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Formation Continue du Supérieur
3 mars 2012

L'université pour l'avenir, avenir des universités, discours d'ouverture et de clôture

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgLes mercredi 8, jeudi 9 et vendredi 10 février 2012 à Marseille
La loi sur les libertés et responsabilités des universités (LRU), dite aussi « loi d’autonomie des universités », en vigueur depuis aout 2007, a marqué l’aboutissement d’une réflexion engagée depuis de nombreuses années par la communauté universitaire, visant à permettre aux universités de disposer de marges de manœuvre pour conduire des politiques propres. Pour la Conférence des Présidents d’Université (CPU), cette réflexion s’est concrétisée, début 2007, par les propositions formulées lors du colloque de Metz « l’Université, une chance pour la France ».
Depuis cette date, le paysage universitaire s’est considérablement transformé, notamment grâce au rapprochement des établissements de leurs partenaires, la CPU consacrant ses colloques successifs aux différentes missions qui incombent aux universités autonomes: la dimension européenne et internationale de leurs politiques d’établissement (2008), leur rôle socio-économique sur un territoire (2009), leurs ambitions pour le doctorat (2010) et la licence (2011), s’emparant ainsi tant de la mission globale d’accroissement des qualifications que de celle de production d’une recherche scientifique d’excellence. La CPU a de plus approfondi sa réflexion au cours de séminaires mensuels, sur des thèmes plus spécifiques: gouvernance et forme juridique des établissements d’enseignement supérieur et de recherche; stratégies territoriales; immobilier; classements mondiaux d’universités; innovation…
Forte de cette expérience d’acquisition de l’autonomie dans tous les domaines qu’elle recouvre, la CPU doit à présent s’interroger et interpeller la nation sur ce que pourrait devenir le dispositif français d’enseignement supérieur et de recherche à échéance de 15 ou 20 ans, une fois que les investissements actuels auront produit leurs effets, sur la durabilité de son modèle économique et sur sa place au niveau international.
Discours de Clôture du colloque de la CPU à Marseille - Louis Vogel.
Chers collègues, chers amis,
- Nous voici arrivés au terme de nos travaux qui se situent à un moment charnière de l’histoire de nos universités et des politiques d’enseignement supérieur et de recherche.
- Les rapporteurs de chacune des tables rondes mettront en forme et consolideront les principales conclusions et propositions issues des débats de ces trois jours.
- Ces propositions seront ensuite soumises aux instances de notre Conférence.
- Elles seront présentées comme contributions aux débats publics des élections présidentielles et, demain, des élections législatives.
- Je voudrais proposer à chaud un certain nombre de pistes et d’orientations que nous inspirent ces débats.
- Avant cela, il me faut remercier très sincèrement et très chaleureusement:
‐ tous les intervenants à nos tables rondes, tous ceux qui ont pris part, depuis la salle, par mail ou tweet, à nos échanges,
‐ Mais aussi tous ceux qui ont apporté leurs contributions à nos travaux, par les documents écrits qu’ils nous ont adressés ou par les auditions auxquelles ils ont participé.
- Ces remerciements ne sont pas de pure forme.
- Ils ne sont pas seulement liés à la qualité des apports de chacun d’entre vous.
- Grâce à vous, nous pouvons nous faire l’écho des débats, des espoirs, des inquiétudes, des dynamiques, des mécontentements ou des frustrations et aussi des réussites et des enthousiasmes qui traversent nos établissements et leurs partenaires.
- Notre action ne sera efficace que si nous construisons nos réflexions et propositions en lien avec les acteurs de la communauté universitaire, dans toutes leurs composantes et leurs sensibilités.
- Notre action ne sera efficace que si nous agissons avec tous ceux, de plus en plus nombreux, qui s’intéressent aux enjeux de l’enseignement supérieur et de la recherche et qui sont conscients du rôle que jouent nos universités pour la vitalité et l’attractivité de nos territoires, pour le développement de notre économie, pour la construction d’une société de la connaissance.
- Si vous avez répondu aussi nombreux à notre invitation, c’est parce que vous êtes conscients de l’importance des travaux de la CPU dans la définition des politiques d’enseignement supérieur et de recherche.
- Nous avons fait figurer dans les dossiers qui vous ont été distribués et, de manière dématérialisée, sur les clés USB qui vous ont été remises (développement durable oblige !), les positions de la CPU adoptées lors des colloques de 2004 à 2011.
- Ce regard rétrospectif montre:
‐ que certaines de nos propositions ont inspiré les politiques publiques depuis plusieurs années;
‐ que d’autres restent d’une inquiétante et regrettable actualité, parce qu’elles tardent à être mises en oeuvre bien qu’elles apparaissent pourtant nécessaires à l’ensemble des acteurs de la communauté universitaire;
‐ que d’autres, enfin, continuent de susciter des désaccords et des controverses.
- Toutes, cependant, présentent l’intérêt de faire entendre une voix singulière, la voix de la CPU.
- Ce n’est pas un hasard corporatiste si 4 anciens responsables de la CPU – Beranrd Dizambourg, Jean‐Marc Monteil, Jean‐Pierre Finance, et Lionel Collet – ont été invités à s’exprimer au cours de notre colloque et je veux les remercier d’avoir accepté notre invitation.
- Il y a une continuité des réflexions qui sont menées dans notre Conférence.
- Près de 5 ans, après l’adoption de la loi sur les libertés et responsabilités des universités, et malgré les craintes qu’elle avait suscitées, ni les Présidents d’universités ni la CPU n’ont abusé du pouvoir excessif que la loi leur aurait confié.
- Nous avons, au contraire, conduit et accompagné, avec l’ensemble de nos équipes, avec les instances de nos établissements, avec nos partenaires, une mutation considérable de nos établissements...
Pour un programme de recherche sur les universités
- Enfin, il nous faut appliquer aux universités les mêmes exigences d’analyse et d’objectivité que celles que nous préconisons dans nos démarches de recherche.
- Compte tenu des évolutions très importantes que connaît notre système d’enseignement supérieur et de recherche, la CPU est prête à proposer à l’ANR et aux EPST, en particulier au CNRS, plusieurs programmes de recherche sur les universités, s’associant aux travaux qui ont été engagés, par exemple par le Ministère de l’Equipement sur les questions d’insertion de l’université dans les territoires (le PUCA), ou à ceux du RESUP.
- Ces enjeux rappelés, ces questionnements et ces propositions de réponses que je viens d’énoncer sont le fruit des débats qui ont été conduit durant ces deux jours de colloque et des quelques semaines, trop courtes, de préparation.
- Nos propositions doivent être encore précisées et complétées au cours des prochaines semaines, avant d’être débattues et approuvées par les instances de la CPU.
- Elles ont vocation, vous le savez, à être portées auprès des candidats aux élections à la Présidence de la République, mais aussi aux élections législatives, et plus largement à éclairer les nombreux débats et les campagnes qui se déroulent dans nos établissements.
- Par ces propositions, les universités vont continuer à faire entendre leur voix afin que l’enseignement supérieur et la recherche aient, au sein des politiques publiques la priorité qui doit être la leur pour l’avenir du pays.
- Je ne veux pas terminer sans adresser au nom de la CPU des remerciements particulièrement chaleureux à Yvon Berland, Marc Pena et Jean‐Paul Caverni ; à toutes les équipes d’Aix‐Marseille Université qui se sont magnifiquement mobilisées pour offrir des conditions d’accueil exceptionnelles à notre colloque annuel, en sachant jouer de l’amplitude des températures ; et aussi à l’équipe permanente de la CPU qui a su, une nouvelle fois, préparer un colloque à la hauteur de ce que les présidents et leurs partenaires attendent de notre Conférence.
- Cela n’aurait pas été possible sans l’engagement et l’énergie constants et patients de Gérard Blanchard qui a accepté la charge difficile du pilotage scientifique de ce colloque. Contact presse : Pôle Communication – 01 44 32 92 45. Télécharger le Discours de Clôture du colloque de la CPU à Marseille - Louis Vogel.
Discours d'Ouverture du colloque de la CPU à Marseille - Yvon Berland

Permettez-moi, au nom de la toute jeune université d’Aix-Marseille, de ses étudiants et de ses personnels, de vous dire quelle est ma satisfaction et ma fierté d’accueillir le colloque annuel de la Conférence des présidents d’université. Merci à tous mes collègues d’avoir choisi Marseille. Le thème du colloque est éminemment important et stratégique pour construire l’avenir de l’Enseignement Supérieur dans notre pays, la date est, on peut le dire, particulièrement bien choisie.
Je laisserai au président de la CPU, mon ami Louis Vogel, le soin de parler du thème choisi cette année pour le colloque « L’Université pour l’avenir, l’avenir des universités ».
La période actuelle d’avant les échéances présidentielles est incontestablement LE moment privilégié pour que la CPU joue pleinement son rôle, pour faire entendre la voix de la communauté universitaire auprès des candidats, pour dessiner le meilleur avenir de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
J’évoquais la toute récente Aix-Marseille Université que j’ai l’immense honneur et bonheur de présider depuis le 3 janvier 2012.
Quelques mots d’histoire pour mieux vous la faire connaitre:
De la fin du 19ème siècle jusqu’en 1968, l’ensemble des facultés était regroupé dans l’université d’Aix-Marseille, alors présidée par le Recteur d’Acacadémie.
Cette université s’est séparée en 3 établissements: Aix-Marseille 1 et Aix-Marseille 2 ont été créées en 1970, puis Aix-Marseille 3 en 1973.
Aix-Marseille 1 avait le monopole du secteur des Lettres et des Sciences humaines, Aix-Marseille 2 celui du secteur de la Santé et Aix-Marseille 3 celui du secteur juridique. Les sciences exactes étaient partagées entre les 3 universités et les sciences économiques entre Aix-Marseille 2 et 3. Il a fallu 40 ans, et notamment ces 4 dernières années, pour que les 3 universités convergent vers le souhait de se réunir en un seul établissement: Aix-Marseille Université, pour donner plus de cohérence à l’organisation de l’Enseignement Supérieur et la Recherche sur le site avec nos partenaires: les écoles et les organismes de recherche.
Cela me donne l’occasion de remercier mes collègues et amis Jean-Paul Caverni et Marc Pena d’avoir conduit cette fusion. Je ne crois pas me tromper en affirmant la satisfaction des collectivités locales devant ce travail accompli. Je ne crois pas non plus me tromper si j’affirme que le monde socio-économique s’en réjouit également.
Aujourd’hui, Aix-Marseille représente 70 000 étudiants, dont 4000 doctorants et 10 000 étudiants internationaux, près de 8 000 personnels, 132 structures de recherche, 5 secteurs disciplinaires, 21 composantes (nous en avions 40 lorsque nous étions 3) et un budget de 650 millions d’euros. Vous êtes ici sur le campus Santé Timone qui compte 11 000 étudiants, nous sommes plus exactement dans les locaux de la faculté de Médecine.
Si je suis l’heureux président d’Aix-Marseille Université, j’ai le privilège d’appartenir depuis un peu plus d’un an au bureau de la CPU, aux côtés du président Louis Vogel et d’Anne Fraisse, comme moi vice-présidente, avec lesquels j’ai beaucoup de plaisir à travailler.
Nous avions annoncé un bureau pluriel. Plus d’un an après sa mise en place, ce bureau est de plus en plus soudé et complémentaire. Nous travaillons en parfaite harmonie avec les présidents et les personnels permanents, je pense notamment à Alain Abécassis, cheville ouvrière incontestable et incontestée de la CPU, ainsi qu’à Denis Ehrsam.
Etant si bien dans cette CPU, j’ai cherché comment pouvoir continuer à y participer. A l’évidence il n’y avait qu’une seule possibilité : continuer à être président d’université. Voilà pourquoi j’ai été candidat à la présidence de l’université unique… Vous savez tout, ou presque !
Plus sérieusement, je souhaite que ce colloque soit l’occasion d’un travail collectif, productif et utile à l’avenir des universités. Je vous l’assure, il a été préparé de main de maitre par Gérard Blanchard, président du Comité Pilotage (président de l’université de la Rochelle).
Merci à tous, bienvenue à Marseille et excellent colloque.
Voir aussi L’Université pour l’avenir, avenir des universités, Colloque annuel de la CPU: l'université pour l'avenir, avenir des universités, L’avenir des universités en débat à Marseille - Colloque annuel de la CPU- 8, 9 et 10 février.

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg~~V Mercoledì 8, Giovedi 9 e Venerdì 10 Febbraio 2012 a Marsiglia
La legge sui diritti e responsabilità delle Università (LRU), detta anche "legge sull'autonomia delle università", in vigore dall'agosto 2007, ha segnato il culmine di discussioni avviate da molti anni dalla comunità accademica, a per consentire alle università di avere un margine di manovra per perseguire proprie politiche.
Per la Conferenza dei presidenti University (CPU), questo pensiero è venuto a compimento nei primi mesi del 2007 le proposte formulate in occasione della conferenza di Metz "Università, la possibilità per la Francia". Più...

3 mars 2012

Compétences et responsabilités des présidents d'université

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgLa CPU publie un nouveau guide juridique intitulé Compétences et responsabilités des présidents d'université.
Introduction
L’université se réforme. La loi LRU du 10 août 2007 lui a donné de nouvelles libertés de gestion et d’organisation, mais aussi de nouveaux devoirs.
La liberté des universités reste encadrée par la loi et les règlements, ainsi que par la jurisprudence administrative. La dévolution de la gestion du personnel et du patrimoine immobilier entraîne des contraintes juridiques. La réforme de la gouvernance de l’université a accru les responsabilités de leurs Présidents.
L’augmentation actuelle du contentieux se poursuivra sûrement dans les prochaines années.
L’université et son Président seront de plus en plus responsables de la gestion des personnels et des étudiants, de l’immobilier, et de la sécurité sous toutes ses formes.
L’université, comme bien d’autres domaines, n’échappe pas à la prolifération réglementaire, que ce soit en droit du travail, des contrats, des biens, ou de l’immatériel.
L’université vit les changements de la société: parité, transparence, lutte contre les conflits d’intérêts, souffrance au travail…
La Conférence des présidents d’université (CPU), sensible à ces évolutions, a souhaité rappeler et expliquer aux Présidents d’université les règles juridiques qui les concernent. Ce guide, élaboré à leur intention, les aidera à prévenir et gérer les litiges. Il présente concrètement les compétences et les responsabilités d’un « Président d’université post-LRU ».
Destiné à l’ensemble de la communauté universitaire, juriste ou non, il rend accessibles et compréhensibles les grands principes du droit des universités: règles de forme, procédure de délégation, consultations obligatoires, droit des personnels, principes de la responsabilité, engagement de la responsabilité personnelle, etc. L’action du Président sera d’autant plus effi cace et légitime qu’il appliquera de façon juste et sereine les règles de droit en cherchant à éviter les confl its. Les juristes le savent bien: « une bonne transaction vaut souvent mieux qu’un long procès ». Ce guide permettra de répondre aux interrogations, de prévenir les contentieux, d’aider à désamorcer les situations diffi ciles.
Dans un monde en perpétuelle évolution et face aux mutations du droit, l’université et son Président ont besoin de sécurité juridique pour accomplir leur mission. Nous espérons y avoir contribué.
Louis VOGEL, Président de la Conférence des présidents d’université
Ce Guide a été réalisé par JEAN GROSDIDIER - étudiant à l’École de droit de l’Université Panthéon-Assas, sous la direction de JEAN-MARIE DUFFAU – Professeur émérite de l’Université Paris-Dauphine.
Sommaire général
PARTIE I - COMPÉTENCES PRINCIPALES D’UN PRÉSIDENT D’UNIVERSITÉ
Chapitre Préliminaire - Le statut du Président d’université
Chapitre I Organisation et gestion institutionnelles
Chapitre II La représentation
Chapitre III La police au sein de l’université
Chapitre IV Université et service public
Chapitre V Les personnels de l’université
PARTIE II - RESPONSABILITÉS DU PRÉSIDENT D’UNIVERSITÉ

Chapitre I La tutelle sur l’université
Chapitre II Le Président et la réparation des dommages par l’université
Chapitre III Les responsabilités civile, pénale et fi nancière du Président
ANNEXES

I Principes généraux d’exercice des compétences
II Règles contentieuses et recours pour excès de pouvoir
III Le recours de plein contentieux
IV Les référés administratifs
V L’exécution des décisions de justice
VI Les règles applicables à la transaction
Télécharger le nouveau guide juridique Compétences et responsabilités des présidents d'université.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg The CPU issues a new legal guide entitled Powers and responsibilities of university presidents.
The university reform.
The LRU law of 10 August 2007 gave new freedoms of management and organization, but also new responsibilities. Freedom of universities is regulated by law and regulations, as well as administrative jurisprudence. Devolution of personnel management and housing wealth leads to legal constraints. Reform of university governance has increased the responsibilities of their Presidents. The current increase in litigation likely will continue in the coming years. The university and its president will be increasingly responsible for managing staff and students, real estate, and security in all its forms. More...
3 mars 2012

TERENA Networking Conference

https://tnc2012.terena.org/includes/tnc2012/gfx/sponsorbrochure.jpgWelcome to TNC2012, 21 - 24 May, Reykjavík, Iceland. The TERENA Networking Conference (TNC) is the largest and most prestigious European research networking conference - over 500 participants including decision makers, networking specialists and managers from all major European networking and research organisations, universities, worldwide sister institutions and industry representatives attend.
Through keynote speeches by renowned specialists and many parallel sessions, the Conference presents an overview of the latest developments in research networking, both in the technical field and in the areas of application and management.
The TNC2012 will be hosted by the Icelandic National Research and Education Network (RHnet) and the University of Iceland and held in the picturesque city of Reykjavik in Iceland from 21-24 May 2012. RHnet provides network connectivity to all state universities and research institutes. With respect to its research activities and accomplishments, RHnet represents Iceland in the development of the Nordic network, NORDUnet, that takes part in the pan-European network GÉANT and participates actively in the project implementation. This sets the perfect scene for TNC2012.
Networking to Services

This year's conference theme is "Networking to Services" and will focus on network technologies, infrastructures and services that support research and education, examining the following areas: bits & wires, supporting collaboration, infrastructure & services, social & secure, and using the stuff. Read more.
Past TERENA Networking Conferences

TNC2011, TNC2010, TNC2009, TNC2008, earlier...
3 mars 2012

ePortfolio et enseignement supérieur

http://www.linkeol.fr/lemag/wp-content/uploads/2012/01/MESR.jpgUn livre blanc sur le ePortfolio dans l’enseignement supérieur doit être publié au printemps 2012. Objectif: produire des éléments de clarification et de recommandations à l'attention des établissements d'enseignement supérieur français. Il présentera un état des lieux des projets ePortfolio existants. Il proposera un cahier des charges fonctionnel d’un dispositif technique support à la mise en œuvre d’une démarche ePortfolio.
Les dispositifs ePortfolio

Les dispositifs ePortfolio visent à rassembler, dans un environnement numérique, un ensemble de documents et de ressources électroniques qui décrit et illustre l'apprentissage ou la carrière d'une personne, ses expériences, ses travaux et ses compétences. Ils intéressent de façon directe l’enseignement supérieur pour la formation initiale et tout au long de la vie (formalisation des parcours et des référentiels, nouvelles modalités d’acquisition et de repérage des compétences, ...) et pour l’insertion professionnelle (valorisation des acquis et expériences).
En France, le ePorfolio fait pour le moment l’objet d’expériences ponctuelles, de plus ou moins grande ampleur. Ces expériences posent, d’une part, la question de l’inscription de la démarche ePortfolio dans des politiques d’établissement voire interuniversitaires et, d’autre part, la question du passage à des publics plus larges.
Des éléments de clarification et de recommandations

Pour avancer sur ces questions, le service de la stratégie de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle (DGESIP) a mis en place un groupe de travail national (G.T.N.) "ePortfolio" en vue de produire des éléments de clarification et de recommandations à l'attention des établissements d'enseignement supérieur français. Ce G.T.N. est supporté par la Mission numérique pour l'enseignement supérieur (MINES). Il a pour objectifs de:
- dresser un état des lieux de la mise en œuvre de la démarche ePortfolio dans les établissements d’enseignement supérieur;
- sensibiliser, informer et outiller la gouvernance des établissements, les services d’insertion professionnelle et les enseignants concernant la démarche ePortfolio et sa mise en œuvre, notamment son pilotage politique et pédagogique;
- proposer un cahier des charges fonctionnel d’un dispositif technique support à la mise en œuvre d’une démarche ePortfolio.
Tous ces éléments seront rassemblés dans un livre blanc à paraître au printemps 2012.
Vous pouvez apporter votre contribution:
- en décrivant un projet en cours dans l’enquête état des lieux;
- en participant à l’appel à commentaires du cahier des charges fonctionnel d’un dispositif technique support à la mise en œuvre d’une démarche ePortfolio.
Appel à commentaires sur le cahier des charges fonctionnel

Le cahier des charges fonctionnel soumis à commentaires est destiné à aider les établissements à choisir et adapter des outils ou dispositifs existants, ou bien à développer des systèmes techniques spécifiques, répondant à leurs besoins pour la mise en œuvre de projets ePortfolio dans leurs contextes locaux ou selon des approches interuniversitaires.
Télécharger le cahier des charges fonctionnel V1.0.
Participer à l’appel à commentaires.
Date limite des réponses: 20 mars 2012.
Participer à l'enquête ePortfolio

Cette enquête a pour objectif de réaliser un inventaire des initiatives et projets liés à la démarche ePortfolio.. Elle permettra de favoriser la visibilté et la promotion de ces initiatives, ainsi que de valoriser les retours d'expérience, en particulier dans le livre blanc à paraître au printemps 2012.
Participer à l'enquête état des lieux ePortfolio.
Date limite de réponse à l'enquête: 20 mars 2012.

http://www.linkeol.fr/lemag/wp-content/uploads/2012/01/MESR.jpg~~V En hvidbog om den ePortfolio de videregående uddannelser skal offentliggøres i foråret 2012 Formål:. Producere nogle præciseringer og anbefalinger til opmærksomheden hos den franske videregående uddannelsesinstitutioner. Han vil præsentere et overblik over de eksisterende ePortfolio projekter. Det vil give en funktionel specifikation af en teknisk anordning til at støtte gennemførelsen af en ePortfolio tilgang.
Enheder ePortfolio

Enhederne er designet til at samle ePortfolio, i et digitalt miljø, et sæt af dokumenter og elektroniske ressourcer, der beskriver og illustrerer læring eller en persons karriere, sine oplevelser, sit arbejde og kompetencer.
De appellerer direkte til højere uddannelse og uddannelse hele livet igennem (formalisering af stier og repositories, nye metoder til køb og tracking færdigheder, ...) og for den erhvervsmæssige integration (forbedring af læring og erfaring). Mere...

2 mars 2012

University reputations built up over years are vulnerable as never before

http://www.timeshighereducation.co.uk/pictures/thumb/n/d/j/THE_WORLD_REPUTATION_LOGO.jpgBy Phil Baty. At first there was much hilarity. When I was named this month among the top 15 “most influential” people in education by The Australian newspaper, the jokes came thick and fast: “You’re only the fourth most influential person in your own household,” said one colleague. “That’s if you don’t include the cat,” added someone a little closer to home.
Appearing in 14th place in the 50-strong list, below Australian Prime Minister Julia Gillard (in second), but above 33rd-placed Alfred Nobel (recognised for helping put Australian scholarship on the map), did feel bizarrely comical. Of course, my inclusion in the power list, as editor of a widely-watched global ranking, the Times Higher Education World University Rankings, was for a very serious reason.
“In the past decade rankings have taken hold, dramatically reshaping university strategies and objectives,” the newspaper said. “Mission documents are littered with aspirational references to be in the top 100 this or top 10 that...Arguments rage on Twitter, in blogs and the media as to the merits or otherwise of various methodologies.
“Like them or not... their impact on how universities go about their business is undeniable.”
This is, of course, true. Times Higher Education’s rankings are huge. Our website received close to two million visits in the 24 hours after publication of the World University Rankings in October 2011. Within the first month, that was heading towards 10 million.
The rankings are not just informing student choices, but influencing faculty career decisions, helping to forge new international research partnerships, shaping senior management strategies and even driving national government policy in some places. Ben Wildavsky said in his influential book, The Great Brain Race: How Global Universities Are Reshaping the World, that rankings are certainly not going away and they can be a positive force.
“Rankings are an unmistakable reflection of global academic competition...they seem destined to be a fixture on the global education scene for years to come,” he said. “As they are refined and improved they can and should play an important role in helping universities get better.”
The key words here, I believe, are “refined and improved”. With such heavy weight being placed on rankings, the responsibility of those who compile such tables is large. That is why in late 2009, after six years of publishing a popular global university ranking, Times Higher Education decided to go back to the drawing board and start again with a new mission and new data partner, Thomson Reuters. We built a new ranking system that better meets the needs and demands of a rapidly globalising higher education sector.
The new system, developed after almost 10 months of open consultation and with detailed expert input from a group of around 50 leading higher education experts, has bedded in very well. After some important methodological refinements between the first iteration in 2010 and last year’s table, we have had much praise and much support for our approach. Ferdinand Von Prondzynski, vice-chancellor of Robert Gordon University in Scotland, said that Times Higher Education’s rankings were now “increasingly seen as the gold standard”.
But as The Australian’s “most influential” list reminds us, we must never be complacent. We have a responsibility not only to maintain a ranking system that better bears the weight placed upon it, but also to be honest about the inherent limitations of all rankings. We must be honest about what data exists that can be fairly compared across national borders and we must be clear about what global rankings do not measure, and cannot measure. We must be clear about the compromises made and the proxies employed. We must be transparent. As part of this commitment to transparency – and, I have to admit, because it also provides a fascinating insight in its own right – I am delighted that for the second year running we will publish on 15th March a subsidiary to the annual World University Rankings, known as the World Reputation Rankings.
The World University Rankings are made up of 13 separate performance indicators, including the results of an annual Academic Reputation Survey – a simple opinion poll asking academics to name a small number of the ‘best’ universities in their field for both teaching and research. The results of this survey alone, which has attracted almost 31,000 responses from 149 countries in two annual rounds since 2011, are revealed in isolation in the World Reputation Rankings.
The reputation rankings are based on nothing more than the subjective judgment of scholars. But it is the considered, expert judgment of senior scholars – the people best placed to know the most about excellence inside our universities. While the new table will tackle reputation alone, there is no doubt that reputation really matters. In a competitive global market, a strong academic reputation gives tangible, real-world benefits – helping institutions attract and retain the best faculty, the best students, the best research and business partners, even the richest benefactors. And in a global information age, reputations built up over years – often centuries – are vulnerable as never before.
The World Reputation Rankings not only make Times Higher Education more accountable, they also provide a unique and valuable insight into the unstable status of the world’s top university brands. Publishing them shows that we take our ‘influence’, in Australia and elsewhere around the world, very seriously indeed.
2 mars 2012

World Bank calls for university autonomy, branch campuses, research

http://www.universityworldnews.com/By Yojana Sharma. Universities must be given more autonomy by the state if they are to make a substantial contribution to innovation that would drive economic growth and ensure China can leap the difficult hurdle from being a middle-income country to a high-income one by 2030, according to a major report released by the World Bank this week.
Innovation would be key to future growth as the rapid economic growth of the last few decades begins to slow, said the report China 2030: Building a modern, harmonious and creative high-income society.
To this end China must improve the quality of research in its universities, give institutions more autonomy and link up researchers in national and international R&D networks.
It must also allow in more international branch campuses in collaboration with domestic universities in order to develop international standards of management of universities, the report said, suggesting that international institutions could help impart such standards.
The report, seen as a groundbreaking overview of the Chinese economy and a blueprint for its future direction, was drawn up by the World Bank in collaboration with the Development Research Centre.
The centre describes itself as a think-tank although it reports to China’s State Council, roughly equivalent to cabinet. This suggests that the report’s findings have been endorsed at the highest levels of government.
China 2030 includes a significant section on how China can maintain growth through technology and innovation – an area in which the higher education system will have a key role to play.
China is already turning to innovation as a means of shoring up rapid growth – which has averaged an astonishing 10% a year over the last 30 years – but the report points out that the bulk of R&D is conducted by the government and state enterprises and often seems “divorced from the real needs of the economy”.
It said China’s innovation objectives would depend on the quality of its skilled workers.
“Just as in the 1980s and 1990s when hundreds of millions of unskilled Chinese workers joined the global labour force as part of China's ‘opening up’ strategy, so too will tens of millions of tertiary-educated Chinese workers join the global workforce to significantly expand the global supply of skill-intensive products,” the report said.
It predicts that the number of college graduates could swell by 200 million over the next two decades, more than the entire labour force of the United States at around 155 million.
However, “the quality of tertiary education is a matter of concern, and employers are experiencing a serious shortage of skills,” it said. “To address this shortfall, China needs to further accelerate governance reform in universities, giving them greater autonomy while, at the same time, tightening ethical standards in research.”
It added: “The best universities must be allowed to mobilise funding and appoint faculty that ensure high quality, cross-disciplinary postgraduate and postdoctoral programmes. They also need to develop innovative approaches to imparting knowledge and analytical skills and set up well-staffed specialised research institutes.”
“In this regard, China should encourage leading foreign universities to set up campuses in China jointly with domestic universities and impart modern governance standards, teaching methods, and research management,” the report said.
It argued that China also needed to develop research networks both nationally and internationally and improve R&D quality, which is often low.
“China has seen a sharp rise in scientific patents and published papers, but few have commercial relevance and even fewer have translated into new products or exports,” with the exception of telecommunications and consumer electronics, the report said.
It added that China needed to “shift away from targeted attempts at developing specific new technologies” and instead develop the kind of institutions that produce innovation. “Research institutes may not be capturing opportunities to leverage their capabilities by networking within the country and connecting with global R&D networks.
“Links with global networks would also help address constraints in domestic research capacity and overcome perceptions in foreign countries about China’s research and development programme,” the report said.
2 mars 2012

OECD analysts see student aid as key to maintaining access as fees rise

http://www.universityworldnews.com/images/articles/20120224075836483_1.gifBy David Jobbins. OECD analysts have found the combination of tuition fees and financial support that seems to lead to the best outcomes for universities, students and society.
Following an in-depth analysis of data, they suggest that financing systems for higher education that charge a moderate level of tuition fees may stand a better chance of promoting access, equity, completion and positive outcomes for students if they are supported by means-tested grants and loans based on income-contingent repayments.
The second edition of the OECD’s Education Indicators in Focus (EIF) series examines countries’ relative success in controlling finances while continuing to promote access, equity and completion rates.
The report’s author, Jean-Daniel LaRock, says that many countries with strong university entry rates share one thing in common: robust student financial aid systems.
Four countries that have particularly well-developed systems – Australia, New Zealand, the United Kingdom and the United States – all have above-average university entry rates, despite having very high tuition fees.
And four low-tuition-fee countries that also support students with housing and other education-related expenses – Finland, Iceland, Norway and Sweden – have high entry rates as well.
But the type of aid is also critical. OECD research suggests that combining means-tested grants with income-contingent repayment of loans not only promotes access and equity but also leads to better outcomes for students.
“Australia and New Zealand have used this approach to mitigate the impact of high tuition fees, encourage disadvantaged students to enter higher education, and reduce the risks of high student loan indebtedness. By contrast, countries with no tuition fees but less-developed student aid systems – such as Ireland and Mexico – have lower entry rates.”
While the OECD research suggests that a “moderate” level of tuition fees backed by giving students opportunities to benefit from comprehensive financial aid increases access, makes best use of limited public funds and acknowledge the significant private returns to students, defining what “moderate” means is not easy.
The reports makes no predictions regarding the impact of the imminent steep rise in tuition fees in the UK. But the underlying message of the analysis suggests that if the higher fees are mitigated by robust financial support systems, neither university budgets nor access should be drastically affected.
A further trend is to differentiate between home and international students, or between fields of study, to keep fees overall at reasonable levels while generating enough income for higher education systems.
Countries such as Denmark and Sweden, with low or non-existent fees for their own students, have moved to increase tuition fees for students from outside the European Union.
And at least 14 OECD member and partner countries differentiate tuition fees among fields of study to account for the higher cost of operating some academic programmes. Australia has even attempted to link the level of fees to labour-market opportunities by lowering tuition fees for fields with skills shortages, in order to attract more students.
2 mars 2012

To Judge International Branch Campuses, We Need to Know Their Goals

http://chronicle.com/img/subscribe_11_2011.jpgBy Richard J. Edelstein and John Aubrey Douglass. The international branch campus phenomenon is relatively new, generating much news coverage and capturing the interest of many university presidents. But what is a branch campus? What kind of impact does it have on the home university in terms of its core functions of teaching and learning, research, and service to the larger society and the world? Does it change the campus culture and operations back home? In the case of the United States, thus far, the majority of branch-campus initiatives are conceived of at prestigious private universities—although with a number of important exceptions. Why is that? Just as importantly, how do universities evaluate and decide on a physical presence in some distant global marketplace?
Important questions. But the answers are elusive, hampered in part by the lack of research on the topic. Thus far, most studies, like that conducted by the Observatory on Borderless Higher Education, are largely scans of activity that lack a more in-depth look at how and why institutions reach for an international presence. We postulate, however, that there are some noticeable trends.
- Almost all are small-scale, boutique experiments in a limited set of disciplines—more like outposts than a genuine university campus. They are often limited to one or two fields, often in professional areas with high student demand, like business, engineering, or information systems and computer science. Education City in Qatar, which is often cited in the press, graduated 243 students across all its institutions this past academic year. About 10 universities have branch campuses there.
- Branch campuses appear to be only loosely connected to the home campus, with limited impact on the core functions of teaching, learning, scholarship, and scientific research. Because of their small scale, they involve a limited set of students and faculty members on the main campus. In most cases, branch-campus students do not come to the "mother" institution for a period of study and home-campus students do not matriculate at the branch campus.
- Undergraduate programs entail greater risk and do not have much of a track record to judge potential success or failure. Liberal-arts or humanities and science curricula are usually undertaken by highly prestigious institutions, like Yale and University College London, or by lower-tier institutions with flexible admission standards, locally hired faculty members on limited contracts, and a clear objective to generate revenue. Some of the most noteworthy failures have been branch campuses that focused on undergraduate degrees, like the University of New South Wales in Singapore and Michigan State in Dubai.
- The single most limiting factor for foreign campuses is the scarcity of regular faculty members willing to spend extended periods abroad. Career-advancement issues related to research and publication constrain the ability of junior faculty to go abroad, and considerations such as travel, housing, and family relocation make it costly to maintain a mobile faculty. Employment of adjunct or local faculty risks being seen as damaging to academic quality.
- More often than not, the host country's government or local investors underwrite start-up costs, local infrastructure, and some operating costs. Not surprisingly, most branch campuses have emerged in regions and countries sufficiently wealthy to provide financial incentives that attract the interest of foreign universities. Middle Eastern and Asian nations are where most branch campuses are concentrated. Singapore, Malaysia, China, and South Korea are the most common sites in Asia. Dubai, Abu Dhabi, and Qatar have the majority of activity in the Middle East.
- Most branch campuses are exclusively teaching units. The focus seems to be on replicating some curriculum and programs of the home campus and not on extending other functions like research, alumni relations, or curriculum development. This may be a function of the loose connections between the home campus and branch campus, or because the geographic locations of these efforts may not be near key centers of research and business.
- It may be not only about the money, but there is some kind of correlation. The financial deals made between governments, private investors, and brand-name universities are rarely open to the public, but there are indicators that large sums are at play. Perhaps this is one reason that most of the branch campus action is being pursued by private universities in the United States that, unlike public universities, can keep their deals in a private black box.
We rarely know what the financial models are, and there are real questions regarding sustainability along with the complexities of maintaining faculty interest at the home campus. Will these branch campuses increasingly morph into more independent institutions with their own faculty, their own peculiar governance and management systems?
To be sure, there are stories of success.
Georgia Tech University has maintained a campus in France since 1991 and has established facilities in Singapore and Ireland. Its degree programs at these sites abroad are in high-demand fields, such as engineering, logistics, and management of technology and have relatively small cohorts of students. Professors from the home campus provide most of the teaching, and the curriculum replicates what is taught in Atlanta. Research activity is a key element on these campuses. In France, the university has developed collaborative research with French universities and the National Center for Scientific Research.
At the same time, the Massachusetts Institute of Technology has avoided the branch-campus model while still having significant activities in Singapore. MIT has pursued numerous research projects and partnerships with local institutions to help them create degree programs and even a new university, experimenting with new curricula and pedagogies that might be integrated into home campus programs in Cambridge. This suggests that some brand-name campuses might want to avoid the financial and other risks of the branch campus—at least until more is understood about the long-term benefits and costs. But our main conclusion is that branch campuses create much noise and attention, but actually may be on average costly appendages.
Until branch campuses are linked to the core activities of the university, they are simply focused on exporting a narrow set of existing degree programs and projecting an image of global engagement for marketing purposes. Only when international programs and networks are integrated into the core functions of the home campus and part of the ethos or culture of faculty, students, alumni, and administrators will cross-border efforts represent a serious move in the direction of becoming a transnational or global university.
We need case studies to look at how major universities come to a decision to open a branch campus or other major international collaborative projects, what their near- and long-term financial models are, how they influence the academic culture at home and abroad, what makes them sustainable, and ultimately what determines success or failure. Yet the deals keep coming.
Richard J. Edelstein is a research associate at the University of California at Berkeley's Center for Studies in Higher Education. John Aubrey Douglass is a senior research fellow in public policy and higher education at the center.
2 mars 2012

Pôles de compétitivité - résultats du treizième appel à projets

http://www.aderly.com/pole-poles-de-competitivite/img/poles_competitivite.jpg63 nouveaux projets ont été retenus au titre du 13e appel à projets pour l'attribution d'aides au financement de projets de R&D collaboratifs.
Les ministres en charge de la politique des pôles de compétitivité annoncent le financement  de 63 nouveaux projets de R&D collaboratifs pour un montant d'aide de l'Etat de 58,4 millions d'euros. 52 pôles de compétitivité ont labellisé ces projets qui associent au moins deux entreprises et un laboratoire de recherche ou un organisme de formation.
Ils ont été sélectionnés, pour leur caractère innovant et l'activité économique qu'ils génèreront, parmi les 151 dossiers présentés au 13ème appel à projets du Fonds unique interministériel (FUI) dédié au financement de projets des pôles de compétitivité. Outre l'aide financière de l'Etat, ils bénéficieront de l'aide financière des collectivités territoriales et des fonds communautaires (FEDER) à hauteur de 41,2 millions d'euros.
Le nombre, la diversité et la qualité des projets retenus témoignent de la dynamique d'innovation et de partenariat impulsée par les pôles de compétitivité. Chercheurs et entrepreneurs se mobilisent, dans le cadre de coopérations public-privé, sur des projets qui n'auraient pas été lancés sans les pôles de compétitivité.
Ces projets concourront au renforcement de la compétitivité de l'économie française et à la création d'emplois, permettant aux entreprises impliquées de prendre des positions de leader sur les marchés concernés.
Depuis 2005, l'ensemble des appels à projets du FUI ont permis de soutenir 1 096 projets collaboratifs, entraînant un montant de dépenses de R&D de 5 milliards d'euros, un financement public de 2,1 milliards d'euros dont 1,3 milliard d'euros par l'État, et la mobilisation de 15 000 chercheurs.
Un 14e appel à projets sera lancé en mars 2012. Les projets seront sélectionnés dans le courant de l'été 2012.
Pour en savoir plus sur les pôles de compétitivité, consultez le site internet des pôles de compétitivité. Communiqué de presse et annexes Pôles de compétitivité. La liste des projets de R&D retenus dont le Pôle Mer PACA.
http://www.aderly.com/pole-poles-de-competitivite/img/poles_competitivite.jpg 63 nye projekter blev udvalgt under det 13. indkaldelse af forslag til fordeling af tilskud til finansiering af projekter af F & U-projekter.
Ministrene med ansvar for de politiske grupper announce finansiering af 63 nye F & U-projekter for et beløb af statsstøtte på 58,4 millioner euro.
52 klynger har mærket disse projekter med deltagelse af mindst to virksomheder og et forskningslaboratorium eller en uddannelse organisation. Mere...
2 mars 2012

Accords compétitivité - emploi et formation des chômeurs

http://www.groupe-alpha.com/static/images/common/logo.gifPierre Ferracci, Président du Groupe Alpha, a donné deux interviews les 18 et 19 février 2012 pour la chronique "Interview économique" de France Inter sur le référundum pour la formation des chômeurs ainsi que pour le JT de TF1 sur les accords compétitivité - emploi.
L'interview éco - Fomation des chômeurs, faut-il un référendum?

Référendum sur la formation des chômeurs. Nicolas Sarkozy veut soumettre à référendum,une réforme sur l'indemnisation et la formation professionnelle des chômeurs. Syndicats et patronat n'en veulent pas mais sont prêts à faire évoluer le système, comment ? Pierre FERRACCI, Président du Groupe ALPHA, a présidé la commission Multipartite sur la Formation Professionnelle. Cliquez ici.
Accords compétitivité - emploi (déplacer le curseur sur 18min50, chapitre 13 du JT)
Résumé: Les accords de compétitivité-emploi qu'entend instaurer Nicolas Sarkozy, doivent être négociés entre syndicats et patronat dans les deux mois à venir. Les rares expériences de modulation négociée des salaires et du temps de travail n'ont pas vraiment convaincu les syndicats.
Source de la vidéo:
Accords compétitivité-emploi : les négociations s'annoncent compliquées Vidéo jt_tf1_weekend sélectionnée dans Actualité. Cliquez ici.
http://www.groupe-alpha.com/static/images/common/logo.gif Pierre Ferracci, predseda Alpha Group, dal dva rozhovory v dňoch 18. a 19. februára 2012 za stĺpci hospodárskej rozhovore "France Inter na référundum pre vzdelávanie nezamestnaných a na TF1 TV News na konkurenčné dohody zárobkovej činnosti. Viac...
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