Près de neuf branches professionnelles sur dix disposent, à la veille de la revalorisation du Smic, d’une grille salariale conforme au Smic en vigueur : 87 % en 2006, 93 % en 2011 et 88 % en 2016. Fin 2016, cela représente moins de 5 % des salariés. Après chaque revalorisation du Smic, les minima des niveaux de qualification les plus bas d’un certain nombre de grilles se trouvent toutefois dépassés par le Smic, ce qui conduit à des fluctuations au cours de l’année de la part des branches généralement conformes.
Suite à la création du Comité de suivi de la négociation salariale en 2005 puis au changement de calendrier de revalorisation du Smic en 2010, les branches ajustent plus rapidement qu’il y a dix ans leurs minima pour assurer leur conformité après chaque hausse du Smic. Parallèlement, la proportion de branches conformes une année entière double entre 2006 et 2016 (de 39 % à 82 %).
Néanmoins, la proportion de branches non conformes deux années de suite tend à augmenter au cours des années récentes (12 branches entre 2015 et 2016 contre 3 entre 2010 et 2011) et dégrade le taux de conformité qui atteint en 2015 son plus bas niveau depuis 2009 (période de coup de pouce exceptée). Les salariés rémunérés au Smic sont surreprésentés dans les branches non conformes.

 Dares Analyses 2018-005 - La conformité au Smic des minima de branches s’est-elle améliorée en 10 ans ?

Sur les 22 0000 nouvelles places créées à la rentrée prochaine pour désengorger les filières universitaires en tension, au moins 2 000 seront affectées à la filière Staps. Aussi, en septembre, 19 368 places en L1 seront à pourvoir (17 713 en 2017) et 806 places de DEUST Staps (contre 472 l'an dernier). L'ouverture de nouveaux centres de formation à Bourges, Nîmes, Montbéliard et Vichy participe à une capacité d'accueil plus importante, indique Didier Delignières, président de la Conférence des directeurs et doyens d'UFR Staps.  
Source : http://www.gref-bretagne.com/Actualites/Revue-de-presse/Universite.-2-000-places-creees-pour-desengorger-la-filiere-Staps

Selon l'Insee, 24,5 % des étudiants bretons occupent un emploi durant leurs études. Exceptés les stagiaires rémunérés, les apprentis, les élèves officiers, les internes en médecine ou encore les étudiants chercheurs qui travaillent dans le cadre de leurs cursus, 11,3 % des étudiants bretons de 16 à 29 ans ont un emploi sans lien avec leurs études.
Source : http://www.gref-bretagne.com/Actualites/Revue-de-presse/Marche-du-travail.-11-3-des-etudiants-bretons-travaillent