Les jeudi 14 et vendredi 15 novembre 2013, à Nantes
Les assises de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche ont une nouvelle fois mis au jour la nécessité pour l'université d'agir en faveur de la réussite de tous les étudiants. Chacun garde à l'esprit qu'agir sur l'amélioration de la vie des membres de la communauté universitaire, tout comme intégrer pleinement l'université dans son territoire, participe pleinement à la réussite des parcours de formation. Toutefois aujourd'hui nous constatons qu'aucun espace de dialogue global et cohérent des acteurs de la vie étudiante n'est mis en place.

Les Journées Universitaires de la Vie Étudiante ont donc pour objectif de :

1. Faire naître un véritable débat, sur une période déterminée, afin que l'ensemble des acteurs nationaux puisse se rencontrer et s'interroger collectivement sur leur vision des politiques en matière de vie étudiante. L'objectif étant également de dépasser le simple stade « d'échanges des pratiques ».
2. Réunir l'ensemble des acteurs autour d'un périmètre inédit. Cette rencontre sera l'occasion de réunir, au niveau national, les acteurs techniciens (DVE, SVE, CROUS ...) et les acteurs politiques (VPVE, VPE, VP CEVU, VP CROUS...) gravitant autour des problématiques de vie étudiante.

Participants /invités :

By Mirabel Shanny. Although Massive Open Online Courses (MOOCs) are fast becoming a popular option for students worldwide, the medium faces several challenges along the way to realizing its full potential. According to completion statistics, more than 90 percent of students who enroll in a MOOC drop out, as many feel isolated, disengaged or just lose interest. MOOCs, heralded as the next great technological disruption in education, went mainstream last year with the broad popularity of Khan Academy, Coursera, edX and Udemy. Putting lecture videos and interactive coursework on the web makes it possible for top-notch universities to make education available to more students. MOOCs have already shown they can attract massive number of students. According to Geoffrey A. Fowler of The Wall Street Journal, Coursera, the largest provider of online courses, has drawn 5 million students, and nonprofit provider edX has attracted more than 1.3 million. More...

By Justin Reich. MIT's Media Lab is holding a course this fall called Media Lab X: A Design Course for New Learning Platforms, devoted to tackling design problems in online learning, from MOOCs to Skillsharing and beyond. They asked me to speak last week, so I gave a short talk, which basically was stringing together ideas from several posts I've written here. It seemed like a good moment to offer an EdTech Researcher retrospective on MOOCs.
First, be sure you understand what connectivism is and the history of the development of MOOCs from 2008. The history and present of so called cMOOCs sheds light on some of the limitations of the much more well known xMOOCs published by Udacity, Coursera, edX and so forth. From EdTech Researcher, start with On our cMOOC inspired site for the Future of Learning Institute, but then be sure to read this recent piece from Times Higher Education about the history of MOOCs. More...

By Paul Stacey. Webinar given for University of Cape Town 17-Oct-2013 exploring the pedagogical differences between cMOOCs and xMOOCs. Pedagogical recommendations given along with recommendations around adoption

By Amy Bruckman. How do you assign readings to a large number of people in a free online course?
I’ve been puzzling over this question this week. I voted against the creation of our online master’s of computer science, and I still have serious reservations about it–particularly about the hastiness of the development plan. But since we’re going ahead with the program, I was thinking maybe I’d offer a class.  (We’re doing it–I might as well help.)  Our model is that classes have a for-credit section for which students pay a low tuition, and a free not-for-credit one (MOOC).  The for-credit students will have access to our library. The free students of course can’t.  So this week I asked what I thought was a simple question: how do we get readings to the MOOC students? More...

Après avoir organisé en mars dernier une conférence sur l'impact du numérique sur les métiers de la formation et du conseil, le CARIF Espace Compétences, vous propose un temps d`échanges et de réflexion autour de l'évolution de la jeunesse.

Cette matinée technique s'inscrit dans le cadre du dispositif régional de professionnalisation qui vise à développer les compétences des acteurs de l'orientation, de la formation et de l'emploi en vue d`une meilleure maîtrise de leur environnement professionnel.
Il s'agit ici d`apporter un regard sociologique sur les valeurs, les engagements et les pratiques de ce public et de mieux appréhender leurs attentes et leurs besoins, ce qui les motive et ce qui les freine.
Cette matinée technique permettra de disposer de clés de lecture pour mieux les comprendre et faire évoluer les pratiques professionnelles.

Intervenants :
Olivier Rollot
Ancien directeur de la rédaction de l`Etudiant puis chargé des questions d`orientation pour "Le Monde", il est aujourd’hui consultant chez Headway. Il est l`auteur de « La Génération Y » paru en 2012.

Olivier Galland
Directeur de recherche au CNRS en sociologie, directeur du GEAMSS, président du conseil scientifique de l`Institut National de la Jeunesse et de l`Education Populaire (INJEP), il est l`auteur de « Parlons jeunesse en 30 questions » (2013) et co-auteur avec Bernard Roudet de « Une jeunesse différente ? Les valeurs des jeunes Français depuis 30 ans » (2012).

Dates et lieu :
Le lundi 4 novembre 2013 de 9h15 à 12h30 à l’Hôtel de Région (Hémicycle) 27 Place Jules Guesde 13002 Marseille
Programme de la matinée
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Von Feliks Todtmann. Die meisten Lehramtsstudenten wollen später mal Beamte werden, auch die in Hamburg. Sie wollen Schülern etwas beibringen, klar. Und sie wollen dem Staat dienen und ihm bei seinem Bildungsauftrag helfen. Notorische Rebellen werden eher selten Lehrer...
Mit Beginn des Wintersemesters 2013/2014 zeichnet sich ab, was Bildungsexperten und Kritiker der Bologna-Reform schon früh prophezeiten: Bei weitem nicht jeder Bachelor-Absolvent bekommt einen Master-Platz, viele stehen nach dem ersten Abschluss vor einer akademischen Zwangspause. Und die kann neben akademischem Frust auch schnell zu existentiellen Problemen führen: Ohne Studienplatz verlieren die Ex-Studenten ihren Bafög-Anspruch. Der Hiwi-Job fällt weg, ein deutlich höherer Beitrag für die Krankenversicherung muss selbst geschultert werden. Mehr...