
Au IIe siècle, les ateliers africains imitent essentiellement les modèles italiens, eux-mêmes influencés par la tradition hellénistique d’Alexandrie. Les mosaïques de ces écoles sont caractérisées par « des décors dits en ‘style fleuri’ polychrome ». Les colons Romains et les Africains romanisés entendent ainsi immortaliser dons et offrandes en référence aux dieux qui leur sont les plus proches.
Plus...