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Formation Continue du Supérieur
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25 novembre 2010

MEDEF: Signature d’une convention avec les Universités

Lionel Collet, Président de la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et Laurence Parisot, Présidente du MEDEF, ont signé le 23 novembre, à l'occasion des Rencontres Nationales de "Nos quartiers ont des talents" une convention destinée à donner un cadre aux partenariats entre les universités, les MEDEF régionaux et territoriaux, et les fédérations professionnelles intéressées.
L'accent est porté en priorité sur l'insertion professionnelle des jeunes. Parmi les autres thèmes abordés: la formation tout au long de la vie, l'employablité, la mobilité ; la recherche, l'innovation et le transfert de connaissance, l'entrepreneuriat ; la gouvernance, le rôle des fondations. La CPU et le MEDEF conviennent par ailleurs de mener des actions de sensibilisation et de communication, notamment à l'occasion du forum éducation-entreprise organisé chaque année en mars par le MEDEF, de la rencontre annuelle Universités-Entreprises de septembre à l'issue de l'Université d'été du MEDEF, du colloque annuel de la CPU. Un accord-cadre a par aileurs été signé le 22 juin dernier entre Laurence Parisot, Valérie Pécresse, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche et Luc Chatel, Ministre de l'éducation nationale. Télécharger la convention au format PDF.
Lionel Collet, President tal-Konferenza tal-Presidenti Università (CPU) u Laurence Parisot, President ta 'MEDEF, iffirmat Novembru 23, fil-Laqgħa tal Nazzjonali "kwartieri tagħna għandhom talenti" konvenzjoni li jagħti qafas għal sħubijiet bejn universitajiet, reġjonali u territorjali federazzjonijiet MEDEF u assoċjazzjonijiet ikkonċernati.
L-enfasi hija primarjament fuq l-integrazzjoni professjonali taż-żgħażagħ. Suġġetti oħra: taħriġ matul il-ħajja, employablité, mobilità, riċerka, innovazzjoni u trasferiment ta 'għarfien, l-intraprenditorija, il-governanza, ir-rwol tal-fondazzjonijiet. More...
8 novembre 2010

Dévolution du patrimoine aux universités

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpgValérie Pécresse a reçu les présidents des 9 universités ayant demandé le transfert de l’immobilier appartenant à l’Etat. A cette occasion, elle a annoncé que les 5 universités les plus avancées (Clermont 1, Corte, Paris 6, Poitiers et Toulouse 1) allaient s’engager dans la négociation finale avec l’Etat avec pour objectif une dévolution du patrimoine dès l’année prochaine. Pour ces 5 établissements, le transfert de l’immobilier représente une surface de près de 5 millions de m2 estimée à plus de 1,366 milliard d'euros.
Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a reçu les présidents des 9 universités ayant demandé le transfert de l’immobilier appartenant à l’Etat. A cette occasion, elle a annoncé que les 5 universités les plus avancées (Clermont 1, Corte, Paris 6, Poitiers et Toulouse 1) allaient s’engager dans la négociation finale avec l’Etat avec pour objectif une dévolution du patrimoine dès l’année prochaine. Pour ces 5 établissements, le transfert de l’immobilier représente une surface de près de  5 millions de m2 estimée à plus de 1,366 milliard d'euros. Ces 5 universités qui faisaient partie du groupe d’expérimentation constitué de neuf établissements (avec Paris 2, Marne-la-Vallée, Cergy, Avignon) mis en place en mai 2009, ont été retenues à l’issue d’une longue phase de travail préparatoire. Durant 18 mois, elles ont notamment du élaborer leur stratégie immobilière, mettre en place une équipe dédiée au pilotage de la gestion immobilière, déterminer le périmètre et la valeur du patrimoine à transférer ainsi que les besoins de mise en sécurité.
La ministre a précisé les prochaines étapes qui concerneront les 3 universités retenues (Clermont 1, Poitiers et Toulouse 1):
* évaluation de la dotation financière: définir les modalités de calcul de la contribution financière annuelle récurrente qui sera versée aux établissements pour le gros entretien et le renouvellement,
* contractualisation avec l’Etat: un avenant au contrat quadriennal en cours permettra de fixer les objectifs en matière d’optimisation de la gestion (gestion des surfaces, mutualisation, prise en compte du développement durable, ...),
* préparation des actes de notaire: une circulaire conjointe avec France Domaine sera prochainement transmise aux établissements, pour préparer la rédaction des actes de notaire.
Elle a indiqué que le transfert fera l’objet d’un financement de la part de l’Etat qui tiendra compte des projets et de l’activité de chaque université et non des surfaces afin de répondre au mieux aux besoins des établissements. Concernant les autres universités candidates, la ministre a ajouté qu’elles sont également invitées à poursuivre  les discussions financières dès maintenant. Cergy Paris 2, Marne-la-Vallée, Cergy, Avignon travaillent en vue d’une dévolution de leur patrimoine à partir 2012. Enfin, la ministre a rappelé l’effort exceptionnel consenti par l’Etat en faveur de l’immobilier universitaire: 2,7 Md€ d’investissements immobiliers entre 2007 et 2010, auxquels s’ajoutent les 5 Md€ de l’Opération campus. De plus, elle a précisé que pour ces 9 universités candidates, l’Etat avait investi plus de 1,8 Md€.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpg Valerie Pecresse ontving de voorzitters van de negen universiteiten die hebben gevraagd de overdracht van onroerend goed behoort tot de staat. Bij deze gelegenheid kondigde ze aan dat de 5 meest geavanceerde universiteiten (Clermont 1, Corte, Parijs 6, Poitiers en Toulouse 1) zou met de laatste onderhandelingen bezig met de Staat met het doel van de decentralisatie van de rijkdom van de volgend jaar. Voor deze vijf instellingen, de overdracht van onroerend goed vertegenwoordigt een oppervlakte van bijna 5 miljoen m2 geschat op meer dan 1,366 miljard euro. Valerie Pecresse, minister van Hoger Onderwijs en Onderzoek, ontvangen de voorzitters van de negen universiteiten hebben de overdracht van onroerend goed behoort tot de staat gevraagd. Bij deze gelegenheid kondigde ze aan dat de 5 meest geavanceerde universiteiten (Clermont 1, Corte, Parijs 6, Poitiers en Toulouse 1) zou met de laatste onderhandelingen bezig met de Staat met het doel van de decentralisatie van de rijkdom van de volgend jaar. Voor deze vijf instellingen, de overdracht van onroerend goed vertegenwoordigt een oppervlakte van bijna 5 miljoen m2 geschat op meer dan 1,366 miljard euro. Deze vijf universiteiten die deel uitmaakten van het experiment groep bestaat uit negen (twee met Paris, Marne-la-Vallee, Cergy, Avignon), opgericht in mei 2009, werden geselecteerd na een lange periode van voorbereidende werkzaamheden. Meer...
29 octobre 2010

CHE ExcellenceRanking 2010: l'Université de Provence, seule université PACA classée

http://www.iqm.de/fileadmin/Mediendatenbank/Zeitungen/DIE_ZEIT/Blaetterkatalog/DIe_Zeit.jpgThis is a University Ranking for a selected group of European universities. Find an interesting place to study in Europe and for doing your master’s or doctoral degree in one of the subjects listed!
For seven different subjects a group of about 60 European universities were selected by their results in research and internationalisation indicators. This selected group of universities is called the "Excellence Group" of the respective subject. For these Excellence Groups, an institutional survey as well as a student survey was conducted. For outstanding results in any one indicator, a "star" was awarded.
Enter the Excellence Ranking by selecting either one of the SUBJECTS or one of the UNIVERSITIES. If you select a subject, you can view the Excellence Group, compare up to three Excellence Group universities / departments with each other or search for one of over 4,500 research teams. More information especially on the methodology can be found in the ABOUT section.

Universities: France.

Dix-huit universités figurent au classement: Aix-Marseille 1 (excellence en Psychologie), Grenoble, Lille 1, Lyon 1, Lyon 2, Montpellier 2, Paris 1, Paris 5, Paris 6, Paris 7, Paris 9, Paris 11, Paris 13, Rennes 1, Strasbourg, Bordeaux 1, Toulouse 1, Toulouse 3. Sur les 18 universités françaises classées, 7 sont parisiennes.

Dans la Région PACA, seule l'Université de Provence est classée.

Le classement se centre sur 19 pays européens. Avec dix-huit universités classées, la France vient à la troisième place après le Royaume-Uni (40), l'Allemagne (34). Elle devance les autres euorpéens: l'Espagne (13), l'Italie (13), la Hollande (12), la Suède (10), la Suisse (8), l'Autriche (6), la Belgique (6), la Pologne (4), le Danemark (3), la Hongrie (3), l'Irlande (3), la République Tchèque (2), la Finlande (2), la Norvège (2), l'Estonie (1), le Portugal (1).
Other countries: Austria, Belgium, Czech Republic, Denmark, Estonia, Finland, Germany, Hungary, Ireland, Italy, Norway, Poland, Portugal, Sweden, Switzerland, The Netherlands, United Kingdom,Spain.

27 octobre 2010

L'Université tout au long de la vie

http://www.unsa-education.org/spaw/images/imagesite.jpgComment conjuguer démocratisation et société de la connaissance?
L’UNSA Education et ses syndicats Sup’Recherche, Snptes, A&I organisent un colloque scientifique international qui aura lieu le 27 novembre 2010 à Nancy. Il aura pour thème "L’université tout au long de la vie". Avec la participation de la Conférence des présidents d’université, de la conférence des directeurs de service universitaire de la formation continue, des représentants des régions, du monde économique et de très nombreuses personnalités venues d’Europe et du monde entier, ce colloque constituera un moment fort d’échanges, de confrontation et de synthèse sur l’université de demain avec une dimension centrale : le développement de la formation tout au long de la vie.
Première fédération de l’enseignement supérieur et de la recherche, l’UNSA Éducation — comme ses syndicats Sup’Recherche, SNPTES et A&I — entend formuler des propositions constructives pour l’Université et la Recherche. La fédération et ses syndicats considèrent en effet que l’indispensable contestation de la politique actuelle ne peut être une fin en soi. Cette conduite, souvent plus difficile à schématiser, s’appuie sur une conception précise du rôle du service public de l’enseignement supérieur et plus particulièrement de l’Université, dans une société de la connaissance. Dans une conjoncture marquée par des réformes précipitées, des urgences successives et quelques fois contradictoires, l’annonce régulière de milliards supplémentaires dans une situation marquée par un manque chronique de moyens, l’université se situe au cœur de mutations qui la dépassent. L’UNSA Education a donc naturellement pris l’initiative d’une réflexion de fond, demandant au département "recherches" du Centre Henri Aigueperse, d’organiser conjointement avec ses syndicats, un colloque scientifique international, le 27 novembre 2010, sur le thème de "L’université tout au long de la vie". 
Développer la formation tout au long de la vie
Avec la participation de la Conférence des présidents d'université (CPU), de la conférence des directeurs de service universitaire de la formation continue, des représentants des régions, du monde économique et de très nombreuses personnalités venues d’Europe et du monde entier, ce colloque constituera un moment fort d’échanges, de confrontation et de synthèse sur l’université de demain avec une dimension centrale : le développement de la formation tout au long de la vie.
Si nos orientations, au final, relèvent de nos propres choix, appuyer leur construction sur un travail avec des experts, notamment universitaires, doit nous aider à "viser juste" et à trouver des solutions innovantes quand le statu quo n’est pas acceptable et que le retour au passé est soit impossible soit insatisfaisant. Une organisation syndicale doit nécessairement se préoccuper de réflexion pour construire un projet d’avenir, sauf à réagir passivement à chaque nouvelle attaque. Or il s’agit bien de passer à l’offensive sur le terrain de l’Université, pour mieux construire ou reconstruire. Pour la fédération et les syndicats co-organisateurs (A&I, SNPTES, Sup’Recherche), le colloque de Nancy en sera une étape importante. Inscriptions: sup-r@unsa-education.org.
http://www.unsa-education.org/spaw/images/imagesite.jpgKif tikkombina id-demokrazija u soċjetà ta 'tagħrif?
UNSA Edukazzjoni u l-unjonijiet tagħha Sup'Recherche, Snptes A & I torganizza simpożju xjentifika internazzjonali li għandu jsir 27 Nov 2010 f'Nancy. It-tema se tkun "L-università matul il-ħajja."
Bil-parteċipazzjoni tal-Konferenza tal-Presidenti Università, il-Konferenza tad-Diretturi ta 'taħriġ servizz Università, rappreżentanti reġjonali, il-komunità tan-negozju u dinjitarji numerużi mill-Ewropa u madwar id-dinja, din il-konferenza se tkun punt għoli għal diskussjoni, tqabbil u sinteżi ta 'l-università ta' għada b'dimensjoni ċentrali: l-iżvilupp ta 'taħriġ matul il-ħajja.
Federazzjoni Ewwel ta 'edukazzjoni ogħla u riċerka, UNSA Edukazzjoni - bħala unjonijiet tagħha Sup'Recherche, SNPTES u A & I - tfittex biex jagħmlu proposti kostruttivi għal Università u Riċerka.
Il-federazzjoni u l-unjonijiet tagħha jikkonsidraw li l-isfida essenzjali tal-politika attwali ma tistax tkun għan fiha nnifisha. Din l-imġieba, ħafna drabi aktar diffiċli li jfassal, bbażata fuq kunċett preċiż ta 'l-irwol ta' edukazzjoni ogħla pubbliċi u speċjalment l-università f'soċjetà ta 'għarfien. F'ambjent mmarkata minn riformi mgħaġġlin, suċċessivi u xi kultant kontradittorji ta 'emerġenza, l-avviż regolari ta' biljuni aktar f'sitwazzjoni kkaratterizzata minn nuqqas kroniku ta 'riżorsi, l-università tinsab fil-qalba ta' mutazzjonijiet li jaqbżuha. More...
25 octobre 2010

L'accompagnement à la VAE dans les universités

http://www.prao.org/medias/photo/img_1164907540859.gif Télécharger le mémoire soutenu par Mlle Florence Hedin, à l'Université de Nantes, UFR Lettres et langages.
S'appuyant sur la théorisation des conventions sociétales en matière d'Éducation et de formation tout au long de la vie (EFTLV) du sociologue Éric Verdier, l'étude apporte des éléments de réponse à la question suivante: dans quelle mesure les conditions de l'accompagnement à la VAE dans l'enseignement supérieur sont-elles garantes de l'inspiration universaliste qui a conduit à l'élaboration du dispositif de VAE? Basée également sur des entretiens semi-directifs avec des professionnels de l'accompagnement en VAE à l'université, cette étude propose une analyse de la fonction d'accompagnateur (dimension relationnelle, posture méthodologique, adaptabilité, souplesse...).
La validation des acquis de l'expérience est apparue dans le paysage de la formation continue en France en 2002. Depuis longtemps un dispositif de formation pour adulte n'avait pas autant fait parler de lui. Aujourd'hui, tout le monde ou presque sait ce que cache le sigle VAE. Nombreux sont les colloques, les communications et les recherches qui lui sont consacrées. Son originalité et son succès sont dus à son mode d'accès aux certifications. Pour obtenir un diplôme, nul besoin de revenir sur les bancs de l'école. Le candidat à la VAE doit désormais valoriser son expérience professionnelle et les compétences acquises au cours de son parcours. Si ces dernières correspondent aux compétences normalement acquises par un élève / étudiant en formation initiale ayant obtenu le diplôme visé, alors le candidat peut prétendre à l'obtenir lui aussi. La dimension formatrice du travail est reconnue. L'école n'a plus le monopole de l'apprentissage.
http://www.prao.org/medias/photo/img_1164907540859.gifDownload the Memorandum submitted by Ms Florence Hedin, University of Nantes, Faculty of Arts and languages. Based on the theory of societal conventions in Education and training throughout life (LLL) of the sociologist Eric Verdier, the study provides some answers to the question: to what extent the conditions of accompaniment to APEL in higher education are they guaranteeing universal inspiration that led to the development of VAE device? Also based on semi-structured interviews with professionals in the accompanying VAE at university, this study provides an analysis of the function of coach (relational, methodological position, adaptability, flexibility ...). More...
24 octobre 2010

Out of the crisis into sustainable recovery? Maintaining quality in a time of constrained resources

http://www.esmu.be/templates/esmu/images/esmu_header.jpgDEAN 2010 Annual Conference. Barcelona, Monday 15 - Tuesday 16 November 2010. Opening reception on Sunday 15 November at 18.00 at UAB - Casa Convalescencia followed by EU-DRIVERS conference on Regional Innovation, 17 November 2010.
Higher education institutions are affected heavily by the economic recession and at the same time have to deal with an increasingly diverse student population with different needs, and with more demands to deliver excellence in research and education.
• How can higher education institutions take the lead to contribute to the challenges of the Knowledge Society ?   
• How can they produce the graduates which society needs in terms of responsible and flexible citizens capable of handling the complex problems of an ever evolving society?
• How can higher education institutions develop a strong research and innovation culture which makes a strong societal impact on urgent issues?
The 2010 annual DEAN conference will explore how deans and academic leaders can address some of these issues.  It will also showcase examples of responses from higher education institutions and their capacity to adapt, create and innovate both for short term gains and to address long term problems.   New forms of internal governance must follow to support strong strategic developments, backed up with internal structural changes and reorganizations to optimize the use of financial, human and physical resources. 
The conference will also look at new financial strategies necessary to support the financial sustainability of universities in the context of the difficulties and opportunities which the current crisis presents.  This includes implementing full cost policies, diversifying the funding basis by generating private funding from external contracts, commercialization of research results or by introducing tuition fees.  Building alliances with other universities and developing strategic partnerships with external regional stakeholders to work in strategic research and education priority areas will also be investigated. Download the full version of the DEAN conference announcement.
408019
EU-DRIVERS Conference: "Universities leading regional innovation: New partnerships at a time of economic crisis". Barcelona, Wednesday 17 November 2010.
As a highly focused and interactive event, the conference will be based on a report with case studies and examples of good practices on regional innovation drawn from the EU-DRIVERS pilot partnership projects and building on partners' expertise.
The EU-DRIVERS Pilot Partnership Projects are a major component of the EU-DRIVERS Project as 'showcase' projects, involving the 'triple helix' stakeholders from a university, public authority (local/regional government) and business/community. The projects provide a core base for practical knowledge sharing about routes to improving regional cooperation between universities, public authorities and business to encourage regional innovation. During the conference, specific case studies addressing opportunities for regional developments in times of crisis will be addressed.
The conference will start with a networking dinner on 16 November. On 17 November the conference will be split into morning plenary sessions with key senior level speakers and afternoon thematic parallel sessions.
The underlying aim is to provide participants with the latest information on developments with regional innovation policy and practice. To do so, the conference will relate to EU and national policy and showcase examples of successful regional cooperation from within and beyond the EU-DRIVERS partnership. Preliminary programme.

23 octobre 2010

Palmarès des universités selon Résosup

http://www.resosup.fr/IMG/siteon0.jpgSuite à la diffusion dans la presse des résultats de l’enquête nationale sur le devenir des diplômés de Master, le CA de RESOSUP publie le communiqué suivant.
L’insertion professionnelle des diplômés des universités: les mauvais choix de la communication ministérielle
Plusieurs médias ont relayé des informations concernant les résultats de l’enquête nationale sur le devenir des diplômés de Master des universités. Notre association professionnelle, qui regroupe les observatoires universitaires, a travaillé depuis deux ans avec les différents partenaires (Ministère, Conférence des présidents d'université, Céreq) à la préparation de cette opération d’envergure; ses membres, professionnels du domaine ont tous mené à bien cette enquête dans leurs établissements respectifs. Les remarques que RESOSUP porte sur la communication ministérielle des résultats de cette enquête n'en ont que plus de poids:
Au lieu de mettre en avant un « hit-parade » entre les universités et même par filière, pourquoi ne pas simplement donner le grand résultat de cette enquête : les universités offrent une meilleure insertion professionnelle aux titulaires de bac + 5 (Master) que ce que l’on en dit généralement?
Au lieu d’utiliser un seul indicateur (le taux d’insertion) pour départager à 0,1% les universités, pourquoi ne pas rendre compte de la complexité du réel à travers plusieurs indicateurs, ce que tous les professionnels du secteur font depuis des décennies?
Au lieu de comparer des chiffres incomparables pour aboutir « au premier palmarès des universités », pourquoi ne pas publier – comme le Ministère s’y était encore récemment engagé – des résultats tenant compte des caractéristiques des marchés locaux du travail, de celles des populations de chaque université et de l’offre de formation de chaque université?
Peut-on sérieusement comparer les « performances » d’une université parisienne spécialisée qui existe depuis le Moyen Age à une université pluridisciplinaire d’une ville moyenne créée après guerre?
Au lieu de laisser croire que la volonté de savoir ce que deviennent les diplômés des universités est récente et mal coordonnée, pourquoi ne pas rappeler que les premiers observatoires universitaires existent et font des études sur l’insertion des diplômés depuis les années 90 et que la grande majorité des universités ont une structure de ce type depuis 5 ans?
Au lieu de se précipiter dans une communication parfois incertaine (confusion entre un « pourcentage de diplômés en emploi au bout de 30 mois » et un taux d’insertion (nombre de diplômés en emploi sur nombre de diplômés sur le marché du travail, des taux d’insertion qui miraculeusement atteignent 100 %, certaines universités classées dans des domaines où elles ne devraient pas être, des taux de réponse très variables d’une université à l’autre mais non communiqués, une focalisation sur certains secteurs pour lesquels les données brutes peuvent être trompeuses…), pourquoi ne pas faire ce que le Ministère avait annoncé qu’il
ferait : une concertation entre les services centraux et les présidents d’université appuyés par leurs observatoires avant une publication nationale de manière à corriger des erreurs que seuls les acteurs locaux pouvaient expliquer?
Voir les articles du blog: Le premier palmarès des universités et Le Palmarès des universités selon la CPU.

http://www.resosup.fr/IMG/siteon0.jpg Wara l-kopertura istampa tar-riżultati ta 'stħarriġ nazzjonali dwar id-destin ta' gradwati tal-Kaptan, l-AC RESOSUP tippubblika l-komunikat li ġejjin.
Il-impjegabilità tal-gradwati universitarji: l-għażla żbaljata ta 'komunikazzjonijiet korporattivi
ħwienet Diversi midja jkunu trasmessi informazzjoni dwar ir-riżultati tal-istħarriġ nazzjonali dwar id-destin tal-gradwati ta 'universitajiet Master. Assoċjazzjoni professjonali tagħna, li jinkludi osservatorji università, ħadem għal sentejn ma 'sħab differenti (Ministeru, il-Konferenza tal-Presidenti Università, Céreq) it-tħejjija ta' din l-operazzjoni maġġuri, u l-membri tagħha, professjonisti kollha wasslu barra dan l-istħarriġ fl-istituzzjonijiet rispettivi tagħhom. Les remarques que RESOSUP porte sur la communication ministérielle des résultats de cette enquête n'en ont que plus de poids: Ir-rimarki RESOSUP huwa fuq il-komunikazzjoni ministerjali tar-riżultati ta 'dan l-istħarriġ ma jkollhomx aktar piż. View artikli blog: L-ewwel grad ta 'universitajiet u universitajiet ta 'Premjijiet mill-CPU. More...

18 octobre 2010

Classement des universités : pourquoi la première université de France n'y figure pas

Revenir à l'accueil EducPros.fr, un site de l'EtudiantPar Mathieu Oui et Camille Stromboni. Classement des universités : pourquoi la première université de France n'y figure pas ?
Première du palmarès de Shanghaï, l'UPMC (université Pierre et Marie Curie) est étrangement absente de la première enquête nationale d'insertion professionnelle des diplômés de master, publiée par le ministère de l'Enseignement supérieur le 15 octobre 2010. Une enquête qui permet d'établir un classement général des universités en fonction de ce critère. Résultat : Paris 11,  Lyon 1, Paris 13, Rennes 1 et Le Mans tiennent la tête du palmarès. En queue de peloton, La Réunion, Perpignan, Toulouse 2, Aix-Marseille 1 et Montpellier 3.
Voir les articles sur le blog de la coordination: Le premier palmarès des universités et Le classement des universités qui mènent vers l'emploi.
Back home EducPros.fr, site of the StudentBy Mathieu and Camille Stromboni Yes. University Rankings: Why the first university in France is not there?
First winners of Shanghai, UPMC (Universite Pierre et Marie Curie) is strangely absent from the first national survey of graduate employability Masters, published by the Ministry of Higher Education October 15, 2010
. More...
17 octobre 2010

Sortir l’université du déclin

http://l.liberation.fr/img/content/lg_libe.gifPar Véronique Soulé. Cinq «refondateurs» posent un diagnostic et avancent des mesures concrètes pour réformer tout le système. Refonder l’université d’Olivier Beaud, Marcel Gauchet, Alain Cailllé, François Vatin et Pierre Encrenaz, éditions La Découverte.
Tout semble rentré dans l’ordre. Après le long mouvement de 2009, les universitaires et les chercheurs ont regagné leurs facs et leurs labos. Les universités se sont converties à l’autonomie. Et la ministre de l’Enseignement supérieur Valérie Pécresse se réjouit de l’engouement suscité par la loi sur l’autonomie (LRU). Pourtant, derrière cette sérénité, le malaise persiste. Dans un ouvrage, cinq universitaires en appellent à une refondation urgente de l’université promise, sinon, à une mort certaine. Le juriste Olivier Beaud, le philosophe Marcel Gauchet, les sociologues Alain Caillé et François Vatin, ainsi que le physicien Pierre Encrenaz, ont participé au mouvement. Ils ont été à l’origine d’un Appel pour refonder l’université, réunissant des signataires de sensibilités diverses mais tous partisans d’une réforme radicale du supérieur.
Malgré l’échec du mouvement, ils refusent de baisser les bras et font onze propositions pour sortir l’université du déclin. Le péché originel de la LRU est, d’après eux, de n’avoir voulu réformer que l’université. Or, tout le système d’enseignement supérieur - avec son enchevêtrement d’écoles, grandes et petites, de classes prépas, intégrées ou non, d’Institut universitaire de technologie (IUT) et de Section de technicien supérieur (STS)… - est revoir. Avec la démocratisation, l’université est devenue «la voiture-balai» du supérieur, déplorent-ils. Alors que les autres établissements peuvent sélectionner leurs étudiants et attirer les meilleurs, elle doit accueillir tout le monde et, de plus, avec des moyens bien inférieurs à ceux des prépas et des écoles. Hormis en médecine et en droit, un grand nombre d’étudiants y viennent dès lors par défaut. Du coup, elle se retrouve en concurrence déloyale avec les écoles et se voit reprocher son inefficacité, en raison du fort taux d’échec les premières années.
«On ne pourra résoudre la crise sans toucher au verrou fondamental que constitue le processus de sélection orientation, qui bloque tout le système, écrivent les auteurs. Il ne s’agit pas de réduire le droit des jeunes Français à poursuivre des études supérieures, mais de faire en sorte que ce droit ne conduise pas à imposer à l’université, et à elle seule, de prendre en charge le public refusé ailleurs, et ne lui interdise pas de créer les filières d’excellence conformes à sa vocation.»
Le mot tabou est prononcé : sélection. C’est la deuxième proposition des refondateurs : «une sélection au minimum au niveau de l’entrée en master» , juste après la licence. Le sujet est ultrasensible. Les auteurs concèdent que faire sauter ce principe peut enflammer les étudiants et que «chez nombre d’universitaires, il repose sur une conviction de la mission démocratique de leur institution». Mais pour sauver l’université, ils jugent indispensable de le dépasser.
A défaut d’introduire la sélection à l’entrée, ils prônent une refonte du système, avec la création d’un grand service public réunissant les prépas, les IUT, les STS et les premiers cycles universitaires, dans l’esprit d’une propédeutique préparant aux études supérieures. Ils font d’autres propositions assez iconoclastes - un capital études alloué à tous les étudiants -, avec l’espoir de susciter le grand débat dont l’université a été flouée avec le mouvement anti-LRU.
http://l.liberation.fr/img/content/lg_libe.gif Door Veronique Soule. Five "heroprichting" van een diagnose en stelt concrete stappen om het systeem hervorming van de hele. Herstichting Universiteit van Olivier Beaud, Marcel Gauchet Cailllé Alain, Francois en Pierre Encrenaz Vatin, Editions La Decouverte. Alles lijkt weer normaal.Na de lange verplaatsing van 2009, hebben wetenschappers en onderzoekers terug naar hun zakken en hun laboratoria. De universiteiten hebben omgezet naar autonomie. En de minister van Hoger Onderwijs Valerie Pecresse is verheugd over de opwinding van de Autonomy Law (LRU). Maar achter deze sereniteit, de pijn aanhoudt. In een boek, vijf academici oproep voor dringende herziening van de universiteit beloofd, anders een zekere dood. De advocaat Olivier Beaud, filosoof Marcel Gauchet, sociologen Alain Caille en Francois Vatin en fysicus Pierre Encrenaz, namen deel aan de beweging. Ze werden oorspronkelijk een oproep aan de universiteit te herbouwen, het samenbrengen van de ondertekenaars van de verschillende gevoeligheden, maar alle aanhangers van een radicale hervorming van het hoger onderwijs. Meer...
16 octobre 2010

A decade of European co-operation in quality assurance in higher education

http://www.bnei.org/newsletter/octobre/enqa.jpgOn the occasion of its 10th anniversary, ENQA published this publication to celebrate the accomplishments in the quality assurance of European higher education from the early 1990’s until 2010. The authors of this publication, Dorte Kristoffersen who was already a member of the steering group of the European Pilot Projects, and the first three Chairmen and Presidents Christian Thune, Peter Williams and Bruno Curvale, bring their individual views to the history and present position of ENQA. The publication gives an overview of ENQA’s major milestones and identifies opportunities and challenges for the next decade.
In 2010, ENQA published a statement on the European Commission’s Report on Progress in Quality Assurance, pointing to the major achievements that were made in applying the ESG in different national settings which forms a true European dimension of quality assurance. Therefore, ENQA does not promote the creation of a unifi ed, pan-European quality assurance regime. However, while respecting the principles of diversity and subsidiarity, it does promote the compatibility and comparability of quality assurance processes that are based on common principles. Download this publication.
In the ministerial conference of 2010, ENQA presented an ENQA report for the Anniversary Bologna ministerial meeting, emphasising areas of quality assurance still to be tackled. The contributions of the authors give a deep insight into the development of quality assurance in Europe and a wider European higher education area, in both methodological and institutional terms. It becomes clear that when those quality enthusiasts met in the late nineties, this was only the beginning of a long and ongoing journey.
From 2010 and onwards, the major challenge, in my view, is to strengthen the political role of ENQA. It must be ENQA’s aim to be a main political actor with material infl uence on decision-making processes at the European level, and to deliver the core values of quality assurance as enunciated in the ESG. Thus, ENQA aims to be recognised as the core source of expertise and information in the field of quality assurance at the European level. The second main aim is to develop quality assurance processes as core instruments for both enhancement and accountability purposes. Thirdly, in order to reach these aims, ENQA needs to comprise quality assurance agencies from all countries in the EHEA to be as inclusive as possible, and also needs the active involvement of all members.
I hope to see ENQA to evolve as an active membership organisation providing knowledge, sharing of best practises and views among its members and partners. I would like to see ENQA evolve into a peer support community for European quality assurance professionals. In reaching these aims, ENQA as the voice of European quality assurance agencies will substantially contribute to the implementation of our vision of a European higher education system that is committed to a culture of quality.
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