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Formation Continue du Supérieur
fcu
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université de Rennes 1

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une partie III, spécifique Formation Continue:
III – Formation continue

Le service de formation continue (FC), dirigé par un EC, travaille dans des conditions difficiles du fait d’un renouvellement important du personnel. Le service manque de personnel qualifié et nécessiterait donc de faire l’objet d’un repyramidage des emplois.
Pour autant, le nombre de stagiaires a considérablement augmenté (6626 en 2009 contre 3859 en 2006) ainsi que celui des diplômés hors validation des acquis de l’expérience (VAE): 976 en 2009 contre 706 en 2006.
La VAE est bien structurée et se révèle performante: le nombre de dossiers est en augmentation, passant de 27 en 2006 à 78 en 2008. Il est regrettable que toutes les composantes ne s’investissent dans la FC, ainsi la chimie et l’électronique, qui sont pourtant des pôles forts de l’établissement.
Autres passages concernant la FC
Présentation

L’UR 1 accueille un peu moins de 25000 étudiants en 2009-2010, dont approximativement 40% en droit, économie, gestion et sciences humaines et sociales, 40% en sciences et 20% en santé. Le nombre d’étudiants en formation continue est de l’ordre de 3000. La répartition des effectifs entre les différents cycles est: 52% en licence, 43% en master et 5% en doctorat. Le nombre de diplômes de doctorat délivrés en 2010 est de 260. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation de Rennes 1 par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png This report is June 2011. In the strategy for training, there is a Part III, specific Continuing Education:
III - Continuing Education

Service of continuing education (CE), led by an EC, working in difficult conditions due to a high staff turnover.
  The lack of qualified service and therefore requires to be a repyramidage jobs.
However, the number of trainees has increased significantly (6,626 in 2009 against 3859 in 2006) as well as of graduates outside validation of acquired experience (VAE): 976 in 2009 against 706 in 2006.

APEL is well structured and proves successful: the number of cases is increasing, from 27 in 2006 to 78 in 2008.
It is unfortunate that not all components are involved in the CF and the chemistry and electronics, which are however strong the poles of the institution. Download the report. See the CF in the previous assessment of Rennes 1 by AERES. More...
12 août 2011

AERES: la FC du site de Toulouse

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011.La Formation continue est évoquée dans le chapitre III – Un PRES “Université de Toulouse” enfin reconstruit autour du Plan Campus et des appels à projets “Initiatives d’excellence” de la partie Le potentiel d’enseignement supérieur et de recherche en Midi-Pyrénées:
En termes de formation, les objectifs initiaux du PRES de Toulouse étaient peu nombreux, mais progressivement l’implication du PRES dans ce domaine a évolué. L’installation du Département “Formation et Vie Etudiante”, comportant un bureau composé des vice-présidents du CEVU des six membres fondateurs, traduit concrètement l’évolution de cette stratégie. Le Département FVE a notamment pour objectifs d’organiser la réflexion pour améliorer la cohérence de l’offre de formation et de la promouvoir, d’encourager les projets inter-établissements et les formations transversales, de favoriser l’innovation pédagogique (grâce à un fond Bonus Qualité Formation) et de développer les actions de coopération autour des formations. Des actions significatives ont été développées concernant notamment la formation continue, la VAE, l’apprentissage des langues. La promotion des licences professionnelles est une action exemplaire, conduisant à une meilleure lisibilité et impactant l’ensemble du territoire de la région Midi-Pyrénées. Télécharger le rapport PRES Toulouse.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest od czerwca 2011. La Kształcenie jest omówione w rozdziale III - PRES "Université de Toulouse" wreszcie przebudowany około planu Campus i wzywa do projektów "Inicjatywy doskonałości" potencjalnych stron szkolnictwa wyższego i badań w Midi-Pyrenees:
Znaczących działań zostały opracowane na takie szkolenie, VAE nauki języka. promocji licencje zawodowe jest przykładowym, co prowadzi do czytelność i mają wpływ na cały Midi-Pyrenees. Pobierz okolicach Tuluzy. Więcej...
12 août 2011

AERES: la FC à l’Université d'Orléans

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe III – Une offre de formation abondante mais mal contrôlée, il y a une partie spécifique Formation Continue:
5 - Formation continue et apprentissage

La formation continue est organisée dans le cadre d’un service commun, le service de la formation continue et d’apprentissage, dont le chiffre d’affaires est voisin de 850000 €. Elle concerne environ 10 % des effectifs de LP. La validation des acquis de l’expérience n’est pas encore prise en compte dans le référentiel, ce qui nuit incontestablement à son développement qui doit se faire en relation avec les différents centres régionaux de formation par l’apprentissage.
L’apprentissage en revanche apparaît beaucoup plus développé et concerne tous les niveaux d’enseignement, y compris les M2 comme en droit.
Autres passages concernant la FC
1 - L’équipe de direction et le dialogue avec les composantes

Le nombre de vice-présidents (VP) concernés par l’offre de formation est conséquent. On relève deux VP-CEVU, l’un chargé plus spécifiquement de la masterisation des métiers de l’enseignement et du pilotage de ce conseil et l’autre de “l’attractivité et de l’évaluation des formations” et du Plan réussite en licence; un VP chargé de la formation en alternance et de la formation continue, et le VP “moyens et budget”.
2 - Activités sportives et de médecine préventive

L’action de la passerelle handicap porte essentiellement sur l’aménagement des examens et des études. Elle entreprend une démarche prospective, en travaillant sur l’accessibilité au bâti des étudiants en situation de handicap, au numérique et aux activités de vie étudiante, sur la continuité de leurs parcours et en intervenant au niveau des formations (réflexion sur le développement de LP en formation continue, formation à la langue des signes, etc.). Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation d'Orléans par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Käesolev aruanne on juulist 2011. Strateegias koolituse lõikes III - pakkumisi rikkalik, kuid halvasti kontrollitud, on teatud osa Täiendharidus:
5 - Täiendharidus ja õppimine

Koolitus on korraldatud ühiseid teenuseid, täienduskoolituse ja õppimine, mille käive on umbes € 850,000.
See mõjutab umbes 10% LP. Akrediteerimise eelnev kogemus ei ole veel kantud hoidla, mis kahjustab tema arengut, mis kahtlemata peab olema seotud erinevate piirkondlike koolituskeskuste läbi õpingute.
Õppimine, aga tundub palju rohkem arenenud ja hõlmab kõigil haridustasemetel, kaasa arvatud M2 seaduses. Download aruanne. Veel...
12 août 2011

AERES: la FC du site aquitain et du PRES Université de Bordeaux

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juin 2011. Il n'y a pas de partie spécifique Formation Continue. Le sujet n'est évoqué à aucun moment, si ce n'est une mention du public salarié dans le passage sur la MILC. Télécharger le rapport PRES Bordeaux.
2- La Maison internationale des langues et des cultures (MILC): un projet fédérateur porté par le PRES mais un pilotage qui met Bordeaux 3 face à ses ambiguïtés, voire contradictions

Inscrite au CPER 2007-2010, la MILC, constitue un projet fédérateur des établissements d’enseignement supérieur bordelais, porté par le PRES et le Conseil régional d’Aquitaine. Elle avait d’abord été prévue comme bibliothèque des langues et aurait pu être perçue comme dépendant de la seule université Bordeaux 3. La MILC a donc initié des changements à la faveur des opérations Campus et Initiatives d’excellence:
- en matière de formation, ses domaines d’activités concernent la certification, la préparation à la mobilité sortante, l’enseignement des langues rares, en présentiel, auto-formation, formation à distance, pour des publics universitaires, salariés, etc.;
- en matière de recherche, elle centre ses activités, articulées avec ses missions de formation, sur les TICE et les LANDSAD (Langues pour spécialistes d’autres disciplines) en favorisant la coopération entre Bordeaux 3 et 4; elle n’est pas conçue comme un laboratoire;
- en matière d’activités culturelles, pourvue d’un auditorium, elle constitue un espace de vie ouvert non seulement aux étudiants et enseignants, mais aussi à des publics extérieurs.
Le chargé de projet est un enseignant-chercheur de Bordeaux 3, ce qui est symbolique du positionnement ambigu de l’université. Dans l’intérêt d’une politique de site, elle a renoncé à son projet initial de bibliothèque des langues mais en même temps refuse d’entrer dans l’établissement unique, se pénalisant elle-même et limitant le regroupement souhaité par cinq des autres établissements du site bordelais. Bordeaux 3 risque de s’enfermer dans un isolement qui, s’il devait se perpétuer, pourrait à terme, être aussi nuisible à elle-même qu’à la nouvelle Université de Bordeaux.

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png This report is June 2011. There is no specific part on Continuing Education. The subject is discussed at any time, if not an indication of the public employee in the passage on the MILC. Download the report PRES Bordeaux .
2 - The House of Languages ​​and Cultures (MILC): a unifying project supported by the close but that puts a steering Bordeaux 3 meet its ambiguities or contradictions
Registered in the CPER 2007-2010, MILC, is a unifying project of higher education institutions Bordeaux, carried by the NEAR and the Regional Council of Aquitaine. It was originally intended as a library language and could be seen as dependent on one University of Bordeaux 3. The MILC has initiated changes to support operations and Campus Initiatives of Excellence:
- Training, areas of activities include the certification, preparation for outgoing mobility, language teaching rare, in-class, self-learning, distance education, for public university employees, etc. More...

12 août 2011

AERES: la FC à l’Université du Havre

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2011. Dans la partie Stratégie en matière de formation, dans le paragraphe Le pilotage de l’offre de formation, il y a une partie spécifique Formation Continue:
2- Une politique de formation tout au long de la vie en devenir

La précédente évaluation AERES indiquait que cette dimension avait du mal à trouver sa place au niveau de l’établissement. La volonté de l’UdH de favoriser la reprise d’études au niveau supérieur se limitait à une offre de diplômes d’accès à des enseignements universitaires : DAEU A et B, Capacité en Droit.
Des objectifs explicites n’ont été définis que récemment pour le service commun de la formation continue (SFC), qui a désormais compétence sur l’ensemble de l’activité des composantes en la matière, le CA de l’université jouant le rôle du conseil de gestion prévu par le décret 85-1118. La gestion du CFA universitaire lui est également confiée avec une comptabilité séparée.
L’équilibre financier du SFC a été rétabli malgré une réduction des moyens attribués par le Conseil Régional. Les objectifs visent le développement de la VAE (21 dossiers en 2009, sensiblement au même niveau que les universités de Rouen et de Caen), la définition d’une offre de formations qualifiantes appuyée sur les compétences des laboratoires et des unités de formation, la mise en oeuvre de partenariats extérieurs et l’instauration d’un guichet unique pour les publics concernés. L’UdH souhaite ainsi augmenter de 50 % son activité de formation continue. Pour atteindre les objectifs envisagés, l’établissement doit s’inscrire dans la durée et créer les conditions d’une plus grande mobilisation des EC dans ce domaine.
Conclusion et recommandations

L’offre de formation continue de l’UdH ne répond pas aux attentes qu’auraient pu faire naître la dimension professionnalisante de ses enseignements ainsi que son ancrage dans le tissu socio-économique local. Télécharger le rapport. Voir la FC dans la précédente évaluation du Havre par l'AERES.
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.png Ten raport jest lipca 2011 roku. W strategii na szkolenia w ust pilotów zapewnienie szkolenia, nie ma określonej części kształcenia ustawicznego:
2 - polityki kształcenia przez całe życie staje się

Aeres poprzedniej oceny wskazują, że wymiar ten starał się znaleźć swoje miejsce w obiekcie.
Woli UDH promowanie wznowienia studiów na wyższym poziomie była ograniczona do zakresu stopni dostępu do szkolnictwa wyższego: USDA A i B, odpowiednia pojemność.
Wnioski i zalecenia
Prowadzenie szkolenia z UDH nie spełnia oczekiwań, które mogą urodzić się do profesjonalizacji wielkości jego nauki i swoje korzenie w rozwoju społeczno-gospodarczego. Pobierz raport. Więcej...
23 juillet 2011

Les nouvelles ambitions de la formation continue universitaire

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gifUn bilan de notre activité a été réalisé par Centre Inffo et publié dans le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
Plusieurs acteurs clés fortement impliqués dans notre activité ébauchent un bilan de celle-ci et proposent des pistes pour son développement. Un document à diffuser largement. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.
La 38e conférence des directeurs de Services universitaires de formation continue (SUFC) s’est tenue à Villeneuve-d’Ascq (Nord) les 8, 9 et 10 juin derniers, un mois avant le quarantième anniversaire de la loi de 1971 qui a inscrit la formation permanente dans le Code du travail. Entretien avec Jean-Marie Filloque, président de la Conférence des directeurs des Services universitaires de formation continue (CDSUFC): “Les Universités ne communiquent pas assez sur ce qui fait leur force”
Comment expliquez-vous le peu de visibilité et d’attractivité des SUFC dans le milieu de la formation continue (FC) ?
Laissez-moi poser une autre question : alors qu’aujourd’hui, 31 % des adultes de 30 à 34 ans ont un diplôme de l’enseignement supérieur, pourquoi est-il si difficile de faire reconnaître l’Université comme un acteur légitime de la FPC, pour ses liens organiques avec la recherche et la construction des connaissances et pour la qualité attestée de ses personnels ?

Bien sûr, nous devons d’abord chercher des raisons en interne : l’image de tour d’ivoire, d’éloignement des “réalités”, l’image négative de l’échec..., mais aussi sans doute, et de manière plus réelle, l’absence jusqu’ici de stratégie d’établissement pour mettre en place des structures et des réponses adaptées, professionnelles diront certains, aux besoins socioéconomiques. La charte des Universités européennes pour l’apprentissage tout au long de la vie, adoptée par les présidents d’Université en 2008 fournit un cadre d’analyse et d’action pour les établissements. La CDSUFC s’emploie à la mettre en oeuvre. Il nous faut aussi améliorer nos outils d’interface, avec une communication plus lisible, des services d’AIOA plus développés, des fiches RNCP accessibles pour nos diplômes. Mais nous ne pouvons négliger l’externe. L’accès aux financements de la FPC suppose que bien sûr l’offre – la réponse – apportée par l’enseignement supérieur soit adaptée, mais aussi que sa légitimité et son intérêt soient reconnus des financeurs et des décideurs. Les choses s’améliorent aujourd’hui, sans que ce soit décisif. Certaines branches professionnelles ont fait le pas, comme les banques, par exemple. La part des financements issus des entreprises (au sens large) augmente dans nos recettes. Entre 2003 et 2008, elle est passée de 38 à 46 %. Nous travaillons, dans certaines régions, à la préparation des CPRDF. Nous approchons les Pôles de compétitivité pour que la dimension de la gestion des compétences ne soit pas le “parent pauvre” de leur action, au coeur de l’innovation et, demain peut-être, des futurs Idex (Initiatives d’excellence dans le cadre de l’emprunt national), quand cette dimension aura été intégrée. Les Universités sont un acteur à part entière de la formation tout au long de la vie et bénéficient de formidables ressources humaines et pédagogiques et de compétences variées. Peut-être ne communiquent-elles pas assez sur ce qui fait leur force: l’offre licence, master, doctorat, des formations courtes et longues, variées, souvent en lien avec une expertise liée à la recherche, des personnels dans les services FC qui sont des professionnels de la formation continue, etc. Les Universités sont également en pleine mutation et essaient de plus en plus d’apporter de la flexibilité dans leurs dispositifs de formation : formations modulaires, formations à distance, validation des acquis, etc.
Quel impact l’autonomie des Universités a-t-elle sur le fonctionnement de leurs Services de formation continue ?

La loi de 20073 n’a pas évoqué la question. La première mission des Universités reste la formation initiale et continue. La notion même de “formation tout au long de la vie” n’apparaît pas, alors que dès 2008, la France, à la tête de l’UE, promouvait l’adoption de la Charte européenne des Universités pour l’apprentissage tout au long de la vie. L’autonomie des Universités rend encore plus prégnante la question de la prise en compte de la formation continue dans la politique des établissements. Il nous faut veiller à maintenir cette prise en compte de la mission de service public, qui leur échoit. La stratégie des établissements “autonomes” doit l’intégrer. C’est une bataille quotidienne de notre réseau. Certains y ont vu, dans le cadre des RCE (responsabilités et compétences élargies), la possibilité de développer des recettes “libres” supplémentaires (augmenter les fonds propres!).
Lors du 36e colloque de la CDSUFC, en juin 2009, vous et vos collègues étiez résolus à renforcer le rôle de vos Services au sein de vos établissements respectifs. Où en êtes-vous ?
Effectivement, un travail important a été fait, tant au niveau des établissements qu’au niveau de la CPU et de la tutelle. Au niveau national, la CDSUFC est maintenant invitée permanente de la commission pédagogie de la Conférence des présidents d’Université (CPU). Elle est régulièrement consultée sur les questions portant sur la FC. Ceci nous permet, par là-même, de travailler avec le réseau des vice-présidents des Conseils des études et de la vie universitaire (VP Cévu) et la Conférence universitaire en réseau des responsables de l’orientation et de l’insertion professionnelle des étudiants (Courroie). Au niveau des établissements, la prise en compte politique de la FC s’est traduite dans plusieurs Universités par la nomination de vice-présidents FC ou FTLV (ou encore Relations entreprises, etc.). Mais cette meilleure prise en compte ne s’est pas faite de façon homogène, et il existe encore des marges de progrès. Nous avons organisé un séminaire spécifique sur cette question en avril dernier à Brignogan-Plages (Finistère), deux jours de réflexion et de travail sur le nouveau positionnement des Services. Ce séminaire sera suivi de séances de travail en cours d’organisation avec les DGS, DRH, Daf et agents comptables... Mais le temps manque pour aller plus vite! Propos recueillis par K.B. Télécharger le le n°792-793 du 16 juin au 15 juillet 2011 de L'INFFO FORMATION.

http://www.fcu.fr/images/logofcu.gif Ülevaade meie äri oli läbi Inffo Keskus ja avaldatakse nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS. Mitmed võtmeisikud tugevalt seotud meie äri mõttes hinnata seda ja soovitab, kuidas oma arengut. Paber laialt levitada. Lae nr 792-793 ja 16 juuni - 15. juuli 2011 INFFO KOOLITUS.
38. direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (SUFC) toimus Villeneuve d'Ascq (Nord) 8., 9. ja 10. juunil kuu enne neljakümnendat aastapäeva 1971 seadusega, mis on lisatud elukestva õppe töökoodeks. Intervjuu Jean-Marie Filloque president direktorite konverents Ülikooli Services Täiendõpe (CDSUFC): "ülikoolid ei räägi piisavalt milline on nende tugevus"
Kuidas sa seletad vähest läbipaistvust ja atraktiivsust SUFC keset täiendõppe (CE)?
Lubage mul küsida teine küsimus: kui täna 31% täiskasvanutest 30-34 on kraad kõrghariduse, miks on nii raske ära tunda Ülikooli õigustatud näitleja CVT oma orgaanilise sidemeid teadus-ja ehituse teadmisi ja tunnustatud kvaliteet selle töötajad?
Muidugi peame kõigepealt otsida põhjendusi in-house: pilt elevandiluutorni, eemaldamine "tegelikkuse" negatiivne kuvand ei ... kuid kahtlemata ja veel reaalne, ilma et arvelduskuupäevani strateegia üles ehitada struktuuri ja asjakohaseid lahendusi, mõned ütleks, kutsealaseid ning majanduslikke ja sotsiaalseid vajadus. Veel...

15 avril 2011

Les entreprises, 1ers financeurs de la FCU

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesEn 2008, les entreprises étaient les premiers les premiers contributeurs de la formation continue en université, selon une note d'information publiée par la DEPP (Direction de l'évaluation de la prospective et de la performance).
Les grandes entreprises, principaux financeurs

"Sur les 216 millions d'euros de chiffre d'affaires dégagés par les universités, les grandes entreprises deviennent les principaux financeurs avec 63 millions d'euros (29 % du chiffre d'affaire), soit une augmentation de 3 points", décrit le document.
A ce financement s'ajoute celui des OPCA (36 millions d'euros – 17 % du CA), pour le compte des entreprises de moins de dix salariés. Les pouvoirs publics sont le second contributeur (25 % du CA, en baisse de 3 points), suivis par les individuels payants et les stagiaires (23 % du CA).
Forte hausse des contrats de professionnalisation

Le public en formation continue dans les universités, les instituts nationaux polytechnique (INP) et les universités technologiques (UT) est composé d'un tiers de salariés (32% des stagiaires). Ceux-ci suivent une formation principalement au titre du plan de leur entreprise (26%). Les stagiaires en contrats de professionnalisation, en moindre nombre (3%), affichent néanmoins une hausse de 44 % par rapport à 2007.
Les particuliers forment la moitié du public en formation continue. Les demandeurs d'emplois représentent 9 % de ce public, dont 2 % de chômeurs non indemnisés (en hausse de 18 % par rapport à 2007).
Hausse des formations courtes

"Comme en 2007, le quart des stagiaires inscrits en formation continue dans les universités suit une formation menant à des diplômes nationaux ou à des titres du RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) avec une durée moyenne de 299 heures", constatent les auteurs de la note d'information.
Tous types de stagiaires confondus, la durée moyenne des stages est cependant de 119 heures dans les universités, soit une heure de moins qu'en 2007. Le nombre d'inscrits dans des formations courtes poursuit sa croissance pour atteindre 31 % des formations, avec une moyenne de 31 heures.
Lire la note d'information "La formation continue universitaire accentue son caractère professionnalisant en 2008". Voir l'article du blog La formation continue dans l'enseignement supérieur.
Business School: vocational and business schools partnerships In 2008, businesses were the largest contributors to the first training in college, according to a briefing note published by DEPP (Directorate for foresight and evaluation of performance).
Large companies, major funders

  "Of the 216 million euros of turnover generated by universities, corporations are becoming the main financial backers with 63 million euros (29% of turnover), an increase of 3 points," describes document. At this funding is compounded by OPCA (36 million euros - 17% of sales), on behalf of companies with fewer than ten employees.The government is the second contributor (25% of sales, down 3 points), followed by pay and individual trainees (23% of sales). Read the briefing note " The training enhances its identity professionalizing university in 2008. See the blog entry Continuing education in higher education. More...
12 avril 2011

38ème Colloque National de la Conférence des Directeurs de Service Universitaire de Formation Continue

http://sudes.univ-lille1.fr/fcu2011/images/ban-haut.jpg

La loi de Août 2007, dite loi « liberté et responsabilité des universités » est à l’origine d’évolutions importantes dans l’organisation des établissements.
L’émergence des PRES, les fusions d’établissements, les projets autour des « initiatives d’excellence » sont autant de nouvelles strates organisationnelles ou politiques qui vont modifier nos actions au quotidien.
Les nouvelles règles de gestion budgétaire, de gestion des ressources humaines, de régimes indemnitaires, de services statutaires... ont des effets importants sur la gestion des services et sur leur positionnement structurel et fonctionnel au sein de l’université.
Le thème du 38ème colloque des services formation continue se propose d’étudier l’impact de ces changements organisationnels sur les services de formation continue, d’analyser les évolutions qu’ils induisent dans les relations avec les composantes et services de l’université.
Dans le même temps, les demandes de nos partenaires extérieurs évoluent. De nombreuses régions lient formation continue et développement économique, formation et développement territorial.
Les demandes des entreprises et des branches professionnelles s’orientent de plus en plus vers de la co-construction de formations diplômantes incluant la validation des acquis de l’expérience.
La formation continue universitaire est devenue l’élément important du développement des compétences des techniciens et cadres, pour assurer leur employabilité et leur progression personnelle et professionnelle tout au long de leur carrière. Le potentiel de recherche, les équipements de pointe associés à notre expérience sont autant d’éléments que nous pouvons mettre à disposition du monde économique et que monde économique souhaite de plus en plus.
Ce colloque, au travers de conférences, d’ateliers et surtout d’échanges permettra aux participants de mieux conduire les changements dans un environnement en profonde mutation.
http://sudes.univ-lille1.fr/fcu2011/images/ban-haut.jpg

Augustus 2007 recht, bekend als de "vrijheid en verantwoordelijkheid van de universiteiten" is de bron van belangrijke ontwikkelingen in de organisatie van de instellingen. De opkomst van PRES, fusies van instellingen, projecten rond de "excellentie initiatieven" worden alle nieuwe lagen of organisatorische beleid dat zal veranderen ons dagelijks handelen. De nieuwe regels van de begroting van het management, human resources management, vergoeding plannen van de wettelijke diensten hebben belangrijke gevolgen voor het beheer van diensten en hun structurele en functionele positionering binnen de universiteit.
Het thema van de 38e Conferentie Services Continuing Education zal de studie van de impact van deze organisatorische veranderingen op permanente educatie diensten, het analyseren van de veranderingen die zij veroorzaken in de betrekkingen met de componenten en diensten van de universiteit
. Meer...
31 janvier 2011

Marché de développement commercial et marketing du Sufa (Université de la Méditerranée)

http://www.boamp.fr/templates/boamp/images/hd_bg.jpgMarché de développement commercial et marketing du Service Universitaire de Formation tout Au long de la vie (Sufa).
L'Université de la Méditerranée lance un appel d'offre relatif à un marché de développement commercial et marketing du Service Universitaire de Formation tout Au long de la vie (Sufa).
La date limite de réception des offres est fixée au 18 février 2011 à 12 heures.
Des informations détaillées sur les modalités de réponse à cet avis sont disponibles à l'adresse Url suivante.
L'essentiel du marché :
Nom et adresse officiels de l'organisme acheteur : Université de la Méditerranée.  
Correspondant : diane Piclet. Direction des Affaires Générales. Service des Marchés Publics,  58, Bd Charles Livon,   13284  Marseille Cedex 7, Téléphone : 04-91-39-65-55, Télécopieur : 04-91-39-66-04, Adresse internet : http://www.univmed.fr/marches-publics. Adresse internet du profil d'acheteur : https://www.achatpublic.com/sdm/ent/gen/ent_detail.do?PCSLID=CSL_2011_wbsj4t3uTK.
Objet du marché :
Marché de développement commercial et marketing du Service Universitaire de Formation tout Au long de la vie (Sufa).
Possibilité de présenter une offre pour :
un ou plusieurs lots
Renseignements relatifs aux lots :
Lot n° 1 : commercialisation de l'offre de formation continue des secteurs.
Les caractéristiques techniques sont précisées dans l'article 7 du CCP valant acte d'engagement.
Lot n° 2 : communication et marketing de la formation continue de l'université.
Les caractéristiques techniques sont précisées dans l'article 7 du CCP valant acte d'engagement Informations complémentaires: une partie du lot 2 est à bon de commande.

Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus :
Université de la Méditerranée Direction des affaires générales Service des marchés publics. 58, Bd charles Livon, 13284  Marseille Cedex 7, Adresse internet : http://www.achatpublic.com. Adresse internet : https://www.achatpublic.com/sdm/ent/gen/ent_detail.do?PCSLID=CSL_2011_wbsj4t3uTK.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés:
Université de la Méditerranée Direction des affaires générales Service des marchés publics. 58, Bd charles Livon, 13284  Marseille Cedex 7, Adresse internet : http://www.achatpublic.com. Adresse internet : https://www.achatpublic.com/sdm/ent/gen/ent_detail.do?PCSLID=CSL_2011_wbsj4t3uTK.
http://www.boamp.fr/templates/boamp/images/hd_bg.jpg Sviluppo del mercato e la commercializzazione di estensione universitari per tutta la vita (Sufa).
L'Università del Mediterraneo lancia un bando di gara per un contratto per lo sviluppo imprenditoriale e la commercializzazione del Dipartimento Universitario di Educazione per tutta la vita (Sufa).
Il termine ultimo per la ricezione delle offerte è 18 Febbraio 2011 alle ore 12. Informazioni dettagliate su come rispondere a questo bando sono disponibili al seguente indirizzo URL. Maggiori informazioni...
31 janvier 2011

Une présence plus affirmée des entreprises dans la formation continue universitaire entre 2003 et 2008

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpgPar Joëlle Grille, DEPP A1. Depuis 2003, l’évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs salariés formés.
En effet, la moitié des fonds qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises (96 millions d’euros) alors que leurs salariés ne représentent que le tiers des stagiaires (119000). Parmi ces stagiaires, 81% s’inscrivent au titre du plan de formation de leur entreprise, 11% au titre d’un congé individuel de formation et 8% au titre d’un contrat de professionnalisation.
La loi du 4 mai 2004, relative à la formation professionnelle et au dialogue social, a donné un coup d’accélérateur aux contrats en alternance, principalement dans les instituts universitaires de technologie. L’approche régionale montre qu’en dépit de stratégies universitaires très différentes, la place des entreprises s’affirme à peu près partout au sein de la formation professionnelle universitaire. Note d'Information n° 11.02 janvier 2011 (format pdf). Note d'Information n° 11.02 janvier 2011 (format xls).
En 2008, près de la moitié des 215 millions d’euros qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises et des organismes paritaires collecteurs agréés( OPCA). Un quart provient des fonds publics, principalement des conseils régionaux, et le dernier quart émane des particuliers.
Les entreprises, de plus en plus présentes dans le financement

Entre 2003 et 2008, la part des entreprises dans le financement de la formation continue est passée de 38 à 46%. Dans le même temps, celle des fonds publics a suivi une tendance inverse, elle est passée de 32% à 25%. En effet, d'un relatif équilibre en 2003 avec seulement 6 points d’écart, le fossé s’est creusé entre l’apport financier des entreprises et celui des pouvoirs publics pour atteintre 21 points en 2008.
En 2003, les fonds des entreprises destinés à la formation continue universitaire s’élevaient à 44 millions d’euros, contre 28 millions d’euros en provenance des OPCA, organismes paritaires collectant les fonds de la formation continue principalement pour les petites et moyennes entreprises. En 2008, on est passé respectivement à 61 millions d’euros et 35 millions d’euros.Ainsi, si l’onassisteàuneaugmentation globale des ressources en provenance des entreprises et des organismes paritaires collecteurs agréés, la part des formations réalisées au titre du plan de formation a crû régulièrement dans les entreprises alors que celle financée par les OPCA a diminué assez fortement entre 2003 (9,8 millions d’euros) et 2006 (6,7 millions d’euros), pour remonter ensuite régulièrement jusqu’à 9,4 millions d’euros en 2008, sans atteindre le niveau de 2003. La moitié des fonds des OPCA qui abondent la formation continue à l’université finance des congés individuels de formation. Un quart est consacré aux formations au titre du plan de l’entreprise et un quart aux contrats de professionnalisation.
Pendant cette période, la part des contrats de professionnalisation dans l'ensemble des fonds a doublé : elle est passée de 18 à 35%. En 2008, les congés individuels de formation représentent 17 millions d’euros dans le chiffre d’affaires des universités alors qu'ils n'étaient que de 14 millions d’euros en 2003.
Les fonds publics ne constituent plus que le quart des recettes de la formation continue des universités

Dans son ensemble, la part des fonds publics a fondu entre 2003 et 2008, pour ne représenter qu’un quart des fonds de la formation continue, contre un tiers en 2003. La part des fonds d’État destinés à des publics spécifiques a décru de moitié entre 2003 et 2008, passant de 9,4 millions d’euros à 4,6. En revanche, les pouvoirs publics consacrent toujours la même part à la formation de leurs agents, soit 5,7 millions d’euros. Les financements des conseils régionaux, qui gèrent, avec la mise en oeuvre de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, des crédits de l’État dédiés aux actions mises en oeuvre par l’AFPA (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), représentent plus de la moitié des fonds publics universitaires consacrés à financer des stages. Cette part, qui a d'abord progressé de 2003 à 2006, baisse en valeur absolue depuis 2007 (de 33 à 30 millions d’euros). Elle a toutefois progressé de 5 points en valeur relative (de 52% des fonds publics en 2003 à 57% en 2008). La part des fonds européens a diminué de plus de la moitié sur la même période (de 1,4 million d’euros à 0,6 million d’euros).
La part des fonds apportés par les individuels payants et par les stagiaires est assez stable, elle représente 20% de l’ensemble. Cependant, si la part des particuliers passe de 18 à 21 % entre 2003 et 2006, celle des stagiaires décroît de moitié et passe de 5 à 2,6%. Cette catégorie de fonds provient pour une part non établie avec précision d’inscriptions de salariés qui ne sont pas pris en charge par leur entreprise ou de demandeurs d’emploi dont la formation n’est pas prise en charge en totalité. Les autres ressources de la formation continue universitaire (ventes de brevets, prestations spécifiques ou placements) représentent 7% des fonds totaux et ne varient guère depuis 2003.
Les trois types principaux de publics salariés

Les salariés qui choisissent de suivre une formation au titre de la formation continue à l’université (ou dans une école ou un institut rattaché à l’université) peuvent le faire sous trois statuts différents : soit au titre du plan de formation de l’entreprise (à l’initiative de l’employeur), soit au titre d’un contrat en alternance, appelé contrat de professionnalisation depuis la loi du 4 mai 2004, et qui alterne périodes en entreprise et périodes de formation en université ou en IUT, ou bien encore au titre d’un congé individuel de formation signé auprès d’un Fongecif. Une partie non quantifiée des stagiaires classés dans la catégorie « individuels payants » sont également des salariés mais ils sont inscrits à titre personnel et non au titre de leur entreprise. En revanche, les personnes qui suivent une formation à l’université dans le cadre d’un contrat d’apprentissage ne sont pas incluses dans le cadre de cette étude car l’apprentissage est une modalité de la formation initiale. En 2008, 81 % des stagiaires salariés s’inscrivent à l’université au titre du plan de formation de leur entreprise, 11 % au titre d’un congé individuel de formation et 8 % pour une formation en alternance dans le cadre d’un contrat de professionnalisation.
Si, tous types de publics confondus, le nombre des stagiaires de la formation continue à l’université s’est accru de 13% entre 2003 et 2008, pour un volume d’heures-stagiaires qui n’augmentait que de 4%, c’est l’effet inverse qui se produit pour les publics salariés dont le nombre augmente seulement de 6% sur la même période alors que le volume des heures stagiaires gagne 14%. En effet, la durée moyenne de formation des stages de ces publics s’est allongée en gagnant 10 heures (de 135 à 145 heures) alors que celle de l’ensemble des inscrits perdait 11 heures (de 130 à 119 heures). Il faut noter que la part relative des salariés dans l’ensemble des stagiaires de la formation continue à l’université s’est amenuisée au fil des ans depuis 2003, en perdant 2 points (32,3% en 2008 contre 34,5% en 2003). Toutefois, depuis 2006, le nombre des inscrits salariés augmente (+ 4%) après deux périodes de baisse en 2004 (- 9%) et 2005 (- 2%). En effet, le nombre des stagiaires salariés a augmenté de 4% en 2006 et de 10% en 2007 ; en 2008, cette tendance se prolonge (+ 2%) et s’accompagne de l’allongement des durées moyennes de stage qui accroît le volume des heures-stagiaires (+ 16%).
Croissance rapide des contrats de professionnalisation, en particulier dans les IUT

La loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle et au dialogue social a réformé la formation professionnelle continue et simplifié la formation en alternance en créant un contrat unique : le contrat de professionnalisation ayant pour objectif de favoriser l’insertion des moins de 26 ans ou la réinsertion professionnelle des adultes. De 2003 à 2005, la part des inscrits en alternance ne dépassait pas 4% des stagiaires salariés à l’université mais déjà, dès 2006, on observe une augmentation légère du nombre des stagiaires ainsi que du nombre des heures-stagiaires. Les deux années suivantes, la tendance se confirme et la part des stagiaires salariés sous contrats de professionnalisation augmente de 2 points par an pour atteindre 8% en 2008. Cette même année, la part des heuresstagiaires dispensées dans le cadre des formations en alternance a atteint 30% du volume total des heures-stagiaires des inscrits salariés alors qu’elle n’était que de 14% en 2003. En effet, la durée moyenne de ces stages a progressé depuis 2003 en passant de 437 heures à 519 heures en 2008. En 2008, certaines universités (ainsi que leurs IUT rattachés) privilégient particulièrement l’ouverture aux formations en alternance : il s’agit des universités de Champagne-Ardenne (47% des stagiaires salariés), de Bourgogne (38%), de Picardie (25%), de La Réunion (22 %), de Haute-Normandie (20%) et du Limousin (19%).
Ce constat est particulièrement vrai dans les instituts universitaires de technologie (IUT), dont l’activité globale représente en 2008, 6% des stagiaires et 20% des heures-stagiaires des universités. Toutefois, quand on ne considère que l’ensemble des stagiaires salariés, la part d’activité des IUT s’élève à 11% des stagiaires salariés (et à 32%des heures-stagiaires) des universités. Enfin, parmi ces stagiaires salariés, la part des stagiaires titulaires d’un contrat de professionnalisation représente 58% des stagiaires et 62% des heures-stagiaires de l’ensemble des contrats de professionnalisation des universités. Pour la première fois en 2008, le nombre des stagiaires inscrits au titre de l’alternance (5620) est supérieur au nombre de stagiaires inscrits au titre du plan de formation de leur entreprise (5341), dans les IUT.
Le développement de la formation continue universitaire passe par différentes stratégies régionales

Depuis 2006, toutes les régions voient augmenter, dans les recettes de la formation continue universitaire, la part des fonds en provenance des entreprises, et même parfois doubler comme dans les Pays de la Loire et en Poitou-Charentes (20 à 44%).
En Alsace, la part qui était de 69% en 2003 atteint 71% en 2008, mais elle n’est que de 25% en Lorraine et de 22% en Corse. Toutefois, les stratégies des universités en matière de formation continue diffèrent d’une région à l’autre. Dans onze régions, les universités accueillent plus de 10% de chômeurs en formation continue et ce n’est pas toujours avec une aide proportionnelle de la région (exemple du Limousin).
En Languedoc-Roussillon et dans le Nord-Pas-de-Calais, la part des stagiaires demandeurs d’emplois accueillis à l’université est, respectivement, de 32 et 40%, supérieure à la part des fonds en provenance de la région. À l’opposé, les universités de certaines régions ne semblent pas faire un effort particulier envers ces publics, malgré des fonds régionaux relativement importants comme en Basse-Normandie (4% de chômeurs parmi les stagiaires) ou en Poitou-Charentes (3%).
Entre 2003 et 2008, la proportion de publics salariés en formation dans les universités s’est accrue dans toutes les régions, sans estomper la persistance de fortes disparités régionales. Depuis 2003, trois groupes de régions se distinguent avec assez peu de variations. Le premier groupe, qui réunit cinq ou six régions où prédomine l’est de la France avec l’Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté, compte plus de 50% de stagiaires salariés. Cependant, depuis 2003, les régions du Centre et de l’Aquitaine, qui figurent dans ce groupe, ont vu baisser le nombre de leurs stagiaires salariés.
Le deuxième groupe, plus important, comprend onze régions dont plusieurs grandes agglomérations, à l’exception de la région parisienne. Il se caractérise par une part de stagiaires salariés d’environ 40 à 30% mais, également, pour deux régions, par une proportion élevée de chômeurs inscrits à l’université de 40 à 32% (Nord-Pas-de-Calais et Languedoc-Roussillon). Le dernier groupe réunit huit régions qui comptent moins de 25% de stagiaires salariés. Ces huit régions se distinguent par une proportion d’individuels payants et d’inscrits aux conférences particulièrement importante. Les trois régions où le pourcentage de stagiaires demandeurs d’emploi dépassait le pourcentage de salariés en 2003 (Nord-Pas-de-Calais, Languedoc-Roussillon et Champagne-Ardenne) restent les mêmes en 2008, mais elles ont toutes les trois accru leur part de publics salariés.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpg By Joelle Grid DEPP A1. Since 2003, the development of vocational training is reflected in the universities, an increase of up companies is more evident by their financial contribution by the number of employees trained.
Indeed, half of the funds that abound university continuing education comes from companies (96 million) while their employees make up only a third of trainees (119000). Of these trainees, 81% fall under the training plan for their business, 11% for an individual training leave and 8% under a professional contract.

The law of 4 May 2004 on vocational training and social dialogue, gave a boost to study contracts, mainly in the polytechnics.
The regional approach shows that despite very different university strategies, instead of asserting business almost everywhere in the university training. Information Notice No. 11/02 January 2011. More...
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