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Formation Continue du Supérieur
entreprises
20 juin 2009

Mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises

Etude réalisée par CIRCE Consultants pour la CFDT avec le financement de l’Agence d’objectifs de l'Ires. Présentation, synthèse et intégralité de l'étude. "Quelle mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle continue dans les entreprises ?" (150p). Annexe : monographies de branches et d'entreprises (190p). Synthèse en 4 pages.
L’étude conduite constitue une évaluation partielle de la réforme de la formation professionnelle dans les entreprises. Elle a pour ambition d’identifier les dynamiques amorcées pour faire le bilan de ce qui se met en place à travers la signature d’accords et les pratiques de concertation qui en découlent.
La plupart des accords de branche et d’entreprise se sont avant tout concentrés sur la mise en oeuvre du DIF, de l’entretien professionnel et du Plan de formation. Les accords d’entreprise ont finalement peu traité du thème de la professionnalisation, ou alors pour reprendre les dispositions générales contenues dans les accords de branche. De même, les outils permettant de construire des parcours – les bilans de compétences, le passeport formation ou la VAE – restent des sujets relativement peu évoqués tant au niveau des branches que des entreprises.
Study conducted by the Consultants for CIRCE CFDT with funding from the Agency objectives of the Ires. Presentation, summary and full study. "What the implementation of the reform of vocational training in enterprises?". Annex: case studies of industries and businesses (190p). Synthèse in 4 pages.
The study constitutes a partial evaluation of the reform of vocational training in enterprises. It aims to identify the dynamics initiated to take stock of what is taking place through the signing of agreements and concerted practices that flow from it. More...
27 mars 2009

La VAE, révélateur de compétences dans votre entreprise !

Dans un objectif de sécurisation des parcours pour les salariés, de gestion anticipée de leurs ressources humaines pour les entreprises, en accord avec les préconisations du Rapport BESSON de septembre 2008 : « Encourager les entreprises à utiliser la VAE dans une dimension collective », la DRTEFP souhaite voir se développer la VAE collective auprès des petites et moyennes entreprises de Poitou-Charentes. Elle diffuse une plaquette d’information pour sensibiliser à l’intérêt de la VAE comme outil de gestion des ressources humaines. Source.
VAE, indicatief van vaardigheden in uw bedrijf! De DRTEFP publiceert een boekje van informatie aan de bewustwording van het belang van de VAE als een instrument voor human resources management. Bron. Meer...

23 mars 2009

"Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe"

Prauge - The Caste - Charles BridgeEURASHE Annual Conference Prague (CZ) 21-22 May 2009. The Theme: "Higher education, Enterprises and Regions: Partnerships for Innovation and Development throughout Europe". AN EVENT ORGANISED UNDER THE CZECH PRESIDENCY OF THE EUROPEAN UNION. Conference Website.

A. Employability of professional higher education graduates. What are key elements? How to incorporate these elements & keep them updated in curricula/courses effectively? What could be a role of stakeholders?
B. Innovation, applied research & development – common platform of higher education & business. What are motives and views of different stakeholders? How to cross over cultural differences between higher education & business? What are key factors and requirements (staff-, organisation-, policy-wise, etc.) for successful co-operation on the side of higher education institutions?
C. In-company training & education provided by higher education institutions – motivation of different parties, success factors, quality requirements, preconditions. Impact of such activities on “standard” activities of higher education institutions.
D. Third mission of higher education institutions – role and position within the regional development, mission & objectives of PHE institutions, scope of potential services.
E. Missions & profiles of Institutes of PHE in the post-Bologna era. What will be common elements in mission, culture, values of PHE institutions? Are there any common characteristics as regards size, structure of governance, partnerships and management of such institutions in the coming decade?
F. Human resources policy and management at professional higher education. What are specific requirements as regards staff at higher education institutions providing professionally oriented programmes and/or applied research activities? What is the range of different activities? What are approaches to knowledge innovation, keeping contact with the development of the specialisation in practice? What are qualification requirements on academic/pedagogic and other staff in different countries?
G. Life-long learning at higher education institutions. What are target groups? What are success factors for LLL programmes design and delivery at higher education institutions? What is a potential of short-cycle higher education in the context of LLL? What are quality requirements for LLL (SCHE) activities?
H. Opening up to ‘New learners’: Recognition of prior learning including formal, non-formal and informal learning. What are motives of different stakeholders? What are benefits and costs? What are effective and efficient tools? What are quality assurance approaches as regards RPL?
10 mars 2009

Démocratiser la formation continue dans l’entreprise

Démocratiser la formation continue dans l’entreprise : le rôle de l’information, des entretiens professionnels et des supports collectifs.
Dans leur grande majorité, les cadres connaissent les possibilités qui s’offrent à eux en matière de formation et participent à des entretiens professionnels, quelle que soit la politique de leur entreprise en la matière. Les autres salariés bénéficient plus nettement d’une diffusion de l’information, de la mise en oeuvre systématique des entretiens professionnels prévus par la réforme de la formation de 2004, et des garanties apportées par les supports collectifs.
Cette ouverture de l’espace de discussion semble conduire à une réduction des inégalités d’accès à la formation continue. Une réduction de l’ampleur des inégalités d’accès à la formation Les inégalités d’accès à la formation continue n’ont pas manqué d’être soulignées depuis la promulgation de la loi de 1971. Cette tendance reste d’actualité. Selon les données de l’enquête CVTS3, si en moyenne près d’un salarié sur deux a suivi un cours ou un stage fi nancé par l’entreprise en 2005, de fortes disparités existent selon les catégories socioprofessionnelles. En effet, le taux d’accès aux cours et stages est de 57 % pour les cadres, 62 % pour les professions intermédiaires, alors qu’il reste en dessous de 40 % pour les autres catégories : 39 % chez les employés et 37 % chez les ouvriers. Bref n°260.
Demokratizovat výcvik ve společnosti: role informací, rozhovorů a mediálních odborníků komunity. Ve skutečnosti se míra přístupu k kurzů je 57% manažerů, 62% pro profesionály, i když je nižší než 40% pro ostatní kategorie: 39% u zaměstnanců a 37% mezi pracovníky. zkratce č. 260. Více...

1 mars 2009

Les SHS en entreprise : des intérêts mutuels à défricher

Idées nouvelles
"Il m’a fallu du temps et de l’énergie pour faire valoir qu’il était possible de faire de la philosophie en dehors du cadre purement académique", assure Isabelle Faure, titulaire d’un DEA de philosophie sur la jouissance chez Spinoza décroché à la Sorbonne. Elle est aujourd’hui philosophe consultante associée dans un cabinet d’architecture à Nantes : « Le vrai défi était pour moi de rester fidèle à ma discipline et de défendre la posture d’une philosophie appliquée. Dans un projet d’urbanisme, mon rôle est de veiller à ce que la part de sens du projet ne disparaisse pas sous les multiples contraintes matérielles », assure-t-elle aujourd’hui, riche de nombreuses expériences au service de clients aussi divers que Seb ou France Télécom... « D’une manière générale, les industriels sont toujours à l’affût d’idées nouvelles et de profils atypiques. Mais pour que la rencontre ait vraiment lieu, il faut savoir se montrer encore plus convaincant que les autres », complète-t-elle.
Malgré tout, en France, la réflexion sur le transfert de savoir-faire en SHS vers le monde socio-économique n’en est qu’à ses balbutiements. Sur le modèle de ce qui existe en sciences dures, à travers le portail France Transfert Technologie (F2T), qui a pour vocation de rassembler l’offre technologique de la recherche publique en France, la commission SHS du réseau CURIE est en train de concevoir un modèle équivalent, avec un moteur de recherche par mots clés, pour promouvoir les offres de compétences disponibles en SHS. Histoire de renforcer, toujours et encore, les passerelles entre le monde académique et l’univers professionnel.
Le véritable enjeu est donc pour le monde universitaire de démontrer que des disciplines comme l’histoire, la psychologie ou la sociologie peuvent apporter des compétences réutilisables dans l’univers professionnel : « Nos disciplines sont souvent accusées d’être déconnectées de la société et incapables de s’adapter, déplore Marina Mestre Zaragoza, maître de conférences en études hispanophones et lusophones à l’ENS LSH. Or, c’est justement parce que nous avons une formation solide dans des disciplines prétendument abstraites que nous sommes en prise avec le réel. Un thésard en histoire médiévale pourra apprendre n’importe quelle technique.
Désormais, il est essentiel dans un projet d’aménagement de recourir aux services d’un sociologue ou d’un historien pour comprendre l’environnement dans lequel il s’inscrit. Dans le cas de la rénovation urbaine de Nantes par exemple, il a fallu prendre en compte tout le travail sur la mémoire des chantiers navals », témoigne ainsi Alain Weber, directeur régional Rhône-Alpes de la Caisse des dépôts et consignations.

 

29 janvier 2009

La VAE en entreprise : une démarche collective qui soutient des projets individuels

Les investissements consentis par l’entreprise tendent à se concentrer sur la phase amont de la démarche de VAE. Peu perceptibles par les candidats, ces investissements contribuent pourtant à raccourcir notablement la durée de l’étape préalable de recevabilité et à assurer de bonnes conditions d’accompagnement dans la phase de préparation des épreuves d’évaluation. S’inscrivant dans une « logique de la réussite », les entreprises mobilisent les financements nécessaires à la mise en place de dispositifs d’accompagnement et de formation pour permettre à l’ensemble des salariés inscrits dans une démarche collective d’accéder à une validation totale. Ces moyens réduisent considérablement les abandons en début de procédure et contribuent à soutenir l’engagement des candidats tout au long du parcours. En attestent d’ailleurs les très bons taux de maintien dans la démarche et de réussite totale dans presque tous les dispositifs étudiés.
Alors que le débat sur le modèle de VAE à développer (VAE-constat versus VAE-parcours) n’en finit pas d’alimenter les rapports d’experts, les aménagements divers apportés de manière pragmatique par les entreprises se traduisent de fait par la multiplication de dispositifs hybrides, qui allient validation et formation.
L’avenir de la VAE, en tant qu’outil au service des politiques de gestion des ressources humaines des entreprises, ne passe-t-il pas par une articulation, qui reste à construire, avec d’autres outils issus de la loi de 2004, comme le DIF ou la période de professionnalisation ? Ciblé lui aussi sur les salariés expérimentés, ce dernier dispositif, qui donne une place centrale à l’accompagnement des apprentissages en situation de travail, ne gagnerait-il pas en effet à être systématiquement articulé avec le travail réflexif sur la pratique professionnelle que la démarche VAE génère, un peu à la manière du dispositif « Nouvelles qualifications » développé dans les années 1980 ?  NEF 38 CEREQ
VAE podnikání: kolektivní pojetí, které podporuje individuální projekty.  Investice, které společnosti mají sklon zaměřit se na těžební fáze procesu VAE. Little patrný z kandidátů, tuto investici přispívá významně zkrátit délku trvání předběžné fázi přípustnosti a poskytnout odpovídající podporu při přípravě hodnocení zkoušek. Budoucnost VAE, jako nástroj politického řízení lidských zdrojů, co není ve vztahu, který zůstává, který má být postaven s jinými nástroji zákon 2004, DIF nebo období profesionalizace? Také zaměřuje na zkušené zaměstnance druhém, který poskytuje centrální místo na podporu vzdělávání na pracovišti, ale bylo by systematicky spojené s prací na reflexní odborné praxe, že přístup VAE generuje, jenom cestou k "nové dovednosti" vyvinuta v roce 1980? NEF 38. Suite...

28 décembre 2008

AGEFOS PME : Perspectives 2009 - Emploi et Formation dans les TPE-PME

16ème édition du baromètre annuel AGEFOS PME : " PERSPECTIVES 2009 : Inquiétudes des TPE-PME "
AGEFOS PME publie les résultats de la seizième édition de son baromètre annuel Perspectives en collaboration avec l’institut IPSOS. Cette étude analyse les prévisions d’un échantillon représentatif de 500 TPE-PME en termes d’activité, d’emploi et de formation professionnelle. Elle est complétée par un cahier spécial qui traite, cette année, de la réforme de la formation professionnelle et du rôle des OPCA.

CAHIER SPECIAL Réforme de la formation professionnelle : le conseil de proximité en tête des demandes des entreprises
La connaissance des dispositifs continue de progresser

Dans l’ensemble, le nombre d’entreprises déclarant connaître les dispositifs introduits par la réforme de 2004 progresse de manière significative. Le DIF est le dispositif bénéficiant de la plus forte notoriété. Il est connu par près de trois quarts (72%) des dirigeants et des responsables des ressources humaines. Ce taux atteint même 92% pour les PME. Près d’un quart des TPE-PME a fait évoluer ses pratiques en matière de formation professionnelle en raison de la réforme de 2004. Pour l’essentiel, cela s’est concrétisé par un développement des formations (35%) et par une amélioration en termes d’organisation des formations (33%). La réforme a eu un impact positif sur la gestion des compétences. La formation professionnelle continue aurait permis aux entreprises de maintenir le niveau de qualification de leurs salariés (51% des TPE et 72% des PME), et de développer leurs compétences (69% et 51%). En revanche, la capacité du système à mieux répartir la formation hors temps et pendant le temps de travail a beaucoup moins convaincu les TPE-PME (respectivement 26% et 38%).

Les avis sont partagés quant à l’efficacité des différents systèmes de formation existants
C’est sur le système de formation des demandeurs d’emploi que les dirigeants et RRH sont les plus sceptiques : 60% le considère comme plutôt défaillant ou défaillant. Par contre,  27% des entreprises considèrent le système de formation en entreprise comme le plus efficace des trois (24% pour la formation en alternance). La majorité des responsables de TPE-PME pensent qu’il faudrait également améliorer le financement des actions de formation (respectivement 57% et 66%) ou encore prendre en charge les salaires dans l’enveloppe de formation (55% et 56%).

Rôle des OPCA : le conseil de proximité plébiscité
Ce sont surtout les TPE et les PME de 10 à 19 salariés qui émettent de fortes attentes à l’adresse des relations entretenues avec leur OPCA et des informations communiquées. Le conseil de proximité et la communication sur les dispositifs de formation apparaissent comme les axes prioritaires à développer (pour 85% des TPE-PME). Il est à signaler que c’est le premier choix pour 47% des TPE et 40% des PME.  

El DIF és el dispositiu que rep la més alta reputació. És conegut per gairebé les tres quartes parts (72%) dels dirigents i dels recursos humans. Aquesta xifra arriba al 92% per a les PIME. Quasi una quarta part de TPE-PIME ha canviat les seves pràctiques en la formació professional a causa de la reforma de 2004. En essència, això es va aconseguir mitjançant el desenvolupament de la formació (35%) i una millora en termes d'organització de la formació (33%). La reforma va tenir un impacte positiu en la gestió. La formació professional contínua que han permès a les empreses a mantenir les habilitats dels seus empleats (51% de TPE i el 72% de les PIME), i desenvolupar les seves habilitats (69% i 51%). Tanmateix, la capacitat del sistema per estendre la formació i temps lliure durant les hores de treball era molt menys convençut TPE-PME (26% i 38

22 novembre 2008

Formation : les entreprises réduisent leurs contributions

Les deux grands organismes collecteurs des fonds de la formation, Agefos-PME et Opcalia, constatent un recul de la contribution volontaire des entreprises.
La formation professionnelle, que le gouvernement entend relancer puissamment, fait elle aussi les frais de la crise. Hier, l'Agefos-PME, premier gestionnaire des fonds de la formation professionnelle en France (280.00 entreprises adhérentes, 771 millions d'euros de collecte) a annoncé un recul de 5 % de la contribution volontaire des entreprises (au titre du plan de formation) aux fonds gérés par cet organisme collecteur agréé (OPCA) interprofessionnel et interbranche. Une baisse doublement inquiétante. D'abord, cette contribution représente quelque 60 % de la collecte réalisée par l'Agefos auprès des entreprises (le reste des fonds gérés par l'Agefos étant versé au titre de la contribution obligatoire).
Baisse de 2 % à 3 %
Yves Hinnekint, directeur d'Opcalia, l'autre grand collecteur interprofessionnel et interbranche (40.000 entreprises adhérentes, 396 millions d'euros collectés) s'inquiète aussi : « En période de difficultés économiques, les premiers budgets à faire l'objet de coupes franches sont l'intérim, la formation et la communication. Nos sondages régionaux et auprès de nos branches indiquent que les entreprises pourraient réduire leur contribution au-delà de l'obligation légale de 0,9 % de la masse salariale brute. » En 2009, ce versement des entreprises pourrait ainsi fléchir de 2 % à 3 %. Source :  Les Echos du 21 novembre 2008.
Koulutus yritykset vähentävät heidän. Ammatillinen koulutus, jonka hallitus aikoo elvyttää tehokas, on myös kustannukset kriisiin. Eilen, pk-Agefos ensimmäinen rahastonhoitajan ammattikoulutuksen Ranskassa (280,00 jäsentä, 771 miljoonaa euroa keruu) ilmoitti vähentynyt 5%: n vapaaehtoinen panos yritysten (alle suunnitelman koulutus) rahastojen hallinnoi tämän järjestön luvan saanut kerääjä (OPCA) ja inter interbranche. Lähde: Les Echos
.

30 octobre 2008

Les entreprises et la VAE : quels usages collectifs du dispositif ?

Ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité

Les candidatures à la VAE peuvent relever d’une démarche individuelle ou d’un dispositif collectif d’entreprise. L’analyse d’une quinzaine de dispositifs collectifs de VAE montre que ceux-ci répondent à une diversité d’objectifs : valorisation de métiers peu considérés, mobilisation autour de l’avenir d’une profession, accroissement de possibilités de reconversion, sécurisation des parcours professionnels. L’engagement des employeurs dans des opérations collectives se traduit généralement par des investissements importants en matière d’accompagnement, de financement, voire d’outils mis à disposition des candidats qui facilitent la réussite de la démarche.
En contrepartie de ce soutien, l’exercice individuel du droit à la VAE se subordonne au projet de l’entreprise. Même collective, la démarche de VAE nécessite, pour se concrétiser, une forte implication personnelle. Les entreprises et la VAE. Source : http://www.travail-solidarite.gouv.fr/.
Verslas ir VAE: ką naudojimo schema?. Verslas ir VAE. Šaltinis: http://www.travail-solidarite.gouv.fr/. Daugiau...

14 octobre 2008

McDonald’s France signe un accord de déploiement national de la Validation des Acquis de l’Expérience (V.A.E)

McDonald’s France signe un accord de déploiement national de la Validation des Acquis de l’Expérience (V.A.E) avec l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie En présence de Xavier Bertrand, Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité et Eric Besson, Secrétaire d’Etat chargé de la Prospective, de l’Evaluation des politiques publiques et du développement de l’économie numérique
Cet accord cadre permet à McDonald’s de déployer dans toute la France, avec le soutien du réseau des CCI, sa politique de VAE auprès des directeurs et directrices de restaurant. L’ACFCI s’engage à poursuivre la mobilisation des Chambres de Commerce et d’Industrie pour fournir une réponse adaptée aux attentes de McDonald’s, assurer la coordination avec les Ecoles Supérieures de Commerce et accompagner les futurs développements de la VAE.
La VAE chez McDonald’s en quelques chiffres : - 7 promotions depuis 2004, soit 43 collaborateurs diplômés, - 2 promotions par année afin d’assurer un suivi très qualitatif des groupes, - Les candidats ont, en moyenne, 35 ans (entre 29 et 40 ans), - 14 ans d’expérience en moyenne au sein de l’entreprise (entre 5 et 20 ans), - Un taux de réussite exceptionnel de 93%. Source : http://www.observatoiredelafranchise.fr/.
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