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Formation Continue du Supérieur
universite
5 janvier 2011

Les trois présidents des universités de Montpellier ont peaufiné leur projet

Logo : France 3Les présidents des trois universités montpelliéraines ont présenté mardi le projet d'initative d'excellence (Idex), baptisé "L'Homme dans un environnement en mutation", qu'ils déposeront en fin de semaine au ministère de l'Enseignement supérieur. Les négociations entre les présidents des trois universités sur ce projet Idex avaient donné des sueurs froides localement, notamment après le retrait, momentané, des négociations de la présidente de Montpellier 3 (Lettres, Sciences Humaines), Anne Fraïsse. Celle-ci considérait que le projet montpelliérain ne donnait pas assez d'importance aux disciplines qu'elle défend. Les négociations butaient également sur des questions de gouvernance. Les Idex, financés par le grand emprunt, visent à faire émerger des pôles universitaires de niveau mondial. En raison des blocages à propos de ce dossier, les politiques locaux s'étaient émus, craignant de voir partir en fumée la manne promise, soit entre 700 millions à 1 milliard d'euros prévus pour chaque campus labellisé. Le président (DVG) de la Région Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin, était même allé jusqu'à reporter la révision du plan Etat-Région, qui porte notamment sur les investissements dans l'université et la recherche, dans l'attente d'une candidature éligible de Montpellier à l'Idex. Mardi, les présidents ont présenté leur projet, qui sera transmis au ministère sous le label "Université Montpellier Sud de France", après les votes des conseils d'administration de chaque université. Le projet a pour but de mesurer l'impact du changement global sur quatre points: les ressources (eau, alimentation, énergie), la santé, les milieux et les territoires, l'Humanité et l'interculturalité. "On va prendre, comme terrain d'expérimentation, la Méditerranée pour montrer l'impact au niveau mondial du changement global", a commenté la présidente de Montpellier 2 (Sciences), Danièle Hérin, lors d'un point de presse commun aux trois présidents, qui se sont également mis d'accord sur un projet de gouvernance. Le projet concerne aussi les universités de Nîmes et de Perpignan, les écoles de Chimie et SupAgro de Montpellier, et l'Ecole des Mines d'Alès, soit quelque 75000 étudiants et 5500 cadres scientifiques.
Logo : France 3
Els presidents de tres universitats de Montpeller, dimarts va presentar els Executius Projecte lència (IDEX), anomenat "L'home en un entorn canviant", es presentarà aquest cap de setmana en el Ministeri d'Educació Superior. Les negociacions entre els presidents de les tres universitats en aquest projecte IDEX havia donat un suor fred a nivell local, sobretot després de la retirada, temporal, les negociacions del president de Montpeller 3 (Humanitats), Anne Fraisse. President (DVG) per a la regió de Llenguadoc-Rosselló, Bourquin cristià, fins i tot va arribar a l'extrem de posposar la revisió del pla Estat-Regió , que haurà d'incloure les inversions en la investigació universitària i, en previsió de una sol licitud admissible de Montpeller a la IDEX. Més informació...
2 janvier 2011

AERES: la FC à l’Université Pierre Mendès France – Grenoble 2

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de décembre 2010. Il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Le sujet est à peine évoqué dans un court paragraphe.
II – Des axes stratégiques mal partagés par la communauté universitaire

L’offre de formation continue a, quant à elle, évolué au cours du dernier quadriennal en intégrant désormais des formations dédiées (IAE). Le chiffre d’affaires reste stable (2 371 820 € en 2008) et le niveau de développement de la formation continue (FC) est encore trop disparate d’une composante à l’autre. La nomination en juin 2009 d’un VP FC et technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE) témoigne de la volonté politique de l’établissement d’agir dans ce domaine. (p.14)
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png M'hemm l-ebda parti speċifika Edukazzjoni Kontinwa. Is-suġġett bilkemm jissemma fil-paragrafu qasir.
II - strateġiċi ħażin diviż mill-komunità akkademika

L-offerta ta 'taħriġ għandha, imbagħad, evolvew matul l-aħħar erbgħa bl-integrazzjoni issa taħriġ dedikat (IAE).
Fatturat baqa 'stabbli (€ 2,371,820 fl-2008) u l-livell ta' żvilupp ta 'edukazzjoni kontinwa (CE) huwa wisq differenti minn komponent wieħed għall-ieħor. More...
14 décembre 2010

ETUDE « Formation universitaire au métier d’ingénieur »

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngDans le prolongement de son étude sur l’«  Evaluation de la recherche en ingénierie » (juin 2009), l’AERES rend public ce jour une nouvelle étude sur la formation universitaire française au métier d’ingénieur.
La formation des ingénieurs repose d’un pays à l’autre sur des stratégies variées notamment en France où les enseignements sont dispensés en écoles d’ingénieurs et en universités.
Dans le contexte actuel de rapprochement entre les écoles et les universités, l’AERES a animé un groupe de travail composé de personnalités des mondes académique et professionnel dans le domaine de l’ingénierie. Celui-ci a:
* dans un premier temps, examiné le positionnement de ces deux filières face aux divers modèles étrangers;
* dans un second temps, réfléchi à la nature d’une formation universitaire en ingénierie, par référence au modèle «international» et aux différents modèles français. Télécharger le rapport d’étude « Formation universitaire au métier d’ingénieur ». Version résumée du rapport d’étudeLire l’interview d'Yves Berthaud, professeur à l’UPMC et directeur du master mention « sciences de l’ingénieur » et de Hélène Dumon­tet, professeure à l’UPMC et directrice de la licence d’ingénierie mécanique.
La formation des ingénieurs constitue à l'évidence un facteur important de la compétitivité internationale. Elle repose d’un pays à l’autre sur des stratégies variées. Pour sa part, la France dispose de plusieurs filières dont la plus connue est celle que délivre le couple classes préparatoires/écoles d'ingénieurs accréditées par la CTI. Mais on ne peut cependant négliger la filière mise en oeuvre dans les universités menant à une licence puis à un diplôme de master dans le domaine de l’ingénierie. Cette diversité de formations est un atout et répond en effet tant à la pluralité des métiers d'ingénieur qu’à celle des profils des étudiants. La complémentarité, voire la synergie, entre ces deux filières est aussi un enjeu important dans le contexte actuel de rapprochement entre les écoles et les universités.
Dans un premier temps il lui est apparu utile d'examiner comment ces filières se situent par rapport aux divers modèles étrangers. Cette comparaison (benchmarking) est fondée, au-delà des impressions qualitatives, sur des éléments quantitatifs précisés plus loin. Le groupe de travail s’est ensuite interrogé sur la nature d’une formation universitaire en ingénierie, par référence au modèle "international" et aux différents modèles français.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Fil-kontinwazzjoni ta 'studju tiegħu dwar " Stima ta 'l-Inġinerija tar-Riċerka (Ġunju 2009), AERES rilaxxi illum studju akkademika l-ġdida dwar il-professjoni ta 'inġinier Franċiż. Edukazzjoni Engineering hija pajjiż wieħed għall-ieħor fuq varjetà ta 'strateġiji partikolarment fi Franza, fejn lezzjonijiet huma mgħallma fl-iskejjel ta' inġinerija u l-universitajiet. Fis-sitwazzjoni attwali ta 'rikonċiljazzjoni bejn skejjel u universitajiet, AERES wassal grupp ta' ħidma magħmul minn personalitajiet mill-oqsma kemm akkademiċi u professjonali fil-qasam tal-inġinerija. More...
6 décembre 2010

Evaluation de la Formation Continue par l'AERES

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngLa création de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) par la loi de programme sur la recherche de 2006 s’inscrit dans un contexte marqué par la réflexion sur l’évaluation des politiques publiques et sur l’évolution de l’enseignement supérieur et de la recherche en France. Ainsi en dépit des nouveaux pouvoirs dévolus aux universités, l’Etat continue à exercer ses prérogatives et reste même pour certains plus intrusif que jamais. Depuis 2009, le système de répartition des moyens à la performance (SYMPA) répartit les moyens fixés par la loi de finances en fonction de l’activité (nombre d’étudiants présents aux examens de licences et de masters, nombre d’enseignants-chercheurs publiant) et de la performance des établissements se fondant notamment sur l’évaluation des formations effectuée par l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES), la réussite en licence et le nombre de diplômés de master). Le projet de loi de finances 2010 prévoyait l’attribution de 20% des crédits sur critères de performance et 80% sur critères relatifs à l’activité. Cette nouvelle répartition des dotations introduit un forme de concurrence entre les établissements.Si le financement des universités est divers – apport des collectivités territoriales (dont la part s’est accrue depuis les lois de décentralisation), des ménages via les frais d’inscription et des entreprises par le biais du financement de la formation continue et de la taxe d’apprentissage, il repose, pour l’essentiel, sur l’Etat à travers la dotation globale de fonctionnement.
Nous regroupons ici l'ensemble des articles du blog consacrés à l'évaluation de l'activité Formation Continue des universités par l'AERES.
La Formation Continue dans les Modalités d’évaluation: la vague B (2012-2015), la vague A (2011-2014).
La Formation Continue dans le Rapport de synthèse de l'AERES.
Rapports (2010):

Rapports sur la vague B (2009): 1, 2, 3.

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png De oprichting van het Agentschap Beoordeling van Onderzoek en Hoger Onderwijs (WAARAAN KOOLZUURGAS IS TOEGEVOEGD) door de Planning Act van 2006 op onderzoek in een context gekenmerkt door reflectie op de evaluatie van het overheidsbeleid en de evolutie van het hoger onderwijs en onderzoek in Frankrijk. We verzamelen hier alle blog posts gewijd aan de beoordeling van de activiteit van Continuing Education Universiteiten door Aeres. Permanente Vorming van de evaluatiemethoden: de golf B (2012-2015), de golf A (2011-2014). Verslagen golf B (2009): 1, 2, 3. Meer...

6 décembre 2010

AERES: la FC au Centre universitaire de formation et de recherche Jean-François Champollion

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2010. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une partie spécifique Formation Continue:
VI – Un développement rapide de la formation continue

Le service de formation continue a été créé en 2004 et a commencé avec 9 stagiaires inscrits. Aujourd’hui, il y en a 364. La majorité de ceux ci (191) est inscrite au centre de criminologie et sciences humaines de Midi-Pyrénées, dont les responsables sont des MCF de l’Université de Toulouse le Mirail, ce qui traduit la porosité des structures au niveau des personnels. 60 autres sont inscrits dans les différentes LP, où ils représentent plus de 20 % des effectifs.
54 sont inscrits dans les masters et dans certains d’entre eux, ils représentent la quasi totalité des inscrits. Ce développement de la FC s’apparente ainsi davantage à l’activité d’individualités qu’à une véritable stratégie d’établissement, et devrait donc être plus transparent. La FC est une activité rentable pour le CUFR puisque 400 000 € ont été reversés pour l’ensemble des quatre dernières années au CUFR. Le service gère également la formation continue des personnels du CUFR. Un petit nombre de dossiers de VAE a été examiné, mais les chiffres diffèrent selon les services. (p.17)
III – La gestion des ressources humaines
Au travers d’un plan de formation, le service organise notamment la préparation au concours administratifs, ce qui paraît naturel dans un établissement qui compte de nombreux contractuels. Toutefois, si le service des ressources humaines définit, avec les agents, les besoins de formation, c’est le service de la formation continue qui exécute le plan de formation. On peut s’interroger sur le bien fondé de cette distinction. (p.27)
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Aquest informe és novembre de 2010. A la part de formació d'estratègia, hi ha alguns específics d'Educació Contínua:
VI - Un ràpid desenvolupament de l'educació permanent

Servei de formació es va crear el 2004 i va començar amb 9 alumnes matriculats.
Avui dia, hi ha 364. La majoria d'ells (191) posat al centre de Criminologia i Ciències Humanes, Migdia-Pirineus, els líders són FCM de la Universitat de Tolosa li Mirail, el que reflecteix el nivell de porositat de les estructures de personal. 60 més es troben en diferents LP, on representen més del 20% de la població activa. Més informació...
5 décembre 2010

French University Rankings Draw Praise and Criticism

http://graphics8.nytimes.com/images/misc/nytlogo152x23.gifBy Maïa De La Baume. A new French government survey that ranks public universities by graduate students’ employment rates after graduation has already earned both praise and criticism from academics.
The Ministry of Higher Education and Research surveyed 43,000 graduate students from 63 of France’s 83 universities. The study found that, on average, 91.4 percent of students were employed within 30 months of graduation, rising to 92.3 percent for those with degrees in science, technology or health.
“The result is interesting in itself,” said Jacques Fontanille, president of the University of Limoges, which came 38th in the ranking, with 91.2 percent. “It shows that French universities worked well.”
But while the study’s results were meant to underscore that the universities were not, as critics have claimed, “unemployment factories,” some university leaders and education experts called the survey simplistic and inaccurate. They added that they worried that the use of such performance indicators might undermine a system that has been based on principles calling for uniform teaching and learning conditions throughout the country.
“We weren’t prepared for a ranking,” said Yannick le Long, who runs the Institute for the Study of Student Life at the University of Rouen, which participated in the study. “It’s just silly and lacks objectivity. It’s all about consumption, like saying, ‘You can buy this car rather than that one.”’
The ranking of universities is a first in a country where universities are public, almost free and open to any citizen who has passed the baccalauréat, the high school exit examination. It is part of a broad effort by President Nicolas Sarkozy to overhaul France’s public university system, which has been called sclerotic and unambitious, by granting schools financial autonomy and pushing the increased use of performance measures.
French universities have lost a great deal of their attractiveness over the years, critics concede, as private institutions and particularly the Grandes Écoles, the elite schools that all but guarantee top jobs for life, have grown in popularity.
The ministry said, however, that the study challenged common perceptions.
“It has stricken down many prejudices,” the French minister of higher education and research, Valérie Pécresse, said in a recent interview in Le Figaro magazine. The ranking “is a real revolution of mentalities.”
“For a long time, universities considered that their responsibility would end after delivering students’ diplomas,” Ms. Pécresse said. But now, she said, helping students find a job after graduation “has become their new mission.”
The survey, which was conducted between December 2009 and July of this year and was made public last month, also provided information on recruitment, the profile of employers and the proportion of graduates from each university holding long-term work contracts.
But there was dissent from the beginning. France’s most competitive universities, including Dauphine and Jussieu in Paris, declined to participate in the survey, saying they had already conducted similar surveys of their graduates.
For Patrick Porcheron, vice president in charge of teaching and careers at Pierre and Marie Curie University, the ranking is “a null and void work that doesn’t deserve any publicity.”
Many university professors and students say such a ranking could create a patchwork of better and worse institutions, instead of a homogenous offering across the country. One prominent student union, FAGE, worried that low-ranked universities might see declines in enrollment.
“We would prefer a map of universities rather than a ranking,” FAGE said in a statement on its Web site.
Paris-XI Sud ranked highest in the survey (94.9 percent), followed by Lyon I (94.5 percent) and Rennes I (94.3 percent), while Perpignan (84.1 percent) and La Reunion (77.6 percent) in one of the country’s overseas territories, came last.
Many of the smaller universities in the survey, like the University of Pau, in southwestern France, or Le Mans, in western France, found themselves among the highest post-graduation employment rates, ahead of larger institutions like Aix-Marseille or Toulouse.
The main association of university presidents, in a statement posted on its Web site, noted that since 2007, Mr. Sarkozy’s plans had confronted French universities with “a new economic model.” But it said the results of the ranking show “differences that are too slight and indicators that are too few” for universities to develop a strategy.
For Mr. Fontanille, of the University of Limoges, the problem is more about improving the quality of employment opportunities for undergraduate degrees rather than master’s. In 2006, according to the Ministry of Higher Education, only about half of all students completed a bachelor’s degree within the standard three years.
“There is a lot of work that still needs to be done on employment for undergraduate students,” he said. “Too many people in France quit before getting an undergraduate degree and then struggle to integrate themselves into the workplace.”
4 décembre 2010

Le portail des Universités numériques thématiques (UNT)

http://www.universites-numeriques.fr/sites/www.universites-numeriques.fr/files/universitenumerique_logo.jpgObjectifs et missions
Mutualisons les ressources pédagogiques !
Un enjeu: mettre à disposition des ressources pédagogiques
Les Universités numériques thématiques (UNT) mutualisent, à l’échelle nationale, des contenus pédagogiques:
* produits par des enseignants des établissements d'enseignement supérieur français;
* de toute nature (documents, cours, exercices, exemples, etc.);
* dans tout domaine disciplinaire;
* pour toute forme d’enseignement (présentiel ou non).
Ces ressources pédagogiques numériques s’adressent autant aux enseignants qu’aux étudiants. Elles s’inscrivent dans les parcours de formation et sont validées par les communautés scientifiques des UNT.
Il existe sept UNT. Elles couvrent les domaines suivants :
- Sciences de la Santé et du sport: UNF3S;
- Sciences de l'ingénieur et technologie: UNIT;
- Économie et gestion: AUNEGE;
- Environnement et développement durable: UVED;
- Sciences humaines et sociales, langues et arts: UOH;
- Sciences juridique et politiques: UNJF;
- Sciences fondamentales: UNISCIEL.
La mission des UNT s’inscrit ainsi dans la dynamique de l’accès ouvert au savoir.
Les ressources mutualisées par les établissements adhérents peuvent être:
* gratuites et ouvertes à tous;
* gratuites et réservées aux établissements adhérents (formation initiale);
* payantes : commercialisées par les établissements adhérents (ressources intégrées dans des formations continues).
http://www.cerimes.fr/fileadmin/templates/img/logo.gifLes missions du CERIMES (Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur): - faciliter l'accès des enseignants, chercheurs et étudiants de l'enseignement supérieur aux ressources audiovisuelles et multimédias et de les aider à les intégrer dans l'enseignement. A ce titre, il participe au repérage de ces ressources, à leur organisation et leur indexation, leur gestion, leur diffusion et leur valorisation, en particulier en ce qui concerne les ressources produites par les établissements d'enseignement supérieur et de recherche; - produire ou coproduire des documents audiovisuels ou multimédias à la demande d'enseignants ou de chercheurs; - informer sur les dispositifs de formation à distance des établissements de l'enseignement supérieur.
L'équipe du CERIMES: Hervé Lièvre: directeur, Anne Bardin: adjointe du directeur/responsable du site Formasup, Manuel Laurent: responsable informatique, Catherine Mercier: administratrice, Peggy Domeyne : responsable du site Cerimes, diffusion, banque d'images, Valérie Mercier: responsable du site Canal-U, Damien Poïvet: responsable de l'UTLS sur Canal-U et du site Signets des Universités,Marie-Laure Lemaire-Crespy: responsable du site Science.gouv et du site IMNE 2010, Michel Lavacry: responsable du site BibNum et du site Jeux-sérieux.fr, Marcel Lecaudey: directeur de production, réalisateur, Loïc Quentin: monteur, réalisateur, opérateur, Javier Garcia: responsable de la duplication, Christophe Durieu: duplication, expédition, numérisation, Nicole Dely: distribution et accueil.

http://www.universites-numeriques.fr/sites/www.universites-numeriques.fr/files/universitenumerique_logo.jpg Objectives and missions
A challenge: to provide educational resources
Thematic digital universities (UNT) mutualize, national, educational content:
* Produced by teachers of French higher education institutions;
* Any kind (papers, lectures, exercises, examples, etc.).
* In any subject area;
* Any form of education (face or not).
These digital learning resources aimed at both teachers and students. They are part of the golf course and are validated by the scientific communities of UNT.
There are seven UNT. They cover the following areas:
- Science Humanities and Social languages and arts: UOH... More...

4 décembre 2010

Journée CPU des chargés de communication

http://www.cpu.fr/uploads/RTEmagicC_DSC_8073.jpg.jpgJeudi 2 décembre 2010 se tenait, à la Maison des universités, la 3ème journée CPU des chargés de communication. L’occasion pour la Conférence des présidents d’université d’inviter et d’accueillir les responsables communication et les Directeurs de cabinet de ses 121 membres sur le thème de « la communication et l’étudiant ».
Comment communiquer vers les futurs étudiants et les étudiants étrangers? Quelles initiatives mettre en place pour animer ses campus lors de la rentrée universitaire? Comment sensibiliser les étudiants à la citoyenneté? Comment créer un réseau autour de ses anciens étudiants? Autant de questions qui ont permis aux communicants de nos établissements membres d’échanger  leurs pratiques et leurs expériences.
Ouvert par Simone Bonnafous, le séminaire s’est déroulé sur une journée, et décliné en 4 temps:
- La communication et l’étudiant avant l’entrée à l’université: intervention de Véronique Duchange de l’Université de Pau et Pays de l’Adour;
- La communication pour la rentrée: intervention de François Tavernier de l’Université Paris- Est Créteil;
- La communication pendant l’université: interventions de Camille Galap de l’Université du Havre et de Anne Benoit de CampusFrance;
- La communication après l’université: interventions de Véronique Raoult, de l’Université Pierre et Marie Curie et de Katja Ebel, de l’Université de Heildelberg.
http://www.cpu.fr/uploads/RTEmagicC_DSC_8073.jpg.jpg Thursday, December 2, 2010 held at the House of universities, the 3rd day of CPU communication officers. The occasion for the Conference of University Presidents to invite and welcome communication managers and directors of staff its 121 members on the theme of "communication and the student."
How to communicate to prospective students and foreign students?
What initiatives put in place to facilitate its campus during the academic year? How to educate students for citizenship? How to create a network around its alumni? All these questions have enabled communicators of our member institutions to share their practices and experiences.
Opened by Simone Bonnafous, the seminar took place on one day, and divided into 4 stages:

- Communication and the student prior to university entrance: Véronique Duchange intervention of the University of Pau and Pays de l'Adour
. More...
4 décembre 2010

Promouvoir l'excellence à l'université

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau02.jpgValérie Pécresse a installé les 150 membres de la  20ème promotion de l'Institut universitaire de France. La ministre a rappelé que les membres de l'Institut bénéficient désormais d'une dotation de 20000 euros pour financer leurs travaux et renforcer leurs équipes, une dotation à laquelle vient s’ajouter la prime d’excellence scientifique dont elle a souhaité porter le montant à minimal à 6000 euros pour les membres juniors et à 10000 euros pour les seniors.
Concilier enseignement et recherche

Ce lieu symbolique ne doit rien au hasard. Vous avez voulu, chère Marie-Claude Maurel, non seulement fêter dignement l’anniversaire de l’institution que vous administrez, mais surtout marquer l’enracinement de l’IUF dans l’université française. Je ne peux que souscrire à cet engagement. Car la vocation de l’IUF, c’est non seulement de reconnaître l’excellence, mais aussi de permettre aux talents qui ont grandi dans nos universités de continuer à s’affirmer dans ces mêmes enceintes universitaires.
La démocratisation de notre enseignement supérieur a, je le sais, exigé beaucoup de nos enseignants-chercheurs. Pour répondre aux besoins d’étudiants de plus en plus nombreux et de plus en plus différents, chacun d’entre vous a du consacrer une part croissante de son temps à l’enseignement, mais aussi à l’accompagnement de vos étudiants et ce en plus de vos travaux scientifiques. Cet engagement fait la noblesse du métier et de la vocation des universitaires de notre pays, qui contribuent non seulement au progrès des savoirs, mais transmettent aux étudiants le goût de la science en marche.
Et c’est cet engagement, votre entrée au sein de l'IUF  vient également la reconnaître, en vous offrant davantage de temps et davantage de moyens pour mener à bien vos projets de recherche tout en poursuivant vos activités d’enseignement. C’est tout le sens de la dotation de 20000 euros dont bénéficient désormais les membres de l’Institut pour financer leurs travaux et renforcer leurs équipes, une dotation à laquelle vient s’ajouter la prime d’excellence scientifique dont j’ai souhaité porter le montant à minimal à 6000 euros pour les membres juniors et à 10000 euros pour les seniors. J’ajoute, car je suis très attachée à ce principe, que si les lauréats de l’IUF bénéficient d’une décharge d’enseignement, celle-ci reste partielle pour garantir à nos étudiants qu’ils resteront au contact de nos meilleurs enseignants-chercheurs.
Ma conviction profonde, c’est que la tension que vous ressentez parfois entre votre activité d’enseignement et vos travaux de recherche se dénoue à l’échelle d’une carrière: dans une vie d’universitaire, il est des moments où l’on peut se consacrer largement à l’enseignement. C’est une nécessité absolue, car ce qui fait le prestige et l’identité de l’université, c’est la rencontre, dans une salle de TD ou dans un amphithéâtre, des étudiants avec de grands professeurs qui sont aussi de grands chercheurs. Mais il est aussi d’autres moments où un universitaire éprouve le besoin, parfaitement légitime, de pouvoir se consacrer avec plus d’intensité encore à ses travaux. Et le rôle de l’Institut universitaire de France, c’est de répondre à ce besoin aux différentes étapes d’un parcours personnel, qui s’inscrit toujours dans l’aventure d’une équipe et d’un établissement.
Une chose est certaine: membres juniors ou membres séniors, vous vous êtes déjà beaucoup investis dans la vie de votre université. Votre entrée à l’IUF ne marque pas la fin de cet engagement, bien au contraire, elle vous offre la possibilité de l’accentuer et de le poursuivre sous d’autres formes.  Et c’est parce que je sais que cette possibilité vous est précieuse et qu’elle est source de dynamisme et de rayonnement accrus pour vos équipes et vos établissements que j’ai fait le choix d’augmenter, depuis 2008, le nombre de lauréats de l’IUF sélectionnés chaque année. Ce sont désormais 150 nouveaux membres qui promotion après promotion rejoignent vos rangs: c’est un signe très net de notre volonté de placer l’université au cœur de notre système de recherche, en permettant aux enseignants-chercheurs de construire des parcours où leurs missions se conjuguent de manière souple et harmonieuse. Promotion 2010 de l’Institut Universitaire de France. L’Institut universitaire de France au coeur du système d’enseignement supérieur et de recherche. Promouvoir l’excellence scientifique.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau02.jpg Valerie Pécresse installati l-membri 150 tat-promozzjoni 20 ta 'l-Institut Universitaire de France. Il-Ministru fakkar li l-membri ta 'l- Istitut issa għandhom dotazzjoni ta '€ 20,000 biex jiffinanzjaw ix-xogħol tagħhom u jsaħħu l-timijiet tagħhom, premjijiet li għalihom il-premium huwa miżjud għal eċċellenza xjentifika li din setgħet tistenna li żżid l-ammont mill-inqas sa 6000 euro għall-membri junior u € 10,000 għall-anzjani. Klassi tal-2010 ta 'l-Institut Universitaire de France. L-Istitut ta 'Franza fil-qalba tas-sistema ta' edukazzjoni ogħla u riċerka. Li jippromwovi l-eċċellenza xjentifika. More...
25 novembre 2010

10220 euros par an, coût moyen d'un étudiant à l'université

La 20e édition de l’État de l’Ecole propose une analyse des coûts, des activités et des résultats du système éducatif incluant, notamment, la dépense pour l’enseignement supérieur et la dépense par étudiant. À noter, la sortie prochaine du n°4 de l’État de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui établit un bilan annuel et suit les évolutions du système français d’enseignement supérieur et de recherche à travers 34 indicateurs. L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009). L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°2 - décembre 2008). L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (n°1 - novembre 2007).
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 26,3 milliards d’euros en 2009. Cette dépense a été multipliée par 2,5 depuis 1980 (en prix constants). En 2009, la dépense moyenne par étudiant s’élève à 11260 euros, soit 41% de plus qu’en 1980 (en euros constants).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des DOM pour l’enseignement et les activités liées: oeuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation, etc. Elle ne comprend pas les activités de formation continue ni, jusqu’en 2006, le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités (mais elle retenait par contre l’ensemble des salaires des enseignants-chercheurs).
À partir de 2006, et en raison de la nouvelle présentation des lois de finances dans le cadre de la LOLF, on retient l’ensemble des coûts de la recherche en université (personnel, fonctionnement et investissement), ainsi que l’ensemble des coûts des bibliothèques. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires. L’indicateur international est présenté en équivalents-dollars convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.
La collectivité nationale a consacré, en 2009, 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4% par rapport à 2008 (en prix constants). Depuis 1980, la dépense pour l’enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 3,2% en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d’éducation est passé de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009.
L’accélération de cette croissance, sensible à partir de 2006, tient à un effort budgétaire accru, mais aussi à la prise en compte d’un périmètre élargi à toutes les activités de recherche en université, àunerevalorisation des cotisations sociales imputées, et enfin, à la réévaluation du coût des formations sanitaires et sociales relevant maintenant de la compétence des régions.
Sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,5 mais, face à un quasi-doublement des effectifs, la dépense moyenne par étudiant n’a augmenté que de 41,1% (compte tenu des ruptures de séries en 1999 et en 2006), atteignant 11260 euros en 2009.Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 64,6 %.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France (12770 équivalents-dollars en 2007, y compris les activités de recherche et de développement) est un peu inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE (12910 équivalents-dollars). Le coût moyen d’un étudiant estimé par l’OCDE de manière cumulée, sur l’ensemble de la durée de ses études supérieures, place aussi la France en dessous de la moyenne (mais des pays, comme les États-Unis, ne participent pas à cet indicateur).
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation. Ils varient, en 2009, de 10220 euros par an pour un étudiant d’université publique à 13730 pour un étudiant de STS et 14850 euros pour un élève de CPGE. Les coûts moyens par étudiant en IUT (ainsi que d’autres instituts rattachés) ne sont plus quantifiables depuis la mise en application de la LOLF, en raison de la globalisation des crédits des universités. Le coût théorique d’une scolarité de 18 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 141900 euros en 2009, quand une scolarité en 17 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 138700 euros.
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (plus de 72%); la part des collectivités territoriales atteint 9,8% et celle des ménages 8,8%. Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’éducation supérieure: elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porteraiten2009 le coût moyen d’un étudiant pour la nation de 11260 euros à 12520 euros.

De 20ste editie van de Staat van de School biedt een analyse van de kosten, activiteiten en resultaten van het onderwijs met inbegrip van, onder meer uitgaven voor het hoger onderwijs de uitgaven per student. Let op de aankomende release van de nummer 3 staat van Hoger Onderwijs en Onderzoek, dat een jaarlijkse evaluatie bepaalt en volgt de ontwikkelingen van het Franse systeem van hoger onderwijs en onderzoek over 34 indicatoren.
Voor Hoger Onderwijs, natie heeft de verbruikte 26,3 miljard euro in 2009.
Deze uitgaven zijn vermenigvuldigd met 2,5 sinds 1980 (in constante prijzen). In 2009, de gemiddelde uitgaven per student bedraagt 11.260 euro, of 41% meer dan in 1980 (in constante euro's). Meer...

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