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Formation Continue du Supérieur
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3 juin 2011

Passeport pour l'emploi 2011 – Des formations pour des métiers

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/b/b9/Lofo_Aix-Marseille_Universit%C3%A9.png/285px-Lofo_Aix-Marseille_Universit%C3%A9.pngAix-Marseille Université : des formations pour des métiers. Le « Passeport pour l’emploi – Des formations pour des métiers » rassemble l’ensemble des formations dispensées dans les universités d’Aix-Marseille. Télécharger le Passeport pour l'emploi.
Les trois universités d’Aix-Marseille : l’Université de Provence (Aix-Marseille 1), l’Université de la Méditerranée (Aix-Marseille 2) et l’Université Paul-Cézanne (Aix-Marseille 3) – proposent des formations courtes et longues couvrant la totalité des champs disciplinaires: Arts, Lettres, Langues, Sciences Humaines ; Droit et Sciences Politiques ; Économie et Gestion ; Santé ; Sciences et Technologies.
Ensemble, elles offrent dans tous les domaines les meilleures formations, les meilleures expériences et la meilleure insertion professionnelle. Elles représentent actuellement 70 000 étudiants et 6 600 personnels, enseignants, chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs.
Avec 150 laboratoires de recherche labellisés, leur potentiel est inégalable.
Après avoir mené de concert et avec succès l’Opération Campus, elles préparent aujourd’hui de manière coordonnée les différentes réponses aux appels d’offre du Grand Emprunt dans l’objectif d’obtenir le label Campus d’excellence.
Pour permettre à ce potentiel, inestimable à l’échelle d’une région, de donner sa pleine mesure, les trois universités construisent aujourd’hui l’université unique d’Aix-Marseille qui naîtra le 1er janvier 2012 et qui accueillera des étudiants sur ses différents campus - à Aix-en-Provence, Marseille, Arles, Aubagne, Digne, Gap, Lambesc, ou Salon et participera ainsi à la construction de leur avenir.
La fusion des universités d’Aix-Marseille

C’est l’histoire d’un projet ambitieux qui devient réalité… La fusion des trois universités d’Aix-Marseille : l’Université de Provence (Aix-Marseille 1), l’Université de la Méditerranée (Aix-Marseille 2) et l’Université Paul-Cézanne (Aix-Marseille 3).
C’est l’histoire d’une exigence territoriale et disciplinaire, le besoin de cohérence et de lisibilité. C’est enfin l’histoire de communautés d’hommes et de femmes, qui portent leurs identités propres et leurs différences pour construire une université unique et assurer ensemble une même mission de service public : la création, la transmission et la valorisation des savoirs, l’orientation et l’insertion professionnelle des étudiants, l’accueil de tous et la réussite de chacun.
Aix-Marseille Université, dotée d’un ensemble disciplinaire couvrant tous les champs de la connaissance, a pour ambition de constituer un établissement positionné aux premiers rangs internationaux et de faire d’Aix-Marseille la capitale des savoirs du sud de l’Europe.
Les Conseils d’administration des 3 universités ont voté le 10 décembre 2010, les statuts de la prochaine université unique, après deux étapes antérieures décisives: •25 novembre 2008 : vote de la structuration politique et administrative, •18 décembre 2009 : vote des principes fondateurs. Ces statuts définissent les missions, l’organisation, les structures de la nouvelle université, qui naîtra le 1er janvier 2012.
Les universités d’Aix-Marseille ensemble

Les trois universités d’Aix-Marseille représentent actuellement quelque 70 000 étudiants et 6 600 personnels, enseignants, chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs. Ensemble, elles couvrent la totalité des champs disciplinaires: Arts, Lettres, Langues, Sciences Humaines; Droit et Sciences Politiques; Économie et Gestion; Santé; Sciences et Technologies. Ensemble, elles offrent, dans tous les domaines, les meilleures formations, les meilleures expériences, la meilleure insertion professionnelle. Ensemble, avec 150 laboratoires de recherche labellisés, leur potentiel est inégalable. Ensemble, elles ont mené avec succès l’Opération Campus. Elles préparent aujourd’hui de manière coordonnée les différentes réponses aux appels d’offre du Grand Emprunt avec, pour objectif, d’obtenir le label Campus d’excellence. L’Université unique permettra au 1er janvier 2012 de réunir tout ce potentiel.
Deux nouveaux établissements en 2012

Dans une logique de politique de site, la création de l’Université unique s’accompagne de la naissance d’un Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES) nouveau au 1er janvier 2012 également. Ce nouvel établissement assurera les relations entre les différents acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche avec le monde socio-économique à l’échelle de son territoire (Universités du territoire, écoles et grandes écoles, organismes de recherche, pôles de compétitivité, collectivités, entreprises, etc).
Ainsi, Aix-Marseille Université et le PRES Provence-Méditerranée deviendront un acteur de tout premier plan sur le territoire, en partenariat étroit et incontournable avec l’Etat et les collectivités territoriales.
Télécharger le Passeport pour l'emploi.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/b/b9/Lofo_Aix-Marseille_Universit% C3% A9.png/285px-Lofo_Aix-Marseille_Universit% C3% A9.png Università di Aix-Marsiglia: formazione per i mestieri. Il Passaporto per l'occupazione - Formazione per i Mestieri "riunisce tutti i corsi offerti dalle università di Aix-Marsiglia. Scarica il Passaporto per l'occupazione .
Le tre università di Aix-Marsiglia: Université de Provence (Aix-Marseille 1), Université de la Méditerranée (Aix-Marseille 2) e l'Università Paul Cézanne (Aix-Marseille 3) - offrire una formazione lunghe e corte che coprono tutte le discipline: Arte, Lettere, Lingue, Lettere, Giurisprudenza e Scienze Politiche, Economia e Management, Salute, Scienza e Tecnologia. Insieme offrono in tutti i settori la migliore formazione, esperienza migliore e una migliore occupabilità. Sono attualmente 70.000 studenti e 6.600 dipendenti, insegnanti, ricercatori, ingegneri, tecnici e personale amministrativo
. Maggiore informazioni...

2 juin 2011

Communication des entreprises auprès des universités

les dossiers de l'orientationLe "Coin des RH"
Nouer des liens avec le monde de la formation est devenu inévitable pour les entreprises. Ecoles-entreprises réalise donc ici un dossier complet sur les différents moyens de collaboration avec les établissements.

Au sommaire du "Coin des RH": Taxe d'apprentissage : la chasse est ouverte, Stage en entreprise : Mode d'emploi, Grandes écoles : la formation s'adapte à la demande, Apprentis bac +2/3 : une valeur sûre pour l'entreprise, Handicap : recruter sans discriminer. Ce tour d'horizon est l'occasion pour les entreprises de faire un point sur leur stratégie de communication auprès des écoles et des universités. Et d'imaginer de nouveaux partenariats pour rendre encore plus efficace cette collaboration.
Taxe d'apprentissage : la chasse est ouverte !

Tout commence toujours par un mail qui arrive aux alentours du mois de décembre, intitulé le plus souvent "Soutenez notre développement", "Prenez part au déploiement de notre Ecole" ou encore "Donnez-nous les moyens de nos ambitions". Puis le flot s'amplifie... Pas de doute, la nouvelle année arrive et avec elle, le versement de la taxe d'apprentissage. Destinée à faire participer les employeurs au financement des formations initiales de l'enseignement technologique et professionnel, la taxe est également le seul impôt dont le payeur peut choisir les bénéficiaires. Au moment du versement, les établissements habilités à la percevoir lancent donc leurs "opérations séduction" auprès des entreprises pour attirer des fonds qui constituent une part non négligeable de leurs revenus annuels.
Au moment du versement, les établissements habilités à la percevoir lancent donc leurs "opérations séduction" auprès des entreprises pour attirer des fonds qui constituent une part non négligeable de leurs revenus annuels. Vous pouvez d'ailleurs consulter cette sur liste en cliquant ici : Etablissements habilités à recevoir la taxe d'apprentissage.
Comment choisir les bénéficiaires de sa taxe d'apprentissage ?
Du coté des entreprises, soutenir financièrement un ou plusieurs établissements démontre une volonté de s'engager de façon active dans la formation. De plus, cette subvention, en nature ou en espèces, permet d'instaurer une relation école-entreprise privilégiée sur un mode gagnant/gagnant. Ce rapprochement se traduit sous des formes très diverses selon les possibilités et aspirations de chacun : accueil de stagiaires ou de jeunes diplômés, création de chaires d'entreprises, sessions de formation continue, participation à des manifestations diverses.
Avant de s'engager, l'entreprise doit donc prendre soin de se poser plusieurs questions :
    A quel usage seront utilisés les fonds ?
    Les filières de formation correspondent-elles à mes attentes ?
    Les domaines d'expertises ou de recherches peuvent-ils répondre à mes besoins ?
    Ai-je intérêt à affirmer ma marque employeur auprès de ces futurs jeunes diplômés ?
    Quels sont les collaborations envisageables entre mon entreprise et l'établissement subventionné ?
Depuis 2006, les dons directs auprès des établissements ne sont plus autorisés. Désormais, le versement de la taxe doit se faire auprès d'un organisme collecteur qui se charge ensuite de la répartition.
A l'entreprise ensuite de désigner clairement ses bénéficiaires, sans oublier d'en informer les écoles en question pour éviter toute erreur.
Le versement de la taxe d'apprentissage est à effectuer avant le 1 mars 2011.
Les barèmes

Chaque barème fixe en pourcentage la répartition de la taxe restante entre trois catégories :
A, B et C qui correspondent aux formations suivantes :
Catégorie A : CPPN, CPA, lycées professionnels et agricoles, publics et privés, préparant à un CAP, niveaux IV et V.
Catégorie B : lycées d'enseignement technologique, IUT, établissements techniques et agricoles publics ou privés préparant à un baccalauréat de technicien, un brevet de technicien supérieur ou à un diplôme universitaire de technologie, niveaux II et III.
Catégorie C : écoles d'ingénieurs publiques ou privées, écoles d'enseignement supérieur économique et commercial, laboratoires, UFR préparant au master professionnel (ex-DESS) et au diplôme de docteur-ingénieur, établissements délivrant des maîtrises de sciences et techniques à caractère technologique, établissements préparant des diplômes du secteur paramédical, établissements délivrant une maîtrise de sciences et techniques (MST), une maîtrise des méthodes informatiques appliquées à la gestion (MIAGE) ou une maîtrise de sciences de gestion (MSG), niveau I.
Possibilités de cumul

Les pourcentages prévus par les barèmes peuvent être cumulés par l'entreprise entre deux catégories voisines, partiellement ou totalement, au profit d'une seule de ces catégories.
Le choix doit se porter sur l'un des deux cumuls suivant : catégorie A + catégorie B ou catégorie B + catégorie C, en fonction de la catégorie du barème à laquelle l'établissement ouvre normalement droit (exemple : les L.P., classés en catégorie A peuvent recevoir par cumul la totalité ou une partie de la catégorie B).
L'employeur peut être dispensé d'appliquer le barème dans deux cas :
    Lorsque, après imputation au titre du quota, le montant de la taxe brute n'excède pas 307 euros
    Lorsqu'il justifie avoir effectué des dépenses directes d'apprentissage pour un montant au moins égal à une fois et demi celui de la taxe brute.
Le stage en entreprise, mode d'emploi

Quels que soient leurs niveaux, la plupart des cursus prévoient un stage en entreprise. Un passage obligé pour les jeunes en quête de professionnalisation, et l'occasion pour l'employeur de s'impliquer dans le processus de formation initiale, voire de détecter de bons éléments pour une future embauche. Les entreprises ont un rôle important à jouer dans la formation des étudiants. Plusieurs leviers s'ouvrent à elles : financement des formations, des établissements, participation à l'élaboration des programmes. et surtout les stages. "Depuis toujours, les périodes de formations en entreprises ont montré leur efficacité", rappelle Jean-Marie Castenada, professeur de génie mécanique à Toulouse.
Apprentis bac +2/3 : une valeur sûre pour l'entreprise

Entre le poids traditionnel des CAP et Bac Pro dans l'apprentissage et l'engouement médiatique pour l'alternance à Bac +5, les Bac +2 et Bac +3 se feraient presque oublier. Ce sont pourtant les niveaux de formations qui ont le plus fait augmenter le volume de l'apprentissage dans le supérieur. Cette progression s'explique par l'intérêt des entreprises pour cette main d'ouvre.
nyilvántartások útmutató A "HR Corner"
Csatlakoztatása a világ képzési elkerülhetetlenné vált a vállalkozások számára. Iskolai üzleti itt, akkor végez egy teljes rekordot a különböző eszközökkel való együttműködést intézményekkel.

Tartalma "HR Corner": Tanulóidõ adó: vadászat nyitott, szakmai gyakorlat: használati utasítás, Középiskolák: a képzés igazodik a kereslethez, szakiskolások baktériumos 2 / 3: a legbiztonságosabb A társaság, hendikep: toborozni megkülönböztetés nélkül.
Ez az áttekintés a lehetőséget a vállalatok számára, hogy számba vegye a kommunikációs stratégia iskolákkal és egyetemekkel. És képzeljétek el az új partnerségek annak érdekében, hogy hatékonyabb együttműködést. Még több...
19 mai 2011

La réforme des universités à l'Assemblée nationale

http://img.clubic.com/01837482-photo-logo-de-l-assemblee-nationale.jpgPremière séance du mercredi 18 mai 2011. Réforme des universités
M. le président.
La parole est à Mme Isabelle Vasseur, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.
Mme Isabelle Vasseur. Madame la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, en 2007, vous avez mené une des principales réformes du quinquennat voulue par le Président de la République : celle des universités. Cette réforme majeure a permis de transformer nos universités en profondeur au bénéfice de tous : étudiants, personnels et enseignants-chercheurs.
Elle a permis un transfert de compétences sans précédent. Plus de 125 000 emplois et 7 milliards d’euros de masse salariale sont désormais aux mains des présidents des universités afin qu’ils puissent mener à bien leurs projets. Vous l’avez rappelé à plusieurs reprises, nous sommes en avance sur le calendrier prévu par la loi. Aujourd’hui soixante-douze universités françaises sont autonomes, soit près de 90 % d’entre elles. Cette réforme constitue donc un véritable succès. Et si le désir d’autonomie ne se dément pas, c’est parce que les résultats sont là.
L’État est au rendez-vous de cette réforme historique. Depuis quatre ans, il a augmenté de plus de 22 % les dotations aux universités ; il a versé 5 milliards d’euros en moyens exceptionnels pour l’opération « Campus » ; il a affecté 22 milliards aux investissements d’avenir.
À l’évidence, nos universités sont devenues des acteurs incontournables de nos territoires. Nous le vivons au quotidien dans nos circonscriptions. En Picardie, nous avons ainsi obtenu plus de 37 millions d’euros au titre des investissements d’avenir pour deux projets d’équipements d’excellence relatifs à la chirurgie du visage et la robotique, et deux projets de laboratoires d’excellence consacrés à la voiture électrique et aux batteries.
Madame la ministre, à l’heure où le parti socialiste présente son projet (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC), pouvez-vous revenir sur le bilan de l’autonomie des universités que le parti socialiste semble redécouvrir ? (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)
M. le président. La parole est à Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Madame Isabelle Vasseur, hier, j’ai eu un choc (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC) en lisant le programme du parti socialiste pour l’université en 2012. En effet, il vise à conforter l’autonomie des universités. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Comprenez ma surprise, mesdames, messieurs les députés socialistes ! Vous avez voté contre la loi d’autonomie des universités et, pis, vous avez gardé un silence complice pendant les deux mouvements anti-autonomie qui, en 2007 et en 2009, ont été particulièrement violents. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – Huées sur les bancs du groupe SRC.) Je suis donc très heureuse de vous voir aujourd’hui soutenir cette réforme !
Mais il y a encore mieux dans la suite du programme du parti socialiste. Les socialistes veulent augmenter le budget des universités (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) ; pour notre part, nous leur aurons donné 9 milliards d’euros supplémentaires en cinq ans. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Ils veulent augmenter les bourses des étudiants ; nous les aurons augmentées de 26 % en cinq ans ! (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC. – Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Ils veulent augmenter le nombre de logements pour les étudiants ; nous aurons construit sept mille logements supplémentaires tous les ans, pendant cinq ans ! (Mêmes mouvements.)
M. Henri Emmanuelli. Ce n’est pas vous : ce sont les collectivités locales !
Mme Valérie Pécresse, ministre. Ils veulent rapprocher l’université et l’entreprise ; c’est ce que nous avons fait en créant des fondations d’entreprises et des chaires industrielles ! (Mêmes mouvements.) Le parti socialiste veut aussi mieux orienter les lycéens ; nous le faisons, dès la classe de seconde, avec Luc Chatel.
La vérité, mesdames, messieurs les députés, c’est que le programme du parti socialiste est un bel hommage au bilan de Nicolas Sarkozy. (« Bravo ! » et très vifs applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
http://img.clubic.com/01837482-photo-logo-de-l-assemblee-nationale.jpg L-ewwel laqgħa ta 'l-Erbgħa 18 Mej 2011. Riforma Università
Sur President. I call Isabelle Vasseur, għall-grupp ta 'l-Unjoni għal Moviment Popolari.

Isabelle Vasseur. Ministru ta 'Edukazzjoni Ogħla u r-Riċerka fl-2007, inti wasslu riforma maġġuri tal-quinquennium mixtieqa mill-President tar-Repubblika: l-universitajiet.
Din ir-riforma maġġuri jkun trasformat universitajiet tagħna fil-fond għall-benefiċċju ta 'kulħadd: l-istudenti, l-istaff u l-fakultà.
Aktar minn 125 000 impjieg u € 7000000000 ta 'pagi huma issa fl-idejn tal-Presidenti università sabiex ikunu jistgħu ilestu l-proġetti tagħhom. Vous l'avez rappelé à plusieurs reprises, nous sommes en avance sur le calendrier prévu par la loi. Inti għandek ripetutament enfasizzat, aħna qabel l-iskeda bil-liġi. More...
12 mai 2011

French Universities at a Crossroads

http://chronicle.com/img/banner_promo.jpgBy Ben Wildavsky. Arriving in Paris for a visit of a few days, I’ve been pondering the state of French higher education. I’ve written before about the system’s shortcomings, as have many others. In an excellent piece last June, the Chronicle’s Aisha Labi noted that “the defining ethos for French universities”  – like their counterparts elsewhere in Europe – “has been egalitarianism, with institutions largely indistinguishable from one another in terms of mission and institutional profile.” In his 2009 book The Great American University, Columbia University sociologist Jonathan Cole cites some of the challenges France faces in creating a great university system. Despite some excellent (mostly small) institutions, and preeminence in fields like mathematics, biology, and engineering, Cole argues that these strengths may not be enough to overcome serious structural obstacles to reform.
Cole points to the problem of brain drain, noting that even relatively small numbers of departing academics can mask a significant problem if those are disproportionately the most productive scholars. He criticizes the disconnect between the elite grandes écoles and the universities attended by most students (“A system of higher learning cannot afford to siphon of the top talent in the nation.”) And he deplores the tenure system at the Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), which supports most research in France; new hires are immediately given lifetime tenure “with only perfunctory” later reviews, he writes, and thus lack incentives to perform. There’s more, too – enough to make an observer think that President Nicolas Sarkozy’s far-reaching university reforms, announced amid massive controversy in 2007, have little chance of making any headway.
And yet. When I’ve touched on these topics in public forums and private conversations, a couple of thoughtful defenders of the French system have challenged this narrative – not to argue that all is fine, but to suggest that there is more variety in the system, and more progress being made, than many critics acknowledge. One correspondent contends, for example, that an ethos of competition has entered the research world – with teams of scholar being dissolved when their work is deemed inadequate, and many projects being launched under strict performance contracts. He notes, too, that even the oft-criticized mass access public universities are more selective than one might think – it’s much harder to be admitted to a master’s program than into the initial degree programs to which all holders of a baccalauréat are automatically admitted.
Particularly positive news for the new reforms came in January when the French government agency that evaluates research and higher education released a four-year, 600-page report reporting significant progress in many areas. It cited numerous results of the increased autonomy being granted to universities, including new collaborations between universities and research centers, universities and other institutions of higher education, and universities and business. It noted a “boom in the big cities” resulting from the government’s Opération Campus initiative, which has devoted billions of Euros to a competitive program intended to create a small group of world-class research universities, as well as from the “big loan” – a government initiative to raise significant new funds for higher education.
I suspect the forces of tradition (and reaction) cited by Cole and other observers will continue to make serious changes in the French higher ed system tough. But I’m looking forward to learning more about the situation this week. And I’m pleasantly surprised to find out how much reform-minded activity is going on already.
8 mai 2011

Archimedes launches new evaluation of Estonian universities

http://archimedes.ee/imgs/intro_header.jpgOn 1 April 2011, the Quality Assessment Council of the Estonian Higher Education Quality Agency (EKKA) adopted new procedures regarding accreditation. EKKA, the quality assurance body of the Archimedes Foundation, will from this point forward adopt an institutional accreditation approach, whereby entire higher education institutions will be assessed and evaluated, not individual study programmes. Currently, only study programmes are subject to accreditation. EKKA sees this change as a way to ensure the security of students with regard to the fate of study programmes that lose accreditation.
The new accreditation procedure will emphasise university management, administration, teaching and research. It will examine whether academic and research environments are in compliance with legislation, and consider each institution’s expressed targets and overall higher education development plan. The first Estonian higher education institution will undergo the new institutional evaluation in autumn of 2011 and every higher education institution will be required to undergo institutional accreditation once every seven years.
7 mai 2011

Les cultures universitaires au cœur de l'internationalisation

http://www.educnet.education.fr/dossier/images/enseignement-superieur/mesrLors de l'ouverture du sommet mondial des universités, Valérie Pécresse est revenue sur l'internationalisation de l'enseignement supérieur: aujourd'hui 3 millions d'étudiants suivent un cursus à l'étranger (+24 % depuis 2003)...
Les cultures universitaires au cœur de l'internationalisation

Je tenais également à saluer d'emblée votre volonté, Monsieur le Président Louis Vogel, d'élargir ces rencontres aux représentants de l'ensemble des universités du monde. Tous les continents sont aujourd'hui présents et c'est à mes yeux un très beau symbole : celui des valeurs d'ouverture, de coopération et d'échange qui portent l'univers académique. Bien sûr, les nations du monde se sont toujours montrées fières de leurs universités. Et je dirais même qu'une saine émulation a toujours régné entre elles : ce Collège de France où nous nous retrouvons aujourd'hui en est un très bel exemple, puisqu'il a été fondé pour enseigner les disciplines que négligeait alors la Sorbonne, pourtant située à quelques mètres d'ici.
Mais loin de se fonder sur le repli sur soi, cette émulation s'est au contraire nourrie de la circulation des idées et des esprits, une circulation qui a systématiquement bénéficié à l'ensemble des pays du monde. Et j'en veux pour preuve la devise même de la Sorbonne : Hic et ubique terrarum, ici et partout sur la terre. On ne saurait mieux dire que l'émulation et le rayonnement international sont au cœur de la vocation historique des universités. A l'heure de la société de la connaissance, les valeurs universitaires ont encore tout pour nous guider et nous inspirer. Car chacun de nous peut le constater : jamais les idées n'ont circulé aussi vite ; jamais les enseignants-chercheurs n'ont été aussi mobiles ; jamais les étudiants n'ont été aussi nombreux à choisir de se former dans une autre nation que la leur. Vous qui les accueillez jour après jour dans vos universités, vous le savez mieux que quiconque : ils sont aujourd'hui 3 millions d'étudiants à suivre un cursus à l'étranger, soit une hausse de 24 % depuis 2003.
L'internationalisation de la vie universitaire est une évidence : aller contre ce mouvement, ce serait aller non seulement contre le sens de l'histoire, mais aussi contre la vocation même des universités, qui sont par nature des lieux de rencontre et de diffusion du savoir.
Et dans ce monde où les enseignants-chercheurs et les étudiants peuvent aller d'une université à l'autre, d'un pays à l'autre, il est crucial que chaque nation, chaque université puisse construire et affirmer sa forme d'excellence académique pour rayonner aux yeux du monde. Claude Lévi-Strauss aimait à le répéter, les grands progrès naissent de la rencontre de traditions et de pensées différentes, qui s'enrichissent et se fécondent mutuellement. Mais comme le soulignait le père de l'ethnologie et de l'anthropologie contemporaines, si l'on veut maintenir intacte la possibilité d'avancées futures, encore faut-il que cette rencontre des différences n'affaiblisse pas les cultures elles-mêmes. Au contraire, la singularité de chaque modèle doit sortir renforcée et transformée de cette confrontation, pour rendre possible de nouvelles rencontres et de nouveaux progrès.
Et pour nous tous, cela veut dire une chose très simple : tous nos systèmes universitaires sont confrontés au défi de l'internationalisation. Tous doivent se donner les moyens de rendre visibles et lisibles aux yeux du monde la qualité de leur formation et de leur recherche. Et je suis convaincue que cette confrontation entre les cultures académiques contribuera à renforcer encore nos universités respectives, qui ne sont pas des univers stables et clos, mais se transforment aujourd'hui dans un monde en mouvement. Et pour autant, il ne peut pas, il ne doit pas y avoir de modèle universitaire unique. A l'université de Delhi comme à l'université Lomonossov de Moscou, à Berkeley comme à l'université Jiao-Tong de Shanghai, les enseignants-chercheurs et les étudiants m'ont dit leur volonté de miser sur leurs atouts singuliers pour s'inscrire pleinement dans la société mondiale de la connaissance.
Depuis 4 ans, au fil de mes déplacements dans les universités du monde, j'ai pu le mesurer : chacune de nos nations est l'héritière d'une tradition académique unique, qui est le fruit de la rencontre permanente de nos histoires scientifiques. Ce sont ces rencontres qui ont contribué à faire évoluer nos modèles universitaires respectifs et ainsi à nous faire prendre conscience de nos forces et de nos faiblesses, en un mot, de nos identités. Et ce qui est vrai des nations l'est parfois même des universités elles-mêmes : à peine plus de deux kilomètres séparent Harvard du MIT. Et pourtant, on ne peut imaginer deux atmosphères plus différentes que celles qui règnent dans ces deux établissements connus et reconnus dans  le monde entier. Mesdames et Messieurs les présidents, vous êtes, nous sommes aussi les dépositaires de ces différences: à nous de connaître et de mesurer nos atouts respectifs, pour que l'internationalisation de l'enseignement supérieur permette à chacun de nos modèles universitaires de rayonner à l'échelle non plus d'une nation ou d'un continent, mais du monde.
La nouvelle université française
Les investissements d'avenir : faire le pari de l'innovation
Une circulation des idées qui doit bénéficier à tous
Relever les défis de demain : le développement durable

http://www.educnet.education.fr/dossier/images/enseignement-superieur/mesrAt the summit's opening World Universities, Valerie Pécresse returned on the internationalization of higher education: today, 3 million students follow a curriculum abroad (+24% since 2003). The new French university. Investment for the future: making the leap to innovation. A movement of ideas that should benefit all. Meeting the challenges of the future: sustainable development. More...
3 mai 2011

Le site U-carriere.com

http://profile.ak.fbcdn.net/hprofile-ak-snc4/71027_166410636745343_3445199_n.jpgU-CARRIERE est le seul site dédié à la recherche d’emploi dans l’enseignement supérieur en France. Il constitue une passerelle incontournable et efficace entre les recruteurs et les candidats de l’enseignement supérieur public et privé.
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1 mai 2011

Internationalisation of Higher Education in Europe and its assessment, trends and issues

http://www.nvao.net/page/images/thumb/w350h250_logo_nvao.gifAuthor: Hans de Wit. Internationalisation of Higher Education in Europe and its assessment, trends and issues.
Towards a European Programme Label for internationalisation?

From the present overview, some issues come clearly to the forefront:
> There appears a need for quality assessment of internationalisation strategies in higher education
> Around the world, in particular in the USA and Europe, several instruments have been developed over the past 15 years to assess that quality
> They use more or less the same programmatic and organizational categories for assessment
> They are focusing on input and output assessment
> They are mainly taking place at the institutional level
> They address the state of the art and/or the process for improvement
> With preference some form of benchmarking as to create comparison and best practice is appreciated.
At the same time, one can observe that:

> Institutions are reluctant to ongoing assessmen of internationalisation strategies, as this is a time consuming process
> In the present world of branding and ranking, an instrument without some kind of certification is not considered a high priority
> Assessment of institutional strategies denies the diversity of strategies for disciplines and programmes and the different levels within them
> Increasingly, institutions and programmes distinguish between a minimum requirement of internationalisation, applicable to all students and all programmes, and a maximum requirement, applicable to programmes and students with a high international and intercultural focus
> Internationalisation is becoming more mainstream in het higher education agenda, as in the present global knowledge economy internationalisation is strongly linked to innovation, interdisciplinarity and interculturality, and
> Increasingly a link has to be made to learning outcomes for students.
Based on these observations, it appears advisable to develop a system of certification of internationalisation at the programme level. This certification should be able to distinguish programmes for the quality of their internationalisation.
The following characteristics should be taken into consideration:

> The use of different assessment levels in order to indicate the state of internationalisation (what has been achieved so far) and to provide incentives for improvement (where is it heading to or what is attainable)
> The certification is available at least at the level of the programme or a combination of programmes (bachelor and/or master; schools/faculties)
> The assessment procedure is not focused on a specific activity but is comprehensive towards internationalisation (the why, how and what of internationalisation)
> It should focus on how internationalisation contributes to the overall quality by focusing on qualitative indicators (vision, content, provisional elements and outcomes) while using quantitative indicators (e.g. staff mobility figures) as supporting elements
> It should be with preference a regional (European) or international certificate, as the purpose is to position it in a comparative international context
> The assessment should be done by a team which combines expertise on the subject, on quality assurance and on internationalisation, and should include international expertise and the student perspective
> Given the global knowledge economy and the diverse society we live in, both intercultural and international competencies should be addressed
> As much as possible, the assessment should be combined with existing assessment of the programme, as to avoid extra workload and costs.
1 mai 2011

European university funding and financial autonomy

http://ec.europa.eu/dgs/jrc/images/ipg-title/title-background.jpgA study on the degree of diversification of university budget and the share of competitive funding: European university funding and financial autonomy. Authors: Laura de Dominicis, Susana Elena Pérez, Ana Fernández-Zubieta. Editor: European Commission.
Executive Summary
European higher education systems have experienced important changes over recent decades, leading to higher autonomy in most cases. The more autonomous a university is, then it should, in principle, be able to better compete in obtaining funds from different sources, such as competitive funds, contracts with private companies, and donations from the non-profit sector. This could make institutions less dependent on one single stream of income and more able to adapt to a changing environment.
The main objective of this report is to investigate the structure of the budget in a sample of research-active European universities and to analyse to what extent the level of financial autonomy effects the diversification of their budget and the amount of competitive funding they receive.
The study covers 200 research-active universities from 33 European Research Area (ERA) countries (27 Member States and Croatia, Iceland, Israel, Norway, Switzerland and Turkey) within the framework of the 'European Observatory of Research-Active Universities and National Public Research Funding Agencies' (UniObs). The criteria followed to select the list of universities in the sample are based on research performance and country representativeness.
The main findings of the study are as follows:

• Looking at the general budget, 70 % of the total university income comes from government allocations. Sources from private companies represent about 6%, around 3% comes from non-profit sectors and approximately 2% is from abroad. The remaining 19% belongs to a residual category 'Other'.
• Considering only public funding coming from government (national and regional) we observe that, on average, about 20 % is assigned on a competitive basis, with UK institutions and, in general, technological universities having the highest shares of competitive funds.
• We observe large within-country variability in the shares of government competitive funds, which could be attributed to the strategic behaviour of single institutions in acquiring funds or to their ability to compete successfully against other institutions. Examples of these are the University of Cambridge in the UK, the University of Karlsruhe in Germany, the University of Florence in Italy, and the universities of Leiden and Wageningen in the Netherlands.
• Most institutions with highly diversified budgets are located in the UK.
• University research budgets vary considerably between institutions. Research funds coming from regional authorities are considered important for institutions operating in countries with a more decentralised government structure such as Belgium, Germany or Spain.
• Institutions that declare to be completely autonomous are the ones that have the most diversified budget.
• The share of competitive-based government funds increases with increasing levels of institutional financial autonomy.
• National or institutional settings which do not allow universities to act in a fully financially autonomous way appear to be less likely to produce a real change.
France

Funding data show that universities, generally, have less than 10% of their budget coming from industry. Only in the case of institutions in France, Greece and Croatia, more than 10% of the total budget comes from the private sector.

29 avril 2011

Universités et réseaux sociaux

http://www.esen.education.fr/fileadmin/Templates/Esen/images/logo-esen.pngDate et lieu: 19 mai 2011 (9h30 - 17h30), Centre de formation de l'administration centrale - 96, Bd Bessières - PARIS (17e). Les interventions feront l'objet d'une retransmission par Canalc2.
Contexte
S'agissant du développement de l'usage des pratiques numériques réticulaires, les enquêtes les plus récentes font état de chiffres impressionnants: 80% des Français fréquentent au moins un réseau social et 95% des 15-24 ans sont utilisateurs de services communautaires. Par ailleurs, 20% de l'ensemble des pages web qui sont consultées aux États-Unis le sont à partir du réseau social FACEBOOK, ce qui laisse envisager que ces réseaux sociaux vont rapidement adopter le statut de tremplins d'accès et de truchements quotidiens pour les internautes.
Problématique

Compte tenu de ces chiffres en croissance permanente, les universités ne sauraient durablement faire l'impasse sur ce phénomène sociétal sans prendre, à terme, le risque de graves mécomptes, en termes d'image et de réputation. Pour les institutions d'enseignement supérieur, mieux vaut donc intégrer ces nouveaux outils dans leur stratégie de communication plutôt que de voir ternir leur réputation en ignorant l'importance de telles pratiques. Par ailleurs, l'usage de ces réseaux révèle un fort potentiel pédagogique dont les bénéfices commencent à apparaître et bousculent les habitudes de la communauté éducative. Enfin, les universités gagneraient à fidéliser leurs étudiants et leurs anciens étudiants en utilisant ces outils à bon escient, pour développer comme pour fortifier le sentiment d'appartenance à l'établissement. L'ensemble de ces raisons plaide en faveur de l'utilisation professionnelle et raisonnée des réseaux sociaux qui vont rapidement devenir un des leviers de la gouvernance des établissements d'enseignement supérieur.
Objectifs de la formation

* Démontrer, par des exemples appropriés, que les universités oeuvrent déjà dans le registre d'activité qui est celui des réseaux sociaux, que leurs étudiants en sont déjà conscients et attendent en conséquence que les universités se reconfigurent à l'aune de ces évolutions sociétales;
* examiner les conséquences pour l'établissement et pour ses principales fonctions - support et cœurs de métier - de l'usage croissant de ces outils par les membres de la communauté universitaire;
* convaincre de la nécessité de se doter rapidement des configurations matérielles, organisationnelles et professionnelles nécessaires pour y faire face et déterminer les mesures envisageables à cet égard.
Voir aussi les articles du blog: Les universités SONT des réseaux sociaux, L’AERES se lance sur les réseaux sociaux !, Mobilité européenne et réseaux sociaux.

http://www.esen.education.fr/fileadmin/Templates/Esen/images/logo-esen.png Date and place: May 19, 2011 (9:30 a.m. to 5:30 p.m.), Training Centre Headquarters - 96, Bd Bessieres - PARIS (17th). Interventions will be broadcast by Canalc2. Given those numbers constantly increasing, universities do not permanently ignore this phenomenon without taking societal ultimately, the risk of serious mistakes in terms of image and reputation. For institutions of higher education, it is better to integrate these new tools into their communications strategy rather than see their reputation tarnished by ignoring the importance of such practices. Furthermore, the use of these networks reveals a strong educational potential whose benefits begin to appear and upset the habits of the educational community. Finally, universities would benefit from retaining their students and alumni using these tools wisely, to develop as to strengthen the feeling of belonging to the institution. All these reasons advocating the use of professional and reasoned social networks will quickly become one of the levers of governance of higher education institutions. See also blog posts: Universities are social networks, AERES embarks on social networks, European Mobility and social networks. More...
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