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Formation Continue du Supérieur

17 avril 2009

FAFSEA: Résultats des enquêtes sur le contrat de professionnalisation et le CIF

Les résultats des études engagées par le FAFSEA sur deux dispositifs de formation : le contrat de professionnalisation et le CIF, montrent que la satisfaction des bénéficiaires et des employeurs est au rendez-vous. Ces dispositifs améliorent l’employabilité et favorisent la sécurisation des parcours. Télécharger le communiqué de presse.
Els resultats d'estudis realitzats per la FAFS dos dispositius de formació: el contracte de professionalització i el CIF, va mostrar que la satisfacció dels beneficiaris i dels empleadors és allà. Aquests dispositius millorar l'ocupabilitat i promoure la seguretat del curs. Descarregueu el comunicat de premsa. Més informació...
17 avril 2009

Le CNFPTLV exprime un avis négatif sur le projet de loi relatif à la formation professionnelle

Les membres du Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie ont émis un avis majoritairement négatif sur le projet de loi relatif à la formation professionnelle, mardi 14 avril. Ce dernier sera présenté en conseil des ministres le 29 avril. Laurent Wauquiez a précisé que la loi sera adoptée « avant la fin de l’été. » Source...
Die Mitglieder des Nationalen Rates für Berufsbildung im Laufe des Lebens stellen sich überwiegend negativ auf das Gesetz über die Berufsbildung, Dienstag, 14. April. Ce dernier sera présenté en conseil des ministres le 29 avril. Dieser wird vom Ministerrat am 29. April. Quelle. Mehr...

16 avril 2009

Remise du livre blanc sur l’avenir de la fonction publique

Faire des services publics et de la fonction publique des atouts pour la France.
Le Livre blanc sur l’avenir de la fonction publique a été remis par le rapporteur général de la conférence nationale, Jean-Ludovic Silicani, conseiller d’État, aujourd’hui 17 avril au ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, Éric Woerth et au secrétaire d’État chargé de la Fonction publique, André Santini.
Eric Woerth et André Santini annonce la démarche à venir pour aller vers une Fonction publique de métiers et mettre en œuvre la troisième orientation du livre blanc ("refonder et simplifier l’organisation statutaire générale pour construire une fonction publique de métiers"). Depuis 2005, le gouvernement mène une politique de réduction des corps importants, permettant de passer de 685 à 380 corps.
Au 1er janvier 2010, la Fonction publique de l’Etat se décomposera donc en 380 corps dont : Catégorie A : 223 (60 %), Catégorie B : 91 (25 %), Catégorie C : 66 (15 %)
Le ministre et le secrétaire d’Etat présenteront en juin prochain un programme consolidé de réduction du nombre de corps et de création de corps interministériels. Ce programme fera l’objet d’une discussion avec les partenaires sociaux. La synthèse. Le Livre blanc. Le communiqué de presse du 17 avril 2008.
Veřejných služeb a veřejných služeb příležitosti pro Francii. V Bílé knize o budoucnosti veřejné služby byl dán obecný zpravodaj z celostátní konference, Jean-Ludovic Silicani, státní Councilor, dnes, 17. Synthesis. Bílá kniha. V tiskové zprávě ze dne 17. dubna 2008. Více...
15 avril 2009

L’AERES réaffirme sa stratégie

Revenir à l'accueil EducPros.fr, un site de l'EtudiantCréée il y a tout juste deux ans, l’Agence nationale d’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche (AERES) ne fête pas son anniversaire dans la sérénité. Elle a publié le 10 avril 2009 un communiqué réaffirmant « son indépendance et la transparence de ses travaux ». Une réaction à l’occupation de ses locaux, pour la seconde fois en moins d’un mois par des universitaires et chercheurs remettant en cause des pratiques d’évaluation jugées opaques… Le jour même, l'Agence lançait la campagne d’évaluation des établissements de la vague A, en invitant une centaine de chefs d’établissements à son siège parisien.
Outre ces manifestations en marge de la mobilisation dans les universités, l’Agence – comme par ailleurs sa consoeur de l’ANR (Agence nationale de la recherche) - sont aussi remises en question dans des ouvrages parus récemment, comme la Revue Cités. Deux campagnes de boycott des demandes d'enseignants-chercheurs à ses expertises ont été lancées, l'une par SLR (Sauvons la recherche), l'autre par une instance émanant du CNRS, le C3N.
L’Agence de son côté défend notamment la transparence de ses rapports d’évaluation, tous rendus publics, comme les procédures d’évaluation. Président de SLU (Sauvons l'université), Jean-Louis Fournel dénonce au contraire le manque de paritarisme de cette « structure très pyramidale et hiérarchisée » et « l’absence de publicité sur la cuisine interne à l’AERES entre ses comités de visite et ses rapports, qui eux sont rendus publics ». Fabienne Guimont.
Created ago just two years, the National Assessment of Higher Education and Research (AERES) does not celebrate his birthday in peace. It has published on 10 April 2009 a press release reaffirming "its independence and transparency of its work. In addition to these events on the margins of the mobilization in universities, the Agency - as also his colleague from the ANR (National Agency of Research) - are also called into question in recent literature, such as the Cities Review. Two campaigns of boycott requests for faculty to its expertise have been launched, one by SLR (Save Research), the other by an instance from the CNRS, the C3N. President of SLU (Save University), Jean-Louis Fournel denounces the contrary the lack of gender mainstreaming of this "pyramid structure and hierarchy" and "lack of publicity about the internals to the AERES between its committees and its visit reports, which are made public." Fabienne Guimont. More...

15 avril 2009

Le Masni : Master de Négociation Internationale de l’Université de Provence

Enfin, le Masni a une longue expérience d’accueil de stagiaires en formation continue et dans la pratique de la Validation des acquis de l’expérience (VAE).
Le volet formation continue et VAE a la certification ISO 9001-version 2008 et répond aux exigences du référentiel Qualité Région. Source.

Arabe فإن Masni : ماجستير في المفاوضات الدولية للl' Université دي بروفانس.  
Chinois 该Masni :万事达国际谈判大学普罗旺斯  
Coréen 이 Masni : 마스터 국제 협상의 프로방스 대학에서
Hindi इस Masni: मास्टर अंतर्राष्ट्रीय चर्चा का विश्वविद्यालय Provence में
Japonais のMasni :マスター国際交渉の大学プロヴァンスのではありません
Portugais (Brésil) O Masni: Mestre de Negociação Internacional da Universidade de Provence
Vietnamien Các Masni: Thạc sĩ Đàm phán Quốc tế tại Đại học Provence
15 avril 2009

HALDE: conditions d’attribution des logements universitaires

pcassuto | 15 avril, 2009 00:06

Halde Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'EgalitéDélibération relative aux conditions d’attribution des logements universitaires n° 2009-116 du 02/03/2009.
La haute autorité a été saisie d’une réclamation d’un étudiant qui souhaitait bénéficier d’un logement en cité ou en résidence universitaire. Un CROUS s’y oppose lorsque l’étudiant est âgé de plus de 28 ans. Cette pratique qui consiste à refuser aux étudiants de plus de 28 ans le bénéfice de certains services et prestations du CROUS est discriminatoire et relève des comportements visés par le Code pénal. delibération 2009-116.

Halde हाउते Autorité डी Lutte भेदभाव और समानता के लिए के खिलाफ02/03/2009 यूनिवर्सिटी ऑफ आवास नहीं 2009-116 के आवंटन की शर्तों पर विचार. उच्च प्राधिकरण जो शहर या विश्वविद्यालय में में रखे होने की कामना की एक छात्रा से एक शिकायत प्राप्त हुआ है. एक CROUS वस्तुओं जब छात्र बड़ी है की तुलना में 28 साल. 28 वर्षों में कुछ सेवाओं और लाभ CROUS भेदभावपूर्ण व्यवहार का लाभ छात्रों को नकार के इस अभ्यास के आपराधिक संहिता के अंतर्गत आता है. 2009-116 विवेचना. और...
14 avril 2009

Les demandeurs d’emploi privés de (véritable) bilan de compétences ?

Conséquences des coupes financières exercées par Pôle emploi, les demandeurs d’emploi ne peuvent plus bénéficier d’un bilan de compétences de vingt heures dans certaines régions. Réduite à six heures d’entretien, la prestation est « vidée de son sens », selon les prestataires, et ce à l’heure où la crise exacerbe les besoins en repositionnement.
« Scandaleux. » Cette consultante parisienne n’a pas assez de mots assez forts pour qualifier « l’hypocrisie ambiante » qui règne au sujet du bilan de compétences approfondi (BCA). La raison de sa colère ? La réduction drastique de son financement par Pôle emploi qui a vidé la prestation de sa substance.
Depuis le dernier appel d’offres de l’ex-ANPE fin 2007 (1), la prise en charge de ce bilan prescrit aux demandeurs d’emploi a en effet subi des coupes drastiques dans certaines régions. À Paris, par exemple, elle a chuté de 800 euros à 400 euros… Soit trois fois moins qu’un bilan de compétences financé par les Fongecif ou les Opacif pour les salariés. « Avec 800 euros, on pouvait encore proposer un véritable bilan de compétences. Ce n’est plus le cas aujourd’hui », s’offusque cette consultante, qui a préféré jeter l’éponge.
Autre solution : négocier le coût d’un bilan par son entreprise dans le cadre d’accords (gestion des compétences, formation…). Voire au titre du DIF (droit individuel à la formation), même si son licenciement est acté, pendant son préavis. Un recours ultime, car au-delà des freins de certains employeurs pour financer les heures de DIF, le coût de l’allocation formation versée (9,15 euros au minima de l’heure, voir plus si l’entreprise est couverte par un accord de branche) peut se révéler insuffisant pour couvrir les frais d’un bilan de compétences (entre 1200 euros et 3000 euros dans certains centres). Source.
Jobseekers private (real) stock of skills? Financial consequences of cuts performed by job center, job seekers can no longer benefit from a skills assessment of twenty hours in some areas. Reduced to six hours of maintenance, the provision is "emptied of its meaning," according to providers, at a time when the crisis exacerbates the need for repositioning. Even under the DIF (individual right to training), even if his dismissal is recognized for his notice. A last resort, because beyond the barriers of some employers to fund the hours of DIF, the cost of the training allowance paid (9.15 euros in minimum time, see if the company is covered by a sector agreement) may be insufficient to cover the cost of a skills assessment (between 1200 euros and 3000 euros in some centers). Source. More...Un bilan vidé de son sens
Pour s’aligner sur ces tarifs, les centres de bilans ont en effet dû revoir la prestation du BCA, en réduisant la durée des entretiens (2). Résultat : le nombre de rendez-vous avec le  demandeur d’emploi a chuté de quinze heures en moyenne à sept heures dans les régions les moins bien servies, comme l’Ile-de-France. « Je ne peux aller au-delà, sinon ce n’est pas tenable financièrement », témoigne Chantal*, consultante en bilan de compétences à Paris. Un délai qu’elle juge insuffisant pour permettre au bénéficiaire de bâtir un véritable projet professionnel : « On n’a plus le temps de faire un travail de fond, encore moins si la personne souhaite se reconvertir ».
Même écho en Loire-Atlantique, où la prise en charge du BCA s’est effondrée de 783 à 450 euros depuis l’appel d’offres. Consultante à Nantes, Eliane* est désormais contrainte de proposer six heures d’entretiens (contre dix auparavant). « La prestation n’a plus rien à voir avec un bilan de compétences. C’est devenu un outil de placement », déplore cette professionnelle. Le malaise est d’autant plus grand qu’officiellement, le discours de Pôle emploi - prescripteur du BCA dans le cadre du Pare - n’a pas varié d’un iota selon elle : « On leurre les chômeurs en leur vendant un véritable bilan de compétences. Quand ils réalisent ce qui les attend, ils deviennent agressifs. Surtout que nous rencontrons des gens avec de véritables problèmes de positionnement ou souhaitant se reconvertir », raconte Eliane.
Pression vers le retour à l’emploi
Autre fait symptomatique du malaise ambiant : la pression sur le retour à l’emploi. Même si le bilan de compétences approfondi – créé par  l’ANPE en 2001 (3) – a toujours visé une insertion rapide, les exigences sur les résultats n’ont jamais été aussi intenses, regrette Eliane. « Avant, il y avait une certaine tolérance : le projet défini à l’issue du bilan pouvait s’accompagner d’une formation au besoin. Depuis ce nouveau cahier des charges, il n’en est plus question. Ce qui compte pour Pôle emploi à l’issue du BCA, c’est uniquement le retour à l’emploi dans les plus brefs délais ». Officieusement, les demandeurs d’emploi sont donc priés de bâtir un projet d’insertion rapide, sans recourir à la formation. Quitte à ne pas changer de voie, même s’ils y aspirent. Ce qui va à l’encontre de la vocation du bilan de compétences, censé s’appuyer avant tout sur les motivations du bénéficiaire : « j’ai accompagné un commercial dans la lunetterie au chômage qui souhaitait s’orienter vers la logistique via une formation de neuf mois, car il en avait assez des déplacements. Son projet a été refusé, car il y a pléthore d’offres dans son métier », illustre Eliane. Sauf à bénéficier d’une convention de reclassement personnalisée ou se former vers des métiers en tension répertoriés par Pôle emploi, les possibilités de se repositionner grâce à la formation sont ainsi devenues quasi nulles dans le cadre du BCA. Les contrôles ont par ailleurs été renforcés pour les consultants : trois mois après le début du BCA, le prestataire doit désormais fournir une liste nominative des rendez-vous pris par le bénéficiaire dans le cadre de son projet. « Le moindre écart est bon pour ne pas régler totalement la facture. C’est insensé, car du coup nous répercutons inévitablement cette pression sur les demandeurs d’emploi », dénonce Eliane.
Agir tant qu’on est en poste
Face à cette situation, les consultants recommandent aux salariés d’anticiper. Et de ne pas attendre un éventuel licenciement pour réaliser un véritable bilan de compétences : « Depuis la crise, nous recevons des centaines d’appels de salariés qui demandent s’ils peuvent bénéficier d’un bilan de compétences. Nous leur conseillons de chercher à se le faire financer par leur entreprise, ou dans le cadre du Fongecif », explique Jean-Pierre Vacher, président de la Fédération nationale des CIBC (centres interinstitutionnels de bilans de compétences). Contrairement au BCA, le bilan de compétences financé par l’Opacif (ou le Fongecif) de  votre entreprise  est strictement encadré par la loi : durée totale de vingt-quatre heures, résultats confidentiels… Avec des taux de prise en charge allant de 1200 à 1500 euros.  De quoi bâtir réellement un nouveau projet en toute sérénité, ou presque. À condition ne pas attendre le dernier moment avant de déposer son dossier : deux trois mois sont en effet nécessaires pour obtenir l’accord de l’Opacif ou du Fongecif.
13 avril 2009

Life Long Education: A Conceptual Debate, Dr. Muhammad Javed Iqbal

This paper deals with the nature of a concept of lifelong education. Lifelong education can be provided through informal, formal and non-formal education processes. Hence, lifelong education can be defined as a process of both deliberate and unintentional opportunities influencing learning throughout one’s life span. Dimensions of lifelong education have also been detailed along with its goals. Pre-requisites of lifelong education, concept of integration, flexibility and diversity and lifelong education as a master concept are also given due consideration.
Education is processes, events, activities and conditions those assist and encourage learning. Education may be planned or random but it helps in learning. Thus education is a service. Lifelong education requires that someone i.e. government or other agencies who develop policies and devote resources to education; these cover a broad array of informal, non-formal and formal settings where deliberate choices are made.
Human beings consciously or unconsciously keep on learning and training themselves throughout their lives. This may be a result of the influence of the surroundings which mould their behaviour, their concept of life and the content of their knowledge.
In recent time scholars and planners put the education in a broader view by promoting the concept of lifelong education. Advocates of lifelong education view that education is a process that continues in one form or another throughout life. Its purposes and forms are to be adapted to the needs of individuals at different stages in their development (Rashid, 1993). Education is seen as an integral part of life and all the institutions of society with an educative potential are considered resources for learning. It is that educational process by which individuals become more competent in their knowledge and skills so that they gain more control over their environment.
Lifelong education is a blend of pedagogy and andragogy. It can be provided through various modes like distance learning, e-learning, continuing education or correspondence courses. The concept of lifelong education has been under the process of continuous change because of increased duration of formal education and insufficiency of skills attained in schooling for future career and success. Lifelong education was initially emerged as a blend of informal, formal and non-formal education with the aim of improvement in quality of life but now the concept covers all times and all places, starting from birth and ending at death.
Lifelong learning formally came into existence in 1970 after the advocacy of Council of Europe for Permanent Education, recurrent education from Organization for Economic Cooperation and Development (OECD) and UNESCO Report of “Learning to Be”. In the Faure Report of “Learning to Be” the term lifelong education was used instead of lifelong learning. It was in the 1990s when idea of lifelong learning again gained momentum and became global in its nature. It is a concept that claims it is never too late for learning. It is an attitude of openness to new ideas, decisions, skills and behaviours. One is provided with learning opportunities at all ages, all levels in various contexts. Iqbal_-_lifelong_education.
13 avril 2009

L’OCDE critique le conservatisme des universités

EurActiv Logo [en][de] Les facultés traditionnelles des universités sont trop conservatrices et empêchent tout progrès, alors que le système européen d’éducation lutte pour devenir plus innovant, selon le chef du Centre pour la recherche et l’innovation dans l’enseignement de l’OCDE.
Dirk Van Damme said the current system of dividing knowledge into faculties should be broken up if Europe is to move to a new education system capable of equipping students with critical skills. "We should abolish faculties in universities. Faculties are the most conservative bulwarks against change. Europe must move to a radically different trans-disciplinary approach Most of the interesting things happen on the boundaries of the discipline," he said.
Speaking at a European Policy Centre debate entitled 'Beyond chalk and talk: Creativity in the classroom', which is part of the European Year of Creativity and Innovation, Van Damme said Europe's economic and social progress is due to the quality of its educational system.  "Compared to Japan and even China, European schools are much more innovative. Japan teaches hierarchy and respect, whereas European schools teach us to challenge convention. We have increased educational achievement in Europe and schools are still digesting the revolution in education. If we are to move to the next stage of development, this has to be reinvented," he said.
However, he expressed concern that education ministries in the EU are attempting to "squeeze" ever-increasing amounts of information into curricula when a more balanced approach would be more beneficial. He also stressed the importance of quality in education and teacher education, warning that the push towards greater innovation in education would result in mediocrity if greater emphasis is not placed on excellence.

12 avril 2009

Programme pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PIAAC)

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