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Formation Continue du Supérieur
30 mai 2013

Les emplois vacants

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.png?1221723946Les emplois vacants: réunion de travail du mardi 28 mai
Auditions de M. Arnaud DE LA TOUR, Président du PRISME et de Mme Françoise DIARD, Responsable du Pôle « Emploi – Gestion des Compétences », UIMM. Présentation PRISME.
Les emplois vacants: séance plénière du mardi 21 mai

Au cours de cette réunion plénière consacrée au thème des « emplois vacants », le Conseil a entendu M. Jean BASSÈRES, Directeur général du Pôle emploi, et Mme Emmanuelle WARGON, Déléguée générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP). Présentation E. Wargon, DGEFP. Présentation J. Bassères, Pôle emploi.
http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.png?1221723946 Folúntais: cruinniú ag obair ar Dé Máirt 28 Bealtaine
Éisteachtaí Arnaud DE LA Tour, Uachtarán PRISM agus Françoise DIARD, Ceann Rannáin "Fostaíocht -. Scileanna Bainistíochta", UIMM PRISM Cur i láthair. Níos mó...
30 mai 2013

Les sites délocalisés de l’Université de Poitiers

http://www.cese-poitou-charentes.fr/local/cache-gd2/33593f231945e3439d7e3814457a93c4.jpgDans le droit fil de ses travaux « Pour une stratégie ambitieuse de développement de l’enseignement supérieur en Poitou-Charentes », le CESER a apporté sa vision et ses propositions aux côtés de l’Université de Poitiers sur le thème de l’avenir des sites universitaires délocalisés. Un 4ème « cahier » a été réalisé sur ce thème afin d’enrichir le débat, apporter des réflexions et pistes d’actions aux acteurs concernés en vue de l’élaboration des projets de schéma de développement local de l’enseignement supérieur et de la recherche des sites universitaires d’Angoulême et de Niort. Télécharger le cahier n° 4 "Les sites délocalisés de l’Université de Poitiers". Télécharger les autres cahiers.
"Les sites délocalisés de l’Université de Poitiers" - Introduction

Les politiques d'enseignement supérieur ont orienté depuis la fin des années 80 le développement universitaire vers une territorialisation croissante des premiers cycles. Cette territorialisation de l'enseignement supérieur était le fruit de processus multiples qui doivent autant à la politique de décentralisation, à la volonté de l'Etat à travers les plans « Université 2000 » en 1990 et « Université du 3ème millénaire » (U3M) en 2000, qu'à l'émergence des collectivités territoriales comme acteur à part entière des politiques universitaires locales.
Ce phénomène s'est concrétisé par le développement de nouveaux sites universitaires délocalisés, dans des villes moyennes, hors des capitales régionales, accueillant non seulement des IUT mais également des premiers cycles universitaires et des formations plus ou moins spécialisées de niveaux licence ou master. Progressivement, il s'est créé un « service public d'enseignement supérieur de proximité » favorisant l'accès à l'université sur le territoire, en particulier pour les enfants issus de milieux modestes, participant ainsi au rééquilibrage de la répartition des populations étudiantes dans un contexte d’accroissement des effectifs. Ce maillage territorial des sites universitaires délocalisés est devenu en une quinzaine d'années dense et contrasté du fait des différences d'offres de formation, de conditions d'études et de nature de publics. En Poitou-Charentes, des relations institutionnelles et financières existent depuis des années entre les universités et les collectivités territoriales (contrats de plan successifs, contrat de projets actuel et divers partenariats thématiques ou conjoncturels).
2 sites universitaires à Angoulême et à Niort sont nés de la volonté des collectivités territoriales, en particulier des villes et des Conseils généraux concernés, pour développer une offre d'enseignement supérieur locale et répondre aux besoins de formation de leur bassin d'emplois. S'ils sont similaires par la taille (respectivement 1 800 et 1 200 étudiants), ils sont très différents dans leurs finalités, leurs conceptions et leurs organisations territoriales. L'une des principales questions qui se pose aujourd'hui est celle de leur avenir compte tenu du contexte actuel de stabilisation des effectifs universitaires, de renforcement des pôles nationaux et de concurrence entre les sites d'enseignement supérieur aux niveaux international, national et régional.
Par ailleurs, la clarification des responsabilités des collectivités territoriales (projet de Loi de décentralisation et réforme de l'action publique) risque de remettre en cause leurs domaines de compétences alors qu'elles financent (Régions comprises) pour moitié les activités des sites délocalisés. Il devient nécessaire de développer l'attractivité de ces sites dans une logique de renforcement et de spécialisation à la fois parce qu'ils correspondent à une volonté des étudiants de s'orienter vers des filières plus qualifiantes et parce qu'ils doivent se positionner différemment des grandes universités pour faire face à la mondialisation de l'enseignement supérieur...
II- Enjeux et Préconisations du CESER...

Le CESER a identifié 3 enjeux assortis de préconisations et d'actions prioritaires à mener pour le développement des sites universitaires délocalisés:
1. La formalisation des partenariats entre les acteurs institutionnels et les universités pour pérenniser et amplifier le développement universitaire en région
2. La constitution de « Pôles universitaires spécialisés » ancrés sur le territoire
3. L'obligation de stratégies immobilières pour optimiser les équipements et créer des Campus durables et attractifs.
1. La formalisation des partenariats entre les acteurs institutionnels et les universités pour pérenniser et amplifier le développement universitaire en région

En Poitou-Charentes, les universités et les territoires sont liés depuis plusieurs années et évoluent en interaction. Si l'enseignement supérieur et la recherche relèvent des compétences de l'Etat, des collectivités territoriales ont choisi de s'y investir, au-delà des politiques contractuelles (CPER et Contrat de projets) dans le cadre de la clause générale de compétences.
Avec la LRU dans la gouvernance des universités et la future réforme des collectivités territoriales, les universités sont plus que jamais amenées à se rapprocher des collectivités territoriales pour déterminer ensemble une stratégie de développement.
Une stratégie régionale d'autant plus importante que dans le même temps, et ce même si l'Etat laisse aux collectivités la possibilité de financer l'enseignement supérieur dans les territoires, les moyens qu'elles y consacreront pourraient être amenés à diminuer.
• Pour le CESER, le maintien du soutien des collectivités territoriales est essentiel pour l'avenir des sites universitaires délocalisés.
Il est urgent de formaliser les engagements entre l'Etat, l'université de Poitiers et les collectivités territoriales concernées sous la forme d'un COM (Contrat d'objectifs et de moyens) ou d'un SDU (Schéma de développement universitaire) comme il en existe par exemple depuis 2005 entre la Communauté urbaine de Lyon et l'université.
L'enjeu de cette contractualisation est triple:
– planifier de manière pluriannuelle le soutien financier des partenaires concernés;
– déterminer des priorités partagées avec les moyens humains et financiers répondant aux objectifs et aux stratégies d'actions des différents partenaires;
– donner une stabilité aux actions engagées, indispensable pour l'attractivité des sites.
• Par ailleurs, il importe d'améliorer la cohérence régionale des interventions des collectivités territoriales en matière d'enseignement supérieur et de recherche.
Le projet de Schéma régional de l'enseignement supérieur et de la recherche (SRESR) du Conseil régional peut aider à la construction d'une stratégie partagée de développement de l'enseignement supérieur et de la recherche en Poitou-Charentes.
Pour cela, ce schéma devrait:
– inscrire ses orientations dans l'ensemble des « grandes politiques » menées à l'échelle de la région et servir de trait d'union entre le CPRDFP (Contrat de plan régional de développement des formations professionnelles), le SRDEESS (Schéma régional de développement économique, écologique, social et solidaire), et la SRI (Stratégie régionale de l'innovation)];
– donner plus de lisibilité et d'efficacité aux différentes interventions et dispositifs de soutien en matière d'enseignement supérieur et de recherche;
– rendre lisibles les compétences et actions de chacune des structures;
– favoriser l'émergence de « Pôles d'enseignement supérieur » avec des réorganisations, mises en réseaux, voire des mutualisations;
– instaurer un dispositif de prospective pour permettre un suivi et une amélioration du système d'enseignement supérieur et de recherche en région.
Ce Schéma pourrait également compenser les effets générés par les politiques nationales d'excellence (priorité aux grands ensembles à visibilité mondiale) et apporter un soutien aux projets, structures ou équipes nécessaires au développement régional ou les aider à progresser pour intégrer les programmes régionaux d'excellence.
2. La constitution de « Pôles universitaires spécialisés » ancrés sur le territoire

Les sites universitaires d'Angoulême et de Niort donnent accès à une offre de formation de proximité complémentaire des filières d'enseignement supérieur de l'université de Poitiers (dont ils dépendent) et de La Rochelle.
• Pour le CESER, l'internationalisation et la concurrence ne sont pas incompatibles avec une approche territorialisée de l'enseignement supérieur dès lors que l'offre de formation s'appuie sur des spécialités ou des spécificités territoriales. Créés pour répondre aux attentes des territoires, ces sites universitaires délocalisés doivent aujourd'hui voir leur légitimité et leur lisibilité renforcées en devenant de véritables « Pôles universitaires ».
– À Niort, un effort important a déjà été mené par l'université de Poitiers et les collectivités territoriales pour regrouper dans un « mini Campus » l'ensemble des filières d'enseignement supérieur et construire une offre de formation globale sur le thème du risque et de l'épargne en partenariat avec les mutuelles et les banques.
Ce travail doit être poursuivi pour créer autour de l'IRIAF (Institut des risques industriels, assurantiels et financiers) un « Pôle universitaire d'expertise des risques » rassemblant l'ensemble des formations supérieures dans ces domaines.
Pour le CESER, il s'agit non seulement de développer la coopération et le fléchage de ces formations mais de leur donner une lisibilité internationale.
A cet effet, l'offre de formation continue doit être développée. Au-delà d'une adaptation des formations existantes aux besoins des entreprises, le CESER propose de:
➢ créer à cet effet une interface universités/entreprises;
➢ développer des formations ou des modules de formation ouverts à des étudiants en temps partagé.
– A Angoulême, la situation est différente avec une importante dispersion des sites d'enseignement supérieur, mais une offre de formation supérieure à la fois attractive, diversifiée et très spécialisée sur le thème de l'image.
Pour le CESER, vouloir construire un véritable « Pôle universitaire Charentais » implique un plan global de réorganisation et de rationalisation des sites d'enseignement supérieur publics et privés avec 2 objectifs majeurs:
➢ créer un « Pôle universitaire de l'image » autour de l'ENJMIN et des autres établissements d'enseignement supérieur du Pôle de l'image Magelis (cf. annexe 3);
➢ structurer un Campus universitaire unique avec une gouvernance commune des formations en tenant compte des besoins exprimés par l'IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) et l'EIA (Ecole d'ingénieurs par apprentissage).
• Pour améliorer la gouvernance de ces « Pôles universitaires », le CESER insiste sur la formalisation juridique des partenariats entre l'université et les différents acteurs/financeurs concernés sous la forme d'un COM (Contrat d'objectifs et de moyens) et la présence sur place d'un correspondant permanent de l'université de Poitiers pour, en particulier, représenter l'ensemble des filières de formation.
Il propose par ailleurs, comme pour le PUN (Pôle universitaire de Niort), la mise en place d'une structure d'interface pour favoriser les échanges avec l'environnement professionnel, exploiter les particularités économiques locales, développer la formation continue.
• Enfin, la qualité des conditions de vie étudiante de ces « Pôles universitaires » est à améliorer.
Outre l'éloignement de certains sites entre eux, comme à Angoulême, ils souffrent tous d'un manque de logement, de services et de vie étudiante.
3.L'obligation de stratégies immobilières pour optimiser les équipements et créer des Campus durables et attractifs

Les universités du Poitou-Charentes présentent sur le plan immobilier des situations très différentes du fait de leur histoire, de leur taille, de leur situation géographique, qui nécessitent des stratégies d'aménagement et de développement spécifiques.
Les orientations proposées par les universités rejoignent les préoccupations du CESER. Elles ont inscrit dans leurs SPSI (Schéma pluriannuel de stratégie immobilière) et SDIA (Schéma directeur immobilier et d'aménagement) les grands principes de leurs programmes d'actions pour les années à venir quant à la gestion et à l'utilisation de leur patrimoine.
• Pour le CESER, l'objectif doit être tout d'abord de rendre les sites universitaires plus lisibles, plus cohérents et plus faciles à vivre:
– en améliorant l'organisation logistique et les lieux de vie étudiant des Campus,
– en renforçant l'utilisation et la mutualisation des équipements,
– tout en conservant la lisibilité des formations et sans « diluer » l'identité propre à chaque composante.
Désormais propriétaire de son patrimoine, un effort tout particulier devra être fait par l'université de Poitiers pour optimiser ses locaux et améliorer son taux d'occupation mais c'est aussi une opportunité pour faire du Campus universitaire, notamment grâce à son projet de « Learning Center », un véritable lieu de vie créant du lien social entre les étudiants.
• Les universités doivent intégrer les préoccupations environnementales dans tous leurs projets afin de maîtriser leur flux (donc des marges de manoeuvre financières futures) pour développer l'image et l'attractivité des Campus.
Dans le cadre du référentiel de « développement durable », l'université de Poitiers a engagé une réflexion globale en ce sens avec l'objectif de créer un « Eco Campus ».
Au-delà de la perspective purement patrimoniale, cette orientation a vocation à toucher l'ensemble des publics de l'établissement, à commencer par les étudiants et les personnels (politiques d'achats, pratiques professionnelles,...). Parallèlement aux actions engagées avec les collectivités locales en fonction des projets, des partenariats sont à mener avec le Conseil régional pour la mise en oeuvre d'une politique universitaire de développement durable dans 2 dimensions: stratégie éducative et gestion patrimoniale.
• Plus globalement, une stratégie de développement des universités à l'horizon 2020 doit marquer la fin de la conception d'une université avec des Campus plus ou moins « excentrés » sans lien direct entre les sites universitaires et le reste de la cité.
L'université doit s'ouvrir à la ville comme cette dernière doit également l'intégrer sur son territoire.
Des politiques communes d'aménagement et de développement du territoire sont à construire entre les universités et les différentes collectivités territoriales pour:
– renforcer l'accessibilité des sites et à leurs différents services communs (bibliothèques universitaires, Restos U, équipements sportifs) en transports collectifs et développer le réseau et la pratique de modes « doux »;
– encourager la mise en oeuvre de services coordonnés entre les villes et les universités pour une vie de Campus accueillante;
– créer les conditions d'une politique de logement étudiant qui réponde aux enjeux de mise à niveau et d'internationalisation (accueil étudiants étrangers).

http://www.cese-poitou-charentes.fr/local/cache-gd2/33593f231945e3439d7e3814457a93c4.jpg In line with its work "for an ambitious development strategy for higher education in Poitou-Charentes", the CESER brought his vision and proposals alongside the University of Poitiers on the theme of the future university sites offshore.A fourth "book" was conducted on this topic to enrich the debate, provide ideas and courses of action to stakeholders for the preparation of draft scheme of local development of higher education and research university sites Angouleme and Niort. More...

30 mai 2013

Recherche publique: quelle est la place de l’anglais ?

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngRecherche publique: quelle est la place de l’anglais?
L’Institut national d’études démographiques (Ined) publie les résultats de l’enquête Elvire (enquête sur l’usage des langues vivantes dans la recherche publique française) menée entre 2007 et 2009. L’enquête permet de dresser un bilan de l’application de la loi relative à l’emploi de la langue française du 4 août 1994, dite "loi Toubon", dans le secteur de la recherche.
Il apparaît que l’anglais occupe une position dominante dans tous les domaines de la recherche. Dans les sciences exactes, l’utilisation du français est devenue marginale: 96% des directeurs de laboratoire assurent que l’anglais est la langue la plus utilisée. Cette proportion est moins forte dans les sciences humaines et sociales: l’anglais y est déclaré dominant par 59% des directeurs de laboratoire. De la même façon, les publications, les réunions ou les colloques scientifiques se font essentiellement en anglais. L’enquête montre aussi que 25% des enseignants dispensent, régulièrement ou à l’occasion, des cours en anglais dans l’enseignement supérieur. Cette pratique est plus forte chez les chargés de recherche et les directeurs de recherche qui enseignent à l’université. Malgré la loi Toubon, l’anglais a donc continué à progresser dans les activités scientifiques.
Les résultats de l’enquête sont publiés alors que le projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche, discuté au ParlementParlementOrgane collégial qui exerce le pouvoir législatif (adoption des lois et contrôle du pouvoir exécutif). En France, le Parlement est composé de deux chambres: l’Assemblée nationale et le Sénat. à partir du 22 mai 2013, suscite un nouveau débat sur l’emploi du français dans l’enseignement supérieur. Le projet de loi prévoit, en effet, de nouvelles dérogations au monopole des cours en français.
Sur la toile publique

L’anglais hors la loi ? Enquête sur les langues de recherche et d’enseignement en France - François Héran, Ined, juin 2013, Population et Sociétés, n° 501.
Conseil des ministres du 20 mars 2013. Enseignement supérieur et recherche.
Rapport au Parlement sur l’emploi de la langue française 2012 - Délégation générale à la langue française et aux langues de France, oct. 2012, Bibliothèque des rapports publics, La Documentation française.fr.
http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.png Taighde poiblí: cad é an áit an Bhéarla?
Foilsíonn an Institiúid Náisiúnta um Staidéar Déimeagrafacha (ined) torthaí Elvira (suirbhé ar úsáid na dteangacha iasachta sa taighde poiblí na Fraince) a rinneadh idir 2007 agus suirbhé 2009.
An suirbhé a ghlacadh stoc ar chur i bhfeidhm an dlí maidir le húsáid na teanga Fraincise ar 4 Lúnasa 1994, ar a dtugtar "dlí Toubon" in earnáil taighde. Níos mó...
30 mai 2013

Valoriser mes compétences

http://www.mpfm.fr/template/mpfm/img/entete/logo.pngDévelopper ses compétences professionnelles permet d'anticiper l'évolution des métiers, de favoriser son employabilité. Découvrez l'économie régionale, les besoins en recrutement, vos droits à la formation pour accéder à de nouvelles perspectives professionnelles.
Retrouvez toutes les ressources qui vous guideront dans votre parcours professionnel

1. Quelles sont les tendances du marché de l'emploi?

Appréhender les enjeux en matière d'emploi et de formation en Midi-Pyrénées.
Les opportunités régionales.
Vous souhaitez connaître les secteurs porteurs en Midi-Pyrénées? Les pôles de compétitivité (regroupement d'entreprises, d'organismes de formation et de centres de recherche) offrent des oppportunités d'emploi dans les années à venir.
2. Quels sont mes droits à la formation?

Réaliser un bilan de compétences, comprendre le DIF, le CIF, et la VAE et trouver les structures pour m'accompagner.
DIF? CIF? VAE?
Vous recherchez un complément d’information sur un dispositif, retrouvez toutes les informations pratiques dans les fiches techniques! Tous vos droits à la formation: fiches techniques.
3. Quelle formation?

Consulter les formations proposées en Midi-Pyrénées.
http://www.mpfm.fr/template/mpfm/img/entete/logo.png A gcuid scileanna gairmiúla a fhorbairt Is féidir le réamh-mheas ghnó atá ag athrú, a chur chun cinn a n-infhostaitheacht. Faigh amach an gheilleagar réigiúnach, riachtanais earcaíochta, do cheart chun rochtain a fháil ar oiliúint le haghaidh deiseanna gairme nua. Níos mó...
29 mai 2013

L’anglais hors la loi ?

couverture_publicationL’anglais hors la loi? Enquête sur les langues de recherche et d’enseignement en France. Auteur: François Héran. Population et Sociétés N°501, juin 2013, 1,50 €. Lire ce numéro.

L'anglais a-t-il droit de cité dans les salles de cours de nos universités? Uniquement pour les étrangers, dit la loi de 1994, ou si le cours présente un « caractère international ». Or la science est internationale par définition, non par dérogation. La loi peut-elle empêcher la recherche et l'enseignement de manier les langues internationales de la science, à commencer par l'anglais? Une enquête de l'Ined resitue le débat en dressant un bilan de l'usage des langues par discipline et par génération.
Résumé

Une enquête auprès des chercheurs et enseignants chercheurs du secteur public atteste le quasi-monopole de l'anglais comme langue internationale d'échange dans les sciences dures et son ancrage dans les sciences humaines et sociales. Il en va de même des publications, des rencontres tenues en France ou des sites Internet. Un quart des chercheurs ou enseignants chercheurs ont donné des cours en anglais dans l'année. La loi de 1994 protège les consommateurs et les salariés; elle n'a pas entravé l'essor international d'une science toujours plus anglophone.
Sommaire
    * La science, internationale par exception?
    * Le français marginalisé dans les sciences dures
    * L'anglais entre monopole et domination
    * Recul du multilinguisme chez les jeunes
    * Cours en anglais: un quart des enseignants
    * Le déclin de la dénonciation de l'Empire américain
    * L'effet neutre de la loi Toubon.
couverture_publicationEnglish outlaw? Survey of language research and teaching in France. Author: Francois Heran. Population and Societies No. 501, June 2013, € 1.50. Read this issue.
The English have a right of citizenship in the classrooms of our universities?
Only for foreigners, said the 1994 law, or if the course has an "international character." But science is international by definition, not an exception. The law may block research and education to handle international languages ​​of science, beginning with the English? A survey of INED situates the discussion with a review of the use of languages ​​by discipline and generation. More...
29 mai 2013

Charte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises

http://www.fpspp.org/portail/images/ssi/exe_anim_format.gifCharte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises
Préambule

Conformément à la loi (art. L.6332-1-2 du code du travail), le FPSPP établit et publie la « Charte des bonnes pratiques pour les organismes collecteurs paritaires agréés et les entreprises ».
Par la présente Charte, les partenaires sociaux manifestent leur volonté de développer, en lien avec les OPCA et OPACIF et au service des entreprises et de leurs salariés:
    * Des actions de formation qui répondent aux besoins des entreprises (en particulier les très petites, petites et moyennes entreprises) et des publics les plus en difficulté;
    * La lisibilité, la transparence et l’optimisation du fonctionnement des OPCA et OPACIF;
    * La qualité de l’offre de formation et son évaluation.
Cette Charte a une dimension évolutive, par l’enrichissement continu des bonnes pratiques identifiées au sein des réseaux. Les OPCA et les OPACIF s’engagent à faire vivre la présente Charte en participant à l’harmonisation des démarches, la promotion et la diffusion des bonnes pratiques identifiées dans leurs réseaux. Le FPSPP organise des travaux collectifs nécessaires à la mutualisation, la diffusion, la valorisation des bonnes pratiques et crée les conditions de la coopération entre les réseaux OPCA et OPACIF.
L’application de la « Charte des bonnes pratiques pour les OPCA et les entreprises » est une des conditions de l’agrément des OPCA et des OPACIF (art.L.6332-1 du code du travail).
Elle est publiée sur le site internet du FPSPP et sur chaque site d'OPCA et d'OPACIF, au sein d'un espace dédié et facilement accessible.
Visualiser la charte.
Les OPCA et OPACIF s’engagent, selon leurs prérogatives respectives, à:
Publier sur internet
Publier, au sein d'une rubrique dédiée et identifiable de leur site internet:
    * La liste des priorités de financement des formations et des publics;
    * Les comptes ainsi que la liste annuelle, a minima, des cinquante premiers organismes de formation financés;
    * Les critères et conditions de prise en charge des formations;
    * Les synthèses de travaux des observatoires intéressant la formation.
Améliorer la lisibilité des informations

Améliorer la lisibilité des informations à destination des chefs d'entreprises et des salariés:
    * Sur les critères, les priorités, les modalités et conditions de prise en charge des publics visés pour chaque dispositif de formation;
    * Par la publication des actions de formation collectives;
    * Sur l’offre de formation disponible sur le territoire.
Simplifier les modalités de mise en œuvre

Simplifier les modalités de mise en œuvre des dispositifs pour faciliter l'accès des publics aux actions de formation.
Assurer les services de proximité

Assurer les services de proximité au bénéfice des chefs d’entreprises et des salariés par:
    * Le développement d'une offre de service spécifique en direction des entreprises, notamment des très petites, petites et moyennes entreprises;
    * Une couverture homogène du territoire, notamment grâce au développement des outils et services en ligne;
    * Le travail en réseau avec les acteurs de la formation, au niveau national et territorial.
Améliorer l’offre de formation

Contribuer à l’amélioration de l’offre de formation par:
    * La prise en compte des politiques de branche et de l’inter profession, des travaux prospectifs des Observatoires permettant d’anticiper les évolutions es métiers, des emplois et des qualifications. Les outils de diagnostic et d’accompagnement doivent être développés pour favoriser la réflexion sur les métiers et les qualifications;
    * L’individualisation des parcours de formation, l’optimisation de la durée de formation, le renforcement de l’accompagnement et de la fonction tutorale;
    * La mise en place d’une démarche d’évaluation de l’offre de formation, notamment du contrat de professionnalisation;
    * •La prise en compte des politiques de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences nationales et territoriales, interprofessionnelles ou sectorielles lorsqu’elles existent;
    * L’élaboration de procédures communes et partagées en matière d’achat de formation;
    * Une vigilance renforcée sur toutes dérives sectaires et pratiques frauduleuses.
Optimiser les services rendus

    * aux chefs d’entreprise;
    * aux salariés.
Mesurer la qualité

Mesurer de manière continue la qualité des services proposés.
http://www.fpspp.org/portail/images/ssi/exe_anim_format.gif Cairt dea-chleachtas chun OPCA agus gnóthaí
Brollach

De réir an dlí (airt. L.6332-1-2 den Chód Saothair), bunaíonn an FPSPP agus foilsíonn an "Charter of dea-chleachtais do chomhlachtaí bailithe chomhpháirtigh arna fhormheas agus gnóthaí."
Níos mó...
29 mai 2013

Forum Recherche, Innovation et Compétitivité

http://www.anrt.asso.fr/fr/association/img/image002.jpgL'ANRT s'associe aux Echos pour l'organisation du prochain Forum de la Recherche, de l'Innovation et de la Compétitivité 2013 qui se déroulera le vendredi 28 juin à Paris aux Salons Hoche. Programme et inscription (nombre de places limité).
Présentation
Le Forum de la Recherche, de l’Innovation et de la Compétitivité est prévu quelques mois après le débat sur la compétitivité en France: le rapport Gallois et les propositions gouvernementales ont rappelé que l’innovation est un levier majeur de compétitivité. Si la nécessité d’innover n’est plus à démontrer, le comment innover concerne les entreprises françaises qui doivent trouver les moyens de financer leurs investissements en R & D.
Au programme

- Politiques nationale et européenne de la R&D: quelle cohérence? Quelle gouvernance?
- Financement de l'innovation - Leviers publics, ressorts privés: ce qui marche et ce qui manque
- Articulation entre filières industrielles et technologiques, clusters et pôles de compétitivité: premier bilan concret, constat et perspectives
- De la recherche à l'innovation: le modèle français et ses alternatives 
- Innovation collaborative entre grands groupes, PME et ETI: la clé de la réussite pour un écosystème performant
Avec notamment l'intervention de Geneviève FIORASO, MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR  ET DE LA RECHERCHE

- Jean-Luc BEYLAT, Président du groupe de travail sur la réforme de la politique de transfert; Président Alcatel-Lucent Bell Labs France, Président du pôle de compétitivité, Systematic Paris-Région
- Marie-Pierre CHEVALIER, Directeur des alliances stratégiques, Pfizer
- Franck DEBAUGE, Directeur associé, ACIES Consulting Group
- Marko ERMAN, Senior Vice President & Chief Technical Officer, Thales
- Paul-François FOURNIER, Directeur de la Division Innovation, Banque Publique d'Investissement
- Charles LETOURNEUR, Managing Partner, ALVEN Capital
- Gérard MATHERON, Group Vice President R&D and Public Affairs, STMicroelectronics
- Agnès PAILLARD, Présidente, Aerospace Valley
- Jean-Christophe SIMON, Senior Vice-President Chief Innovation Office, SEB
- Ronan STEPHAN, Chief Innovation Officier, Alstom.
http://www.anrt.asso.fr/fr/association/img/image002.jpg ANRT joins the Echos to host the next Forum of Research, Innovation and Competitiveness in 2013 which will be held Friday, June 28 at the Paris Salons Hoche. Programme and Registration (limited number of spaces). More...
29 mai 2013

Jocelyn Meire - Directeur de la Cité des Métiers de Marseille et de PACA

http://www.rsepaca.com/upload/interviews/jocelyn-meire-222.jpgJocelyn MEIRE, vous êtes Directeur de la Cité des Métiers de Marseille et de Provence-Alpes-Côte d'Azur, labélisée Egalité en décembre 2012.Vous nous expliquez en quoi ce label vous concerne, ce qu'il vous apporte, votre positionnement sur ce « marché » et votre vision sur le marché de l'emploi...
La Cité est une structure juridique de type associatif, en quoi le Label Egalité vous concerne-t-il?

Notre association n'en est pas moins « employeur »; nous comptons 15 salarié-e-s (9 femmes et 6 hommes), auxquels s'ajoutent près de 10 Equivalents Temps Plein détachés par nos partenaires. Il nous a semblé intéressant de faire reconnaitre notre stratégie managériale interne, notamment en matière d'équité de traitement et d'accompagnement des collaborateurs -(trices) dans leur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. En outre, la démarche de labellisation est pour nous naturelle: nous fonctionnons en permanence, et sur tous les sujets, dans une démarche qualité.
Que vous apporte ce management par la qualité?

Nous sommes une structure régionale, et nous accueillons chaque année près de 100 000 personnes dans nos 9 implantations (dont 56 000 dans notre siège marseillais), auxquelles s'ajoutent les 400 000 utilisateurs de nos outils dématérialisés (sites internet et webmobile notamment); notre offre de service est centrée sur les besoins des personnes en recherche d'information et de ressources pour bâtir et sécuriser leur parcours professionnel. Fonctionner dans une démarche reposant sur la capitalisation des pratiques, la mesure de l'efficience, la remise en cause permanente, est pour nous un gage de pertinence de nos actions. Cela nous permet d'adapter en permanence notre offre de service, en répondant au plus près aux attentes des personnes en recherche d'information et de ressources pour bâtir et sécuriser leur parcours professionnel. Notre management par la qualité permet de partager expertise et bonnes pratiques pour faire face au quotidien à la diversité des demandes auxquelles nous devons répondre. Suite de l'article...
http://www.rsepaca.com/upload/interviews/jocelyn-meire-222.jpg Jocelyn Meire, tá tú ag Stiúrthóir na Cathrach na Ceirdeanna Marseille agus Provence-Alpes-Côte d'Azur, Comhionannas Lipéadaithe Nollaig 2012.Vous a mhíniú dúinn cad mbaineann an lipéad a thabhairt duit, tugann sé tú, do suímh seo "margadh" agus do fhís ar an margadh saothair. Níos mó...
29 mai 2013

L’orthographe – un enjeu professionnel

http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngPar Pascal Hostachy, cofondateur du Projet Voltaire. Nous sommes à la conjonction de deux phénomènes. D’une part le niveau de maîtrise de l’orthographe française baisse, d’autre part le monde professionnel ne nous a jamais autant exposés via nos écrits. Révolu le temps où l’on écrivait quelques lettres par jour aux clients, attentivement relues par la secrétaire de direction. L’e-mail est l’outil de communication professionnelle roi. Grâce à lui, nous écrivons tout le temps et à tout le monde, sans intermédiaire, pour le meilleur et pour le pire.
Idée reçue n° 1 – Peu importe l’orthographe, tant qu’on se comprend

Une étude anglo-saxonne (2011) montre qu’une faute d’orthographe sur une page de vente en ligne fait chuter de 50% le chiffre d’affaires de ladite page. Dire qu’une orthographe aléatoire peut nuire à la confiance des clients devient alors un doux euphémisme.
Idée reçue n° 2 – Pour les communications internes, l’orthographe n’est pas un enjeu

Tout dépend de la fonction. Pour des travaux très techniques et très manuels, l’orthographe importe peu. Pour des fonctions de management, la communication, écrite et orale, est l’enjeu n° 1. Ne pas soigner cette communication sur le fond comme sur la forme sera diversement apprécié par les collaborateurs à qui elle est destinée.
Idée reçue n° 3 – Qu’importe le français, c’est l’anglais qui prévaut!

L’anglais est en effet essentiel. De là à dire que le français ne l’est pas… Il suffit de se poser la question suivante: parmi les forces vives qui sortent des grandes écoles, quel est le pourcentage de personnes qui n’auront jamais affaire à des clients ou à des collaborateurs francophones? Suite de l'article...
http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngBy Pascal Hostachy, co-founder of Voltaire Project. We are a combination of two phenomena. On the one hand the level of proficiency in French spelling down, on the other hand the professional world we have never been as exposed through our writings. More...
29 mai 2013

De l’écrit, de l’imprimé, du numérique et des bibliothèques

http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.pngPar Marie-Pierre Redon et Sylvie Mersadier, groupe Documentation-Information de la CGE. L’écrit est lié à la valorisation du savoir avec ses problématiques inhérentes: la conservation et l’accès, traditionnellement assurés par les bibliothèques. Les supports de l’écrit se sont multipliés: de l’imprimé, on passe à l’imprimé numérisé puis à l’écrit nativement numérique; sous l’abord d’un maniement du document numérique rendu plus simple pour le lecteur, la conservation, la diffusion et l’accès s’en trouvent complexifiés.
Pour prendre l’exemple des revues scientifiques, les bibliothèques et leurs lecteurs ont désormais accès à des milliers de titres et à des millions d’articles, sous forme de bouquets, mais avec des coûts d’abonnement récurrents, en constante augmentation, et des difficultés nouvelles pour guider les lecteurs dans cette profusion d’information. Suite de l'article...
http://www.cge.asso.fr/images/frontend/logo.png De réir Marie-Sylvie agus Pierre Redon Mersadier,Doiciméadú-Information Scríbhneoireacht CGE Grúpa nasctha le forbairt an eolais lena fadhbanna is gné dhílis: a chaomhnú agus rochtain, ar choinníoll go traidisiúnta ag leabharlanna. Níos mó...
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