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Formation Continue du Supérieur
27 septembre 2010

Lancement de l'appel à projets "Initiatives d'excellence"

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/96/0/alauneinvestissementavenir_143960.46.jpgValérie Pécresse lance l’appel à projets «Initiative d’excellence» des investissements d’avenir, doté de 7,7 Mds €, qui doit permettre de faire émerger en France 5 à 10 pôles pluridisciplinaires d’excellence d’enseignement supérieur et de recherche de rang mondial. L’objectif est de créer des  pôles capables de rivaliser avec les plus grandes universités du monde comme  Harvard, Princeton ou Cambridge. L’action « initiative d’excellence» s’inscrit dans la dynamique de la réforme de l’enseignement supérieur et de recherche engagée par l’autonomie des universités, qui vise à mettre fin aux cloisonnements entre universités, écoles et organismes de recherche, et à favoriser les partenariats avec le monde économique. Elle s’ajoute aux moyens exceptionnels déjà prévus, notamment dans le cadre de l’Opération campus.
Les candidatures, qui seront évaluées par un jury international de très haut niveau, devront faire la démonstration de leurs forces actuelles, mais également de leur niveau d’ambition pour l’avenir, et de leur capacité à mettre en œuvre leur stratégie.
Trois critères seront au cœur de la sélection de ces initiatives d’excellence:* L’excellence en matière de formation et de recherche, * L’efficacité de la gouvernance, * L’intensité des partenariats entre le public et le privé. L’initiative d’excellence portera sur un périmètre d’excellence qui devra avoir un effet d’entraînement sur l’ensemble de son environnement. Au-delà de la qualité du projet, le jury examinera la capacité à attirer des moyens en plus de ceux apportés par l’Etat. Les autres labels des investissements d’avenir (laboratoires d’excellence, instituts de recherche technologique, société d’accélération du transfert de technologie, équipements d’excellence...), qui auront été sélectionnés préalablement, constitueront autant d’éléments permettant d’apprécier le potentiel de chaque projet.
Les projets retenus bénéficieront de moyens leur permettant de mettre en œuvre leur politique d’excellence sur le long terme, de développer les interactions avec leur environnement économique, et d’attirer des équipes de renommée mondiale. Les projets retenus toucheront les intérêts d’une dotation non consomptible de 700 millions d’euros à 1 milliard d’euros pour une période de quatre ans. Ils pourront aussi recevoir cette dotation de manière définitive à l’issue de cette période probatoire si l’évaluation est positive. Les projets devront être déposés avant le 17 décembre 2010. Après une phase de pré-sélection sur la base d’un pré-projet, les premières initiatives d’excellence seront sélectionnées avant l’été 2011. Consulter l'appel à projets sur le site de l'ANR.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/96/0/alauneinvestissementavenir_143960.46.jpg Valerie Pécresse Announces Call for Proposals "Excellence Initiative" of future investments, with $ 7.7 billion €, which should allow to emerge in France from 5 to 10 multidisciplinary centers of excellence in higher education and world class research. The goal is to create clusters capable of competing with the world's largest universities like Harvard, Princeton or Cambridge. The action "excellence initiative" is part of the dynamics of the reform of higher education and research undertaken by the autonomy of universities, which aims to end divisions between universities, schools and research organizations, and foster partnerships with the business. It adds to the already exceptional resources provided, particularly in the context of Operation campus. More...
27 septembre 2010

Convention-cadre entre le PRAO et le Centre Inffo

http://www.prao.org/images/photos/0004/img_1164907540859.gifLe 20 septembre, à Lyon, le PRAO et Centre Inffo ont officialisé leur partenariat relatif au portail www.orientation-formation.fr. Une convention-cadre a été signée par Philippe Meirieu, vice-président du Conseil régional de Rhône-Alpes, délégué à la formation tout au long de la vie et Isabelle Carru-Rouch, respectivement Président et Directrice du Pôle Rhône-Alpes de l’orientation (PRAO), ainsi que Louis-Charles Viossat et Patrick Kessel, respectivement Président et Directeur du Centre Inffo.
Dans le cadre de sa mission de Centre d'animation et de ressources pour l'information sur la formation (CARIF), le PRAO assure une information sur l'offre de formation disponible en Rhône-Alpes. A ce titre, il met à disposition de Centre Inffo l'offre de formation continue afin d'alimenter le portail.
L'offre de formation initiale et continue en Rhône-Alpes est bien évidemment toujours consultable sur les sites web du PRAO: Prao.org pour les professionnels de l'orientation, de la formation et de l'emploi, Rhonealpes-orientation.org, pour tous publics.
http://www.prao.org/images/photos/0004/img_1164907540859.gifOp 20 september, Lyon, COPE Center Inffo en geformaliseerd hun partnerschap op het portaal -www.orientation formation.fr . Een raamovereenkomst werd ondertekend door Philip Meirieu, vice-president van de Regionale Raad van Rhône-Alpes, Delegate opleiding gedurende het hele leven en Isabelle Rouch-Carrù, respectievelijk voorzitter en directeur van de Pôle Rhone-Alpes oriëntatie (COPE) en Louis-Charles en Patrick Viossat Kessel, voorzitter en directeur van het Centrum Inffo. Meer...
27 septembre 2010

La rentrée de l'Amue

http://www.cnil.fr/uploads/pics/LogoAMUE.gifAct'U vous propose une rencontre avec Christian Michau, directeur par intérim de l'Amue, pour un tour d'horizon des chantiers d'actions de la rentrée. Au programme : les actualités de services et d'accompagnement, les avancées logicielles et un point sur la question des contributions des établissements.
1/ Lors des derniers CA et de l’AG, l’Amue a annoncé la mise en place d’un groupe de travail chargé de proposer un nouveau modèle financier dans l’optique d’un réajustement des contributions demandées aux établissements au regard des dépenses engagées. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce groupe de travail ? Quels sont les premiers éléments qui se dessinent ?

Christian Michau : Il importe, en effet, que dès 2011 soit mis en œuvre un rééquilibrage des dépenses et des recettes de l’Amue permettant de garantir sa stabilité financière dans une période de renouvellement de son offre logicielle. Le Conseil d’administration a mis en place un groupe de travail réunissant des présidents, des directeurs généraux des services et des agents comptables dans le but de proposer au CA et à l’AG d’automne les nouvelles contributions. Le groupe a pris en compte les avis exprimés à la dernière AG de l’Amue : développer l’accompagnement des établissements, mettre en adéquation les moyens de l’Amue pour renforcer la qualité et la réactivité en matière de logiciels et de services, donner aux projets les moyens de mieux s’adapter et réagir aux attentes des établissements. Le groupe a analysé les 4 types de contributions qui alimentent le budget de l’Amue : les cotisations, la facturation des  prestations et des formations, les redevances logicielles et la subvention de l’Etat. L’objectif est de préciser ce que couvre chacune et de fixer des règles pour évaluer les contributions au regard des dépenses. La question de la mutualisation des coûts sera examinée par la CPU pour redéfinir la règle de répartition des charges en fonction de la taille des établissements. Deux  réunions ont déjà eu lieu. La remise des conclusions du groupe se fera  début octobre, après consultation de la CPU. Les nouvelles contributions seront examinées par le CA d’octobre pour être soumises au vote de l’Assemblée Générale de novembre.
2/ Quel sera le programme de travail des équipes pour les services proposés par l’Agence ? Quelles vont être les prochaines étapes en termes d’accompagnement métier ?
CM : Concernant les activités de services, au-delà des réalisations récurrentes en formations et accompagnement métier, les équipes travaillent à la finalisation du schéma directeur de formation, élaboré entre l’Esen et l’Amue de façon à couvrir les besoins des établissements. Ce schéma est en cours de discussion dans les instances et devrait être bientôt disponible. Le travail de l’Agence avec l’Esen existe depuis 2008, avec un dispositif de formation commun. Nous poursuivons donc notre coopération en développant la coordination de nos programmes respectifs afin de garantir la complémentarité des actions. Nous travaillons toujours sur les mêmes domaines d’action : gouvernance, pilotage, gestion financière, ressources humaines, paye, patrimoine immobilier et d’ici 2013, nous devrions être en mesure de proposer aux établissements de nouvelles actions afin de leur permettre de maintenir et évaluer de manières efficaces et performantes les nouvelles procédures, les nouvelles formes d’organisation, les nouvelles répartitions de compétences et les nouveaux indicateurs induit par la loi LRU. L’Agence va également développer son offre en "accords cadres : l’accord-cadre LOREM pour la préparation des appels d’offre et des consultations est maintenant ouvert aux établissements ; l’accord cadre avec SAP pour les outils décisionnels BO est en voie de conclusion et les travaux préparatoires pour une consultation sur les cartes achat ont commencé. Coté patrimoine, le service travaille à la définition d’un programme d’actions sur la gestion du patrimoine. Un espace « patrimoine » est actuellement en cours d’élaboration sur le site internet de l’Agence. Enfin, les équipes poursuivent l’accompagnement des établissements dans le passage aux compétences élargies.
3/ 2011 sera une année importante pour les projets informatiques de l’Amue avec la première implantation du logiciel Siham ou bien encore la fin du logiciel Nabuco. Comment se dessine l’année logicielle pour les équipes ?

CM : Concernant les activités logicielles, il y a bien sûr les travaux de mise en place du futur logiciel RH : Siham. Nous sommes aujourd’hui entrés dans la phase de conception détaillée. En effet, la construction de la solution et son déploiement s’organisent en paliers successifs. Le  scenario retenu permettra de sécuriser le projet pour livrer la solution attendue tout en conservant le planning cible des vagues de déploiement.
Pour les premiers paliers, il prévoit donc une mise en place de la gestion administrative à partir de juin 2011 (sites pilote), le palier « Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences » est prévu en novembre 2011 puis la qualification de la paye à façon avec la direction générale des finances publiques (DGFIP) en avril-mai 2012. Il y a également les travaux autour du logiciel Prisme. Ce logiciel est entré en phase expérimentale sur trois sites pilotes. Les établissements sont Nancy 2, Grenoble 1 et l’INPG. Les établissements grenoblois vont travailler de concert pour faire une exploitation d’un référentiel « multi-établissement ». Tous ces sites finalisent leur mise en production sur les premières briques du référentiel, en vue d’un déploiement prochain. L’Amue est également engagée dans la mise en œuvre d’une solution présentant les offres de formation: le référentiel de l’offre de formation conforme à la norme CDM-fr. Les phases de validation sur site pilote pourront être organisées début 2011. J’évoquerai ici les chantiers décidés avec l’association Cocktail sur l’interopérabilité entre les logiciels Grhum (cœur de l’architecture de Cocktail) et Prisme, le référentiel de données partagées de l'Amue, qui se poursuivent et qui devraient aboutir à une première version avant la fin de l’année 2010. Ceci permettra, en particulier, d’outiller le projet du PRES ‘Université de Lyon’ pour fédérer les données issues des systèmes d’information hétérogènes de ses adhérents; le PRES, l’association Cocktail et l’Amue travaillent ensemble à ce projet.
D’un autre coté, l’Agence essaie de favoriser la diffusion des contributions logicielles apportées par les établissements, par exemple, l’interface harpège/Winpaie développée par l’université de Reims et, en matière d’organisation des chantiers autours du décisionnel, la diffusion d’univers BO développés par l’université Lille 1. Par ailleurs,  si des produits naissent, d’autres s’éteignent, et en effet, l’Amue cessera sa maintenance du produit Nabuco comme elle l’avait annoncé dès 2007, lors du lancement du projet Sifac. Le nombre d’implantations sera de  98 en janvier 2011. Enfin, pour conclure, l’Amue poursuit avec la CPU les réflexions engagées sur l’organisation de l’accueil à la Maison des universités dans le souhait de renforcer son rôle de plateforme d’accueil et d’échanges pour les établissements. A bientôt donc au 103!
http://www.cnil.fr/uploads/pics/LogoAMUE.gif Christian Michau, Jarduneko Amue zuzendariak bilera bat eskaintzen Act'U eskolako jarduerak funtzionamendua ikuspegi bat. Programa: albisteak eta laguntza zerbitzua, software aurrerapenak eta erakundeen ekarpenak ale puntu bat.
1/ AG azken At AC eta, Amue iragarri lan-talde bat establecimiento eredu finantza proposatzen berri bat azpian ikastetxeetako beharrezkoak Ekarpenak berrikustea testuinguruan baten gastuak. Ezin kontatu gehiago talde honi lan? Zer sortzen dira lehen gauza?

Christian Michau: da, hain zuzen ere, 2011 dela gastu eta diru-sarreren Amue de rebalancing bat ezarri bere software berritzeko en un momento de finantza egonkortasuna bermatzeko.
Zuzendaritza Batzordeak ezarri ditu presidenteak, lan-talde bat zerbitzu-eta kontabilitate-langileen zuzendari kudeatzaileak ahal izateko Patronatua eta GA jaitsi sarrera gehiago proposatuko ditu. Gehiago...
26 septembre 2010

Universités: Bordeaux ou Aquitaine, un dilemme cornélien

http://classes.blogs.liberation.fr/libe_logo.pngPar Véronique Soulé. Bordeaux ou Aquitaine ? Le cru de renommée mondiale ou la région que Charlemagne  offrit en royaume à son fils ? Les quatre universités bordelaises, qui se sont regroupées et voudraient même fusionner, se cherchent un nom. Entre irréductibles pro-Bordeaux et tenants d'Aquitaine, le sujet est sensible.
Aujourd'hui, les universités doivent se vendre. En tout cas celles qui jouent le jeu de la compétition mondiale et des classements internationaux, qui rêvent d'attirer les meilleurs chercheurs étrangers et des masses d'étudiants chinois ou indiens. Pour cela, elles doivent être connues et donc porter des "marques" fameuses. A Paris, les universités se disputent pour avoir le mot "Sorbonne" dans leur nom. A Bordeaux, deux écoles s'affrontent - Bordeaux contre Aquitaine.
Le 20 septembre, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse s'est rendue à Bordeaux pour célébrer tous les progrès réalisés par  les universités grâce à ses réformes. Elle a placé cette rentrée sous le signe de l'optimisme et de l'autocongratulation. Tout allait très bien - des présidents d'universités pleins de projets, des étudiants plutôt heureux - jusqu'à ce que l'on aborde la question du nom. Le Pres (pôle de recherche et d'enseignement supérieur) qui s'est créé en regroupant les quatre universités, l'Ecole Polytechnique et Sciences Po Bordeaux, s'est baptisé Université de Bordeaux. Mais il va se transformer, changer son mode de gouvernance, voire fusionner, pour mieux se lancer dans la bataille mondiale. Comment alors va-t-il s'appeler?
Pour la ministre, il n'y a pas l'ombre d'un doute: Bordeaux. "On a énormément de mal à faire émeger des noms à l'étranger", dit-elle, évoquant les classements où la France est si mal placée, "il faut que nous ayons une logique offensive. Mais on manque de marques mondiales. Or Bordeaux en est une: au Japon, on connaît Paris, la Tour Eiffel, Bordeaux...". Face à elle, assis autour de la grande table, le président du Conseil régional d'Aquitaine, le socialiste Alain Rousset, également président de l'Association des régions de France (ARF), ronge son frein. Lorsque c'est son tour de parler, il attaque bille en tête: "le Conseil régional a fait le pari de l'université (comprenez: il y investit, ndlr). On tient à ce que la région soit notée. Je tiens autant au mot Bordeaux qu'au mot Aquitaine, qui est tout de même l'une des plus vieilles régions de France...". Finaud, le maire de Bordeaux Alain Juppé croit avoir trouvé la solution: "il faut éviter les bisbilles. Bordeaux est en Aquitaine. Je propose Université Bordeaux Aquitaine, UBA. Il y a bien UCLA en Californie".
Valérie Pécresse apprécie moyennement: "non, non, il faut arrêter avec les sigles" - elle venait de faire remarquer que le morcellement des universités et leur numérotation - Bordeaux 1, 2, 3 et 4 - étaient encore un héritage malheureux de mai 68. "Mais c'était une plaisanterie, chère Valérie", réplique Juppé. Sans vouloir prendre position, un journaliste se devant d'être neutre, ou au moins objectif en toutes circonstances, on ajoutera au crédit de la région que l'Aquitaine hante l'histoire et la littérature.
En 1854, un an avant sa mort, Gérard de Nerval commençait ainsi son poème "El desdichado":
"Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie"
Entre ces vers de Nerval et un verre d'Haut Brion, le dilemme est vraiment cornélien...
http://classes.blogs.liberation.fr/libe_logo.png By Véronique Soulé . Bordele eta Akitaniako? El mundo-ospetsuak vintage edo eskualde horretan Karlomagnoren dio erresumako bere semea? Bordeleko unibertsitateetako lau, The duten eraztunez hornituriko bildu eta batu nahi ere, izen bat bilatuz. Aldekoak eta pro-Bordeaux Akitaniaren arteko Irreducible, gaia pribatua da. Edozein kasutan duten play lehiaketa global eta nazioarteko sailkapenean, goiko duten atzerriko ikertzaile eta ikasleek txinatar eta indiar masa erakartzeko ametsa partida.Horretarako ziren, ezagutu behar dira eta, horrela egiteko "marka" ezaguna. Parisen, unibertsitateak dira hitza "Sorbona" beren izenean lehiatzen. Bordele, bi pentsamendu-eskolak - Bordeaux Aquitaine txarrez. Meer...
26 septembre 2010

Le palmarès des métiers qui recruteront en 2015

http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gifPar Patricia Holl. Choisir un métier en fonction de ses goûts et de son tempérament, c’est naturel. Mais le choisir aussi en fonction des perspectives d’emploi qu’il offrira demain, au moment d’entrer sur le marché du travail, c’est judicieux. Voici donc les secteurs et métiers où les besoins seront les plus importants dans les prochaines années. L’arrivée en fin de carrière de la génération du baby-boom va profondément modifier le marché du travail dans les prochaines années: 80% des postes à pourvoir d’ici à 2015 seront consécutifs à des départs à la retraite. L’enseignement, par exemple, grand vainqueur de notre palmarès, devra recruter 345000 personnes dans le seul but de compenser ces départs massifs. Mais au final, il n’y aura guère plus d’enseignants demain qu’il n’y en a aujourd’hui. À l’inverse, certaines professions seront clairement en expansion: 149000 postes d’informaticiens seront créés d’ici à 2015, qui viendront s’ajouter aux 58000 départs à la retraite prévus pendant cette période. De même, la population des cadres administratifs et dirigeants devrait s’étoffer de 131000 actifs.
Le tertiaire continuera sa progression

Cinq secteurs concentreront l’essentiel des créations d’emplois à l’horizon 2015: les services aux particuliers (400000 nouveaux emplois), la santé et l’action sociale (308000), les transports et la logistique (225000), les métiers administratifs (197000), le commerce et la vente (194000). Cette progression des métiers de service s’accompagnera d’une féminisation des professions. Ce sont l’enseignement, la formation et la communication qui offriront les plus belles opportunités d’emploi aux femmes. Les difficultés ponctuelles à recruter dans certains secteurs pourraient également faciliter aux femmes l’accès à certaines professions très qualifiées et, malheureusement, encore très masculines, comme ingénieur informatique ou directeur comptable et financier. À condition que, d’ici là, les jeunes filles investissent davantage les filières de formation scientifiques et techniques…
Plus de cadres

Selon l’APEC (Association pour l’emploi des cadres), la part de cadres dans le secteur privé continuera à progresser. Ils seront 3654500 en 2015, soit 17% de plus qu’en 2005. Au total, ce sont 123000 à 133000 postes cadres qui seront à pourvoir chaque année dans les entreprises, auxquels s’ajouteront 36000 à 72000 emplois à prendre dans la fonction publique. Pour autant, il ne devrait pas y avoir de pénurie: les employeurs parviendront à combler leurs besoins, notamment en puisant dans le vivier des jeunes diplômés. Environ 120000 diplômés bac +4 et plus sortiront chaque année du système éducatif jusqu’en 2015, dont 80% d’entre eux décrocheront des postes de cadres (51% dans le privé et 29% dans l’une des trois fonctions publiques).
Qualifications en hausse

Le chômage des jeunes les plus qualifiés devrait continuer à baisser d’ici à 2015: les diplômés seront un peu moins nombreux à arriver sur le marché du travail, alors que dans le même temps, les besoins en personnel qualifié progresseront. Globalement, le niveau de qualification requis à l’embauche s’élèvera, en particulier dans la banque et l’assurance, l’industrie, ainsi que dans le commerce et la vente. Quelques professions devraient également connaître de profondes mutations, comme les métiers du journalisme.
http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gif Door Patricia Holl. Kiezen voor een carrière op basis van zijn smaak en temperament, het is natuurlijk. Maar de keuze ook in termen van werkgelegenheid zal morgen, bij het betreden van de arbeidsmarkt te bieden is geluid. Hier zijn de sectoren en beroepen waarin de behoeften belangrijkste zijn in de komende jaren. De aankomst bij pensionering van de babyboomers op de arbeidsmarkt zullen radicaal te veranderen in de komende jaren: 80% van de vacatures in 2015 zal worden aansluitend op pensioneringen. Onderwijs, bijvoorbeeld, winnaar van onze track record, werft 345.000 mensen voor het enige doel van het compenseren van de massale uittocht. Maar uiteindelijk zal er weinig meer leraren morgen dan is er vandaag de dag. Omgekeerd worden sommige beroepen duidelijk uit te breiden: 149.000 IT-functies zullen worden gecreëerd in 2015, die zal toevoegen aan 58.000 pensioneringen verwacht tijdens deze periode. Ook is de bevolking van de administratieve en leiderschap zal naar verwachting groeien tot 131.000 activa. Meer...
26 septembre 2010

Les CESR deviennent les CESER

http://www.cesdefrance.fr/img/head_logo.gif

Selon la loi n°2010-788 du 12 juillet 2010 (article 250) portant engagement national pour l'environnement, les Conseils économiques et sociaux régionaux (CESR) se sont transformés en Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux (CESER).
Le CESER intègrera des représentants d'associations et de fondations agissant dans le domaine de la protection de l'environnement et des personnalités qualifiées choisies en raison de leur compétence en matière d'environnement et de développement durable, après la publication du décret qui en fixera le nombre.
Les CESER disposent d'un site qui, en particulier, publient leurs travaux. On y trouve, par exemple, l'avis du CESER de la Région PACA sur Le rôle de la formation pour la filère agricole en région Provence-Aples-Côte d'Azur, publié le 24/06/2010.
Extraits:
C’est dans cette perspective que le Conseil Economique et Social Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur se mobilise pour l’enseignement agricole qui a besoin d’un nouveau souffle et d’une ligne d’action claire, concertée et durable pour répondre aux nouveaux enjeux de l’agriculture...
Dans un premier temps, le CESR a choisi, d'étudier comment est dispensée cette formation en région, et de comprendre quels sont les acteurs qui président aux programmes et aux activités. Il restera dans le cadre de ses compétences exclusives concernant l’enseignement agricole en région...
La formation continue
s’est développée à un rythme soutenu durant la dernière décennie (800 000 heures/stagiaires réparties essentiellement sur les 6 Centres de Formation Professionnelle et de Promotion Agricoles de la région). L’ancrage territorial de ces centres leur a permis de développer des formations en cohérence avec les besoins des territoires concernés et le Plan Régional de Développement des Formations (PRDF)...
Pour l’enseignement supérieur, la région se caractérise par un déficit d’offres dans l’enseignement supérieur hors Brevet de Technicien Supérieur Agricole...
Le CESR formule 12 propositions:
7. Favoriser l’accès des élèves de l’enseignement technique à l’enseignement supérieur
L’accès des élèves de l’enseignement technique agricole à l’enseignement supérieur agronomique et vétérinaire, aujourd’hui marginal, doit être largement développé en facilitant l’articulation des brevets de techniciens supérieurs agricoles avec les licences, les masters et doctorats. D’ailleurs, l’implantation d’une formation supérieure agronomique en Provence-Alpes- Côte d’Azur se justifierait aisément.
http://www.cesdefrance.fr/img/head_logo.gif

Secondo la legge n. 2010-788 del 12 luglio 2010 (articolo 250) per l'impegno nazionale per l'ambiente, al Comitato economico e sociale Consigli regionali (CESR) sono diventate Consigli economici, sociali e ambientali regionali (CESER). Il CESER includere rappresentanti delle associazioni e fondazioni che operano nel campo della protezione ambientale, e privati qualificati scelti per le loro competenze e lo sviluppo sostenibile ambientale, a seguito della pubblicazione del decreto, che determinerà numero.
Il CESER hanno un sito che, in particolare, pubblicano il loro lavoro.
Ci sono, ad esempio, il parere del PACA CESER sul ruolo della formazione per il cablaggio agricola Aple Provence-Cote d'Azur , potrebbe publicato il 24/06/2010. Maggiori informazioni...
25 septembre 2010

One in four lap dancers has a degree, study finds

The researchers found no evidence of trafficking in the industry, and concluded that career and economic choices were motivations for dancing rather than drug use or coercion. Aspiring actresses, models and artists used exotic dancing as a career strategy which fitted alongside their other work, training or studies. Unemployed new graduates – mainly with arts degrees – were also dancing because they could not find graduate jobs and found that lap dancing paid much better than bar work. The research by Dr Teela Sanders and Kate Hardy, from the University of Leeds, found the vast majority of dancers reported high rates of job satisfaction. The main attraction of the work was the flexibility it offered to combine different work options and studying.
However, the researchers also found dancers' welfare was often disregarded. They called for better regulation to improve dancers' safety and security, including the banning of private booths in clubs, arguing that women could be in danger when alone with customers or that standards could be lowered by women offering more than was allowed in dances. Dancers were also open to financial exploitation by the clubs who could impose charges and fines. One dancer told researchers: "There's not enough security. I know of girls who have been raped and abused at work. You cannot go to the police as you are a stripper, so there's no legal standing." The research comes at a pivotal time for lap dancing clubs. After an explosion of clubs across UK high streets, a change in the law earlier this year saw their reclassification as sexual entertainment venues, giving local authorities more powers to limit the number of clubs in their area and to take objections into consideration.
The change in the licensing laws governing lap-dancing clubs came after a campaign by the Fawcett Society and Object, the women's rights organisations. They have welcomed the change in the law but called for it to go further, saying "lap-dance clubs are a form of commercial sexual exploitation and promote the sexist view that women are sex objects". Dr Sanders said she had been surprised at the "endless supply of women" wanting to be lap dancers. She said: "These women are incredibly body confident. I think there is something of a generational cultural difference. These young women do not buy the line that they are being exploited, because they are the ones making the money out of a three-minute dance and a bit of a chat. You have got to have a certain way about you to do it. They say 80 per cent of the job is talking. These women do work hard for their money – you don't just turn up and wiggle your bum. "But there is an issue about whether these women become trapped in the job because of the money. I think people often stay longer than they want."
The preliminary findings of the year-long study, which will include interviews with 300 dancers, reveal that all the women interviewed had finished school and gained some qualifications. Most (87 per cent) had at least completed a further education course, while one in four had undergraduate degrees. Just over one in three dancers were in some form of education, with 13.9 per cent using dancing to help fund an undergraduate degree, 6.3 per cent to help fund a postgraduate degree, and 3.8 per cent using it to fund further education courses.
Some women begin dancing after graduating from university and not being able to find work. The researchers found arts degree graduates were most likely to report that they had turned to dancing after being unable to find other work. Others used dancing to provide a more steady and reliable income when working in more unstable arts jobs. One dancer had been doing a law degree which included a work placement during her third year. While working, she got used to earning a good wage, decided she would struggle when she returned to university without an income, and began dancing as soon as she went back to finish her degree.
Case study: 'It's your job to flatter men into buying dances'

Amber gave up a career as a financial journalist seven years ago, and now earns around £40,000 a year working as a stripper in pubs in London's East End. The 32-year-old, who has three A-levels and a journalism degree, said: "I had always been fascinated by the idea of being a stripper. I was disillusioned about the work I was doing. I think many people who have worked hard at school and university get out into the real world and find it's not what they expected. Someone I knew had a partner who worked as a stripper, so I went to see her perform at a pub in the East End. "I think it's everyone's dream to be self-employed, to not have a boss and to work as much or as little as you want. In journalism, it didn't matter how many hours of overtime I put in, I still got paid the same. Now I can work really hard one week and earn good money, and then I can have a week when I don't work so hard and don't earn so much. "At first, I combined the stripping with my office job, but then I thought I could come back to sitting behind a desk when I'm older. I've started to move away from pub stripping now, moving more into burlesque and pole and podium dancing.
"I've tried the big clubs, but it didn't suit me. In a funny way, I'm not money-motivated enough. I don't like flattering people's egos if I think they're a bit of an idiot. In a club, it's your job to flatter the men into buying private dances. It's a sales job, and the girls who do that job do it really well. You have to suss out someone's body language, look at their clothes and watch to suss out how much money they've got, and look at how they behave in the group they're in. "I enjoy a proper strip show. I get to choose my own music, my own clothes and perform my own show. In the pubs, I pay £15 on average as a house fee, then you make your money by collecting £1 from everybody. There's no typical earnings – it depends how many people are there. "It doesn't surprise me that dancers are well educated, although in my experience they tend to be from not traditionally academic families. One personality trait most share is being very driven. You need that to get good qualifications if you're not from a traditional academic background. "I've met dancers who have degrees in astrophysics from top universities. They've pushed themselves hard to get those qualifications and now they're pushing themselves to be successful dancers."
25 septembre 2010

Conference on university rankings

http://www.che-ranking.de/cms/images/logo_che-ranking.gifFor the second time after 2006 the CHE – Centre for Higher Education Development is organising the annual conference of the International Observatory on Academic Rankings and Excellence (IREG). It will take place in Berlin from 6 to 8 October 2010. Interested individuals and organisations can register via the observatory’s website. The event is expected to attract more than 150 participants from all over the world.
The International Observatory on Academic Ranking and Excellence is a worldwide association of organisations that produce rankings on the one hand, and on the other hand of people who use the rankings for research purposes, or who are interested in observing the rankings. The Observatory conferences, which take place every 18 months, support discussions of new developments in relation to the content and methodology of rankings.
The focus of the 2010 meeting will be on European projects that are already underway, such as the U-Multirank Project, in which the CHE is substantially involved, or on projects related to the establishment of a ranking of the “third mission” activities of higher education institutions. Another key topic of the meeting will be the indicators and rankings in humanities and social sciences. There will also be lectures about rankings in Africa and Latin America. Last but not least, an auditing procedure for university rankings will be introduced, which aims to show compliance with minimum quality standards.
25 septembre 2010

Internationalization of Higher Education: Global Trends, Regional Perspectives

Internationalization 2010Internationalization of Higher Education: Global Trends, Regional Perspectives, IAU 3rd Global Survey Report. Internationalization is now perhaps the most important agent of change in higher education. Higher Education Institution leaders, faculty members, researchers and students, as well as government policy makers and education planners are increasingly interested in internationalization approaches, strategies, as well as issues related to the benefits, risks and challenges that need to be considered as they look into the future. From its unique global vantage point, the International Association of Universities (IAU) regularly undertakes Global Surveys on Internationalization of Higher Education and disseminates their findings.
Internationalization of Higher Education: Global Trends, Regional Perspectives is the title of the IAU 3rd Global Survey Report, data for which was collected in 2009. With contributions from internationalization experts from around the world, the analysis of results is based on responses from HEIs in 115 countries making this the largest internationalization study of its kind!  Internationalization of Higher Education.
25 septembre 2010

Changing patterns of working, learning and career development across Europe

http://www.ndphs.org/internalfiles/Image/European%20Commission/European%20Flag(1).gifAuteur :  Alan Brown, Jenny Bimrose, Sally-Anne Barnes, Simone Kirpal, Terje Grønning & Marianne Dæhlen
Editeur :  Commission européenne
Date :  09/2010
Cette étude européenne lancée en 2007 et réalisée par le Warwick Institute for Employment Research (IER) examine la formation continue dans la perspective du développement des carrières individuelles. Elle cherche en particulier à identifier les différents types de formation suivies par les travailleurs tout au long de leur vie professionnelle et le rôle joué par le travail lui-même dans le développement des compétences et aptitudes individuelles. Elle va ainsi au-delà des travaux antérieurs, largement focalisés sur l'offre formelle de formation continue et l'apprentissage auto-dirigé, et sur les expériences les plus récentes.
Voir aussi le résumé exécutif. Télécharger le document: http://ec.europa.eu.
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