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Formation Continue du Supérieur
formation continue
12 août 2011

AERES: la FC du PRES Université de Lyon

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est d'avril 2011. Il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Le sujet n'est évoqué à aucun moment ni de près, ni de loin. Télécharger le rapport PRES Lyon.
Käesolev aruanne on aprill 2011. Teema on arutanud mis tahes ajal või selle lähedal või kaugel. Lae aruanne Lyoni lähistel.
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université de Rennes 1

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une partie III, spécifique Formation Continue:
III – Formation continue

Le service de formation continue (FC), dirigé par un EC, travaille dans des conditions difficiles du fait d’un renouvellement important du personnel. Le service manque de personnel qualifié et nécessiterait donc de faire l’objet d’un repyramidage des emplois.
Pour autant, le nombre de stagiaires a considérablement augmenté (6626 en 2009 contre 3859 en 2006) ainsi que celui des diplômés hors validation des acquis de l’expérience (VAE): 976 en 2009 contre 706 en 2006.
La VAE est bien structurée et se révèle performante: le nombre de dossiers est en augmentation, passant de 27 en 2006 à 78 en 2008. Il est regrettable que toutes les composantes ne s’investissent dans la FC, ainsi la chimie et l’électronique, qui sont pourtant des pôles forts de l’établissement.
Autres passages concernant la FC
Présentation

L’UR 1 accueille un peu moins de 25000 étudiants en 2009-2010, dont approximativement 40% en droit, économie, gestion et sciences humaines et sociales, 40% en sciences et 20% en santé. Le nombre d’étudiants en formation continue est de l’ordre de 3000. La répartition des effectifs entre les différents cycles est: 52% en licence, 43% en master et 5% en doctorat. Le nombre de diplômes de doctorat délivrés en 2010 est de 260. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation de Rennes 1 par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png This report is June 2011. In the strategy for training, there is a Part III, specific Continuing Education:
III - Continuing Education

Service of continuing education (CE), led by an EC, working in difficult conditions due to a high staff turnover.
  The lack of qualified service and therefore requires to be a repyramidage jobs.
However, the number of trainees has increased significantly (6,626 in 2009 against 3859 in 2006) as well as of graduates outside validation of acquired experience (VAE): 976 in 2009 against 706 in 2006.

APEL is well structured and proves successful: the number of cases is increasing, from 27 in 2006 to 78 in 2008.
It is unfortunate that not all components are involved in the CF and the chemistry and electronics, which are however strong the poles of the institution. Download the report. See the CF in the previous assessment of Rennes 1 by AERES. More...
12 août 2011

AERES: la FC du site de Toulouse

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011.La Formation continue est évoquée dans le chapitre III – Un PRES “Université de Toulouse” enfin reconstruit autour du Plan Campus et des appels à projets “Initiatives d’excellence” de la partie Le potentiel d’enseignement supérieur et de recherche en Midi-Pyrénées:
En termes de formation, les objectifs initiaux du PRES de Toulouse étaient peu nombreux, mais progressivement l’implication du PRES dans ce domaine a évolué. L’installation du Département “Formation et Vie Etudiante”, comportant un bureau composé des vice-présidents du CEVU des six membres fondateurs, traduit concrètement l’évolution de cette stratégie. Le Département FVE a notamment pour objectifs d’organiser la réflexion pour améliorer la cohérence de l’offre de formation et de la promouvoir, d’encourager les projets inter-établissements et les formations transversales, de favoriser l’innovation pédagogique (grâce à un fond Bonus Qualité Formation) et de développer les actions de coopération autour des formations. Des actions significatives ont été développées concernant notamment la formation continue, la VAE, l’apprentissage des langues. La promotion des licences professionnelles est une action exemplaire, conduisant à une meilleure lisibilité et impactant l’ensemble du territoire de la région Midi-Pyrénées. Télécharger le rapport PRES Toulouse.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest od czerwca 2011. La Kształcenie jest omówione w rozdziale III - PRES "Université de Toulouse" wreszcie przebudowany około planu Campus i wzywa do projektów "Inicjatywy doskonałości" potencjalnych stron szkolnictwa wyższego i badań w Midi-Pyrenees:
Znaczących działań zostały opracowane na takie szkolenie, VAE nauki języka. promocji licencje zawodowe jest przykładowym, co prowadzi do czytelność i mają wpływ na cały Midi-Pyrenees. Pobierz okolicach Tuluzy. Więcej...
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université d'Orléans

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe III – Une offre de formation abondante mais mal contrôlée, il y a une partie spécifique Formation Continue:
5 - Formation continue et apprentissage

La formation continue est organisée dans le cadre d’un service commun, le service de la formation continue et d’apprentissage, dont le chiffre d’affaires est voisin de 850000 €. Elle concerne environ 10 % des effectifs de LP. La validation des acquis de l’expérience n’est pas encore prise en compte dans le référentiel, ce qui nuit incontestablement à son développement qui doit se faire en relation avec les différents centres régionaux de formation par l’apprentissage.
L’apprentissage en revanche apparaît beaucoup plus développé et concerne tous les niveaux d’enseignement, y compris les M2 comme en droit.
Autres passages concernant la FC
1 - L’équipe de direction et le dialogue avec les composantes

Le nombre de vice-présidents (VP) concernés par l’offre de formation est conséquent. On relève deux VP-CEVU, l’un chargé plus spécifiquement de la masterisation des métiers de l’enseignement et du pilotage de ce conseil et l’autre de “l’attractivité et de l’évaluation des formations” et du Plan réussite en licence; un VP chargé de la formation en alternance et de la formation continue, et le VP “moyens et budget”.
2 - Activités sportives et de médecine préventive

L’action de la passerelle handicap porte essentiellement sur l’aménagement des examens et des études. Elle entreprend une démarche prospective, en travaillant sur l’accessibilité au bâti des étudiants en situation de handicap, au numérique et aux activités de vie étudiante, sur la continuité de leurs parcours et en intervenant au niveau des formations (réflexion sur le développement de LP en formation continue, formation à la langue des signes, etc.). Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation d'Orléans par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Käesolev aruanne on juulist 2011. Strateegias koolituse lõikes III - pakkumisi rikkalik, kuid halvasti kontrollitud, on teatud osa Täiendharidus:
5 - Täiendharidus ja õppimine

Koolitus on korraldatud ühiseid teenuseid, täienduskoolituse ja õppimine, mille käive on umbes € 850,000.
See mõjutab umbes 10% LP. Akrediteerimise eelnev kogemus ei ole veel kantud hoidla, mis kahjustab tema arengut, mis kahtlemata peab olema seotud erinevate piirkondlike koolituskeskuste läbi õpingute.
Õppimine, aga tundub palju rohkem arenenud ja hõlmab kõigil haridustasemetel, kaasa arvatud M2 seaduses. Download aruanne. Veel...
12 août 2011

AERES: la FC du site aquitain et du PRES Université de Bordeaux

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011. Il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Le sujet n'est évoqué à aucun moment, si ce n'est une mention du public salarié dans le passage sur la MILC. Télécharger le rapport PRES Bordeaux.
2- La Maison internationale des langues et des cultures (MILC): un projet fédérateur porté par le PRES mais un pilotage qui met Bordeaux 3 face à ses ambiguïtés, voire contradictions

Inscrite au CPER 2007-2010, la MILC, constitue un projet fédérateur des établissements d’enseignement supérieur bordelais, porté par le PRES et le Conseil régional d’Aquitaine. Elle avait d’abord été prévue comme bibliothèque des langues et aurait pu être perçue comme dépendant de la seule université Bordeaux 3. La MILC a donc initié des changements à la faveur des opérations Campus et Initiatives d’excellence:
- en matière de formation, ses domaines d’activités concernent la certification, la préparation à la mobilité sortante, l’enseignement des langues rares, en présentiel, auto-formation, formation à distance, pour des publics universitaires, salariés, etc.;
- en matière de recherche, elle centre ses activités, articulées avec ses missions de formation, sur les TICE et les LANDSAD (Langues pour spécialistes d’autres disciplines) en favorisant la coopération entre Bordeaux 3 et 4; elle n’est pas conçue comme un laboratoire;
- en matière d’activités culturelles, pourvue d’un auditorium, elle constitue un espace de vie ouvert non seulement aux étudiants et enseignants, mais aussi à des publics extérieurs.
Le chargé de projet est un enseignant-chercheur de Bordeaux 3, ce qui est symbolique du positionnement ambigu de l’université. Dans l’intérêt d’une politique de site, elle a renoncé à son projet initial de bibliothèque des langues mais en même temps refuse d’entrer dans l’établissement unique, se pénalisant elle-même et limitant le regroupement souhaité par cinq des autres établissements du site bordelais. Bordeaux 3 risque de s’enfermer dans un isolement qui, s’il devait se perpétuer, pourrait à terme, être aussi nuisible à elle-même qu’à la nouvelle Université de Bordeaux.

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png This report is June 2011. There is no specific part on Continuing Education. The subject is discussed at any time, if not an indication of the public employee in the passage on the MILC. Download the report PRES Bordeaux .
2 - The House of Languages ​​and Cultures (MILC): a unifying project supported by the close but that puts a steering Bordeaux 3 meet its ambiguities or contradictions
Registered in the CPER 2007-2010, MILC, is a unifying project of higher education institutions Bordeaux, carried by the NEAR and the Regional Council of Aquitaine. It was originally intended as a library language and could be seen as dependent on one University of Bordeaux 3. The MILC has initiated changes to support operations and Campus Initiatives of Excellence:
- Training, areas of activities include the certification, preparation for outgoing mobility, language teaching rare, in-class, self-learning, distance education, for public university employees, etc. More...

12 août 2011

AERES: la FC à l’Université du Havre

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe Le pilotage de l’offre de formation, il y a une partie spécifique Formation Continue:
2- Une politique de formation tout au long de la vie en devenir

La précédente évaluation AERES indiquait que cette dimension avait du mal à trouver sa place au niveau de l’établissement. La volonté de l’UdH de favoriser la reprise d’études au niveau supérieur se limitait à une offre de diplômes d’accès à des enseignements universitaires : DAEU A et B, Capacité en Droit.
Des objectifs explicites n’ont été définis que récemment pour le service commun de la formation continue (SFC), qui a désormais compétence sur l’ensemble de l’activité des composantes en la matière, le CA de l’université jouant le rôle du conseil de gestion prévu par le décret 85-1118. La gestion du CFA universitaire lui est également confiée avec une comptabilité séparée.
L’équilibre financier du SFC a été rétabli malgré une réduction des moyens attribués par le Conseil Régional. Les objectifs visent le développement de la VAE (21 dossiers en 2009, sensiblement au même niveau que les universités de Rouen et de Caen), la définition d’une offre de formations qualifiantes appuyée sur les compétences des laboratoires et des unités de formation, la mise en oeuvre de partenariats extérieurs et l’instauration d’un guichet unique pour les publics concernés. L’UdH souhaite ainsi augmenter de 50 % son activité de formation continue. Pour atteindre les objectifs envisagés, l’établissement doit s’inscrire dans la durée et créer les conditions d’une plus grande mobilisation des EC dans ce domaine.
Conclusion et recommandations

L’offre de formation continue de l’UdH ne répond pas aux attentes qu’auraient pu faire naître la dimension professionnalisante de ses enseignements ainsi que son ancrage dans le tissu socio-économique local. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation du Havre par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest lipca 2011 roku. W strategii na szkolenia w ust pilotów zapewnienie szkolenia, nie ma określonej części kształcenia ustawicznego:
2 - polityki kształcenia przez całe życie staje się

Aeres poprzedniej oceny wskazują, że wymiar ten starał się znaleźć swoje miejsce w obiekcie.
Woli UDH promowanie wznowienia studiów na wyższym poziomie była ograniczona do zakresu stopni dostępu do szkolnictwa wyższego: USDA A i B, odpowiednia pojemność.
Wnioski i zalecenia
Prowadzenie szkolenia z UDH nie spełnia oczekiwań, które mogą urodzić się do profesjonalizacji wielkości jego nauki i swoje korzenie w rozwoju społeczno-gospodarczego. Pobierz raport. Więcej...
23 juillet 2011

Les nouvelles ambitions de la formation continue universitaire

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gifUn bilan de notre activité a été réalisé par Centre Inffo et publié dans le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
Plusieurs acteurs clés fortement impliqués dans notre activité ébauchent un bilan de celle-ci et proposent des pistes pour son développement. Un document à diffuser largement. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
La 38e conférence des directeurs de Services universitaires de formation continue (SUFC) s’est tenue à Villeneuve-d’Ascq (Nord) les 8, 9 et 10 juin derniers, un mois avant le quarantième anniversaire de la loi de 1971 qui a inscrit la formation permanente dans le Code du travail. Entretien avec Jean-Marie Filloque, président de la Conférence des directeurs des Services universitaires de formation continue (CDSUFC): “Les Universités ne communiquent pas assez sur ce qui fait leur force”
Comment expliquez-vous le peu de visibilité et d’attractivité des SUFC dans le milieu de la formation continue (FC) ?
Laissez-moi poser une autre question : alors qu’aujourd’hui, 31 % des adultes de 30 à 34 ans ont un diplôme de l’enseignement supérieur, pourquoi est-il si difficile de faire reconnaître l’Université comme un acteur légitime de la FPC, pour ses liens organiques avec la recherche et la construction des connaissances et pour la qualité attestée de ses personnels ?

Bien sûr, nous devons d’abord chercher des raisons en interne : l’image de tour d’ivoire, d’éloignement des “réalités”, l’image négative de l’échec..., mais aussi sans doute, et de manière plus réelle, l’absence jusqu’ici de stratégie d’établissement pour mettre en place des structures et des réponses adaptées, professionnelles diront certains, aux besoins socioéconomiques. La charte des Universités européennes pour l’apprentissage tout au long de la vie, adoptée par les présidents d’Université en 2008 fournit un cadre d’analyse et d’action pour les établissements. La CDSUFC s’emploie à la mettre en oeuvre. Il nous faut aussi améliorer nos outils d’interface, avec une communication plus lisible, des services d’AIOA plus développés, des fiches RNCP accessibles pour nos diplômes. Mais nous ne pouvons négliger l’externe. L’accès aux financements de la FPC suppose que bien sûr l’offre – la réponse – apportée par l’enseignement supérieur soit adaptée, mais aussi que sa légitimité et son intérêt soient reconnus des financeurs et des décideurs. Les choses s’améliorent aujourd’hui, sans que ce soit décisif. Certaines branches professionnelles ont fait le pas, comme les banques, par exemple. La part des financements issus des entreprises (au sens large) augmente dans nos recettes. Entre 2003 et 2008, elle est passée de 38 à 46 %. Nous travaillons, dans certaines régions, à la préparation des CPRDF. Nous approchons les Pôles de compétitivité pour que la dimension de la gestion des compétences ne soit pas le “parent pauvre” de leur action, au coeur de l’innovation et, demain peut-être, des futurs Idex (Initiatives d’excellence dans le cadre de l’emprunt national), quand cette dimension aura été intégrée. Les Universités sont un acteur à part entière de la formation tout au long de la vie et bénéficient de formidables ressources humaines et pédagogiques et de compétences variées. Peut-être ne communiquent-elles pas assez sur ce qui fait leur force: l’offre licence, master, doctorat, des formations courtes et longues, variées, souvent en lien avec une expertise liée à la recherche, des personnels dans les services FC qui sont des professionnels de la formation continue, etc. Les Universités sont également en pleine mutation et essaient de plus en plus d’apporter de la flexibilité dans leurs dispositifs de formation : formations modulaires, formations à distance, validation des acquis, etc.
Quel impact l’autonomie des Universités a-t-elle sur le fonctionnement de leurs Services de formation continue ?

La loi de 20073 n’a pas évoqué la question. La première mission des Universités reste la formation initiale et continue. La notion même de “formation tout au long de la vie” n’apparaît pas, alors que dès 2008, la France, à la tête de l’UE, promouvait l’adoption de la Charte européenne des Universités pour l’apprentissage tout au long de la vie. L’autonomie des Universités rend encore plus prégnante la question de la prise en compte de la formation continue dans la politique des établissements. Il nous faut veiller à maintenir cette prise en compte de la mission de service public, qui leur échoit. La stratégie des établissements “autonomes” doit l’intégrer. C’est une bataille quotidienne de notre réseau. Certains y ont vu, dans le cadre des RCE (responsabilités et compétences élargies), la possibilité de développer des recettes “libres” supplémentaires (augmenter les fonds propres!).
Lors du 36e colloque de la CDSUFC, en juin 2009, vous et vos collègues étiez résolus à renforcer le rôle de vos Services au sein de vos établissements respectifs. Où en êtes-vous ?
Effectivement, un travail important a été fait, tant au niveau des établissements qu’au niveau de la CPU et de la tutelle. Au niveau national, la CDSUFC est maintenant invitée permanente de la commission pédagogie de la Conférence des présidents d’Université (CPU). Elle est régulièrement consultée sur les questions portant sur la FC. Ceci nous permet, par là-même, de travailler avec le réseau des vice-présidents des Conseils des études et de la vie universitaire (VP Cévu) et la Conférence universitaire en réseau des responsables de l’orientation et de l’insertion professionnelle des étudiants (Courroie). Au niveau des établissements, la prise en compte politique de la FC s’est traduite dans plusieurs Universités par la nomination de vice-présidents FC ou FTLV (ou encore Relations entreprises, etc.). Mais cette meilleure prise en compte ne s’est pas faite de façon homogène, et il existe encore des marges de progrès. Nous avons organisé un séminaire spécifique sur cette question en avril dernier à Brignogan-Plages (Finistère), deux jours de réflexion et de travail sur le nouveau positionnement des Services. Ce séminaire sera suivi de séances de travail en cours d’organisation avec les DGS, DRH, Daf et agents comptables... Mais le temps manque pour aller plus vite! Propos recueillis par K.B. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gif Ülevaade meie äri oli läbi Inffo Keskus ja avaldatakse nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS. Mitmed võtmeisikud tugevalt seotud meie äri mõttes hinnata seda ja soovitab, kuidas oma arengut. Paber laialt levitada. Lae nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS.
38. direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (SUFC) toimus Villeneuve d'Ascq (Nord) 8., 9. ja 10. juunil kuu enne neljakümnendat aastapäeva 1971 seadusega, mis on lisatud elukestva õppe töökoodeks. Intervjuu Jean-Marie Filloque president direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (CDSUFC): "ülikoolid ei räägi piisavalt milline on nende tugevus"
Kuidas sa seletad vähest läbipaistvust ja atraktiivsust SUFC keset täiendõppe (CE)?
Lubage mul küsida teine küsimus: kui täna 31% täiskasvanutest 30-34 on kraad kõrghariduse, miks on nii raske ära tunda Ülikooli õigustatud näitleja CVT oma orgaanilise sidemeid teadus-ja ehituse teadmisi ja tunnustatud kvaliteet selle töötajad?
Muidugi peame kõigepealt otsida põhjendusi in-house: pilt elevandiluutorni, eemaldamine "tegelikkuse" negatiivne kuvand ei ... kuid kahtlemata ja veel reaalne, ilma et arvelduskuupäevani strateegia üles ehitada struktuuri ja asjakohaseid lahendusi, mõned ütleks, kutsealaseid ning majanduslikke ja sotsiaalseid vajadus. Veel...

14 juin 2011

Un diplôme en formation continue : pourquoi pas à l’étranger ?

http://www.vocatis.fr/squelettes/images/banniere_vocatis.jpgPar Agnès Wojciechowicz. Les voyages forment la jeunesse, les formations à l’étranger aussi. Si l’expatriation est monnaie courante chez les étudiants, qu’en est-il des personnes déjà en poste ? Sont-elles nombreuses à partir et quelles sont les programmes et les destinations choisis ?
- Difficile d’évaluer le chiffre exact de personnes qui décident de reprendre une formation à l’étranger. «  Les MBA continuent de progresser tout comme le nombre de gens qui posent leur candidature chaque année », estime Christophe Coutat, fondateur et directeur général d’Advent Group, une agence qui organise des événements à l’international sur les masters et les MBA.
- D’autant que le phénomène reste cyclique puisqu’il est lié à la conjoncture économique. « Pendant la crise, les gens reprennent des études car les offres d’emploi sont moins nombreuses, analyse Christophe Coutat, et lorsque la crise s’estompe, les gens sont plus confiants et décident de suivre une formation. » La période la moins propice aux formations, c’est celle de l’entre-deux, lorsque le plus fort de la crise est passé et que la reprise se fait encore attendre. « C’est une période plus difficile car les gens attendent que les entreprises recommencent à financer leurs formations : 2011 n’est pas une bonne année ; les inscriptions devraient toutefois reprendre en 2012 », prévoit le fondateur d’Advent Group. Cela reste d’autant plus vrai pour les formations à l’étranger qui entraînent, de surcroît, des coûts importants et freinent ainsi les velléités
Des programmes à temps plein

- Néanmoins, la plupart de ceux qui bouclent leurs valises pour entreprendre un cursus à l’extérieur de la France choisissent des formations à temps plein. D’autres optent pour des programmes d’une semaine de cours par mois à l’étranger, de manière à pouvoir combiner leur formation à leur activité professionnelle. Quelle que soit la formule choisie, tous ont en commun une chose : la volonté d’acquérir une expérience à l’international. « Ils ont une motivation et un objectif de carrière qui passent par l’étranger ; c’est l’international qu’ils recherchent avant tout, sinon ils resteraient en France où nous avons de bonnes écoles », note Christophe Coutat.
Les Français votent pour Londres... et les USA

- Les établissements étrangers accueillent bien volontiers les candidats français. « Ils ont toutes les qualités des profils recherchés par des Masters ou des MBA généralistes ; ils n’ont donc pas de problème d’accessibilité », observe Christophe Coutat. Les cadres français sont ainsi particulièrement prisés par les établissements britanniques, allemands ou suisses, en raison de la qualité de leur formation.
- Quant aux destinations qui attirent le plus grand nombre de Français, ce sont indéniablement les pays anglo-saxons. «  Londres est une destination phare au même titre que les Etats-Unis, de même que toutes les écoles reconnues internationalement », constate le directeur général d’Avent Group. Un paradoxe, en somme. Car si le niveau de formation des Français est reconnu par-delà les frontières, il n’en est pas de même avec leurs compétences linguistiques. «  Leur seul petit défaut, c’est leur niveau en langue ; mais cela peut être une motivation supplémentaire pour se former à l’étranger », conclut Christophe Coutat.
http://www.vocatis.fr/squelettes/images/banniere_vocatis.jpg By Agnes Wojciechowicz. Travel broadens the mind, training abroad as well. If expatriation is common among students, what about those already in office? Are they likely to go and what programs and selected destinations?
- Difficult to assess the exact number of people who decided to resume training abroad.
"The MBA continues to grow as the number of people who apply each year," said Christophe Coutat, founder and CEO of Advent Group, an agency that organizes events at the International Masters and MBA. More...
10 juin 2011

Le RAP-MIRES-2010 la VAE jugée non-prioritaire par les Universités et communication insuffisante des Universités sur l'offre FC

http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.pngLe rapport annuel de performances pour l’année 2010 rend compte du bilan de la mission recherche et enseignement supérieur du budget général. Il fait le point sur le programme en termes d’objectifs et de résultats attendus et obtenus. Télécharger RAP-MIRES-2010 (801 pages).
La Formation Continue dans le RAP 2010 pour la MIRES
ANALYSE DES RÉSULTATS
Après avoir régulièrement progressé jusqu’en 2007, les performances des établissements d’enseignement supérieur en matière de formation tout au long de la vie marquent le pas.
INDICATEUR 4.1

Le nombre de diplômés par la voie de la formation continue dans les universités et établissements assimilés reste stable (32000). Si la baisse de l’indicateur tient à l’augmentation du nombre total de diplômés, la stagnation observée en valeur absolue s’explique par une communication insuffisante des établissements sur son offre de formation en la matière. On peut noter en revanche la part sans cesse croissante des diplômes nationaux et la baisse corrélative des diplômes d’établissement dans la formation continue.
INDICATEUR 4.2

La stagnation du nombre total de validations des acquis de l’expérience tient à deux facteurs : d’une part, les tarifs demandés aux candidats sont souvent en deçà du coût réel pour l’établissement, ce qui constitue un frein au développement de cette activité qui n’est pas jugée prioritaire; d’autre part, les universités et autres établissements d’enseignement supérieur opèrent une sélection importante des candidats lors de l’examen de la recevabilité de leurs dossiers, en privilégiant les profils susceptibles d’obtenir la délivrance d’un diplôme complet (actuellement 53 % des VAE) ou au moins une part importante du diplôme. Un développement des partenariats entre les établissements et les principaux acteurs de l’emploi (entreprises, OPCA, régions, Pôle Emploi) s’avère nécessaire pour pouvoir atteindre la cible fixée (pp.60-62).
RÉCAPITULATION DES OBJECTIFS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE
OBJECTIF n° 4 : Faire de l’enseignement supérieur un outil performant de formation tout au long de la vie (p.34)
INDICATEUR 4.1 : Pourcentage de diplômés en formation continue par rapport au nombre total de diplômés
(du point de vue de l’usager)

Unité % Réalisation 2008 9,3% Réalisation 2009 8,3% Réalisation 2010 8,5% 2012 Cible PAP 2010 10%
Commentaires techniques
Source des données : MEN-MESR-SG/DEPP
Mode de calcul :

L’indicateur est un ratio obtenu en rapportant pour l’année universitaire n-1/n, le nombre de diplômés en formation continue en année n au nombre total de diplômés en année n des établissements observés (universités et assimilés), étant précisé que les diplômes propres des établissements ne sont pas retenus dans ce calcul.
Pour les données relatives aux diplômés de formation continue (numérateur), qui proviennent des services de formation continue des établissements, on recourt à ’enquête relative au « Bilan des actions de formation continue par les établissements publics d’enseignement supérieur ». Cette enquête, qui couvre un champ beaucoup plus large, n’est lancée qu’en mai n+1, en sorte que la valeur de l’indicateur pour l’année n n’est disponible qu’au RAP de n+1.
Commentaires :
On observera que l’évolution de l’indicateur peut être défavorable du fait d’une évolution plus favorable au dénominateur qu’au numérateur. Mais, quoi qu’il en soit, l’augmentation linéaire du nombre des diplômés en formation continue devrait se poursuivre au cours des prochaines années malgré un déplacement des usagers vers les formations courtes non diplômantes observé ces dernières années et alors même que les Pôles emploi ne financent plus les formations universitaires (baisse de 12% des demandeurs d’emplois dans ce type de formations). Aussi est-il intéressant de mettre en regard de la valeur du ratio calculé l’évolution de la donnée primaire du numérateur (effectifs des diplômés en formation continue).
INDICATEUR 4.2
Nombre des validations des acquis de l’expérience dans les universités et au CNAM (du point de vue du citoyen).
Mode de calcul :

Le premier sous-indicateur est calculé en faisant la somme des bénéficiaires de tout ou partie de diplômes par validation des acquis de l'expérience (décisions favorables prises au cours de l'année civile en matière de validations d'acquis de l'expérience ; les chiffres étant transmis par chaque établissement). Le deuxième sous-indicateur fournit le nombre de décisions favorables en matière de VAE, accordant le diplôme dans sa totalité.
Seules sont comptabilisées les VAE sur diplômes nationaux à l’exclusion donc des diplômes propres des établissements.
Les établissements enquêtés sont les universités, le CNAM et les écoles d’ingénieur, ces dernières faisant toutefois très peu de VAE.
Les valeurs pour l’année n ne sont disponibles qu’au RAP n+1.
Commentaires :

Le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) créé par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 et inscrit au Code de l’éducation et au Code du travail institue un droit individuel, ouvert à tous, à l’obtention de tout ou partie de diplôme ou certification par la seule validation des acquis de l’expérience sans passer par la formation, les textes faisant de la validation des acquis de l’expérience un nouveau mode d’accès à la certification au même titre que la formation initiale, l’apprentissage ou la formation continue.
Les premières années de mise en oeuvre de la VAE se sont caractérisées par une forte croissance du nombre de validations et du nombre de diplômes attribués en totalité. Mais la cible fixée initialement sur ces bases se révèle trop optimiste. L'année 2006 marque un arrêt de cette évolution puisque le nombre de VAE a reculé par rapport à l'année 2005. Plusieurs facteurs permettent d'expliquer cette situation :
- les services de VAE ont atteint leur capacité limite de réponse à la demande,
- la fin du volet national du FSE,
- une absence de campagne d'information sur la VAE, la dernière remontant à 2002 pp.60-62.
TRANSFERTS AUX AUTRES COLLECTIVITÉS

Cette catégorie comprend les actions destinées à renforcer les capacités de gestion des établissements pour 11,7 M€ en AE et CP dont notamment :
4,8 M€ au titre des relations internationales de l’enseignement supérieur ;
3,5 M€ destinées aux PRES et au contrat de l’ESPCI et de l’ESTIA ;
1,7 M€ pour le fonctionnement des instances (le conseil international pour la science – ICSU -, Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieur, Conférence des présidents d’universités, Conseil supérieur de la formation et de la recherche, le fonctionnement de la coordination de la formation continue, le Conseil national du droit…) ;
1,5 M€ pour contribuer aux projets en matière de développement des technologies de l’information et de la communication (notamment au groupement d’intérêt public université médicale virtuelle francophone -GIP UMVF -, à l’université numérique ingénierie et technologie –UNIT - et l’université juridique numérique francophone) ;
0,15 M€ pour le fonctionnement de l’Association de préfiguration de la fondation des femmes pour la Méditerranée (APFFM) ;
0,075 M€ pour les réserves parlementaires (Fondation internationale de finances publiques –FONDAFIP -, l’institut des hautes études de défense nationale – IHEDN -, la cité internationale universitaire de Paris ; l’institut de prospective économique du monde méditerranéen -,IPEMED-) p.141-142.
Emplois « hors-plafond État » des opérateurs (financés sur ressources propres, formation continue et recherche)

L’augmentation significative observée entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 (+ 3 688 ETP hors contrats aidés) résulte pour une part des travaux de fiabilisation de l’enquête déclarative, d’un meilleur décompte des emplois par les établissements eux-mêmes, mais aussi des fluctuations inhérentes aux contrats de recherche ou de formation continue passés par les établissements. On constate néanmoins que l’écart entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 est inférieur à l’écart constaté l’an dernier p.146.
Le versement d’une subvention à l’ASP (agence de services et de paiement) ex CNASEA : 0,215 M€

Ces crédits contribuent à la réinsertion professionnelle de demandeurs d’emploi ne pouvant bénéficier d’un autre régime conventionnel ni d’une prise en charge par le conseil régional, en leur accordant les moyens de s’inscrire dans une démarche de formation professionnelle continue dans l’enseignement supérieur grâce à une aide financière attribuée sur plusieurs mois. Ces aides étaient versées par le CNASEA, prestataire de service, devenu Agence de services et de paiement depuis avril 2009 p.239.
Fonctionnement des établissements d’enseignement supérieur publics: AE : 35 328 168 € CP : 35 328 168 €

Ces crédits versés aux 12 établissements d'enseignement supérieur pour leur fonctionnement intègrent la formation continue des enseignants-chercheurs qui était financée auparavant par des subventions distinctes p.696.

http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.png Az éves teljesítmény-jelentés a 2010-es eredményeit tükrözi, a kutatás és az oktatás feladata az általános költségvetés. Ő számolt be a program a célkitűzéseket és a várt és a tényleges eredményeket. Letöltés RAP-LÁTNIVALÓK-2.010 (801 oldal).
Továbbképzés 2010-ben a HBP LÁTNIVALÓK
Az eredmények elemzése
Miután 2007-ig folyamatosan, a teljesítménye a felsőoktatási intézményeket a képzés egész életen át egy helyben jár.
MUTATÓK 4,1
A diplomások számának a folyamatos képzés az egyetemeken és hasonló létesítmények stabil maradt (32000). Míg a csökkenése az intézkedés a növelése diplomások száma, a stagnálás abszolút értéke miatt rossz kommunikációs eszközök a képzés ezen a területen. Meg kell említeni azonban, az egyre növekvő részaránya a nemzeti okleveleket és diplomákat a megfelelő csökkenésével oktatási létesítmény.
Mutató 4,2
A stagnálás teljes elsajátított tapasztalatok miatt két tényező: egyrészt árak esetében a pályázók gyakran a tényleges költségeknél alacsonyabb az intézmény, amely hátráltatja a fejlődését e tevékenység amely nem tekintik prioritásnak, másrészt, egyetemeket és más felsőfokú oktatási intézmények működnek széles választékát jelöltek vizsgálata során a elfogadhatóságának esetben elsőbbséget profilok valószínűleg nyújtott a teljes képesítés (jelenleg 53%-EAV), vagy legalábbis jelentős mértékben. Még több...

29 mai 2011

La professionnalisation et la formation continue à l’université : une vision croisée

http://www.u-bourgogne-formation.fr/squelettes/charte/u-bourgogne-formations-logo.gifCette rencontre est organisée par l’uB (les services mobilisés sont la plate-forme d’insertion professionnelle et le service de Formation continue) et l’Organisme Paritaire Collecteur Agrée (OPCA) OPCALIA qui a des liens forts avec la principale organisation syndicale patronale qu’est le MEDEF.
Vendredi 10 juin 2011 à 16h30, Maison de l’université - Dijon

Professionnaliser nos formations universitaires est un objectif important car cela facilite d’une part l’insertion des jeunes diplômés et d’autre part cela rend nos formations universitaires plus attractives pour un public adulte qui veut se former tout au long de la vie.
Une des solution est de développer des formations fonctionnant en alternance c’est à dire avec des jeunes titulaires d’un contrat d’apprentissage ou des stagiaires avec un contrat de professionnalisation. A la rentrée nous offrirons 65 formations en alternance du bac +2 jusqu’au bac+6 en passant par de nombreuses licences professionnelles et masters et diplômes d’ingénieurs. Cette professionnalisation passe par des échanges avec les entreprises et les organismes qui financent la formation professionnelle.
Dans ce cadre, cette rencontre débat du 10 juin, est l’occasion de confronter les visions d’OPCALIA et de l’uB sur ces problématiques. Elle est ouverte au personnel de l’uB mais aussi aux entreprises. Pour participer il suffit de nous renvoyer le bulletin d’inscription. Programme. Bulletin d’inscription.
Cette rencontre s’organisera en trois temps :
16h45 – 17h05 « Point de vue des entreprises »  sur les missions d’Opcalia : les enjeux et les contraintes d’aujourd’hui ainsi que les besoins en formation identifiés (intervention d’Ourida Lebbal, Déléguée régionale Opcalia Bourgogne).
17h05 – 17h25 « Point de vue de l’uB » sur l’alternance, la formation continue et la VAE (intervention de Franck Hendel, Directeur du SUFCOB-uB) ainsi que sur les intérêts d’une formation en alternance : étudiants, formation, enseignants (intervention de  David Jacotot, Chargé de mission Insertion - uB).
17h25 – 18h Débat avec la salle. Un apéritif sera servi à 18h.
http://www.u-bourgogne-formation.fr/squelettes/charte/u-bourgogne-formations-logo.gif Ez a találkozó szervezője UB (szolgáltatás igénybe platformot a foglalkoztathatóság és a folyamatos Oktatási Minisztérium) és a Közös Collector Engedélyezett Ügynökség (OPCA) OPCALIA , amely szoros kapcsolatban áll a főbb munkáltatói szakszervezet Mit MEDEF.
Péntek 10 június, 2011 16:30-kor, az egyetem Ház - Dijon. Ebben az összefüggésben, a vita június 10-i találkozó jó alkalom, hogy összehasonlítsa a látomásai OPCALIA és UB ezekben a kérdésekben. Ez az alkalmazottakat UB hanem a vállalatok. A részvételhez küldje el a regisztrációs űrlapot. Program. Jelentkezési lapot. Még több...
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