Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
11 décembre 2010

Higher Education in Cities and Regions - For Stronger, Cleaner and Fairer Regions

http://www.oecd.org/dataoecd/42/48/45951747.jpgSeville, 10-11 February 2011. Conference.
In the context of global economic and financial crisis, OECD countries are seeking to mobilise higher education institutions (HEIs) to support more strongly their economic, social and cultural development. HEIs can play a key role in human capital development and innovation systems and can help their cities and regions become more innovative and globally competitive.
The OECD Reviews of Higher Education in Regional and City Development assist local and regional governments and higher education institutions to achieve that objective. Since 2005, OECD/IMHE has reviewed 29 regions in 19 countries. The reviews have benefited from collaboration with OECD Directorates and programmes and partners such as the World Bank, UNESCO, Inter-American Development Bank (IADB), National Center for Higher Education Management Systems (NCHEMS) and Lumina Foundation.
The second round of the OECD reviews in 2008-10 has taken the reviews to new geographical areas in OECD countries and emerging economies. One of the regions reviewed is the Autonomous Region of Andalusia and this conference will take place in its regional capital, Seville.
Drawing on the OECD reviews and other studies conducted by the OECD, this conference will look at innovative ways in how HEIs can best contribute to making their cities and regions stronger, cleaner and fairer. It will highlight key issues in human capital development and innovation and identify ways of transforming universities.
This conference brings together policy makers and practitioners; public and private bodies concerned with regional development; leaders and managers of HEIs; and those responsible for knowledge transfer, regional development and community liaison at HEIs. I am looking forward to seeing you in Seville. I also welcome new cities and regions to participate in the third round of reviews.
11 décembre 2010

La VAE vue par les entreprises

http://www.fafiec.fr/var/ezwebin_site/storage/images/design/fafiec-opca/172-8-fre-FR/FAFIEC-OPCA_logo.gifVirginie Beziel, responsable formation au sein du groupe ESR et Lisa Tapia, responsable formation chez Computacenter nous font part de leur expérience quant à la mise en place d’un dispositif de Valorisation des Acquis de l’Expérience (VAE) au sein de leur entreprise.
Cette semaine, découvrez les avantages de la VAE, aussi bien pour les entreprises que les collaborateurs, ainsi que des conseils pratiques pour mettre en place ce dispositif de formation dans l'entreprise.
Combien de salariés ont suivi une VAE dans votre entreprise ?
Virginie Beziel : « 5 salariés sur les trois dernières années. Il est à noter que nous avons des salariés en cours de réflexion pour se lancer. »
Lisa Tapia : « Trois collaborateurs ont suivi une VAE en 2010. Deux sur des diplômes informatiques et un sur un diplôme Achats. »
Pourquoi avez-vous décidé de mettre en place une VAE plutôt qu’un autre dispositif de formation ?
V.B. : « La VAE nous semblait plus appropriée car les collaborateurs concernés ont déjà le niveau pour le diplôme visé, il est donc plus pertinent de leur proposer une validation. De plus, les salariés sont eux-mêmes demandeurs de ce dispositif et ne souhaite pas s’investir dans un cursus de formation long. Enfin, certains salariés souhaitent passer deux diplômes, ils font le 1er en VAE car ils ont déjà des connaissances et feront le 2ème par le biais d’un autre dispositif. »
Quels sont les avantages pour une entreprise de mettre en place une VAE pour ses collaborateurs?
V.B. : « Les avantages sont tout d’abord la satisfaction personnelle du collaborateur qui permet une fidélisation. Pour l’entreprise, cela évite une longue absence dans le cadre d’une formation. De plus, la VAE est également un vrai outil RH pour la gestion de carrière. »
L.T. : « Chez Computacenter France comme dans la plupart des entreprises du secteur je pense, la VAE doit être une démarche volontaire du collaborateur compte tenu de l’implication qu’elle nécessite. Je pense que cette démarche vise à rassurer des collaborateurs à la base autodidacte qui par le biais de leur expérience professionnelle ont atteint les compétences leur permettant de pouvoir valider un niveau de diplôme correspondant. Le diplôme obtenu leur donnera une reconnaissance sur le marché en plus de la reconnaissance qu’ils peuvent avoir en interne. »
Quels conseils pourriez-vous donner à une entreprise qui souhaite mettre en place une VAE?
V.B : « Plusieurs pistes : consulter le site infovae-idf.fr qui est une grande source d’information sur la VAE. Penser également à encourager le salarié pendant sa démarche en faisant le point sur l’avancée de son projet, mettre en place des synthèses sur la démarche VAE, prendre en charge financièrement la VAE avec l’aide du FAFIEC ou du FONGECIF. »
L.T : « La VAE doit être demandée par le collaborateur. L’entreprise peut accompagner son collaborateur notamment financièrement grâce aux dispositifs proposés par le FAFIEC. »
Un grand merci à Virginie Beziel et Lisa Tapia pour leur éclairage sur la VAE. Rendez-vous dans 2 semaines pour la seconde partie de l'interview: "Les difficultés qui peuvent être rencontrées dans la mise en place d’un dispositif de VAE et comment les surmonter."
http://www.fafiec.fr/var/ezwebin_site/storage/images/design/fafiec-opca/172-8-fre-FR/FAFIEC-OPCA_logo.gif Virginia Beziel, maniġer tat-taħriġ fi ħdan il-grupp ESR u Lisa Tapia, maniġer tat-taħriġ fil Computacenter huma qsim ta 'esperjenzi tagħhom bl-introduzzjoni ta' apparat għall-Valutazzjoni ta 'Qabel Tagħlim (APL) fin-negozju tagħhom. Din il-ġimgħa, jiskopru l-benefiċċji ta 'Apel, kemm għan-negozji u l-impjegati, kif ukoll pariri prattiċi għat-twaqqif ta dan l-apparat ta' taħriġ fil-kumpanija.
Kif l-impjegati ħafna attendew VAE fin-negozju tiegħek?

Virginia Beziel "5 impjegati matul l-aħħar tliet snin. Għandu jiġi nnutat li għandna impjegati taħt konsiderazzjoni għat-tnedija."

Lisa Tapia: "Tliet impjegati attendew VAE fl-2010.
Żewġ diplomi fuq il-kompjuter u xiri diploma." More...
10 décembre 2010

Pôle emploi va réduire de deux tiers la sous-traitance au privé en 2011

http://www.lesaffaires.com/uploads/images/normal/3db32da352b70633d6c82915128dd979.jpgPôle emploi va réduire de deux tiers en 2011 son recours aux sociétés privées pour le placement des demandeurs d'emploi, compte tenu de ses contraintes budgétaires, a annoncé mercredi le directeur général Christian Charpy.
"Le recours aux opérateurs privés va baisser de l'ordre de deux tiers en 2011", a affirmé M. Charpy, lors d'une conférence de presse au siège de Pôle emploi. Il a précisé qu'il s'agissait d'une proposition de la direction soumise au Conseil d'administration chargé de valider le 17 décembre le budget 2011.
Selon lui, en 2010, "de l'ordre de 200.000" demandeurs d'emploi étaient pris en charge par des une trentaine d'opérateurs privés, dont Manpower et Adecco. En 2011, ils devraient être "de l'ordre de 80.000 à 85.000". "Les contraintes financières qui pèsent sur Pôle emploi en 2011 font que nous n'aurons pas autant de moyens à consacrer aux opérateurs privés", a souligné M. Charpy précisant que le bouclage du budget 2011 était "compliqué", compte tenu des recettes en moins.
"La baisse attendue des crédits" accordés au privé est "de deux tiers", "ce qui permettra d'avoir un budget à l'équilibré, a-t-il souligné. 'De l'ordre de 200.000' demandeurs d'emploi étaient pris en charge par des une trentaine d'opérateurs privés, dont Manpower et Adecco. En 2011, ils devraient être 'de l'ordre de 80.000 à 85.000'. Il n'a pas précisé quels prestataires seraient congédiés, rappelant que leurs contrats - passés en 2009- avaient une durée de deux ans -un an renouvelable - s'arrêtant en juin 2011.
"Certains contrats seront arrêtés au bout de deux ans et d'autres maintenus pour une troisième année". Le principe, a-t-il dit, sera de "maintenir plutôt l'ensemble des contrats qui visent à prendre en charge les licenciés économiques".
Selon M. Charpy, "le recours aux opérateurs privés avait été extrêmement important en 2009 et 2010" en raison de la crise et de la nécessaire réorganisation de Pôle emploi, mais désormais ce besoin est moindre. Quant au bilan du recours aux opérateurs, il est "trop tôt" pour se prononcer, a estimé M. Charpy en précisant qu'une enquête quantitative et qualitative était en cours, dont les premiers résultats seront connus au premier trimestre 2011. "Globalement, selon lui, le système a bien fonctionné".
Pôle emploi avait choisi, à l'été 2009, 31 prestataires privés (groupes d'intérim, de reclassement) pour accompagner des demandeurs d'emploi, avec 425 millions d'euros prévus sur deux ans. En juillet dernier, M.Charpy avait dénoncé la pratique de certaines sociétés qui avaient sciemment facturé hors taxes des prestations alors qu'elles étaient soumises à la TVA. Il avait promis une régularisation
http://www.lesaffaires.com/uploads/images/normal/3db32da352b70633d6c82915128dd979.jpgEmployment center will reduce by two thirds in 2011 his appeal to private companies for the placement of job seekers, given its budgetary constraints, announced Wednesday, CEO Christian Charpy. "The use of private operators will decrease by about two-thirds in 2011," said Charpy, at a press conference at the headquarters of the employment center. He said it was a management proposal submitted to the Board responsible for approving the budget on December 17, 2011. According to him, in 2010, "of about 200,000" job seekers were supported by thirty private operators, including Manpower and Adecco. In 2011, they should be "on the order of 80,000 to 85,000. "The financial constraints on employment center in 2011 mean that we will not have much resources to devote to private operators," said Mr. Charpy stating that the closure of the 2011 budget was "complicated," taking into account receipts less. More...
10 décembre 2010

L'enseignement supérieur dans l'UE

http://www.touteleurope.eu/fileadmin/templates/v2/images/header/logo.gifLa mobilité est l'une des clés de la construction européenne. Voyager, s'installer, mais aussi étudier ou travailler dans un autre Etat membre, toutes ces possibilités désormais ouvertes répondent à l'un des principes fondamentaux de l'Union européenne: la libre-circulation des personnes.
Pourtant, si le programme Erasmus a favorisé la mobilité des étudiants, force est de constater que ce phénomène reste marginal (environ 4% des étudiants européens). La part des travailleurs qui trouvent un emploi dans un autre Etat membre est encore plus faible.
Comment expliquer la faible mobilité des ressortissants de l'Union européenne, alors même que les frontières ont été abolies entre les 27 Etats membres? Barrière de la langue, de la culture ? Oui, certainement. Mais pas seulement.
Si l'Union européenne a créé de nombreux programmes en faveur de la mobilité étudiante, les systèmes d'enseignement supérieur restent disparates dans l'Union européenne. De même, bien que la majorité des Etats membres se soient engagés à appliquer les accords de reconnaissance mutuelle des diplômes, celle-ci est rarement effective. Son absence est un frein à la mobilité des travailleurs.
Alors, dans une Union européenne qui compte désormais vingt-sept membres, peut-on imaginer qu'un jour les études supérieurs soient les mêmes partout? Peut-on envisager un marché du travail européen où chaque diplôme aurait la même valeur? En signant la Déclaration de Bologne en 1998, c'est ce que se sont engagés à faire 47 pays membres du Conseil de l'Europe. Le but: construire un Espace européen de l'enseignement supérieur.
Le Processus de Bologne dépasse l'Union européenne, mais celle-ci en est le moteur : grâce au système LMD (Licence/Master/Doctorat), mais aussi au crédits ECTS mis en place dans le cadre d'Erasmus (système de crédits qui permet aux différentes formations d'être sanctionnées par un diplôme de valeur équivalente), l'UE tente aujourd'hui d'harmoniser son système universitaire.
Découvrez à travers ce dossier les origines du Processus de Bologne et les grandes étapes d'un Espace européen de l'enseignement supérieur encore en construction. Harmonisation des systèmes universitaires, gouvernance des universités, reconnaissance des diplômes, trouvez dans ces pages les clés indispensables pour se repérer dans ce vaste espace de l'enseignement supérieur en Europe.
http://www.touteleurope.eu/fileadmin/templates/v2/images/header/logo.gif Reizen, te regelen, maar ook studie of werk in een andere lidstaat, al deze mogelijkheden nu open om te voldoen aan een van de fundamentele beginselen van de Europese Unie : het vrij verkeer van personen. Echter, als het programma Erasmus- studenten is toegenomen de mobiliteit van, is het duidelijk dat dit fenomeen marginaal is (ongeveer 4% van de Europese studenten). Het aandeel van werknemers die werk vinden in een andere lidstaat is zelfs nog lager. Hoe onderdanen uit te leggen de geringe mobiliteit van de Europese Unie, hoewel de grenzen zijn opgeheven tussen 27 lidstaten? Taalbarrières, cultuur? Ja, zeker. Maar niet alleen. Meer...
10 décembre 2010

Election du nouveau bureau de la CPU

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgJeudi 16 décembre 2010 auront lieu les élections du nouveau bureau de la Conférence des présidents d’université. Alain Béretz et Louis Vogel présentent chacun un ticket afin de succéder à Lionel Collet, Simone Bonnafous et Jacques Fontanille.
Pour ces prochaines élections, deux trios se sont déclarés.
Alain Béretz (Université de Strasbourg), Jean-Paul Caverni (Université Aix Marseille 1 Provence) et Françoise Moulin-Civil (Université de Cergy-Pontoise) constituent le 1er trio.
Le 2ème trio est composé de Louis Vogel (Université Panthéon Assas - Paris II) avec à ses côtés Yvon Berland (Université de la Méditerranée Aix Marseille II) et Anne Fraïsse (Université Paul Valéry Montpellier III).
L’élection du nouveau bureau se fera sous la présidence du doyen d’âge présent assisté des deux plus jeunes membres de la Conférence. Elle a lieu au scrutin secret à deux tours. La majorité absolue des suffrages exprimés est nécessaire pour être élu au premier tour. La majorité relative suffit au second. Seuls les membres de droit ou agrées peuvent voter. Les membres associés (PRES) n’ont pas le droit de vote. Le résultat des votes devrait être connu jeudi 16 vers midi. Vous trouverez en téléchargement les textes adressés par les candidats aux membres de la CPU. Texte Alain Béretz, Jean-Paul Caverni, Françoise Moulin Civil. Texte Louis Vogel, Yvon Berland,  Anne Fraïsse.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg Il-Ħamis 16 Diċ 2010 se tkun l-elezzjonijiet ta 'uffiċjali ġodda tal-Konferenza tal-Presidenti Università. Alain Beretz Vogel u Louis Vogel wieħed ikollhom biljett biex tirnexxi Lionel Collet,  Jacques Fontanille u Simone Bonnafous. Għal dawn l-elezzjonijiet, żewġ Triji kienu rrappurtati. Alain Beretz (Università ta 'Strasburgu), Jean-Paul Caverni (Università Aix Marsilja 1 Provence) u Francoise Moulin-Ċivil (Università ta' Cergy-Pontoise) huma l-trio ewwel. Il-trio tieni huwa kompost minn Louis Vogel (Università Panthéon Assas - Paris II) bil-ġnub tiegħu Yvon Berland (Université de la Méditerranée Aix Marsilja II) u Anne Fraïsse (Université Paul Valéry Montpellier III). Beretz Test Alain, Jean-Paul Cave, Francoise Moulin Ċivili. Vogel Louis Test, Yvon Berland, Anne Fraïsse. More...
10 décembre 2010

Vers un droit à l’orientation tout au long de la vie

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)L'ARFTLV vient de publier un nouveau numéro de sa revue ARF Infos, qui consacre son dossier central à l'orientation professionnelle des adultes: L’orientation professionnelle des adultes prend tout son sens en période de crise, et confronte les professionnels des structures d’accueil à de nouveaux défis. Ils sont appelés à développer un message commun et de nouveaux partenariats pour répondre à l’objectif d’accès pour tous à l’orientation tout au long de la vie. Consulter ARF info n°13.
L’orientation fait aujourd’hui l’objet de toutes les attentions. En période de crise, le rôle qu’elle joue dans le retour à l’emploi s’avère plus que jamais déterminant. C’est d’autant plus vrai que les mutations économiques imposent à de nombreux salariés des mobilités contraintes, d’ordre géographique ou professionnel. Au contraire de l’orientation scolaire, l’orientation des adultes présente la caractéristique d’intervenir parfois tardivement dans un parcours. La nature du conseil donné à un adulte ne peut avoir le même contenu que celui qui s’adresse à un adolescent. Il diffère également d’un individu à un autre.
Orienter ne peut se résumer à informer, et pour être en mesure de répondre aux publics adultes, demandeurs d’emploi ou actifs, les services d’orientation professionnelle doivent relever un certain nombre de défis. Les pistes de réflexion sont nombreuses, elles visent à faciliter l’accès de tous à une information et des conseils de qualité dans les domaines de l’éducation, de la formation et du travail, y compris au sein même des entreprises.
Les « orienteurs » sont invités par le rapport Guégot à se doter d’un langage commun pour faciliter leur montée en compétences. Qu’il intervienne dans le cadre d’une Mission locale, de Pôle emploi, d’un OPCA, d’une plate-forme de reconversion ou encore d’un organisme de formation, un conseiller ne saurait maîtriser toute la complexité du paysage de la formation.
Mais il doit assumer un rôle de première information sur les droits, les actions financées, les certifications, les métiers et les débouchés. Et plus encore d’accompagnement, dans le but de permettre à toute personne de gérer elle-même son parcours. L’offre de formation est également concernée, en cela qu’elle doit prouver sa capacité d’adaptation afin de s’inscrire pleinement dans la logique de continuité entre orientation, formation et emploi.
De son côté, la loi du 24 novembre 2009 s’est donnée pour ambition de garantir à tous le droit à être informé, conseillé et accompagné, sans rupture entre formation initiale et formation continue. Elle insiste également sur l’importance des actions menées par les collectivités locales, de la Région au bassin d’emploi, dans les politiques d’information et d’orientation, ainsi que l’implication des partenaires sociaux dans le cadre du bilan de compétences, de l’entretien professionnel ou encore de la Validation des acquis de l’expérience. La volonté de « faire émerger une politique forte » ouvre la voie à des nouveaux partenariats autour de l’objectif commun qu’est l’accès à l’orientation tout au long de la vie, dans le cadre d’un Service public de l’orientation et avec l’appui d’outils tels que ceux mis en place par l’ARFTLV, en particulier le Passeport orientation formation régional et la Ligne Horizon.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) The ARFTLV just published a new edition of his magazine News ARF, which devotes its central issue in the adult guidance: Vocational guidance for adults makes sense in times of crisis, and confronts the professional structures of host of new challenges. They are expected to develop a common message and new partnerships to meet the goal of universal access to guidance throughout life. Consult ARF info No. 13. In times of crisis, its role in the re-employment is more crucial than ever. This is especially true that economic changes will require many employees mobility constraints, geographical or professional. Instead of counseling, adult guidance has the feature to intervene at times late in a course. The nature of the advice given to an adult may have the same content as that is for a teenager. It also differs from one individual to another. Guide can be summarized to inform and to be able to respond to adults, unemployed or active career services face a number of challenges. The lines of inquiry are numerous, they are intended to facilitate access for all to information and quality advice in the areas of education, training and work, including within enterprises. More...
10 décembre 2010

PLF 2011, un amendement pour les crédits de la Mires

http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.pngLe 7 décembre 2010, le Sénat a adopté le projet de loi de finances pour 2011. Un amendement du gouvernement majorant de 95000 euros les crédits de la Mires a été voté.
Le PLF 2011 a été adopté le 7 décembre dernier avec  176 voix pour et 153 contre. Un amendement déposé par le gouvernement a  été voté par les sénateurs. Ce dernier prévoit une majoration de 95000 euros en autorisations d'engagement et en crédits de paiement le budget de la Mission interministérielle « recherche et enseignement supérieur » (Mires).
Les 95000 euro,  ajoutés  « à titre non reconductible » se répartissent de la façon suivante :
* 60000 euros sur le programme « formations supérieures et recherche universitaire », action 15 « pilotage et support du programme »;
* 15000 euros sur le programme « recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires », action 05 « recherches scientifiques et technologiques en sciences de la vie, biotechnologies et santé »;
* 20000 euros sur le programme « recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle », action 02 « soutien et diffusion de l'innovation technologique ».
Le projet de loi de finances doit passer en CMP (commission mixte paritaire) le 13 décembre 2010. Le texte qui en sera issu sera soumis à l'Assemblée et au Sénat le 15 décembre  pour adoption définitive.
http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.png7 december 2010 de Senaat heeft de ontwerp-begroting wet voor 2011. Een amendement van de regering een verhoging met 95000 EUR credits is uitgeroepen tot de Mires.
De begroting 2011 werd aangenomen wetsvoorstel op 7 december vorig met 176 stemmen voor en 153 tegen. Een amendemant ingediend door de regering werd aangenomen door de Senaat.  CER laatste voorziet in een verhoging van 95.000 euro aan vastleggings-vergunningen en betalingskredieten begroting van het Interministerieel missie "Onderzoek en Hoger Onderwijs" (Mires). Meer...
10 décembre 2010

L'étude sur l'évolution des métiers de la branche de la formation

http://www.ffp.org/img/logo-ffp.jpgL'étude sur l'évolution des métiers de la branche publiée
Retrouvez dès maintenant les détails de l' enquête menée par la Branche sur l'évolution des métiers de la formation qui identifie les principaux facteurs d'évolution de l'activité des organismes. Quelles perspectives de changement pour les structures de formation? Quelles grandes tendances se dessinent? Cliquez ici pour retrouver l'étude finalisée et sa synthèse.
Le périmètre du secteur
Le secteur représente un ensemble plus large que la branche. Il désigne tous les organismes de formation privés ou non, dont l’activité principale est l’enseignement ou la formation et qui réalisent des actions de formation professionnelle continue.
Outre les organismes de la branche, le secteur comprend également: Des organismes publics et parapublics, - GRETA, - Universités, - CNAM, - AFPA, - Autres organismes sous tutelle publique, parapublique ou territoriale,  Des organismes relevant des réseaux consulaires, - CCI et organismes rattachés, - Chambres d’agriculture et organismes rattachés, - Chambres de métiers et organismes rattachés, Des organismes relevant des entreprises ou leurs représentants, - Organismes rattachés à une ou plusieurs branches professionnelles, - Organismes dépendant d’un groupement professionnel, - Organismes rattachés à une entreprise ou un groupement d’entreprises, Des organismes associatifs relevant de l’éducation populaire et de l’insertion économique et sociale, Des sociétés unipersonnelles juridiques et des intervenants individuels hors structures
Le périmètre de la filière
La filière désigne l’ensemble des acteurs ayant compétence à intervenir dans le champ de la formation professionnelle continue.
Outre l’ensemble des organismes du secteur, la filière comprend également: - les donneurs d’ordre publics et privés (dont l’Etat, les Régions, les CPNEFP, les entreprises) et les instances de concertation (dont le CNFPTLV, les CCREFP, les COPIRE), - les financeurs et/ou acheteurs de la formation (dont l’Etat, les Régions, Pôle Emploi, les OPCA/OPACIF, les entreprises), - les prescripteurs (dont Pôle Emploi, les missions locales, les réseaux Cap Emploi), - les structures d’accueil, d’information et d’orientation.
Objectifs et présentation de l’état des lieux socio-économique
Le portrait qui en résulte est présenté selon trois chapitres :
1. l’analyse du marché de la formation : elle comporte un état des lieux quantitatif structuré autour des deux grands axes d’analyse que sont la demande et l’offre de formation continue. Les indicateurs-clés retenus visent à fournir une vision synthétique des caractéristiques du marché, tant à l’échelle du secteur que de la branche.
2. l’activité des organismes de formation de la branche : elle comporte une analyse de la typologie des organismes de la branche et rend compte des spécificités de leurs activités respectives, qu’il s’agisse de la manière dont ces activités sont financées, structurées ou encore des publics auxquels elles sont destinées.
3. les caractéristiques de l’emploi et des ressources humaines : ce chapitre comporte une analyse du volume et des caractéristiques sociodémographiques des effectifs de la branche, des pratiques de recrutement et de formation des organismes de la branche, des pratiques de mobilité de leurs salariés ainsi que des éléments sur les caractéristiques de l’offre et de la demande d’emploi.
En 2007, une dépense globale de formation en hausse… - Un montant de 28,4 milliards d’euros soit + 5% en un an. - Une « commande employeur » qui représente les 2/3 du marché. - Pour la première fois, une dépense à la même hauteur pour les Régions et l’Etat… - Les actifs occupés, principaux bénéficiaires des fonds de la formation (62%). …Qui bénéficie aux organismes de formation de la branche… - Une progression du chiffre d’affaires global de 7,5%. - Les entreprises, premier client des organismes de la branche (38% du chiffres d’affaires des organismes en 2007). - En 2007, les organismes de la branche forment 60% des stagiaires du secteur et réalisent près de la moitié des heures-stagiaires. - Entre 2004 et 2007, la branche a accueilli 20% de stagiaires supplémentaires et accru son volume d’heures de formation de 12%.

http://www.ffp.org/img/logo-ffp.jpgDe studie over de evolutie van de werkgelegenheid in de sector gepubliceerd
Zoek nu de details van het onderzoek door de afdeling op de ontwikkeling van vaardigheden opleiding die organismen identificeert de belangrijkste factoren veranderen van de activiteit van. Wat zijn de toekomstperspectieven voor verandering in de structuur van het onderwijs? Wat de belangrijkste trends zijn in opkomst? Klik hier om terug te keren van de studie voltooid en de synthese ervan. Meer...

9 décembre 2010

L'université façonne l'ADN territorial selon le rapport Boutin

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gifDe la mondialisation à l'universalisation: une ambition sociale - Rapport intermédiaire au Président de la République, Christine BOUTIN , décembre 2010, 357 pages.
Christine Boutin, ancien ministre, a été chargée par le Président de la République d'étudier les bases d'une nouvelle régulation sociale de la mondialisation. Inscrivant sa réflexion dans le cadre de la Présidence française du G20, l'auteur propose de passer de la globalisation, source de crises, d'inégalités et de standardisation, à une nouvelle étape de la mondialisation qu'est l'universalisation. Selon le rapport, l'universalisation s'appuie sur le partage des valeurs et la coexistence pacifique universelle, en reconnaissant le principe de "commune humanité". Sur cette base, un certain nombre de propositions, avis, recommandations sont avancés, autour de deux aspects : reconnaître la nécessité d'assurer à toute personne les conditions matérielles d'existence de base, proportionnées à la condition générale de son pays ou de sa région; poser dans chaque pays, la question des écarts de richesse tolérables et définir le seuil au-delà duquel ces écarts fragilisent la cohésion sociale. Le rapport propose dans ce cadre ainsi défini, quatre champs de propositions: reconnaître le travail comme un point d'entrée obligé et élever le "travail décent" au statut de bien public mondial; renforcer et encadrer les expériences de responsabilité sociale des entreprises; "réoxygéner" le monde économique et social en favorisant un nouveau modèle entrepreneurial: le "social business"; promouvoir une autorité politique mondiale renouvelée en permettant aux pays pauvres d'y prendre toute leur part.
Extraits citant l'université
Quel avenir pour nos économies et nos territoires... ?
Nos paysages, nos savoir-faire, nos universités, nos cultures, nos valeurs façonnent cet « ADN territorial » à partir duquel notre économie s’est développée. Notre compétitivité passe nécessairement par la régénération de cet ADN...
Le luxe n’existerait pas sans notre patrimoine et notre culture artisanale, l’agroalimentaire français n’aurait pas ce rayonnement sans nos traditions gastronomiques et notre agriculture, l’exception culturelle française n’existe que grâce à la richesse de notre histoire et à la qualité de nos universités, la filière touristique n’est puissante que grâce à la qualité de nos paysages et de notre patrimoine, etc. p.230
Le capital humain
Les premières sources de capital humain sont l’éducation, produite par la famille ou l’environnement humain, et l’enseignement, produite par l’école et l’université, mais le monde du travail y contribue directement par la formation professionnelle et les politiques qui s’y rattachent, ainsi que par l’expérience et les compétences développées par l’activité professionnelle. Ces dernières peuvent être consacrées par des dispositifs de valorisation des acquis de l’expérience (VAE). p.334
Quel moteur fondamental aux règles sociales internationales ?
Il nous semble que la nécessité d’accroître les compétences, les qualifications et l’efficacité des salariés constitue une exigence suffisamment partagée au plan mondial pour constituer un moteur effi cace pour le développement social. C’est pourquoi le développement des compétences devrait être le premier domaine de coopération internationale en la matière. Il contribuerait directement à une meilleure application des règles sociales que la communauté internationale s’est données. La conception et le financement des systèmes de formation professionnelle, le développement des échanges entre universités, sont ainsi des domaines prioritaires. p.216
Nouvelle vision
Chaque loi, chaque taxe, chaque université, chaque ministère, chaque fonction publique sont en concurrence avec toutes les autres. L’isolement des administrations est fini, elles doivent être jugées comparées aux performances et aux pratiques de leurs collègues ou rivales et réformées en conséquence. p.197
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gifFrom globalization to universalization: a social ambition - Interim Report to the President of the Republic, Christine Boutin, December 2010, 357 pages.
Excerpts mentioning University
What future for our economies and our territories... ?
Our landscapes, our expertise, our universities, our cultures, our values shape this "territorial DNA" from which our economy has developed. Our competitiveness is necessarily the regeneration of this DNA...
Not exist without the luxury of our heritage and our culture artisanal French food would not have this radiation without our gastronomic traditions and our agriculture, the French cultural exception is that with our rich history and the quality of our universities, the tourism industry is strong thanks to the quality of our landscape and our heritage, etc.. p.230 p.230
Human capital
The primary sources of human capital are education, produced by the family or the human environment, and education, produced by the school and the university, but the world of work contributes directly through vocational training and related policies, as well as the experience and skills developed by the occupation. These can be spent by the provision of valuation of acquired experience (VAE). p.334 p.334 . More...
9 décembre 2010

Deuxième répartition 2010 de 67 millions d'euros pour l'apprentissage, dont 4 536 982 pour PACA

Retourner à la page d'accueil de Légifrance En octobre 2010, la première répartition 2010 était de 657 millions d'euros pour l'apprentissage, dont 44489509 pour PACA. Au total pour 2010, les deux répartitions sont de 724 millions d'euros, dont 49026491 pour PACA.
Les versements effectués au Trésor public au titre de la contribution au développement de l'apprentissage par les redevables de la taxe d'apprentissage assise sur les salaires versés en 2009 font l'objet en gestion 2010 d'une première répartition entre les fonds régionaux de l'apprentissage et de la formation professionnelle continue, conformément à un tableau annexé à un arrêté du 2 décembre 2010 publié au JORF du 9 décembre 2010. Total des montants: 66999999 euros. Les montants fixés donnent lieu dans chaque région, dans la collectivité territoriale de Corse et la collectivité départementale de Mayotte à un versement d'attribution unique par arrêté préfectoral établi par le préfet de région ou, s'agissant de Mayotte, par le préfet de Mayotte.

RÉGIONS

SOMMES VERSÉES
au titre de la contribution
au développement
de l'apprentissage
(en euros)

ALSACE

1 885 396

AQUITAINE

3 254 032

AUVERGNE

1 482 336

BOURGOGNE

1 631 071

BRETAGNE

3 096 027

CENTRE

2 455 479

CHAMPAGNE-ARDENNE

1 363 395

CORSE

403 672

FRANCHE-COMTE

1 061 458

ILE-DE-FRANCE

9 433 466

LANGUEDOC-ROUSSILLON

2 470 356

LIMOUSIN

769 472

LORRAINE

2 838 540

MIDI-PYRENEES

2 559 426

NORD - PAS-DE-CALAIS

3 691 676

BASSE-NORMANDIE

1 724 601

HAUTE-NORMANDIE

1 850 267

PAYS DE LA LOIRE

3 784 186

PICARDIE

1 599 577

POITOU-CHARENTES

2 309 092

PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR

4 536 982

RHONE-ALPES

4 953 695

GUADELOUPE

2 015 796

GUYANE

513 107

MARTINIQUE

2 231 947

LA REUNION

3 054 689

MAYOTTE

30 258

TOTAUX

66 999 999
Grįžti į pagrindinį puslapį LégifranceM. spalio 2010 m., pirmoji distribucija 2010 m. buvo 657.000.000 € už mokymąsi, įskaitant 44489509 už Žydrosios pakrantės . Iš viso 2010 m., du skirstiniai 724,000,000 €, iš kurių 49.026.491 dėl Žydrosios pakrantės. Daugiau...
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Newsletter
51 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 796 381
Formation Continue du Supérieur
Archives