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Formation Continue du Supérieur
24 mars 2013

Donnez-nous votre avis sur l'utilisation du plan de formation

http://www.unifaf.fr/attached_file/componentId/kmelia24/attachmentId/33694/lang/fr/name/unifaf-pictos-plan%20180%20large.jpgUnifaf s’associe à l’étude lancée par le Centre d’Analyse Stratégique sur l’utilisation du plan de formation par les entreprises. Si vous êtes dirigeant d’association, DRH, responsable formation, représentant du personnel, vous pouvez répondre à cette enquête.
Il vous suffit d'une dizaine de minutes pour compléter le questionnaire en ligne.
L'objectif de cette étude? Comprendre comment se construit le plan de formation, ce qui en détermine les objectifs, les contours et le contenu, et ce qui conditionne l'accès à la formation des salariés dans l'entreprise.
A noter: les résultats transmis sont strictement anonymes et confidentiels. Ils ne seront analysés que dans le cadre de cette étude.
La date limite de réponse est le 31 mars 2013.
Pour accéder au questionnaire: cliquez ici.
Unifaf joins the study launched by the Centre for Strategic Analysis on the use of the training plan by enterprises. If you are an officer of association, HRD, training manager, staff representative, you can respond to this survey. Just ten minutes to complete the questionnaire online. The objective of this study? Understand how to build the training plan, which determines the objectives, content and contours, and what determines the access to training employees in the company. More...
24 mars 2013

Qu'est-ce que la VAE ?

La validation des acquis de l’expérience (VAE) est un droit individuel qui permet à toute personne engagée dans la vie active de demander la validation de son expérience.
La validation des acquis de l’expérience (VAE) est un droit individuel qui permet à toute personne engagée dans la vie active de demander la validation de son expérience acquise dans l’exercice d’une activité salariée, non salariée ou bénévole, en vue de l’acquisition d’un diplôme à finalité professionnelle, d’un titre professionnel ou d’un certificat de qualification de branche (loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, consultable sur le site: www.legifrance.gouv.fr).
La VAE c’est aussi:

    reconnaître que l’on peut apprendre en dehors de situations formelles d’apprentissage,
    admettre que ses savoirs issus de l’expérience peuvent être reconnus comme équivalents à des connaissances acquises dans une salle de cours.
Elle concerne toute personne justifiant d’au moins trois ans d’expérience:

    en continu ou discontinu,
    à temps plein ou à temps partiel, dans une activité salariée, non salariée ou bénévole en rapport direct avec le diplôme, le titre ou le certificat visé.
Attention : Ne sont pas pris en compte, les périodes de formation initiale ou continue, les stages et les périodes de formation en milieu professionnel effectués pour la préparation d’un diplôme, d’un titre ou d’un certificat de qualification professionnelle. Télécharger le document Dynamiser votre carrière avec la VAE.
Is é an bailíochtú taithí a fuarthas (VAE) ceart duine aonair a ligeann duine ar bith ag gabháil leis an saol a lorg bailíochtú ar a gcuid taithí. Is é an bailíochtú taithí a fuarthas (VAE) ceart duine aonair a ligeann duine ar bith ag gabháil leis an saol a lorg bailíochtú ar a gcuid taithí i bhfeidhmiú sochair fostaíochta, féinfhostaíochta nó oibrí deonach le haghaidh a fháil a bhfuil céim gairmiúla, teideal gairmiúil nó deimhniú brainse cáilíochta. Níos mó...

24 mars 2013

Chômage: pourquoi les femmes sont plus exposées que les hommes

L’égalité face à l’emploi est loin d’être acquise en France. Alors que les femmes sont plus diplômées que leurs confrères masculins, elles restent néanmoins plus touchées par le chômage. Décryptage.
En 25 ans, les taux de chômage masculin et féminin se sont rapprochés

Le chômage en France touche davantage les femmes que les hommes. La formation, l’âge, les enfants conditionnent l’insertion des femmes sur un marché du travail fortement marqué par le temps partiel. Si, en 2009, l’écart du taux de chômage était quasi-nul entre les deux sexes, la disparité s’est depuis accrue.
Selon l’Observatoire des inégalités, en 2009, alors que les femmes tiraient profit de la création d’emplois dans les secteurs du service, de l’enseignement ou de la santé, la crise était plus néfaste pour les hommes qui occupaient des postes fortement touchés par la crise tels que le bâtiment ou l’industrie. Un phénomène inédit depuis les années 70 qui a eu pour conséquence de réduire l’écart du taux de chômage entre les deux sexes. Au cours de l’année 2010, la crise a finalement touché l’emploi tertiaire, secteur très investi par les femmes. Depuis, l’écart du taux de chômage entre hommes et femmes persiste, mais se réduit. Il était presque de 4 points en 1985 et de 0,9 point en 2011. En 2011, 8,8% des hommes actifs étaient au chômage contre 9,7% des femmes actives.
Les femmes réussissent mieux à l’école mais s’insèrent moins bien dans le monde du travail

C’est un fait, les filles réussissent mieux leurs études que les garçons. Pourtant, la question de la réussite sociale des femmes reste préoccupante: si elles réussissent mieux dans le domaine scolaire, elles s’insèrent moins facilement dans le milieu professionnel.
A la fin du collège, quelque soit le milieu social des filles ou leur réussite scolaire, elles sont plus nombreuses à s’orienter vers l’enseignement général ou technologique plutôt que professionnel. De plus, elles délaissent l’enseignement scientifique et technique au profit des filières littéraires. Après le Baccalauréat, ce constat se maintient. Dans les classes préparatoires, 75% de l’ensemble des élèves en filière littéraire sont des filles alors qu’elles ne sont que 30% en filière scientifique. Par exemple, 26% des diplômes d’ingénieurs sont obtenus par des femmes. Dans l’administration publique, l’enseignement, la santé humaine ou l’action sociale, la part des femmes est de 66,9% tandis que dans l’industrie (28%), la construction (10%) et le commerce (45%), la part des femmes reste faible.
Certains secteurs dits mieux qualifiés et mieux payés restent encore largement occupés par les hommes. A ce titre, Michèle Perrot, historienne et féministe française rappelle que « Ce modèle de société, fondé sur une division très forte du travail entre les sexes, et qui nous vient de très loin, a été érodé mais n'a pas disparu. » Par exemple, dans le numérique, entre 2008 et 2011, la désaffection des jeunes femmes pour les formations scientifiques et techniques reste marquée: 55 000 femmes pour 78 000 hommes.
Réussir dans sa vie professionnelle et s’épanouir dans sa vie personnelle reste un challenge quotidien pour les femmes. Alors que les places en crèche manquent, que la grossesse reste un frein à la carrière, « les promotions dépendent encore de leur présence en entreprise et des résultats» . Bien heureusement, entreprises, institutions et associations s’investissent sur ce sujet et œuvrent au quotidien pour plus d’égalité! A titre d’exemple, « Les femmes se réapproprient le secteur du numérique ».
Equality in employment is far from being achieved in France. While women are more educated than their male counterparts, they are still most affected by unemployment. Decryption.
In 25 years, the unemployment rate for men and women have approached
Unemployment in France affects women more than men. Training, age, children determine the inclusion of women on the labor market strongly influenced by part-time. If, in 2009, the gap in the unemployment rate was almost zero between the two sexes, the disparity has since increased. More...
24 mars 2013

L'Ecole face au défi des compétences et de la compétitivité - Refonder la licence professionnelle et le master

TerraNova logoPar Daniel Bloch, Ismail Tsouria, Jacques Perrin, Jean-Yves Ledoux, Maya Akkari. 130 000 jeunes - un sur six - sortent aujourd'hui de l'Ecole sans diplôme. Seulement un quart des jeunes atteignent ou dépassent le niveau de la licence. Face aux défis posés par le développement de la base productive et de la compétitivité de notre pays, le service public de l'éducation, avec l'appui des entreprises et des collectivités territoriales, doit pouvoir réduire la proportion de jeunes sortant du système éducatif sans diplôme, et élever le niveau national d'éducation et de formation. La présente note formule seize propositions pour développer le baccalauréat professionnel, refonder la licence professionnelle et le master, réduire les sorties sans diplôme, prendre appui dans cette stratégie sur le territorial. Télécharger la note.
Extraits
Nous mettons en avant 16 propositions, simples et pratiques, pour que l’Ecole prenne toute sa part dans la bataille de la jeunesse et de la compétitivité.

Refonder la licence professionnelle et le master

- Proposition n°5 : refonder la licence professionnelle sous forme d’un dispositif présentant une cohérence pédagogique portant sur l’ensemble des trois années de préparation, qu’elles soient constituées d’un cycle continu de trois ans conduisant à cette licence, ou qu’elles incluent le passage intermédiaire d’un BTS ou d’un DUT.
- Proposition n°6 : conduire, d’ici cinq années, la moitié des bacheliers technologiques jusqu’à la licence professionnelle, dans le cadre aussi d’une refondation de la voie technologique, du lycée jusqu’à la licence.
- Proposition n°7 : supprimer la distinction entre masters Recherche et masters professionnels, tous les masters devant présenter un caractère professionnel. Supprimer la barrière entre la première et la seconde année, avec l’objectif d’un doublement à terme du nombre de diplômés au niveau des masters.
- Proposition n°8 : développer la formation par la recherche publique ou privée sous la forme d’une formation complémentaire d’une année post-master en alternance université – entreprise.
L’Université française et ses diplômes

La France a adopté, en 2002, un système de certification à visibilité européenne qui distingue trois niveaux successifs de diplômes: la licence (L), le master (M) puis le doctorat (D). Même si la France en a été à l’origine - Claude Allègre en ayant été l’instigateur et le pilote - cette réforme, adoptée lors de la conférence interministérielle de Bologne en 1999, a des effets plus apparents que réels.
Hier. L’Université délivrait – en dehors notamment du secteur santé - cinq diplômes de niveaux distincts. Le premier, qui nécessitait en principe deux années d’études, était diversifié, puisqu’il incluait tout à la fois le DEUG - le diplôme d’études générales délivré par les Universités - et le DUT - le diplôme universitaire de technologie préparé dans un institut universitaire de technologie, au sein de l’Université. Le BTS ou brevet de technicien supérieur, sensiblement équivalent au DUT, était préparé dans les sections de techniciens supérieurs des Lycées.
Le deuxième niveau était celui de la licence accessible après une année d’études supplémentaire sous condition d’avoir obtenu le DEUG. Suivait le niveau de la maîtrise qui nécessitait encore une année supplémentaire, le passage de la licence à la maîtrise étant de droit pour les étudiants ayant obtenu la licence. Le quatrième niveau était, ou bien celui du Diplôme d’Études Approfondies (DEA) qui était destiné à des maîtres qui envisageaient de poursuivre en direction d’un doctorat (constituant le cinquième niveau) ou alors le Diplôme d’Études Spécialisées (DESS) pour ceux qui voulaient préparer l’entrée dans la vie professionnelle. Ces deux diplômes, le DEA comme le DESS, pouvaient être préparés en un an, et donc être obtenus cinq années après le baccalauréat, tout comme les diplômes d’ingénieur ou d’écoles de commerce qui pouvaient, en ce qui les concerne, être attribués sans qu’un diplôme intermédiaire soit imposé.
Aujourd’hui. La licence (L) demeure. A ses côtés existe une licence professionnelle, construite en principe en fonction des débouchés auxquels elle prépare. La première année du Master (M1) n’est guère différente de ce qu’était l’ancienne maîtrise, le passage de la licence à la maîtrise demeurant de droit pour ceux qui possèdent la licence. L’inscription en deuxième année du Master (M2) professionnel ou recherche s’effectue par contre sur dossier, et seuls les « meilleurs » dossiers sont retenus. Il en était de même pour l’entrée en DEA ou en DESS.
La licence professionnelle constitue de fait un objet mal identifié, non piloté. Alors que la licence générale constitue un passage obligé mais cohérent des bacheliers vers un master, la licence professionnelle prend la forme d’une année plaquée sur un cursus préexistant, sans nécessairement être associée à un parcours pédagogique cohérent. Leur lisibilité est réduite: il existe aujourd’hui 2 000 licences professionnelles distinctes avec seulement 20 étudiants chacune en moyenne! Il faut refonder la licence professionnelle afin qu’elle s’ouvre davantage aux bacheliers technologiques mais aussi professionnels, ce qui implique que soient tracés des parcours bien adaptés, notamment aux profils des bacheliers technologiques, et formant un bloc de trois années construit de façon cohérente.
Il s’agit de la solution la plus réaliste, certainement aussi la plus efficace pour l’objectif consistant à conduire la moitié de la génération au niveau de la licence. Même si les IUT doivent être les moteurs essentiels de cette refondation, puisqu’il s’agit notamment de prolonger d’une année les études qui y prennent aujourd’hui place, en assurant une nouvelle cohérence d’ensemble des trois années d’études proposées, il est clair qu’elle ne peut être leur exclusivité, les sections de techniciens supérieurs pouvant aussi être mobilisées à cet effet. Et surtout, les Universités ont toute liberté également pour offrir des parcours permettant d’accéder directement à ce diplôme, le plus souvent en trois ans. Il s’agit ainsi d’un bon thème de travail pour les commissions académiques de coordination des formations post—baccalauréat. La  refondation de la licence professionnelle, suivant ces bases, et au profit de cette nouvelle ambition, constitue notre sixième proposition...
Conduire, d’ici cinq années, la moitié des bacheliers technologiques jusqu’à la licence professionnelle constitue notre septième proposition d’action. Il serait important qu’une partie significative des moyens supplémentaires prévus au cours du quinquennat pour les enseignements supérieurs soient affectés ainsi à la promotion des bacheliers technologiques mais aussi professionnels, aujourd’hui pratiquement exclus de formations conduisant à des emplois de cadre. Comme, il s’agit pour l’essentiel de jeunes issus de milieux défavorisés, cette exclusion constitue aussi un déni de mobilité sociale ascendante.
L’enseignement supérieur long: évidemment professionnel

De l’insuffisance du nombre de diplômés au niveau de la licence résulte un déficit de diplômés au niveau des études supérieures « longues ». Comme à peine plus de 25% des jeunes accèdent au niveau de la licence, il n’est pas anormal que moins de 20% de la génération seulement possède un diplôme ressortant des études supérieures longues. Si au cours des 25 dernières années le nombre d’ingénieurs formés – à l’extérieur ou à l’intérieur des Universités - a plus que doublé, et si celui des diplômés des écoles de commerce a presque quadruplé formant désormais 30 000 diplômés par an, le plus important secteur à ce niveau demeure celui lié aux Masters avec leurs 90 000 diplômés. Dans le même temps, les filières universitaires traditionnelles perdent de leur attractivité. Ainsi en 2005, elles accueillaient 61% des bacheliers généraux, mais seulement 53 % lors de la dernière rentrée. Sans pour autant, et c’est heureux, que le nombre total d’ingénieurs et de masters scientifiques se réduise, mais parce que les bacheliers choisissent d’abord les filières à objectifs professionnels affirmés: les classes préparatoires aux grandes écoles, les formations universitaires de la santé et du secteur paramédical, les STS ou les IUT. Si l’on s’en tient à la seule première année de la licence universitaire scientifique (L1), alors qu’elle accueillait 24% des bacheliers S en 1996, elle n’en a plus accueilli que 17% en 2002 et seulement 11% en 2008: une réduction par un facteur deux en dix ans. De même, les effectifs des masters « professionnels » ou indifférenciés s’accroissent, mais sans pour autant parvenir à contrebalancer la baisse des effectifs des masters « recherche ».
Nous proposons que soit supprimée la distinction entre les masters Recherche et les masters professionnels, et que les recrutements s’effectuent au niveau de l’entrée en première année. En l’assortissant néanmoins d’une condition : que le nouveau dispositif conduise à délivrer un nombre plus important de masters que ne le faisait le dispositif précédent. Si la France ne diplôme pas suffisamment au niveau de la licence, elle doit aussi augmenter de façon sensible le nombre de ses diplômés au niveau des masters ou équivalents. Cette huitième proposition implique que tous les masters aient un caractère professionnel, avec l’acquisition par les étudiants de compétences affirmées, y compris d’un certain nombre de celles pouvant être mobilisables au cours de la préparation ultérieure d’un doctorat. Cette relation entre les masters et les activités de recherche pourrait utilement être renforcée en associant de façon systématique les masters aux écoles doctorales relevant des mêmes spécialités. De fait, tous les étudiants des masters doivent, au cours de leur scolarité, à la fois être sensibilisés à des questions relatives à la recherche – par leurs enseignants et si possible par des stages dans des laboratoires de recherche – mais aussi par des stages sur d’autres terrains, en entreprises ou dans les administrations. Une formation plus approfondie par la recherche, d’une année environ, pourrait leur être proposée, débouchant sur un diplôme créé en 1991 mais qui n’a guère été mis en œuvre depuis, le diplôme de recherche technologique (DRT). Cette formation, placée sous une double tutelle universitaire et économique et organisée en alternance, est destinée à former à des emplois d’ingénieurs de recherche, et notamment pour les PME/PMI. Notre neuvième proposition consiste ainsi à réintroduire cette formation complémentaire courte par la recherche académique et industrielle. Télécharger la note.
TerraNova logo Faoi Daniel Bloch, Ismail Tsouria, Jacques Perrin, Jean-Yves Ledoux, Maya Akkari 130,000 daoine óga -. Duine as gach seisear - amach inniu ó Scoil gan dioplóma. Níl ach an ceathrú cuid de dhaoine óga a bhaint amach nó ar an leibhéal an cheadúnais níos mó ná. Ní mór dúshláin a bhaineann le forbairt an bonn táirgiúil agus cumas iomaíochta na tíre, oideachas seirbhíse poiblí, le tacaíocht ó ghnólachtaí agus d'údaráis áitiúla in ann a laghdú ar líon na ndaoine óga a fhágann an córas oideachais gan céime, agus an leibhéal náisiúnta oideachais agus oiliúna. Níos mó...
24 mars 2013

L’AERES participe aux RUE 2013

AERESL’AERES participe aux RUE 2013!
L’AERES participe aux sixièmes Rencontres Universités Entreprises (RUE) qui se déroulent les 27 et 28 mars 2013 au Palais des Congrès de Paris. Ce salon professionnel de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, organisé par l’AEF, rassemble de grandes entreprises, des PME, et des établissements d’enseignement supérieur et de recherche. Le programme de l’édition 2013 s’articule autour de quatre thématiques: formation/insertion; recherche et développement/innovation; communautés professionnelles; international.
Lors de cet évènement, l’AERES vous accueillera sur son stand et organisera:
- un petit-déjeuner avec les fédérations professionnelles pour une découverte du métier, de l’expertise et des productions de l’AERES (9h30-10h30, le 27 mars);
- un atelier à l’intention des directeurs de ressources humaines pour une appropriation des productions de l’AERES, références objectives de la qualité des formations et diplômes (16h-17h le 27 mars).
Inscrivez-vous sur le site internet des RUE (entrée libre et gratuite): www.rue-aef.com!

Contact AERES: caroline.cordier@aeres-evaluation.fr.
AERES AERES participates RUE 2013!
AERES participates sixth Dating Universities Enterprises (RUE) taking place on 27 and 28 March 2013 at the Palais des Congrès in Paris. This tradeshow Higher Education, Research and Innovation, organized by the AEF, brings together large companies, SMEs and institutions of higher education and research. More...
24 mars 2013

Votre soutenance en 180 secondes

3 minutes chrono et une unique diapositive PowerPoint pour présenter son sujet de recherche... Le concours "Votre soutenance en 180 secondes" invite les doctorants lorrains à "présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire profane et diversifié". Chaque candidat devra faire un exposé "clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche".
A la clef: un voyage à Québec en mai lors du 81e congrès de l’ACFAS (Association francophone pour le savoir) pour participer à une grande finale aux côtés d’étudiants québécois et belges. L’exercice vise à apporter aux futurs chercheurs une formation à la communication afin d’apprendre à présenter ses travaux de recherche lors de congrès ou auprès d’employeurs potentiels. La participation au concours favorise également la mise en contact avec des spécialistes de la communication, des scientifiques et des représentants du monde économique. A noter: l’équipe de la sous-direction Culture scientifique et technique de l’Université de Lorraine propose d’accompagner les candidats lors de sessions de formation.
Renseignements et inscription (jusqu’au 25 mars) sur le site de l’Université de Lorraine.
Un défi pour tous les doctorants lorrains!

« Votre soutenance en 180 secondes » est un concours destiné aux doctorants, initialement lancé en Australie et repris en 2012 au Québec. Il permet aux jeunes chercheurs de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire profane et diversifié. Chaque étudiant doit faire, en trois minutes précises, un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche, en respectant un ensemble de règles. Le travail sur cette présentation concise pourra être réutilisé par les doctorants, lors de congrès de recherche ou auprès de futurs employeurs potentiels, devant qui il est indispensable de savoir se présenter rapidement et efficacement, tout en se faisant parfaitement comprendre.
Quels sont les objectifs du concours?

Cette opération est un projet de communication et de culture scientifique et technique au service de la recherche. Elle contribue à apporter aux futurs chercheurs de toutes disciplines une formation à la communication, pour apprendre à faire comprendre son travail de recherche. En parallèle, la participation à ce concours permet aux doctorants de s’ouvrir sur d’autres disciplines, afin de leur faire prendre du recul sur leur propre travail. Enfin, les journées de formation et les finales favoriseront la mise en contact des doctorants avec des scientifiques et des représentants du monde industriel, dans un contexte convivial propice aux échanges.
5 lauréats régionaux se verront remettre un prix par un jury composé de spécialistes de la communication, de scientifiques, de représentants du monde économique. Les deux meilleurs lauréats se verront offrir un voyage à Québec, au 81e congrès de l’ACFAS, pour participer à une grande finale aux côtés d’étudiants québécois et belges.
Comment le concours se déroule-t-il ?

Le concours se déroule en plusieurs phases:
    début février : lancement des inscriptions sur le web
    courant février à Metz et Nancy : réunions d’information sur le projet
    19 et 20 mars à Metz et Nancy : permanences de l’équipe d’organisation pour préparation individuelle en conditions réelles
    25 mars : fin des inscriptions
    2 et 3 avril à Metz et Nancy : phases de présélection
    16 avril à Nancy : finale régionale
    6 mai à Québec : grande finale au congrès de l’ACFAS
Les présentations, lors des phases finales, suivent des règles bien précises:
    180 secondes précises pour la présentation: à la fin du temps imparti le doctorant a terminé sa présentation, sinon il est éliminé.
    Un visuel format Powerpoint, non animé, avec une unique diapositive, est projeté sur écran
    La présentation se fait en une seule fois, sans interruption du jury.
Un accompagnement sur mesure

Pour soutenir au mieux les candidats lorrains, l’équipe de la sous-direction Culture scientifique et technique de l’Université de Lorraine propose un accompagnement des candidats au travers de plusieurs sessions de formation. Les doctorants auront la possibilité de poser toutes leurs questions sur le déroulement du concours et pourront bénéficier de conseils personnalisés:
    indications sur le contenu de la présentation: accessibilité du sujet, simplicité et structure du discours, compréhension du visuel…
    indications sur la forme de la présentation: attitude générale, compréhension, communication non verbale…
Ces sessions auront lieu les 19 et 20 mars à Metz et Nancy. D’autres interventions sont prévues au cours des DCCE (février) et des Doctoriales de Lorraine (avril).
Conditions de participation et inscription

Le concours est ouvert à tous les doctorants inscrits à l’Université de Lorraine, avec une carte d’étudiant valide pour l’année 2012/2013.
Les inscriptions se font via le lien "Formation" sur la plate-forme ADUM.
Les participants acceptent le règlement du concours et devront se rendre disponibles pour les différentes phases de présélection, la finale régionale à Nancy, et la semaine du 5 au 12 mai pour un déplacement à Québec. (un passeport valide est indispensable pour tous les ressortissants de l’espace Shengen, une demande de visa devra être anticipée pour les autres candidats).
Pour toute question…

Merci de poser toutes vos questions à l’adresse suivante: 180secondes@univ-lorraine.fr.

3 nóiméad Chrono agus amháin PowerPoint sleamhnán a chur i láthair a gcuid ábhar taighde... an comórtas "Do cosanta in 180 soicind" cuireadh Lorraine dochtúireachta "a chur i láthair a gcuid ábhar taighde i dtéarmaí simplí a layman agus lucht féachana éagsúla." Beidh gach iarrthóir a thabhairt i láthair "soiléir, gonta agus áititheach, áfach, a thionscadal taighde."
A eochair: turas chun na Québec Bealtaine ag Comhdháil 81 den ACFAS (Cumann francophone Doirt gcuntas savoir) páirt a ghlacadh i mhór deiridh taobh mic léinn ó Québec agus an Bheilg. Níos mó...

24 mars 2013

Réflexion sur la création d’un compte individuel de formation

Rapport au ministre en charge de la formation professionnelle Réflexion sur la création d’un compte individuel de formation du CNFPTLV - Mars 2013.
Introduction

Dans le prolongement de la conférence sociale des 9 et 10 juillet 2012, Monsieur Thierry Repentin, ministre délégué à la formation professionnelle et à l’apprentissage, a souhaité que le Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie conduise une réflexion sur la notion de compte individuel de formation.
Un groupe de travail, composé de membres du Conseil, s’est constitué pour conduire cette réflexion. Il s’est réuni six fois d’octobre 2012 à janvier 2013, avec une grande assiduité de ses participants. Il a fait émerger une réflexion collective qui est retracée dans ce rapport. Le groupe de travail a été, à l’image du Conseil, un lieu original dans le paysage de la formation professionnelle en rassemblant tous les acteurs du système, notamment des services de l’Etat, des conseils régionaux et des représentants des partenaires sociaux. Il a su rester à l’écoute des chantiers conduits par ailleurs: négociation sociale débouchant sur l’accord interprofessionnel du 11 janvier 2013, projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République, acte III de la décentralisation. Pour autant, il ne s’est pas transformé en espace de négociation.
Le rapport issu de cette réflexion a fait l’objet d’un débat et d’une adoption par le Conseil plénier le 18 mars 2013. Il comporte des éléments de convergence mais également des points de questionnement non résolus. Les positions exprimées dans le rapport n’engagent pas individuellement chacune des organisations représentées au sein du Conseil mais elles représentent une synthèse à un moment donné permettant d’engager, dans les cadres adéquats, les travaux qui seront jugés utiles pour aller plus loin. Les organisations qui l’ont souhaité, ont intégré en fin du rapport l’expression écrite de leur propre réflexion.
Ce rapport a été rédigé par Pierre Le Douaron, conseiller technique auprès du Conseil national, avec la participation de Philippe Méhaut, président de la commission évaluation du Conseil, et Françoise Amat, secrétaire générale. Il a bénéficié de l’appui de l’inspection générale des affaires sociales en la personne de Marie-Laure Balmès...
Conclusion

Fort du consensus trouvé en son sein, le Conseil valide la pertinence d’un compte individuel de formation sous la forme d’un réceptacle de différents droits. Il considère que ce compte individuel a comme principal objectif d’appuyer l’individu dans sa démarche de construction d’un projet personnel tout au long de la vie. Pour cela, les articulations à construire entre la formation initiale et la formation continue ainsi que la portabilité des possibilités ouvertes à l’individu quel que soit son statut pour réaliser un projet significatif sur le plan de la qualification, sont prioritaires. Néanmoins, il ne souhaite pas s’engager dans une démarche de capitalisation individuelle sur le modèle anglo-saxon.
Le Conseil souligne que la création, par la loi, d’un tel compte est inséparable d’un réexamen progressif des dispositifs existants, dans un souci de bonne gestion des fonds de la formation et de lisibilité du système français. Il appelle donc à ce que soient articulées les négociations entre les partenaires sociaux, la nouvelle étape de décentralisation et la réforme de l’école. Il est attentif au fait que la création d’un compte individuel aux objectifs multiples, et donc la combinaison de plusieurs logiques, peut déboucher sur des solutions complexes, éventuellement antinomiques de son souhait de lisibilité accrue du système pour l’utilisateur.
Conscient des limites de sa réflexion, le Conseil considère l’ampleur du chemin qui reste à parcourir pour parvenir à l’opérationnalité d’un compte individuel de formation pour tous. Il recommande de confier cette tâche à une instance quadripartite, Etat, conseils régionaux, organisations patronales et salariées, qui devra s’attacher notamment à progresser dans la réponse aux questions posées dans ce rapport. Il souligne que cette instance ne peut pas écarter, si l’ambition est celle de l’universalité, les représentants du « hors champ », des employeurs publics et des représentants des travailleurs indépendants. Il considère qu’il appartient à cette instance de fixer en harmonie le tempo des nécessaires négociations entre les différentes parties au système de formation professionnelle.
Le Conseil souligne enfin que les inévitables difficultés de la mise en oeuvre d’un dispositif aussi complexe, en mobilisant les énergies, ne doivent jamais occulter que la création d’un compte n’est pas une fin en soi. Les conditions de sa mise en oeuvre doivent par conséquent être réinterrogées en permanence afin de s’assurer qu’elles demeurent adéquates par rapport à la finalité poursuivie, à savoir renforcer la capacité de chacun à conduire son projet professionnel en articulant mieux ce projet, dès lors qu’il est reconnu pertinent, avec la mise à disposition des moyens pour le réaliser. C’est à ce prix que l’introduction d’un compte individuel de formation peut contribuer à une évolution à terme de notre modèle national en dépassant les cloisonnements des statuts et des temporalités et en ancrant dans la conscience collective l’évidence de la formation tout au long de la vie. Télécharger le rapport Réflexion sur la création d’un compte individuel de formation.
Report to the Minister in charge of training Reflections on creating an individual learning account of CNFPTLV - March 2013.
Introduction
In the wake of the social conference on 9 and 10 July 2012, Thierry Repentin, Minister for vocational training and apprenticeship, hoped that the National Council for Vocational Training throughout life lead a reflection on the notion of individual learning accounts. More...
24 mars 2013

Thierry Repentin quitte le ministère délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage

Prisme LimousinSuite au remaniement ministériel, Thierry Repentin passe du ministère délégué à la Formation professionnelle et à l'Apprentissage au ministère délégué aux Affaires européennes. Il ne sera pas remplacé. La compétence "formation professionnelle et apprentissage", et notamment le dossier sur la réforme de la formation professionnelle, sera désormais assurée par Michel Sapin.
- Un pôle formation est créé au sein du ministère et sera dirigé par Jérôme Giudicelli.
- Catherine Beauvois
, jusque là conseillère technique « décentralisation, réseaux territoriaux et instances de concertation » devrait voir son périmètre élargi à des missions « accès et droit à la formation continue, offre de formation ».
- Daniel Vatant
, garde ses attributions de conseiller technique « apprentissage et alternance ».
- Christian Ville
, ancien directeur de cabinet, retrouve l’Inspection générale des affaires sociales, son corps d’origine.
- Sophie Donzel
, chef de cabinet de Thierry Repentin, suit son patron dans ses nouvelles fonctions, tout comme François-Stéphane Hamon, conseiller parlementaire du nouveau ministre délégué aux Affaires européennes.

Prism Limousin Tar éis an athordófar,, caitheann Thierry Repentin Aireacht um Oiliúint agus Foghlama An Roinn um Ghnóthaí Eorpacha. Ní bheidh sé in ionad. Inniúlachta "oiliúint agus foghlaim", lena n-áirítear an taifead ar athchóiriú gairmoiliúint, a bhainistiú anois ag Michel Sapin. Níos mó...

24 mars 2013

Objectif - 3750 emplois d'avenir en région Centre

http://www.etoile.regioncentre.fr/webdav/site/etoile/shared/Upload/Articlesactu/2012/arton8613-53190.jpg3750 emplois d'avenir en région Centre
Les premiers emplois d’avenir (EA) sur la région ont été signés par Michel Sapin, Ministre chargé de l’emploi, le 16 novembre à Tours. Au total, près de 3.750 emplois d’avenir de ce type devraient être conclus en région Centre d’ici fin 2013.
A qui sont destinés ces emplois?

Leur cible? Des jeunes peu ou pas qualifiés venant de zones sensibles ou à fort taux de chômage. Avec 17,4% des jeunes au chômage, soit deux points de plus qu’au niveau national, ce nouveau dispositif concerne particulièrement la région Centre. La région comptait, à la fin du mois d’août dernier, 19 300 demandeurs d’emploi de catégorie A âgés de moins de 25 ans. Les plus touchés sont les jeunes sortis sans qualification du système scolaire: 45% d’entre eux sont au chômage quatre ans après la fin de leurs études, contre 19% pour des jeunes sortis de formation initiale. C’est pourquoi le nouveau dispositif des emplois d’avenir, voté le 9 octobre dernier, concerne essentiellement les jeunes de 16 à 25 ans (30 ans pour les travailleurs handicapés) sans qualification ou de niveau CAP/BEP, issus principalement de zone urbaine sensible ou zone de revitalisation rurale. « L’un des gages du succès des emplois d’avenir est de bien cibler le public », confirme Dorine Gardin, directrice régionale adjointe et responsable du pôle ’’Entreprise, emploi, économie’’ de la DIRECCTE, la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Parmi les 100 000 emplois d’avenir créés sur 14 mois au niveau national, 6 000 seront par ailleurs réservés à de futurs professeurs, pour des étudiants boursiers préparant le concours d’enseignant, résidant ou ayant résidé en zone urbaine sensible.
Dans quels secteurs?

Les emplois proposés sont des CDI ou des CDD de 1 à 3 ans à temps plein, à 90% dans le secteur non-marchand: associations, collectivités locales... « Les 10% restants seront mis en place dans le secteur marchand », indique Dorine Gardin. « Les domaines d’activité prioritaires sont déterminés avec le Conseil régional: il s’agira de secteurs en tension comme la restauration ou le secteur sanitaire et social, ainsi que des secteurs en lien avec le développement durable comme l’éco-construction ou la gestion des déchets ».
Les structures et entreprises accueillantes, qui bénéficieront d’une aide de l’Etat de 75% de la rémunération du jeune sur la base du Smic pour le secteur non-marchand (35% pour le secteur marchand) sont également sélectionnées en fonction de leur capacité à former et encadrer les jeunes. « Cet accompagnement est la clef de voûte du dispositif. Il s’agit d’un public en difficulté face à l’emploi, c’est un véritable défi! », commente Dorine Gardin. « Il va falloir trouver des employeurs, et motiver les jeunes: 4.000 contrats, cela représente 10% du public suivi par les missions locales! ». Autre objectif: réussir à convaincre les collectivités locales de s’engager significativement dans le dispositif.
Les partenaires de ce dispositif

Un comité de pilotage, présidé par les services de l’Etat, réunit les différents partenaires (le Conseil régional et les Départements, les financeurs de la formation et les associations ’’têtes de pont’’). Le rapprochement entre les jeunes et les employeurs sera effectué par Pôle Emploi, les missions locales et les Cap emploi, ces deux dernières étant ensuite chargées du suivi et de l’accompagnement des jeunes.
Toutes les informations utiles sont sur le site dédié: www.lesemploisdavenir.gouv.fr.
Documents à télécharger:

Dépliant employeur emplois d’avenir telecharger.
Guide employeur emplois d’avenir telecharger.
Dépliant jeune emplois d’avenir telecharger.
3750 jobs of the future in the Centre region
The first jobs of the future (EA) in the region have been signed by Michel Sapin, Minister for Employment, November 16 in Tours.
In total, nearly 3,750 jobs for the future of this type should be entered in the central region by the end of 2013. More...
24 mars 2013

Le dispositif emplois d'avenir

AccueilPlus de 2 000 emplois d'avenir sont prévus en Auvergne d'ici décembre 2014 dans le secteur public, associatif, d’utilité sociale ou environnementale. Revue de détails pour les professionnels de l'AIOA.
Objectif
Faciliter l'insertion professionnelle des jeunes sans emploi.
Bénéficiaires
- Etre âgé(e) entre 16 et 25 ans (30 ans pour les personnes handicapées)
- Le candidat n’a pas de diplôme ou a un CAP/BEP et recherche un emploi depuis plus de 6 mois.
- A titre dérogatoire est éligible le candidat jusqu'à bac+3 et en recherche d’emploi depuis 12 mois au cours des 18 derniers mois en habitant en ZUS (zone urbaine sensible), ZRR (zone de revitalisation rurale) ou en outre-mer (sous réserve de validation de la Direccte).
La formation dans le contrat

- Une formation
- Un suivi personnalisé professionnel avant, pendant et après l'emploi d'avenir
- Une attestation d’expérience professionnelle
Démarches

- Le jeune contacte sa Mission locale
- L'employeur contacte Pôle Emploi (ou Cap Emploi le cas échéant)
Les secteurs qui recrutent

Les emplois d’avenir concernent à la fois les activités ayant une utilité sociale ou de préservation de l’environnement ou encore les secteurs créateurs d’emplois: services à la personne, animation socio-culturelle, développement durable, collectivités territoriales, etc…
Les emplois d'avenir concernent également des secteurs marchands. La liste des métiers éligibles est, dans ce cas, propre à chaque région et fixée par le préfet, en collaboration avec le président du conseil régional. L'arrêté préfectoral du 1er mars 2013 fixe "la liste des secteurs marchands éligibles à la conclusion des emplois d'avenirs" en Auvergne.
AccueilTous les documents qui permettront la mise en oeuvre des emplois d'avenir en Auvergne, pour les prescripteurs, les employeurs et les jeunes bénéficiaires.
Pour les opérateurs Emploi d'avenir (Pôle emploi, Mission locale, Cap emploi)

- Le guide de l'opérateur emploi d'avenir
- Questions-réponses DGEFP n°1 relatif aux emplois d’avenir (janvier 2013)
- Le site des Emplois d'avenir
- Appel à projet: intervention du FPSPP à hauteur de 70% du coût pédagogique des actions prises en charge par les OPCA.
Pour les employeurs

Le dépliant Emploi d'avenir pour les employeurs non-marchands:

Le guide employeurs des Emplois d'avenir.
Le dossier d'engagement et de suivi.
Pour les jeunes

Le dépliant Emploi d'avenir pour les jeunes.
Lire le numéro de la lettre d'information des Services de l'Etat en Auvergne consacrée aux emplois d'avenir.
Articles de presse relatifs aux emplois d'avenir
- Unanimité pour les emplois d'avenir (La Montagne, 29/01/2013).
- Pour celles et ceux qui n'y croient plus (La Montagne, 31/01/2013).

Fáilte Níos mó ná 2,000 post Táthar ag súil i Auvergne amach anseo Nollaig 2014 san earnáil phoiblí, comhthiomsaitheach, luach sóisialta nó comhshaoil. Athbhreithniú a dhéanamh ar na sonraí le haghaidh AIOA gairmiúla.
Cuspóir
Éascú a dhéanamh ar chomhtháthú gairmiúil óige dífhostaithe. Níos mó...
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