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Formation Continue du Supérieur
doctorat
25 février 2014

Doctorat par la validation des acquis de l'expérience (VAE) à l'Université Paris-Est

Université Paris-EstSelon la loi n° 2002-73 dite de modernisation sociale du 17 janvier 2002, « toute personne engagée dans la vie professionnelle depuis au moins trois ans peut demander et obtenir tout ou partie d'un diplôme en faisant valider les acquis de son expérience professionnelle et personnelle par la validation des acquis de l'expérience ».
Le diplôme du doctorat sanctionne la reconnaissance du caractère original d’une démarche de recherche dans un domaine scientifique ou technologique, la  maîtrise d’un sujet de recherche ainsi que la capacité à construire une stratégie de recherche scientifique, à la mettre en œuvre et à en exploiter les résultats.
La procédure de « validation des acquis de l’expérience »-VAE d’Université Paris-Est comprend quatre étapes.

1. Accueil, information et orientation.

2. Recevabilité administrative et pédagogique.

3. Rédaction d’un mémoire de doctorat par VAE.

4. Soutenance devant un jury VAE et délivrance du doctorat.

Les droits d’inscription s’élèvent à 1 500 € lorsque l’employeur est membre fondateur ou associé d’UPE et 3 500 € lorsque l’employeur n’est pas membre d’UPE.

Télécharger la procédure complète d'inscription, de réalisation et de soutenance.

Document(s) à télécharger

25 février 2014

VAE et Doctorat

Télécharger la procédure VAE et doctorat. Télécharger la plaquette recherche UPPA.
Modalités
Conformément
- au Code de l’éducation Loi 2006-450 du 18 avril 2006,
- à l’Arrêté du 7 août 2006 relatif à la formation doctorale,
- à la Loi 2002-73 du 17 janvier 2002 demodernisation sociale,
- au Décret 2002-590 du 24 avril 2002 relatif à la VAE, le grade de Docteur de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour peut être délivré dans le cadre de la Validation des Acquis de l’Expérience. Il ne s’agit pas ici d'initier un nouveau travail de recherche mais de synthétiser un ensemble de travaux de recherche réalisés dans un environnement professionnel. Dans le cas contraire, il faut procéder à une inscription classique en thèse .
Etape 1 : étude préliminaire de recevabilité de la candidature à l’inscription au doctorat;
Etape 2 : inscription au doctorat;
Etape 3 : rédaction du dossier VAE encadrée par un référent pédagogique;
Etape 4 : soutenance.
Contact
UPPA - Service de la Formation Continue - DIVA - DIspositif de Validation des Acquis
• Bâtiment IFR
3 rue Jules Ferry - BP 27540
64075 - Pau Cedex (face au lycée St John Perse)
• Tél. : 05 59 40 78 85
• Fax : 05 59 40 78 87
• E-mail : vae@univ-pau.fr.
Télécharger la procédure VAE et doctorat. Suite...

25 février 2014

La procédure VAE Doctorat à l’Université SHS Lille 3

Le diplôme (ou grade) de Docteur peut être obtenu par la voie de la Validation des Acquis de l’Expérience. Le doctorat concerné est le doctorat de recherche dans le cadre du système LMD, grade national dont la réglementation en formation initiale est fixée par l’arrêté ministériel du 7 août 2006.

Dans quel contexte ?

Dès 2005, des universités françaises ont commencé à délivrer quelques doctorats par VAE.  L’équité d’évaluation entre les candidats obtenant leur doctorat par la formation et ceux l’obtenant par la VAE est au cœur des préoccupations des membres du jury VAE.
Les membres du jury apprécient les parcours professionnels et les compétences des candidats, et évaluent leur maitrise du sujet de recherche ainsi que leurs capacités à dérouler une stratégie de recherche scientifique. Un diplôme acquis par la voie de la VAE a la même valeur qu’un diplôme acquis par la voie de la formation, y compris pour le diplôme le plus emblématique de l’Enseignement Supérieur.
La valorisation et la reconnaissance par les universités, dans le cadre de la VAE, des compétences de recherche et développement des entreprises privées comme publiques et des milieux industriels et tertiaire doit constituer un axe d’excellence de collaboration et de développement.
Les nouveaux enjeux socio-économiques et scientifiques des établissements d’enseignement supérieur stimulent les rapprochements avec le monde de l’entreprise et les ancrages sur les territoires régionaux.

La procédure VAE Doctorat à l’Université SHS Lille 3

Pour plus de renseignements, contactez le SUVAC.

REMARQUE IMPORTANTE : Le personnel de l'Université SHS Lille 3 ne peut bénéficier de cette procédure.

Télécharger la Procédure VAE Doctorat Lille3 ED SHS. Suite...

25 février 2014

Le Doctorat par le Validation des Acquis de l’Expérience ( VAE) à l’Université de Poitiers

http://college.ed.univ-poitiers.fr/sites/college.ed.univ-poitiers.fr/squelettes/css-specifique/images/bandeau.jpg- Depuis 2002, une personne engagée dans la vie professionnelle depuis au moins 3 ans peut obtenir tout ou partie d’un diplôme par « validation des acquis de l’expérience (VAE) ». Cette règlementation s’applique à tous les diplômes universitaires, y compris le doctorat. Le demandeur doit faire la preuve de la correspondance entre ses acquis professionnels et personnels et les prérogatives du doctorat. Ce dernier sanctionne la reconnaissance du caractère original d’une démarche de recherche dans un domaine scientifique ou technologique, la maîtrise d’un sujet de recherche ainsi que la capacité à construire une stratégie de recherche scientifique, à la mettre en œuvre et à en exploiter les résultats.
- L’Université de Poitiers a mis en place, dès 2003, une structure, le SAFIRE, chargée de l’accompagnement des demandeurs et de l’organisation de la procédure. Les modalités d’application au doctorat ont été approuvées par le Conseil d’Administration de l’Université de Poitiers en 2013.

- La procédure comprend quatre étapes :
1. Accueil, information et orientation.
2. Recevabilité administrative et pédagogique.
3. Rédaction du dossier VAE.
4. Soutenance devant un jury VAE.

- Ainsi, la VAE permet le lien entre l’expérience professionnelle, la recherche de haut niveau et l’obtention de la plus haute certification universitaire.

Veuillez télécharger le Vademecum VAE Doctorat du SAFIRE :

PDF - 749.7 ko

vademecum VAE doctorat SAFIRE

25 février 2014

Comment obtenir un doctorat par la VAE au sein de l'école doctorale Abbé Grégoire

Cnam - Formation, recherche, culture, science et technique - retour à la page d'accueil du portail Cnam


 L’information et le conseil
Le candidat prend contact avec le conseiller VAE du centre du Cnam de son lieu de résidence ou renseigne une fiche de contact sur la plate-forme interactive de la VAE accessible en ligne.
Si le candidat a pris contact avec un enseignant-chercheur, un chercheur, l’école doctorale Abbé Grégoire ou la direction de la recherche, il est orienté vers le conseiller VAE de sa région.
Le conseiller VAE lui présente la procédure VAE du doctorat et oriente le candidat vers l’école doctorale qui lui propose un référent, enseignant-chercheur habilité à diriger des recherches qui joue le rôle de directeur de thèse. Il doit appartenir à une équipe reconnue de l’École Doctorale, c'est-à-dire faire partie de la liste officielle des enseignants-chercheurs de l’équipe

La faisabilité et la recevabilite
Cette étape consiste à évaluer la capacité du candidat à faire aboutir sa demande de VAE et à vérifier qu’il remplit les conditions administratives d’obtention du doctorat par cette voie.

a) Le candidat constitue un dossier de recevabilité (accessible sur DIV@) accompagné:

  • des annexes (CV, attestations d’emploi, de formation, d’activités bénévoles, de prise en charge financière etc.)
  • et d’une lettre de motivation argumentant le contexte de la demande et précisant le projet professionnel et personnel.


Le dossier de recevabilité met en évidence la production scientifique personnelle du candidat (publications, brevets, communications orales etc.). Il comprend un document annexe : «proposition de rapporteurs externes au Cnam» qui est complété et signé par le directeur de l’école doctorale, après avis du bureau de l’ED et sur proposition du directeur de laboratoire concerné.


b) Le conseiller VAE vérifie la recevabilité administrative du dossier et le transmet au directeur de l’école doctorale (ED).

Sur proposition du référent et du directeur de laboratoire concerné et après avis du bureau de l’Ecole Doctorale, le directeur de l’école doctorale valide la désignation de deux rapporteurs externes à l’école doctorale et à l’établissement du candidat, habilités à diriger des recherches.

Le conseiller VAE transmet le dossier de recevabilité aux deux rapporteurs externes qui adressent leurs rapports au directeur de l’école doctorale.

Suite à l’avis des rapporteurs, et du directeur de l’école doctorale, le conseiller VAE valide ou non la recevabilité de la demande. Il en informe le candidat.

En cas d'avis déconseillé à la poursuite de la démarche (avis nécessairement motivé), le conseiller VAE, en lien avec le référent, étudie avec le candidat les possibilités qui s'ouvrent à lui.

Élaboration du dossier de VAE: l'accompagnement du candidat
En cas d’avis de recevabilité favorable, le candidat constitue le dossier d’inscription au doctorat, en vue de sa présentation devant le jury. Ce dossier d’inscription au doctorat est identique à celui de tous les doctorants du Cnam (voir procédure obligatoire d’inscription fournie par la direction de la recherche). Comme toute procédure VAE, aucun délai n’est fixé, mais il est recommandé de prévoir, en lien avec le conseiller VAE et le directeur de thèse, le cas échéant, le temps nécessaire pour suivre certaines des formations de l’Ecole doctorale Abbé Grégoire destinées à renforcer la culture de recherche commune des docteurs issus de la formation doctorale du Cnam .

Le candidat est rattaché au laboratoire de son référent, avec l’accord du directeur du laboratoire, et bénéficie à ce titre des ressources documentaires.
Le doctorant par voie de VAE, sera notamment invité prioritairement aux journées doctorales annuelles, en principe tenue au printemps, et pourra participer à des cycles de séminaires transversaux destines à la formation de l’ensemble des doctorants.


Le candidat doit élaborer un dossier de VAE à présenter et soutenir devant un jury

Le référent guide le candidat dans l’élaboration du dossier de VAE. Le référent et le conseiller VAE proposent un double accompagnement au candidat. L’accompagnement du référent et du conseiller VAE est essentiel pour garantir le niveau d’argumentation et d’analyse attendu par le jury.

Le dossier de VAE comprend deux parties :

  • la description de la construction du parcours professionnel et personnel du chercheur: au travers de l’évolution du parcours, de l’analyse des activités, de l‘identification des aptitudes et des compétences en matière de recherche, l’objectif est de dégager le ou les principaux axes de recherche et de cerner la cohérence, la complexité, l’originalité etc. de l’objet de la recherche.
  • un mémoire présentant la synthèse des travaux de recherche en les situant par rapport à l’état des connaissances: l’analyse du travail et des méthodes d’une ou des recherches déjà effectuée(s), l’argumentation sur les résultats scientifiques, la réécriture de travaux et le développement par le candidat selon des critères méthodologiques explicités (livres, ouvrages, publications nationales et internationales dans des revues à comité de lecture, communications dans des congrès nationaux et internationaux avec publication des actes, communications sans publication des actes, autres communications type séminaires, colloques, rapports scientifiques, rapports techniques, rapports d’études, brevets et innovations etc.).
La maîtrise du sujet de recherche ainsi que la capacité à dérouler une stratégie de recherche scientifique, à la mettre en œuvre et en exploiter les résultats, doit être démontrée. Cette partie est à rédiger selon la procédure en vigueur au Cnam (logiciel STAR).

Dépôt du dossier VAE
Le candidat, en lien avec son référent, dépose son dossier VAE, au minimum deux mois avant la soutenance, auprès du conseiller VAE.

La direction de la recherche nomme les rapporteurs selon la procédure en vigueur.

Le jury
a) Composition du jury

Le jury comprend une majorité d'enseignants-chercheurs habilités ou assimilés ainsi que des personnes ayant une activité principale autre que l'enseignement et compétentes pour apprécier la nature des acquis dont la validation est sollicitée.

Le jury de VAE du doctorat est constitué au maximum de huit personnes et au minimum :

  • des deux rapporteurs externes HDR désignés au paragraphe 4a précédent;
  • d’un enseignant chercheur titulaire de l’HDR du domaine concerné;
  • (au moins) un membre non enseignant, professionnel du domaine concerné, compétent pour apprécier la nature des acquis professionnels. Aucun supérieur hiérarchique du candidat ne peut être proposé comme membre du jury, conformément au décret;
  • Le référent, directeur de thèse.


Les membres du jury désignent parmi eux un président et, le cas échéant, un rapporteur de soutenance. Le président doit être un professeur ou assimilé, ou un enseignant de rang équivalent au sens du 2ème alinéa de ce paragraphe. Le directeur de thèse, ne peut être choisi ni comme rapporteur de soutenance, ni comme président du jury.


b) Décision

Le jury délibère et décide de la validation. La délivrance peut être accordée sous réserve de réécriture du mémoire.

La notification de la décision de VAE est adressée au candidat.

Le mémoire du candidat fait l’objet d’une publication dans les règles définies par la procédure de soutenance de thèse.

7 février 2014

Evolution du doctorat - La professionalisation du doctorat

AccueilImpulsée en 2005, par recommandation de la commission européenne via la charte européenne du chercheur [1], la professionnalisation du doctorat est inscrite en France au niveau réglementaire depuis 2006.
L’article L412-2 du code de la recherche stipule que « […] des allocations individuelles spécifiques sont attribuées sur des critères de qualité scientifique ou technique par l'État, les établissements publics d'enseignement supérieur, les établissements publics et les organismes publics et privés de recherche. Les allocations de recherche sont indexées sur l'évolution des rémunérations de la fonction publique. Toute personne morale publique ou privée peut abonder ces allocations par une indemnité.
[1] « Le terme ‘’chercheur en début de carrière’’  fait référence au cours des quatre premières années (équivalent plein temps) de leur activité de recherche, y compris la période de formation de chercheur. », Charte européenne du chercheur- Code de conduite pour le recrutement des chercheurs –Commission Européenne 2005,  -Section 3-, Définitions « Le terme « chercheur en début de carrière » fait référence au cours des quatre premières années (équivalent plein temps) de leur activité de recherche, y compris la période de formation de chercheur. Suite...

15 décembre 2013

Le doctorat mène à l'emploi, certes lentement mais sûrement

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireIl faut cinq ans sur le marché du travail pour que 94 % des docteurs soient en emploi, dont 86 % bénéficiant d'un contrat à durée indéterminée. Mais, avant, c'est un peu plus compliqué de s'inscrire durablement dans un poste, et d'être rétribué à sa juste valeur !
De plus en plus nombreux,les docteurs ne sont pourtant pas les mieux lotis face au chômage. Et pour cause : ils sont en concurrence entre eux, ainsi qu'avec les ingénieurs, révélait dernièrement l'OCDE. Et, selon la dernière enquête du Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications), après trois ans de vie active, il subsiste 10 % de chômeurs parmi les docteurs de 2007. More...

1 décembre 2013

Le crowdfunding est-il une solution viable au problème du surendettement étudiant ?

Blog Educpros de Antoine Amiel. Il y a quelques mois, la doctorante en sciences du langage Olga Turcan décide de lancer une campagne de crowdfunding pour financer son doctorat, lassée des petits boulots d’étudiant(e) qu’elle pratique depuis le début de ses études. En quelques semaines, elle réunit les quelques milliers d’euros nécessaires au financement de ses recherches. Comme elle, Serge vient toujours de lancer sa collecte pour financer ses études en marketing. Suite...

26 septembre 2013

World Bank fellowships for PhD students from Africa

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Wachira Kigotho. The World Bank has launched a PhD fellowship scheme for students of African descent – especially for women, who are heavily under-represented in terms of access to quality higher education in Sub-Saharan Africa.
According to Sean McGrath, vice president for human resources at World Bank headquarters in Washington, the fellowship programme represents an opportunity for young African scholars to conduct research and build careers in development. More...
16 août 2013

Programme approaches to doctoral education in Humanities and Social Sciences

http://www.iau-aiu.net/sites/all/files/imagecache/scale_crop_120x80/IAU%20Horizons%2019.2%20Front%20cover%20picture%20-%20ENG.jpgThe latest edition of the IAU Horizons (Vol. 19 No.2) is now available online.
The In Focus section of the magazine includes 14 papers focusing on Innovative Approaches to Doctoral Education in Africa.By Chrissie Boughey and Sioux McKenna, Rhodes University, South Africa (C.Boughey@ru.ac.za). Participation rates and dropout rates for doctoral education are of concern globally but they are particularly dismal on the continent of Africa where the need for economic development and knowledge production is acute. These demands require that we scrutinise the challenges facing doctoral education and reconsider some of our established practices.
In South Africa, two recent publications have put the issue of doctoral education squarely on the higher education agenda. The CHE/CREST report on postgraduate study (2009) and the ASSAf report entitled The PhD Study (2010) both highlighted concerns about the way in which doctoral education is approached in the country.
In particular, these reports suggested the need for serious reflection on the ways in which doctoral education is undertaken in the broad areas of humanities and social sciences (HSS). One of the findings was that the traditional apprenticeship model, favoured in HSS, might not be the most efficient way to approach supervision. The traditional model relies on the relationship between the doctoral candidate and her supervisor as the main, or only, structure within which the research work is undertaken.
Such reliance assumes a level of experience and broad range of expertise in the supervisor that many novice supervisors may not have. It also assumes that the supervisor has access to a supportive disciplinary network with whom she/he can share her/his concerns and that the PhD student has a similar environment in which she/he can test out her/his ideas and develop her/his doctoral voice. The CHE/CREST report and the ASSAf report, along with a number of other similar reports, suggest that such assumptions are misplaced.
Furthermore, where the entire PhD journey is a private one between student and supervisor or supervisors, there is little opportunity for the student to be exposed to disciplinary concerns or to research approaches beyond those of her own study. The assumption that students will be exposed to such matters through the wider intellectual environment of the university or by attending conferences relies on the concept of full-time students with access to funding.
One newly established doctoral programme in Higher Education Studies at Rhodes University has been developed with these concerns in mind. While the PhD is, by its very nature, a single-authored piece of work whereby the individual student is examined by her/his peers, there are multiple benefits to undertaking such work within a community with shared interests. A community allows for deeper knowledge through shared endeavours. It provides a space for scholars to participate legitimately in conversations with others who are similarly engaged as well as with those who are already members of the disciplinary community and are now experienced researchers and supervisors.
The Doctoral Programme in Higher Education Studies was launched in January 2010. In 2013, the programme comprises 29 PhD scholars and 8 ‘Pre-Docs’ – candidates judged not to be ready for full registration at doctoral level and who are given the opportunity of engaging with structured reading and writing within the Programme overall. All candidates are, with just one exception, full-time academics at universities and are undertaking their doctoral studies on a part-time basis. Ten of the 23 public South African universities are represented in the student body as well as one academic from the private sector. There are also scholars from Malawi, Rwanda, Zimbabwe and the United Arab Emirates. Co-supervisors on the programme come from seven South African universities beyond Rhodes University where the programme is housed. This diversity enhances the potential for engagement and for research that moves beyond the narrow confines of each scholar’s own context of practice.
The development of the programme is in part a response to the national need for more doctoral graduates, which has resulted in targeted outputs being set by the government and the National Research Foundation. It is also in response to the concerns about low doctoral participation rates. But alongside these and other driving forces, the key push behind the development of the programme has been the provision of a community of practice that works against the ‘lonely space’ of the doctoral journey.
In South Africa, the doctorate is by full thesis only and no coursework can provide credits towards the qualification. The structures of the programme are thus not about accumulating credits but rather are about supporting the development of the research design, undertaking the research and writing the thesis. These structures include three ‘Doc Weeks’ a year that include guest seminars, debates, panel discussions, student presentations, workshops and so on. There is also a vibrant online classroom where academic readings are shared, controversial news items are deliberated upon, questions are asked and support is provided. Advisory panels, online meetings and other structures augment traditional supervision relationships and are all developed to give the scholars and supervisors a sense of belonging to a broader community.
Participation in these structures is voluntary. The excellent attendance at ‘Doc Weeks’, despite the financial implications of travelling long distances and taking leave from work, indicates that scholars are finding the support useful. Evaluations speak to a sense of ‘being part of a group’ and ‘all being in this together, looking out for one another’. Such structures require that the supervisors see the benefits of working with students within a community and are willing to participate to this community beyond their own individual supervision responsibilities. They benefit from having a whole network of people supporting and encouraging their students.
Tackling problems in doctoral education in South Africa will require a multi-pronged engagement but we believe that reconsidering the structure of the relationships of those involved is a good starting point.

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