Growing the Reputation of CE at Research-Intensive Universities
By Judith Potter - EvoLLLution. Continuing Education (CE) units often struggle to adequately define their role within the larger higher education institution. Often, main campus leaders will judge the work of the CE unit exclusively by revenue and enrollments. CE leaders, however, see their mission of creating access to high-quality learning opportunities for non-traditional learners as integral to the main mission of the institution. In this Q&A, Judith Potter discusses the true role of CE at research-intensive universities, and sheds some light on how CE leaders can help senior institutional leaders understand the work they do. More...
Le défi des universités tchèques : fabriquer des « experts » ou émanciper l’homme ?
Par Stanislav Štech, Université Charles de Prague. Le défi des universités tchèques : sortir de la logique de l'utilitarisme
Pour comprendre l’état actuel de l’enseignement supérieur en République tchèque, il est nécessaire de retracer les phases récentes de son évolution. En effet, depuis 1989, l’évolution des universités, et de l’idée même de l’université, est passée par trois étapes distinctes.
La situation de l’enseignement supérieur en 1990 - Humboldt est de retour
En 1989, l’enseignement supérieur tchèque est incontestablement caractérisé par un accès très limité : seulement 9 à 10 % d’une classe d’âge entre à l’université et les diplômés du supérieur ne représentent que 7 % de la population. Le diplôme universitaire est donc une valeur rare.
La Loi de 1998 – autonomie institutionnelle ou démission de l’État ?
Dans le projet de loi parlementaire qui passe en 1998, la personne juridique est désormais attribuée à la seule université : l’État transfère la propriété immobilière aux universités et le financement – dernier instrument de l’État pour influencer les universités – relève de négociations régulières entre l’État et les représentants des universités (Conseil des établissements de l’enseignement supérieur).
Après 2006 – il faut « moderniser » ?
C’est à partir de 2006 que commence l’offensive maintes fois décrite maintenant et étayée par des documents internationaux. Les documents, notamment ceux de l’OCDE tel que Country Note/Tertiary Review de 2006, légitiment l’adoption d’un discours alarmiste sur le retard impardonnable de nos universités par rapport aux établissements « top » à l’étranger...
La diversification du système, le financement des établissements selon leurs missions rerspectives et selon la qualité de leur accomplissement – tout cela est laissé de côté. Va-t-on enfin adopter une politique cohérente du secteur ou va-t-on attendre que les clivages aboutissent à l’implosion ? Désirons-nous vraiment une minorité d’universités de recherche (« d’excellence ») ouvertes aux étudiants sélectionnés et une majorité d’établissements médiocres marquant le retour de l’élitisme dissimulé à l’intérieur du système avec des inégalités non plus d’accès, mais de conditions et de qualité d’études ? Voulons-nous faire face à une situation où les établissements/filières scientifiques et technologiques sont en essor grâce au soutien du gouvernement et au financement privé et dans laquelle les sciences sociales et humaines se trouvent marginalisées ?
Autant de questions face au défi de la domination de la raison instrumentale (expertise) au détriment de la raison de culture et d’émancipation de l’homme (Bildung) pour les universités (non seulement) tchèques. Voir le document Le défi des universités tchèques : sortir de la logique de l'utilitarisme.
Portes ouvertes à l'UBS
07 mars 2015
Où : Lorient
Contact et information pratique : de 09h00 à 17h00 sur le Campus universitaire de Lanveur
Journée portes ouvertes UBS spéciale 20 ans...
L'occasion de dialoguer avec les enseignants, de rencontrer des étudiants en formation et de visiter les campus. Voir l'article...
Les universités en mal d’une stratégie numérique nationale
Par Raphaël Moreaux. L’enseignement supérieur n’a pas encore saisi toutes les opportunités offertes par le numérique. Une mutation qui nécessite d’impliquer davantage les enseignants et d’engager une "réorganisation administrative des établissements", estime le Conseil économique, social et environnemental dans un avis déposé le 24 février. Suite...
Nîmes - Le Conseil général renouvelle son soutien à l’Université
Par . L'Université de Nîmes continue son développement et étend son panel de compétence. La filière "Recherche-Risques" financée à hauteur de 50 000 euros maximum par an (sur trois ans), avec une mise en disposition d'une personne, vise à singulariser l'offre de formation supérieure locale, dans un département soumis à de nombreux risques. Le nucléaire, les inondations, les feux de forêts, sont autant de raison pour que se créer, à Nîmes, une filière spécifique. Suite...
Les universités françaises cherchent un remède à leurs maux budgétaires
Par Challenges.fr. L'effet conjugué de l'augmentation des dépenses et de la réduction des recettes oblige les universités à chercher de nouvelles sources de financements. Suite...
Bercy s’attaque aux réserves des universités
Par Marie-Christine Corbier. Les universités et les écoles d’ingénieurs qui relèvent du ministère de l’Enseignement supérieur n’en finissent pas de traîner le budget 2015 comme un boulet. En cette fin février, ces établissements n’ont toujours pas connaissance de leurs dotations budgétaires. Ils s’inquiètent surtout des 100 millions d’euros que le gouvernement veut puiser dans leurs fonds de roulement. Suite...
L'université balaie les idées reçues sur les études en Santé
L'Université a mis en place un dispositif à destination des lycéens pour mieux faire connaître la réalité des études en Santé.
Faire médecine ? Rien à voir avec le docteur House. Trop de lycéens se font une fausse idée des études en Santé. L’Université a mis en place un dispositif pour les aider à savoir à quoi s’attendre. Voir l'article...
Université de Pau et des Pays de l'Adour : une rallonge de l'Etat
Une éclaircie au-dessus du ciel de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA) a été aperçue lundi, en fin de journée. Elle est venue de l'hôtel de région, à travers un communiqué d'Alain Rousset. Le président socialiste d'Aquitaine venait de s'entretenir dans l'après-midi avec le Premier ministre, Manuel Valls. Lequel, selon le même communiqué, a lâché 28 millions d'euros supplémentaires sur le contrat de plan État-Région, qui fixe les gros investissements à réaliser sur les cinq ans à partir de 2015. Voir l'article...