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Formation Continue du Supérieur
28 décembre 2010

Southwest union rises to Welsh minister’s challenges

http://www.timeshighereducation.co.uk/magazine/graphics/mastheads/mast_blank.gifTwo universities have agreed in principle to merge and create a single institution for southwest Wales.
Swansea Metropolitan University and the University of Wales Trinity Saint David plan to keep their separate names under the proposals, but would unify under one organisational structure. They also hope to involve further education colleges from the area to establish a “regional educational group”.
Although the universities have been in talks for several months about the merger, their governing bodies this week approved the idea, which will now be subject to negotiations on the institution’s exact structure and constitution.
David Warner, vice-chancellor of Swansea Met, said the development “builds on the excellent track record both universities have of working together”.
He added: “It will be based on a partnership of equals and will free up greater resources for front-line delivery. It also meets the Welsh Assembly government’s priority for greater critical mass and radical structural change.”
Leighton Andrews, the education minister for Wales, has warned the sector that future funding might be dependent on institutions’ willingness to merge.
Mr Andrews, who recently announced that Welsh students will be shielded from tuition-fee rises, said earlier this month that Welsh universities had to “adapt or die”.
Medwin Hughes, vice-chancellor of Trinity Saint David, said: “This is a radical new model for the higher education sector in Wales and it leads the way by responding to the challenges set down for the sector by [Mr Andrews].”
Trinity Saint David was recently formed by the merger of the University of Wales, Lampeter and Trinity University College Carmarthen – Wales’ oldest higher education institutions. simon.baker@tsleducation.com.
25 décembre 2010

A Montpellier, les trois présidents des universités ont peaufiné leur projet

http://www.midilibre.com/images/logo.gifPar Philippe MOURET. La réponse des présidents d’université à Christian Bourquin: « Nous avons un projet ». Ils se sont réunis hier dans les locaux de l’université Montpellier 2. Les trois présidents, Philippe Augé (Montpellier 1), Danièle Hérin (Montpellier 2) et Anne Fraïsse (Montpellier 3) et leurs équipes ont fait avancer leur projet de gouvernance, afin de répondre aux critères des initiatives d’excellence (Idex). « Nous sommes tous les trois sur la même longueur d’onde. Nos équipes travaillent ensemble et les choses avancent », confiait hier Danièle Hérin à l’issue de la réunion.
Les présidents d’université rétorquent ainsi au président de la Région, Christian Bourquin. Ce dernier a plusieurs fois remis en cause leur capacité à parvenir à un accord, qui permettrait à Montpellier de figurer sur la liste des quelques (six à dix) sites qui bénéficieront du statut d’excellence défini par le ministère de l’Enseignement supérieur. Mardi devant la presse, mercredi au Conseil régional, Christian Bourquin s’en est pris vivement aux présidents, les accusant de bloquer l’avenir du projet montpelliérain. Une motion a même été signée par tous les groupes politiques du Conseil (à l’exception du FN). Un « coup de force », selon Anne Fraïsse.
Aujourd’hui, Danièle Hérin affirme : « Le dossier scientifique et pédagogique est très bon. Pour la partie gouvernance, nous sommes d’accord sur le principe d’une fondation à caractère scientifique et pour un Pres (Pôle de recherche et d’enseignement supérieur, NDLR) reconfiguré. »
Face aux inquiétudes exprimées par les politiques, Mme Hérin se dit confiante : « Nous allons diffuser ce projet auprès de tous nos partenaires. L’avancement est bon, il y aura donc bien un dossier montpelliérain le 7 janvier, avec de bonnes chances de réussite. » La présidente de Montpellier 2 dit avoir été « très étonnée » par les propos de Christian Bourquin. Elle rappelle par ailleurs qu’« un tel projet ne saurait, naturellement, être élaboré sans les grandes écoles et laboratoires régionaux » et annonce une prochaine réunion de travail « la semaine prochaine » tout en soulignant que « les grands axes du projet sont clairs, nets, définis... ».
Quant à la fameuse « gouvernance » qui a si fortement alimenté la polémique, elle sera donc proposée par les trois universités sous la forme d’une « Fondation ». « Pour une raison simple, précise Danièle Hérin, c’est qu’il s’agit d’un cadre bien adapté aux contours de l’Idex », qui implique plusieurs vocations et sites différents. Le Pres sera ensuite reconfiguré afin d’intégrer cette Idex. Selon certaines sources universitaires, Danièle Hérin serait favorite pour présider une nouvelle structure.
Il ne reste qu’à espérer que cette lutte à distance s’effacera afin que Montpellier bénéficie de tous ses atouts pour être à l’avenir l’un des phares de l’université française.
http://www.midilibre.com/images/logo.gifDoor Philippe Mouret. De reactie van de universitaire voorzitters Christian Bourquin : "hebben een project. Wij" Ze ontmoetten elkaar gisteren op het terrein van de Universiteit van Montpellier 2. De drie presidenten, Philippe Auge (Montpellier 1), Daniele Herin (Montpellier 2) en Anne Fraisse (Montpellier 3) en hun teams hebben geavanceerde hun governance-project, om initiatieven te voldoen aan de criteria van excellentie (IDEX).  "We zijn alle drie op dezelfde golflengte. Onze teams werken samen en de dingen zijn verlopen ", Daniele zei gisteren Herin na de vergadering. Meer...
18 décembre 2010

Création de Collegium SorbonneTech

http://www.upmc.fr/content/default/collegium_ingenierie/fr/data/1968988720623178860.jpgL’UPMC et le CNRS créent un pôle de recherche en ingénierie et traitement de l’information à Paris…
Le Collegium SorbonneTech est un collégium d’ingénierie, créé pour 4 ans, par l’UPMC et le CNRS, en collaboration avec certains laboratoires des Arts et Métiers ParisTech et de l'Ircam (Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique).
Ce collégium a pour vocation de créer, à Paris, un pôle de recherche en ingénierie et en traitement de l’information pour développer des partenariats, renforcer la recherche, faire émerger de nouvelles thématiques et accroître leur visibilité. Pour Pierre Sagaut, directeur du Collegium SorbonneTech et  directeur-adjoint de l'Institut Jean Le Rond d’Alembert UPMC/CNRS « avec ce collegium, nous voulons mettre en place au coeur de Paris, une interface entre plusieurs disciplines d’excellence dans les sciences de l’ingénierie et de l’information… », ce que confirment les deux directeurs d'Institut du CNRS, Pierre Guillon (Institut des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes-INSIS) et Philippe Baptiste (Institut des sciences informatiques et leurs interactions-INS2).
Renforcement entre la recherche et formation en ingénierie et en traitement de l’information.
Des formations innovantes seront développées à l’instar du « cursus en ingénierie » en 5 ans à l’UPMC, bientôt étendu à d’autres disciplines. Des programmes de formation des doctorants comme  « la création et la reprise d’entreprise » ou l’ »Executive PHD » avec PSA, pour ses cadres de haut niveau qui feront leur thèse à l’UPMC, seront également proposés.
Un rôle de concertation
Le collegium s’efforcera de développer les coopérations entre les différents collegia d’ingénierie ou d’informatique existants en France, en particulier celui de l’Université Technologique de Compiègne (UTC), université associée au PRES Sorbonne Universités, avec laquelle l’UPMC a un accord stratégique.
Une démarche commune
. Le Collegium est placé sous la responsabilité conjointe de l’UPMC et du CNRS qui lui attribuent des personnels et des moyens. Un comité de pilotage et des conseils scientifiques et pédagogiques se réuniront régulièrement avec les membres du CNRS et de l’UPMC et des laboratoires associés.
http://www.upmc.fr/content/default/collegium_ingenierie/fr/data/1968988720623178860.jpg UPMC en CNRS een hub van het onderzoek in engineering en de verwerking van informatie in Parijs. Het Collegium is een SorbonneTech Collegium engineering, gemaakt voor 4 jaar, UPMC en CNRS, in samenwerking met een aantal laboratoria Arts et Metiers ParisTech en het IRCAM (Instituut voor onderzoek en coördinatie Akoestiek/Muziek). Dit Collegium de bedoeling was, te maken in Parijs, een hub van het onderzoek in engineering en verwerking van informatie om partnerschappen te ontwikkelen, de versterking van onderzoek, de opkomst van nieuwe problemen en het opvoeren van hun zichtbaarheid. Voor Sagaut Pierre, directeur van het Collegium SorbonneTech en adjunct-directeur van het Institut Jean Le Rond d'Alembert, UPMC / CNRS "Collegium met deze willen we in de plaats gezet in het hart van Parijs, een interface tussen de verschillende disciplines van excellentie in ingenieurswetenschappen en informatie... "Dit bevestigt dat de twee directeuren van het CNRS Instituut, Pierre Guillon (Instituut voor Engineering Sciences en Systems-INSIS) en Philippe Baptiste (Instituut voor Informatica en hun interacties-INS2). Meer...
14 décembre 2010

Le FAF PCM rejoint AGEFOS PME: un rapprochement historique

http://www.agefos-pme.com/uploads/pics/logo_FAF_PCM.gifA l’occasion du salon Maritima, rendez-vous incontournable de tous les professionnels de la mer, AGEFOS PME, 1er Fonds d’Assurance Formation de France, et le Fonds d’Assurance Formation Pêche et Cultures Marines (FAF PCM) ont officialisé leur rapprochement le 9 décembre 2010, en présence de Jean-Philippe Leroy, Vice-président AGEFOS PME, Jacques Devaux, Président AGEFOS PME Bretagne, et pour le FAF PCM Jean-Paul Guyader, Vice-président.
Le conseil de gestion du FAF PCM a décidé de se rapprocher d’AGEFOS PME à compter du 1er janvier 2012 pour tenir compte des nouvelles obligations créées par la loi du 24 novembre 2009.
Une volonté de conjuguer les savoir-faire
AGEFOS PME a en effet mis en place une filière Mer au sein de laquelle une Section paritaire professionnelle (SPP) Pêche et Cultures Marines pourra continuer à développer un accompagnement adapté aux spécificités du monde marin.
Créé en 1974, le FAF PCM représente toutes les entreprises du secteur aussi bien en métropole que dans les DOM. Ce secteur très réglementé nécessite en effet un accompagnement spécifique sur les problématiques d’emploi et de formation professionnelle que le FAF PCM connaît parfaitement.
Pour autant, cette évolution au sein d’une SPP ne provoquera pas de changement dans l’équipe du FAF PCM car tous les interlocuteurs actuels seront toujours les correspondants au sein d’AGEFOS PME.
Les deux OPCA se félicitent de ce rapprochement qui concrétise un travail de fond déjà engagé sur la filière Mer en poursuivant le développement des entreprises et des compétences des personnels sédentaires et navigants avec des services sur mesure.
En savoir plus sur le FAF PCM.
Historiquement, plus grand FAF de la profession avec près de 7 000 entreprises adhérentes, le Fonds d’Assurance Formation Pêche et Cultures Marines (FAF PCM) est le seul Organisme paritaire collecteur agréé pour la pêche au niveau national pour les pêches maritimes et les cultures marines. Il contribue à une politique de formation pour les professionnels de la mer : pêche, conchyliculture, élevages marins.
http://www.agefos-pme.com/uploads/pics/logo_FAF_PCM.gif Fl-okkażjoni tal-wirja Maritima, rendez tal-professjonisti kollha tal-baħar, l-SMEs AGEFOS, 1st Taħriġ Fond ta 'Assigurazzjoni ta' Franza, u l-Fond għall-Assigurazzjoni Taħriġ tas-Sajd tal-Baħar u Kulturi (FAF PCM) ikollhom formalizzati tagħhom approssimazzjoni 9 Diċembru, 2010, fil-preżenza ta 'Jean-Philippe Leroy, Viċi President AGEFOS-SMEs, Jacques Devaux, President AGEFOS SMEs Brittanja, u l-FAF PCM Ġwanni Pawlu Guyader, Viċi-President.
Il-bord ta 'tmexxija ta' FAF PCM iddeċieda li approċċ AGEFOS-SMEs mill-1 ta 'Jannar 2012 biex jirriflettu l-obbligi l-ġodda maħluqa mill-Att tal-24 ta' Novembru 2009
. Tgħallem aktar dwar FAF PCM. More...
26 novembre 2010

Le "grand établissement" lorrain inquiète les syndicats

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gifDans une lettre conjointe adressée le 15 novembre à Valérie Pécresse, l'UNEF et le SNESUP ont fait part de leurs inquiétudes quant à la prochaine fusion des établissement d'enseignement supérieur lorrains. Les deux syndicats sont notamment opposés au statut de "grand établissement" que pourrait prendre cette future Université de Lorraine.
Selon l'UNEF et le SNESUP, ce statut particulier permettrait à l'Université de Lorraine "de déroger au principe de non-sélection des étudiants en première année" et "ouvrirait la porte au développement d’une offre de formation centrée autours de diplômes d’établissements afin de fixer librement le montant des droits d'inscription".
Les deux organisations s'inquiètent également de la future gouvernance, notamment pour les UFR : "les UFR sont remplacées par des UER, pour lesquelles la loi ne garantit rien en matière de composition des conseils et de désignation des élus et des directeurs".
Dans leur lettre à la ministre, les syndicats réclament plus largement une régulation nationale pour les regroupements entre établissements d'enseignement supérieur, ainsi qu'un moratoire sur les fusions d'universités. L'UNEF contre le Grand Etablissement en Lorraine. Jean-Pierre Finance élu président du PRES lorrain.
http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gif In einem gemeinsamen Schreiben am 15. November um Valerie Pécresse, äußerte UNEF und SNESUP ihre Besorgnis über die bevorstehende Fusion der Hochschule Lothringen. Beide Gewerkschaften sind besonders auf den Status des "Big Business", dass die künftige Universität von Lothringen machen könnte dagegen. Nach Angaben der UNEF und SNESUP, diesen besonderen Status würde der University of Lorraine "weichen von den Grundsatz der Nicht-Auswahl der Studienanfänger" ermöglichen und "öffnen die Tür für die Entwicklung der Ausbildung rund um Studium zentriert Institutionen frei gesetzt die Höhe der Gebühren." Mehr...
28 octobre 2010

Une seule université pour l'Aquitaine ?

http://static.blogs.sudouest.fr/frontend/graphics/logo.pngLes socioprofessionnels plaident pour un rapprochement plus étroit des universités de la région.
On ne s'est pas ennuyé lors de la dernière séance plénière du Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) d'Aquitaine. Les socioprofessionnels de la région ont eu en effet bonne pioche avec l'avis rendu, à leur initiative, sur l'enseignement supérieur et la recherche. Tout en nuances, le rapporteur Antoine Cuerq, délégué régional d'EDF, a rallié une large majorité de conseillers en demandant la création de l'Université Bordeaux Aquitaine, comprenant les quatre universités bordelaises, l'université de Pau et des Pays de l'Adour et les écoles associées aujourd'hui à l'université bordelaise. « Il faudra dépasser les freins de toute nature », demande le rapporteur, qui dépeint un dispositif universitaire « éclaté et dispersé ». « La région est le bon horizon pour l'université », plaide de son côté Luc Pabœuf, le président du Ceser.
Appel à projets
Antoine Cuerq, qui défendait l'avis pour le compte de la commission développement économique, invite les acteurs universitaires et régionaux à définir le degré d'autonomie de chaque site dans ce futur ensemble. La proposition fait sens lorsqu'on sait l'importance que tient la question de la gouvernance dans l'appel à projets lancé par le ministère de l'Enseignement supérieur, « Initiatives d'excellence », pour lequel cinq à dix campus se disputeront 7,7 milliards d'euros sur quinze ans.
S'il a été largement approuvé, le rapport n'a pas fait l'unanimité. De nombreuses voies syndicales (Unsa et CGT surtout) se sont abstenues, craignant l'apparition d'une université à deux vitesses dans la région. Le risque de la métropolisation des compétences, au profit de quelques rares labos et amphis surtout bordelais, a aussi été évoqué par Muriel Boulmier, directrice générale du Groupe Ciliopée à Agen.
http://static.blogs.sudouest.fr/frontend/graphics/logo.png Sozio-profesionalaren defendatzaile unibertsitate en eskualdeko hurbiltzeko hurbilketa da.
Genuen ez Ekonomi, Gizarte eta Lurralde Ingurumen (Ceser) Akitaniako azken pleno saioan Haserretu. The eskualdeko sozio-profesional Izan iritzia ekin pick onak izan ziren, beren goi mailako hezkuntza eta ikerketari buruzko ekimenez.ñabardura guztiak, hizlaria Cuerq Antoine, Eskualdeko ordezkaria EDF jartzeko, rallied orientatzaileak Bordele Akitaniako Unibertsitateko ezartzea, lau Bordeleko unibertsitateetako barne deituz gehiengo handi bat, Paue eta Pays de l Unibertsitateko Aturri eta inguruko ikastetxe Bordeleko Unibertsitatean gaur egun.  "Edozein motatako balazta gainditu ditu," erreportari, honek unibertsitate sistema erretratatzen galdetzen "zatikatu eta sakabanatuta daude" "Horretarako, unibertsitateko denbora horizonte eskubidea da", bere aldetik Luke Pabon, Ceser presidenteak pleads. Gehiago...
26 septembre 2010

Universités: Bordeaux ou Aquitaine, un dilemme cornélien

http://classes.blogs.liberation.fr/libe_logo.pngPar Véronique Soulé. Bordeaux ou Aquitaine ? Le cru de renommée mondiale ou la région que Charlemagne  offrit en royaume à son fils ? Les quatre universités bordelaises, qui se sont regroupées et voudraient même fusionner, se cherchent un nom. Entre irréductibles pro-Bordeaux et tenants d'Aquitaine, le sujet est sensible.
Aujourd'hui, les universités doivent se vendre. En tout cas celles qui jouent le jeu de la compétition mondiale et des classements internationaux, qui rêvent d'attirer les meilleurs chercheurs étrangers et des masses d'étudiants chinois ou indiens. Pour cela, elles doivent être connues et donc porter des "marques" fameuses. A Paris, les universités se disputent pour avoir le mot "Sorbonne" dans leur nom. A Bordeaux, deux écoles s'affrontent - Bordeaux contre Aquitaine.
Le 20 septembre, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse s'est rendue à Bordeaux pour célébrer tous les progrès réalisés par  les universités grâce à ses réformes. Elle a placé cette rentrée sous le signe de l'optimisme et de l'autocongratulation. Tout allait très bien - des présidents d'universités pleins de projets, des étudiants plutôt heureux - jusqu'à ce que l'on aborde la question du nom. Le Pres (pôle de recherche et d'enseignement supérieur) qui s'est créé en regroupant les quatre universités, l'Ecole Polytechnique et Sciences Po Bordeaux, s'est baptisé Université de Bordeaux. Mais il va se transformer, changer son mode de gouvernance, voire fusionner, pour mieux se lancer dans la bataille mondiale. Comment alors va-t-il s'appeler?
Pour la ministre, il n'y a pas l'ombre d'un doute: Bordeaux. "On a énormément de mal à faire émeger des noms à l'étranger", dit-elle, évoquant les classements où la France est si mal placée, "il faut que nous ayons une logique offensive. Mais on manque de marques mondiales. Or Bordeaux en est une: au Japon, on connaît Paris, la Tour Eiffel, Bordeaux...". Face à elle, assis autour de la grande table, le président du Conseil régional d'Aquitaine, le socialiste Alain Rousset, également président de l'Association des régions de France (ARF), ronge son frein. Lorsque c'est son tour de parler, il attaque bille en tête: "le Conseil régional a fait le pari de l'université (comprenez: il y investit, ndlr). On tient à ce que la région soit notée. Je tiens autant au mot Bordeaux qu'au mot Aquitaine, qui est tout de même l'une des plus vieilles régions de France...". Finaud, le maire de Bordeaux Alain Juppé croit avoir trouvé la solution: "il faut éviter les bisbilles. Bordeaux est en Aquitaine. Je propose Université Bordeaux Aquitaine, UBA. Il y a bien UCLA en Californie".
Valérie Pécresse apprécie moyennement: "non, non, il faut arrêter avec les sigles" - elle venait de faire remarquer que le morcellement des universités et leur numérotation - Bordeaux 1, 2, 3 et 4 - étaient encore un héritage malheureux de mai 68. "Mais c'était une plaisanterie, chère Valérie", réplique Juppé. Sans vouloir prendre position, un journaliste se devant d'être neutre, ou au moins objectif en toutes circonstances, on ajoutera au crédit de la région que l'Aquitaine hante l'histoire et la littérature.
En 1854, un an avant sa mort, Gérard de Nerval commençait ainsi son poème "El desdichado":
"Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie"
Entre ces vers de Nerval et un verre d'Haut Brion, le dilemme est vraiment cornélien...
http://classes.blogs.liberation.fr/libe_logo.png By Véronique Soulé . Bordele eta Akitaniako? El mundo-ospetsuak vintage edo eskualde horretan Karlomagnoren dio erresumako bere semea? Bordeleko unibertsitateetako lau, The duten eraztunez hornituriko bildu eta batu nahi ere, izen bat bilatuz. Aldekoak eta pro-Bordeaux Akitaniaren arteko Irreducible, gaia pribatua da. Edozein kasutan duten play lehiaketa global eta nazioarteko sailkapenean, goiko duten atzerriko ikertzaile eta ikasleek txinatar eta indiar masa erakartzeko ametsa partida.Horretarako ziren, ezagutu behar dira eta, horrela egiteko "marka" ezaguna. Parisen, unibertsitateak dira hitza "Sorbona" beren izenean lehiatzen. Bordele, bi pentsamendu-eskolak - Bordeaux Aquitaine txarrez. Meer...
13 juin 2010

La Cour des comptes critique la politique de regroupement universitaire

http://l.liberation.fr/img/content/lg_libe.gifLa politique de regroupement universitaire en cours et son pilotage par l’Etat ont été critiqués mardi, devant la commission des Finances de l’Assemblée nationale, par la Cour des comptes et certains députés. Compte-rendu Pécresse devant la Commission des Finances.
«Le moment est peut-être venu de s’assurer que, dans ce paysage très évolutif, avec une succession d’annonces, la ligne stratégique du gouvernement est bien claire», a déclaré le président de la troisième chambre de la Cour des comptes, Jean Picq, devant la ministre et des députés.
Depuis 2006, plusieurs initiatives de regroupements des universités et des organismes de recherche ont été adoptées par les gouvernements successifs, dont les Pôles de recherche et d’enseignement supérieur (Pres), l’Opération campus et le grand emprunt, sans compter l’autonomie de gestion des universités.
S’interrogeant sur «l’impact encore faible» des Pres «en matière de formation et de recherche», la Cour des comptes a fait plusieurs recommandations au gouvernement pour y remédier.
«Une mise en cohérence des diverses initiatives législatives et financières majeures qui se sont succédé depuis quatre ans est indispensable pour savoir où l’on va», a déclaré Jean Pic, demandant notamment «quel est le rôle des Pres dans la mise en oeuvre du grand emprunt?». Ensuite la Cour a prôné de «donner plus de pouvoir aux Pres» mais aussi de «renforcer le pilotage stratégique de l’Etat» notamment via des contrats d’objectifs signés avec les Pres, alors que ces contrats sont signés aujourd’hui avec chacune des universités membres des Pres.
En réponse, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a assuré que «les Pres doivent être efficaces», jugeant qu’il fallait «aller plus loin» dans «la coordination de l’offre de formation», au niveau des doctorats et des masters surtout. Elle a ajouté que la contractualisation avec les Pres était possible, mais pas en doublon avec celles des universités et qu’il appartenait aux différents membres d’un Pres, dans le cadre de leur autonomie, de dire s’ils souhaitaient que «la structure porteuse» du contrat soit le Pres.
Concernant le grand emprunt, Valérie Pécresse a assuré que «le Pres sera choisi comme porteur du grand emprunt dans un très grand nombre de sites, mais il n’est pas impossible que le grand emprunt fasse apparaître la faiblesse intrinsèque de certains Pres».
Interrogé par plusieurs députés sur la «cohérence» et la «lisibilité» de la politique de regroupements en cours, la ministre a répondu que «tout ça est extrêmement cohérent».
Les Universités citées
L’opération « Campus » a incontestablement contribué à accélérer cette dynamique, en particulier en Aquitaine, à Aix-Marseille et en Lorraine.
Deux perspectives nous semblent envisageables : la première consiste à se placer dans une logique d’intégration, voire de fusion, qui ferait du PRES une forme transitoire d’accompagnement. Cette logique a prévalu à Strasbourg, même si l’on n’a pas eu recours au PRES, et c’est apparemment celle qui est retenue par les acteurs du terrain en Lorraine, à Marseille, à Montpellier et à Lille.
J’ajoute que des démarches sont en cours en Lorraine ainsi que dans l’académie d’Aix-Marseille quand celles de Montpellier et de Lille ont fait part de leurs intentions en la matière.
En l’occurrence, je le répète, le passage à l’autonomie peut profiter aux PRES : les fonctions supports de l’université Aix-Marseille 3 – dont la logique facultaire est très forte – étaient par exemple réparties au sein de chacune des facultés avant d’être transférées d’abord au niveau central de l’université – 23 emplois ont été concernés afin de mutualiser notamment les fonctions d’achat –, puis à celui du PRES.
Le Gouvernement se plaît, en outre, à rappeler qu’il a incité les universités de Grenoble et de Montpellier à entrer dans cette dynamique vertueuse.
Il faut également saluer le rapprochement de Lyon 2 et de Lyon 3, qui était inimaginable il y a quelques mois alors que les champs de formation et de recherche de ces deux universités sont identiques. Des projets phares ont été lancés, tels que la création d’un learning center aux standards internationaux.
Il faut en outre être conscient que certains PRES sont encore très jeunes, comme le PRES « Paris Cité » qui réunit notamment l’université Paris-Descartes, Sciences-Po et l’université de Tolbiac. De grands espoirs peuvent être fondés sur ce PRES, créé il y a seulement quelques semaines.
Je reviens, par exemple, de l’École centrale de Paris, qui est en train de mettre au point un master conjoint avec Supélec et Paris-XI, et d’ouvrir une voie d’entrée en grande école par l’intermédiaire des licences et des DUT délivrés par Paris-XI, ce qui était impensable il y a quelques mois.
La mutualisation est très diverse dans le domaine de la formation. Même si beaucoup d’écoles doctorales ont été regroupées, un seul cas de transfert effectif de compétences a pu être relevé, à Paris Est.
C’est, semble-t-il, ce que souhaitent les responsables des PRES de Lyon, de Toulouse, de Bordeaux, de Paris-Est et d’UniverSud. Dans ces deux hypothèses, une douzaine de sites pourraient, au total, atteindre la visibilité internationale souhaitée.
Par ailleurs, si le rapport de la Cour des comptes considère que les PRES préfigurent des fusions entre universités, je me montrerai quant à moi plus prudente, la fusion ne constituant pas l’étape ultime des rapprochements interuniversitaires. L’exemple strasbourgeois montre en effet combien il est difficile de la mettre en œuvre : outre qu’il y faut une volonté politique forte de la part des établissements, les universités peinent à mettre en place la lourde ingénierie de gestion qui s’impose. Si je me félicite donc des réflexions qui se font jour à ce sujet, je mets également en garde les structures les plus fragiles qui souhaiteraient accélérer le processus : qu’elles songent à se fiancer avant de se marier car un échec entraînerait bien des difficultés !
J’ajoute que les PRES sont particulièrement précieux lorsqu’il s’agit, par exemple pour une région, de travailler au rayonnement international d’un pôle unique, comme c’est notamment le cas en Aquitaine, en Languedoc-Roussillon, en Midi-Pyrénées, à Lyon, à Grenoble ou à Lille.
Si, aujourd’hui, ces derniers peuvent délivrer directement les diplômes de doctorat dans cinq sites au moins – Lyon, Grenoble, Paris-Est, la Lorraine et Paris-Tech –, il conviendra non seulement de coordonner l’offre en masters, ce qui supposera une évolution législative en matière de « diplomation », mais aussi d’accroître les signatures communes ainsi que la mutualisation des fonctions supports dès lors que les universités se doteront de certaines d’entre elles en matière notamment de gestion des ressources humaines et financières.
Par ailleurs, si la création des PRES a constitué une véritable dynamique – comme j’ai pu le constater au sein de l’université lilloise – l’État ne doit-il pas veiller, dans le cadre de sa mission de pilotage, à ce qu’aucun pôle universitaire ne soit écarté, notamment dans le Nord-Pas-de-Calais ou en Lorraine ? Enfin, je note que, même si sa dotation générale a été significativement augmentée, l’Institut d’études politiques de Lille souffre d’un important déficit d’emplois statutaires que la RGPP interdit, semble-t-il, de combler.
Je serai à Lille la semaine prochaine, monsieur Cacheux, afin de décider avec l’ensemble des acteurs de la meilleure stratégie à adopter. En l’occurrence, il est hors de question de laisser de côté les universités d’Artois, de la Côte d’Opale et de Valenciennes. Nous avons donc tout intérêt à bâtir un PRES « Nord de France » très solide.
http://l.liberation.fr/img/content/lg_libe.gifLa politica di raggruppamento in corso e la sua gestione da parte dello Stato sono stati criticati il Martedì dinanzi alla commissione finanze dell'Assemblea nazionale, la Corte dei conti e alcuni parlamentari.  Relazione Pécresse prima della Commissione Finanze.
Università citati
L'operazione "Campus" ha indubbiamente contribuito ad accelerare questo slancio, in particolare in Aquitania, Aix-Marsiglia e in Lorena. Due prospettive sembrano possibili: il primo è quello di porsi in una logica di integrazione o fusione, che costituirebbe un PRES accompagnamento di transizione. Questa logica ha prevalso a Strasburgo, anche se non abbiamo usato il PERS, e apparentemente quello utilizzato dagli attori sul terreno in Lorena, Marsiglia, Montpellier e Lille. Vorrei aggiungere che le misure sono in corso in Lorena e l'Accademia di Aix-Marseille, quando quelli di Montpellier e Lille hanno espresso le loro intenzioni in proposito. In questo caso, ripeto, la transizione verso l'indipendenza possono beneficiare VICINO: le funzioni di supporto dell 'Università di Aix-Marseille 3 - facoltà logico è molto forte - per esempio, sono stati distribuiti all'interno di ogni facoltà prima di essere trasferito prima a livello centrale dell'Università - 23 posti di lavoro sono stati particolarmente interessati a mettere in comune le funzioni di acquisto - e quello di PRES. Maggiori informazioni...
28 janvier 2010

Achèvement du rapprochement des universités de Bourgogne et de Franche-Comté

http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/header/educpros-fr.gifPar Marie-Aline Desvignes. Les universités de Bourgogne et de Franche-Comté, proches géographiquement et partiellement complémentaires, mutualiseront en 2010 leurs équipes, leurs ressources et leurs moyens pour constituer un PRES (pôle de recherche et d'enseignement supérieur). Deux originalités caractérisent ce rapprochement : une base interrégionale et un statut de fondation.
L'histoire du rapprochement des universités bourguignonne et franc-comtoise a commencé en mai 2007 par la signature d'une convention de partenariat donnant naissance au PRES Bourgogne-Franche-Comté. Après deux années de concertation entre les différents groupes de travail des deux sites, l'année 2010 marquera une étape décisive avec l'aboutissement de plusieurs chantiers de taille. D'une part, une association, dénommée Université fédérale Bourgogne-Franche-Comté, assurera la démarche de mutualisation des deux universités et de leurs écoles rattachées, AgroSup Dijon et l'ENSMM de Besançon. D'autre part, le PRES sera porté par une fondation de coopération scientifique (FCS) chargée de dynamiser la recherche et l'innovation pour pouvoir appuyer des projets d'intérêt commun et renforcer les pôles d'excellence et de développement économique. Ce statut est particulier parmi les PRES, qui sont des établissements publics de coopération scientifique. Le 13 janvier 2010, s'est tenue à Dijon une réunion constitutive de la fondation de coopération scientifique du PRES Bourgogne-Franche-Comté. Les représentants politiques et économiques (conseils régionaux, communautés d'agglomération du Grand Dijon et du Grand Besançon, pôles de compétitivité, Areva, Seb, Alstom, General Electric...) et les établissements d'enseignement supérieur (Agrosup, ENSMM, UTBM, ESC Dijon) des deux régions y ont manifesté leur volonté d'adhérer au PRES via cette FCS...
http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/header/educpros-fr.gifDepus de Marie-Desvignes Aline. Universităţile de Bourgogne şi de Franche-Comte, punct de vedere geografic apropiate şi parţial complementare, precum şi combinarea echipele lor în 2010, resursele şi mijloacele necesare pentru a fi un PRES (centru de cercetare şi învăţământ superior).Două caracteristicile originale caracterizează această apropiere: o bază interregionale şi statutul de fundaţie. Istoria universităţilor apropiere Burgundy şi Franche-Comté a început în mai 2007, prin semnarea unui acord de parteneriat care duce la PRES Burgundia şi de Franche-Comté. Mai mult...
26 janvier 2010

Naissance de NATech

http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/header/educpros-fr.gifPar Géraldine Dauvergne. Deux écoles d’ingénieurs, l’Ecole Centrale de Nantes et l’Ecole des Mines de Nantes, ainsi que l’école de management Audencia se rassemblent sous un établissement unique, Nantes Atlantic Technology (NATech), qui veut être le « premier consortium français conjuguant l’ingénierie et le management dans le domaine de l’enseignement supérieur ».
La recherche et les relations internationales restent les premiers domaines « fusionnés » de la stratégie d’ensemble des trois écoles. Celles-ci s’appuient sur des initiatives conjointes déjà existantes : double cursus grande école « ingénieur manager », formation intitulée « cycle des hautes études en développement durable », programme d’ouverture sociale « Brio ». La nouvelle structure est un GIE (groupement d’intérêt économique) structure aux règles juridiques souples, contrairement à un établissement public de coopération scientifique (EPCS) tel que ParisTech (qui regroupe douze prestigieuses grandes écoles de la région parisienne).
Un directeur du GIE NATech devrait être nommé d’ici l’été 2010. Le consortium souhaite mener à bien la création de plusieurs programmes académiques centrés sur la double-compétence ingénieur-manager, dont un post-bac, un MBA, et un doctoral en partenariat avec des entreprises.
http://www.educpros.fr/fileadmin/www.educpros.fr/templates/img/header/educpros-fr.gifPor Geraldine Dauvergne. Dos escuelas de ingeniería, la Ecole Centrale de Nantes y Ecole des Mines de Nantes, y la Escuela de Gestión de Audiencia se reúnen en un lugar único, Nantes Atlántico Tecnología (NATECH), que quiere ser el consorcio "en primer lugar la combinación de la ingeniería francesa y la gestión en la educación superior. Más información...
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