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Formation Continue du Supérieur

10 mai 2015

Top 10 universities for first class degrees

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwWhere would you have to study to have the greatest chance of getting a top degree? According to figures released this year by the Higher Education Statistics Agency (HESA), one in five students were awarded firsts last year; more than double that of a decade ago. Figures also revealed the number of firsts awarded by individual institutions. Here are the top ten, ranked according to the percentage of top degrees awarded out of the number of degrees overall. Read more...

10 mai 2015

Want to get into Cambridge? Apply to study European languages

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwBy . New data shows Cambridge University received 580 European language applications in 2010, and 165 acceptances, meaning 28.4 per cent of students were accepted. But in 2014 there were only 385 applications and 170 acceptances, meaning the chances of securing a place had soared to 44.2 per cent. Read more...

10 mai 2015

'Studying science is one of the best ways to change lives'

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwBy Mona Tabbara. Forget all the outdated ideas of what studying a STEM subject entails, Mona Tabbara talks to current students about the reality at university. Read more...

10 mai 2015

Student drop out rates 'a big challenge for universities'

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwBy Josie Gurney-Read. As a record number of school leavers apply for university, one of the "biggest challenges" for higher education providers will be delivering an experience worth staying for. Read more...

10 mai 2015

Top 10 universities for job prospects

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwWhile Cambridge and Oxford continue to dominate the top two places on the Complete University Guide’s (CUG) league table for overall best university and difficulty of entry, they have been out performed on graduate prospects by London universities. The figures show the per cent of graduates in professional jobs or postgraduate study six months after leaving in 2013. Read more...

10 mai 2015

Even the best female graduates don't believe they can have it all

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQPxnNUZkzq1IINmqwJMRe0Mx9jmcJPvZ89WaflkoXFnHo0R2jfVuceEAwwBy . Women account for the majority of university students in the UK and a growing proportion of university applicants, but the nation’s brightest female graduates are overwhelmingly concerned about how they will fare in the world of work. Read more...

10 mai 2015

The Net Positive Valuation of Information and Communication Technology in Online Education

Sustainable Brands HomeThe concept of net positive has emerged as a new way of doing, measuring and reporting business that recognizes the importance of putting sustainability at the core of business strategy. To be “net positive” simply means to put more back into society and the environment (called handprint) than to take out of it (called footprint). This report focuses on a preliminary case study of the net positive impact of ICT in the online education market, utilizing the current ASU Online education program for undergraduate degrees as the case study. More...

10 mai 2015

L’Edition de sciences à l’heure numérique : dynamiques en cours

CNRS : Centre National de la Recherche ScientifiqueL’Edition de sciences à l’heure numérique : dynamiques en cours
En savoir plusSynthèse
A – L’édition scientifique : un marché contrôlé majoritairement par l’édition privée, de plus en plus concentrée et associant étroitement publications et services
Edition de recherche : un marché mondial de 12,8 Md. €.
Le marché mondial de l’édition scientifique de recherche est estimé à 12,8 Md. €. Les services numériques représentent en moyenne 60% des chiffres d’affaires. Chez les grands éditeurs, qui ont investi de façon précoce dans le numérique et dans une logique de plates-formes ce ratio est de 75%.
Un marché répondant à une structure de « longue traîne » dominée par 12 grands éditeurs.
La structuration du marché de l’IST répond parfaitement au modèle de la « longue traîne ». Un nombre limité d’éditeurs occupent le haut du classement avec des parts de marché qui en apparence n’en font pas des acteurs dominants. Derrière eux figure un peloton très nombreux de très petites structures. Cette structuration donne en fait un très fort pouvoir de marché aux éditeurs surplombant cette longue traîne. Les quatre premiers éditeurs, s’ils éditent au plan mondial 24,8% des titres, publient 50,1% des revues à facteur d’impact. Ils affichent un nombre moyen de plus de 1500 revues à leur catalogue (2200 pour le seul Elsevier ; même ordre de grandeur chez Springer/Macmillan-Nature) alors que pour l’ensemble des autres éditeurs, le nombre moyen de revues publiées est à peine supérieur à 2. Seuls 2% des éditeurs publient 100 titres ou plus.
Un clivage croissant entre les grands éditeurs privés et tous les autres éditeurs.
Différents facteurs ont induit un clivage croissant, aujourd’hui irréversible, entre quelques grands éditeurs privés1 et tous les autres éditeurs :
- les « majors » de l’édition scientifique croissent plus vite que le marché en captant les activités d’édition des sociétés savantes. Cette captation des activités d’édition des sociétés savantes a permis aux grands éditeurs de faire croître leur catalogue beaucoup plus rapidement que celui des éditeurs de plus faible taille et surtout beaucoup plus rapidement que s’ils avaient mené ce développement de leur catalogue en compte propre,
- les logiques de « Big Deals» donnent un avantage compétitif important aux grands éditeurs. Par « Big Deal » on désigne des contrats de licences d’usage fédérant de nombreux utilisateurs qui ont ainsi accès à l’ensemble des fonds numérisés d’un éditeur. Ces contrats accentuent le clivage entre les grands éditeurs et les autres puisque les catalogues limités des petits éditeurs ne leur permettent pas de proposer une valeur ajoutée d’agrégateur sous leurs propres couleurs,
- la taille des corpus gérés est un avantage compétitif bénéficiant aux grands éditeurs. Les plates-formes numériques associant contenus et services sont aujourd’hui au coeur de la proposition de valeur des grands éditeurs. Ces plates-formes proposent de très vastes corpus de documents scientifiques. L’ampleur de ces corpus est une dimension importante du service rendu aux usagers. Cet avantage compétitif lié à la taille du corpus d’articles et de documents mis à disposition en ligne par les grands éditeurs sera demain amplifié par la généralisation des usages du Text et du Data Mining (TDM) : la taille des corpus exploitables est un paramètre important de l’intérêt de telles technologies,
- les capacités financières des grands éditeurs privés leur donnent un avantage compétitif majeur, les investissements sur les plates-formes numériques multiservices se chiffrent en plusieurs centaines de millions d’euros. Le taux de rentabilité élevé des grands éditeurs « for profit », leur permet de financer ces investissements. Pour les autres acteurs, la mutualisation des investissements est difficile.
- Même si l’activité d’édition scientifique consiste encore majoritairement pour tous les éditeurs à capter, évaluer, valider, mettre en forme des publications scientifiques émanant des chercheurs, même si toutes les maisons d’édition grandes ou petites partagent souvent une même culture éditoriale, il n’est pas exagéré de dire que les très grands éditeurs privés ne font plus aujourd’hui le même métier que les milliers d’éditeurs qui constituent la « longue traîne » déjà évoquée.
B – L’édition scientifique : un modèle économique évolutif
Un secteur de concurrence imparfaite où la concurrence par les prix n’existe pas.
L’édition de recherche est un secteur obéissant à une logique de « concurrence imparfaite ». Cela s’explique par un phénomène d’insubstituabilité des revues l’une à l’autre : si la publication scientifique dans une discipline à pour vecteurs principaux N revues le chercheur ou son institution s’abonneront à l’ensemble de ces revues. La concurrence entre éditeurs n’est pas une concurrence par les prix. Ce qui explique les taux de marge opérationnelle très élevés des grands éditeurs commerciaux souvent supérieurs à 30% alors que chez les petits éditeurs et les éditeurs à but non lucratif (sociétés savantes) les taux de marge opérationnelle constatés ne dépassent pas 15% des revenus.
Le transfert aux éditeurs des droits de propriété intellectuelle sur la publication scientifique est partiellement contradictoire avec le développement de la « science ouverte ».
Les éditeurs peuvent maintenir ces niveaux de prix élevés en se faisant transférer par les chercheurs-auteurs les droits de propriété intellectuelle sur les articles qu’ils publient. Ils opèrent donc dans un modèle économique d’exploitation de droits de propriété intellectuelle. Or dans ce modèle d’exploitation de « droits d’auteurs » les prix finaux n’ont pour seule limite que la capacité des clientèles à supporter ces prix. Le modèle économique du Gold Open Access offre l’occasion de mener un débat non pas sur la valeur ajoutée des éditeurs, qui est incontestable, mais sur le juste prix de la prestation éditoriale.
La question de la titularité des droits de propriétés intellectuelle sur la publication scientifique conditionne le libre partage de l’information au sein des communautés de recherche, la réutilisation des connaissances, la libre exploitation des corpus scientifiques par des technologies de Text et de Data Mining. (TDM). La refonte du cadre de la propriété intellectuelle dont relèvent les objets de science, et avant tout à la publication scientifique, est indispensable. Le cadre général de la propriété intellectuelle et artistique n’est plus pertinent pour la publication scientifique dans le cadre des logiques de science ouverte.
La concentration au sein de l’édition scientifique mondiale n’est pas achevée.
Au-delà du rapprochement annoncé de Springer et de Macmillan Science & Education/groupe Nature pour créer le N°2 mondial de l’édition scientifique, d’autres opérations de concentration sont à attendre dans les prochains mois et les prochaines années. À terme ce mouvement de concentration devrait réduire à trois ou quatre acteurs globaux impliqués dans l’édition de revues et de services liés à l’IST (Elsevier, Springer/Macmillan-Nature, Thomson Reuters, Wiley) le groupe d’éditeurs « for profit » de dimension mondiale. Le facteur de taille est important dans les stratégies de ces grands éditeurs : une base de marché accru permet de mieux amortir les investissements importants consentis sur les plates-formes numériques ; la fusion des catalogues permet d’élargir de façon importante le périmètre des corpus scientifiques proposés aux usagers. Les grandes sociétés savantes (ACS, RSC, IEEE, IET) et les grandes presses universitaires anglo-saxonnes seront épargnées par cette concentration.
C – Les nouveaux axes des stratégies des grands éditeurs privés : Gold Open Access, plates-formes de services
Les éditeurs ont entrepris une conversion généralisée de leur modèle éditorial au Gold Open Access.
La création de nouvelles revues en Open Access représente désormais près de 80% des nouveaux titres lancés sur le marché. Deux types d’offres, apparues dans les 18 derniers mois, donnent corps à la stratégie « Gold Open Access » des grands éditeurs. La première est centrée sur une offre de « mégarevues », multidisciplinaires, exigeant des APC (« Article Processing Charges ») relativement limitées (de l’ordre de 1400 €). L’objectif de ces mégarevues est de permettre aux éditeurs de capter de nouvelles réserves de croissance liées aux flux croissants de la publication scientifique et de contrer des initiatives similaires (PLoS) nées dans la sphère non-marchande. Le deuxième axe de l’évolution des catalogues est la conversion de revues spécialisées préexistantes ou la création de nouvelles revues en Gold Open Access pour exploiter de nouveaux champs disciplinaires ou concurrencer des revues existantes proposées sur abonnement par d’autres éditeurs. Le Gold Open Access ravive la concurrence entre grands éditeurs, jusque-là relativement figée et favorise les éditeurs contrôlant de vastes catalogues leur permettant de lisser dans le temps la transition vers ce nouveau modèle économique. Cet investissement par les grands éditeurs du champ de l’Open Access Gold est indissociable de leur volonté d’être à terme des sociétés de service, monétisant les usages de leurs plates-formes en ligne.
La stratégie de plates-formes est au coeur des stratégies des éditeurs
Dès aujourd’hui leur proposition de valeur des grands éditeurs est moins centrée sur l’édition de revues en tant que telle que sur la mise à disposition de vastes plates formes pour lesquelles la question du libre accès ne se pose tout simplement pas. La concurrence par les prix entre ces plates-formes insubstituables l’une à l’autre n’existe pas. Ce qui devrait permettre aux grands éditeurs privés de préserver leurs taux de marge élevés. Cela se vérifiera d’autant plus que pour les clients issus de la recherche publique, la notion de « juste prix » de ces plates-formes est difficile à appréhender autrement que par les limites imposées par leurs budgets.
Ces plates-formes, qui en raison des coûts d’investissement qu’elles requièrent ne peuvent être proposées que par de très grands éditeurs, partagent des traits communs :
- elles agrègent de vastes corpus scientifiques,
- elles proposent des outils d’exploitation de ces contenus : outils de « Search » ou de TDM,
- elles se complètent d’une offre d’outils logiciels d’appui à la productivité du workflow documentaire des chercheurs2. Les outils de productivité proposés par les éditeurs sont des outils « propriétaires», payants, non interopérables, basés sur des logiciels non « ouverts » qui les rendent incompatibles avec une logique d’ « Open Process»,
- Elles s’enrichissent d’outils analytiques qui visent le marché nouveau de l’aide au pilotage et à la gouvernance de la recherche.
D - L’équilibre nécessaire entre grands éditeurs scientifiques et écosystème de la recherche passe par des politiques publiques fortes.
La montée en puissance des logiques de plates-formes multifonctionnelles, l’opacité des structures de coûts de ces dernières, la capacité d’innovation des très grands éditeurs, leur puissance financière, leur contrôle d’une part croissante des flux de publications scientifiques : tous ces facteurs risquent à terme de déséquilibrer le rapport entre ces fournisseurs privés et les acteurs de la recherche publique et de l’enseignement supérieur au détriment de ces derniers. La mutualisation des achats de ressources et de services au sein de l’ESR ne suffira pas à corriger ce déséquilibre.
Les pouvoirs publics prennent conscience de la nécessité d’une action de longue haleine visant à promouvoir une « science ouverte » se définissant par l’ « Open Access » aux ressources documentaires scientifiques et par l’ «Open Process » c’est-à-dire la prise en charge du « workflow » des tâches IST par des outils non propriétaires.
Dans cette perspective plusieurs chantiers semblent prioritaires :
- La construction des référentiels directeurs d’identification (des chercheurs, des entités de recherche, etc.), La production collaborative d’ontologies ouvertes,
- La redéfinition du droit de la propriété intellectuelle applicable aux objets de science,
- L’expérimentation systématique et l’échange de bonnes pratiques pour mettre au point des outils publics partagés de Text et Data Mining,
- La réflexion sur le développement dans la sphère publique d’outils de « Search » permettant d’exploiter dans une logique de recherche fédérée les gisements d’information scientifique.
Tous ces chantiers exigent un renforcement des coopérations internationales des entités publiques confrontées à ces tendances et partageant les mêmes priorités.
Conclusion :
Le scénario de l’édition scientifique à l’horizon 2020, tout proche, sera à coup sûr marqué par le prolongement des tendances qui laissent entrevoir la constitution de positions dominantes par les très grands éditeurs internationaux privés qui ont vocation à devenir des acteurs majeurs de la science numérique.
Il sera aussi façonné par la plus ou moins grande vigueur des initiatives publiques visant à promouvoir des logiques de science ouverte. Ceci suppose une réflexion stratégique accrue et partagée au sein de toutes les composantes de l’ESR.36 Cela passe par des solutions organisationnelles nouvelles et par une meilleure coordination de tous les organismes de recherche publique.
In fine la possibilité d’action des pouvoirs publics, outre l’élaboration de législations pertinentes, est liée au fait que le financement global de la communication scientifique repose entièrement sur les budgets publics. Cet argument doit être utilisé dans le rééquilibrage des positions respectives des organismes publics et des opérateurs privés.
Ce jeu ne se fait cependant pas à armes égales : les grands éditeurs disposent de capacités d’élaboration stratégique importantes, de possibilités d’exploration de l’innovation dans le champ de l’IST et des moyens de financiers de sa captation. Ils disposent aussi de savoir-faire marketing, de services commerciaux étoffés, d’une expérience globale de la négociation. Ils profitent de leurs positions mondiales pour aborder des situations et des marchés nationaux fractionnés entre lesquels la coopération internationale est insuffisante et doit être renforcée.
Le développement au sein de l’écosystème de la recherche publique d’une conscience largement partagée des enjeux liés à l’édition scientifique et aux rôles et forces respectives des acteurs publics et privés est un préalable nécessaire au développement de l’ « Open Science ».

10 mai 2015

Higher Education, High-impact Research and University Rankings: A Case of India

LogoAuthor: Reddy, Kotapati Srinivasa
Purpose: The purpose of this paper is to discuss the current state of higher education, high-impact research and university rankings in Asian emerging market-India. Firstly, overview of higher education and government schemes for academic research is presented. Secondly, progress of high-impact research in India and China for citable documents, number of citations, cites per document and H-index in three subject categories is assessed. Lastly, we discuss potential challenges in the university education and recommend policy guidelines for betterment of the existing practices. Methodology: Being a qualitative study we have collected data from archival sources and thereby accomplished our goals based on inductive and deductive logics. Findings: Overall, Chinese universities are found to be outperforming Indian universities, especially in citable documents, number of citations, international collaboration, collaborative research projects, publications and editorship, and university rankings. For citable documents in all subjects category, United States is ranked 1st, followed by China 2nd, United Kingdom 3rd …, and India 9th. We therefore suggest that individual-, university- and country-specific factors have significant impact on high-impact research. Research limitations: The study is restricted to India. Hence, conducting a survey among government and private universities with regard to academics and research assessment measures deserves future research. Practical implications: A set of policy guidelines (research funding, collaborative research projects and research assessment council) is suggested for imparting quality academic practices and standards. Originality: This paper indeed is an original attempt while no earlier study links higher education, high-impact research and university rankings in India.
File URL: http://mpra.ub.uni-muenchen.de/63658/1/MPRA_paper_63658.pdf

10 mai 2015

Quality of Public Administration - A Toolbox for Practitioners

Quality of Public Administration - A Toolbox for PractitionersThe quality of its institutions, both governmental and judicial, is a key determining factor for a country's economic and societal well-being. Administrative capacity is increasingly recognised as a pre-requisite for delivering the EU’s treaty obligations and objectives, such as creating sustainable growth and jobs. The EU supports Member States’ administrations through the European Semester process and the European Structural and Investment Funds (ESIF). The Toolbox aims to support, guide and encourage those who want to build public administrations that will create prosperous, fair and resilient societies. It is intended as a reference and resource, not a prescription or a panacea, by signposting readers to existing EU policies and international practices, illustrated by almost 170 inspirational case studies.
Download the PDF English.

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