Un diplôme de l'université de Bourgogne
Ce Diplôme Universitaire a pour but de permettre aux stagiaires d’approfondir et de diversifier leurs connaissances sur la vigne et le vin, afin de mieux communiquer avec leur public et clientèle. Après plus de dix ans d’existence en présentiel, ce Diplôme Universitaire, hébergé à l’Institut Universitaire de la Vigne et du Vin « Jules Guyot », vient d’être rénové en intégrant la problématique de l’œnotourisme. Il intègre aujourd'hui des modalités d'enseignement à distance.
Ce DU est placé sous l’égide de la chaire Unesco « Culture et Traditions du Vin » portée par l’Université de Bourgogne, seule chaire au monde sur cette problématique. L’équipe pédagogique est constituée d’intervenants des Sciences humaines et sociales, de disciplines scientifiques diverses, de professionnels de la filière….
Mme Guilloux-Benatier, directrice de l'Institut Universitaire de la Vigne et du Vin, ainsi que Monsieur Jaillet, ingénieur de formation au service universitaire de formation continue de Bourgogne, nous présentent les objectifs de "DU Vin, culture et oenotourisme", accessible à distance à partir d'octobre 2013.

Mercredi 10 avril à Roubaix, les états généraux de l’insertion ont réuni près de 500 personnes (allocataires du RSA, partenaires institutionnels et associatifs, professionnels de l’action sociale…), autour du président Patrick Kanner et du vice-président chargé de la Solidarité et de la Lutte contre les exclusions Roger Vicot, avec la participation exceptionnelle d’un "grand témoin": François Chérèque, inspecteur général des affaires sociales chargé du suivi de la mise en œuvre du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale.
Ces états généraux sont une étape dans le processus d’élaboration du futur plan départemental d’insertion. Se basant sur une étude réalisée en 2012 auprès de l’ensemble des acteurs de l’insertion ainsi que sur les nombreuses contributions des partenaires concernés, la journée a permis de clarifier les réponses que le Département, en tant que chef de file, va mettre en place pour améliorer les dispositifs d’insertion des allocataires du RSA. Suite de l'article...

Propos recueillis par Charles Centofanti. Une étude euro­péenne révèle un impact mesuré de la crise sur les bud­gets de l'éducation. Les salaires des ensei­gnants ont tou­te­fois été réduits ou gelés dans près de la moi­tié de l'Europe mais pas en France, en 2011 et 2012. Décryptage avec Arlette Delhaxhe, res­pon­sable de l'équipe Études et ana­lyses de l'unité Eurydice et sou­tien poli­tique au sein de l'agence EACEA.
Quel a été l'impact de la crise sur les bud­gets de l'éducation en Europe?
L'étude réa­li­sée à prix constants, porte sur 31 pays euro­péens: les états membres de l'Union euro­péenne — excep­tés l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre au Royaume-Uni qui n'ont pas fourni de don­nées sur les bud­gets pour 2010–2012 — ainsi que la Croatie, l'Islande, le Lichtenstein, la Norvège, et la Turquie. Nous avons constaté une pres­sion sur les bud­gets natio­naux de l'Education qui s'explique en par­tie par la conjonc­ture écono­mique. Mais contrai­re­ment à ce qu'on aurait pu ima­gi­ner, la crise n'a pas eu d'impact sur les bud­gets de l'éducation dans de nom­breux pays. Les plus affec­tés sont ceux au défi­cit bud­gé­taire impor­tant: ainsi, depuis 2010, une baisse de plus de 5% des bud­gets pré­vus pour l'éducation a eu lieu en Grèce, en Hongrie, en Italie, en Lituanie et au Portugal. En France, on constate une sta­bi­lité en 2011 et une légère baisse en 2012. Il est impor­tant d'examiner aussi la part des dépenses publiques liées à l'éducation par rap­port aux dépenses publiques totales: jusqu'en 2010 on remarque une rela­tive sta­bi­lité dans la plu­part des pays. Suite de l'article...

Par Lucile Quillet. Après l’abrogation de la circulaire Guéant, les ministres de l’Intérieur et de l’Enseignement supérieur veulent faciliter leur séjour et leur visa. La France est dans une «position fragile» en matière d’attractivité des étudiants étrangers, a affirmé Geneviève Fioraso, la ministre de l’Enseignement supérieur, en déplacement mardi matin à la Cité internationale universitaire de Paris avec le ministre de l’Intérieur.
Or «Pour compter dans le monde de demain, la France doit savoir attirer les meilleurs étudiants, les meilleurs chercheurs, les meilleurs scientifiques, il en va de notre compétitivité», a renchéri Manuel Valls. Et aussi les garder. C’est pourquoi les ministres entendent améliorer l’accueil de ces étrangers et notamment leurs contacts avec les autorités, souvent pénibles, à la préfecture.
La France a accueilli 60.000 nouveaux étudiants en 2012 et certains d’entre eux restent étudier plusieurs années. Sauf que d’une rentrée à l’autre, ils doivent attendre de longues heures en préfecture pour renouveller leur visa de séjour. Le gouvernement a donc décidé de généraliser le titre de séjour pluriannuel en le faisant correspondre à la durée des études. Lire la suite de l'article...

Par Gilles Payet. Je suis au chômage depuis maintenant 21 mois et à 53 ans j’ai vraiment le sentiment d’être victime d’une discrimination de la part des recruteurs. Comment passer ce cap du tri des CV qui élimine systématiquement mes candidatures? Merci par avance pour votre éclairage. Marie-Annick, 53 ans.
Réponse de l'expert: Gilles Payet, coach emploi
Les mentalités évoluent (la France vieillit, l’âge moyen des français a dépassé la barre symbolique des 40 ans et cela n’est pas prêt de s’arrêter – écouter un débat sur RFI à ce sujet) mais trop lentement et, effectivement, dans les candidatures classiques, l’âge est un critère discriminant pour bon nombre de fonctions.
Plusieurs pistes qui peuvent être des leviers pour vous:...
Je vous invite aussi à consulter la présentation Powerpoint d’une conférence que j’ai animée ce jeudi 11 avril 2013 à l’occasion du Salon des seniors. Cette conférence intitulée: Travailler après 50 ans, 12 idées fortes pour apporter du sens à vos actions  est consultable en ligne. Celle-ci vous donnera des repères utiles pour, parfois, "sortir du cadre" afin d’être plus facilement vue, écoutée, convoquée et au final embauchée! Lire la suite...

By Megan Garber. It was a big year, 1926. Robert Goddard launched the first rocket. Pontiac cars were introduced by General Motors. Winnie-the-Pooh was published. And for the first time, the College Board administered a standardized test that would come to live in dreams and nightmares as the SAT. Yep, the Scholastic Aptitude Test: bane of high school students for 87 years and counting. The old-timey SAT was similar only in the broadest sense to the test we know today. It gave students both multiple-choice and fill-in-the-blank questions. It was first administered to 8,040 candidates -- 60 percent (hey, only 60 percent!) of whom were male. It consisted of 315 questions, which students had 97 minutes to answer. And while today's SAT has three core sections (Critical Reading, Math, and Writing), the SAT of 1926 had nine sub-tests, seven devoted to verbal skills and two devoted to math: Word Definitions, Arithmetical Problems, Word Classification, Antonyms, Number Series, Analogies, Logical Inference, Paragraph Reading, and Artificial Language. Read more...

By Rin Ichino. I gave a sigh of relief – our research project and presentation would be in a group! Now my friends would help me with English, and I wouldn’t have to worry that I would mess up the presentation because of my language skills. This was 9 months ago, in the summer of 2012, before I started my study abroad program here at Bates College. I was participating in a six-week summer program with students from seven universities around the world, but mostly from the United States. We had met just four days earlier, but I already had found this group of people was far more smart and promising than I had imagined. I had also learned quickly that my English was almost no use among native speakers. Read more...

In a media release on Monday, the Executive Secretary of the National Universities Commission (NUC), Julius Okojie, listed 49 ‘degree mills’ which he said have not been licensed by the Federal Government and have consequently been closed down for violating the Education (National Minimum Standards etc) Act CAP E3 Law of the Federation of Nigeria 2004.
He advised parents and prospective students to beware as anyone who chooses to patronise them or obtain a certificate does so at his/her own risk as certificates from the institutions will not be recognised by the NYSC, further studies or employment.
The “Universities” include:
1) University of Accountancy and Management Studies, operating anywhere in Nigeria.
2) Christians of Charity American University of Science & Technology, Nkpor, Anambra State or any of its other campuses.
3) University of Industry, Yaba, Lagos or any of its other campuses
4) University of Applied Sciences & Management, Port Novo, Republic of Benin or any of its other campuses in Nigeria.
5) Blacksmith University, Awka or any of its other campuses. Read more...

By Judith Spiegel, in Sana'a. ‘Everybody wants to be a mudir,’ a friend says when asked why there are no good plumbers around. Everybody wants to be the boss, the manager, the one who supervises. Everybody wants to go to university. Very few opt for anything practical. Abdulhalal (22) did. He studies interior design at Sana’a Community College, a practical alternative for university, located on the dusty outskirts of the city. ‘But it wasn’t easy. My family is not very helpful, they think you cannot make a living with interior design, they think people can do their own interior design.’
"Education is about exams"
The disdain for anything other than a university degree is still widespread in Yemen. According to the General Statistics Organisation, figures for 2009 (the most recent available) show some 200.000 students were enrolled in public universities and another 60.000 in private universities. Just 6,500 students were registered in vocational and technical training programmes. Read more...

By Sangeetha Samuel. Nearly one-third of the expatriate students in India are in Karnataka pursuing higher education. Bangalore, a cosmopolitan city with virtually no language barrier, seems to be among the most sought-after education destinations in India.
Of the 32,318 expatriate students in India, 10,462 study in various colleges in Karnataka, according to statistics from the Human Resources Development Ministry for the 2012 academic year. Most of these students are from countries like Africa, Middle East, Nepal, Sri Lanka, Afghanistan, Maldives and Mauritius with Humanities and Science being the most popular disciplines. Read more...