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Formation Continue du Supérieur
1 juillet 2012

Trouver un emploi avec les réseaux sociaux

http://www.netpublic.fr/wp-content/uploads/2012/06/jcommejeune.jpgPosté par Jean-Luc Raymond. Le CIDJ (Paris) consacre un dossier complet sur la possibilité de trouver un emploi avec les réseaux sociaux en ligne. Ce mini-guide thématique qui comprend 9 articles vient d’être publié dans son intégralité sur JcomJeune, nouveau site du CIDJ à destination des jeunes pour s’informer sur les études, les métiers, l’orientation, l’emploi, la formation et les séjours à l’étranger…
Au sommaire du dossier trouver un emploi avec les réseaux sociaux en ligne, la présentation des médias sociaux professionnels Viadéo, LinkedIn, l’utilisation de Facebook et Twitter pour des opportunités de recrutement ainsi que des témoignages d’internautes/mobinautes qui ont décroché un poste via ces services en ligne. Les différents articles de ce mini-guide offrent une perspective méthodologique, didactique et pédagogique pour agir avec efficacité.
Sommaire du dossier trouver un emploi avec les réseaux sociaux
Se constituer un réseau grâce à Facebook, Twitter, Viadéo ou Linkedin
Soyez actif sur Viadeo, Linkedin, Facebook et Twitter

Utiliser Twitter de manière pro

Facebook, gérer sa vie privée quand on cherche un emploi

Viadeo, Linkedin, l’importance du profil

Les réseaux sociaux modifient les entretiens de recrutement

J’ai posté au culot une demande d’emploi sur Facebook et ça a marché!

J’ai changé de voie grâce à une amie Facebook
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Ressources similaires
J’ai monté une vraie stratégie de recherche d’emploi avec les réseaux sociaux
Guide Web 2012: réseaux sociaux Facebook, Twitter et autres

Facebook, LinkedIn, Twitter: kit de survie du débutant

Guide d’initiation à la pratique des médias sociaux

Blog Viadeo et Projet Professionnel: démarche et outils de recherche d’emploi

Guide réseaux sociaux 2012
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http://www.netpublic.fr/wp-content/uploads/2012/06/jcommejeune.jpg Posted by Jean-Luc Raymond. CIDJ (Paris) devotes a full dossier on the possibility of finding a job with online social networks. This mini-guide that includes nine thematic sections has been published in full on JcomJeune, CIDJ new website for young people to learn about education, jobs, counseling, employment, training and stays abroad...
Contents of record find a job with social networking online, social media presentation Viadéo professionals, LinkedIn, the use of Facebook and Twitter for recruitment opportunities as well as testimonies of Internet / mobile users who get a job via online services.
The various articles in this mini guide provide a methodological perspective, instructional and teaching to act effectively. More...

1 juillet 2012

5 ressources sur la FOAD et le elearning

http://skoden.region-bretagne.fr/images/skoden.gifCes ressources sélectionnées vous aideront à faire le point sur le vocabulaire de la e-formation, à connaître les conditions d'imputabilité ou à apprendre la scénarisation et l'utilisation de certains logiciels de création de contenus.
1. Glossaire en flash sur la formation et la e-formation.
http://mercatica.org/La%20qualit%E9%20dans%20le%20e-learning/data/swf/engage_355/engage.swf.
2. Quiz d'évaluation "Imputablité des dépenses en FOAD" (réalisé avec l'outil avec adobe Captivate) par Jean-Michel Massu (AFPA Toulouse). http://www.afpa-mp-formationadistance.com/ressources/quiz/juridique1/juridique1_skin.swf.
3. "Scénariser un module de formation"
: un module elearning interactif réalisé avec Scénari par Cécile Deruy et Sophie Ferrandino. http://c.deruy.ouvaton.org/exemples/moodle-scenarisationPedagogique/co/Scenarisation_web.html.
4. "Utiliser un logiciel de capture d'écran" (utilisation de JING de TechSmith -outil gratuit) une présentation sous forme de screencast par Bruno Parmentier. http://www.bpmultimedia.fr/formationtice/docs/jing2/.
5. "Mettre en ligne un powerpoint" créé avec le logiciel gratuit Author Point Lite d'AuthorGEN et testé par Bruno Parmentier. http://www.bpformation.net/docs/author-point-lite/.
http://skoden.region-bretagne.fr/images/skoden.gifCes ressources sélectionnées vous aideront à faire le point sur le vocabulaire de la e-formation, à connaître les conditions d'imputabilité ou à apprendre la scénarisation et l'utilisation de certains logiciels de création de contenus.
1. Glossaire en flash sur la formation et la e-formation.
http://mercatica.org/La%20qualit%E9%20dans%20le%20e-learning/data/swf/engage_355/engage.swf.
2. Quiz d'évaluation "Imputablité des dépenses en FOAD" (réalisé avec l'outil avec adobe Captivate) par Jean-Michel Massu (AFPA Toulouse). http://www.afpa-mp-formationadistance.com/ressources/quiz/juridique1/juridique1_skin.swf.
3. "Scénariser un module de formation"
: un module elearning interactif réalisé avec Scénari par Cécile Deruy et Sophie Ferrandino. http://c.deruy.ouvaton.org/exemples/moodle-scenarisationPedagogique/co/Scenarisation_web.html.
4. "Utiliser un logiciel de capture d'écran" (utilisation de JING de TechSmith -outil gratuit) une présentation sous forme de screencast par Bruno Parmentier. http://www.bpmultimedia.fr/formationtice/docs/jing2/.
5. "Mettre en ligne un powerpoint" créé avec le logiciel gratuit Author Point Lite d'AuthorGEN et testé par Bruno Parmentier. http://www.bpformation.net/docs/author-point-lite/.
http://skoden.region-bretagne.fr/images/skoden.gif Αυτά τα επιλεγμένα πόροι θα σας βοηθήσουν να επανεξετάσει το λεξιλόγιο της ηλεκτρονικής μάθησης, για να γίνουν γνωστοί οι όροι της λογοδοσίας, ή να μάθουν scripting και τη χρήση ορισμένων δημιουργίας περιεχομένου του λογισμικού. Περισσότερα...
1 juillet 2012

Le Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP)

Salarié d'une entreprise de moins de 1000 personnes - ou dans une entreprise en redressement ou liquidation judiciaire sans condition d’effectif - vous êtes concerné par une procédure de licenciement pour motif économique, et votre employeur vous propose d'être suivi en Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP).
Le dispositif Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP)

Le dispositif du Contrat de Sécurisation Professionnelle s’applique aux procédures de licenciement économique engagées à compter du 1er septembre 2011.
Il concerne tous les salariés visés par une procédure de licenciement économique qui totalisent au moins 4 mois d’affiliation à l’assurance chômage sur les 28 derniers mois pour les personnes de moins de 50 ans, ou 36 derniers mois pour les personnes de plus de 50 ans.
Le salarié dispose, à compter du lendemain de la remise des documents relatifs au CSP, d’un délai de réflexion de 21 jours pour accepter le CSP ou bien refuser et être indemnisé au titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) qui concerne tout demandeur d’emploi privé involontairement d’un emploi.
Indemnisation et accompagnement des bénéficiaires

Pour les salariés qui justifient d’un an d’ancienneté ou plus dans l’entreprise, le CSP leur permet de bénéficier d’une allocation de sécurisation professionnelle (ASP) dont le montant est égal à 80% du salaire brut antérieur pendant 12 mois.
Le versement de l’allocation est immédiat, sans délai d’attente, ni différé d’indemnisation.
Il permet également aux bénéficiaires d’avoir un accompagnement renforcé dès la fin du contrat de travail.
Les salariés qui ne totalisent pas un an d’ancienneté mais qui ont travaillé suffisamment pour s’ouvrir des droits à l’allocation d’aide au retour à l’emploi (4 mois de travail dans les 28 derniers mois pour les salariés de moins de 50 ans ou 36 mois pour les personnes de plus de 50 ans) peuvent aussi bénéficier de l’accompagnement renforcé, mais reçoivent une ASP dont le montant et la durée sont équivalents à ceux de l’ARE.
Les bénéficiaires du CSP ont le statut de stagiaire de la formation professionnelle.
Obligation et participation de l’employeur

L’employeur a l’obligation de proposer le dispositif du CSP aux salariés visés par un licenciement économique.
Dans le cas contraire, Pôle emploi doit proposer le CSP au licencié économique.
L’employeur contribue au financement du dispositif par le versement:
- pour les salariés ayant un an ou plus d’ancienneté dans l’entreprise, d’une somme correspondant à l’indemnité de préavis, dans la limite de 3 mois de salaire, que le salarié aurait perçue s’il n’avait pas bénéficié d’un CSP. Cette contribution comprend l’ensemble des charges patronales et salariales.
- pour l’ensemble des salariés, de l’allocation de formation acquise annuellement par les salariés dans le cadre du droit individuel à la formation (DIF) et n'ayant pas été utilisé.
En cas d'acceptation, votre contrat de travail est réputé rompu d'un commun accord au terme du délai de réflexion de 21 jours.
Aucun différé d'indemnisation

En CSP, vous percevez vos allocations dès la fin de votre contrat de travail. Vous n'effectuez pas votre préavis. Vous ne recevez donc pas l'indemnité légale ou conventionnelle de préavis. Toutefois, si cette indemnité est supérieure à trois mois, vous percevez la partie excédentaire à ces trois mois.
Des allocations majorées
En CSP, les allocations que vous allez percevoir représentent 80% du salaire brut moyen des douze derniers mois si vous avez un an ou plus d’ancienneté dans l'entreprise. Par comparaison, c'est plus que l'allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE) de Pôle emploi. Si vous avez moins d’un an d’ancienneté, votre allocation est égale au montant de l’ARE.
En cas de reprise d'activité

Vous reprenez un emploi moins bien payé? Vous pouvez percevoir, sous certaines conditions, une indemnité différentielle qui couvre la baisse de rémunération.
Le suivi de vos démarches de reprise d'emploi

Le CSP peut durer jusqu’à douze mois afin de permettre un retour durable à l'emploi, si nécessaire à travers une formation qualifiante ou une reconversion professionnelle. Si au terme des douze mois, votre recherche d'emploi n'a pas abouti, des allocations ARE vous seront versées dans la limite des droits restants suite à votre inscription comme demandeur d’emploi.
A télécharger

CSP : Bulletin d'acceptation et récépissé du document de présentation.
CSP : Demande d'indemnité différentielle de reclassement.
CSP : informations pour le salarié.

1 juillet 2012

Is Indian Higher Education Experiencing a Quiet Female Revolution

http://chronicle.com/img/photos/biz/icons/worldwise-nameplate.gifThe following is a guest post by P. Pushkar, a former lecturer in international development studies at McGill University. He earned a bachelor’s degree in history at St. Stephen’s College in India.
A quiet revolution may be underway in India’s higher-education system. Making headlines are issues such as India’s need to build thousands of new universities and colleges, faculty and skills shortages, reforms to improve the quality of education, and legislation to permit the entry of Western universities.
What is not making big news is that female students now outnumber men at some elite Indian institutions and this change may even accelerate. This is hardly a new trend in the West, but it’s significant for India for several reasons. India is one of the few countries in the world where, due to rampant sex selection and cultural factors, men outnumber women. Girls are commonly discriminated against in subtle and crude ways from the time they are born.
The growing presence of women in colleges and universities, therefore, is a great leap forward. It is to the credit of young women that more of them are gaining entry into some of the most competitive higher-education institutions without the fuss of gender quotas. The increased female enrollment at postsecondary institutions has not been well received in some quarters. Earlier this year, Valson Thampu, the principal of Delhi’s St. Stephen’s College–probably India’s most prestigious and “liberal” of liberal-arts institutions–put forward a proposal to reserve 40 percent of seats for men. Currently, 64 percent of the student population there is women, according to The Times of India. Unlike other colleges which admit students on the basis of high-school grades alone, St. Stephen’s short-lists high-performing students for interviews before admitting a select few. In theory, college administrators can discriminate against girls. However, girls have outperformed boys in school-finishing exams for many years now. This has probably tied the hands of college authorities. They can do little when a majority of applicants with 90 percent marks or more are girls.
Predictably, Principal Thampu’s proposal created a firestorm inside and outside the college. For now, it seems the idea has been shelved. The good news gets better for girls. During the 1980s, women were largely enrolled in the humanities and select social-science programs. Then, more of them started taking up male-dominated disciplines, such as economics. Today, for example, the majority of economics students—reported to be 70 percent—at St. Stephen’s are women.
The change is a huge step in symbolic terms. Some of India’s most influential economists studied at St. Stephen’s, including Kaushik Basu, a Cornell University professor and currently the chief economic adviser to Prime Minister Manmohan Singh. In the sciences, at St. Stephen’s and elsewhere, women had already made inroads into disciplines like biology and chemistry. Physics remains the last stronghold of men.
Change is coming to other places as well, albeit slowly. Women remain scarce at the best engineering and business schools such as the Indian Institutes of Technology and Indian Institutes of Management. This year, however, there was a big surge in the number of women applicants at such prestigious institutions. A record number of female students took the IIT entrance exams. This increase has been attributed to reduction in application fees to Rs. 200 (approximately $4) and their elimination for online applications.
It would be premature to exaggerate the advances made by India’s women. At best, it appears that the current situation represents the first stage of a revolution. The cause may get a boost if the Indian government decides that the IITs must look at high-school grades as part of admissions, instead of relying solely on a common entrance exam. What’s more, there are reports that India’s growing private sector are keen to introduce more gender diversity in the workplace. However, they are struggling to find qualified women with business and engineering degrees. If this is true, the demand for women with business or engineering degrees may also stimulate changes in how India’s engineering and business schools admit students. For now, at least, St. Stephen’s appears to have been well and truly conquered by this revolution and others may follow.
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