
En une image, Le Point a synthétisé l’évolution du chômage en 2013 et ces dernières années. Sur l’ensemble de l’année, seul l’emploi des jeunes (catégorie A) n’a pas augmenté. Suite...
Du 3 au 7 février 2014, le programme des chroniques HORIZON sera consacré au bilan de compétences.
Pour évoluer dans son entreprise, changer de branche, trouver un emploi ou simplement faire le point sur son parcours professionnel, le bilan de compétences constitue un outil efficace. Cette démarche permet, par étapes et avec l’aide d’un consultant spécialisé, d’identifier précisément ses connaissances, savoir-faire, attentes et éventuels points de blocage. Ces informations sont ensuite utilisées pour définir des pistes d’évolution professionnelle et les moyens mobilisables, notamment en termes de formation. Un bilan de compétences peut être financé dans le cadre du plan de formation de l’entreprise, ou avec le Droit Individuel à la Formation, voire un congé, ou encore par des aides accordées par Pôle emploi, les missions locales ou Cap emploi.
Lundi : pourquoi un bilan de compétences ?
Mardi : un bilan pour quels publics ?
Mercredi : le bilan de compétences pour les salariés.
Jeudi : trouver un emploi grâce au bilan.
Vendredi : choisir son accompagnement.
Ecoutez nos Chroniques HORIZON sur les radios locales ou sur notre site horizon-info.org.
Introduction
Sauvegarder et promouvoir la richesse et la diversité du patrimoine culturel de l’Europe sont devenus des objectifs fondamentaux du Conseil de l’Europe. Les langues régionales ou minoritaires constituent une partie intégrante de ce patrimoine. Depuis 1992, le Conseil de l’Europe propose aux États membres la possibilité de confirmer leur engagement pour la protection de ce patrimoine en ratifiant la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires.
La Charte, élaborée à partir d’un texte proposé par la Conférence permanente des pouvoirs locaux et régionaux de l’Europe, a été adoptée en tant que convention par le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe le 25 juin 1992 et ouverte à la signature le 5 novembre 1992, à Strasbourg. Elle est entrée en vigueur le 1er mars 1998.
A ce jour, la Charte a été ratifiée par vingt-cinq États (Arménie, Autriche, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Finlande, Allemagne, Hongrie, Liechtenstein, Luxembourg, Monténégro, Pays-Bas, Pologne, Norvège, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse et Ukraine). Huit autres États l'ont signée dont certains doivent bientôt déposer leur instrument de ratification.
Texte de la charte.
Conférence internationale de CercleS en 2014: Centres de langues dans l’enseignement supérieur: Concevoir et explorer des profils et des pratiques plurilingues (4-6 septembre 2014, Université de Fribourg, Suisse)
La Confédération Européenne des Centres de Langues de l'Enseignement Supérieur (CercleS) est engagée depuis 1991 dans les échanges et la coopération entre institutions impliquées dans l’enseignement des langues en Europe. Elle a comme objectif de fédérer les centres de langues de l’éducation supérieure, ainsi que les départements, instituts, facultés et écoles dont la responsabilité principale est l’enseignement des langues.
Le "CARAP – Un Cadre de référence pour les approches plurielles des langues et des cultures" résulte de deux projets du CELV de 2004 à 2012. Un site web multifonctionnel et riche en contenu a été élaboré dans ce contexte pour les groupes cibles suivants:
France: Séminaire annuel sur le Centre européen pour les langues vivantes du Conseil de l'Europe sur les « Politiques européennes des langues et priorités nationales »
La délégation générale à la langue française et aux langues de France/DGLFLF, la direction des relations européennes et internationales et de la coopération/DREIC (ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et de la recherche) et le Centre international d’études pédagogiques, en partenariat avec la direction de la coopération culturelle, universitaire et de la recherche (ministère des affaires étrangères), organiseront le 4 février 2014 au CIEP de Sèvres son séminaire annuel sur le Centre européen pour les langues vivantes du Conseil de l'Europe sur le thème : Politiques européennes des langues et priorités nationales.
Public cible: Maximum 80 personnes: enseignants, inspecteurs, inspecteurs généraux, DAREIC, étudiants en didactique des langues, associations spécialisées dans les politiques linguistiques, responsables du CNDP et des CRDP.
Proposition de programme de ce séminaire, ses objectifs, descriptif sur le Centre européen pour les langues vivantes
Pour vous inscrire, prière de vous adresser à michel.lefranc@education.gouv.fr.
La compréhension réciproque est essentielle pour une vie commune harmonieuse. Pour que ce rêve d'un continent sans clivages devienne réalité, l'Europe a donc besoin de citoyens pouvant tous communiquer en utilisant les diverses langues parlées sur son territoire. En vue de ce défi, le Conseil de l'Europe a créé le Centre européen pour les langues vivantes, une institution unique en son genre dont la mission est d'encourager l'excellence et l'innovation dans l'enseignement des langues et d'aider les Européens à apprendre les langues de manière plus efficace.
Les objectifs stratégiques du CELV consistent à aider ses Etats membres à mettre en œuvre des politiques efficaces d'enseignement des langues en:
Afin d'atteindre ses objectifs stratégiques, le Centre européen pour les langues vivantes organise un programme de projets internationaux dans le domaine de l'éducation aux langues (voir les Activités du CELV plus haut). Basant son travail sur les valeurs fondatrices du Conseil de l'Europe et son rôle de pionnier dans le domaine de l'éducation aux langues, le CELV est dans une position idéale pour servir de catalyseur aux réformes dans l'enseignement et l'apprentissage des langues.
ECML/CELV
Centre européen pour les langues vivantes
Nikolaiplatz 4
A-8020 Graz
T 43 316 323554
F 43 316 323554-4
By Gary Attle. In this series of posts to be published jointly on our fusion and technology law update blogs, partner Greg Gibson and colleagues from our Technology Team explore some of the legal issues surrounding the rapid growth of MOOCs (massive open online courses).
The New York Times famously branded 2012 “The Year of the MOOC”, following the launch of edX, by Harvard and the Massachusetts Institute of Technology, and the rapid growth of other online course providers, such as Coursera and Udacity.
Despite the hype, distance learning is, of course, nothing new. Students have learnt by the traditional “correspondence course” for centuries and the UK’s Open University has long been a pioneer of distance learning techniques. Distance learning can also take many forms, as witnessed by the British Council’s innovative collaboration with Plan Ceibal for the remote teaching via videoconference of up to 4,800 English classes per week (http://www.britishcouncil.org/partner/track-record/ceibal-en-ingles). What makes MOOCs different, and potentially disruptive for the traditional education model, is their sheer scale and reach and ability, if managed properly, to offer interactive learning opportunities to students “any place,any time”. More...
By Jim Shimabukuro. We might disagree with Sugata Mitra’s SOLE, or Self-Organized Learning Environment, on specific points, and we might say that his arguments may be oversimplified, but it’s tough to disagree with the idea that teaching could be boiled down to an intriguing question, a computer with internet access, and an encouraging adult. In this scenario, schools and teachers are absent. Students, naturally motivated to discover the answers for themselves online, are intermittently cheered on by adults, who don’t teach but simply encourage, and this intervention, if you can call it that, could easily be from a distance via untrained but caring adults. More...