AERES: la FC du PRES Université de Lyon

Käesolev aruanne on aprill 2011. Teema on arutanud mis tahes ajal või selle lähedal või kaugel. Lae aruanne Lyoni lähistel.
Ce rapport est de juin 2011. Il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Le sujet n'est évoqué à aucun moment, si ce n'est une mention du public salarié dans le passage sur la MILC. Télécharger le rapport PRES Bordeaux.
2- La Maison internationale des langues et des cultures (MILC): un projet fédérateur porté par le PRES mais un pilotage qui met Bordeaux 3 face à ses ambiguïtés, voire contradictions
Inscrite au CPER 2007-2010, la MILC, constitue un projet fédérateur des établissements d’enseignement supérieur bordelais, porté par le PRES et le Conseil régional d’Aquitaine. Elle avait d’abord été prévue comme bibliothèque des langues et aurait pu être perçue comme dépendant de la seule université Bordeaux 3. La MILC a donc initié des changements à la faveur des opérations Campus et Initiatives d’excellence:
- en matière de formation, ses domaines d’activités concernent la certification, la préparation à la mobilité sortante, l’enseignement des langues rares, en présentiel, auto-formation, formation à distance, pour des publics universitaires, salariés, etc.;
- en matière de recherche, elle centre ses activités, articulées avec ses missions de formation, sur les TICE et les LANDSAD (Langues pour spécialistes d’autres disciplines) en favorisant la coopération entre Bordeaux 3 et 4; elle n’est pas conçue comme un laboratoire;
- en matière d’activités culturelles, pourvue d’un auditorium, elle constitue un espace de vie ouvert non seulement aux étudiants et enseignants, mais aussi à des publics extérieurs.
Le chargé de projet est un enseignant-chercheur de Bordeaux 3, ce qui est symbolique du positionnement ambigu de l’université. Dans l’intérêt d’une politique de site, elle a renoncé à son projet initial de bibliothèque des langues mais en même temps refuse d’entrer dans l’établissement unique, se pénalisant elle-même et limitant le regroupement souhaité par cinq des autres établissements du site bordelais. Bordeaux 3 risque de s’enfermer dans un isolement qui, s’il devait se perpétuer, pourrait à terme, être aussi nuisible à elle-même qu’à la nouvelle Université de Bordeaux.
This report is June 2011. There is no specific part on Continuing Education. The subject is discussed at any time, if not an indication of the public employee in the passage on the MILC. Download the report PRES Bordeaux .
2 - The House of Languages and Cultures (MILC): a unifying project supported by the close but that puts a steering Bordeaux 3 meet its ambiguities or contradictions
Registered in the CPER 2007-2010, MILC, is a unifying project of higher education institutions Bordeaux, carried by the NEAR and the Regional Council of Aquitaine. It was originally intended as a library language and could be seen as dependent on one University of Bordeaux 3. The MILC has initiated changes to support operations and Campus Initiatives of Excellence:
- Training, areas of activities include the certification, preparation for outgoing mobility, language teaching rare, in-class, self-learning, distance education, for public university employees, etc. More...
Un bilan de notre activité a été réalisé par Centre Inffo et publié dans le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
Plusieurs acteurs clés fortement impliqués dans notre activité ébauchent un bilan de celle-ci et proposent des pistes pour son développement. Un document à diffuser largement. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
La 38e conférence des directeurs de Services universitaires de formation continue (SUFC) s’est tenue à Villeneuve-d’Ascq (Nord) les 8, 9 et 10 juin derniers, un mois avant le quarantième anniversaire de la loi de 1971 qui a inscrit la formation permanente dans le Code du travail. Entretien avec Jean-Marie Filloque, président de la Conférence des directeurs des Services universitaires de formation continue (CDSUFC): “Les Universités ne communiquent pas assez sur ce qui fait leur force”
Comment expliquez-vous le peu de visibilité et d’attractivité des SUFC dans le milieu de la formation continue (FC) ?
Laissez-moi poser une autre question : alors qu’aujourd’hui, 31 % des adultes de 30 à 34 ans ont un diplôme de l’enseignement supérieur, pourquoi est-il si difficile de faire reconnaître l’Université comme un acteur légitime de la FPC, pour ses liens organiques avec la recherche et la construction des connaissances et pour la qualité attestée de ses personnels ?
Bien sûr, nous devons d’abord chercher des raisons en interne : l’image de tour d’ivoire, d’éloignement des “réalités”, l’image négative de l’échec..., mais aussi sans doute, et de manière plus réelle, l’absence jusqu’ici de stratégie d’établissement pour mettre en place des structures et des réponses adaptées, professionnelles diront certains, aux besoins socioéconomiques. La charte des Universités européennes pour l’apprentissage tout au long de la vie, adoptée par les présidents d’Université en 2008 fournit un cadre d’analyse et d’action pour les établissements. La CDSUFC s’emploie à la mettre en oeuvre. Il nous faut aussi améliorer nos outils d’interface, avec une communication plus lisible, des services d’AIOA plus développés, des fiches RNCP accessibles pour nos diplômes. Mais nous ne pouvons négliger l’externe. L’accès aux financements de la FPC suppose que bien sûr l’offre – la réponse – apportée par l’enseignement supérieur soit adaptée, mais aussi que sa légitimité et son intérêt soient reconnus des financeurs et des décideurs. Les choses s’améliorent aujourd’hui, sans que ce soit décisif. Certaines branches professionnelles ont fait le pas, comme les banques, par exemple. La part des financements issus des entreprises (au sens large) augmente dans nos recettes. Entre 2003 et 2008, elle est passée de 38 à 46 %. Nous travaillons, dans certaines régions, à la préparation des CPRDF. Nous approchons les Pôles de compétitivité pour que la dimension de la gestion des compétences ne soit pas le “parent pauvre” de leur action, au coeur de l’innovation et, demain peut-être, des futurs Idex (Initiatives d’excellence dans le cadre de l’emprunt national), quand cette dimension aura été intégrée. Les Universités sont un acteur à part entière de la formation tout au long de la vie et bénéficient de formidables ressources humaines et pédagogiques et de compétences variées. Peut-être ne communiquent-elles pas assez sur ce qui fait leur force: l’offre licence, master, doctorat, des formations courtes et longues, variées, souvent en lien avec une expertise liée à la recherche, des personnels dans les services FC qui sont des professionnels de la formation continue, etc. Les Universités sont également en pleine mutation et essaient de plus en plus d’apporter de la flexibilité dans leurs dispositifs de formation : formations modulaires, formations à distance, validation des acquis, etc.
Quel impact l’autonomie des Universités a-t-elle sur le fonctionnement de leurs Services de formation continue ?
La loi de 20073 n’a pas évoqué la question. La première mission des Universités reste la formation initiale et continue. La notion même de “formation tout au long de la vie” n’apparaît pas, alors que dès 2008, la France, à la tête de l’UE, promouvait l’adoption de la Charte européenne des Universités pour l’apprentissage tout au long de la vie. L’autonomie des Universités rend encore plus prégnante la question de la prise en compte de la formation continue dans la politique des établissements. Il nous faut veiller à maintenir cette prise en compte de la mission de service public, qui leur échoit. La stratégie des établissements “autonomes” doit l’intégrer. C’est une bataille quotidienne de notre réseau. Certains y ont vu, dans le cadre des RCE (responsabilités et compétences élargies), la possibilité de développer des recettes “libres” supplémentaires (augmenter les fonds propres!).
Lors du 36e colloque de la CDSUFC, en juin 2009, vous et vos collègues étiez résolus à renforcer le rôle de vos Services au sein de vos établissements respectifs. Où en êtes-vous ?
Effectivement, un travail important a été fait, tant au niveau des établissements qu’au niveau de la CPU et de la tutelle. Au niveau national, la CDSUFC est maintenant invitée permanente de la commission pédagogie de la Conférence des présidents d’Université (CPU). Elle est régulièrement consultée sur les questions portant sur la FC. Ceci nous permet, par là-même, de travailler avec le réseau des vice-présidents des Conseils des études et de la vie universitaire (VP Cévu) et la Conférence universitaire en réseau des responsables de l’orientation et de l’insertion professionnelle des étudiants (Courroie). Au niveau des établissements, la prise en compte politique de la FC s’est traduite dans plusieurs Universités par la nomination de vice-présidents FC ou FTLV (ou encore Relations entreprises, etc.). Mais cette meilleure prise en compte ne s’est pas faite de façon homogène, et il existe encore des marges de progrès. Nous avons organisé un séminaire spécifique sur cette question en avril dernier à Brignogan-Plages (Finistère), deux jours de réflexion et de travail sur le nouveau positionnement des Services. Ce séminaire sera suivi de séances de travail en cours d’organisation avec les DGS, DRH, Daf et agents comptables... Mais le temps manque pour aller plus vite! Propos recueillis par K.B. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
Ülevaade meie äri oli läbi Inffo Keskus ja avaldatakse nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS. Mitmed võtmeisikud tugevalt seotud meie äri mõttes hinnata seda ja soovitab, kuidas oma arengut. Paber laialt levitada. Lae nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS.
38. direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (SUFC) toimus Villeneuve d'Ascq (Nord) 8., 9. ja 10. juunil kuu enne neljakümnendat aastapäeva 1971 seadusega, mis on lisatud elukestva õppe töökoodeks. Intervjuu Jean-Marie Filloque president direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (CDSUFC): "ülikoolid ei räägi piisavalt milline on nende tugevus"
Kuidas sa seletad vähest läbipaistvust ja atraktiivsust SUFC keset täiendõppe (CE)?
Lubage mul küsida teine küsimus: kui täna 31% täiskasvanutest 30-34 on kraad kõrghariduse, miks on nii raske ära tunda Ülikooli õigustatud näitleja CVT oma orgaanilise sidemeid teadus-ja ehituse teadmisi ja tunnustatud kvaliteet selle töötajad?
Muidugi peame kõigepealt otsida põhjendusi in-house: pilt elevandiluutorni, eemaldamine "tegelikkuse" negatiivne kuvand ei ... kuid kahtlemata ja veel reaalne, ilma et arvelduskuupäevani strateegia üles ehitada struktuuri ja asjakohaseid lahendusi, mõned ütleks, kutsealaseid ning majanduslikke ja sotsiaalseid vajadus. Veel...
Le rapport annuel de performances pour l’année 2010 rend compte du bilan de la mission recherche et enseignement supérieur du budget général. Il fait le point sur le programme en termes d’objectifs et de résultats attendus et obtenus. Télécharger RAP-MIRES-2010 (801 pages).
La Formation Continue dans le RAP 2010 pour la MIRES
ANALYSE DES RÉSULTATS
Après avoir régulièrement progressé jusqu’en 2007, les performances des établissements d’enseignement supérieur en matière de formation tout au long de la vie marquent le pas.
INDICATEUR 4.1
Le nombre de diplômés par la voie de la formation continue dans les universités et établissements assimilés reste stable (32000). Si la baisse de l’indicateur tient à l’augmentation du nombre total de diplômés, la stagnation observée en valeur absolue s’explique par une communication insuffisante des établissements sur son offre de formation en la matière. On peut noter en revanche la part sans cesse croissante des diplômes nationaux et la baisse corrélative des diplômes d’établissement dans la formation continue.
INDICATEUR 4.2
La stagnation du nombre total de validations des acquis de l’expérience tient à deux facteurs : d’une part, les tarifs demandés aux candidats sont souvent en deçà du coût réel pour l’établissement, ce qui constitue un frein au développement de cette activité qui n’est pas jugée prioritaire; d’autre part, les universités et autres établissements d’enseignement supérieur opèrent une sélection importante des candidats lors de l’examen de la recevabilité de leurs dossiers, en privilégiant les profils susceptibles d’obtenir la délivrance d’un diplôme complet (actuellement 53 % des VAE) ou au moins une part importante du diplôme. Un développement des partenariats entre les établissements et les principaux acteurs de l’emploi (entreprises, OPCA, régions, Pôle Emploi) s’avère nécessaire pour pouvoir atteindre la cible fixée (pp.60-62).
RÉCAPITULATION DES OBJECTIFS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE
OBJECTIF n° 4 : Faire de l’enseignement supérieur un outil performant de formation tout au long de la vie (p.34)
INDICATEUR 4.1 : Pourcentage de diplômés en formation continue par rapport au nombre total de diplômés
(du point de vue de l’usager)
Unité % Réalisation 2008 9,3% Réalisation 2009 8,3% Réalisation 2010 8,5% 2012 Cible PAP 2010 10%
Commentaires techniques
Source des données : MEN-MESR-SG/DEPP
Mode de calcul :
L’indicateur est un ratio obtenu en rapportant pour l’année universitaire n-1/n, le nombre de diplômés en formation continue en année n au nombre total de diplômés en année n des établissements observés (universités et assimilés), étant précisé que les diplômes propres des établissements ne sont pas retenus dans ce calcul.
Pour les données relatives aux diplômés de formation continue (numérateur), qui proviennent des services de formation continue des établissements, on recourt à ’enquête relative au « Bilan des actions de formation continue par les établissements publics d’enseignement supérieur ». Cette enquête, qui couvre un champ beaucoup plus large, n’est lancée qu’en mai n+1, en sorte que la valeur de l’indicateur pour l’année n n’est disponible qu’au RAP de n+1.
Commentaires :
On observera que l’évolution de l’indicateur peut être défavorable du fait d’une évolution plus favorable au dénominateur qu’au numérateur. Mais, quoi qu’il en soit, l’augmentation linéaire du nombre des diplômés en formation continue devrait se poursuivre au cours des prochaines années malgré un déplacement des usagers vers les formations courtes non diplômantes observé ces dernières années et alors même que les Pôles emploi ne financent plus les formations universitaires (baisse de 12% des demandeurs d’emplois dans ce type de formations). Aussi est-il intéressant de mettre en regard de la valeur du ratio calculé l’évolution de la donnée primaire du numérateur (effectifs des diplômés en formation continue).
INDICATEUR 4.2 Nombre des validations des acquis de l’expérience dans les universités et au CNAM (du point de vue du citoyen).
Mode de calcul :
Le premier sous-indicateur est calculé en faisant la somme des bénéficiaires de tout ou partie de diplômes par validation des acquis de l'expérience (décisions favorables prises au cours de l'année civile en matière de validations d'acquis de l'expérience ; les chiffres étant transmis par chaque établissement). Le deuxième sous-indicateur fournit le nombre de décisions favorables en matière de VAE, accordant le diplôme dans sa totalité.
Seules sont comptabilisées les VAE sur diplômes nationaux à l’exclusion donc des diplômes propres des établissements.
Les établissements enquêtés sont les universités, le CNAM et les écoles d’ingénieur, ces dernières faisant toutefois très peu de VAE.
Les valeurs pour l’année n ne sont disponibles qu’au RAP n+1.
Commentaires :
Le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) créé par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 et inscrit au Code de l’éducation et au Code du travail institue un droit individuel, ouvert à tous, à l’obtention de tout ou partie de diplôme ou certification par la seule validation des acquis de l’expérience sans passer par la formation, les textes faisant de la validation des acquis de l’expérience un nouveau mode d’accès à la certification au même titre que la formation initiale, l’apprentissage ou la formation continue.
Les premières années de mise en oeuvre de la VAE se sont caractérisées par une forte croissance du nombre de validations et du nombre de diplômes attribués en totalité. Mais la cible fixée initialement sur ces bases se révèle trop optimiste. L'année 2006 marque un arrêt de cette évolution puisque le nombre de VAE a reculé par rapport à l'année 2005. Plusieurs facteurs permettent d'expliquer cette situation :
- les services de VAE ont atteint leur capacité limite de réponse à la demande,
- la fin du volet national du FSE,
- une absence de campagne d'information sur la VAE, la dernière remontant à 2002 pp.60-62.
TRANSFERTS AUX AUTRES COLLECTIVITÉS
Cette catégorie comprend les actions destinées à renforcer les capacités de gestion des établissements pour 11,7 M€ en AE et CP dont notamment :
4,8 M€ au titre des relations internationales de l’enseignement supérieur ;
3,5 M€ destinées aux PRES et au contrat de l’ESPCI et de l’ESTIA ;
1,7 M€ pour le fonctionnement des instances (le conseil international pour la science – ICSU -, Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieur, Conférence des présidents d’universités, Conseil supérieur de la formation et de la recherche, le fonctionnement de la coordination de la formation continue, le Conseil national du droit…) ;
1,5 M€ pour contribuer aux projets en matière de développement des technologies de l’information et de la communication (notamment au groupement d’intérêt public université médicale virtuelle francophone -GIP UMVF -, à l’université numérique ingénierie et technologie –UNIT - et l’université juridique numérique francophone) ;
0,15 M€ pour le fonctionnement de l’Association de préfiguration de la fondation des femmes pour la Méditerranée (APFFM) ;
0,075 M€ pour les réserves parlementaires (Fondation internationale de finances publiques –FONDAFIP -, l’institut des hautes études de défense nationale – IHEDN -, la cité internationale universitaire de Paris ; l’institut de prospective économique du monde méditerranéen -,IPEMED-) p.141-142.
Emplois « hors-plafond État » des opérateurs (financés sur ressources propres, formation continue et recherche)
L’augmentation significative observée entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 (+ 3 688 ETP hors contrats aidés) résulte pour une part des travaux de fiabilisation de l’enquête déclarative, d’un meilleur décompte des emplois par les établissements eux-mêmes, mais aussi des fluctuations inhérentes aux contrats de recherche ou de formation continue passés par les établissements. On constate néanmoins que l’écart entre la réalisation 2009 et la réalisation 2010 est inférieur à l’écart constaté l’an dernier p.146.
Le versement d’une subvention à l’ASP (agence de services et de paiement) ex CNASEA : 0,215 M€
Ces crédits contribuent à la réinsertion professionnelle de demandeurs d’emploi ne pouvant bénéficier d’un autre régime conventionnel ni d’une prise en charge par le conseil régional, en leur accordant les moyens de s’inscrire dans une démarche de formation professionnelle continue dans l’enseignement supérieur grâce à une aide financière attribuée sur plusieurs mois. Ces aides étaient versées par le CNASEA, prestataire de service, devenu Agence de services et de paiement depuis avril 2009 p.239.
Fonctionnement des établissements d’enseignement supérieur publics: AE : 35 328 168 € CP : 35 328 168 €
Ces crédits versés aux 12 établissements d'enseignement supérieur pour leur fonctionnement intègrent la formation continue des enseignants-chercheurs qui était financée auparavant par des subventions distinctes p.696.
Az éves teljesítmény-jelentés a 2010-es eredményeit tükrözi, a kutatás és az oktatás feladata az általános költségvetés. Ő számolt be a program a célkitűzéseket és a várt és a tényleges eredményeket. Letöltés RAP-LÁTNIVALÓK-2.010 (801 oldal).
Továbbképzés 2010-ben a HBP LÁTNIVALÓK
Az eredmények elemzése
Miután 2007-ig folyamatosan, a teljesítménye a felsőoktatási intézményeket a képzés egész életen át egy helyben jár.
MUTATÓK 4,1
A diplomások számának a folyamatos képzés az egyetemeken és hasonló létesítmények stabil maradt (32000). Míg a csökkenése az intézkedés a növelése diplomások száma, a stagnálás abszolút értéke miatt rossz kommunikációs eszközök a képzés ezen a területen. Meg kell említeni azonban, az egyre növekvő részaránya a nemzeti okleveleket és diplomákat a megfelelő csökkenésével oktatási létesítmény.
Mutató 4,2
A stagnálás teljes elsajátított tapasztalatok miatt két tényező: egyrészt árak esetében a pályázók gyakran a tényleges költségeknél alacsonyabb az intézmény, amely hátráltatja a fejlődését e tevékenység amely nem tekintik prioritásnak, másrészt, egyetemeket és más felsőfokú oktatási intézmények működnek széles választékát jelöltek vizsgálata során a elfogadhatóságának esetben elsőbbséget profilok valószínűleg nyújtott a teljes képesítés (jelenleg 53%-EAV), vagy legalábbis jelentős mértékben. Még több...