By Bruce Watson. For years, politicians and pundits have held forth about the high cost of higher education. Whether the issue du jour is rising tuition prices, falling returns on our educational investment, or the ballooning student debt bubble, the message has generally been the same: College is only getting harder to afford, even as it becomes more necessary. Recently, CourseSmart, an e-textbook provider, created an infographic that lays out in simple terms the details of the college tuition explosion -- and they're truly frightening. Over the last 30 years, tuition has increased 1,120 percent; by comparison, even the "skyrocketing" cost of health care only rose 600 percent, and housing costs have gone up a paltry 375 percent.
Not surprisingly, college loan debt has grown explosively too, outstripping car loans and credit cards as the largest sources of personal debt. Given the much-trumpeted 2011 announcement that Americans owed more than $1 trillion in student loans, this shouldn't be all that surprising. Nor, for that matter, should it be shocking that almost one in five families is currently paying off student loans. Read more...

Eine US-Firma hat ein Programm entwickelt, das Aufsätze von Studenten und Schülern benoten soll. Ob die Software menschliche Prüfer ersetzen kann, ist umstritten. Das Bewerten von Hausarbeiten und Klausuren ist eines der größten Ärgernisse im Bildungswesen. Für Schüler und Studenten, da sie oft wochen- oder monatelang auf Ergebnisse warten müssen. Und für Lehrer, Dozenten und Professoren, da sie viel Zeit investieren, die Ihnen fehlt, um zu unterrichten und zu forschen. Ein neues Computerprogramm könnte Abhilfe schaffen. Wie die New York Times berichtet, hat das Unternehmen edX eine Software entwickelt, die schriftliche Arbeiten automatisch benotet. EdX ist ein Gemeinschaftsprojekt der Harvard University und des Massachusetts Institute of Technology (MIT). Mehr...

Bildungsforscher sagen einen Mangel an Masterplätzen voraus. In den kommenden Jahren könnten Zehntausende Bewerber leer ausgehen. In den kommenden Jahren könnten die Masterplätze an deutschen Universitäten knapp werden. Eine Studie des Centrums für Hochschulentwicklung (CHE) zeigt, dass die Universitäten mit viel mehr Bewerbern rechnen müssen als bisher angenommen. Die Wissenschaftler sehen die Politik in der Pflicht, Geld für weitere Studienplätze bereitzustellen. Die Forscher entwarfen drei Zukunftsszenarien. Jedes von ihnen basiert auf einer anderen Anzahl von Master-Bewerbern. Mehr...

Fast doppelt so viele Studienanfänger wie erwartet strömen an die Hochschulen. Bund und Länder streiten über die Finanzierung. Leidtragende könnten die Studenten sein.
Welche Chancen haben Abiturienten, im Herbst einen Studienplatz zu bekommen? Schlechtere noch als die vorherigen Kohorten? Die Mittel aus dem Hochschulpakt für zusätzliche Studienplätze sind wegen des großen Andrangs von Studienanfängern erheblich schneller abgelaufen, als ursprünglich geplant. Die Nachverhandlungen gestalten sich schwierig.
Gerechnet hatten die Politiker für die Jahre 2011 bis 2015 mit 327.335 zusätzlichen Studienanfängern. Nun werden 623.787 erwartet. Bund und Länder müssen bis 2015 jeweils über zwei Milliarden Euro mehr ausgeben als geplant. Inzwischen kostet diese zweite Phase des Hochschulpakts – nach Aufstockungen für die Aussetzung der Wehrpflicht – insgesamt mehr als doppelt so viel wie ursprünglich gedacht: Statt 6,4 Milliarden Euro werden es 14 Milliarden Euro. Die für die Jahr 2014 und 2015 fehlenden vier Milliarden sind noch nicht beschlossen. Mehr...

Actifs, le webzine de l'Agefiph. Voir le numéro 21. Voir les numéros précédents d'Actifs.
« Une des clés d’un maintien dans l’emploi réussi est l’implication forte de tous les acteurs: le médecin du travail, l’employeur, le salarié et le Sameth. »  Pascale Bompart, consultante Sameth.
Retranscription de l’interview sonore de Pascale Bompart, consultante Sameth
Journaliste : Nous sommes aujourd’hui en présence de Pascale Bompart, consultante Sameth, partenaire service de l’Agefiph qui a accompagné Patrick Garcia dans sa démarche de maintien dans l’emploi. Alors Madame Bompart, comment avez-vous fait la connaissance de Patrick Garcia?
Pascale Bompart : Monsieur Garcia m’a été adressé par le médecin du travail suite à une visite de pré-­reprise parce qu’il y avait plusieurs rechutes d’un accident du travail et que les contre-­indications commençaient à devenir contraignantes.
Journaliste : Et quel rôle avez-­vous joué dans sa démarche de maintien dans l’emploi?
Pascale Bompart : J’ai accompagné Monsieur Garcia dans sa reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé dans la mesure où ce n’était pas encore fait et il y avait quelques réticences car le mot fait toujours peur au salarié. Et puis ensuite j’ai rencontré l’employeur et le salarié sur le poste de travail. Et grâce à des précisions apportées par le médecin sur les restrictions médicales très précises, on a identifié ce qu’on pouvait mettre en place. Sur les aménagements identifiés, il y avait des mesures qui relevaient de l’organisation de l’entreprise et qui ont été rapidement mises en place. Et un aménagement plus conséquent qui était la passerelle d’accès au malaxeur de la centrale où il y avait une contre-­indication pour monter les escaliers. C’était un grand escalier, il fallait le remplacer par une passerelle à plan incliné. Une fois ces aménagements identifiés, on a demandé bien sûr au médecin du travail de les valider. Ensuite l’entreprise a travaillé sur les aspects de normes et de sécurité. Une fois qu’elle a eu l’accord de principe, nous avons pu demander à l’Agefiph un accompagnement financier conséquent.
Journaliste : Vous avez donc collaboré étroitement avec l’Agefiph?
Pascale Bompart : Oui, c’est-à-­dire qu’au niveau de la direction régionale Auvergne de l’Agefiph, le Sameth est en contact très réguliers au moment de l’instruction des dossiers. On propose un dossier à l’Agefiph Auvergne en expliquant ce qu’on souhaite mettre en place et pourquoi, en leur donner le plus possible d’éléments qui permettent de comprendre dans quelles mesures on relève de la compensation du handicap pour permettre le maintien dans l’emploi du salarié. Pour l’instruction de ces dossiers, il y a un travail de collaboration important entre le Sameth et l’Agefiph Auvergne.
Journaliste : Finalement, selon vous, quelles sont les conditions de réussite d’un maintien dans l’emploi?
Pascale Bompart : Une implication forte des acteurs principaux qui sont l’employeur, le médecin du travail, le salarié et le Sameth. Patrick Garcia était très impliqué dans la recherche de solutions pour son propre maintien. L’employeur a également fait beaucoup de démarches. Le rôle du Sameth a été de coordonner le travail de chacun, d’être force de propositions, de faciliter la mobilisation des différents partenaires et des différentes mesures qui existent. Il me semble que ce travail de coordination ne peut se faire qu’à partir d’un ancrage territorial fort dans la mesure où on a une proximité géographique aussi bien avec la médecine du travail qu’avec les différents partenaires. On les connaît depuis longue date, on a un travail de collaboration qui s’est développé et qui permet aujourd’hui de traiter des situations médicales ou médico-­professionnelles un peu sensibles dans un climat de confiance et d’efficacité.
Journaliste : Confiance et efficacité, et bien ce seront les mots de la fin. Merci Pascale Bompart pour toutes ces précisions.

Blog "Il y a une vie après le bac" d'Olivier Rollot. Quel rôle et quelle organisation pour l’université aujourd’hui?: entretien avec Jacques Comby, président de l’université Jean-Moulin Lyon 3.
L’université Lyon 3 Jean-Moulin fait partie de ces grandes universités orientées vers les sciences humaines avec une forte composante de droit et de gestion. Son président, Jacques Comby, accorde une importance toute particulière au placement de ses étudiants et à ses bonnes relations avec le monde de l’entreprise. Alors qu’une nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et la recherche va voir le jour, il revient aussi sur quelques points importants sur la gouvernance des universités.
Olivier Rollot : Lyon 3 propose de nombreuses disciplines mais le droit et les sciences de gestion, notamment avec un IAE, semblent les plus importantes. Comment gérez-vous cet ensemble?
Jacques Comby : Le droit et la gestion ont joué un rôle essentiel dans la fondation de notre université, née d’une scission au sein des universités lyonnaises il y a de cela quarante ans. Ces composantes représentent à elles deux 60% des étudiants, et sont des piliers essentiels auxquels s’ajoute d’ailleurs un IUT en droit et gestion, mais au-delà nous sommes riches d’une grande diversité de formations et spécialités de recherche dans notre établissement. Ainsi, nous avons également une puissante faculté de langues qui intègre les sciences de la communication, mais aussi une faculté des lettres et civilisations de très grande qualité qui héberge les départements de lettres, de communication, de géographie et d’histoire, et enfin une faculté de  philosophie des plus réputées. Suite de l'article...

By Umair Haque. Here's a tiny question: what do you do when reach the edge of heartbreak? Consider the story of my good friend Priya. Let go from a successful career in finance, with no new opportunities on the horizon, Priya bravely decided to write a book about careers and meaning. One long year later, Priya's blown through her savings, broken up with her partner, moved back to her parents' place, and generally feels like her so-called future just went Vesuvius.
Life, liberty, and the pursuit of...whatever. Ah, screw it: what's the point, anyways? In that sentiment, Priya's hardly alone. If you're under the age of 35 and/or worth less than a few dozens of millions, you probably get the sinking feeling, by now, that you're being written off by today's leaders. Here's the inconvenient truth...you are. Read more...

By Kent Anderson. Confirming earlier speculation, Elsevier has acquired the reference management site Mendeley. Terms were not disclosed, but TechCrunch has estimated the deal to be worth between $69 million and $100 million in total. That’s approximately $30-45 per user. Given revenues that seem to be relatively slight at this point, Elsevier appears to have paid a significant multiple for Mendeley.
From Elsevier’s perspective, the deal is accurately described as, “Elsevier Acquires Mendeley.” However, because Mendeley has been a darling of open access (OA), which inevitably brings with it some anti-Elsevier sentiments, the deal may also be interpreted as, “Mendeley Sold Itself to Elsevier.” Read more...

Two weeks ago we launched a Massive Open Online Course (MOOC) in association with the University of San Diego (USD). Based on “Sustainability in the Supply Chain,” the six-week course is aimed at managers working in supply chain positions around the world. For those unfamiliar with the MOOC terminology, this sort of course operates at scale and is open to anyone who wishes to join.
Two Types of MOOCs
Broadly speaking there are two types of MOOCs: cMOOCs and xMOOCs. cMOOCs follow a “connectivism” approach, which is based on the work of George Siemens, Stephen Downes, and others working at the forefront of online learning theory. (Siemens and Downes host http://mooc.ca as a place to host MOOC news and information.) Read more...

Graham Attwell just posted this video and I thought it was interesting to share it [ ... also for my own sake, as note taking kind of a  thing] because it stresses some very important points regarding the facilitation of learning.
If we believe that learning is anchored in engagement, then we really need to design for engagement. I think this is where creating learning contexts becomes key. I think that the role of the teacher is to create challenges that encourage learners to take responsibility for their learning because that activity becomes enjoyable, appeals to them, they can identify themselves with. Hence, it becomes fun. It is not a hahaha fun, but rather a I am hooked to it kind of fun!
The video also resonates to some of the discussions Professor Gráinne Conole has started around presence and deeper sense of connection online environments are able to convey. Read more...