Les trois présidents des universités de Montpellier ont peaufiné leur projet

La création de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) par la loi de programme sur la recherche de 2006 s’inscrit dans un contexte marqué par la réflexion sur l’évaluation des politiques publiques et sur l’évolution de l’enseignement supérieur et de la recherche en France. Ainsi en dépit des nouveaux pouvoirs dévolus aux universités, l’Etat continue à exercer ses prérogatives et reste même pour certains plus intrusif que jamais. Depuis 2009, le système de répartition des moyens à la performance (SYMPA) répartit les moyens fixés par la loi de finances en fonction de l’activité (nombre d’étudiants présents aux examens de licences et de masters, nombre d’enseignants-chercheurs publiant) et de la performance des établissements se fondant notamment sur l’évaluation des formations effectuée par l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES), la réussite en licence et le nombre de diplômés de master). Le projet de loi de finances 2010 prévoyait l’attribution de 20% des crédits sur critères de performance et 80% sur critères relatifs à l’activité. Cette nouvelle répartition des dotations introduit un forme de concurrence entre les établissements.Si le financement des universités est divers – apport des collectivités territoriales (dont la part s’est accrue depuis les lois de décentralisation), des ménages via les frais d’inscription et des entreprises par le biais du financement de la formation continue et de la taxe d’apprentissage, il repose, pour l’essentiel, sur l’Etat à travers la dotation globale de fonctionnement.
Nous regroupons ici l'ensemble des articles du blog consacrés à l'évaluation de l'activité Formation Continue des universités par l'AERES.
La Formation Continue dans les Modalités d’évaluation: la vague B (2012-2015), la vague A (2011-2014).
La Formation Continue dans le Rapport de synthèse de l'AERES.
Rapports (2010):
Rapports sur la vague B (2009): 1, 2, 3.
De oprichting van het Agentschap Beoordeling van Onderzoek en Hoger Onderwijs (WAARAAN KOOLZUURGAS IS TOEGEVOEGD) door de Planning Act van 2006 op onderzoek in een context gekenmerkt door reflectie op de evaluatie van het overheidsbeleid en de evolutie van het hoger onderwijs en onderzoek in Frankrijk. We verzamelen hier alle blog posts gewijd aan de beoordeling van de activiteit van Continuing Education Universiteiten door Aeres. Permanente Vorming van de evaluatiemethoden: de golf B (2012-2015), de golf A (2011-2014). Verslagen golf B (2009): 1, 2, 3. Meer...
Objectifs et missions
Mutualisons les ressources pédagogiques !
Un enjeu: mettre à disposition des ressources pédagogiques
Les Universités numériques thématiques (UNT) mutualisent, à l’échelle nationale, des contenus pédagogiques:
* produits par des enseignants des établissements d'enseignement supérieur français;
* de toute nature (documents, cours, exercices, exemples, etc.);
* dans tout domaine disciplinaire;
* pour toute forme d’enseignement (présentiel ou non).
Ces ressources pédagogiques numériques s’adressent autant aux enseignants qu’aux étudiants. Elles s’inscrivent dans les parcours de formation et sont validées par les communautés scientifiques des UNT.
Il existe sept UNT. Elles couvrent les domaines suivants :
- Sciences de la Santé et du sport: UNF3S;
- Sciences de l'ingénieur et technologie: UNIT;
- Économie et gestion: AUNEGE;
- Environnement et développement durable: UVED;
- Sciences humaines et sociales, langues et arts: UOH;
- Sciences juridique et politiques: UNJF;
- Sciences fondamentales: UNISCIEL.
La mission des UNT s’inscrit ainsi dans la dynamique de l’accès ouvert au savoir.
Les ressources mutualisées par les établissements adhérents peuvent être:
* gratuites et ouvertes à tous;
* gratuites et réservées aux établissements adhérents (formation initiale);
* payantes : commercialisées par les établissements adhérents (ressources intégrées dans des formations continues).
Les missions du CERIMES (Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur): - faciliter l'accès des enseignants, chercheurs et étudiants de l'enseignement supérieur aux ressources audiovisuelles et multimédias et de les aider à les intégrer dans l'enseignement. A ce titre, il participe au repérage de ces ressources, à leur organisation et leur indexation, leur gestion, leur diffusion et leur valorisation, en particulier en ce qui concerne les ressources produites par les établissements d'enseignement supérieur et de recherche; - produire ou coproduire des documents audiovisuels ou multimédias à la demande d'enseignants ou de chercheurs; - informer sur les dispositifs de formation à distance des établissements de l'enseignement supérieur.
L'équipe du CERIMES: Hervé Lièvre: directeur, Anne Bardin: adjointe du directeur/responsable du site Formasup, Manuel Laurent: responsable informatique, Catherine Mercier: administratrice, Peggy Domeyne : responsable du site Cerimes, diffusion, banque d'images, Valérie Mercier: responsable du site Canal-U, Damien Poïvet: responsable de l'UTLS sur Canal-U et du site Signets des Universités,Marie-Laure Lemaire-Crespy: responsable du site Science.gouv et du site IMNE 2010, Michel Lavacry: responsable du site BibNum et du site Jeux-sérieux.fr, Marcel Lecaudey: directeur de production, réalisateur, Loïc Quentin: monteur, réalisateur, opérateur, Javier Garcia: responsable de la duplication, Christophe Durieu: duplication, expédition, numérisation, Nicole Dely: distribution et accueil.
Objectives and missions
A challenge: to provide educational resources
Thematic digital universities (UNT) mutualize, national, educational content:
* Produced by teachers of French higher education institutions;
* Any kind (papers, lectures, exercises, examples, etc.).
* In any subject area;
* Any form of education (face or not).
These digital learning resources aimed at both teachers and students. They are part of the golf course and are validated by the scientific communities of UNT.
There are seven UNT. They cover the following areas:
- Science Humanities and Social languages and arts: UOH... More...
La 20e édition de l’État de l’Ecole propose une analyse des coûts, des activités et des résultats du système éducatif incluant, notamment, la dépense pour l’enseignement supérieur et la dépense par étudiant. À noter, la sortie prochaine du n°4 de l’État de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui établit un bilan annuel et suit les évolutions du système français d’enseignement supérieur et de recherche à travers 34 indicateurs. L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009). L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°2 - décembre 2008). L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (n°1 - novembre 2007).
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 26,3 milliards d’euros en 2009. Cette dépense a été multipliée par 2,5 depuis 1980 (en prix constants). En 2009, la dépense moyenne par étudiant s’élève à 11260 euros, soit 41% de plus qu’en 1980 (en euros constants).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des DOM pour l’enseignement et les activités liées: oeuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation, etc. Elle ne comprend pas les activités de formation continue ni, jusqu’en 2006, le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités (mais elle retenait par contre l’ensemble des salaires des enseignants-chercheurs).
À partir de 2006, et en raison de la nouvelle présentation des lois de finances dans le cadre de la LOLF, on retient l’ensemble des coûts de la recherche en université (personnel, fonctionnement et investissement), ainsi que l’ensemble des coûts des bibliothèques. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires. L’indicateur international est présenté en équivalents-dollars convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.
La collectivité nationale a consacré, en 2009, 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4% par rapport à 2008 (en prix constants). Depuis 1980, la dépense pour l’enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 3,2% en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d’éducation est passé de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009.
L’accélération de cette croissance, sensible à partir de 2006, tient à un effort budgétaire accru, mais aussi à la prise en compte d’un périmètre élargi à toutes les activités de recherche en université, àunerevalorisation des cotisations sociales imputées, et enfin, à la réévaluation du coût des formations sanitaires et sociales relevant maintenant de la compétence des régions.
Sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,5 mais, face à un quasi-doublement des effectifs, la dépense moyenne par étudiant n’a augmenté que de 41,1% (compte tenu des ruptures de séries en 1999 et en 2006), atteignant 11260 euros en 2009.Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 64,6 %.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France (12770 équivalents-dollars en 2007, y compris les activités de recherche et de développement) est un peu inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE (12910 équivalents-dollars). Le coût moyen d’un étudiant estimé par l’OCDE de manière cumulée, sur l’ensemble de la durée de ses études supérieures, place aussi la France en dessous de la moyenne (mais des pays, comme les États-Unis, ne participent pas à cet indicateur).
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation. Ils varient, en 2009, de 10220 euros par an pour un étudiant d’université publique à 13730 pour un étudiant de STS et 14850 euros pour un élève de CPGE. Les coûts moyens par étudiant en IUT (ainsi que d’autres instituts rattachés) ne sont plus quantifiables depuis la mise en application de la LOLF, en raison de la globalisation des crédits des universités. Le coût théorique d’une scolarité de 18 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 141900 euros en 2009, quand une scolarité en 17 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 138700 euros.
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (plus de 72%); la part des collectivités territoriales atteint 9,8% et celle des ménages 8,8%. Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’éducation supérieure: elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porteraiten2009 le coût moyen d’un étudiant pour la nation de 11260 euros à 12520 euros.
De 20ste editie van de Staat van de School biedt een analyse van de kosten, activiteiten en resultaten van het onderwijs met inbegrip van, onder meer uitgaven voor het hoger onderwijs de uitgaven per student. Let op de aankomende release van de nummer 3 staat van Hoger Onderwijs en Onderzoek, dat een jaarlijkse evaluatie bepaalt en volgt de ontwikkelingen van het Franse systeem van hoger onderwijs en onderzoek over 34 indicatoren.
Voor Hoger Onderwijs, natie heeft de verbruikte 26,3 miljard euro in 2009. Deze uitgaven zijn vermenigvuldigd met 2,5 sinds 1980 (in constante prijzen). In 2009, de gemiddelde uitgaven per student bedraagt 11.260 euro, of 41% meer dan in 1980 (in constante euro's). Meer...