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Formation Continue du Supérieur

2 mars 2011

31 mars 2011 ouverture du salon « Alternance Mode d’Emploi » Lorraine

http://www.alternancemodedemploi.fr/wp-content/themes/medef_salon/images/logo_alternance.jpgRejoignez nous pour la remise des 1ers Trophées de l’alternance en Lorraine le 31 mars 2011 à 17h au Domaine de l’Asnée, sous la Présidence de Madame Nadine MORANO, Ministre en charge de l’apprentissage et de la formation professionnelle.
Guide d’accueil des jeunes en entreprise.

Les entrepreneurs de demain sont les élèves d’aujourd’hui. Vous pouvez les rencontrez dans leur école, sur des salons d’orientation, mais il est également important de leur montrer la réalité de l’entreprise et du travail : ouvrez-leur les portes de votre entreprise. Vous serez étonnés de l’intérêt qu’ils vous portent ! Vous donnerez aux jeunes une idée plus claire de l’entreprise, vous susciterez chez eux l’envie d’y prendre des initiatives, d’y travailler en équipe, d’y acquérir des compétences. Bref, vous transmettrez vos valeurs d’entrepreneurs.
De plus, vous avez au coeur de votre entreprise des talents qui doivent être partagés et transmis aux nouvelles générations, notamment dans le cadre de la gestion de vos compétences internes. L’entreprise est lieu de savoirs et savoir-faire qui doivent être partagés. L’avenir de votre entreprise se prépare dans l’anticipation des départs programmés ou non de vos salariés, en prenant appui sur la mixité entre ancienne et nouvelle génération.
Le tutorat dans le cadre du contrat de professionnalisation
1 | Dispositifs
Objectifs
    * Favoriser l’exercice des missions du tuteur.
    * Participer au financement des dépenses d’une entreprise liées à l’exercice du tutorat effectivement mis en œuvre auprès des salariés en contrat ou période de professionnalisation.
Publics
    * Tout salarié de l’entreprise (y compris les employeurs ayant un satut de salarié dans l’entreprise), volontaire pour exercer des fonctions de tuteur auprès de personnes en contrat ou en période de professionnalisation et bénéficiant d’une expérience professionnelle d’au moins deux ans en lien avec l’objectif de professionnalisation visé.
    * Salariés tuteurs d’un bénéficiaire d’une Période ou d’un Contrat de Professionnalisation. La durée de la formation est de 40 heures maximum.
    * Salariés tuteurs d’un bénéficiaire relevant des publics prioritaires (CP, GEIQ, TH…) suivant une Période ou un Contrat de Professionnalisation. L’exercice de la fonction tutorale dans ce cas ne doit pas excéder 6 mois. Le salarié doit au préalable suivre une formation renouvelable tous les trois ans.
Missions du tuteur
    * Accueillir, aider, informer et guider les salariés en contrat ou période de professionnalisation,
    * Veiller au respect de son emploi du temps,
    * Assurer la liaison avec l’organisme ou le service de formation,
    * Participer à l’évaluation du suivi de la formation.
Limites
Un salarié ne peut exercer simultanément des fonctions de tuteur auprès de plus de trois personnes en contrat ou période de professionnalisation ou en contrat d’apprentissage, deux personnes si le tuteur est également employeur.
Formation
Le tuteur doit recevoir les moyens nécessaires à l’accomplissement de sa mission de suivi :
    * Un accompagnement ou une formation spécifique, préalable à exercice de sa mission.
    * Un aménagement de sa charge de travail pour lui permettre de libérer du temps pour cette mission.
2 | Prise en charge
La formation des tuteurs ainsi que l’exercice de la fonction tutorale, peuvent être financés au titre du 0,15 % (pour les des entreprises de moins de 20 salariés) ou 0,5 % (pour les entreprises de 20 salariés et plus) dans la limite des plafonds suivants:
    * formation tutorale : 15 €/H (40 heures maximum),
    * exercice de la fonction tutorale pour les publics prioritaires (CP, GEIQ, TH…) dont la durée maximum est de 6 mois : plafond de 230 €/mois pendant 6 mois maximum.
En vue de la prise en charge financière de l’exercice de la fonction tutorale, il est important de formaliser les actions de suivi de chaque bénéficiaire par le tuteur (ex : comptes rendus d’entretien, feuilles de temps cosignées…).
Pour les entreprises appliquant un autre accord, se rapprocher de l’OPCA auprès duquel l’entreprise s’est acquittée du 0,15 % (moins de 20 salariés) ou du 0,5 % (de 20 salariés et plus). Téléchargez le guide méthodologique sur le tutorat.
http://www.alternancemodedemploi.fr/wp-content/themes/medef_salon/images/logo_alternance.jpg Begleiten Sie uns auf der Präsentation der Trophäen 1. Stellvertreter in Lothringen 31. März 2011 um 17 Uhr in der Domaine de l'Asne unter dem Vorsitz von Frau Nadine Morano Minister für Lernen und berufliche Bildung.
Empfang Guide Jugend in der Wirtschaft .

Unternehmer von morgen sind die heutigen Studenten.
Sie können Messen treffen sie an ihrer Schule auf Karriere, aber es ist auch wichtig zu zeigen, ihnen die Realität der Wirtschaft und Arbeit: sie öffnen die Türen Ihres Unternehmens. Download methodischer Leitfaden über Mentoring. Mehr...
2 mars 2011

Les jeunes et l'apprentissage dans la fonction publique territoriale

http://www.cnfpt.fr/site/images/national/entetes/entete-actualites.jpgL’Observatoire de l’emploi, des métiers et des compétences du CNFPT vient de publier une synthèse sur les jeunes et l’apprentissage dans la fonction publique territoriale au 31 décembre 2008.
Cette synthèse porte, dans une première partie, sur les agents de moins de 30 ans dans la fonction publique territoriale, et dans une seconde partie, sur les caractéristiques des apprentis dans les collectivités et établissements publics territoriaux. Il en ressort, notamment, que la présence des jeunes dans la fonction publique territoriale paraît très faible et que le recours à l’apprentissage reste marginal, malgré une augmentation continue du nombre d’apprentis dans les collectivités et les établissements publics territoriaux.
Au nombre de 8627 au 31/12/2008, les apprentis dans les collectivités et établissements publics territoriaux représentent 0,45 % de l’ensemble des agents. De plus, on recense 4346 nouveaux contrats d’apprentissage signés en 2008. Pour la première fois, depuis 2003, on observe une légère diminution du nombre de signature de contrats au cours d’une année.
Pour présenter les jeunes territoriaux, cette synthèse s’appuie sur les résultats de plusieurs travaux de l’Observatoire de l’emploi, des métiers et des compétences, notamment sur les données d’enquêtes régionales sur l’emploi et les métiers territoriaux en Bourgogne, en Poitou-Charentes et en Nord-Pas-de-Calais.
En ce qui concerne l’apprentissage, cette synthèse se fonde sur deux sources: d’une part, une description des apprentis présents dans les collectivités et établissements publics territoriaux au 31/12/2008. Ces données exprimées en termes de stock proviennent de l’Enquête Colter de l’INSEE sur les effectifs territoriaux; d’autre part, les caractéristiques des nouveaux bénéficiaires de contrats d’apprentissage signés en 2008 et leur évolution depuis 2003. Ces données concernant les flux des apprentis sont issues d’informations transmises par la DARES (Direction de l’animation, de la recherche et des études statistiques).
Cette publication peut être consultée et téléchargée sur www.cnfpt.fr et www.observatoire.cnfpt.fr.
http://www.cnfpt.fr/site/images/national/entetes/entete-actualites.jpg A Foglalkoztatási Megfigyelőközpont, szakmák és készségek CNFPT csak megjelent egy könyv a fiatalok és a tanulás a helyi kormányzati szolgáltatások december 31-én 2008. A kiadvány megtekinthető és letölthető a www.cnfpt.fr és www.observatoire.cnfpt.fr. Még több...
1 mars 2011

Déplacement du Président à Bobigny sur le thème de l'emploi et de la formation

http://www.elysee.fr/president/root/bank/images_elysee_interface/zoneHaut/logo_defaut.pngEmploi et formation: toutes les propositions du Président dévoilées sur le campus des métiers et de l'entreprise de Bobigny  
Le Président de la République s'est rendu mardi 1er mars au Campus des Métiers et de l'Entreprise de Bobigny. Ce Campus accueille plus de 1600 jeunes en apprentissage, qui se forment sur des métiers dans 11 secteurs d'activité différents. Il présente des résultats particulièrement remarquables en matière d'accès à l'emploi avec un taux d'insertion à l'issue de la formation de 70%.
Soulignant que l'alternance constitue un véritable « passeport pour l'emploi » pour les jeunes, le Président de la République a fait de son développement une priorité, avec comme objectif de porter le nombre de jeunes formés par l'alternance de 600000 à 1 million à terme... En matière d'alternance, les entreprises seront incitées à recruter au travers de nouvelles aides à l'embauche et par l'instauration d'un dispositif de bonus-malus pour celles de plus de 250 salariés. Les droits des jeunes en alternance en matière d'accès au logement ou de restauration seront alignés sur ceux des étudiants. Enfin, le nombre de places de formation sera augmenté, en s'appuyant sur les moyens dégagés par le Grand emprunt et les prochaines conventions d'objectifs et de moyens conclues avec les régions.
Télécharger le Dossier de presse relatif au déplacement du Président à Bobigny sur le thème de l'emploi et de la formation.
Extraits
DEVELOPPER L’ALTERNANCE

La taxe d’apprentissage sera réformée pour accompagner l’augmentation du nombre d’apprentis.
Dans les entreprises de plus de 250 salariés, le quota de 3% d’alternants sera relevé à 4% et modulé en fonction de l’effort de l’entreprise.
LA FORMATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI

L’Etat va prendre en charge le financement de formations supplémentaires en augmentant de 30% les entrées en formation. L’objectif est d’augmenter les formations proposées aux demandeurs d’emplois de 30 000 entrées. 15 000 seront prises en charge par l’Etat via Pôle emploi et il sera proposé aux Conseils régionaux d’en financer 15 000 dans le cadre de conventions d’objectifs.
DEVELOPPER LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION POUR LES DEMANDEURS D’EMPLOI AGES DE 45 ANS ET PLUS

Les entreprises qui embauchent un demandeur d’emploi âgé de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation bénéficieront d’une aide supplémentaire de 2000 euros par contrat. Une aide de 2000 euros par contrat, financée par l’Etat, sera versée à l’entreprise au fur et à mesure du bon déroulement du contrat. Elle s’ajoutera à l’aide de 2000 euros versée par Pôle emploi pour les contrats de professionnalisation destinée aux salariés âgées de vingt-six ans et plus. Ces deux aides seront par ailleurs cumulables avec l’exonération de charges sociales applicable aux contrats de professionnalisation pour les demandeurs d’emploi âgés de 45 ans et plus. Enfin, ce contrat devra permettre de répondre aux besoins des entreprises en visant surtout l’acquisition de compétences permettant d’occuper un poste déterminé dans l’entreprise demandeuse.
http://www.elysee.fr/president/root/bank/images_elysee_interface/zoneHaut/logo_defaut.png Xogħol u Taħriġ: Kollha President proposti tal-żvelat fuq il-kampus ta 'snajja u tan-negozju ta' Bobigny
Il-President tar-Repubblika żar il-kampus it-tlieta 1 Marzu Snajja u l-Intrapriża Bobigny. Dan il-kampus hija dar għal aktar minn 1,600 żgħażagħ fit-tagħlim, li jiffurmaw dwar kummerċ fi 11-industriji differenti. Hija tipprovdi riżultati eċċellenti fl-aċċess għall-impjiegi ma 'rata inserzjoni wara taħriġ minn 70%. Niżżel il-kit għall-istampa għar-rilokazzjoni tal-President fil Bobigny fuq it-tema ta' impjiegi u taħriġ. More...
1 mars 2011

Nouveaux outils au CARIF Espace Compétences

http://electronlibre.info/IMG/arton303.jpgLe CARIF diffuse les enregistrements de ses conférences sur Daily motion. Déjà accessibles: les actes du séminaire régional sur le décrochage et la rupture scolaire du 8 novembre 2010 et les interventions de la matinale du 6 décembre 2010 sur la qualité de l′orientation professionnelle. Le CARIF Espace Compétences est un centre d’animation, de ressources et d’information, au service des politiques publiques de formation et d’emploi en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
http://reseaupensant.net/public/WindowsLiveWriter_1493d5415a61_9C7D_netvibes-logo_2.pngPratiques et utiles : les outils de veille sur l′emploi, la formation et les Pôles de Compétitivité/Prides
Le CARIF lance une série d′outils de veille réalisés avec l′outil français «netvibes» : il s′agit de sites thématiques où tout est rassemblé en un seul endroit et actualisé en permanence. Véritable «sites outils», ils permettent de suivre le web temps-réel et compilent des flux RSS.
Ces « netvibes » font échos à différentes rubriques du site emploiformationpaca.
A la rubrique Accéder à l′emploi correspond le netvibes sur l′emploi : une compilation de 250 sites d′offres d′emploi classés par secteur d′activité. Les flux RSS sont paramétrés pour recevoir les offres régionales en PACA.
A la rubrique Connaître les métiers correspond le netvibes des sites d′information sur les métiers, accessibles par ordre alphabétique. Il regroupe 140 sites et 25 flux RSS
A la rubrique Découvrir les réseaux innovants correspond le netvibes sur les pôles des compétitivités et les PRIDES.
http://static2.dmcdn.net/static/user/451/798/36897154:avatar_large.jpg?20101210170038Le 0 800 600 007 vous informe sur la formation
Au 0 800 600 007, appel gratuit, les spécialistes du CARIF Espace Compétences informent les publics sur les aides et dispositifs existants (modalités, financements, contenus des formations, démarches relatives à la VAE ou d′un bilan de compétences...) et les dirigent si besoin vers les structures adaptées à leur statut, sur leur territoire. Afin d′élargir et de faciliter l′accès à la plateforme, le CARIF met en place de nouveaux horaires.
http://www.emploiformationpaca.org/Portals/1/numero-vert.jpgLe 0 800 600 007 est désormais accessible du lundi au jeudi de 9h00 à 17h00 en continu et le vendredi de 13h00 à 17h00. Ce service, unique en Provence-Alpes-Côte d′Azur, est financé par la Région, l'Etat et le Fonds Social Européen. + d'infos.
http://electronlibre.info/IMG/arton303.jpgLe registrazioni di trasmissioni CARIF sue lezioni su Daily Motion. Già disponibile la atti del seminario regionale sulla dispersione scolastica e l'8 novembre 2010 e l' intervento del mattino del 6 dicembre 2010, relativa alla qualità di orientamento professionale. La Skills CARIF Area è un centro di intrattenimento, risorse e informazioni, al servizio della politica pubblica della formazione e dell'occupazione in Provence-Alpes-Cote d'Azur.

http://reseaupensant.net/public/WindowsLiveWriter_1493d5415a61_9C7D_netvibes-logo_2.png Utile e pratico: gli strumenti di monitoraggio in materia di occupazione, formazione e poli di competitività/Prides
Il CARIF lanciando una serie di strumenti per garantire lo strumento fatto con il francese "netvibes": questi siti tematici dove tutto è in un unico luogo e aggiornato continuamente.
Real "strumenti di luoghi, in grado di monitorare il web in tempo reale e compilare i feed RSS. Questi "netvibes" sono echi a diverse sezioni del sito emploiformationpaca. Sotto il titolo di accesso al lavoro è la Netvibes per l'occupazione: una compilation di 250 luoghi di lavoro classificate per settore. I feed RSS sono impostati per ricevere le offerte regionale PACA. Maggiori informazioni...
1 mars 2011

La première convention éco-campus signée à Toulouse

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesLa première convention pour la création d’un éco-campus en France a été signée entre le PRES Université de Toulouse, l’Université Paul Sabatier, la Communauté urbaine du Grand Toulouse, l’Académie de Toulouse et la Caisse des Dépôts. Le projet s’inscrit dans le cadre de la loi LRU et "vise à faire du complexe scientifique de Rangueil un pôle de connaissance attractif et compétitif".
La Caisse des Dépôts cofinancera "la moitié des études d’ingénierie relatives à la démarche éco-campus" et apportera "son expertise pour l’assistance à maîtrise d’ouvrage (Amo) du projet".
Business School: vocational and business schools partnerships The first convention for the creation of an eco-campus in France was signed between the PRES Université de Toulouse, Université Paul Sabatier, the Urban Community of Greater Toulouse, Toulouse Academy and the Caisse des Dépôts. The project is part of the LRU and "aims to make complex scientific Rangueil a knowledge hub attractive and competitive.". More...
1 mars 2011

Demandeur d'emploi : quelle formation ?

http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gifTrouver une formation représente un véritable investissement : en énergie, en temps et en argent. C'est une démarche individuelle que certains n'hésitent pas à qualifier de parcours du combattant. Pour vous aider à vous y retrouver, voici les réponses aux questions les plus courantes et les conseils de deux experts de la Cité des Métiers.
Quelles sont les conditions pour suivre une formation ?
Pour un demandeur d'emploi, tout projet de formation doit s'inscrire dans le PARE (Plan d'aide de retour à l'emploi) et le PAP (Projet d'action personnalisé). Il doit être validé par un conseiller Pôle emploi, mais demande un travail de réflexion préalable (consultez l'article "Comment bien définir son projet de formation"). Si votre demande n'a pas été validée, vous pouvez tout de même suivre votre formation. Mais vous n'êtes plus considéré comme un demandeur d'emploi, vos frais de formation sont à votre charge et vous risquez de perdre votre couverture sociale.

Où trouver une formation ?

Il n'existe pas d'ouvrage unique répertoriant toutes les formations conventionnées existantes. Mais quelques sources sont incontournables :
- les catalogues de formation édités par les Conseils régionaux, qui sont de gros financeurs de formations. Ils sont disponibles dans les agences Pôle emploi.
- la base de données des CARIF (Centre d'animation de ressources et d'information sur la formation). On y trouve les stages de formation financés par les Conseils régionaux ou l'Etat, les programmes de formation et les centres de formation.
- les stages proposés par l'AFPA et les formations des GRETA.

Il existe d'autres dispositifs accessibles à des demandeurs d'emploi remplissant certaines conditions

Les demandeurs d'emploi indemnisés peuvent en effet bénéficier de différents dispositifs : informez-vous dans votre agence Pôle emploi.
Si vous ne percevez pas d'allocations chômage, vous pouvez toutefois bénéficier d'aides pour accéder à la formation :
- l'Action de formation préalable au recrutement (AFPR)
- le Contrat d'accompagnement à l'emploi (CAE). Ce dispositif est également valable dans les DOM (CAE DOM)
- le Contrat initiative emploi (CIE)
- le contrat de professionnalisation
- le Congé individuel de formation CDD (CIF CDD)
- le Congé individuel de formation Intérim (CIF Intérimaire).

L’aide individuelle à la formation

Pôle emploi peut vous attribuer une aide individuelle à la formation pour contribuer au financement des frais pédagogiques d’une formation professionnelle nécessaire à la reprise d'un emploi ou à la création d'une entreprise. La demande d'aide doit être déposée au plus tard quinze jours avant le début de la formation. Pour en savoir plus, consultez le site de Pôle emploi.
Quelle rémunération pendant ma formation ?
Tout dépend de votre statut de demandeur d'emploi.
Si vous percevez l'allocation d'Aide au retour à l'emploi (ARE) et que votre projet de formation s'inscrit dans votre PAP, vous conservez le montant de vos allocations dans la limite de vos droits acquis. Si votre formation se prolonge au-delà de vos droits à indemnisation, vous pouvez, sous certaines conditions (voir avec votre conseiller Pôle emploi), toucher une allocation de fin de formation. Si vous n'êtes pas indemnisé au titre de l'ARE, vous pourrez dans certains cas percevoir une rémunération versée par l'Etat si votre stage est agréé au titre de la rémunération des stagiaires. Vous devez alors vous adresser au centre de formation que vous voulez intégrer.
Les frais de formation (inscription, transports, hébergement, repas...) sont-ils pris en charge ?

Selon le stage que vous suivez et en fonction de votre situation personnelle, une aide financière peut vous être accordée dans certains cas par le Pôle emploi, le Conseil régional, le Conseil général, votre mairie, l'Association pour la Gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des handicapés (l'Agefiph), la Caisse d'allocations familiales (CAF), votre caisse de retraite, etc...
http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gif Keressen egy tanfolyam, amely valódi beruházás: időt, energiát és pénzt. Ez egy egyedi megközelítés, hogy néhány, ne habozzon, hívjon akadálypályán. Hogy segítsen megtalálni az utat, itt gyakori kérdésekre adott válaszokat és tanácsokat, két szakértő, a Cité des tevékenységcsoportokat. Milyen követelményeket kell teljesíteniük a képzést?
Az álláskeresők, míg a képzési projektet a Pare (terv támogatás vissza dolgozni), és a PAP (Project Custom Action). Meg kell hitelesíteni tanácsadó munkaügyi központ , de megköveteli a gondolkodási folyamat előtt (lásd a cikk " Hogyan lehet meghatározni a tanulási tervet "). Ha az alkalmazás nem hagyták jóvá, akkor is kövesd a képzés. De te már nem tekinthető álláskeresőnek, a képzés költségeit az Ön felelőssége, és akkor elveszti a lefedettség. Még több...
1 mars 2011

Xavier Bertrand demande aux régions de travailler avec l'Etat sur l'apprentissage

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Leïla de COMARMOND. Le ministre du Travail va rétablir l'allocation de fin de formation pour les chômeurs. Et demande aux régions de travailler avec l'Etat sur l'apprentissage. Celles-ci se méfient...
Il a annoncé le rétablissement de l'indemnisation des chômeurs en formation longue (quand leurs droits sont expirés), alors que cette allocation était supprimée depuis le 31 décembre. « Nous allons la remettre en route et il y aura même un effet rétroactif », a-t-il précisé.
Le ministre a également lancé aux départements et aux régions : « Travaillons ensemble.  » Pour les conseils généraux, il s'agit de proposer davantage de contrats aidés. Sur l'apprentissage, les régions (qui ont dépensé près de 2 milliards d'euros en 2010) et l'Etat sont condamnés à travailler ensemble. Mais les relations étaient à couteaux tirés avant le remaniement de novembre. Le changement de ministres s'est accompagné d'un changement de ton. Les enjeux financiers et politiques (les régions sont toutes à gauche sauf une) rendent cependant l'union délicate. Le passif est lourd : un projet (atténué ensuite au Sénat) de renforcement de la tutelle de l'Etat dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, une violente charge contre leur action en matière d'emploi au moment de la campagne des régionales, etc.
Des contrats sans attendre
Le discours de Laurent Wauquiez à l'égard des régions avait commencé à s'adoucir à l'automne. Ses successeurs affirment vouloir enterrer la hache de guerre. Ainsi Xavier Bertrandleur propose-t-il un marché : « Qu'ils mettent 1 euro quand l'Etat met 1 euro. » Dans un courrier adressé à chacun de leurs présidents, le 18 février, il évoque un « partenariat » à « matérialiser rapidement dans le cadre des contrats quinquennaux d'objectifs et de moyens », sans attendre l'échéance prévue fin juin. La ministre chargée de la Formation, Nadine Morano, souligne que l'Etat est prêt à mettre 350 millions par an dans ces contrats. Elle a reçu le 16 février le président de l'Association des régions de France (ARF), Alain Rousset (Aquitaine), et son vice-président chargé de la formation, Jean-Paul Denanot (Limousin). Elle a demandé aux préfets d'évaluer les précédents contrats et compte se lancer dans un « tour de France » des régions.
Les régions sont partagées entre la volonté d'affirmer leur savoir-faire sur l'emploi, forme d'avant-goût de ce que pourrait faire la gauche au pouvoir, et la crainte de voir l'exécutif phagocyter leurs moyens pour soigner son bilan. « Le discours a un peu changé, il est moins frontal, mais, sur le principe, on reste sur un Etat jacobin, regrette Jean-Paul Denanot. Nous sommes prêts à toutes les discussions, mais nous en avons assez de payer pour l'Etat. »
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPermezz Comarmond de Leila. Il-Ministru tax-Xogħol se jirrestawraw l-allokazzjoni ta 'l-aħħar ta' taħriġ għall-qiegħda. U jistieden lill-reġjuni biex jaħdmu ma 'l-Istat fuq it-tagħlim. Dawn huma suspettużi...
Huwa ħabbar l-irkupru ta 'kumpens għall-qiegħda fil-ħin ta' taħriġ (meta d-drittijiet tagħhom skadew), filwaqt li l-allowance kienet ġiet abolita mill Diċembru 31. "Aħna se jerġa u hemm saħansitra se tkun retroattiva, huwa qal
. More...
1 mars 2011

"Triplons notre capacité d'accueil" d'étudiants étrangers

http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifPar PierreTapie, directeur général du groupe Essec, Président de la Conférence des Grandes Ecoles. Une politique volontariste à l'égard des étudiants étrangers permettrait à la France d'attirer et de fidéliser les futures élites du monde émergent.
Dans la compétition que la mondialisation a exacerbée entre les économies, émerge un espace d'importance croissante : celui de l'influence respective des pays, selon leur capacité à attirer les futures élites mondiales pour y étudier.
A long terme, les lieux d'études choisis par ces étudiants fondent une influence culturelle, dont les conséquences économiques peuvent être considérables. Quand on connaît les entreprises d'un pays, qu'on a pu en découvrir les compétences et y tisser des réseaux relationnels, au retour on pensera naturellement à ces entreprises comme fournisseurs, à ces relations personnelles comme experts. Le temps des études est fondateur de la vie adulte; des amitiés s'y nouent, des valeurs et des représentations du monde s'y cristallisent: des étudiants qui ont séjourné deux ou trois ans dans un pays étranger en deviennent des ambassadeurs à vie.
Les Etats-Unis ont longtemps dominé la scène de l'émigration étudiante, avec des universités remarquables et riches, et le rêve d'une installation au pays des pionniers. La perception de l'Amérique dans le monde a changé au cours des années 2000; la panne de croissance et les restrictions à l'immigration ont affaibli l'attractivité de ces universités; les places y sont limitées. Aussi l'Europe apparaît-elle comme une option intéressante pour les jeunes de pays émergents, notamment asiatiques : terre de culture et de sciences, terre d'équilibre entre l'économique et le social, terre habitée depuis des millénaires par des populations à forte densité démographique qui a dû apprendre à gérer des ressources naturelles rares, l'Europe multilingue a créé un espace pacifique de prospérité.
Ces éléments attirent des jeunes étudiants brillants venus de pays riches d'histoire et de culture, qui veulent connaître différents modèles de développement pour inventer le leur. Dans ce contexte, la France garde une aura certaine, que nous aurions tort de dédaigner: pays des droits de l'homme, terre de paysages, de gastronomie, de littérature, de sciences, de médecine, de ruptures technologiques... cette alchimie particulière représente une "marque France" que nous pouvons mieux mettre en valeur. La France est déjà la troisième destination mondiale pour l'accueil d'étudiants étrangers, avec 246000 étudiants en 2009. C'est la première destination non anglophone. La France accueille surtout des étudiants du Maghreb et d'Afrique subsaharienne, cinq pays représentant 62% du total des étudiants étrangers en France: Maroc, Algérie, Tunisie, Cameroun et Sénégal. La Chine est désormais à la deuxième place. L'enjeu pour notre pays est de changer d'ambition pour l'accueil d'étudiants étrangers.
La Conférence des grandes écoles propose de tripler, en dix ans, le nombre total d'étudiants étrangers formés par des établissements français, pour qu'il passe de 246000 aujourd'hui à 750000 demain, soit environ 500000 étudiants étrangers de plus en dix ans. Ces derniers représentent aujourd'hui 12% du total des étudiants en France. Cette évolution amènerait à une proportion d'étrangers d'environ 30% du total des étudiants. Dans un certain nombre d'institutions, essentiellement des grandes écoles, ces proportions sont déjà dépassées aujourd'hui. Notre expérience indique qu'à partir de cette proportion les comportements des étudiants changent les uns vis-à-vis des autres: les étrangers ne sont plus une poignée minoritaire qui vit au rythme et selon les moeurs des étudiants français; ils exigent de contribuer, d'être respectés pour la diversité et l'expérience apportée à la classe : ils défient les comportements parfois potaches des étudiants français et les obligent à sortir de leur confort, car leur motivation et leur brio sont une concurrence. Ils obligent alors leurs collègues français à révéler le meilleur d'eux-mêmes, comme ils savent très bien le montrer quand eux-mêmes vont étudier à l'étranger. Ils changent la relation entre enseignant et apprenant.
Si on adhère à cette ambition, si on en mesure les enjeux à long terme, on doit se demander: est-ce réaliste? Comment le faire? C'est assez simple. En termes de taille tout d'abord, plus 500000 étudiants en dix ans signifie simplement plus 50000 étudiants par an, soit + 2% par an en moyenne par rapport au nombre total. Gérer des croissances de +2% correspond à des évolutions normales du milieu universitaire, dès lors que cela est construit et planifié. La question-clé est celle du financement. Nous faisons une proposition très simple: le coût moyen d'une formation d'un étudiant en France, qui varie bien sûr considérablement selon les secteurs, est de 11000 euros par an, tous secteurs confondus. Nous proposons que 80% des étudiants paient 125% de cette somme pour que 20% puissent disposer d'une bourse gratuite sur critères sociaux et/ou, de mérite.
Aujourd'hui, les 246000 étudiants étrangers, accueillis essentiellement gratuitement par la France, représentent un coût pour le budget de l'Etat d'environ 2,5 à 3 milliards d'euros. Avec ces mesures, nous serions capables d'accueillir 750000 étudiants en assurant la gratuité à la moitié d'entre eux environ, l'autre moitié payant, en moyenne, 13 500 euros par an, et la France investissant 2,5 à 3 milliards d'euros dans un vaste système de solidarité. Ces frais de scolarité annuels représentent environ la moitié de ceux demandés par une université américaine au niveau "Bachelor", 40000 dollars (29000 euros), à peu près les frais demandés en Grande-Bretagne ou en Australie. Nos institutions se croiraient-elles tellement moins bonnes que leurs confrères qu'elles ne l'oseraient? Est-ce un principe tabou? Les étudiants étrangers considèrent souvent que ce qui est gratuit n'a pas grande valeur.
Les étudiants européens, comme les français, continueraient à bénéficier d'une quasi-gratuité pour leur scolarité en Europe continentale. Mais les impôts des Français, insuffisants à équilibrer les comptes publics, n'ont pas à financer des formations de haute qualité que des familles étrangères seraient prêtes à payer le double aux Etats-Unis. S'interdire ce réalisme économique signifierait s'interdire l'ambition susdécrite. Pour le développement des établissements universitaires français, les sommes en jeu sont considérables : les 400 000 étudiants payants apporteraient 5,4 milliards d'euros de ressources annuelles nouvelles, soit + 25% des budgets publics de l'enseignement supérieur et de la recherche, et sept fois la partie "enseignement supérieur et recherche" du grand emprunt.
Les obstacles sont avant tout psychologiques. Il faut penser que l'influence future de la France dépend de l'ambition d'y former à grande échelle les prochaines élites mondiales. Il faut se dire que les espaces universitaires seront transformés si un tiers des étudiants y deviennent des étrangers qui auront fait le choix de la France. Il faut alors accepter d'en tirer les conséquences financières, qui iront concourir à la qualité des formations par les ressources nouvelles créées, alors que certaines charges seront marginales. Il faut enfin accepter qu'une partie significative de ces enseignements puisse être donnée en langue anglaise, et abolir la loi Toubon dans l'enseignement supérieur.
Le nombre de jeunes étrangers capables de suivre des cours en anglais est à peu près vingt fois supérieur à ceux capables de le faire en français. En les sélectionnant sur les critères adaptés à leur formation, et en intégrant une pratique obligatoire de la langue française en fin de formation, on défendra mieux la langue de Molière en développant des francophiles, qui, en un second temps, deviendront francophones de surcroît, que si l'on impose à des jeunes de cultures différentes, qui ont déjà fait un effort considérable en apprenant l'anglais, de comprendre un français de niveau universitaire dès le début de leur séjour. Cela ne serait ni raisonnable ni efficace par rapport à l'objectif poursuivi. C'est en faisant découvrir et aimer la langue française à de nouveaux publics qu'elle rayonnera, comme conséquence de la francophilie.
Accueillir en dix ans 500 000 étudiants de plus dans les établissements français, sur le territoire français comme sur de nouveaux campus en terre lointaine basés sur notre ingénierie pédagogique et scientifique, et le faire pour contribuer à une mondialisation multipolaire où la France mérite d'être influente: voilà une ambition que toutes les écoles et universités françaises volontaires peuvent construire comme dessein partagé. C'est un projet qui se déclinera établissement par établissement, dans la culture de l'autonomie et de l'initiative constitutive du monde universitaire. Les établissements seront transformés par les conséquences concrètes qu'il en résulte. Et cela sera autofinancé. Ce serait un des moyens pour augmenter les dépenses de recherche & développement françaises, auxquelles il manque 15 à 20 milliards d'euros par an pour rester compétitifs. Pourquoi attendre ?
http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gif By PierreTapie, Director of ESSEC Business School, Chairman of the Conference of Grandes Ecoles . A proactive policy towards foreign students would allow France to attract and retain future leaders of the emerging world. In the competition that globalization has exacerbated between economies, emerging space of growing importance: the influence of the respective countries according to their ability to attract future global elites to study. More...
1 mars 2011

Le CUI-CIE et le CUI-CAE

CUI en métropole
Le CUI se décline en deux versions, selon que l’employeur relève du secteur non marchand (CUI-CAE) ou du secteur marchand (CUI-CIE).
⇒ CUI-CAE : employeurs du secteur non marchand : les employeurs éligibles sont les mêmes que ceux qui étaient antérieurement éligibles au CAE et au CAV :
- collectivités territoriales ;
- autres personnes morales de droit public ;
- organismes de droit privé à but non lucratif ;
- personnes morales de droit privé chargées de la gestion d’un service public.
Les services de l’Etat sont exclus du bénéfice du CUI.
L'emploi doit viser à satisfaire des besoins collectifs non satisfaits.
⇒ CUI-CIE : employeurs du secteur marchand : les employeurs éligibles sont les mêmes que ceux qui étaient antérieurement éligibles au CIE et au CI-RMA :
- employeurs relevant du champ d’application du régime de l’assurance-chômage ;
- établissements publics industriels et commerciaux, sociétés d'économie mixte et entreprises nationales ;
- chambres de métiers, de commerce et d’industrie ou d’agriculture pour leurs salariés non statutaires ;
- groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification (GEIQ) ;
- employeurs de pêche maritime.
Les particuliers employeurs sont exclus du bénéfice du CUI.
En outre, l’employeur en CUI-CIE doit :
- ne pas avoir procédé à un licenciement économique dans les 6 mois précédant l’embauche ;
- ne pas avoir licencié un salarié pour un motif autre que la faute grave ou lourde afin d’embaucher en CUI-CIE ;
- être à jour du versement de ses cotisations et contributions sociales.
ACCOMPAGNEMENT DU BENEFICIAIRE

⇒ Désignation d’un référent au sein de Pôle emploi qui:
- mobilise les prestations pertinentes pour le salarié;
- est l’interlocuteur du tuteur pour le suivi du salarié pendant toute la durée de la convention;
- reçoit le salarié bénéficiaire d’un CUI en CDD 2 mois avant la fin du contrat.
⇒ Désignation d’un tuteur par l’employeur parmi ses salariés. Exceptionnellement, l’employeur peut assurer lui-même le tutorat. Le tuteur a pour mission de:
- participer à l’accueil, aider, informer et guider le salarié;
- contribuer à l’acquisition des savoir-faire professionnels;
- assurer la liaison avec le référent désigné par Pôle emploi;
- participer à l’établissement de l’attestation d’expérience professionnelle que l’employeur doit remettre au salarié à la fin du CUI.
⇒ Remise au salarié d’une attestation d’expérience professionnelle par l’employeur à la demande du salarié, ou au plus tard, un mois avant la fin du CUI.
⇒ Actions de formation professionnelle et d’accompagnement prévues dans la convention.
Voir aussi la Circulaire DGEFP n° 2009-42 du 5 novembre 2009 relative à l'entrée en vigeur du contrat unique d'insertion du 1er janvier 2010. Le CUI dans les DOM.
CUI Franciaországban
A CUI kétféle változatban, attól függően, hogy a munkáltató non-profit szektor (CUI-CAE), illetve a kereskedelmi ágazatban (CUI-ICE). Lásd még: Circular No. 2009-42 DGEFP november 5, 2009 vonatkozóan hatályba lépése az egységes integrációs szerződés január 1-jétől 2010. A CUI a DOM. Még több...
1 mars 2011

« Sommet » avant mai pour l’université alsacienne

http://www.lalsace.fr/fr/images/filiale/logo.pngPar Luc Marck. Les instances dirigeantes des deux universités alsaciennes viennent de se prononcer en faveur d’un nouveau pas, décisif, vers un rapprochement entre l’UHA et l’UdS.
Le rapprochement entre les Universités de Haute-Alsace (UHA) et de Strasbourg (UdS) sera, à coup sûr, l’un des temps forts du printemps à venir. Une nouvelle étape dans ce sens a été franchie, mardi, par le conseil d’administration de l’UdS, qui s’est unanimement exprimé en faveur de l’ouverture de discussions, dans ce but, avec l’UHA.
Le président de l’UdS Alain Beretz, interrogé hier après-midi, nous a confirmé que la même instance s’était également prononcée en faveur d’une réunion conjointe, avant mai, des conseils d’administration des deux établissements. Même si, « à titre personnel », il estime que « la fusion reste, à moyen terme, un objectif incontournable », Alain Beretz a estimé qu’il appartiendrait à ce CA (conseil d’administration) commun de définir les modalités du rapprochement à venir. Mais, a rappelé le président de l’UdS, cette réunion strasbourgeoise faisait suite à une réunion du CA de l’UHA, vendredi dernier, auprès de laquelle il s’était rendu, avec le 1 er vice-président de l’UdS Michel Denneken, parce que, explique-t-il, ses collègues mulhousiens, « avaient besoin d’une parole directe du président de l’UdS ». Résultat : « Trois heures de débat constructif » et le sentiment d’avoir enregistré « une approche favorable au rapprochement ».
Bien sûr, comme le rappelle Alain Beretz, « c’est à eux maintenant de s’exprimer sur ce qu’ils veulent faire ». Sachant, a-t-il toutefois ajouté, qu’ « il en va aussi de l’avenir du site de Mulhouse ».
Le calendrier dont les deux conseils d’administration ont convenu n’a rien de bien audacieux, puisque, a reconnu Alain Beretz « dans leurs contrats quadriennaux [avec l’État] , l’UHA, l’UdS et l’INSA avaient fait figurer une phrase en tous points identique, précisant qu’un PRES [pôle de recherche et d’enseignement supérieur] serait mis en place avant la fin 2010 »…
Premier à réagir à l’initiative strasbourgo-mulhousienne, l’organisation étudiante de droite MET, qui estime qu’elle permettra « à terme, d’accroître l’attractivité et la compétitivité des deux actuelles universités d’Alsace dans un contexte international concurrentiel ».
http://www.lalsace.fr/fr/images/filiale/logo.pngLuc Marck. Die Leichen der beiden Universitäten Elsässer gekommen, um Schritte-Regel zu Gunsten einer neuen, entscheidenden Schritt in Richtung einer Annäherung zwischen UHA und dem Saarland. Die Versöhnung zwischen den Universitäten von Haute-Alsace (UHA) und Straßburg (Saarland) wird zweifellos einer der Höhepunkte des kommenden Frühlings. Ein neuer Schritt in diese Richtung getroffen wurde Dienstag von der Board of Directors des Saarlandes, die einstimmige Unterstützung für den Beginn der Beratungen zu diesem Zweck zum Ausdruck gebracht hat, mit der UHA. Mehr...
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