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Formation Continue du Supérieur
10 juin 2016

La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur

La 9e édition de L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche.
01. la dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur
La collectivité nationale a consacré 29,2 milliards d'euros (Md€) à l'enseignement supérieur en 2014. C'est 2,6 fois plus qu'en 1980 (en euros constants). L'État y participe pour 69 %. En 2014, la dépense moyenne par étudiant s'élève à 11 560 euros, soit 40 % de plus qu'en 1980 (en euros constants).
En 2014, la collectivité nationale (État, collectivités territoriales, autres administrations publiques, ménages et entreprises) a consacré 29,2 milliards d'euros à l'enseignement supérieur, soit une baisse de 0,3 % par rapport à 2013 (en euros constants). Depuis 1980, la dépense pour l'enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 2,8 % en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d'éducation (DIE) est passé de 15,1 % en 1980 à 20,0 % en 2014. Voir l'article...

1 décembre 2015

Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail

http://www.adef06.org/resources/ARRIERE+PLAN.jpg« Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 96,4 milliards d’euros (Md€) en 2013, soit 4,6 points de PIB.
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 50,9 Md€ en 2013, soit 2,4 points de PIB. Après une forte diminution en 2011 due à la fin du plan de relance, elles augmentent sensiblement en 2013 (+4,2 % en euros constants). L’essentiel de cette hausse provient des allocations chômage, en lien avec la progression du nombre de demandeurs d’emploi. Elle est également attribuable à la montée en charge des emplois d’avenir…. »

DARES 2015-087 - Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2013

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CAPITALISER LES NOUVELLES PRATIQUES DE GESTION DES DISPOSITIFS ET RESSOURCES  DES POLITIQUES DE L’EMPLOI

  • Capitaliser les savoirs sur les dispositifs de l’emploi
  • Savoir identifier les différents dispositifs de l’emploi pour les mettre en pratique en fonction du statut des publics

MISE EN ŒUVRE DES RESSOURCES DES POLITIQUES DE L’EMPLOI  Plus d’information

27 novembre 2015

2015-087 - Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2013

Abonnez-vous aux avis de parution de la DaresLes dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 96,4 milliards d’euros (Md€) en 2013, soit 4,6 points de PIB.
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 50,9 Md€ en 2013, soit 2,4 points de PIB. Après une forte diminution en 2011 due à la fin du plan de relance, elles augmentent sensiblement en 2013 (+4,2 % en euros constants). L’essentiel de cette hausse provient des allocations chômage, en lien avec la progression du nombre de demandeurs d’emploi. Elle est également attribuable à la montée en charge des emplois d’avenir.
L’indemnisation du chômage constitue la principale composante des dépenses ciblées (64 %), loin devant les aides à l’emploi – principalement les contrats aidés – (13 %), la formation professionnelle des demandeurs d’emploi (12 %) et les moyens consacrés au service public de l’emploi (11 %).
Les « dépenses générales » atteignent 45,5 Md€ en 2013, soit 2,2 points de PIB, dont 20,5 Md€ d’allégements généraux de cotisations sociales sur les bas salaires et 12 Md€ de crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE). S’y ajoutent essentiellement les incitations financières à l’emploi (prime pour l’emploi et RSA « activité ») et des mesures en faveur de l’emploi dans certains secteurs d’activité et zones géographiques. Les dépenses générales ont progressé de 21,8 % en euros constants par rapport à 2012. Cette forte hausse, après trois ans de baisse, est largement imputable à l’entrée en vigueur du CICE.
À la lisière de ces politiques en faveur de l’emploi et du marché du travail, certaines dépenses sociales (minima sociaux) représentent en sus 17,4 Md€ en 2013.

2015-087 - Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2013 (nov. 2015).

21 octobre 2015

Dépense pour le SUP en baisse

28 août 2015

Les dépenses 2012 des politiques publiques et paritaires liées à la formation professionnelle

Résultat de recherche d'images pour "epale"Ce rapport du CNEFOP propose de résumé les dépenses de l'année 2012 des politiques publiques et paritaires liées à la formation professionnelle. Voir l'article...

28 août 2015

Le saviez-vous ? Le montant des dépenses publiques s’élevait à 57,5% du PIB en 2014

Par Institut Montaigne. A l'automne 2012, le Président de la République s’engageait à réaliser 60 milliards d’euros d’économies sur l’ensemble du quinquennat. L’Institut Montaigne, convaincu que le rétablissement des comptes publics et de notre compétitivité passe par une réduction de la dépense publique, proposait au même moment dans son rapport Redonner sens et efficacité à la dépense publique une feuille de route pour réaliser 60 milliards d’économies. Trois ans plus tard, le niveau de la dépense publique et de l’endettement de la France n’a pas baissé. Il est aujourd’hui temps d’accélérer le rythme des réformes au service de l’efficacité de l’action publique. Voir l'article...

28 août 2015

RERS 2015 - Les dépenses par étudiant

L'édition 2015 de Repères et références statistiques est en ligne. Au sommaire: une information statistique détaillée sur le fonctionnement et les résultats de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur, ainsi que les principales données sur la recherche française. Plus de 150 thèmes sont abordés dans cette publication. Télécharger la brochure Repères et références statistiques 2015.

Les dépenses par étudiant
En 2013, la dépense moyenne par élève ou étudiant, tous niveaux confondus, est de 8 320 euros (donnée provisoire). Elle varie quasiment du simple au double entre un élève du premier degré (6 220 euros) et un étudiant (11 540 euros), la dépense pour le second degré se situant à un niveau intermédiaire (9 440 euros). De façon détaillée, l’écart est encore plus important : de 6 170 euros pour un élève scolarisé en préélémentaire, jusqu’à 14 850 euros pour un étudiant de classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE).
Dans le supérieur, l’écart de coût très important observé entre les formations universitaires (10 850 euros), d’une part, et les classes de type CPGE (14 850 euros) ou STS (13 340 euros) d’autre part, provient en grande partie des différences de taux d’encadrement. De plus, les personnels enseignants intervenant dans les filières post-baccalauréat en lycée sont souvent agrégés, voire, pour les CPGE, professeurs de chaire supérieure, corps où se conjuguent une rémunération plus élevée et une obligation de service plus faible que dans l’enseignement secondaire. Consulter la brochure RERS 2015. Voir l'article...
12 août 2015

Quels sont les frais qui peuvent être pris en charge par l’aide à la mobilité dans le cadre d’une entrée en formation ?

accès à l'accueil - Pôle emploiVous êtes demandeur d’emploi inscrit en catégorie 1, 2, 3, 4 « stagiaires de la formation professionnelle », 5 « contrat aidé » :
- indemnisé au titre d’une allocation de chômage d’un montant inférieur ou égal au montant de l’ARE minimale
Ou
- non indemnisé au titre d’une allocation chômage ;
vous allez entrer ou suivez une formation financée ou cofinancée par Pôle emploi, située  à plus de 60 kilomètres aller-retour ou à plus de deux heures aller-retour de votre lieu de résidence.

Pôle emploi peut vous aider pour compenser les dépenses occasionnées par votre entrée en formation et prendre en charge :
- les frais de déplacement pour les trajets
- les frais de restauration
- les frais d’hébergement
Pour en bénéficier, votre demande doit être faite au plus tard dans le mois qui suit votre entrée en formation. Renseignez–vous auprès de votre conseiller Pôle emploi.
Les modalités d’octroi de l’aide et les montants pris en charge vous seront expliqués par le conseiller qui traitera votre demande. Voir l'article...

11 août 2015

Cour des comptes : la maîtrise des dépenses publiques reste impérative

Vie publique - au coeur du débat publicLa Cour des comptes rend public, le 24 juin 2015, son rapport annuel sur "la situation et les perspectives des finances publiques" destiné à nourrir le débat d’orientation budgétaire au Parlement.
En 2014, le déficit public n’a été que très légèrement réduit (-0,1 point), pour se fixer à 4% du PIB. La dette a continué à augmenter à un rythme un peu inférieur à celui enregistré entre 2010 et 2013. Elle atteint 95,6% du PIB. Voir l'article...

7 août 2015

“Les dépenses d’insertion, variable d’ajustement des Départements”

http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/files/abherve.jpgSur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Une étude très complète de l’Observatoire national De l ‘Action Sociale, ODAS, intitulée ” Les dépenses départementales d’action sociale en 2014 : Le doute n’est plus permis” analysant les évolutions des recettes et des dépenses de départements en matière sociale confirme cette analyse dans un paragraphe intitulé “Les dépenses d’insertion, variable d’ajustement des Départements”. Voir l'article...

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