
Avec 33000 vœux n°1 académiques au niveau national pour la rentrée 2017-2018, et juste un peu plus de 17000 places disponibles, il est évident que les UFR et départements STAPS ne peuvent répondre à la demande. On peut toujours arguer que cet engouement est déraisonnable, que le taux d’échec en première année justifierait de sélectionner plus rigoureusement les candidatures « sérieuses ». Il n’en demeure pas moins que considérant le boom démographique auquel l’université va devoir faire face et le développement actuel du secteur des métiers du sport et des activités physiques, la demande ne peut que croître et il est nécessaire d’enfin l’anticiper.
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