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Formation Continue du Supérieur
jeunes
26 septembre 2013

Parcours de formation des jeunes

http://www.cariforef-pdl.org/admin/telechargement_CARIFOREF/ficTelecharge_1/images_carif/bandeau_plateforme.jpg« Évaluation des trajectoires de jeunes et de l’accompagnement vers la professionnalisation et l’emploi » (Étape), tel est l’intitulé de la recherche-action financée par le Conseil régional, portée par la Maison des sciences de l’homme Ange-Guépin (MSH), en partenariat principal avec l’école de la deuxième chance de l’estuaire de la Loire. Lors de la journée organisée par la MSH sur le sujet, c’est l’impact du passage en formation au-delà de celui de l’insertion professionnelle qui a été questionné.
De la prescription à la sélection…
Côté professionnels, comment gérer les demandes, les contraintes de places disponibles et de calendrier qui pèsent sur les dispositifs ? Avant l’entrée en formation d’un jeune, il y a la phase de prescription effectuée par les missions locales. Conseillère à la mission locale Nantes Métropole, Davorka Le Corvic évoque les étapes que doit franchir le jeune pour entrer en formation et en pointe les contraintes. Déjà, le délai de carence de six mois après la sortie du système scolaire pour pouvoir entrer en formation en est une. Alors, cette période est mise à profit pour évaluer la capacité de mobilisation du jeune et pour le « raccrocher, avant qu’il ne se tourne vers des réseaux parallèles ».
Les prérequis demandés par les organismes de formation sont bien souvent trop exigeants pour des jeunes aux problématiques personnelles compliquées, qu’elles soient familiales, économiques ou de santé mentale. Ils doivent souvent acquérir les compétences clés non intégrées pendant leur parcours scolaire, formation non rémunérée, déplore Davorka Le Corvic, même si une prise en charge peu élevée peut être activée dans le cadre du Civis.
… de la sélection à l’entrée en formation
Une formation professionnelle non sélective qui introduirait de l’égalité à l’accès à la formation et à l’emploi ? Cédric Frétigné, Professeur à l’université Paris-est Créteil, n’y croit pas. La question du placement, c’est-à-dire du taux d’accès à l’emploi ou du taux d’entrée en formation qualifiante reste entière et induit des pratiques de sélection des candidats. Cédric Frétigné observe plusieurs types de réponse.
Il peut y avoir la logique de remplissage, du tout venant, qui écarte toute sélection, qui peut se retrouver chez des organismes de formation qui n’apprécient pas le code des marchés publics. A l’opposé, se déclinent des logiques de sélection, très assumées, sur critère de diplôme ou de stage antérieur, des ressources qui facilitent l’accès à l’emploi. Il y a aussi des critères de projet, d’adéquation entre l’offre de formation et le projet professionnel, mais « Faire état d’un projet professionnel est corollé à la formation initiale, il faut savoir développer une pensée, avec un début et une fin ».
Le nombre de places disponibles est également compliqué à gérer, d’autant plus que le système de sélection des organismes de formation n’est pas toujours compris par les prescripteurs. « Que peut-on faire avec ces jeunes qui n’ont pas de place ou qui doivent attendre plusieurs mois entre préqualification et qualification ? Sans parler des contraintes de calendrier de la programmation. »
Pas question pour autant de baisser les bras ! Pour Davorka Le Corvic, « Il faut défendre les intérêts de ce public fragilisé et stigmatisé par la société, s’arranger pour articuler les parcours de formation et faire en sorte que le parcours de formation et la qualification puissent devenir un tremplin efficace qui propulse ces jeunes vers leur autonomie, but ultime de notre accompagnement. »
Une sélection plus faible s’observe quand il y a collaboration avec les entreprises, avec un travail sur les fiches de poste et mise en place d’une relation de confiance, également quand une négociation s’établit entre prescripteurs et organismes de formation.
« Il y a un écart entre le nombre de places et le nombre de candidats, cela entraîne une logique de sélection, affirme Cédrix Frétigné. Formation et insertion sont liées, qui induisent un jeu d’acteurs. Il est de plus en plus demandé aux formateurs d’intégrer dans leur réflexion l’employabilité des jeunes qu’ils seraient amenés à former ».

15 septembre 2013

Lithuanian Minister of Education and Science: the Youth cannot stand stagnation

http://www.cedefop.europa.eu/EN/Images-ContentManagement/lithuanian_EU_presidency_logo.pngIt is essential for educational leaders to have a future vision and to inspire the people around them to implement it. Such views were at the forefront at the meeting of the European Union member states’ education politicians, experts and practitioners. On 9-10 September, during the Lithuanian Presidency of the Council of the EU, a conference entitled ‘Leadership in Education’ takes place in Vilnius. Representatives with direct links to education policy in EU member states discuss the role of leaders in ensuring the quality of the systems of education, their efficiency and effectiveness in a rapidly changing world. Minister of Education and Science Dainius Pavalkis: the Youth cannot stand stagnation.

11 septembre 2013

4e colloque Jeunesse en Région: une ambition partagée pour la jeunesse

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTtxuZm-k-o_r27Pj_AaBdX1WQOBT2Q1EdE8pGY8rrCIDfHVvru7kUMkGMLe Conseil Régional de Lorraine et l’ARF organisent le 4ème colloque national « Jeunesse en Région »  qui se tiendra les jeudi 14 et vendredi 15 novembre 2013, à l’Hôtel de Région à Metz.
Conscientes des enjeux, les Régions ont pris l’engagement depuis quelques années de conduire, en partenariat avec les acteurs publics et privés qui s’impliquent à ses côtés, des politiques ambitieuses en faveur des jeunes qu’elles considèrent comme une force.
Cependant, depuis 10 ans, la situation de la jeunesse française s’est aggravée. A la fracture sociale, s’ajoute désormais une fracture territoriale et à court terme une fracture générationnelle. La jeunesse vit trop souvent son territoire de manière subie (chômage, problématique de logement, absence de mobilité, réseaux de soins défaillants, accès aux loisirs et à la culture difficiles).

La jeunesse, une priorité nationale

La priorité à la jeunesse, affirmée par le Chef de l’État et portée par le gouvernement, doit être un élément essentiel et structurant de la politique nationale. En ce sens, les Régions se réjouissent de voir le « Comité Interministériel de la Jeunesse » se saisir de cette question et identifier les chantiers fédérateurs de cette politique.
De leur côté, les Régions ont déjà mis en place de nombreuses actions en direction de la jeunesse, et cela aussi bien en matière de formation que d’accès à l’emploi, à l’autonomie, de santé, de logement, de culture, de vie associative, de démocratie participative, d’aide à la mobilité, etc. Elles ont également engagé des collaborations multiples avec différentes instances et institutions susceptibles d’offrir aux jeunes une information exhaustive, des interventions et prestations qui se complètent, des soutiens convergents à leurs initiatives et une valorisation concertée de tout ce qui peut contribuer à leur réussite.  C’est ainsi qu’elles travaillent avec l’Etat, mais également avec les départements, les agglomérations, les municipalités, le tissu associatif, etc.

Fédérer les acteurs

Malgré les efforts des uns et des autres, les actions en faveur des jeunes restent trop segmentées, atomisées et peu lisibles. C’est ainsi qu’elles peinent à trouver leur cohérence et à toucher tous les jeunes, en particulier les plus fragiles, toujours défavorisés quand les informations et actions qui leur sont proposées ne sont pas facilement accessibles. Il convient de privilégier les complémentarités et d’éviter les doublons.
L’échelon régional étant le niveau pertinent pour structurer et organiser des dynamiques partenariales, globales et territorialisées, Jeunesse en Région doit permettre de fédérer l’ensemble des acteurs autour d’une ambition partagée : « agir mieux et ensemble en faveur de la jeunesse ».
Invitation Jeunesse en région-1.

3 septembre 2013

L'impact de la crise sur l'insertion des jeunes diplômés

http://www.focusrh.com/squelettes/images/logo_RH.jpgPar Brice Ancelin. La dernière étude Bref du Céreq, en date de juin 2013, s’appuie sur les trajectoires de deux générations (1998 et 2004) pour observer les effets de la crise sur leur insertion professionnelle. S’il n’est pas une arme anti-crise massive, le diplôme continue néanmoins de jouer un rôle important.
« L’ajustement des entreprises aux contraintes macroéconomiques pèse plus que jamais sur les débutants dans leur période d’insertion », notent les auteurs du Céreq. En période de détérioration de la conjoncture, les jeunes débutants – diplômés ou non – seraient ainsi plus nombreux à être soumis aux emplois à durée déterminée, à des allers-retours vers le chômages ou à des mobilités entre employeurs. Mais la crise aurait des effets limités sur la durée et « aurait plutôt pour conséquence de retarder le processus d’insertion professionnelle que de le mettre à mal durablement », ajoutent les auteurs. Suite...
2 septembre 2013

"Cap Alternance", un fonds de dotation pour promouvoir l'alternance

http://la-formation-en-continu.errefom.fr/sites/all/themes/lfc/images/interface/bandeauEtBaseline.jpgAlors que l'insertion professionnelle des jeunes est le chantier prioritaire de l'emploi en France, Opcalia crée le fonds de dotation "Cap Alternance" pour mieux promouvoir et valoriser l'alternance.
Parmi les initiatives qui seront portées par ce fonds de dotation, Opcalia va proposer à ses 100 000 entreprises adhérentes de participer, par le biais d'un dispositif de type crowfunding (financement participatif), à l'aventure du skipper professionnel Marc THIERCELIN. Objectif ? Etre sur la ligne de départ de la prochaine édition de la Route du Rhum, en novembre 2014, à bord du trimaran "Cap Alternance", un géant des mers de 32 mètres qui sera mis à l'eau grâce au concours d'entreprises françaises et de jeunes en alternance. Suite...

27 août 2013

Bilan Jeunes - Rhône-Alpes

http://www.prao.org/images/rhone_alpes_orientation.gifLe bilan jeunes permet à un jeune d'effectuer une analyse de la situation personnelle et professionnelle, de ses acquis et aptitudes, de ses motivations et de l'orienter vers un dispositif ou une mesure adaptées à ses besoins
Bénéficiaires
- Jeunes de 16 à 25 ans révolus sortis du système scolaire et en difficulté d'insertion
Caractéristiques
Objectifs
Le bilan jeunes permet à un jeune d'effectuer une analyse de la situation personnelle et professionnelle, de ses acquis et aptitudes, de ses motivations et de l'orienter vers un dispositif ou une mesure adaptées à ses besoins
Nature et durée des actions engagées
- Une analyse de Situation Partagée
- Un bilan de compétences
- Une validation du projet professionnel,
- Une aide et un soutien individuel à l'orientation des jeunes les plus en difficulté
2 heures pour l'analyse de Situation Partagée - 14 heures pour le bilan de compétences -
10 heures pour la validation du projet professionnel - 10 heures pour l'aide à l'insertion professionnelle - 8 heures d'aide et de soutien individuel à l'orientation des jeunes les plus en difficulté
Rémunération et protection sociale
Aucune rémunération
Financement(s)
REGION
Mise en oeuvre
Prescription
Mission locale, PAIO
Textes de référence
- Délibération du Conseil régional en Commission permanente du 25 avril 2002 - du 22 janvier 2010 - du 28 mai 2010 - du 1er février 2013. www.rhonealpes.fr.

26 août 2013

Chômage : les jeunes et les seniors en première ligne ? Pôle emploi a décidé de les rapprocher

http://www.pole-emploi.fr/__cache__/image/site/interpe/logo-pole-emploi.gif%5B139x90%5D.pngDu fait du recul de l’âge du départ à la retraite, les seniors sont de plus en nombreux au sein de la population active, mais aussi plus nombreux parmi les chômeurs que les moins de 25 ans. Mais ils partagent avec eux une réelle difficulté d’insertion durable dans l’emploi et certains clichés quant à leur profil.
Tandis que le gouvernement a lancé les contrats de génération, Pôle emploi aussi renforce son accompagnement auprès des seniors et des jeunes. Exemple avec l’agence d’Annecy qui a mis en place une initiative originale : un Club pour un dialogue inter génération profitable à tous !
Seniors et jeunes ? Partagez !
A l’origine de l’idée ? Une directrice d’agence, Sabine Cordier, mobilisée pour apporter des solutions face au chômage croissant des jeunes et des seniors sur son bassin d’emploi. Après avoir testé des clubs d’abord jeunes puis tout seniors, un constat : les demandeurs d’emploi d’une même génération parviennent plus difficilement à dépasser les freins liés à leur âge. Les jeunes manqueraient d’expérience, les seniors d’énergie. C’est donc pour pallier ces difficultés, favoriser le dialogue, l’entraide et le conseil entre plusieurs générations que Pôle emploi d’Annecy a ainsi décidé de les réunir au sein du Club Intergénérationnel.
Penser à plusieurs et non plus en solo !
Le principe ? Un binôme constitué d’un senior et d’un jeune, de niveau de formation équivalente et provenant du même secteur d’activité, se retrouvent tous les 15 jours pendant 3 mois. Au total, 7 binômes réfléchissent collectivement autour des représentations professionnelles concernant les publics jeunes et seniors, aux leviers mobilisables pour lever certains freins mais réalisent également un « état des lieux individuels » autour de leur propre recherche d’emploi… Un moment d’échange où chacun part à la recherche du marché ouvert mais aussi caché !
Ce sont donc de nombreuses actions qui sont menées pour un retour à l’emploi efficace et personnalisé : cibler et démarcher des entreprises, rencontrer des employeurs, échanger et partager leurs expériences, être formés à la recherche d’emploi.
Un bilan positif !
Les résultats sont là : sur 14 participants, 10 personnes ont trouvé un emploi, 1 personne a créée son entreprise, 3 en sont proches. Seules 2 personnes, toujours en accompagnement, recherchent encore un emploi. Elément tout aussi important ? Tous s’accordent à dire que la dynamique de groupe leur a permis de sortir de l’isolement et de se motiver. Une expérience donc, réussie !

20 août 2013

La "Garantie Jeune" en application à la rentrée 2013

http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/imgs/header_numVert.jpg

A la rentrée 2013, la « garantie jeunes » sera lancée dans 10 territoires pour une première phase pilote; La deuxième vague devant concerner 10 autres départements en 2014 avant une généralisation à partir de 2015.
Pour la phase pilote de la « garantie jeunes », 10 territoires (les Bouches du Rhône (Marseille), la Réunion, la Seine Saint-Denis (Est Ensemble), le Vaucluse, le Lot-et-Garonne, l`Allier (associé au Puy-de-Dôme), le Finistère, l`Eure, l'Aude et les Vosges) ont été retenus pour la première vague de test qui débutera en septembre 2013 et concernera « jusqu`à 10 000 jeunes ».
La garantie jeunes consiste en une allocation d`environ 486 euros mensuels pour les jeunes de 18 à 25 ans, en situation précaire, qui ne sont « ni en emploi, ni en éducation, ni en formation » et dont les ressources ne dépassent pas le plafond du RSA pour une personne seule).
Concrètement, un contrat d'engagements (sur une période d'un an renouvelable) sera signé entre les bénéficiaires et les missions locales, que le Premier ministre a souhaité mettre au cœur du dispositif, sachant que celles-ci devront régulièrement soumettre au jeune des propositions d`emploi ou de formation.
Pour amorcer le dispositif et atteindre les jeunes concernés, le gouvernement compte sur les missions locales, les centres d`hébergement, les centres sociaux, les associations ou encore les services de probation.

19 août 2013

Les salaires des jeunes en baisse depuis 2004

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgBlog "Il y a une vie après le bac" d'Olivier Rollot. Dans sa dernière note, le Céreq compare l’intégration des diplômés 1998 et 2004 après sept ans sur le marché du travail. Première constatation, malgré la crise financière de fin 2008, le chômage des jeunes entrés sur le marché du travail en 2004 arrive, sept ans plus tard, fin 2011, à un niveau voisin de celui de leurs aînés entrés en 1998. «Une mauvaise conjoncture en tout début de vie active aurait plutôt pour conséquence de retarder le processus d'insertion professionnelle que de le mettre à mal durablement, à des degrés divers selon le niveau de diplôme», analysent  Zora Mazari et Isabelle Recotillet, les auteurs de la note intitulée «Génération 2004 : des débuts de trajectoire durablement marqués par la crise?». Suite...

16 août 2013

La génération perdue ? L'Union européenne face au chômage des jeunes

http://www.senat.fr/fileadmin/templates/images/vignettes_doc/rapport_information.gifRapport d'information de M. Dominique BAILLY, fait au nom de la commission des affaires européennes n° 729 (2012-2013) - 9 juillet 2013.
Le taux de chômage des 15-24 ans au sein de l'Union européenne représente le double de celui constaté pour l'ensemble de la population active, alors même que des déficits de main d'oeuvre dans certains secteurs sont constatés dans la plupart des Etats membres. En présentant en décembre 2012 une série de mesures concernant l'emploi des jeunes, la Commission européenne a contribué à faire de cette problématique une des priorités d'action de l'Union européenne pour les années à venir. Le souhait du Conseil européen de créer un fonds spécifique - l'Initiative pour l'emploi des jeunes - pour financer la mise en place d'un mécanisme de garantie pour la jeunesse au sein des Etats membres est venu confirmer cette tendance. Il s'agit d'éviter que la jeunesse européenne devienne une « génération perdue ».
Cette nouvelle ambition sociale répond également aux objectifs de la stratégie Europe 2020 d'améliorer la formation des jeunes Européens. L'Union européenne entend de la sorte contribuer au retour de la croissance économique. Ce faisant, elle donne une autre tonalité à son action, trop facilement résumée jusque-là à la lutte contre les déficits publics et l'endettement.
Il n'en reste pas moins un certain nombre de questions en suspens, auxquelles le Conseil européen des 27 et 28 juin 2013 n'a que partiellement répondu. Il en est ainsi du financement ou du calendrier retenu pour la mise en place du mécanisme de garantie pour la jeunesse. Celui-ci ne saurait, par ailleurs, être envisagé comme la seule réponse à la montée du chômage chez les 15-24 ans. Le présent rapport met ainsi en perspective les autres pistes de travail avancées par la Commission européenne pour un traitement efficace du chômage des jeunes ainsi que les propositions des Etats membres, à l'image du New Deal proposé par la France et l'Allemagne. L'avis politique qui lui est joint insiste sur les mesures que l'Union européenne pourrait porter en vue de compléter ces initiatives.
Le rapport. Le rapport au format pdf. Le rapport en une page. Le rapporteur. Pour commander le rapport.

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