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Formation Continue du Supérieur
emploi
11 août 2010

Négocier l’emploi

Négocier l’emploi. 50 ans de négociations interprofessionnelles sur l’emploi et la formation, par Jacques Freyssinet. Edité par Liaisons sociales avec le Centre d’Etudes de l’Emploi (CEE).

Communiqué de presse. Télécharger des extraits: 1.Les raisons d’une longue absence, 2.La place de la négociation sur l’emploi dans la régulation sociale, 3.Trois négociations interprofessionnelles complémentaires.
Le 31 décembre 1958, un accord national interprofessionnel (ANI) crée des allocations pour les travailleurs sans emploi. Au-delà d’une garantie de revenu, elles doivent satisfaire « l’impérieux besoin de faciliter les orientations et les reclassements nécessaires ». Ainsi dès leur création, l’Unédic et les Assédic sont en charge des questions d’emploi autant que de l’indemnisation du chômage. Cet accord constitue le texte fondateur de la négociation interprofessionnelle sur l’emploi. Cinquante ans plus tard, l’ANI du 7 janvier 2009 sur la formation continue clôt le cycle des négociations multidimensionnelles sur l’emploi qui avaient été programmées par l’ANI du 11 janvier 2008 sur la modernisation du marché du travail.
Extrait sur la formation:
L’évolution a été plus complexe dans ce domaine. Jusqu’aux dernières décennies du XIXe siècle, le mouvement syndical rejette tout aussi radicalement la formation professionnelle assurée par le patronat que celle qui est organisée par les collectivités publiques (Charlot, Figeat, 1985 ; Freyssinet, 1991). Toutes deux sont accusées de combiner un objectif disciplinaire (« former les sous-officiers de l’armée industrielle ») et une stratégie d’expropriation des travailleurs du contrôle de la transmission des qualifications ouvrières.
À l’opposé, les syndicats de métier luttent pour conserver le contrôle de l’apprentissage, complété en cas de besoin par des cours du soir qui sont assurés par leurs membres les plus expérimentés. Le progrès de l’idéologie républicaine infléchit les analyses des syndicats sur la nature de l’appareil d’État. Progressivement, ils se rallient à l’idée qu’une formation professionnelle assurée par l’État constitue une garantie contre l’emprise du patronat. Mais, dans le même temps, probablement sous l’influence des syndicalistes enseignants en leur sein, ils privilégient la formation professionnelle initiale qui doit équiper le travailleur pour toute la durée de sa vie active. La formation professionnelle des adultes est perçue tantôt comme la manifestation des défaillances de la formation initiale, tantôt comme une stratégie visant à diviser la classe ouvrière en stimulant des comportements de promotion individuelle (On trouvera dans David, 1976 (2e partie) une analyse détaillée des positions des différentes confédérations patronales et syndicales sur la formation des travailleurs après la Seconde Guerre mondiale et jusqu’au milieu des années 1970). Certes, il subsiste quelques tentatives pour faire vivre des centres de formation professionnelle gérés par les syndicats, héritages de l’esprit du XIXe siècle, mais, quelle que soit leur valeur symbolique, leur importance quantitative est minime.
De son côté, le patronat a toujours été partagé entre la volonté de contrôler la formation professionnelle pour l’adapter à ses besoins et l’intérêt d’en socialiser le coût en le transférant à l’État. Les options ont varié selon les périodes et surtout selon la taille des entreprises et leurs caractéristiques sectorielles. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, s’amorce un mouvement de création d’établissements d’enseignement professionnel, soit à l’initiative directe de grandes entreprises, soit sous la responsabilité d’organisations ou institutions patronales (notamment les Chambres de commerce et d’industrie et les Chambres des métiers). Le champ couvert va des écoles d’apprentissage jusqu’aux écoles d’ingénieurs. Souvent typiques de modèles paternalistes, ces initiatives excluent toute présence des syndicats. Après la Seconde Guerre mondiale, une double évolution se met en place progressivement. D’une part, la fermeture quasi généralisée des centres d’apprentissage d’entreprise amène les entreprises à faire largement appel, pour la formation initiale, à l’Éducation nationale et aux centres de formation d’apprentis, en essayant d’y renforcer leur influence. D’autre part, le succès du concept d’« investissement en formation » les conduit à faire de la formation continue un élément de leur stratégie et donc à l’exclure de toute procédure de négociation. Au total, jusqu’aux années 1960, ni le patronat, ni les syndicats n’envisagent de négociations globales dans ce domaine. À partir de 1963, ils commencent à en faire une expérience indirecte et limitée, à l’échelle des entreprises ou parfois des branches, dans le cadre des conventions du Fonds national de l’emploi (FNE) associées à la gestion des restructurations.
Derėtis dėl darbo. 50 metų derybų dėl inter užimtumui ir mokymui, Jacques Freyssinet. Edited by socialinių ryšių su Centre d'Etudes de l'emploi (CEE). Spauda. Parsisiųsti ištraukos: 1.Valstybės priežasčių ilgo nebuvimo, 2.La vietą derybų dėl užimtumo, socialinio reguliavimo, 3.Trois derybas.
Gruodžio 31 1958 m., tarp nacionalinio susitarimo (NTA) duoda naudos ir bedarbiai.
Be garantuotos pajamos, jie turi atitikti "būtina skubiai supaprastinti orientavimo ir perklasifikavimo būtina. Taigi jų pradžios UNEDIC ir ASSEDIC yra atsakingos už užimtumo klausimus, kiek bedarbio pašalpą. Šis susitarimas yra steigėjos tekstas tarpšakinių derybų dėl darbo. Penkiasdešimt metų, 2009 m. ANI sausio 7, tęstinio švietimo uždaro ištisus įvairialypei darbo, kuris buvo užprogramuotas ANI 11 sausis 2008 į rinką modernizuoti darbo. Daugiau...
26 avril 2010

L'emploi des seniors dans les organismes de formation

http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifExtension de l'accord sur l'emploi des seniors dans les organismes de formation
Les dispositions de l'accord du 6 janvier 2010 relatif à l'emploi des salariés seniors, conclu par la FFP et les organisations syndicales de la branche des organismes de formation privés est étendu par arrêté ministériel.
Ce dernier précise qu'à défaut d'accord collectif sur le passage au temps partiel pour les salariés volontaires, le premier paragraphe de l'article 5-2 (b) de l'accord est étendu sous réserve du respect des dispositions de l'article L. 3123-6 du code du travail.
Arrêté du 14 avril 2010.
http://www.arftlv.org/images/master_default/Logo_ARFtlv.gifForlengelse av avtalen om ansettelse av eldre arbeidstakere i opplæringsinstitusjoner. Bestemmelsene i avtalen av 06.01.2010 om ansettelse av eldre arbeidstakere, inngått av FFP og fagforeninger i sektoren av private opplæring blir utvidet med ministermøter rekkefølge. Sistnevnte sier at hvis ikke en tariffavtale om overgangen til deltidsansatte frivillig, første ledd § 5-2 (b) i Avtalen er utvidet underlagt overholdelse av Artikkel L. 3123-6 av Labour Code. Mer...
15 février 2010

Emploi des seniors: la bataille n'est pas aboutie, selon Wauquiez

Var-MatinLa "bataille" pour que les salariés de 50 ans ou plus conservent leur travail est "en chemin mais pas aboutie", a observé jeudi le secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez, chargé de veiller à ce que les entreprises aient bien un accord ou un plan pour l'emploi des seniors.
La "bataille" pour que les salariés de 50 ans ou plus conservent leur travail est "en chemin mais pas aboutie", a observé jeudi le secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez, chargé de veiller à ce que les entreprises aient bien un accord ou un plan pour l'emploi des seniors.
"Je ne vais pas envoyer les inspecteurs du travail dans trois mois", a-t-il néanmoins déclaré, souhaitant que les entreprises se convainquent elles-mêmes de l'intérêt à garder leurs seniors. A ce jour, le ministère a enregistré 80 accords de branche et, "grosse bonne surprise", selon M. Wauquiez, 10000 accords d'entreprise avec "une très bonne dynamique dans les PME": "un très bon résultat", a-t-il souligné, lors d'un point presse à l'Assemblée françaises des chambres de commerce et d'industrie (AFCCI).
Sur 34 petites entreprises accompagnées par le réseau des CCI, il y a "peu d'engagements" sur le recrutement des seniors, selon le cabinet Vigeo. Son rapport passe aussi en revue les bonnes pratiques, comme le VVF France qui met en place des entretiens de carrière à partir de 45 ans pour ses salariés. Parmi les accords présentés au ministère, il y a une faiblesse sur la question de l'aménagement des fins de carrière, et davantage d'efforts sur le tutorat, selon M. Wauquiez. Depuis le 1er janvier, les entreprises ont obligation de se fixer des objectifs et de prévoir des actions dans au moins trois des six domaines énoncés par la loi. Un "coup d'épée dans l'eau", selon la CGT, car les accords ne sont pas contraignants.
Les entreprises de moins de 50 salariés sont exemptées et celles de moins de 300 salariés ont obtenu un délai de tolérance de trois mois.
M. Wauquiez s'est rendu auparavant à la 2e édition Forum emploi seniors à Paris, co-organisé par le Medef Ile-de-France. "On est en chemin, mais je suis très lucide, ce n'est pas abouti. On voit bien quand on écoute les gens ici, ils vous disent "moi quand je présente mon CV avec écrit 54 ans en haut à droite, curieusement, j'ai pas de réponse". Ce n'est pas acceptable et il faut faire bouger les choses", a-t-il déclaré.
Prié de donner son avis sur le recul de l'âge légal de départ à la retraite, M. Wauquiez s'est gardé de répondre : "On aura un débat sur les retraites, moi ma bataille qu'on arrête cette discrimination sur les plus de 50 ans". Comme la presse insistait, il a livré "quelques points de repères", "factuels" selon lui. A savoir que "quand une entreprise embauche quelqu'un, elle fait un investissement sur la durée et donc c'est difficile d'embaucher quelqu'un deux ans avant l'âge de la retraite". Deuxièmement, il y a un "contraste très fort" entre le taux d'emploi des seniors avant et après 60 ans (56,3% pour les 55-60 ans, 16% pour les 60-65 ans): "C'est un élement de réponse simple qui permet à chacun de juger".
Var-MatinLa "batalla" para los empleados mayores de 50 años o mantener su trabajo es "en el camino, pero no plomo", señaló Jueves Secretario de Estado de Empleo Laurent Wauquiez, responsable de garantizar que las empresas tienen una buena acuerdo o plan para el empleo de trabajadores mayores.
La "batalla" para los empleados mayores de 50 años o mantener su trabajo es "en el camino, pero no plomo", señaló Jueves Secretario de Estado de Empleo Laurent Wauquiez, responsable de garantizar que las empresas tienen una buena acuerdo o plan para el empleo de trabajadores mayores. Más información...
28 janvier 2010

Le rapport du COE sur "la croissance verte et l’emploi"

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.pngLe COE a adopté un rapport sur le thème de "la croissance verte et l’emploi", en réponse à la saisine que Jean-Louis Borloo et Valérie Létard lui ont adressée le 9 octobre 2009. Les travaux du Conseil ainsi que ceux des comités de filières confirment le potentiel d’emplois de la croissance verte mais soulignent la complexité de la mise en oeuvre en particulier sur les besoins de formation.
Pour y parvenir, il est nécessaire de s’assurer que les entreprises maîtrisent les technologies et disposent des compétences nécessaires. L’acquisition de compétences nouvelles sera nécessaire pour un grand nombre de salariés ou de futurs salariés; cela constitue un véritable défi pour notre système de formation initiale et surtout de formation continue (page 8).
La formation continue
Les comités de filières ont souligné l’ampleur des transformations engagées en matière d’offre de formation: - la première préoccupation concerne la formation des formateurs. Il manque aujourd’hui une garantie sur l’aptitude des formateurs à former aux nouvelles techniques. Bien qu’elle paraisse prégnante, au moins dans certaines filières, la question de la formation des formateurs reçoit toutefois au final peu de réponses dans les travaux menés; - une autre préoccupation commune concerne l’actualisation des référentiels de formation, pour intégrer les thèmes du développement durable, afin de s’assurer du contenu adapté des formations; - dans le bâtiment toujours, la formation des maîtres d’ouvrage (les « donneurs d’ordres », souvent publics dans le cadre de la commande publique d’Etat ou des collectivités locales) est un sujet majeur: l’évolution des normes environnementales et des techniques nouvelles n’est pas toujours maîtrisée par les commanditaires, et les cahiers des charges ne sont pas toujours en phase avec les objectifs environnementaux ni clairs dans leurs exigences; - l’adaptation du contenu des formations : la filière EADA attend du service public de l’emploi (Pôle Emploi et AFPA) qu’il sache proposer des formations adéquates à destination des jeunes, des demandeurs d’emploi et des personnes en insertion professionnelle ou en reconversion.
Bien qu’elle n’ait que très rarement été soulevée par les comités de filière, la question de la formation dans les PME, qui sont nombreuses dans beaucoup des filières concernées (agriculture, bâtiment, automobile, transports) demandera de mettre en place des outils de formation propres à toucher le plus grand nombre. Peu de comités de filières se sont interrogés sur le financement de la formation continue. Seul le bâtiment a mené une réflexion approfondie sur ce chapitre et propose de prolonger et d’étendre le dispositif FEEBat: il s’agirait de former 120 000 personnes à l’horizon 2012, en ouvrant le dispositif à d’autres métiers que ceux des entreprises du bâtiment (maîtres d’oeuvre, enseignants, …) et en cherchant le concours financier d’autres entreprises qu’EDF ainsi que celui des organismes paritaires de financement de la formation professionnelle (page 15). Consulter le rapport_"croissance_verte" et ses annexes.

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.pngEl COE ha adoptado un informe sobre el tema del "crecimiento verde y el empleo", en respuesta a la referencia que Jean-Louis Borloo, y Valérie Létard le envió octubre 9, 2009. La labor del Consejo y los comités de las cadenas de confirmar el potencial de crecimiento del empleo verde, pero subrayan la complejidad de la aplicación en las necesidades de formación en particular.
Formación continua

Comités de los sectores han puesto de relieve la magnitud de los cambios involucrados en la prestación de formation: - La primera preocupación es la formación de formadores. Il manque aujourd'hui une garantie sur l'aptitude des formateurs à former aux nouvelles techniques. En la actualidad, carece de una garantía sobre la capacidad de los instructores para capacitar en nuevas técnicas. Más información...

16 décembre 2009

L'UNESCO recrute

http://portal.unesco.org/fr/TEMPLATE/v4_images/logo_fr.gifL'UNESCO recrute actuellement, pour des postes stratégiques de haut niveau, cinq sous-directeurs généraux chargés de diriger les cinq missions de l'Organisation. En tant qu’institution spécialisée du système des Nations Unies, l'UNESCO contribue à l’édification de la paix, à la lutte contre la pauvreté, au développement durable et au dialogue interculturel par l'éducation, les sciences, la culture, la communication et l’information. Ses priorités stratégiques sont l’Afrique et l’égalité entre les sexes.
Sous-Directeur général pour l'éducation (Poste n° « ED-001 », Lire, Postuler): Le Secteur de l'éducation a pour mission d’assurer la direction internationale de l’action menée par l'UNESCO pour faciliter l’émergence de sociétés fondées sur l’apprentissage, où l'éducation est à la portée de tous ; de fournir des conseils et d’encourager des partenariats à l’appui des instances nationales responsables de l'éducation et de faire en sorte que les pays puissent proposer une éducation de qualité à tous ; et de jouer le rôle de guide intellectuel, de médiateur équitable et de centre de diffusion des idées, afin d’aider aussi bien les pays que la communauté internationale à accélérer la réalisation de ces objectifs, à faciliter la création de partenariats et à suivre les progrès accomplis. De plus, l'UNESCO joue le rôle de chef de file du mouvement mondial de l'Éducation pour tous, qui vise à répondre aux besoins en matière d’apprentissage de tous les enfants, jeunes et adultes d’ici à 2015 et a été chargée de coordonner les efforts déployés au niveau international pour atteindre les objectifs de l’EPT.
Sous-Directeur général pour les sciences exactes et naturelles (Poste n° « SC-001 », Lire, Postuler): Le Secteur des sciences exactes et naturelles a pour mission d’utiliser la science pour instaurer la paix, éradiquer la pauvreté et promouvoir un développement durable en mettant à profit les connaissances scientifiques pour protéger l’environnement et gérer les ressources naturelles, d’encourager l’adoption de politiques et le renforcement des capacités dans les domaines des sciences, des technologies et de l’innovation et de contribuer à la préparation aux catastrophes et à l’atténuation de leurs effets.
Sous-Directeur général pour les sciences sociales et humaines (Poste n° « SHS-001 », Lire, Postuler): Le Secteur des sciences sociales et humaines a pour mission de promouvoir le savoir, les normes et la coopération intellectuelle en vue de faciliter des transformations sociales propices à l’adoption des valeurs universelles de justice, de liberté et de dignité humaine en déterminant les buts à atteindre – éthique et droits de l'homme ; en anticipant le possible – la philosophie ; et en étudiant la réalité – recherche scientifique et sociale empirique.
Sous-Directeur général pour la culture (Poste n° « CLT-001 », Lire, Postuler): Le Secteur de la culture a pour mission de préserver et d’encourager la diversité culturelle en améliorant les capacités endogènes de sauvegarde et de préservation du patrimoine culturel et naturel matériel et immatériel, dans le cadre des conventions internationales adoptées à cette fin et des stratégies nationales de développement ; et d’encourager la créativité et le développement des industries culturelles en stimulant la réflexion et l’échange de données d’expérience sur les politiques culturelles au service du développement et en aidant à créer des conditions propices à la bonne compréhension et au dialogue interculturel entre nations et au sein des nations.
Sous-Directeur général pour la communication et l’information (Poste n° « CI-001 », Lire, Postuler): Le Secteur de la communication et de l’information a pour mission de promouvoir la liberté de la presse, l’indépendance des médias et le pluralisme, tout en encourageant l’utilisation de la communication et de l’information aux fins de la gouvernance et du développement ; de stimuler la réflexion à l’échelle mondiale sur les défis de la société de l’information ; d’améliorer les capacités dans les domaines de la communication, de l’information et de l’informatique ; et de renforcer le rôle des bibliothèques, des archives et des services d’information.
http://portal.unesco.org/fr/TEMPLATE/v4_images/logo_fr.gifUNESCO rekryterar för närvarande för tjänster med hög strategiska, fem biträdande generaldirektörer som ledde fem uppdrag av organisationen. Som ett specialiserat organ inom FN, UNESCO bidrar till uppbyggnaden av fred, kampen mot fattigdom, hållbar utveckling och interkulturell dialog genom utbildning, vetenskap, kultur, kommunikation och information. Dess strategiska prioriteringar är Afrika och jämställdhet. Mer...
4 décembre 2009

Premier salon de l'emploi des seniors

http://www.salon-emploiseniors.com/reseau_emploi.jpgBienvenue sur le site du premier salon de l'emploi des seniors, le 25 février 2010 à STRASBOURG - Palais des Congrès. Objectif : 50% des seniors en activité!
Au coeur de l'Europe, proche de l'Allemagne et de la Suisse, le salon EMPLOI des SENIORS à Strasbourg, par sa position stratégique est le premier rendez-vous européen consacré à l'emploi et à l'employabilité des SENIORS.
Les 13 et 14 avril 2010, Cité des Sciences et de l'Industrie - PARIS LA VILLETTE. Le salon EMPLOI des SENIORS se tiendra pour sa seconde édition à PARIS, le point de repère national. L'entrée à ces 2 salons est libre d'accès et gratuite pour les visiteurs, de même que les conférences et les ateliers.
« Atteindre un taux d’emploi de 50% des plus de 50 ans est une nécessité urgente, non seulement sociologique, mais également et surtout économique. »
« Faire travailler un professionnel expérimenté est non seulement une chance et un atout pour l’entreprise, mais également un gage de pérennité de son savoir-faire. »
« Passer de 38% de seniors en activité à 50%, est aussi bien l’affaire des politiques, mais nécessite aussi un changement des mentalités dans l’entreprise. »
Objectif : 50% des seniors en activité ! C’est le challenge de ce début de siècle maintenant bien entamé, qui doit être mené avec le soutien des pouvoirs publics, les associations professionnelles et syndicales, les grandes entreprises françaises, mais également les PME-PMI.
EMPLOI des SENIORS est un événement décliné autour de 3 points forts: - Une exposition rassemblant les entreprises qui ont compris l’intérêt de collaborer avec des professionnels expérimentés, et qui tiennent à le faire savoir : institutionnels impliqués dans cette problématique, sociétés dont le métier est le recrutement, grands comptes, PME-PMI. - Un cycle de conférences mettant en exergue les différents problèmes rencontrés et leurs solutions, ainsi que des tables rondes et des témoignages. - Des ateliers animés par les exposants pour appréhender en direct les outils et méthodes qui font avancer les choses.
http://www.salon-emploiseniors.com/reseau_emploi.jpgWillkommen auf der ersten Jobmesse für Senioren, February 25, 2010 in Straßburg - Palais des Congres. Ziel: 50% der aktiven Senioren!
Im Herzen von Europa, in der Nähe von Deutschland und der Schweiz, lebt für Senioren Karriere in Straßburg, ist seine strategische Position die erste europäische Veranstaltung zur Beschäftigung und Beschäftigungsfähigkeit älterer Arbeitnehmer gewidmet.
13 und April 14, 2010, Cite des Sciences et de l'Industrie - PARIS LA VILLETTE. Die Ausstellung der Senioren Beschäftigung wird für seine zweite Auflage in Paris stattfinden wird, die nationalen Wahrzeichen der Stadt. Eintritt zu diesen 2 zeigt, ist frei zugänglich und kostenlos für die Besucher, sowie Konferenzen und Workshops. Mehr...
16 juin 2009

Evaluation régionale des politiques d’emploi et de formation professionnelle

 

Ce colloque est organisé par le Comité Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP) Poitou-Charentes et l’Université de Poitiers le 23 juin de 9h à 17h à la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société Campus Universitaire de Poitiers.
Le mouvement de décentralisation engagé il y a une trentaine d’années a engendré une territorialisation croissante de l’action publique et a vu se développer de nouvelles méthodes et expertises d’évaluation au niveau territorial.
En Poitou-Charentes, le Comité de Coordination Régional de l’Emploi et de la Formation Professionnel (CCREFP), instance quadripartite associant l’Etat, la Région, un collège employeurs et un collège salariés et un représentant du Conseil Economique et Social, issue de la loi de modernisation sociale de janvier 2002, s’est engagé en 2005, dans des travaux d’évaluation. Les premières réalisations se sont traduites par un partenariat innovant avec l’Université de Poitiers pour développer des travaux sur les publics « jeunes ».
- « Evaluation des politiques régionales de formation professionnelle » apportera un cadrage par 3 interventions (Approche historique : la difficile émergence de l’évaluation des politiques régionales de formation professionnelle par Françoise Amat, Directrice du CNFPTLV ; Approche sociologique : vers de nouvelles cultures de l’évaluation par Jean-Paul Géhin, Université de Poitiers et Les enjeux de l’évaluation territoriale des politiques publiques par Thierry Berthet, IEP de Bordeaux)
- Présentation de la démarche d’évaluation menée dans le cadre du CCREFP Poitou-Charentes
- Quatre ateliers organisés l’après midi mettront en valeur 8 expériences d’évaluation conduites à l’échelle locale, nationale, sur des dispositifs expérimentaux ou de façon participative. Cliquez ici.
Evaluation of regional policies on employment and vocational training. This symposium is organized by the Regional Committee for Employment and Vocational Training (CCREFP) Poitou-Charentes and the University of Poitiers on 23 June from 9 to 17h à la Maison des Sciences de l'Homme et de la Société Campus University of Poitiers. More...
19 mai 2009

Audition de Laurent Wauquiez sur « Europe et emploi » devant la Commission chargée des Affaires européennes

Logo du site de l'Assemblée nationaleQuelques passages:
Lorsque la présidence de l’Union européenne est revenue à la France, l’Europe de l’emploi et du social était au point mort. Cela faisait en effet des années qu’aucun texte nouveau n’avait pas été adopté. A condition d’avancer de façon pragmatique et concrète, on peut au contraire donner un sens à l’Europe sociale et à l’Europe de l’emploi : l’Europe peut apporter un supplément d’âme....
La mission européenne sur la flexisécurité, placée sous la présidence de M. Gérard Larcher et de M. Vladimir Spidla, Commissaire européen chargé de l’emploi, des affaires sociales et de l’égalité des chances, a en effet conclu à la nécessité de favoriser l’emploi des seniors, compte tenu des nombreux postes qu’il sera nécessaire de repourvoir dans les années à venir, et d’orienter les salariés en reconversion vers les emplois de demain – c’est précisément le but de l’initiative européenne new skills for new jobs, de nouveaux talents pour de nouveaux emplois...
En effet, il est désormais question de préserver les emplois existants grâce à l’activité partielle, aux réductions de charges sociales et aux aides aux PME, ce qui correspond tout à fait à nos efforts concernant le chômage partiel et au dispositif « zéro charge » ; de mieux accompagner les demandeurs d’emploi afin d’accélérer leur réinsertion sur le marché du travail, ce que nous avons fait avec la convention de reclassement personnalisée et les contrats de transition professionnelle ; de mieux orienter les personnes en difficulté, de mieux les former et de soutenir les personnes les plus vulnérables, ce qui va dans le sens de la réforme de la formation professionnelle que nous avons lancée en concertation avec les partenaires sociaux ; et enfin de renforcer la protection sociale, comme nous l’avons fait lors de la renégociation de la convention d’assurance chômage...
De façon plus générale, la réflexion sur la flexisécurité fait désormais une plus grande place à la question de la formation professionnelle. Nous avons déjà avancé dans cette direction en France, mais il nous reste encore beaucoup à apprendre des pays scandinaves et de l’Allemagne, notamment en matière de portabilité des droits à formation. Les carrières ne se faisant plus au sein d’une seule entreprise, les droits à formation ne doivent plus être remis à zéro quand on passe d’une entreprise à une autre, ou d’un secteur d’activité à un autre. Selon le Centre européen pour le développement de la formation professionnelle (Cedefop), l’Union européenne devra en effet remplacer près de 85 millions d’emplois d’ici à 2020...
Nous devons en outre favoriser la mobilité au niveau européen. Il est vrai que la reconnaissance mutuelle des formations et des certifications s’est déjà améliorée, notamment grâce au dispositif Europass, mais il reste à instaurer des systèmes de crédit de formation transférables et à revoir le programme communautaire Leonardo. Les échanges communautaires fonctionnent déjà pour les élites, grâce au programme Erasmus, mais pas pour les apprentis...
Monsieur Lambert, il ne me semble pas, en dépit de certaines prises de position récentes, que la Suède soit un pays libéral ; c’est au contraire un Etat plus avancé que le nôtre dans de nombreux domaines, notamment la formation professionnelle...
Pour favoriser les emplois durables, nous devrons nous concentrer sur la formation professionnelle, sur les droits des salariés et sur les incitations économiques...
S’agissant de ce dernier programme, nous avons mis un terme à la segmentation des publics et au séquençage annuel des aides, nous avons renforcé la visibilité des financements dans la durée et nous avons également développé les programmes d’information, favorisé les partenariats et mis à l’étude une augmentation du crédit d’impôt dont bénéficient les employeurs acceptant que leurs apprentis partent en mobilité - pendant les périodes passées à l’étranger, ceux-ci demeurent en effet rémunérés par leur entreprise d’origine.
Logo van de site van de Nationale Assemblee
Wanneer het voorzitterschap van de Europese Unie is teruggekeerd naar Frankrijk, Europa's de werkgelegenheid en de voorraad was op een stilstand. Dit was inderdaad het jaar dat er geen nieuwe tekst werd niet aangenomen. Aangeboden in een pragmatische en praktische, kunnen we niet geven aan een sociaal Europa en Europa aan het werk: Europa kan zorgen voor een aanvulling van de ziel... Ter bevordering van duurzame werkgelegenheid, we nodig hebben om zich te concentreren op de beroepsopleiding op de rechten van de werknemers en de economische prikkels. Meer...
16 mai 2009

Nouveau site internet consacré aux mesures pour l'emploi

Ensemble travaillons pour l'emploiLe Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi vient d'officialiser la mise en ligne d'un nouveau site internet consacré aux mesures nationales pour l'emploi et la formation de différents publics (demandeurs d'emploi, jeunes, etc..) mis en œuvre par le gouvernement. Nosemplois.gouv.
취업을 위해 함께 노력경제부, 산업 및 고용의 새로운 웹사이트를 고용과 다른 대상 그룹의 훈련에 대한 국가적 대책에 전용의 개발을 공식화했다 (, 실업자 젊은, 등등 ..)은 정부에 의해 구현했습니다. 더많은...
8 avril 2009

Spectacle vivant : signature d'un accord cadre ADEC (Actions de développement de l'emploi et des compétences)

Photo signature accord cadre ADEC spectacle vivant du 10.03.2009Un accord cadre de développement de l'emploi et des compétences a été signé le 10 mars 2009 entre la branche du spectacle vivant et l’État. Cet accord cadre ADEC (télécharger l'accord) consiste en un plan d'action en faveur des salariés  et des entreprises du spectacle vivant, qui sera mis en œuvre sur trois ans (de 2009 à 2011),  au niveau national et régional.
Les objectifs de cet accord cadre ADEC sont les suivants : 1. améliorer la connaissance de l'emploi et mieux structurer l'offre de formation professionnelle, 2. optimiser les pratiques d'emploi en accompagnant les entreprises sur le plan économique et social, et dans la gestion de leurs ressources humaines, 3. développer les compétences des salariés et concourir à la construction des parcours professionnels, en renforçant l'accès à la formation professionnelle, 4. développer une politique de prévention en direction des entreprises et des salariés en matière de santé et de sécurité au travail.
Le spectacle vivant est un secteur d'activité artistique d'une grande vitalité, qui suscite bien des vocations. Il emploie plus de 170 000 professionnels, qu'ils soient artistes, techniciens ou personnels administratifs, permanents ou intermittents ; et on dénombre près de 15000 entreprises qui produisent, diffusent, accueillent des spectacles, ou encore, qui fournissent des prestations de services techniques.
Ce dynamisme ne peut toutefois pas masquer un contexte social et économique difficile depuis quelques années déjà : le marché du travail est soumis à de fortes évolutions qui ont un impact important sur les métiers ; la demande d'emploi, en forte croissance, est très inférieure à l'offre, ce qui entraine une précarisation des situations des professionnels ; quant aux entreprises, majoritairement de très petite taille, elles s'inscrivent dans une économie risquée et instable. C’est pourquoi la Commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation du spectacle vivant, en lien avec les organisations professionnelles d'employeurs et de salariés de la branche, l'Etat (les Ministères chargés de l'emploi, de la culture et du travail), l'Afdas, l'ANACT, le CMB et Audiens ont décidé de s'engager collectivement. Cette démarche inédite permettra de mettre en œuvre des actions très concrètes et novatrices, en s'appuyant sur les compétences des partenaires concernés, tout en permettant une coordination des moyens mobilisables au plan national et régional.
Pour l'Etat, les signataires de cet accord étaient : pour le Ministère de l'économie, de l'industrie et de l'emploi, Bertrand Martinot, Délégué Général à l'emploi et à la formation professionnelle, pour le Ministère de la culture et de la communication, Georges François Hirsch, Directeur de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles, pour le Ministère du travail :  Jean-Denis Combrexelle, Directeur Général du travail. Source.
Scenekunst: underskrive en rammeaftale Kontoret for Korsikas Økonomiske Udvikling (aktion for udviklingen i beskæftigelsen og færdigheder). En rammeaftale for udvikling af beskæftigelsen og færdigheder blev underskrevet den 10. marts 2009 mellem filial af scenekunst og stat.Denne rammeaftale Kontoret for Korsikas Økonomiske Udvikling (download den aftale) er en handlingsplan for ansatte og virksomheder af levende forestillinger, som vil blive gennemført over tre år (fra 2009 til 2011), på nationalt og regionalt plan. Source. Mere...
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