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Formation Continue du Supérieur
17 mai 2014

Enseignants-chercheurs : Questions les plus fréquemment posées

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgQuestions les plus fréquemment posées

flèche indiquant une navigation interne au portail GALAXIEConcernant les comités de sélection.
flèche indiquant une navigation interne au portail GALAXIEConcernant l'avancement de grade (assistance aux candidats).
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flèche indiquant une navigation interne au portail GALAXIEConcernant la prime d'encadrement doctoral et de recherche - PEDR
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Concernant les comités de sélection
1 - La création du comité de sélection et la constitution du comité de sélection
2 - La notion de représentants élus des enseignants-chercheurs, des chercheurs et des personnels assimilés
3 - La notion de membre extérieur
4 - La notion de parité
5 - La règle du double quorum
6 - L’impossibilité de mettre en place des comités de sélection pérennes pour examiner des candidatures sur des emplois de même nature
7 - La participation des personnels hospitalo-universitaires aux travaux d’un comité de sélection
8 - La participation d’un professeur agrégé, élu dans les instances de l’université, à un comité de sélection
9 - L’appartenance simultanée à plusieurs comités de sélection en activité dans plus de trois établissements
10 - La position statutaire des membres d’un comité de sélection
11 - La nomination d’un maître de conférences stagiaire au sein d’un comité de sélection
12 - La date limite de constitution d’un comité de sélection
13 - La date de fin d’activité d’un comité de sélection
14 - La démission d‘un membre du comité de sélection quelques jours avant la réunion du comité de sélection
15 - La présidence du comité de sélection chargé de recruter un professeur des universités
16 - L’audition d’un candidat à la mutation ou au détachement
17 - L’articulation entre les mutations, les détachements et les recrutements
18 - La désignation de rapporteurs pour les candidats se présentant dans le cadre de la mutation et du détachement
19 - La détermination du rang au moins égal à celui de l’emploi postulé dans le cas de la participation d’un universitaire appartenant à une institution étrangère
20 - L’organisation de la visioconférence par les établissements
21 - L’audition des candidats par visioconférence
22 - Les modalités de vote classiques
23 - Les modalités de vote liées à l’utilisation de la visioconférence
24 - Transmission des documents au conseil d’administration restreint
25 - La langue de l’audition des candidats
26 - La qualité d’électeur
27 - La constitution d’un bureau par le comité de sélection
28 - La définition de la notion de première réunion
29 - La notion d’assimilation
30 - La notion de spécialistes de la discipline
31 - La possibilité pour un enseignant-chercheur, affecté au sein d’une autre université mais assurant sa recherche dans un laboratoire de votre université, de siéger, en qualité de membre interne, au sein d’un comité de sélection d’une université
32 - La participation d’enseignants des écoles des mines régis par le décret n°2007- 468 du 28 mars 2007 portant statut particulier des personnels enseignants des écoles nationales supérieures des mines et des écoles supérieures des techniques industrielles et des mines placées sous la tutelle du ministre chargé de l’industrie aux travaux d’un comité de sélection
33 - Participation de chercheurs des établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC), aux travaux d’un comité de sélection
34 - Participation d’un enseignant-chercheur à la retraite aux travaux d’un comité de sélection
35 - Participation d’un directeur de laboratoire où d’unité de formation et de recherche, avec voix consultative, aux réunions d’un comité de sélection prévue par le règlement intérieur de l’établissement
36 - Transmission des travaux et thèses des candidats sur support numérique
37 - Démission d’un membre d’un comité de sélection après la première réunion
38 - Modification dans la composition d’un comité de sélection, liée à la défection de l’un ou plusieurs de ses membres
39 - Réunion en sous commissions d’un comité de sélection, lors de l’audition des candidats
40 - Caractère obligatoire ou non de l’audition des candidats par le comité de sélection
41 - Avis portés sur chacun des candidats par le comité de sélection. Signature par tous les membres dudit comité, ou seulement par son président
42 - Les modalités de décompte des voix
43 - L’organisation des réunions par le biais de la visioconférence.

17 mai 2014

Enseignants-chercheurs : textes réglementaires

Les textes définissant le statut des enseignants-chercheurs.

décret n° 84-431 du 6 juin 1984 fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs et portant statut particulier du corps des professeurs des universités et du corps des maîtres de conférences (consolidé au 1er septembre 2009)

Autres textes réglementaires

décret n° 92-70 du 16 janvier 1992 relatif au Conseil national des universités

décret n° 87-31 du 20 janvier 1987 relatif au Conseil national des universités pour les disciplines médicales, odontologiques et pharmaceutiques

décret n° 2009-462 du 23 avril 2009 relatif aux règles de classement des personnes nommées dans les corps d'enseignants-chercheurs des établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche relevant du ministre chargé de l'enseignement supérieur

arrêté consolidé du 13 février 1986 relatif à l'organisation générale du premier concours d'agrégation pour le recrutement des professeurs des universités des disciplines juridiques, politiques, économiques et de gestion

arrêté du 7 octobre 2009 relatif aux modalités générales des opérations de mutation, de détachement et de recrutement par concours des professeurs des universités

arrêté du 7 octobre 2009 relatif aux modalités générales des opérations de mutation, de détachement et de recrutement par concours des maîtres de conférences

arrêté du 19 mars 2010 fixant les modalités de fonctionnement du Conseil national des universités. Voir l'article...

17 mai 2014

Personnels enseignants du supérieur : bilans et statistiques

Etudes et regards statistiques relatifs aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur
Démographie
Enseignants non permanents
Qualification
Recrutement
Origine des recrutés.
Etudes démographiques
maîtres de conférences et professeurs des universités associés
enseignants-chercheurs (2008-2009)
enseignants-chercheurs (2006-2007)
enseignants-chercheurs (2004-2005)
Recrutement et affectation des enseignants-chercheurs : Enquête qualité menée auprès des établissements d'enseignement supérieur
Session 2010
Session 2009.

Contribution aux publications du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2013)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2009)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2007)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 6 - février 2013)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 5 - décembre 2011)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 4 - décembre 2010)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 3 - décembre 2009)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 2 - décembre 2008)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 1 - novembre 2007)

Bilan des campagnes de recrutement et d'affectation

campagne 2012 (session synchronisée)

campagne 2011 (session synchronisée)

campagne 2010 (session synchronisée)

campagne 2009 (session synchronisée)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2008

campagne 2008 (première session)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2007

campagne 2007 (première et deuxième session)

campagne 2007 (première session)

campagne 2006 (première session)

campagne 2005 (première et deuxième session)

campagne 2004 (première et deuxième session)

campagne 2003 (première et deuxième session)

campagne 2002 (première et deuxième session)

campagne 2001 (première et deuxième session)

Etude de la promotion des qualifiés aux fonctions de professeur des universités et de maître de conférences

tableaux excel campagne 2014 (premiers résultats)

tableaux excel campagne 2013  Etude campagne 2013

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005

Etudes de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs

Etude de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs sur la période 1993-2007

Etude de l'avancement spécifique des enseignants-chercheurs sur la période 2002-2009

Etudes pluriannuelles relatives au recrutement des enseignants-chercheurs

Etude du recrutement des MCF dans le corps des PR entre 1993 et 2007

Etude de l'endo-recrutement chez les enseignants-chercheurs entre 1993 et 2007

Bilans des origines des enseignants-chercheurs recrutés

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005

campagne 2004

campagne 2003

campagne 2002

Situation des personnels enseignants non-permanents affectés dans l'enseignement supérieur

année universitaire 2012-2013
tableaux excel 2012-2013

année universitaire 2011-2012
tableaux excel 2011-2012

année universitaire 2010-2011

année universitaire 2009-2010

année universitaire 2008-2009

année universitaire 2007-2008

année universitaire 2006-2007

année universitaire 2005-2006

année universitaire 2004-2005

année universitaire 2003-2004

Notes d'information relatives aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur

N.I. n° 13-07 août : année universitaire 2011-2012

N.I. n° 12-08 juillet : année universitaire 2010-2011

N.I. n° 11-06 mai : année universitaire 2009-2010

N.I. n° 09-24 : année universitaire 2008-2009

N.I. n° 08-25 : année universitaire 2007-2008

N.I. n° 07-46 : année universitaire 2006-2007

N.I. n° 07-03 : année universitaire 2005-2006

N.I. n° 05-35 : année universitaire 2004-2005

N.I. n° 04-29 : année universitaire 2003-2004

N.I. n° 04-03 : année universitaire 2002-2003

N.I. n° 03-36 : année universitaire 2001-2002

N.I. n° 02-42 : année universitaire 2000-2001

N.I. n° 02-06 : année universitaire 1999-2000

N.I. n° 00-43 : année universitaire 1998-1999

N.I. n° 99-25 : année universitaire 1997-1998

N.I. n° 98-33 : année universitaire 1996-1997. Voir l'article...

17 mai 2014

La mise à disposition des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs
Annexe n° 9 - La mise à disposition (Références : loi n°84-16 du 11 janvier 1984 - articles 41 à 44, décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié Titre Ier, circulaire du budget, des comptes publics et de la fonction publique n°2167 du 5 août 2008 (site Fonction publique - textes de référence http://www.fonctionpublique.gouv.fr/article611.html))

La mise à disposition est la situation du fonctionnaire qui demeure dans son corps d’origine, est réputé occuper son emploi, continue à percevoir de son établissement la rémunération correspondante, mais qui exerce des fonctions hors du service où il a vocation à servir. Il conserve ses droits à l’avancement et à la retraite.
1. Conditions
La mise à disposition (MAD) est une position d’activité.
Les fonctionnaires stagiaires ne peuvent être mis à disposition (décret n° 94-874 du 7 octobre 1994 - article 6.)
2. Champ d’application
La mise à disposition peut se faire auprès :
1- des administrations de l'État et de ses établissements publics ;
2- des collectivités territoriales et de leurs établissements publics ;
3- des établissements mentionnés à l'article 2 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière ;
4- des organismes contribuant à la mise en oeuvre d'une politique de l'État, des collectivités territoriales ou de leurs établissements publics administratifs, pour l'exercice des seules missions de service public confiées à ces organismes ;
5- des organisations internationales intergouvernementales ;
6- des États étrangers.
3. Modalités
- la MAD peut être à temps complet ou à temps partiel
- la MAD peut être auprès de plusieurs organismes simultanément
- elle doit être prévue par une convention conclue entre l’établissement d’origine et l’organisme d’accueil
- elle donne lieu à remboursement, avec dérogation possible pour les MAD auprès d’une administration de l’État ou d’un de ses établissements publics administratifs, d’une organisation internationale intergouvernementale ou d’un État étranger. (attention : une MAD auprès d’une organisation non gouvernementale doit faire l’objet d’un remboursement)
- la durée en est fixée par l’arrêté de MAD, dans la limite de 3 ans renouvelables
- l’enseignant-chercheur mis à disposition peut percevoir de l’organisme d’accueil un complément de rémunération qui, versé sous forme indemnitaire, entre dans l’assiette de cotisation au régime de la retraite additionnelle de la Fonction publique. Suite dans le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

La disponibilité des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs
Annexe n° 8 - La disponibilité (Référence : décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié)

La disponibilité est la position du fonctionnaire qui, hors de son administration, cesse de percevoir son traitement et perd ses droits à l’avancement. Il perd ses droits à la retraite (sauf dans le cas de « la disponibilité pour élever un enfant de moins de 8 ans»). Pour la pension voir l’article L.9 1° du code des pensions civiles et militaires de retraite.
Disponibilité d’office (article 43)
1. Conditions
- La mise en disponibilité d’office ne peut être prononcée qu’à l’expiration des droits statutaires aux congés de maladie, congés de longue maladie et congés de longue durée et dans l’impossibilité d’un reclassement immédiat.
2. Pièce exigée
- Procès verbal du comité médical départemental ou de la commission de réforme pour le dernier renouvellement.
3. Durée
- Durée possible : une année renouvelable deux fois, éventuellement une troisième fois
Disponibilité pour études et recherches présentant un intérêt général (article 44 - a)
1. Conditions
- Accord du chef d’établissement, sous réserve des nécessités du service.
2. Pièces exigées
- Demande de l’intéressé + justificatif (transmis par la voie hiérarchique).
3. Durée
- 3 ans – elle est renouvelable une fois 3 ans. Durée maximale : 6 ans.
Disponibilité pour convenances personnelles (article 44 –b)
1. Conditions
- Accord du chef d’établissement, sous réserve des nécessités du service.
2. Pièce exigée
- Demande de l’intéressé transmise par la voie hiérarchique et comportant l’accord du chef d’établissement.
3. Durée
- Aucune période ne peut excéder 3 ans, avec une durée maximale de 10 ans dans toute la carrière.
Disponibilité pour créer ou reprendre une entreprise (art.46)
1. Conditions
- Accord du chef d’établissement, sous réserve des nécessités du service.
2. Pièces exigées
- Demande de l’intéressé transmise par la voie hiérarchique. Suite dans le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

Le détachement des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs
Annexe n° 7 - Le détachement (Références : loi n°84-16 du 11 janvier 1984 modifiée -Chapitre V - Section II décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié)

Le détachement est la position du fonctionnaire placé hors de son corps d’origine mais continuant à bénéficier, dans ce corps, de ses droits à l’avancement et à la retraite
Ce que cette définition implique :
Droits à l’avancement :
L’enseignant-chercheur détaché continue à bénéficier de l’avancement à l’ancienneté et relève également de l’avancement au choix sauf quand il appartient au pouvoir législatif dans le cadre de son détachement (séparation des pouvoirs C.E. du 29/11/1961).
Les professeurs des universités nommés recteurs ou directeurs d’administration centrale ont par ailleurs un avancement spécifique, en fonction de la durée de leurs fonctions (décret n°61-1103 du 3 octobre 1961).
Droits à la retraite sous réserve de supporter les cotisations :
A. Cotisations obligatoires :
A1- Détachements sur des emplois conduisant à pension du CPCM (code des pensions civiles et militaires de retraite) ou de la CNRACL (caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales) : les cotisations sont précomptées sur les émoluments servis en détachement sur la base du traitement de détachement (art. 45bis de la loi du 11/01/84 et 33 du D. du 16/09/1985).
A2- Détachements sur des emplois ne conduisant pas à pension du CPCM ou de la CNRACL : les cotisations sont précomptées sur les émoluments servis en détachement sur la base du traitement du corps d’origine.(art. 32 du D. du 16/09/85).
B. Cotisations facultatives (art.46 ter de la loi du11/01/84) :
B1- Détachements dans un organisme ou une administration implanté à l’étranger.
B2- Détachements auprès d’organismes internationaux.
L’autorité investie du pouvoir de détachement (MESER ou chef d’établissement) recueille l’option de cotisation ou de non cotisation du fonctionnaire détaché et en informe le service des pensions, avec les éléments de prise en charge des cotisations en cas d’option positive.
C. Cotisations interdites (art.9 de la loi 2007-1786 du 19/12/2007 modifiant l’art. 46 de la loi du 11/01/84) :
Un fonctionnaire détaché pour l’exercice d’un mandat parlementaire ne peut, pendant la durée de son mandat, acquérir de droits à pensions dans son régime d’origine, selon le calendrier suivant :
- pour les députés français : à compter du prochain renouvellement intégral de l’Assemblée nationale
- pour les sénateurs : depuis le dernier renouvellement triennal de septembre 2008
- pour les parlementaires européens : à compter de leur prochaine installation, soit le 14 juillet 2009.
Il est donc essentiel, pour chaque cas de détachement, de déterminer le régime des cotisations applicable de façon à rédiger l’arrêté de détachement en conséquence et à préserver les droits des agents.
N.B. : Pour qu’un emploi conduise à pension, il faut que l’emploi soit doté d’un statut particulier faisant référence au statut général des fonctionnaires et d’un classement hiérarchique fixé par les tableaux annexés au décret n° 48-1108 du 10 juillet 1948 modifié et soit pourvu d’un échelonnement indiciaire par arrêté sauf s’il s’agit d’un emploi à échelon unique. Parmi les emplois conduisant à pension du CPCM figurent également, lorsqu’ils sont occupés par des fonctionnaires titulaires, les emplois supérieurs de l’Etat classés dans les groupes hors échelle, les emplois laissés à la décision du Gouvernement (cf décret n° 85-779 du 24 juillet 1985 et les emplois figurant sur la liste fixée par l’arrêté du 26 mars 1973. Voir le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

La délégation des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs
Annexe n° 6 - La délégation (Référence : décret n° 84-431 du 6 juin 1984 modifié : articles 11 à 14-3)

Les enseignants-chercheurs placés en délégation continuent à percevoir leur rémunération et à bénéficier de l'ensemble des droits attachés à la position d'activité. Ils restent affectés dans leur établissement et ne peuvent être remplacés par des titulaires.
I - Conditions
Les enseignants-chercheurs titulaires peuvent être placés en délégation. Cette possibilité est ouverte aux maîtres de conférences stagiaires s’ils effectuent leur délégation dans un établissement public de recherche soit à caractère industriel et commercial, soit à caractère administratif ou dans un établissement public à caractère scientifique et technologique et si l’intéressé assure au moins le tiers de son service d’enseignement dans son établissement. (en vue de la titularisation, l’établissement d’accueil devra formuler un avis sur l’activité du MCF pendant sa délégation).
La délégation est subordonnée à la conclusion, entre l'établissement d'origine et l'institution, l'établissement, l'entreprise ou l'organisme d'accueil, d'une convention qui en fixe l'objet et en détermine les modalités (a,b,c ou d de l’article 14).
La délégation est prononcée pour une durée maximale de cinq ans et peut être renouvelée.
Pour la création d’une entreprise, elle peut être prononcée pour une durée de deux ans, renouvelable deux fois.
La délégation peut s’effectuer à temps incomplet (sauf dans le cas du dernier alinéa de l’article 11 délégation dans un établissement ou organisme de recherche).
Pas de délégation accordée auprès d’une entreprise ou d’un organisme de droit privé, si l’enseignant y a exercé un contrôle dans les 5 années qui précèdent sa demande.
Les enseignants demeurent soumis à l’obligation d’établir leur rapport d’activité.
II - Pièces exigées
- Convention signée par le président et l’organisme d’accueil ;
- Avis du CA ou de l’organe en tenant lieu, siégeant en formation restreinte ;
- Demande de l’intéressé.
Ces pièces ne sont pas exigées pour les délégations auprès de l’IUF.
Cas particuliers
● La convention peut prévoir l’utilisation successive de plusieurs modalités ci-dessus énumérées, au cours d’une même période de délégation. Il convient alors de mentionner les périodes (avec les dates précises) sur lesquelles sont réparties ces différentes modalités.
● Délégations à l’Institut Universitaire de France (IUF):
Des enseignants-chercheurs peuvent être nommés en qualité de membres seniors ou juniors de l’IUF pour une durée de cinq ans renouvelable.
La liste de ces nominations est établie par le ministre chargé de l’enseignement supérieur et publiée au JO.
Les dispositions de l’article 13 ne s’appliquent pas à ces délégations. Voir le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Le départ en mobilité des enseignants-chercheurs
La délégation

La position de délégation (5 ans maximum, renouvelable) permet à l’enseignant-chercheur d’aller notamment enseigner dans un établissement d’enseignement supérieur à l’étranger (ou dans des organisations internationales), tout en conservant le lien avec son établissement d’origine. Ainsi, sa rémunération continue à être versée par son université. Une convention, établie entre les deux organismes, prévoit différentes modalités de contrepartie, financière entre autres. La délégation est prononcée par arrêté du président d’université, après avis du conseil d’administration ou de l'organe en tenant lieu, siégeant en formation restreinte.
Démarche à accomplir par le candidat à la mobilité :
Lettre de demande adressée au président de l’université.
Quels sont les principaux textes de référence ?
Décret n° 84-431 du 6 juin 1984 modifié portant statut des enseignants-chercheurs, articles 11 à 14-3
Arrêté du 10 février 2012 portant délégation de pouvoirs en matière de recrutement et de gestion de certains personnels enseignants des établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche
Où se renseigner ?
Sur le site internet de LEGIFRANCE : http://www.legifrance.gouv.fr. Fiche sur la délégation (annexe n° 6).
Le détachement
La position de détachement (de 6 mois à 5 ans maximum, renouvelable) permet à l’enseignant-chercheur de quitter son corps d’origine tout en continuant à bénéficier, dans ce corps, de ses droits à l’avancement et à la retraite.
L’arrêté de détachement est pris par le président de l’université, à réception du contrat établi par l’établissement d’accueil.
La réglementation prévoit divers types de détachement. Parmi ceux-ci figurent divers cas de détachements à l’étranger :
• pour dispenser un enseignement à l’étranger ;
• pour remplir une mission d'intérêt public à l'étranger ou auprès d'une organisation internationale intergouvernementale ;
• pour effectuer une mission d'intérêt public de coopération internationale ou auprès d'organismes d'intérêt général à caractère international ;
• pour exercer, dans le cadre du ministère des affaires étrangères, diverses fonctions (attaché de coopération scientifique, etc.) au titre du détachement auprès d'une administration ou d'un établissement public de l'Etat dans un emploi conduisant à pension du code des pensions
civiles et militaires de retraite ;
• pour exercer des fonctions auprès de l’administration d’un état membre de la communauté
européenne ou d’un autre état partie à l’accord sur l’Espace économique européen.
Une université ne peut s'opposer à la demande de détachement de l'un de ses enseignants, lorsqu’il a reçu l'accord du service, de l'administration ou de l'organisme public ou privé d'accueil, qu'en raison des nécessités du service ou, le cas échéant, d'un avis d'incompatibilité rendu par la commission de déontologie. Elle peut exiger de lui qu'il respecte un délai maximal de préavis de trois mois. Son silence gardé pendant deux mois à compter de la réception de la demande de l’enseignant vaut acceptation de cette demande.
A la fin du détachement, l’enseignant-chercheur est réintégré de plein droit dans son corps d’origine et dans l’établissement dans lequel il était précédemment affecté.
Démarche à accomplir par le candidat à la mobilité
Lettre de demande de détachement adressée dans un délai raisonnable au président de l’université, accompagnée du projet de contrat avec l’établissement d’accueil. Il faut noter qu’une demande de détachement trop tardive peut entraîner le refus pour nécessité de service public, l’administration n’ayant pas de délai suffisant pour procéder au remplacement de l’enseignant.
Démarche à accomplir par le candidat pour être réintégré à la fin du détachement
Lettre de demande de réintégration adressée au minimum 3 mois avant la fin du détachement, au président de l’université.
Quels sont les principaux textes de référence ?
Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires (article 14 bis)
Loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat, chapitre V, section II
Décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l'Etat, à la mise à disposition, à l'intégration et à la cessation définitive de fonctions (article 14)
Décret n° 84-431 du 6 juin 1984 modifié fixant les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs et portant statut particulier du corps des professeurs des universités et du corps des maîtres de conférences (articles 15 à 17)
Code de la recherche, articles L 413-1 à L 413-7
Arrêté du 10 février 2012 portant délégation de pouvoirs en matière de recrutement et de gestion de certains personnels enseignants des établissements publics d’enseignement et de recherche
Où se renseigner ?
Sur le site internet de LEGIFRANCE : http://www.legifrance.gouv.fr. Fiche sur le détachement (annexe n° 7)
La disponibilité
La disponibilité rompt temporairement tout lien avec l’université d’origine puisque l’enseignantchercheur, dans cette position, cesse de bénéficier de ses droits à l’avancement et de ses droits à la retraite. Il garde la possibilité d’être réintégré à la fin de sa disponibilité, mais le fonctionnaire mis en disponibilité qui refuse successivement trois postes qui lui sont proposés en vue de sa réintégration peut être licencié. convenances personnelles correspond le mieux à la situation de l’enseignant-chercheur qui souhaite effectuer une mobilité à l’étranger.
Pour l’ensemble des cas de disponibilité, la durée prévue est de 3 ans maximum renouvelable dans une limite de 10 ans. Toutefois, dans certains cas, le renouvellement n’est pas limité (voir fiche « disponibilité » en annexe).
Démarche à accomplir par le candidat à la mobilité
Lettre de demande adressée au président de l’université, dans un délai raisonnable nécessaire au traitement du dossier administratif.
Démarche à accomplir par le candidat pour être réintégré à la fin de la disponibilité
Lettre de demande de renouvellement ou de réintégration adressée au président de l’université trois mois avant la fin de la disponibilité, et obtention auprès d’un médecin agréé d’un certificat d’aptitude physique à exercer les fonctions afférentes à son grade.
Quels sont les principaux textes de référence ?
Loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat (article 51)
Décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié (articles 42 à 49)
Arrêté du 10 février 2012 portant délégation de pouvoirs en matière de recrutement et de gestion de certains personnels enseignants des établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche
Où se renseigner ?
Sur le site internet de LEGIFRANCE : http://www.legifrance.gouv.fr. Fiche sur la disponibilité (annexe n° 8)
La mise à disposition
La mise à disposition est la situation du fonctionnaire qui demeure dans son corps d'origine, est réputé occuper son emploi, continue à percevoir la rémunération correspondante, mais qui exerce des fonctions hors du service où il a vocation à servir. Elle ne peut avoir lieu qu'avec l'accord de l’enseignant, et doit être prévue par une convention conclue entre l'université d'origine et l'organisme d'accueil. La mise à disposition est possible auprès des organisations internationales intergouvernementales.
Elle peut également être prononcée auprès d'un Etat étranger, auprès de l'administration d'une collectivité publique ou d'un organisme public relevant de cet Etat ou auprès d'un Etat fédéré. Elle n'est cependant possible, dans ce cas, que si le fonctionnaire conserve, par ses missions, un lien fonctionnel avec l'administration d'origine.
Elle ne peut donc pas être prononcée auprès d’une université étrangère de statut privé.
Loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat (articles 41 à 44)
Décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l'Etat, à la mise à disposition, à l'intégration et à la cessation définitive de fonctions (articles 1 à 12)
Circulaire n° 2167 du 5 août 2008 relative à la réforme du régime de la mise à disposition des fonctionnaires de l’Etat
Où se renseigner ?
Sur le site internet de LEGIFRANCE : http://www.legifrance.gouv.fr. Fiche sur la mise à disposition (annexe n° 9)
Les échanges conventionnels
La mobilité des enseignants-chercheurs français dans le cadre d’Erasmus Le programme Erasmus permet aux enseignants-chercheurs des établissements publics d’enseignement supérieur français d’effectuer des missions d’enseignement de courte durée au sein d’un établissement européen partenaire.
La France envoie chaque année environ 2500 enseignants-chercheurs en Europe dans le cadre du programme Erasmus.
Les enseignants-chercheurs peuvent également bénéficier du programme Erasmus pour aller suivre une formation au sein d’un organisme de formation ou d’une entreprise dans l’un des 33 Etats européens participants.
Objectif des mobilités d’enseignement : dispenser des cours intégrés dans le programme officiel de l’établissement d’accueil. Ces cours peuvent être donnés en français ou dans une autre langue européenne.
L’enseignant-chercheur peut profiter de sa mission d’enseignement pour faire le suivi des étudiants de son établissement en mobilité Erasmus au sein de l’établissement partenaire.
Objectif des mobilités de formation : acquérir des connaissances ou des savoir-faire à partir des expériences et bonnes pratiques d’autres établissements d’enseignement supérieur européens ; aider au développement de la coopération entre les établissements d’enseignement supérieur et les entreprises. Le séjour passé dans l’entreprise peut prendre différentes formes : courte période de détachement, visite d’observation en situation de travail, visite d’études, atelier, conférence, etc.
Durée : pour les missions d’enseignement, minimum : 5 heures d’enseignement, maximum : 6 semaines ; pour les mobilités de formation, minimum : 5 jours de formation consécutifs à temps plein, maximum : 6 semaines.
Lieu : au sein d’un établissement d’enseignement supérieur partenaire de l’établissement dont dépend l’enseignant-chercheur (un accord bilatéral Erasmus doit avoir été signé au préalable entre les deux établissements) ou d’un organisme de formation ou d’une entreprise pour les mobilités de formation. Financement : pour chaque enseignant en mobilité Erasmus, l’établissement français bénéficie d’un financement de 700 € pour la 1ère semaine, 200 € pour la 2e semaine, 130 € de la 3e à la 6e semaine (données 2012).
Les autres possibilités de mobilité des enseignants-chercheurs dans le cadre des programmes Erasmus, Erasmus Mundus et Tempus
Les partenariats entre établissements d’enseignement supérieur dans le cadre de programmes financés par la Commission européenne (Tempus, Erasmus Mundus, Erasmus programmes intensifs et actions centralisées) permettent aussi aux enseignants-chercheurs d’effectuer des mobilités de plus ou moins courte durée au sein d’un établissement partenaire.
Où se renseigner ?
Sur le site de l’Agence Europe Education Formation France: http://www.europe-education-formation.fr. Voir le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLe Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs
Préface
La mobilité internationale, de tradition dans l’enseignement supérieur, s’est très largement développée ces dernières années, encouragée par une réglementation assouplie ainsi que par les différents dispositifs mis à disposition des établissements et des enseignants.
Elle constitue l’un des objectifs majeurs de la construction de l’Espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche qui vise à améliorer la qualité et l’attractivité de l’enseignement supérieur européen.
Plus de 96 000 enseignants exercent dans les établissements publics d’enseignement supérieur en France. Parmi eux, près de 10 000 enseignants sont étrangers, soit plus de 10%. Ils sont majoritairement européens mais les Africains, les Américains et les Asiatiques sont largement représentés. Plus de 5 200 d’entre eux sont titulaires, car la fonction publique n’exige pas de condition de nationalité pour une nomination dans un corps d’enseignant-chercheur.
Par ailleurs, de nombreux enseignants-chercheurs exercent à l’étranger à divers stades de leur carrière, dans le cadre d’une délégation ou d’un détachement et le plus souvent dans le cadre d’échanges entre établissements.
Ce guide, qui résulte d’un travail de coopération entre des représentants des services du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, de la conférence des présidents des universités et des représentants des établissements, se propose d’aider les candidats à la mobilité internationale en rappelant brièvement le cadre réglementaire dans lequel s’inscrivent les accueils en mobilité d’étrangers dans un établissement d’enseignement supérieur français ou les départs en mobilité d’enseignants-chercheurs à l’étranger, et en donnant le mode d’emploi pour trouver les informations pratiques détaillées sur toutes les questions afférentes à la mobilité.
Ce guide n’a pas pour objectif de donner des informations exhaustives et redondantes des textes réglementaires, mais de rappeler les grandes lignes qui président à la réglementation sur la mobilité, d’en indiquer les bases juridiques et de renvoyer sur les informations très détaillées contenues soit sur les sites des universités soit sur les sites spécialisés dans les domaines évoqués.
Conçu en deux parties, l’accueil en mobilité des étrangers et le départ en mobilité des enseignants-chercheurs des universités françaises, le guide présente, pour chaque partie, les différents dispositifs à disposition des candidats à la mobilité, donne pour chaque dispositif les références des textes réglementaires, les informations générales sur les « questions » attachées à la mobilité, comme les dispositifs prévus concernant les retraites, la fiscalité, les rémunérations, ainsi que les sites d’information qui développent toutes ces questions.
La directrice générale des ressources humaines - Le président de la Conférence des présidents d’université
L’ACCUEIL DES PERSONNES DE NATIONALITE ETRANGERE
Il existe diverses possibilités, pour les personnes de nationalité étrangère, d’enseigner dans un établissement d’enseignement supérieur en France : soit par un recrutement permanent, comme titulaire sur un emploi, soit par un recrutement temporaire, de durée variable, en tant qu’associé ou invité, ou encore sur un contrat.
Les conditions varient, selon la nature du recrutement et la situation du candidat. Voici les différentes possibilités qui s’offrent aux candidats ressortissants des Etats étrangers.Suite dans le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.
LE DEPART EN MOBILITE DES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS

Les enseignants-chercheurs permanents (appartenant aux corps de maîtres de conférences et professeurs des universités) ont la possibilité d’effectuer une mobilité, notamment à l’étranger. Plusieurs dispositions réglementaires sont prévues, qui leur permettent d’effectuer leur mobilité, soit en gardant le lien avec leur établissement (délégation ou mise à disposition), soit par une rupture partielle de ce lien (détachement), soit par une rupture totale temporaire (disponibilité). Ils participent également à des échanges par le biais de contrats bilatéraux ou programmes internationaux. Voici les différentes possibilités de mobilité qui leur sont offertes, ce qu’elles impliquent quant à leur carrière, les formalités nécessaires ainsi que les informations indispensables à connaître. Suite dans le Guide de mobilité internationale des enseignants-chercheurs.

17 mai 2014

Informations sur les carrières des enseignants-chercheurs de pays étrangers

https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/images_etablissement/en-tete_etablissement.jpgLes informations que vous trouverez ci-dessous, ont été rassemblées en juillet 2012 par les ambassades de France dans ces différents pays, suite à l’envoi d’un questionnaire élaboré par un groupe de travail réunissant des représentants du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, et des établissements d’enseignement supérieur.
Elles donnent un aperçu des modalités de gestion des carrières des enseignants dans les universités des pays concernés, qui sont en vigueur  en juillet 2012, mais qui sont susceptibles d’évoluer. Voir l'article...

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