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Formation Continue du Supérieur

26 avril 2014

La mission Etalab - "Open data"

Qui sommes nous ?
La politique d'ouverture et de partage des données publiques ("Open data") est pilotée, sous l'autorité du Premier ministre, par la mission Etalab, dirigée par M. Henri Verdier. La mission Etalab fait partie du Secrétariat général pour la modernisation de l'action publique, dont la direction est assurée par M. Julien Rencki.
Les missions et le rôle d’Etalab pour la modernisation de l’action publique

Au sein du Secrétariat général pour la modernisation de l’action publique, Etalab coordonne l’action des services de l’Etat et de ses établissements publics pour faciliter la réutilisation la plus large possible de leurs informations publiques. Etalab administre le portail unique interministériel data.gouv.fr destiné à rassembler et à mettre à disposition librement l’ensemble des informations publiques de l’Etat, de ses établissements publics et, si elles le souhaitent, des collectivités territoriales et des personnes de droit public ou de droit privé chargées d’une mission de service public. Etalab poursuit la mise à disposition gratuite des données publiques, conformément au principe général de réutilisation libre, facile et gratuite fixé par la circulaire du Premier ministre du 26 mai 2011 relative à l’Open Data, en mettant l'accent sur les données à fort impact sociétal (santé, éducation, etc.) et/ou à fort potentiel d’innovation sociale et économique. Etalab collabore étroitement avec les services chargés de la modernisation de l’action publique, notamment ceux responsables de l’innovation au service des usagers et de la transformation numérique de l’Etat.
Les actions en faveur de la transparence et de l’ouverture des données publiques
Etalab, depuis sa création, a mis en ligne le portail national data.gouv.fr qui permet l’accès à plus de 355 000 informations publiques gratuites et réutilisables. En rendant, par exemple, accessibles les dépenses du budget de l'Etat à partir d’un seul fichier brut dans un format réutilisable ou la liste des biens immobiliers propriété de l’Etat, data.gouv.fr contribue à rendre des comptes aux citoyens sur le fonctionnement de l’Etat et de ses administrations en permettant une plus grande transparence de leur fonctionnement. Etalab a également rassemblé plus de 30 acteurs majeurs de l’innovation en France (grandes et petites entreprises, écoles d’ingénieurs, pôles de compétitivité, médias…) au sein d’une communauté appelée « Dataconnexions ». Dataconnexions encourage et soutient le développement de projets innovants de réutilisation de données publiques.
Nous contacter
Mission Etalab, Secrétariat général pour la modernisation de l’action publique
01 53 18 98 03 - directeur.etalab@modernisation.gouv.fr
Directeur
M. Henri Verdier
henri.verdier@modernisation.gouv.fr
Directrice Adjointe
Mme Laure Lucchesi
laure.lucchesi@modernisation.gouv.fr
Innovation et développement
M. Romain Lacombe, chargé de l’innovation et du développement
romain.lacombe@modernisation.gouv.fr
Affaires publiques et juridiques
M. Alexandre Quintard Kaigre, responsable des Affaires publiques et juridiques
alexandre.quintard@data.gouv.fr
Mme Suzanne Vergnolle, chargée de mission Affaires publiques et juridiques
suzanne.vergnolle@modernisation.gouv.fr
Pilotage technique et data.gouv.fr
M. Emmanuel Raviart, directeur technique
emmanuel.raviart@data.gouv.fr
Recensement des données publiques
M. Romain Talès, responsable du recensement des données publiques
romain.tales@modernisation.gouv.fr
Service de presse de Matignon
01 42 75 50 79

Plus d’informations

26 avril 2014

Joëlle Grille - Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international.
Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.

Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1
61-65 rue Dutot, 75732 Paris cedex 15
http://www.education.gouv.fr/pid25496/statistiques.html

La contribution de l'auteure

enseignement supérieur

18 la formation continue dans l'enseignement supérieur
En 2011, la formation continue dans l'enseignement supérieur a réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros en progression de 6 % par rapport à 2010. Elle représente donc 2 % du chiffre d'affaires de la formation professionnelle en France. Elle a accueilli 450 000 stagiaires, délivré 71 300 diplômes dont 48 000 diplômes nationaux. [lire la suite]

Les autres publications de l'auteure

Note d'information DEPP 13.20 - Croissance modérée de la formation continue universitaire en 2011 - - Septembre 2013
En 2011, les établissements supérieurs publics (universités, écoles, CNAM) ont réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros au titre de la formation continue pour un public composé de 448 000 stagiaires, avec un volume de 69 millions d'heures-stagiaires plutôt stable par rapport à 2010. Pour les universités, les trois quarts des recettes sont d'origines privées, dont la moitié est abondée par les entreprises qui restent ainsi le premier contributeur de la formation continue, pour un public composé de près d'un tiers de salariés. La part des fonds publics ne représente que 22 % des ressources, dont l'essentiel provient des régions (55 %). D'autres sources de financement abondent la formation continue universitaire, comme la vente de formation à d'autres prestataires. À l'université, plus de la moitié des stagiaires inscrits préparent un diplôme, soit un diplôme national (30 %), soit un diplôme d'université (22 %), pour un total de 71 000 diplômes délivrés dont 67 % de diplômes nationaux. Par ailleurs, la durée moyenne de formation se maintient à 143 heures, mais avec une baisse de 7 heures pour les salariés envoyés au titre du plan de formation (87 heures au lieu de 94). [Consulter cette publication]
RERS - 2013 - ouvrage collectif - 2013
Publication annuelle de la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, RERS présente un vaste ensemble d'indicateurs statistiques. Déclinée en plus de 180 thématiques, cette information constitue une référence pour toute réflexion sur l'évolution du système d'enseignement et de recherche français. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°6 - février 2013 - ouvrage collectif - Février 2013
La 6e édition de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche, ses évolutions, les moyens mis en oeuvre et leurs résultats. Ces données sont issues des services statistiques ministériels de différents ministères (MESR, MEN, MEFI) mais aussi d'autres organismes comme le CEREQ, l'OVE, l'INSEE, l'OST ou l'OCDE. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.22 - La formation continue universitaire en 2010 est dynamique - - Décembre 2012
La formation continue universitaire dispensée dans les universités, le Cnam et les écoles d'ingénieurs publiques compte 447 000 stagiaires en 2010, soit une hausse de 2 % par rapport à l'année précédente. Elle délivre 10 % des diplômes nationaux et s'affirme comme une voie de certification à part entière de l'enseignement supérieur. L'augmentation de 10 % du nombre de contrats de professionnalisation et l'allongement de la durée moyenne des stages pratiques en entreprises sont autant de signes manifestant le renforcement de la place prise par l'entreprise dans la formation continue à l'université. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°5 - décembre 2011 - ouvrage collectif - Décembre 2011
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme.
Financement, ressources humaines, accès au supérieur, parcours, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 42 fiches de la 5e édition (2011) de cet ouvrage.
[Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.08 - La formation continue universitaire accentue son caractère professionnalisant en 2008 - - Avril 2011
En 2008, la formation continue universitaire compte plus de 466 000 stagiaires, soit une hausse de 6 points par rapport à l'année précédente. Elle délivre 9 % des diplômes nationaux et s'affirme comme une voie de certification à part entière de l'enseignement supérieur. La formation continue universitaire accentue son caractère professionnalisant avec le doublement des contrats de professionnalisation et l'allongement de la durée des stages en entreprise. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.02 - Une présence plus affirmée des entreprises dans la formation continue universitaire entre 2003 et 2008 - - Janvier 2011
Depuis 2003, l'évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs salariés formés. En effet, la moitié des fonds qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises (96 millions d'euros) alors que leurs salariés ne représentent que le tiers des stagiaires (119 000). Parmi ces stagiaires, 81 % s'inscrivent au titre du plan de formation de leur entreprise, 11 % au titre d'un congé individuel de formation et 8 % au titre d'un contrat de professionnalisation. La loi du 4 mai 2004, relative à la formation professionnelle et au dialogue social, a donné un coup d'accélérateur aux contrats en alternance, principalement dans les instituts universitaires de technologie. L'approche régionale montre qu'en dépit de stratégies universitaires très différentes, la place des entreprises s'affirme à peu près partout au sein de la formation professionnelle universitaire. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°4 - décembre 2010 - ouvrage collectif - Décembre 2010
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 4e édition (2010) de cet ouvrage. [Consulter cette publication]
The state of Higher education and Research in France 4th edition - december 2010 - ouvrage collectif - December 2010
As in previous editions, this 4th edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.05 - La formation continue universitaire offre des stages de plus en plus courts en 2007. - - Mars 2010
En 2007, les établissements supérieurs publics ont réalisé un chiffre d'affaires de 323 millions d'euros au titre de la formation continue pour un public de 454 000 stagiaires, dont 77 % dans les universités. Le nombre de stagiaires sous contrat de professionnalisation a doublé depuis 2005. Les formations courtes sont en hausse (diplômes d'université), de même que les masters professionnels et les licences professionnelles. L'enseignement à distance, dont 16 % au CNAM, ne bénéficie qu'à une minorité de stagiaires. En encadrés : sources, champ et définitions. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°3 - décembre 2009 - ouvrage collectif - Décembre 2009
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets... sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 3e édition (2009) de cet ouvrage. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.06 - La formation continue universitaire connaît un bilan positif en 2006. - - Avril 2009
En 2006, 429 000 stagiaires ont suivi un stage de formation continue dans un établissement d'enseignement supérieur public, dont 81% dans les universités. Les employeurs sont les principaux financeurs de la formation continue auprès des universités. On constate une forte augmentation des inscrits en formations courtes ; la préférence se confirme pour les diplômes nationaux, dont plus d'un tiers sont de niveau 2 (licences professionnelles) et près d'un tiers de niveau 1 (masters professionnels). En encadrés : sources, champ et définitions ; zoom sur l'activité propre des IUT en formation continue. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°2 - décembre 2008 - ouvrage collectif - Décembre 2008
Cette deuxième édition, revue et enrichie, témoigne de l'intérêt que la France porte à ces deux leviers indispensables et indissociables de toute croissance que sont l'Enseignement supérieur et la Recherche en faisant le pari de l'intelligence, de la compétitivité et de l'innovation. Dans sa conception même, l'ouvrage se veut à la fois clair, facile d'accès, transparent. Il est par nature un outil d'information à disposition du public, des usagers. Il rend compte des politiques publiques, des choix stratégiques faits pour la Nation. Il a vocation également à être un outil de pilotage pour les décideurs. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 08.07 - L'activité de la formation continue universitaire fléchit en 2005 ; 2 - Diplômes délivrés et chiffre d'affaires. - - Janvier 2008
En 2005, 47 000 diplômes ont été délivrés par les universités, dont plus de la moitié sont des diplômes nationaux. En 2005-5006, le réseau CNAM a délivré 8000 diplômes, dont 44 % dans les domaines économie-gestion et 27 % dans ceux des sciences et techniques de l'information et de la communication. Le chiffre d'affaires des universités a diminué de 1 %, mais celui du réseau CNAM a augmenté (2 %). En encadré : sources. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°1 - novembre 2007 - ouvrage collectif - Novembre 2007
Cette première édition de « L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche », loin de se résumer à un état des lieux d'un système a vocation à devenir un outil d'information à l'usage de tous les citoyens. Illustrant les choix politiques et stratégiques faits pour la Nation, il rend compte de l'efficacité des politiques publiques dans un souci de transparence : démocratisation de l'enseignement supérieur, réussite à l'université, devenir des étudiants, effort de recherche, production scientifique, situation des personnels… [Consulter cette publication]
The state of Higher education and Research in France 1st edition - november 2007 - ouvrage collectif - November 2007
The first edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
Note d'information DEPP 07.29 - La place de la formation continue universitaire s'affirme entre 2002 et 2004. - - Juin 2007
En 2004, la formation continue dans l'enseignement supérieur accueille 427 000 stagiaires, dont une part toujours plus grande de demandeurs d'emploi et d'individuels payants. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2002 et 2004, la répartition des stagiaires par type de statut, les diplômes délivrés en formation continue, les publics de particuliers inscrits aux conférences inter-âges, les vingt premières universités qui proposent des formations à distance, la répartition des stagiaires selon les spécialités de formation en 2002-2004 dans les universités (y compris IUT et INP), la répartition des recettes de la formation continue dans les universités et INP, écoles et CNAM (en %). En graphiques : répartition des stagiaires selon le type de formations dans les universités, évolution de la durée de formation par statut des stagiaires des universités entre 2002 et 2004. En encadré : le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 05.06 - La formation continue universitaire consacre une part toujours plus importante aux formations diplômantes. - - Février 2005
En 2002, 325 000 stagiaires ont été formés en formation continue dans l'enseignement supérieur. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2001 et 2002, l'évolution du nombre de stagiaires par université, leur répartition, en 2002, selon leur statut (salariés, demandeurs d'emploi ou particuliers), la répartition des types de diplômes délivrés ; selon les régions : le nombre de stagiaires, heures-stagiaires en formations à distance, la part des fonds régionaux dans le chiffre d'affaires de la formation continue universitaire ; les universités, grands établissements et écoles publiques d'ingénieurs sont classés selon leur chiffre d'affaires. Quatre graphiques illustrent la répartition des stagiaires selon le type de formation, la part des stagiaires inscrits dans des formations diplômantes selon les régions, l'évolution entre 2001 et 2002 de la durée moyenne des formations, la part des différentes sources de financement. En encadré : le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 00.27 - La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de l'Education nationale. 2. La production de certification en 1998. - & - Août 2000
Répartition des actions de formation continue dans les établissements publics d'enseignement supérieur selon la nature et le niveau de formation en 1998. Nombre de diplômes nationaux et types de diplômes délivrés en 1997 et 1998. Diplômes d'établissements délivrés selon le niveau pour ces deux années. Répartition des diplômes délivrés selon leur nature et le statut des établissements en 1997 et 1998. Définitions et sources. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 99.10 - La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur en 1996. - & - Avril 1999
Origine des ressources pour la formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur, par type d'établissement. Chiffre d'affaires de formation continue des universités et INP. Répartition des stagiaires et des heures-stagiaires selon le dispositif et suivant le type de stagiaires. Répartition des actions selon la nature de l'action et le niveau de formation. Diplômes délivrés en formation continue : par les universités et INP, selon le niveau de diplôme et la filière disciplinaire ; par les IUT selon le département d'enseignement ; par le CNAM selon le type de diplôme, son niveau et la spécialité. Encadrés : l'organisation de la formation continue universitaire ; le réseau du CNAM ; le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]

Les publications de sa structure

Trente ans de vie économique et sociale - INSEE références - Edition 2014 - Scolarisation et origines sociales depuis les années 1980 : progrès et limites - ouvrage collectif - Janvier 2014
En 30 ans, l'espérance de scolarisation à 15 ans a fortement augmenté (de 4,7 ans à 6,5 ans) avant de se stabiliser avec la baisse des redoublements. Le niveau d'études s'est nettement élevé. À leur sortie des études, plus de quatre jeunes sur dix ont en poche un diplôme de l'enseignement supérieur, contre moins de deux sur dix il y a 30 ans. Moins de jeunes quittent l'école sans diplôme, mais cela reste fréquent, surtout dans les milieux défavorisés. La généralisation de l'accès au baccalauréat, dans tous les milieux sociaux, masque une grande hétérogénéité des types de baccalauréat obtenu, plus souvent professionnels en bas de l'échelle sociale et généraux en haut. Ces différences se retrouvent dans l'enseignement supérieur, avec des poursuites d'études courtes plus fréquentes (BTS-DUT) pour les jeunes moins favorisés. Pour les jeunes sans diplôme, l'insertion professionnelle est difficile. Fin 2010, à leur arrivée sur le marché du travail, près de la moitié d'entre eux se retrouve au chômage. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.29 - La validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les établissements d'enseignement supérieur de 2002 à 2011 - - Décembre 2013
Après une montée en charge jusqu'au milieu des années 2000, le nombre total de diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités et le Cnam se stabilise. Par contre, la part des validations totales sur l'ensemble des validations accordées (pour tout ou partie de diplôme) en VAE continue de croître. Parmi les diplômes octroyés, en tout ou partie, dans le cadre d'une VAE du supérieur, les licences ont très largement augmenté. Elles représentent aujourd'hui près de la moitié des diplômes attribués. Cette croissance a été fortement portée par le développement de la licence professionnelle. Enfin, avec la mise en place des cursus licence-master-doctorat (LMD) à partir de 2003, la structure des diplômes change : la part des « master ou plus » double entre 2002 et 2011, passant de 22 % à 45 %. [Consulter cette publication]
État de l'École n°23 - 30 indicateurs sur le système éducatif - ouvrage collectif - Octobre 2013
Cette vingt-troisième édition de L'état de l'École propose une analyse synthétique des coûts, des activités et des résultats du système éducatif français. Elle en observe les évolutions et apporte l'éclairage des comparaisons internationales. Elle contribue à actualiser le jugement que nous pouvons porter sur notre École, au moment où sa refondation s'affirme comme une priorité de l'action gouvernementale. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.22 - Le supérieur : moteur de la croissance de l'apprentissage en 2010 et 2011 - - Octobre 2013
Au 31 décembre 2011, les centres de formation d'apprentis accueillent 436 300 apprentis, soit une hausse de 2,4 % par rapport à 2010. Cette évolution est la résultante de deux mouvements contraires : la baisse des effectifs d'apprentis dans le secondaire et l'essor de ceux dans le supérieur. Ceci a pour conséquence de modifier le public concerné avec une augmentation de l'âge moyen des apprentis et une hausse de la part des filles, les formations du supérieur étant plus tournées vers les spécialités des services, plus féminisées. L'autre conséquence concerne l'Île-de-France avec une augmentation de 4,8 % des effectifs. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.31 - La validation des acquis de l'expérience dans le supérieur en 2011 - - Décembre 2012
La validation des acquis de l'expérience (VAE) permet à 4 000 personnes d'obtenir tout ou partie d'un diplôme ou titre de l'enseignement supérieur. Le master et la licence professionnelle restent les diplômes les plus recherchés. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.30 - Diplômes technologiques et professionnels : 21 000 dossiers VAE en 2011 - - Décembre 2012
L'activité de validation des acquis de l'expérience (VAE) pour les diplômes technologiques et professionnels progresse de 4 % en 2011, après le recul de 10 % enregistré entre 2009 et 2010. Cette hausse s'explique en partie par l'introduction de deux nouveaux diplômes sur le marché de la VAE. [Consulter cette publication]
Géographie de l'école n°10 - mai 2011 - ouvrage collectif - Mai 2011
Cette publication vise à repérer les disparités géographiques du système de formation français, en référence au principe d'assurer à tous les jeunes l'acquisition d'une culture générale et d'une qualification reconnue, quelle que soit leur origine sociale, culturelle ou géographique. Trente ans après les premières lois de décentralisation, elle montre la diversité des contextes éducatifs sur notre territoire national et replace les transformations en cours dans leur profondeur historique [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.03 - La validation des acquis dans les établissements de l'enseignement supérieur en 2009 - - Janvier 2011
Depuis 2007, le nombre total de diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE) par les universités et le CNAM est stable avec environ 4 100 validations annuelles. En 2009, pour plus de la moitié, les VAE octroyées sont des validations totales (2 200) ; pour le reste, ce sont des validations d'une partie d'un diplôme (1 900). Le nombre de validations délivrées en totalité sur l'ensemble de ces établissements oscille autour de 2 000 depuis 2007. En 2009, la part des diplômes complets atteint son plus haut niveau (53,1 %), depuis la mise en place du dispositif (loi 2002). Les diplômes les plus recherchés sont la licence professionnelle, en fort développement, talonnée de près par le master. Les grands champs disciplinaires regroupant le plus de demandes restent "les sciences économiques, la gestion et l'administration économique et sociale". [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.01 - La croissance de l'apprentissage marque une pause en 2008 et 2009 - & - Janvier 2011
Au 31 décembre 2009, 424 750 jeunes préparent un diplôme en apprentissage, soit une baisse de 0,7 % par rapport à la rentrée précédente. En 2008, la croissance des effectifs avait déjà ralenti (+ 0,6 %), après plusieurs années de développement rapide. Cette contraction résulte à la fois d'un contexte économique défavorable qui pénalise l'alternance dans son ensemble et de la réforme du baccalauréat professionnel. Seules les formations de niveau bac + 4 et plus restent très dynamiques, avec des taux de croissance supérieurs à 10 % par an. Sur ces deux années, les spécialités du bâtiment, du bois et de la mécanique perdent le plus d'apprentis, tandis que celles de l'agriculture et de l'alimentation ne sont pas affectées par ces conditions difficiles. Les évolutions régionales sont également contrastées : les effectifs baissent dans la moitié des académies. Enfin, la réussite des apprentis aux principaux examens varie de 90 % au baccalauréat professionnel à 70 % en BTS à la session 2009. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.09 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2008. - - Mai 2010
Marqué par un essor rapide en début de période (loi de janvier 2002), le nombre total de VAE délivrées stagne depuis 2006. La part que représentent les diplômes complets accordés reste croissante. Les diplômes les plus recherchés sont les masters et la licence professionnelle. Les sciences économiques, la gestion et l'AES regroupent le plus de demandes. En encadrés : source ; l'accompagnement en VAE, les dispositifs de validation des acquis, la VAP 85. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.16 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2007. - - Juin 2009
En 2007, à l'université et au CNAM, 4 200 personnes ont bénéficié de la validation des acquis de l'expérience pour obtenir tout ou partie de diplôme. Cinq tableaux donnent : la répartition de la validation des acquis de l'expérience dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2007, des bénéficiaires selon les différents diplômes obtenus, selon les disciplines, entre les différents diplômes accordés selon l'âge, les validations des acquis professionnels dans les universités et au CNAM. En graphiques : évolution de la VAE de 2002 à 2007, évolution de la répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi ou selon la catégorie socioprofessionnelle. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.14 - le développement de la validation des acquis de l'expérience marque une pause en 2007. - - Mai 2009
En 2007, 21 967 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'Éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés, soit 1,4 % de moins qu'en 2006. Un candidat sur trois a bénéficié d'un accompagnement dans sa démarche. Le BTS est le diplôme le plus recherché et 58,5 % des candidats l'obtiennent. Un tableau présente les 35 diplômes les plus demandés : le CAP petite enfance est choisi par 14,5 % des candidats. En encadré : définition. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.43 - Du CAP au BTS : la validation des acquis de l'expérience poursuit son développement en 2006. - - Décembre 2007
En 2006, 22 284 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'Éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés, soit près de 4 % de plus qu'en 2005. Un candidat sur trois recherche un BTS et l'obtient dans 58 % des cas ; les diplômes de niveau V (CAP-BEP) occupent une place moins importante, mais sept candidats sur dix à un CAP obtiennent leur diplôme complet. 7 tableaux donnent : le bilan de l'activité des DAVA (dispositif académique de validation des acquis) de 1995 à 2006, le nombre total de dossiers examinés par un jury de 2000 à 2006, la répartition des dossiers examinés selon les caractéristiques des candidats (sexe, âge) entre 2002 et 2006, selon le diplôme postulé ; en 2006 : répartition par diplôme des candidats selon qu'ils ont obtenu le diplôme complet ou une partie du diplôme, les diplômes les plus demandés en VAE, les résultats par académie. En graphique : candidats à la VAE ayant bénéficié d'un accompagnement de la part de l'Éducation nationale de 1995 à 2006. En encadré : définition. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.39 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2006. - - Novembre 2007
En 2006, dans l'enseignement supérieur, 1842 diplômes ont été octroyés dans leur totalité au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE). Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2006, la validation des acquis dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2006, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2006, évolution de 2002 à 2006 (répartition entre VAE et diplômes complets), répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.08 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2005. - - Février 2007
En 2005, dans l'enseignement supérieur, la validation des acquis de l'expérience (VAE) confirme sa progression avec une hausse de 21,3 % de validations délivrées. Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2005, la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2005, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2005, répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]

Les publications de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

Note d'information DEPP 14.01 - La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l'enseignement scolaire ou supérieur en France et dans l'OCDE - - Janvier 2014
En 2010, le coût théorique du parcours d'un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l'OCDE. Il est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire : il dépend d'une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d'autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.28 - Le coût de l'éducation en 2012, évaluation provisoire du compte - & - Novembre 2013
En 2012, la France a consacré 139,4 milliards d'euros à son système éducatif, soit une hausse de 2 % par an en euros constants depuis 1980. Cela représente 2 130 euros par habitant et près de 7 % du PIB, taux comparable à celui de 2006. L'État reste le premier financeur de l'éducation (58 %) devant les collectivités territoriales (25 %) dont la part a augmenté de plus de 3 points depuis 2006. En 2012, la dépense moyenne pour un élève ou un étudiant est de 8 330 euros.
Elle s'élève avec le niveau, allant de 6 010 € pour un écolier à 11 740 € pour un étudiant.
Depuis 2006, alors que le coût d'un élève de l'enseignement scolaire a peu évolué, celui d'un étudiant a crû de près de 10 points.
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Note d'information DEPP 13.14 - Résultats provisoires du baccalauréat 2013 - & - Juillet 2013
À résultats en baisse, porte la part d'une génération obtenant le baccalaréat à 77,5 % contre la session de juin 2012, avec 84,5 % d'admis en France métropolitaine et dans les DOM hors Mayotte, le taux de réussite global au baccalauréat présente une légère baisse (- 1,1 pt) par rapport à la session 2011. Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 1,4 et de 1 point tandis que celui du baccalauréat professionnel est en baisse de 5,6 points en 2012.
Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 89,6 % dans la voie générale, 83,4 % dans la voie technologique et 78,2 % dans la voie professionnelle. L'année 2012 a encore connu une forte progression du nombre des candidats au baccalauréat professionnel (+ 28 %) qui, malgré des 71,6 % l'an dernier. À la session de juin 2013, avec 86,8 % d'admis, le taux de réussite global au baccalauréat en France est en hausse (2,4 points) par rapport à la session 2012.
Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 2,4 et de 3,3 points. Les résultats du baccalauréat professionnel se stabilisent en 2013 (+ 0,5 point) après trois ans de forte baisse. Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 91,9 % dans la voie générale, 86,4 % dans la voie technologique et 78,6 % dans la voie professionnelle.
La réforme de la voie professionnelle étant achevée, le nombre des candidats au baccalauréat professionnel baisse de 17 % en 2013 (- 40 300) ce qui réduit la part d'une génération obtenant ce baccalauréat à 19,9 % contre 23,6 % l'an dernier. Au total, la part des bacheliers 2013 dans une génération est ramenée à 73,1 % contre 76,4 % en 2012.
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Note d'information SIES 13.06 - Dépenses de recherche et développement en France en 2011 - Premières estimations pour 2012 - & - Juillet 2013
En 2011, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 45,0 milliards d'euros, en hausse de 2,3 % en volume par rapport à 2010. L'augmentation de la DIRD résulte d'une forte progression des dépenses de recherche et développement (R&D) des entreprises. Ces dernières ont contribué à hauteur de 2,2 points de pourcentage à l'évolution de la DIRD, les administrations ayant contribué pour 0,1 point. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.02 - Résultats définitifs de la session 2012 du baccalauréat - - Mars 2013
Avec 721 800 candidats et 609 900 lauréats, le taux de réussite à la session 2012 du baccalauréat s'élève à 84,5 % : 89,6 % dans la voie générale, 83,2 % dans la voie technologique et 78,4 % dans la voie professionnelle.
Les candidats sous statut scolaire, en formation continue ou en apprentissage réussissent mieux que les autres candidats.
Les filles, ainsi que les candidats les plus jeunes, obtiennent de meilleurs résultats.
La généralisation de la réforme de la voie professionnelle a conduit à une augmentation conjoncturelle des effectifs des candidats et des lauréats de cette voie (+ 57 600 candidats et + 34 800 lauréats en un an).
Dans ce contexte, la proportion de bacheliers dans une génération augmente de 5,7 points par rapport à 2011 pour atteindre 76,7 %.
La réforme de la voie professionnelle aura eu pour effet de porter la part des bacheliers professionnels dans une génération à plus de 20 %.
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Note d'information DEPP 12.29 - La dépense par élève ou étudiant en France et dans l'OCDE - , & - Décembre 2012
En France, la dépense moyenne d'éducation par élève ou étudiant est estimée à 8 250 euros en 2011. L'État assure l'essentiel de la dépense moyenne d'éducation, alors qu'au niveau de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays dans la moyenne de l'OCDE. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.17 - Coût de l'éducation en 2011 - Évaluation provisoire du compte - & - Novembre 2012
La dépense intérieure d'éducation est estimée à 137,4 milliards d'euros en 2011. Cela représente une baisse de 0,4 % par rapport à l'année précédente, en euros constants. L'effort consenti par la collectivité nationale pour le fonctionnement et le développement du système éducatif correspond à 6,9 % du produit intérieur brut. En 2009, selon les dernières statistiques internationales disponibles, cet effort est légèrement plus important en France que dans la moyenne des pays de l' OCDE (+ 0,1 point). [Consulter cette publication]
État de l'École n°22 - 31 indicateurs sur le système éducatif - Michel Quéré (dir.) & Paul Esquieu - Octobre 2012
Le développement des indicateurs et des études au niveau international (OCDE, Eurostat, Unesco), la définition d'objectifs communs pour les systèmes éducatifs européens, les objectifs assortis à la mise en place en France de la loi organique relative aux lois de finances (Lolf) et l'ambition réaffirmée que tout jeune parvienne à la maîtrise d'un socle commun de connaissances et de compétences au terme de sa scolarité obligatoire incitent à suivre régulièrement les efforts entrepris en matière d'éducation et de formation, les résultats obtenus ainsi que les progrès qui restent à accomplir.
Les moyens mis au service de notre système éducatif, son activité, son fonctionnement, ses résultats, internes comme externes, ont constitué, dès la première édition de 1991, la structure d'analyse des indicateurs synthétiques rassemblés dans l'état de l'École, avec le souci de fournir à la fois des évolutions dans le temps et des comparaisons dans l'espace.
Cette 22ème édition poursuit cette démarche.
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Note d'information SIES 12.11 - Dépenses de recherche et développement en 2010 - Premières estimations pour 2011 - & - Août 2012
En 2010, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 43,4 milliards d'euros, en hausse de 2,8 % en volume par rapport à 2009. L'augmentation de la DIRD résulte d'une progression soutenue des dépenses de recherche et développement (R&D) des entreprises. Ces dernières ont contribué à hauteur de 1,65 point de pourcentage à l'évolution de la DIRD, les administrations ayant contribué pour 1,15 point. L'effort de recherche de la nation, mesuré en rapportant la DIRD au produit intérieur brut, s'élève à 2,24 % en 2010. Il devrait se maintenir à 2,25 % en 2011. En raison d'un léger ralentissement des dépenses des administrations, la DIRD augmenterait en 2011 à un rythme moins élevé (+ 2,2 % en volume), mais sa progression resterait supérieure à celle du PIB (+ 1,7 % en volume). En 2010, les activités de R&D dans les entreprises et dans les administrations mobilisent 393 000 personnes en équivalent temps plein. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.21 - Coût de l'Éducation en 2009 Évaluation provisoire du compte - & - Décembre 2011

En 2009, la France a consacré 132,1 milliards d'euros à son système éducatif, soit une dépense en hausse de 1,3 % (en euros constants) après trois années de stabilité. Cela représente 6,9 % du PIB et 2 050 euros par habitant.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7 990 euros : 5 690 euros pour un écolier, 9 380 pour un élève de l'enseignement secondaire, 11 260 pour un étudiant. La part du secondaire (42,0 %) dans la dépense intérieure d'éducation (DIE) tend à décroître, celle du supérieur (19,9 %) progresse de 2,3 points depuis 2005.
L'État reste le premier financeur de l'éducation (59,2 %), devant les collectivités territoriales (24,6 %) dont la part a augmenté de 4 points depuis 2005. Avec 6,0 % de son PIB consacré à l'éducation en 2007, la France se situait 0,3 point au-dessus de la moyenne des pays de l'OCDE sur un champ restreint ne comprenant pas la formation continue (données internationales 2007 publiées en 2010).
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26 avril 2014

La formation continue dans l'enseignement supérieur français

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
18 la formation continue dans l'enseignement supérieur
En 2011, la formation continue dans l'enseignement supérieur a réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros en progression de 6 % par rapport à 2010. Elle représente donc 2 % du chiffre d'affaires de la formation professionnelle en France. Elle a accueilli 450 000 stagiaires, délivré 71 300 diplômes dont 48 000 diplômes nationaux.
En 2011, si la formation continue dans l'enseignement supérieur accroît son chiffre d'affaires de 6 % elle connaît une stabilité du nombre de stagiaires (448 000), par rapport à 2010 (tableau 18.01). En termes de chiffre d'affaires, elle occupe une place très modeste au sein de la formation professionnelle en France (2 % du chiffre d'affaires total de 2010). Les fonds privés, entreprises ou particuliers, représentent 65 % des ressources des établissements en matière de formation professionnelle - leur part atteint même 71 % dans les universités - alors que les fonds publics régressent à 27 % et même à 22 % dans les universités (tableau 18.02).
Les formations proposées par les universités progressent en chiffre d'affaires de 6 % et de 1 % pour le nombre de stagiaires et le volume d'heures-stagiaires. Le CNAM connaît une hausse de 5 % du nombre d'heures stagiaires pour un nombre inchangé d'auditeurs et pour un chiffre d'affaires qui augmente de 4 %. Après redressement, la durée moyenne des stages reste à 152 heures comme en 2010.
Les IUT ne forment que 5 % du nombre de stagiaires de formation continue des universités (24 000) mais représentent 15 % des inscrits à la préparation d'un diplôme national et 52 % des contrats de professionnalisation signés avec l'université.
En 2011, 340 000 stagiaires étaient inscrits en formation continue à l'université dont 69 000 au titre des conférences inter-âges. Sans les inter-âges, sur les 271 000 inscrits restant, la part des salariés stagiaires inscrits à divers titres (plan de formation, contrat de professionnalisation ou congé individuel de formation) reste stable avec 45 %, et celle des demandeurs d'emploi 14 % (graphique 18.03) alors que la part des stagiaires payants inscrits à leur initiative (particuliers hors inter-âges) gagne deux points (31 %). Les stagiaires demandeurs d'emploi sans aucune aide représentent près du tiers des demandeurs d'emploi.
En 2011, plus de la moitié des stagiaires préparent soit un diplôme ou un titre national (30 %) soit un diplôme d'université (22 %), ce qui représente une consolidation des formations diplômantes longues. Les stages courts qualifiants, d'une durée moyenne de 27 heures, attirent 23 % des inscrits et la fréquentation des conférences à caractère culturel représente 21 % des inscrits.
Le nombre des diplômes délivrés dans le cadre de la formation continue universitaire a augmenté de 5 % en 2011. Sur les 71 400 diplômes délivrés, 67 % sont des diplômes nationaux (47 800). Parmi ceux-ci, 44 % sont de niveau II (licences générales, licences professionnelles et maîtrises), 35 % de niveau I (master et diplômes d'ingénieur), 12 % de niveau IV et 9 % de niveau III, essentiellement des diplômes universitaires de technologie (DUT) (tableau 18.04). En 2011, la part des diplômes de formation continue dans l'ensemble des diplômes délivrés par les universités s'établit à 10 % comme en 2010. Cette part dépasse 25 % en licence professionnelle.
La validation des acquis de l'expérience constitue un autre moyen d'acquérir un diplôme en faisant valoir son expérience professionnelle. Depuis 2002, ce dispositif se développe dans l'enseignement supérieur (universités et CNAM) en plus de la validation des acquis professionnels (décret de 1985) qui permet d'accéder à une formation par une dispense du titre normalement requis. En 2011, environ 4 000 validations ont été délivrées pour obtenir tout ou partie d'un diplôme dont 2 400 diplômes complets. Joëlle Grille.

Source : MENESR-DEPP.

Champ : France entière (métropole, DOM, Polynésie Française et Nouvelle Calédonie). Tous les établissements supérieurs sous tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et dont la mission est de proposer des formations d'enseignement supérieur sont concernés. Les universités et leurs composantes, les INP, les universités de technologie, constituent la catégorie « Universités ». L'INALCO et les IEP de Paris et de province et l'IAE de Paris ainsi que les écoles d'ingénieurs rattachées, les Écoles normales supérieures et quelques grands établissements, les écoles et instituts extérieurs aux universités, entrent également dans le champ de l'enquête sous la catégorie « Autres EPSCP et EPA ». La troisième catégorie se compose du CNAM et de ces centres régionaux affiliés au sein de l'ARCNAM..

Stagiaire : la notion de stagiaire correspond à une inscription et non pas à une personne physique. Une personne physique peut être inscrite à plusieurs formations et compter comme autant de stagiaires.

Heures-stagiaires : unité de mesure, nombre de stagiaires multiplié par la durée moyenne des stages.

26 avril 2014

L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.

Accès direct aux éditions :

Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°7 - Mars 2014
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°6 - Février 2013
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°5 - Décembre 2011
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°4 - Décembre 2010
Cover of The state of higher education and research in France fourth edition - December 2010
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°3 - Décembre 2009
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°2 - Décembre 2008
Couverture de la publication l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°1 - Novembre 2007
Cover of The state of higher education and research in France first edition - November 2007
26 avril 2014

La parité dans l'enseignement supérieur

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
24 la parité dans l'enseignement supérieur
Les femmes, plus nombreuses que les hommes dans l'enseignement supérieur (56 %), s'inscrivent moins souvent dans les filières sélectives ou scientifiques et sont minoritaires en cursus Doctorat. Leur taux de chômage trois ans après leur sortie est peu supérieur à celui des hommes, mais leurs conditions d'emploi sont moins favorables. Un peu plus d'un tiers des enseignants-chercheurs sont des femmes.
Après une scolarité pendant laquelle elles ont de meilleurs résultats que les garçons, les filles sont plus nombreuses à obtenir le baccalauréat : en 2012 dans une génération, 79,2 % des filles l'obtiennent contre 74,3 % des garçons. Parmi les admis au baccalauréat général, 56 % sont des filles (graphique 24.01). Or les bacheliers généraux poursuivent plus souvent leurs études dans l'enseignement supérieur que les autres bacheliers (95 % contre 85 % des bacheliers technologiques et 47 % des bacheliers professionnels), selon le panel de bacheliers 2008.
Ainsi, en 2008, 90 % des bachelières ont poursuivi leurs études après le bac contre 86 % des garçons. Elles n'ont pas choisi les mêmes filières : 36 % d'entre elles s'inscrivent en licence contre 25 % des garçons, et 8 % en PACES contre 6 % des garçons. À l'inverse, elles choisissent moins souvent des filières sélectives comme les CPGE (7 % contre 12 %), les IUT (6 % contre 12 %) ou les BTS (21 % contre 26 %). À l'université, elles s'inscrivent deux à trois fois plus souvent en lettres, arts, langues ou sciences humaines.
La mixité des formations de l'enseignement supérieur est par conséquent très variable : alors qu'en 2012- 2013 elles représentent 56 % des inscrits, les femmes sont à peine plus de la moitié en STS, 40 % en IUT, et 42 % en CPGE (graphique 24.02). Elles ne sont que 27 % à préparer un diplôme d'ingénieur (mais elles étaient 23,5 % en 2002-2003). À l'inverse, les formations paramédicales et sociales comprennent 84 % de femmes. À l'université, elles sont 70 % dans les filières lettres, sciences humaines mais seulement 37 % en sciences et STAPS. Alors qu'elles représentent 57 % des inscrits en cursus licence et en cursus master, elles ne sont plus que 48 % en doctorat (et moins d'un tiers des habilitations à diriger des recherches (HDR) délivrées en 2011) (graphique 24.03).
On estime qu'en 2011, 46,9 %1 des jeunes sont titulaires d'au moins un diplôme de l'enseignement supérieur. Cette proportion est de 53,8 % pour les femmes et de 40,1 % pour les hommes. En 2008, ces proportions étaient de 51,6 % contre 37,9 %.
En 2010, trois ans après leur sortie de l'enseignement supérieur, les femmes sont un peu plus souvent au chômage que les hommes (tableau 24.04). La différence est plus marquée aux niveaux Bac + 4 et Bac + 5 (diplômés et non-diplômés compris), où les hommes sortent plus souvent d'une école d'ingénieur et les femmes des filières littéraires, artistiques ou de sciences humaines de l'université. Dans l'ensemble, les femmes sorties de l'enseignement supérieur ont moins souvent une trajectoire d'accès rapide et durable à l'emploi (67 % contre 72 %), ont moins souvent un emploi à durée indéterminée (mêmes proportions), travaillent plus souvent à temps partiel (13 % contre 6 % des hommes), et sont moins souvent cadres (24 % contre 37 %).
En 2011-2012, les femmes représentent 35,3 % des enseignants-chercheurs de l'enseignement supérieur du secteur public. Cette part était de 30,5 % dix ans plus tôt. Elles sont plus nombreuses parmi les maîtres de conférences (42,8 %) que parmi les professeurs (21,4 %). Ces parts sont en progression d'environ 0,5 point par an depuis 1980, où elles étaient respectivement de 22,9 % et de 8,6 % (graphique 24.05). Christophe Jaggers.

1 Ce nombre est obtenu en calculant pour chaque âge le rapport des lauréats à la population totale de cet âge, et en faisant la somme de ces taux par âge.

26 avril 2014

Les étudiants handicapés dans l'enseignement supérieur

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
23 les étudiants handicapés dans l'enseignement supérieur
À la rentrée 2012, près de 15 900 étudiants des universités, STS et CPGE publics se déclarent handicapés et bénéficient d'une aide ou d'un suivi. 90 % d'entre eux sont inscrits à l'université. Leur nombre a doublé en 6 ans ; ils bénéficient en effet d'aides plus nombreuses et mieux connues qui leur permettent de ne pas rester à l'écart du mouvement général d'allongement des études. Néanmoins, ils se concentrent en Licence et leur présence décline au fil des cursus.
À la rentrée 2012, 15 900 étudiants se déclarent handicapés dans les lycées publics et privés sous contrat et dans les établissements publics sous tutelle du ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. 90 % d'entre eux sont inscrits à l'université (tableau 23.01) et bénéficient d'une aide ou d'un suivi à ce titre. Le nombre de ces derniers a doublé ces 5 dernières années (graphique 23.02). Mouvement général d'allongement de la durée des études, diversification et meilleure connaissance des dispositifs d'aide expliquent cette progression.
Depuis la rentrée 2006, conformément aux dispositions de l'article 20 de la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, les établissements d'enseignement supérieur sont chargés de mettre en place toutes les aides et accompagnements nécessaires aux étudiants handicapés pour la réussite de leurs études: accompagnement, soutien pédagogique, tutorat, aide technique, aménagement des cursus et des conditions de passation des examens.
Mais, dans les universités, la répartition des étudiants handicapés recensés se distingue de celle de l'ensemble des étudiants (graphique 23.03). Ils se concentrent en licence et deviennent moins nombreux au fil du cursus universitaire. Des poursuites d'études plus fréquentes et des dispositifs d'aide plus nombreux et mieux connus expliquent la progression du nombre d'étudiants handicapés en licence, plus rapide à ce niveau (graphique 23.04).
Dans ces établissements, les étudiants handicapés s'inscrivent plus fréquemment en Lettres, Langues, Sciences humaines ou dans les formations professionnelles courtes (DUT). On les trouve moins fréquemment dans les filières de Droit, Économie, Gestion et Santé (graphique 23.05). Nature du handicap et disciplines de formation sont liées. En Lettres, Langues et Sciences humaines les étudiants présentant des troubles spécifiques du langage sont ainsi sous-représentés tandis que ceux affectés de troubles psychiques y sont surreprésentés.
Pour compenser leurs handicaps, notamment pour le passage des examens et des concours, et favoriser le bon déroulement de leur parcours de formation, des aides spécifiques diversifiées sont apportées aux étudiants handicapés. Plus de la moitié d'entre eux (54,2 %) bénéficient d'une aide humaine (preneur de notes, interprète, codeur, soutien spécifique). Plus des trois quarts (77,9 %) bénéficient, lors des examens (tableau 23.06), d'un aménagement des modalités de passation (supports adaptés, documents en braille, interprète en langue des signes française, codeur en langage parlé complété, temps majoré). Un suivi spécifique par un référent handicap au sein de leur établissement est proposé à deux étudiants handicapés sur trois. Annie Bretagnolle.

26 avril 2014

Le début de carrière des jeunes sortant de l'enseignement supérieur

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
22 le début de carrière des jeunes sortant de l'enseignement supérieur
En 2011, 5 % des jeunes sortis de l'enseignement supérieur en 2004 sont au chômage alors que le taux de chômage des jeunes sortis du système éducatif en 2004 atteint 11 % en 2011. Mais, au sein de l'enseignement supérieur, les conditions d'insertion sur le marché du travail restent hétérogènes : avantage aux diplômés des écoles de commerce et d'ingénieurs et aux titulaires de diplômes universitaires à visée professionnelle.
Près de 365 000 jeunes sont sortis de l'enseignement supérieur en 2004, soit environ 50 % des jeunes sortis du système éducatif en 2004. 7 années après leur sortie du système éducatif, le taux de chômage des jeunes s'établit à 11 %, mais il est nettement inférieur pour les jeunes diplômés du supérieur. Les résultats des enquêtes Génération à 3 ans mettent en évidence les difficultés d'insertion des jeunes sortants sans diplôme et de ceux ayant échoué dans l'enseignement supérieur en comparaison avec ceux qui décrochent un diplôme dans l'enseignement supérieur. Les analyses à 5 et 7 ans confirment ces résultats. Sur l'ensemble des 7 années d'observation, le taux de chômage des jeunes sortants sans diplôme est pratiquement toujours supérieur à 15 % (graphique 22.01). A contrario pour les diplômés de l'enseignement supérieur celui-ci passe très vite sous la barre des 5 % (dès septembre 2007 pour les sortants de 2004). Les sortants de 2004 ont subi trois dégradations de leurs conditions d'insertion, au second trimestre 2007, en juillet 2008 et enfin au moment de l'interrogation en novembre-décembre 2011. Ces chocs économiques ont plus d'effet sur les sortants sans aucun diplôme et les sortants de l'enseignement supérieur sans diplôme du supérieur que sur les diplômés de l'enseignement supérieur.
De manière générale, la hiérarchie des diplômes établie à trois ans se confirme à 5 et 7 ans (tableau 22.02). Ce sont les jeunes sortants des écoles d'ingénieur, et les diplômés des écoles de commerce dans une moindre mesure, qui connaissent les meilleures conditions d'insertion. Très peu au chômage, ils ont les salaires les plus élevés et sont le plus souvent en emploi à durée indéterminée. A l'université, les sortants de diplômes à visée professionnelle s'en sortent mieux que ceux de la voie générale. Mais au niveau M2 toutes voies confondues, les taux de chômage sont très faibles, et la part des jeunes en emploi à durée indéterminée augmente très fortement au fil des années.
Au niveau L3, les titulaires d'une licence professionnelle sont avantagés par rapport aux titulaires de licences générales. Les premiers sont mieux rémunérés sur le marché du travail et plus souvent cadres et stabilisés dans leur emploi.
Au niveau Bac + 2, la situation est assez hétérogène entre les sortants de DEUG/DEUST et les sortants de BTS et DUT. Pour les sortants de DEUG/DEUST le taux de chômage s'établit à 9 % 7 ans après l'entrée sur le marché du travail. Ils sont aussi les moins bien rémunérés des diplômés de l'enseignement supérieur qui sont sur le marché du travail et aussi ceux qui ont le taux de chômage le plus important en 2011. De plus ces jeunes sont ceux qui déclarent le plus être employés en dessous de leur niveau de compétences au moment de l'interrogation en 2011. Les titulaires d'un BTS ou d'un DUT connaissent un taux de chômage inférieur, de l'ordre de 5 %, et plus de 85 % d'entre eux disposent d'un emploi à durée indéterminée. Les titulaires d'un DUT bénéficient d'un niveau de rémunération supérieur et déclarent plus fréquemment que les titulaires d'un BTS et à plus forte raison que les titulaires d'une DEUG/DEUST satisfaits de leurs conditions d'emploi. Julien Calmand.

26 avril 2014

L'insertion professionnelle des diplômés d'université (Master, DUT, LP)

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
21 l'insertion professionnelle des diplômés d'université (Master, DUT, LP)
Près de 9 diplômés 2010 sur 10 de Master, Licence professionnelle et DUT sont en emploi en décembre 2012, 30 mois après leur entrée dans la vie active. Ce taux d'insertion est en recul d'un point par rapport à la précédente promotion pour ces diplômés confrontés à un contexte économique moins favorable. Les diplômés de Master ont bénéficié tout de même d'une forte augmentation des embauches dans l'enseignement public.
Au moment de l'enquête (1er décembre 2012), les jeunes sortis en 2010 de l'université après l'obtention d'un Master, d'une Licence professionnelle (LP) ou d'un DUT sont confrontés à un contexte économique moins favorable que celui qu'ont connu un ou deux ans avant leurs prédécesseurs sortis en 2009 ou 2008. Le taux de chômage en France métropolitaine a augmenté de 0,8 point entre le quatrième trimestre 2011 et le quatrième trimestre 2012 passant de 9,4 % à 10,2 %. La situation de ces jeunes vis-à-vis de l'emploi reflète cette évolution : aussi bien en Master qu'en LP et en DUT, leur taux d'insertion est inférieur d'un point à celui mesuré un an auparavant sur la promotion précédente : 90 % contre 91 % en Master, 91 % contre 92 % en LP et 88 % contre 89 % en DUT. Ainsi, malgré leur âge, leur taux de chômage n'a pas réagi plus fortement à la conjoncture économique que celui des plus âgés. La dégradation de la conjoncture n'a pas non plus conduit un nombre plus grand d'entre eux à poursuivre ou à reprendre des études après l'obtention de leur diplôme, sans doute parce que cette dégradation n'est intervenue que 18 mois après la fin de leurs études (graphique 21.01). En Master, comme les années précédentes, les diplômés de Droit-Économie-Gestion (DEG) et Sciences-Technologies-Santé (STS) bénéficient de conditions d'embauche nettement plus favorables que ceux de Sciences humaines et sociales (SHS) et de Lettres-Langues-Arts (LLA), aussi bien en termes d'insertion qu'en termes de qualité des emplois occupés et de niveau de salaire (graphique 21.02). Ces différences subsistent malgré le fait que la dégradation du contexte économique semble avoir affecté les diplômés de STS plus que les autres : leur taux d'insertion diminue d'un point, de 92 % à 91 %, alors qu'il se maintient globalement dans les autres domaines.
Six diplômés de master sur dix travaillent dans une entreprise privée, deux dans la fonction publique et un dans une association. L'évolution déjà perceptible l'année précédente se poursuit : les recrutements dans les entreprises privées diminuent (62 % pour les diplômés 2010 contre 63 % l'année précédente et 66 % deux ans auparavant) et ceux de la fonction publique augmentent (20 % pour les diplômés 2010 contre 18 % l'année précédente et 15 % deux ans auparavant), plus précisément dans l'enseignement public, qui a recruté 6 % des diplômés de Master 2010 contre 4 % de la promotion précédente. Ces recrutements supplémentaires concernent tous les domaines de formation sauf le DEG.
Les diplômés de DEG se dirigent principalement vers les activités financières ou d'assurance (19 %). L'enseignement (24 %) a recruté un diplômé de LLA sur quatre, contre un sur cinq de la promotion précédente. Près de la moitié des diplômés de STS rejoignent le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques (24 %), ou l'industrie (19 %) (graphique 21.03).
Dans 45 % des cas, l'emploi occupé par un diplômé de Master se situe en dehors de la région de son université. La proportion est moindre pour les diplômés de LP (40 %) et de DUT (30 %). 6 % des diplômés de Master en emploi travaillent à l'étranger. Ils sont 3 % en LP et 2 % en DUT. Isabelle Maetz.

26 avril 2014

Les étudiants étrangers dans l'enseignement supérieur

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
13 les étudiants étrangers dans l'enseignement supérieur
Dans l'enseignement supérieur français, 289 274 étudiants sont de nationalité étrangère, soit un sur huit. En dix ans, les étrangers ont contribué à plus du tiers (38 %) de la croissance des effectifs. Sept sur dix étudient à l'université. Ils sont proportionnellement plus nombreux dans les cursus Master (18 %) et Doctorat (41 %) qu'en Licence (11 %).
De 2002 à 2012, le nombre d'étudiants étrangers dans l'enseignement supérieur français est passé de 221 500 à 289 300, progressant ainsi de 31 %. Cette croissance explique 38 % de la croissance totale des effectifs de l'enseignement supérieur : sans elle, le nombre total d'étudiants aurait augmenté de 5,0 % au lieu de 8,1 %. Le nombre d'étudiants étrangers n'augmente cependant que de 0,2 % en 2012 par rapport à 2011, beaucoup moins que le nombre total d'étudiants (1,5 %).
Sur cette décennie, la part des étrangers dans la population étudiante est passée de 10 % à 12,1 % (graphique 13.01). Cette hausse ne concerne pas les STS ni les CPGE, où la part des étrangers reste très faible (2,8 %), ni les IUT (6,1 %). C'est dans les écoles de commerce, les universités (filières générales et de santé) et les écoles d'ingénieurs que la progression est la plus forte (entre 3 et 6 points). En 2012, ces formations se situent au-dessus de la moyenne avec un maximum de 16,0 % en université (11 % en cursus L, 18 % en cursus M et 41 % en doctorat).
Sept étudiants étrangers sur dix sont inscrits à l'université (hors IUT), contre un peu plus d'un étudiant français sur deux (51,3 %). Dans les universités, près de 80 % des étudiants étrangers ne sont pas titulaires d'un baccalauréat français mais d'un titre équivalent, ce qui traduit l'attractivité des universités françaises sur les pays étrangers (tableau 13.02). Après avoir été en augmentation constante depuis la rentrée 1999 où elle était de 56,8 %, cette proportion décroît légèrement depuis deux ans (79,6 % en 2010, 78,3 % en 2012).
Les Africains représentent près de la moitié des étudiants étrangers (43 % en 2012), même si leur part a diminué de 7 points en dix ans (graphique 13.03). Cette baisse tient principalement aux Marocains qui, tout en restant le premier contingent d'étrangers, voient leur poids passer de 16,4 % en 2002 à 11,1 % en 2012. La proportion d'Asiatiques augmente et les Chinois sont désormais la deuxième nationalité la plus représentée avec 10,5 % des effectifs, contre 5,2 % en 2002. Leurs effectifs sont à nouveau croissant en 2012, suivant la tendance longue à la hausse observée sur 10 ans malgré une stagnation en 2011. Un quart des étrangers vient d'un pays du processus de Bologne.
À l'université, les étudiants étrangers s'inscrivent davantage en cursus doctorat (12,0 % d'entre eux contre 3,1 % pour les Français) et master (43,3 % contre 33,7 %). Il existe cependant des différences selon leur origine géographique (tableau 13.04). Par exemple, plus de 15 % des étudiants asiatiques ou américains sont inscrits en cursus doctorat, contre moins de 11 % pour les étudiants africains (hors Maghreb).
Les choix de filières diffèrent entre les étudiants de nationalité française et les étudiants de nationalité étrangère et, parmi ceux-ci, selon la nationalité (graphique 13.05). Comme l'ensemble des étudiants à l'université, près d'un tiers des étudiants étrangers choisit la filière Lettres, Sciences humaines. C'est pour les filières Sciences économiques, AES et IUT que les différences sont les plus importantes : en 2012, 21,0 % des étudiants étrangers s'orientent vers la filière Sciences économiques, AES contre 11,6 % des étudiants français. Les étudiants en provenance du Maghreb choisissent autant les filières de santé que les étudiants de nationalité française (respectivement 14,2 % et 15,0 %), alors que les autres étrangers la choisissent peu. Ils privilégient aussi les sciences : plus d'un tiers des étudiants maghrébins sont inscrits en sciences contre un quart pour l'ensemble des étudiants étrangers. Enfin, plus de la moitié des étudiants américains s'inscrivent en Lettres, Sciences humaines et sociales contre moins d'un tiers pour l'ensemble des étrangers Laurence Dauphin.

26 avril 2014

L'apprentissage dans le supérieur

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international. Chacune des 47 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet. Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
12 l'apprentissage dans le supérieur
En 2011-2012, 122 900 des 436 300 apprentis suivaient une formation de l'enseignement supérieur (soit 28,2 % des apprentis). Le nombre d'apprentis y a progressé de 75 % depuis 2005 et encore de plus de 10 % sur la dernière année. Quel que soit le diplôme préparé, le recrutement des apprentis se fait principalement dans la voie scolaire et reste majoritairement masculin.
À partir de 1987, l'apprentissage dans l'enseignement supérieur devient possible, suite à la réforme Seguin qui l'ouvre à tous les niveaux de formation – il était jusqu'alors cantonné aux seuls CAP. Mais ce n'est qu'à partir de 1995 qu'il se développe vraiment.
Entre les rentrées 1995 et 2000, le nombre d'apprentis de niveaux III (préparation d'un diplôme bac + 2), II et I (préparation d'un diplôme de 2e, 3e cycle ou grande école) passe de 20 050 à 51 200 (tableau 12.01). À partir de 2005, la croissance s'accélère avec l'apparition de la Licence professionnelle et du Master pour atteindre 122 900 apprentis à la rentrée 2011, ce qui correspond à 1,9 % des jeunes âgés de 18 à 25 ans. Le poids de l'apprentissage dans l'enseignement supérieur est alors de 5,1 %.
Entre 2005 et 2011, le nombre de ces apprentis croît de 74,0 %, et c'est grâce à ce développement dans le supérieur que les effectifs totaux d'apprentis, quel que soit le niveau, augmentent.
La croissance est restée marquée entre 2010-2011 et 2011-2012 (+ 10,3 %), notamment pour les diplômes de Master (+ 17,6 %) et de Licence (+ 13,2 %).
En 2011-2012, un peu plus d'un apprenti sur 4 suit une formation dans le supérieur. Le niveau III représente 54,7 % des apprentis du supérieur, le niveau II, 17,7 %, et le niveau I, 27,6 % (graphique 12.02). Près d'un apprenti de l'enseignement supérieur sur 2 (44,9 %) prépare un BTS, un apprenti sur 10 un diplôme d'ingénieur (11,5 %) ou une Licence (11,0 %). Les autres se répartissent entre le Master, le DUT, les diplômes des écoles de commerce.
L'apprentissage dans l'enseignement supérieur, comme l'apprentissage en général, concerne essentiellement les garçons mais la part des filles y est plus importante que pour l'ensemble de l'apprentissage : 39,7 % contre 31,8 %. Celle-ci est particulièrement élevée pour les Masters et Licences, diplômes davantage tournés vers le domaine des services (respectivement 76,9 % et 64,5 %) et plus faible pour le diplôme d'ingénieur plus orienté vers le domaine de la production (87,4 %) (graphique 12.03). L'âge moyen des apprentis de l'enseignement supérieur est de 21,4 ans.
Plus de la moitié des apprentis de 1ère année de formation dans l'enseignement supérieur vient d'une formation sous statut scolaire (53,7 %), 22,0 % d'entre eux seulement était déjà apprenti l'année précédente et 24,3% avait une autre situation (contrat de professionnalisation, emploi, chômage ou situation inconnue). Ainsi, 46,1 % des apprentis en 1ère année de BTS en 2011-12, étaient l'année précédente en terminale générale, technologique ou professionnelle sous statut scolaire, et 20,0 % suivaient déjà une formation en apprentissage (graphique 12.04a). Les apprentis préparant une Licence viennent majoritairement d'une formation sous statut scolaire (58,9 %), principalement d'un BTS ou d'un DUT (respectivement 30,0 % et 21,2 %) tandis qu'un jeune sur 4 était déjà apprenti (graphique 12.04b). Les diplômes d'ingénieur recrutent également majoritairement des jeunes venant de la voie scolaire (60,2 %) et essentiellement des DUT (33,9 %) ; la part des jeunes déjà apprentis l'année précédente étant de 22,1 % (graphique 12.04c).
La part de l'enseignement supérieur dans l'apprentissage varie fortement selon les régions. En Île-de-France, 49,8 % des apprentis suivent une formation dans l'enseignement supérieur, 27 à 29 % en région Rhône-Alpes, Nord-Pas-de-Calais et Alsace, contre 15 à 16 % en Auvergne, Basse-Normandie, Bourgogne et Limousin. Aurélie Demongeot.

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