48% à 62%. Depuis 2008 et l'application d'une directive européenne, toute formation doit donner lieu à un appel d'offres avec mise en concurrence. Les régions tendent donc à acheter des “lots” de formation, parfois par centaines, qu'il faut ensuite remplir avec des demandeurs d'emploi, même lorsqu'elles ne correspondent pas. Une rigidité critiquée par les organismes de formation. Les associations de chômeurs dénoncent elles aussi la complexité de l'accès aux formations, entre Pôle emploi, qui les valide, la Région, qui les finance, et les instituts de formation, qui les proposent.
> Lire aussi Dans les Pays de la Loire, des plans de formation plutôt que des licenciements

Un “parcours du combattant”, au terme duquel nombre de chômeurs “ne parviennent pas à intégrer la formation qu'ils souhaitent”, car “ils ne rentrent pas dans la bonne case, ils ont trop ou pas assez de chômage, etc”, résume Jacqueline Basan, qui s'occupe de l'association CREER à Montpellier.
L'exécutif s'est mobilisé sur cette question, mais pour peu de résultats. En mars 2009, Nicolas Sarkozy évoquait dans un discours sur la réforme de la formations professionnelle la création, par les partenaires sociaux, d'un fonds de sécurisation des parcours professionnels (Fspp). Abondé à hauteur de 900 millions d'euros, il devait permettre de former ‘“chaque année 500000 salariés peu qualifiés et 200000 demandeurs d'emploi, c'est-à-dire ceux qui étaient jusqu'à présent exclus de la formation”, avait assuré le chef de l'Etat. Une gageure: Le nombre d'entrées en formation pour des demandeurs d'emploi a chuté de 5% en 2009 par rapport à 2008.
DIFFICILES RÉFORMES
Une adaptation législative a permis, en 2009, la “portabilité” du droit individuel à la formation (DIF). Il peut désormais utilisé dans les deux ans qui suivent une rupture de contrat de travail. Ce nouveau dispositif devait bénéficier à 200 à 300000 personnes, selon les recommandations du rapport Marx. Mais les formations proposées sont, le plus souvent courtes, faute de cotisations suffisantes. “On a des cas où les gens étaient précaires avant de tomber au chômage et n'ont droit qu'à 30 ou 40 heures de formation. Que voulez-vous qu'ils apprennent?” déplore Mme Basan.
Autre mesure mise en place depuis le sommet: la “préparation opérationnelle à l'emploi” (POE), qui vise à former un demandeur d'emploi en fonction des besoins d'une entreprise qui s'engage à l'embaucher par la suite. Un dispositif-phare, sur lequel le gouvernement misait beaucoup, mais qui a eu du mal à monter en charge. Le dispositif devait concerner 10000 personnes en 2011. En juillet de cette année, le ministère n'a pu se féliciter que de 3200 formations effectivement mises en place.
http://www.finance-watch.org/wp-content/uploads/2011/06/Le_Monde_logo.png By Samuel Lawrence. "Train and not just compensation, that must be our goal. "A few weeks before the end of his term, Nicolas Sarkozy has made unemployed and training one of his priorities, which will be extensively discussed during the summit for employment. Again: Social Summit in 2009, laws, decrees and speeches on this subject have marked the five-year term. However, training for the unemployed is not the best.
In late 2009, the Dares accounted for 8% of job seekers in training, against 10% in late 2004.
There were 637,000 entries in training of job seekers in 2003, identifies no more than 516 000 in 2008, down 18% in five years. More...
22 janvier 2012

Communication en Conseil des ministres sur la formation par alternance

http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpgNadine Morano, Ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle, a présenté ce 11 janvier les résultats très encourageants du plan de développement de l’alternance, annoncé à Bobigny le 1er mars dernier par le Président de la République, et qui vise à porter de 600000 à 800000 le nombre d’alternants d’ici à 2015.
Concrètement, malgré un contexte économique particulièrement difficile, entre janvier et novembre 2011, les contrats en alternance ont augmenté de 8,3% par rapport à la même période en 2010. Dans le détail, le nombre de contrats d’apprentissage a augmenté de 2,5% et le nombre de contrats de professionnalisation a enregistré une hausse de 19%.
Pour amplifier cette dynamique, le Gouvernement continue d’agir sur trois leviers complémentaires:

* Développer et moderniser l’outil de formation pour l’adapter aux besoins des entreprises et des territoires constitue le premier levier d’action. Ainsi, l’ensemble des Contrats d’Objectifs et de Moyens (COM) en faveur de Apprentissage pour 2011-2015 ont été signés. L’Etat consacre, sur 5 ans 1,75 milliard d’euros au développement de l’appareil de formation, à parité avec les régions. Grâce à cet effort partagé, 36,4% d’apprentis supplémentaires seront formés d’ici à 2015. Par ailleurs, le déploiement du Programme d’investissements d’avenir, doté de 500 millions d’euros, avance très bien: douze premiers projets vont bénéficier de 62,4 millions d’euros et permettront la création de 3 705 places en formation et de 557 places d’hébergement.
* La mobilisation des entreprises, deuxième levier d’action, se poursuit. Elle s’appuie sur deux aides à l’embauche dont bénéficient les entreprises depuis le 1er mars et qui ont été prolongées jusqu’au 30 juin 2012: à mi-décembre, près de 40 000 demandes d’aides ont été enregistrées. Elle s’appuie aussi sur la création d’un bonus-malus avec le relèvement du quota d’alternants de 3% à 4%, pour les entreprises de plus de 250 salariés, et sur la modulation de la contribution supplémentaire à l’apprentissage, qui prend en compte les efforts des entreprises.
* Changer le regard sur l’apprentissage constitue le troisième levier d’action afin d’inciter les jeunes et leurs familles à choisir ces formations. En complément de la campagne de communication de mai 2011, du lacement du service public dématérialisé de l’orientation tout au long de la vie le 6 décembre dernier, et du lancement de la carte « étudiant des métiers » le 16 décembre, une communication commune avec les Ministres de l’Apprentissage, de l’Education nationale et de l’Agriculture, en mars prochain, sera faite à l’ensemble du corps enseignant pour les sensibiliser à l’importance de présenter les formations en alternance offertes aux jeunes.
Les résultats observés sont à la hauteur de la forte mobilisation des forces vives de notre Nation (Etat, partenaires sociaux, réseaux consulaires, entreprises, formateurs…) qui se sont engagées avec détermination pour l’avenir de notre jeunesse. Cette mobilisation va se poursuivre et s’amplifier au plus près des territoires dans le cadre des SPEL (Services publics de l’emploi local) avec la détermination que mérite cette grande cause nationale.
Voir aussi Nadine Morano lance la carte d’étudiants des métiers, Lancement du service dématérialisé « Orientation pour tous », Faut-il encourager l’alternance dans l’enseignement supérieur, Réussir l’adéquation entre l’offre et la demande d’emploi, Le développement de l'alternance mérite la mobilisation générale, Nadine Morano lance la campagne de communication sur l’apprentissage, Marseille: un "service public de l'orientation", Les attributions de Nadine Morano, Création du ministère de l'apprentissage et de la formation professionnelle, Nadine Morano, nouvelle ministre chargée de l’apprentissage et de la formation professionnelle.
http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpg Nadine Morano, minister med ansvar for Læring og Uddannelse, som blev indført i januar 11 er meget opmuntrende resultater af udviklingsplan for vekslen, i Bobigny annonceret den 1. marts fra republikkens præsident, som har til formål at stige fra 600000 til 800000 af antallet af alternativer i 2015.
Specifikt, på trods af en særlig vanskelig økonomisk sammenhæng, mellem januar og november 2011, blev undersøgelsen kontrakter op 8,3% i samme periode i 2010.
I detaljer, steg antallet af lærlingekontrakter med 2,5%, og antallet af uddannelsen kontrakter steg med 19%. Mere...
22 janvier 2012

Des règles plus simples pour les SIEG poursuivant un objectif social

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)La Commission européenne considère que les services d'intérêt général ont un rôle clé à jouer dans l'économie de la connaissance dans le domaine des écoles, des centres de formation et des universités. Elle a adopté de nouvelles règles concernant les aides d’Etat aux services d'intérêt économique général (SIEG, base juridique du SPRF de Poitou-Charentes). Elle prévoit des règles plus simples pour les SIEG de faible montant, organisés au niveau local ou poursuivant un objectif social.
Tous les services sociaux seront désormais exemptés de l’obligation de notification à la Commission, quelle que soit le montant de la compensation c'est-à-dire des sommes versées au mandataire pour couvrir les coûts du service. Cela concernerait les SIEG qui répondent à des besoins sociaux notamment dans le domaine de l’accès au marché du travail et de la réinsertion ainsi que de « l'aide aux groupes vulnérables et de leur inclusion sociale ». Les autres SIEG ne devront pas être notifiés si le montant de la compensation est inférieur à 15 millions d'euros par an.
La Commission propose aussi de fixer, pour tous les autres services, un montant minimum de 500000 euros sur trois ans en-deçà duquel l'aide est réputée exempte de notification. Cette disposition réduira la charge administrative pour les SIEG de faible montant. Une procédure d’appel d’offres devra être mise en œuvre pour les autres SIEG donnant lieu à des montants de compensation supérieurs à 15 millions d’euros par an et comportant des risques accrus de distorsion de la concurrence au sein du marché intérieur.
Une décision finale sera arrêtée au printemps.
Lire la communication de la commission.
Voir aussi Face à la montée du chômage, les Régions tentent de trouver des solutions concrètes pour favoriser l’insertion des demandeurs d’emploi.

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Európska komisia sa domnieva, že všeobecné služby hrajú kľúčovú úlohu v ekonomike založenej na vedomostiach v školách, školiacich stredísk a vysokých škôl. Rada prijala nové pravidlá o štátnej pomoci na služby všeobecného hospodárskeho záujmu (SVHZ právny základ pre SPRF Poitou-Charentes). Poskytuje jednoduchšie pravidlá pre služby všeobecného hospodárskeho záujmu malých sumách, organizované na miestnej alebo sleduje sociálny cieľ.
Všetky sociálne služby sú teraz oslobodení od oznámenia Komisii, bez ohľadu na výšku náhrady, ktorá má hovoriť, že sumy vyplatené zástupcu na pokrytie nákladov na služby. Viac...

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