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Formation Continue du Supérieur
21 mars 2019

Université de Rouen

hceres.frUne unité mixte de formation continue en santé (UMFCS) a été créée en 2014 pour doter l’UFR d'une plate-forme autonome de services destinée à porter les différentes offres de formation continue proposées par les universitaires aux professionnels de santé notamment dans le cadre du développement professionnel continu.
Comme indiqué dans le rapport d’autoévaluation, l’équipe présidentielle est constituée du président, de cinq vice-présidents (VP) de conseils (2 VP du conseil d’administration (CA), l’un en charge des ressources humaines (RH), de l’immobilier et du développement durable, l’autre de la stratégie et de la communication, un VP de la commission formation et vie universitaire et 2 VP de la commission recherche, l’un étant responsable des deux domaines « sciences et technologie » et « sciences du vivant et environnement » et l’autre des lettres et sciences humaines et sociales), du vice-président étudiant (VPE) et de quatre VP fonctionnels (Partenariats et relations avec les entreprises ; Formation continue, alternance et insertion professionnelle ; Numérique ; Relations internationales).
Parmi les points forts de l’offre de formation de l’URN, il faut souligner le développement de la formation continue, de l’alternance et du contrat de professionnalisation, qui ont entraîné une augmentation considérable des ressources propres.
Entre 2012 et 2015, augmentation de 53 % (de 673 à 1028) du nombre de stagiaires de la formation continue financée, inscrits dans les diplômes nationaux, et de 20 % (de 263 à 317) du nombre d’étudiants inscrits sous le régime de la reprise d’études non financées (RAE, p. 38). Les recettes issues de la formation continue (Indicateur IS-11 : 3,048 M€ en 2014, cible 2016 : 4 M€) ont progressé de 46 % entre 2011 et 2014.
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21 mars 2019

Université de Bourgogne

hceres.frLe développement de formules de formation continue, ou de formules hybrides (formation initiale/continue) mieux adaptées à la demande des milieux socio-économiques, tout comme la sensibilisation à l’entrepreneuriat auprès des étudiants, vont également dans ce sens. Il faut noter que ce choix stratégique reçoit un soutien actif, y compris sur le plan financier, de la part des partenaires locaux.
Enfin l’UFR Santé a créé une unité mixte de formation continue pluridisciplinaire très performante intégrant la médecine, la pharmacie, la maïeutique et la kinésithérapie. Malgré ces résultats, l’UFR Santé, qui avec 4 976 étudiants constitue la plus lourde par les effectifs, souffre d’un faible taux d’encadrement des étudiants comme l’atteste le taux d’encadrement moyen de 5,09 en 2015, contre une moyenne pour l’ensemble de l’uB de 5,520. Ceci handicape le développement des formations médicales et paramédicales et l’accueil d’un plus grand nombre d’étudiants.
5 - Une stratégie de formation tout au long de la vie très pertinente mais qui questionne son avenir
Par les modalités de formation offertes à un large public, l’uB montre une véritable volonté de mettre en oeuvre des formations bien ancrées sur les différents territoires et adaptées aux besoins des différents publics et partenaires.
L’uB a choisi une gestion centralisée, pilotée par le pôle FVU et un vice-président et mise en oeuvre par un service commun très professionnel, le Service commun de formations continue et par alternance (SEFCA). Ce service a compétence pour l’ensemble des composantes, y compris les IUT et l’UFR sciences de la santé. Les composantes ont l’entière compétence pédagogique et le service central assure la gestion administrative et les relations partenariales, y compris avec les partenaires sociaux. Dans cet esprit, une unité spécifique, appelée Unité mixte de développement professionnel continu (UMDPC), portant la formation continue en santé, est un modèle d’organisation, permettant de mettre en synergie l’ensemble des compétences de l’université pour répondre aux besoins du secteur. Porté principalement sur les formations diplômantes, le développement régulier de l’activité, mesurée aussi bien en nombre de stagiaires (+98 %) et d’alternants (+9 %), qu’en recettes facturées (+31 %) depuis 2012, traduit la constance des orientations. Toutes les composantes sont actives avec des pointes à 21 % des inscrits en alternance à l’IAE ou 16 % en formation continue en santé. Par ailleurs, le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) est efficace et reconnu avec en moyenne 65 jurys de VAE par an.
Les tarifs et l’affectation des recettes sont votés en CA et garantissent aux composantes un retour de 75 % des recettes facturées. L’excellente implantation sur l’ensemble du territoire est complétée par un soutien financier, conventionné et pluriannuel de la région aussi bien pour la formation des demandeurs d’emploi que pour l’apprentissage. Ces financements, qui représentent en 2014 plus de 10 % des recettes, ne sont pas garantis dans la nouvelle région et constituent une fragilité au moment où l’établissement mise sur les recettes de formation continue pour consolider son budget. La piste d’un développement des formations qualifiantes courtes est étudiée, mais, au-delà de la nécessité de trouver son marché, elle se heurte à la pénurie de ressources humaines dans l’université, la limitation des heures complémentaires à 50 % du service statutaire pouvant être considérée comme un frein. Enfin, tant la stratégie de la nouvelle région, avenir de la convention pluriannuelle, que celle de la Comue sur la compétence formation continue portent des incertitudes qui devront être levées rapidement pour que la stratégie proactive de l’uB puisse se développer.
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21 mars 2019

Université du Havre

hceres.fr2 - Une offre de formation insuffisamment rationalisée
a) La persistance de formations fragiles
Malgré la restructuration d’une partie de l’offre de formation afin de maîtriser le volume de la charge d’enseignement (fermeture de quelques masters à très faible effectif, mutualisation de formations et d’enseignements de licence dans le cadre des deux portails de L1 en ST et surtout en LSH qui a consenti un gros effort de rapprochement de ses licences), persistent des formations de licence et master à petits effectifs, avec parfois un fort pourcentage d’étudiants étrangers, des taux de réussite assez bas et une faible sélectivité. Ainsi en ST, les parcours de L3 sont trop nombreux (5 dans la mention physique - sciences de l’ingénieur pour 170 étudiants) et certains masters ont du mal à trouver leur public (outre électronique et ondes qui n’a pu ouvrir, sciences des environnements continentaux et côtiers) de même qu’en lettres et langues (notamment le master études anglophones - recherche). Malgré la forte mutualisation en licence, il y a encore, à l’UFR LSH, un nombre important d’UE à faibles effectifs. Certaines LP ont également un effectif réduit et en baisse (animation technique des bassins versants, concepteur en installations industrielles, systèmes à énergies renouvelables et alternatives). On peut notamment regretter les faibles flux vers ces licences des L2 généralistes ; il faudrait sans doute mieux formaliser les parcours permettant d’y accéder.
Le comité recommande également de simplifier l’offre de formation, notamment généraliste, afin d’assurer sa soutenabilité et de dégager des moyens pour des actions prioritaires (telles que l’aide à la réussite et le soutien aux pédagogies actives).
b) Une coordination régionale naissante
Malgré la volonté affichée de renforcer les partenariats avec les autres universités dans le cadre du Pres, puis de la Comue Normandie Université, la coordination de l’offre de formation au niveau régional est embryonnaire.
Dix-huit spécialités de master sont cohabilitées, mais les cohabilitations semblent, pour une part d’entre elles, avoir un caractère relativement formel21, à l’exception notamment du master physique, mécanique, sciences de l’ingénieur, organisé sur plusieurs sites et souvent cité en exemple, et plus largement des partenariats avec l’Insa Rouen. Il en résulte un manque de lisibilité de l’offre de formation au niveau régional. Une réflexion est lancée dans le cadre de la Comue, afin de mieux coordonner les masters et de renforcer leur attractivité, la dimension régionale de nombreux laboratoires favorisant celle-ci. Le vice-président de la commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) à l’université du Havre a été chargé de cette coordination au sein de la Comue, avec la volonté de la faire avancer. Le principe, dans le cadre du prochain contrat, est celui de la co-accréditation des mentions de master, auquel s’est rallié l’UFR AI du Havre, les M1 comportant un tronc commun en termes de compétences permettant d’accéder aux différents parcours de M2 proposés par les établissements. Mais ce principe rencontre des résistances, notamment en ST.
La coordination permettrait également à l’ULH de se recentrer sur ses points forts, notamment pour renforcer son identité dans le cadre de la Comue et l’attractivité de ses formations.
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21 mars 2019

Université d'Angers

hceres.fr3 - Une progression dynamique et cohérente de la formation continue
En 2014-2015, 935 étudiants étaient inscrits en formation continue. La reconfiguration du centre universitaire de formation continue en une direction de la formation continue (DFC), relocalisée à proximité de la Deve, en tant que lieu d’interface entre les milieux socio-économiques et les composantes a permis de clarifier les missions. Ainsi la DFC assure une veille stratégique en lien avec l’environnement, prescripteurs et financeurs, suit les différents publics (en reprise d’étude, valorisation des acquis de l’expérience – VAE, etc.) de leur accueil à leur certification ou diplomation en passant par la construction de parcours de formation de plus en plus individualisés. Si la DFC n’assure plus l’opérationnalisation des formations prise en charge par les composantes, elle accompagne les équipes pédagogiques en termes d’ingénierie et de développement de projet de formation continue, du besoin à sa commercialisation. Dans ce cadre, elle a créé un pôle commercial et assure la relation aux clients, aux entreprises.
Les recettes issues de la formation continue ont augmenté progressivement au cours du contrat et s’établissent à 2 638 k€ en 201436. L’augmentation est liée notamment au succès à l’appel d’offre région « Je me qualifie » destiné aux demandeurs d’emplois qui a permis de financer deux LP et un titre RNCP37 « responsable de formation », au financement par la région d’une assistance à maîtrise d’ouvrage pour accompagner la démarche compétences et ainsi rendre plus lisibles les formations de l’université vis-à-vis du monde socio-économique. Si, jusqu’à présent, la formation continue hors santé était centrée sur une mission de service public (reprise d’étude, diplôme d’accès aux études universitaires, VAE, etc.) l’UA souhaite s’ouvrir sur le marché concurrentiel de la formation continue en se focalisant sur quelques secteurs clés tels que : santé, végétal, tourisme, objets connectés, et doubler son chiffre d’affaire d’ici 2020. Sa réponse à l’appel à manifestation d’intérêts qui fait suite au rapport Germinet38 va lui permettre, via le recrutement d’un enseignant-chercheur big data-informatique et d’un professionnel du marketing digital, de développer une offre nouvelle, innovante et modulaire dans le domaine du big data en lien avec les secteurs clés définis par l’université.
L’UA a aussi développé l’alternance avec 50 formations accessibles et près de 400 alternants inscrits en 2014-2015 à peu près répartis de façon égale en contrats d’apprentissage et en contrats de professionnalisation, soit deux fois plus qu’en 2011-2012.
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21 mars 2019

Université de la Polynésie française

hceres.fr4 - Une formation continue en progrès qui empiète sur le domaine de la formation initiale
Le service de la formation continue comprend un directeur, trois gestionnaires de formation et une secrétaire. Il collabore étroitement avec le VP Ceve. Associé à la construction du schéma des formations, il joue également un rôle important dans l’évolution de la carte des formations. La formation continue est quasi exclusivement portée par cette direction, très rares sont les projets à l’initiative des départements et filières.
L’offre de formation continue répond à des objectifs clairement énoncés. A côté d’objectifs classiques comme élever le niveau de formation (diplôme d’accès aux études universitaires, par exemple) et renforcer les compétences professionnelles, le service de formation continue oriente sa stratégie vers la réponse à des besoins ciblés du secteur privé (le nombre de stagiaires du secteur public s’est effondré, passant de 404 en 2012 à 73 en 2015). Les stagiaires inscrits à titre individuel représentent environ les deux tiers des inscrits en 2014-2015, stagiaires d’entreprise et demandeurs d’emploi se partageant à égalité le dernier tiers. Les deux tiers des formations sont diplômantes, seulement 6 % sont certifiantes. Deux secteurs regroupent environ les deux tiers des stagiaires : le droit-économie et la comptabilité-gestion (respectivement 39 % et 27 %). Le domaine des langues-culture-sciences humaines représente 18 % et bénéficie d’un intérêt croissant. Le secteur sciences-santé-technologie est en recul (16 %).
Le dynamisme incontestable de cette direction se traduit par le fait que l’ensemble des licences professionnelles, la licence suspendue en administration publique ainsi que deux masters, formations a priori de nature initiale, sont incluses dans l’offre de formation continue. En revanche, il est surprenant de constater que la tarification de la formation continue pour un public de salariés soit la même que pour le public étudiant. Le coût de cette dernière, comme le souligne l’UPF, reste très largement inférieur aux frais occasionnés par des études en métropole. Il serait malgré tout préférable que les étudiants en formation initiale bénéficient du tarif d’inscription conforme à la réglementation.
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21 mars 2019

Université de la Nouvelle-Calédonie - UNC

hceres.frL’UNC se compose de trois départements de formation initiale (DEG, LLSH et ST) et d’un service de la formation continue.
2 - Une formation continue à développer tout en confortant le rôle de ses enseignants
La formation continue (FC) est structurée depuis peu en service et dispose comme support du centre de formation d’apprentis universitaire (CFA) que l’UNC a créé en 2015. Ce service propose un grand nombre de formations, diplômantes ou non, concernant 17 % de l’effectif étudiant et représentant 2 % du budget de l’UNC. Il fonctionne avec un emploi de titulaire et trois emplois sur ressources propres.
La plupart des formations initiales sont ouvertes à la formation continue sous la forme de compléments de formation à des personnes déjà dans la vie active et ciblés sur l’acquisition de certaines compétences (cela concerne quelques dizaines d’étudiants, essentiellement en licences professionnelles et masters). L’UNC propose également la préparation au DAEU qui tente de répondre à une attente forte de rééquilibrage entre les provinces de la NC. Avec la construction du pôle numérique et technologique (PNT), qui devrait être progressivement mis en service en 2018, l’UNC pourra proposer son catalogue de formation sous forme d’enseignement à distance, à l’instar de la capacité en droit qui fonctionne ainsi depuis 2015.
L’UNC veut être un établissement « réactif» en proposant des diplômes universitaires (DU) répondant aux demandes du monde socio-économique de la NC. À titre d’exemple, on peut citer les DU en développement des territoires, géologie appliquée, histoire des arts en Océanie, langues cultures océaniennes et apprentissage. Mais comme l’a déjà souligné le rapport d’évaluation de l’Aeres 2012, certaines de ces formations ne font intervenir aucun enseignant de l’UNC. On ne peut que réaffirmer la nécessité pour l’UNC de définir un cadrage de ses DU qui ne se limite pas à en assurer la seule responsabilité et qui précise la part minimale des enseignements obligatoirement réalisés par des enseignants de l’université.
L’UNC aura à repréciser le rôle de son service en formation continue dans un contexte où deux de ses composantes (l’IUT et l’Espé) jouissent d’une autonomie de gestion en la matière et devraient augmenter de manière significative leur offre de formation.
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21 mars 2019

Université des Antilles

hceres.frOn trouve sur le pôle Martinique neuf composantes dont l’UFR des lettres et sciences humaines, l’UFR de droit et d’économie, le département scientifique interfacultaire (DSI), quatre instituts : Institut d’études judiciaires (IEJ), Institut de préparation à l’administration générale (Ipag), Institut universitaire de formation continue, un IUT et une Espé.
4 - La formation continue : un enjeu de développement pour le territoire comme pour l’établissement
Hors diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU) l’activité de formation continue est relativement modeste et les choix organisationnels varient d’un site à l’autre. Les équipes pédagogiques n’ont pas toutes intégré les enjeux économiques et sociétaux dans ce domaine, alors que ce sont bien les enseignants-chercheurs et leur expertise qui font la plus-value d’une université sur le marché de la formation continue. Enfin, il est souhaitable que les IUT qui bénéficient d’une expérience de la formation continue la mettent au service de l’établissement, lorsque leur mise en place effective les rendra pleinement opérationnels. Un portage politique fort de l’établissement, relayé au niveau de chaque pôle afin de répondre aux spécificités des deux territoires, est une condition du développement de cette activité. En revanche, le choix opéré de travailler en partenariat avec des universités métropolitaines pour délivrer sur une période courte des diplômes de type licence professionnelle (LP) répondant à un besoin de formation professionnelle clairement identifié, semble pertinent.
Dans un contexte budgétaire contraint, la rationalisation de l’offre de formation dont la nécessité est déjà identifiée par le rapport d’évaluation de l’UAG réalisé par l’AERES en 2009 devrait permettre de dégager les moyens nécessaires pour mieux accompagner les étudiants vers la réussite, rééquilibrer les moyens disponibles vers les secteurs de formation présentant les besoins les plus élevés, et inciter les équipes pédagogiques à se consacrer à la formation continue qui relève pleinement des missions de l’université.
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21 mars 2019

Universite Pierre Mendès France - Grenoble - UPMF

hceres.frIX – La formation continue à renforcer
La formation continue (FC) concerne 1 000 stagiaires financés (dont environ 500 en contrat de professionnalisation) et 1 200 non financés. Le service FC, placé au sein de la DIFEVE, n’est pas spécialement développé à l’UPMF, faute d’une prospection audacieuse et d’un soutien important dans le corps enseignant ; la situation ne se distingue guère de celle d’autres universités si ce n’est peut-être par l’ancienneté de l’EAD dans certaines disciplines. Son mode de fonctionnement illustre par contre parfaitement le fonctionnement propre à l’UPMF : le VP CFVU fixe un cadre. Le traitement administratif des dossiers s’effectue essentiellement au sein du service rattaché à la DIFEVE et les composantes, au plus près du terrain, sont sollicitées pour la partie pédagogique. Même si l’établissement met en oeuvre la validation d’acquis de l’expérience (VAE), la réflexion en matière de formation tout au long de la vie (FTLV), menée au niveau inter-établissement, n’apparaît pas prioritaire.
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21 mars 2019

Université Stendhal - Grenoble 3

hceres.frIX – La formation continue à renforcer
La formation continue (FC) concerne 1 000 stagiaires financés (dont environ 500 en contrat de professionnalisation) et 1 200 non financés. Le service FC, placé au sein de la DIFEVE, n’est pas spécialement développé à l’UPMF, faute d’une prospection audacieuse et d’un soutien important dans le corps enseignant ; la situation ne se distingue guère de celle d’autres universités si ce n’est peut-être par l’ancienneté de l’EAD dans certaines disciplines. Son mode de fonctionnement illustre par contre parfaitement le fonctionnement propre à l’UPMF : le VP CFVU fixe un cadre. Le traitement administratif des dossiers s’effectue essentiellement au sein du service rattaché à la DIFEVE et les composantes, au plus près du terrain, sont sollicitées pour la partie pédagogique. Même si l’établissement met en oeuvre la validation d’acquis de l’expérience (VAE), la réflexion en matière de formation tout au long de la vie (FTLV), menée au niveau inter-établissement, n’apparaît pas prioritaire.
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21 mars 2019

Université Bordeaux Montaigne

hceres.fr2 - La formation continue et l’apprentissage
Depuis décembre 2014, les services de la formation continue et de la formation en apprentissage sont toujours en gestation et mériteraient d’être soutenus de manière forte, notamment par un positionnement clair dans l’organigramme et par un renforcement des moyens humains. Le développement de ces services permettrait une meilleure prise en compte de la diversité des publics étudiants, qui fait défaut actuellement.
L’UBM a décidé de renforcer son positionnement dans les domaines de la formation continue (FC), et plus spécifiquement de la reprise d’études, de la validation des acquis de l’expérience (VAE) et en tant qu’opérateur de formation continue pour les PMI et PME20 et les institutions régionales. Le service de formation continue est composé de 3,5 ETP dont le responsable. Ses marges de progression sont très importantes, notamment en matière de bilan de compétences. Toutes les formations sont présentées comme susceptibles d’être suivies en FC. En réalité, trois seulement ont été conçues comme telles. Les autres sont à repenser pour permettre une capitalisation dans la durée des éléments pédagogiques. En matière de formation professionnelle, les axes prioritaires sont les langues, en présentiel, à destination des PME et PMI, le FLE (Français Langues Étrangères) en offre ouverte, l’écologie et les carrières sociales. Six opérations de VAE ont été conduites en 2014 ; l’orientation actuelle encourage un accompagnement pédagogique plus collectif.
Le Centre de formation des apprentis (CFA) de l’UBM est un service dirigé par le VP délégué à la formation continue. Si l’apprentissage a d’abord concerné l’IUT pour la spécialité des métiers du livre et s’est récemment développé avec l’ouverture du master journalisme en 2014, son extension à un nombre significatif de formations est encore à l’état d’intention. Les projets les plus avancés concernent la L3 en développement international, la L3 Valorisation animation médiation (VAM) territoires ruraux, et le master édition. La nouvelle dynamique est susceptible de bénéficier aux filières suivantes : métiers du livre ; économie créative ; développement du territoire ; langues, culture et formations.
Dans le contexte de la réforme de la taxe d’apprentissage, il est urgent que des choix soient faits : l’organisation de l’apprentissage à l’UBM doit-elle être concentrée ou décentralisée ? Le positionnement externe du CFA de l’UBM au sein du site métropolitain et régional est aussi un enjeu important. Sur ces deux points, la stratégie de l’UBM en matière d’apprentissage comme de formation continue, n’est pas encore assez définie. Les moyens en ressources humaines paraissent être à la mesure de la sous-exploitation du potentiel.
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