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Formation Continue du Supérieur
licence
21 février 2013

Les atouts des Licences professionnelles en alternance

http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gif© Kelformation - Anna Massé. Les Licences professionnelles en alternance ont le vent en poupe. Chaque année, elles permettent à plus de 80% des diplômés de s’insérer dans le monde du travail. Quels sont les avantages d’ajouter une année d’études supplémentaire à son CV?
Une année qui fait la différence

Il existe aujourd’hui plus de 500 Licences professionnelles en France, réparties dans tous les domaines d’activités. Elles sont généralement accessibles après un DUT, un BTS/BTSA ou plus rarement après deux années d’études universitaires.
Les étudiants qui se tournent vers cette formation sont de plus en nombreux à la suivre par le biais de l’alternance. Leur objectif? Faciliter leur entrée sur le monde du travail. Une stratégie plutôt futée, selon les professionnels de la formation puisque la Licence professionnelle présente de nombreux avantages aux yeux des recruteurs. Suite de l'article...
http://www.kelformation.com/images/structure/logo-kf.gif © Kelformation - Anna Massé. Licenses The professional alternately have the wind in their sails. Each year, they provide more than 80% of graduates are entering the world of work. What are the advantages of adding a extra year of study to his resume?
A year that makes the difference
There are more than 500 professional licenses in France, spread across all areas of activity. More...
28 octobre 2012

1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles

JPG - 73 koLe 17 novembre 2012, le Carrefour des Etudiants et les différentes composantes de l’Université de Limoges organisent le 1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles.
Au programme:
Des échanges sur stands avec des responsables de formation.
Des rencontres avec des anciens étudiants.
Des conférences:
- 10h00 Les métiers du numérique
- 11h00 Les métiers de l’environnement
- 14h00 La domotique (dans le cadre du zoom métiers de la Cité des Métiers, partenaire de la manifestation)
- 15h00 L’alternance et la formation tout au long de la vie
- 16h00 Les métiers de l’enseignement
Mais aussi des plateaux TV, réalisés par l’équipe de Canalsup et retransmis sur la radio RTF.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter le Carrefour des Etudiants au 05.55.14.90.70.
Cité des métiersLe 17 novembre 2012 à Ester Technopole, le Carrefour des Etudiants et les différentes composantes de l’Université de Limoges organisent le 1er Salon Régional des Masters et des Licences Professionnelles.
Au programme : Des échanges sur stands avec des responsables de formation, des rencontres avec des anciens étudiants.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter le Carrefour des Etudiants au 05.55.14.90.70 ou cliquez sur "salon masters et licences professionnelles".

JPG - 73 kb On 17 November 2012, the Carrefour Students and the various components of the University of Limoges organizing the first Regional Masters Salon and Professional Licensing.
The program:

Exchanges on stands with training managers.

Meetings with alumni.

Conferences:

- 10:00 Professions digital

- 11:00 The environmental activities

- 14:00 The home automation (through the zoom trades Cité des Métiers, a partner of the event)

- 15:00 The alternation and training throughout life

- 16.00 teaching careers

But also TV trays, made by the team Canalsup and broadcast on radio RTF.

For more information, please contact the Student Carrefour at 05.55.14.90.70
. More...
15 juin 2012

Entre prépa et université, l'audacieuse licence PSL-Henri IV

http://www.vousnousils.fr/wp-content/themes/vousnousils_theme/images/logo-vousnousils.pngLa licence plu­ri­dis­ci­pli­naire annon­cée pour la ren­trée par le pôle uni­ver­si­taire Paris Sciences et Lettres (PSL) et le lycée Henri IV innove, mais ne fait pas que des heureux. Le pres­ti­gieux lycée pari­sien Henri IV et le pôle de recherche Paris Sciences et Lettres (PSL), qui réunit Normale Sup, l'université Dauphine ou bien encore les Beaux-Arts, ont annoncé fin mai la créa­tion d'une licence plu­ri­dis­ci­pli­naire d'un nou­veau genre, com­bi­nant la sou­plesse des cur­sus amé­ri­cains et la rigueur des classes pré­pa­ra­toires françaises.
Concilier les atouts de la prépa et de l'université

Cette licence per­met à l'étudiant de se spé­cia­li­ser pro­gres­si­ve­ment dans l'une des trois filières pro­po­sées (huma­ni­tés, sciences sociales ou sciences). Le pro­gramme, plu­ri­dis­ci­pli­naire presque à outrance, mélange « des ensei­gne­ments com­muns lit­té­raires et scien­ti­fiques », « un effort par­ti­cu­lier » sur les langues vivantes avec « des cours inté­gra­le­ment don­nés en langue anglaise », et « une place spé­ci­fique » accor­dée « aux pra­tiques cultu­relles et artistiques ».
« Exigeant et for­ma­teur », ce cur­sus « unique en France » aurait sa place dans les « plus pres­ti­gieuses uni­ver­si­tés inter­na­tio­nales ». Le pro­jet s'inspire des uni­ver­si­tés amé­ri­caines, où les pre­mières années d'études sont peu spé­cia­li­sées, avec l'encadrement des classes prépa à la fran­çaise. « Il s'agit de conci­lier les atouts des deux formes d'enseignement », explique Monique Canto-Sperber, pré­si­dente de PSL. « Nos étudiants pour­ront aussi bien pour­suivre en pré­pas qu'en grande école ou à l'université », se féli­cite Patrice Corre, pro­vi­seur de Henri IV.
« La licence doit se faire à l'université ! »

Seuls 60 heu­reux élus pour­ront pro­fi­ter de ces condi­tions d'enseignement pri­vi­lé­giées, dont 30 étudiants bour­siers. Sous réserve d'avoir accompli « une très bonne sco­la­rité secon­daire », le recru­te­ment se veut « conçu pour favo­ri­ser la diver­sité des par­cours et des pro­fils ainsi que la mixité sociale. » Les ins­crip­tions pour ce cur­sus nova­teur sont déjà ouvertes. Mais cela n'est pas du goût de tout le monde – le socio­logue Pierre Dubois, notam­ment, a été pris d'une sou­daine envie de « dis­tri­buer des paires de claques. » A qui? Aux res­pon­sables des établis­se­ments par­te­naires d'une part: le lycée Henri IV, l'ENS ULM, et le reste des membres de PSL, qui (à l'exception de Dauphine) « ne sont pas habi­li­tés à orga­ni­ser et à délivrer le titre natio­nal de licence ». C'est pour­quoi une autre paire de baffes est pro­mise au « nou­veau gou­ver­ne­ment » s'il laisse s'ouvrir à Henri IV à la ren­trée « une licence uni­ver­si­taire au titre usurpé ». Pour l'ancien cher­cheur, « la licence doit se faire à l'université! Point final! »
Source(s): parissciencesetlettres.org, lyc-henri4.scola.ac-paris.fr, lemonde.fr, blog.educpros.fr/pierredubois.
http://www.vousnousils.fr/wp-content/themes/vousnousils_theme/images/logo-vousnousils.pngThe multidisciplinary degree announced for September by the largest university Paris Sciences and Humanities (PSL) and the Lycee Henri IV innovates, but does not please everyone. The prestigious Parisian lycée Henri IV and the Paris research center Sciences and Humanities (PSL), which meets Normale Sup, Dauphine University or even the Fine Arts, announced in late May to create a multidisciplinary degree of a new genre, combining the flexibility of the American curriculum and the rigor of French preparatory classes. More...
18 avril 2012

Polémique sur la licence, accusée d'être bradée

http://s1.lemde.fr/medias/web/e6afead9472b16c913d9b50bf6419a64/img/elements_lm/m54x44.pngPar Nathalie Brafman. Pour améliorer artificiellement les taux de réussite à l'université, le gouvernement a-t-il discrètement accepté de baisser le niveau d'exigence en licence? Le nouveau système de notation des étudiants en licence, mis en place à la rentrée 2011 et dont l'impact commence à être perceptible, est en effet débattu au sein de la communauté universitaire. Ses défenseurs y voient un moyen efficace de lutter contre l'échec à l'université. Ses détracteurs critiquent durement un système d'évaluation qui risque, à leurs yeux, de brader la valeur de la licence. Suite de l'article...
http://s1.lemde.fr/medias/web/e6afead9472b16c913d9b50bf6419a64/img/elements_lm/m54x44.pngBy Nathalie Brafman. To artificially improve success rates in college, the government have quietly agreed to lower the level of license requirement? The new rating system for undergraduates, established in September 2011 and whose impact begins to be noticeable, is indeed debated within the academic community. More...
23 janvier 2012

Etudier en licence: parcours et insertion

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/publications/relief/etudier-en-licence-parcours-et-insertion/34973-1-fre-FR/Etudier-en-licence-parcours-et-insertion_large.pngPar I. Borras, D. Epiphane, P. Lemistre, G. Ryk (éditeurs), Relief, n° 36, 2012, 240 p. Télécharger la publication. Cet ouvrage est le résultat des derniers travaux du groupe de travail sur l'enseignement supérieur (GTES), qui réunit des chargés d'études du Céreq et de ses centres associés, des représentants des observatoires des universités et de la DGESIP.
La thématique porte sur les parcours des étudiants de licence (L). L'analyse est présentée en deux temps: modalités d'accès au L et parcours pendant les trois premières années de formation; poursuite d'études et insertion des diplômés de L3.
Des choix effectués par les bacheliers après le bac aux déterminants des poursuites d'étude, des mesures et les analyses du décrochage en L1 à l'insertion des diplômés de L3, professionnelles ou générales, les différents contributeurs passent au crible tout le premier cycle de l'enseignement supérieur.
Conclusion

Ces premiers résultats doivent être creusés. Ils confirment que les jeunes qui sortent avec des diplômes de master 2 scientifiques n'ont pas tous connu le même parcours de formation dans l'enseignement supérieur. Certains ont contourné le 1er cycle universitaire par le biais des CPGE ou des IUT/STS, d'autre sont issus de PCEM ou d'école d'ingénieur et tous reviennent ensuite à l'université poursuivre leurs études en master et décrocher un master 2 de sciences. Ces diplômés ont donc des diplômes très « proches » en ce sens qu'ils partagent des compétences générales en sciences très importantes, acquises au cours de cursus qui ont duré au minimum 5 ans. La spécialité du master 2, souvent très sélective à l'entrée et qui renvoie à des savoirs précis, ne semble pas avoir une importance très discriminante sur l'accès à l'emploi au sein de cette population, hormis les difficultés bien connues des diplômes de sciences de la vie. Ces diplômés sont donc en partie concurrents sur des emplois d'ingénieur et de cadre technique. Pourtant leur parcours les différencie et, derrière ce parcours et pouvant même l'expliquer, l'existence d'un projet professionnel. L'accès à ces différents parcours dépend également des performances scolaires antérieures et de l'origine sociale des jeunes, les plus favorisés allant vers les premiers cycles les plus prestigieux (CPGE, PCEM, école...). Le contournement du 1er cycle universitaire est donc en plus d'une réalité quantitative qui concerne plus d'un jeune diplômés de M2 scientifique sur deux (55%) une stratégie mise en place par des jeunes bien dotés et avec apparemment une certaine efficience en termes d'insertion professionnelle. La diversité des parcours au sein de l'enseignement supérieur, y compris pour l'obtention de mêmes diplômes, permet à chacun de trouver sa voie. Mais il semble bien que les jeunes qui arrivent à mettre en place des stratégies cohérentes dès le début de leurs études, tirent aussi plus vite et mieux leur épingle du jeu.Télécharger la publication.
Voir aussi Évaluation du non-recours au tutorat à l’université, Peut-on forcer les étudiants à la réussite.
By I. Borras, D. Epiphanius, P. Lemistre, G. Ryk (Eds.), Relief, No. 36, 2012, p. 240 Download the publication. This book is the result of the recent work of the Working Group on Higher Education (WGHE), which brings together research officers of Céreq and its associated centers, representatives of universities and observatories of DGESIP.
The theme focuses on the path of the undergraduate students (L).
The analysis is presented in two parts: how access to the path L and the first three years of training, further education and integration of graduates of L3.
Choices made by graduates from the tray to the determinants of action study, measures and analyzes the stall L1 to L3 insertion of graduates, vocational or general, the various contributors scrutinize the entire first cycle Higher Education.

Conclusion

These initial results should be dug.
They confirm that young people leaving with two master degrees in science are not all met the same training course in higher education. More...
22 janvier 2012

Ne bradons pas les diplômes de la licence!

http://img.scoop.it/VBqwRCDmedA6Zl8TzMuNVDl72eJkfbmt4t8yenImKBVaiQDB_Rd1H6kmuBWtceBJPar Alain Caillié, sociologue et directeur de la "Revue du Mauss" et Marcel Gauchet, historien et rédacteur en chef de la revue "Le Débat". Comme l'affirme modestement le président Sarkozy, dans son discours du 26 septembre 2011, la loi libertés et responsabilités des universités (LRU), "l'une des réformes et réussites majeures de (son) quinquennat, c'est l'université et la recherche".
Après avoir donné aux universités un plan réussite en licence (PRL) qui prévoyait l'injection dans le premier cycle de moyens financiers pour, en effet, permettre au plus grand nombre d'obtenir leur licence, le ministère a décidé d'y mettre un terme sans prendre le risque de se fâcher avec l'UNEF, et a trouvé un moyen simple de ne pas afficher en fin de mandat un résultat trop mauvais à l'électorat français, si chatouilleux parfois: "Ne surélevez pas le pont, faites baisser la rivière!"
De ce point de vue, l'article 16 de cet arrêté, qui modifie les modalités de contrôle des connaissances en licence dès cette rentrée est exemplaire. Les universités sont tenues de se mettre en conformité avec ces nouvelles dispositions en bouleversant au besoin l'architecture des diplômes, alors même que les brochures explicatives à destination des étudiants ont été imprimées et que les cours ont déjà repris.
De quoi s'agit-il? Rien de moins que d'imposer aux universités des dispositifs qui permettent aux étudiants de compenser à l'intérieur d'un semestre et d'un semestre à l'autre n'importe quel enseignement fondamental de leur cursus (par exemple la philosophie pour un étudiant en philosophie) avec des "modules d'ouverture" de tous ordres (sport, engagement associatif, rédaction de CV, etc.).
Le nouveau management public prouve une fois encore son sens de l'effort inutile. Avec des moyens en baisse, les universités auront de la peine à satisfaire à cette nouvelle exigence, qui ne tient nul compte du fait que les étudiants ont souvent une activité salariée (ce qui n'est pas le cas des classes préparatoires)... Les syndicats étudiants l'auraient-ils oublié ? Si la démocratisation de l'université a pour objectif d'offrir aux bacheliers, quelle que soit leur origine, un accès à des formations de bon niveau et à des diplômes valorisants, cette énième réforme contribue à creuser les inégalités et élargir le boulevard pour toutes les filières sélectives que les étudiants les plus avertis et les mieux armés plébiscitent au détriment déjà des filières universitaires.
Le ministère trompe ainsi les syndicats étudiants en leur laissant croire qu'ils ont remporté une victoire historique. Ne serait-il pas temps de comprendre que les universités ne sont pas "responsables" du taux d'échec dans leur premier cycle? Qu'on ne peut leur demander tout à la fois d'accueillir tout le public refusé ailleurs et de diplômer celui-ci? La population étudiante issue de baccalauréats professionnels, dont le taux d'échec en premier cycle universitaire avoisine les 90%, ne cesse d'augmenter.
Faut-il rappeler que ces baccalauréats n'ont pas été conçus pour la poursuite d'études supérieures longues et qu'il est donc insensé, au sens premier du terme, de reprocher à l'université de ne pas parvenir à diplômer tous ses lauréats? La sélection, absente à l'entrée de l'université, se réalise dans le cours des cursus, et l'injustice se trouve bien en amont des seules procédures d'examen. Si l'on veut réduire le taux d'échec universitaire, il faut repenser l'ensemble de l'enseignement supérieur et notamment son premier cycle, et cesser de le dévaloriser aux yeux de nos étudiants et des personnels. Sous prétexte que les diplômes sont et doivent rester nationaux, le ministère continue de définir leurs modalités d'accès avec une ingérence sans équivalent dans les pays auxquels on s'ingénie à comparer sans cesse l'université française.
Il réduit comme peau de chagrin la liberté pédagogique des enseignants du supérieur et des universités, jugés incapables de déterminer les modalités d'évaluation de leurs étudiants. Où est l'"autonomie" des universités? Les signataires sont persuadés que la majorité des étudiants sont attachés à ce que leur diplôme sanctionne non pas des stratégies d'aubaine, mais des connaissances reconnues, acquises à travers un effort soutenu et régulier, condition même de leur intégration socioprofessionnelle. Ils sont aussi persuadés que la création de ces nouveaux "assignats" universitaires constitue un nouveau coup frappé à l'encontre des universités, et destiné à renforcer, si besoin était, l'inégalité entre le secteur sélectif de l'enseignement supérieur et les universités.
Enfin, ils sont aussi persuadés que si l'autonomie des universités a un sens, les établissements doivent garder en toute logique la liberté de déterminer les modalités d'évaluation de leurs étudiants sous le contrôle de leurs instances régulièrement élues et dans le cadre des diplômes nationaux. Le terme "autonomie" ne figure pas dans la loi LRU, sauf à l'article 28 concernant le financement des nouvelles fondations de coopérations scientifiques. Trompe-l'oeil ou acte manqué révélateur de la véritable nature de cette politique universitaire?
Bruno Andreotti, professeur, physique, université Paris-Diderot; Claude-Sophie Bazin, professeur, sciences du vivant, université Paris-Diderot; Olivier Beaud, professeur, droit, université Panthéon-Assas; Claire-Akiko Brisset, maître de conférences, arts visuels et littérature du Japon, université Paris-Diderot; Jean-Michel Butel, maître de conférences, ethnologie japonaise, Inalco; Alain Caillié, professeur, sociologie, université Paris-VIII - Vincennes - Saint-Denis; Christophe Charle, professeur, histoire contemporaine, université Paris-1-Panthéon-Sorbonne; Arnaud Durand, professeur, mathématiques, université Paris-Diderot; Christian Galan, professeur, histoire et sociologie du Japon, université de Toulouse-II - Le Mirail; Sandrine Garcia, maître de conférences, sociologie, université Paris-Dauphine; Marcel Gauchet, DE, philosophie, EHESS; Annick Horiuchi, professeur, histoire intellectuelle du Japon, université Paris-Diderot; Valérie Lavoix, maître de conférences, langue et littérature chinoises classiques, Inalco; Régis Salado, maître de conférences, littérature comparée, université Paris-Diderot; Eric Seizelet, professeur, droit et histoire des institutions japonaises, université Paris-Diderot; Charles Soulié, maître de conférences, sociologie, université Paris-VIII - Vincennes - Saint-Denis; François Vatin, professeur, sociologie, université Paris-VIII - Vincennes - Saint-Denis; Michel Vieillard-Baron, professeur, littérature classique japonaise, Inalco.
http://img.scoop.it/VBqwRCDmedA6Zl8TzMuNVDl72eJkfbmt4t8yenImKBVaiQDB_Rd1H6kmuBWtceBJ Alain Caillié, sociológ a riaditeľ "Journal of Mauss a Marcel Gauchet, historik a editor časopisu" diskusie. "Ako uvádza skromne prezident Sarkozy vo svojom prejave z 26. septembra 2011, zákon slobody a zodpovednosti univerzít (LRU), "jeden z najväčších úspechov reformy a (jeho) päť rokov, univerzita a výskumu."
Potom, čo univerzity úspešnej licenčnej plán (LRP), ktorý sa staral o injekciu v prvom kole financovania, naozaj, dovoliť veľa, aby si ich licencie, ministerstvo sa rozhodli dať Termín bez rizika, hnevať sa UNEF, a našiel jednoduchý spôsob, ako sa zobrazí na konci mandátu Škoda, výsledok francúzskych voličov, a tak citlivé na Times: "Nepoužívajte povýšiť most, aby sa rieky!
" Viac...
12 septembre 2011

Licence pro logement social, de Clermont-Ferrand à Lille

http://www.lamontagne.fr/cfc/images/logo_MT_R.gifMarion Bérard (locale@centrefrance.fr). L'université d'Auvergne sert de modèle dans le Nord. La licence Management du logement social créée en 2003 à Clermont-Ferrand, vient de s'exporter à Lille.
Le 8 juillet dernier, l'université d'Auvergne a signé une convention avec l'Université de Lille pour l'ouverture d'une annexe de sa licence Management du logement social. L'occasion de faire le point sur une licence en pleine expansion à Clermont-Ferrand.
Le secteur du logement social représente un gisement d'emploi important. Dans tout le Puy-de-Dôme en particulier, avec un parc de plus de 26.000 logements sociaux. C'est sur une forte demande de la part des bailleurs sociaux que l'Université a créé une licence dédiée à ce secteur en 2003.
Chaque année à l'IUT, une promotion d'une quarantaine d'élèves, niveau bac+2 sélectionnés sur dossier, est formée à tous les métiers du logement, des bailleurs sociaux aux agences d'urbanisme. Les élèves sont encadrés par des professeurs de l'université et des professionnels du logement social. La formation est sanctionnée par un stage de quatre mois, d'avril à juillet. C'est cette formation pratique qui donne à la licence toute sa valeur. Classée A+ par une évaluation ministérielle, elle permet aux étudiants de trouver un emploi rapidement, voire pendant leur stage.
Rien d'étonnant à ce que cette licence, créée dans la ville de Didier Guillot, ministre du logement social, ait intéressé l'université de Lille. Les premiers élèves, une quinzaine, vont faire leur rentrée au lycée Pasteur de Lille en septembre. Certains professeurs de Clermont-Ferrand vont même se déplacer dans la ville du Nord, qui compte 500000 logements sociaux, pour donner des cours. L'objectif pour l'université d'Auvergne: développer la licence tout en maintenant la qualité. Un master professionnel est envisagé dans les années à venir à Clermont-Ferrand. Contact: IUT Cermont-Ferrand, Patrick Nehemie, 04.73.17.71.01
http://www.directetudiant.com/uploads/logos/universite-d-auvergne-clermont-ferrand-1_2570.jpgL’UdA vient de signer une convention avec l’Académie de Lille afin de mettre en place un groupe de formation à la licence professionnelle Management du Logement Social de l'IUT de l’Université d’Auvergne au sein du Lycée Louis-Pasteur de Lille.

Accueillant chaque année depuis 2002 entre 25 et 35 étudiants, la Licence professionnelle Management du Logement Social de l'IUT (notée A+ lors des dernières évaluations de l’AERES) effectue un recrutement national bien que tempéré par l’éloignement géographique de certaines régions à fort potentiel de recrutement.
Soucieuse de trouver une réponse à la demande des professionnels, l’Université d’Auvergne s’est associée au lycée Louis-Pasteur de l’Académie de Lille afin de permettre à des étudiants et des salariés de d’entreprise issus de la région Lilloise, de préparer la licence Professionnelle Management du Logement Social dans la cadre de la formation continue et de l’alternance. En savoir plus: présentation complète de la Licence Professionnelle Management du Logement Social.
http://www.lamontagne.fr/cfc/images/logo_MT_R.gif Marion Berard (locale@centrefrance.fr). Uniwersytet Auvergne jest modelem na północy. Zarządzanie licencjami mieszkań socjalnych utworzony w 2003 roku w Clermont-Ferrand, Lille musi być eksportowane. Więcej...
5 septembre 2011

3078 licences pour l’emploi

http://www.jeunes.gouv.fr/squelettes/images/logo.pngIl existe en France 1458 licences et 1620 licences professionnelles. Le plan « Réussir en licence », lancé en 2007, a pour ambition de diviser par deux le taux d’échec en première année à l’université. Désormais, les étudiants sont mieux accueillis et mieux accompagnés.
Une rentrée à l’université mieux préparée

Une prérentrée est organisée pour les étudiants de première année afin de les familiariser avec la vie universitaire: présentation des lieux de vie et de travail du campus, des centres de ressources documentaires, des espaces numériques de travail, propositions de tests de niveau donnant droit à des modules de soutien, unités d’enseignement de méthodologie universitaire...
Un encadrement renforcé

En première année, les nouveaux étudiants bénéficient d’un encadrement renforcé correspondant en moyenne à 5 heures supplémentaires par semaine (encadrement pédagogique, soutien aux étudiants en difficulté). Ce supplément d’heures disponibles est laissé à l’appréciation des équipes pédagogiques. Les petits groupes sont privilégiés et des heures de soutien sont aménagées pour les étudiants en difficulté.
Un contenu rénové pour la première année de licence générale

La première année devient une année fondamentale pluridisciplinaire pour consolider les acquis du lycée et poser les fondements de la réussite universitaire: méthodologie, expression écrite et orale, anglais, culture générale, technologies de l’information et de la communication. L’accent est mis sur les langues et les nouvelles technologies avec une certification nationale ou internationale obligatoire en fin de cycle.
L’enseignant-référent, un interlocuteur privilégié pour les étudiants

Durant tout le cycle de licence, et particulièrement en première année, les étudiants peuvent s’adresser à un enseignant-référent s’ils rencontrent des difficultés. Son rôle est de répondre à leurs questions et de les conseiller.
Des séances de tutorat pour les étudiants en difficulté

Les étudiants en difficulté bénéficient d’une aide méthodologique personnalisée. Ces séances de tutorat sont dispensées par des étudiants tuteurs, rémunérés dans le cadre des nouveaux contrats étudiants signés avec les universités.
Des possibilités de réorientation élargies dès la fin du premier semestre

Si un étudiant souhaite changer d’orientation, il peut en faire part à son enseignant-référent. Une commission d’orientation se réunit dans chaque université à la fin du premier semestre pour examiner les souhaits des étudiants et pour statuer.
http://www.jeunes.gouv.fr/squelettes/images/logo.png Prantsusmaal on 1458 litsentside ja professionaalne litsentside 1620. Plaan "edukas litsents", mis käivitati aastal 2007, eesmärk on vähendada määr läbikukkumine esimesel aastal ülikoolis. Nüüd õpilased on parem saanud ja parem koos.
Tagasi kooli ülikoolis paremini valmis. Velle...
12 août 2011

La licence est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de licence (Arrêté du 1-8-11)

Retourner à la page d'accueil de LégifrancePublication de l'Arrêté du 1er août 2011 relatif à la licence, (JORF n°0185 du 11 août 2011 page 13800 texte n° 39).
Voir l'article "Licence - Laurent 1er, 1er août" commentant cette publication sur le blog de Pierre Dubois Histoires d'universités:
arrêté du 1er août 2011, publié au JORF le 11 août 2011! Rien que des “1″.
Ci-dessous le texte complet de l'arrêté:

Chapitre Ier : Dispositions générales
Article 1

La licence est un diplôme national de l'enseignement supérieur conférant à son titulaire le grade de licence. Il confère les mêmes droits à tous ses titulaires, quel que soit l'établissement qui l'a délivré. Les études universitaires conduisant à la licence sont régies par les dispositions du présent arrêté.
Article 2

La licence atteste l'acquisition d'un socle de connaissances et de compétences dans un champ disciplinaire ou pluridisciplinaire. La licence initie l'étudiant au processus de production des connaissances, aux principaux enjeux de la recherche et des méthodes scientifiques de ce champ.
La licence prépare à la fois à l'insertion professionnelle et à la poursuite d'études de son titulaire. Elle sanctionne un niveau validé par l'obtention de 180 crédits ECTS (European Credits Transfer System).
Article 3 En savoir plus sur cet article...
Des référentiels de compétences sont définis pour une discipline ou un ensemble de disciplines à l'initiative du ministre chargé de l'enseignement supérieur, qui associe les conférences mentionnées à l'article L. 233-1 du code de l'éducation, les associations mentionnées à l'article L. 811-3 du code de l'éducation, les communautés scientifiques et les professionnels des secteurs concernés, et sollicite l'avis du comité mentionné à l'article 24. La mise en œuvre des référentiels fait, au moins une fois tous les cinq ans, l'objet d'un examen par le comité mentionné à l'article 24 du présent arrêté. Cet examen contribue à l'évolution desdits référentiels. La licence s'appuie sur des objectifs nationaux établis par les référentiels. Ceux-ci déclinent les compétences disciplinaires, linguistiques, transversales et préprofessionnelles que doivent acquérir les titulaires de la licence.
Chapitre II : Accès aux études de licence
Article 4 En savoir plus sur cet article...
Dans les conditions définies à l'article L. 612-3 du code de l'éducation, les étudiants, pour être inscrits dans les formations universitaires conduisant au diplôme de licence, doivent justifier:
― soit du baccalauréat;
― soit du diplôme d'accès aux études universitaires;

― soit d'un diplôme français ou étranger admis en dispense ou en équivalence du baccalauréat, en application de la réglementation nationale ;
― soit, pour l'accès aux différents niveaux, de l'une des validations prévues aux articles L. 613-3, L. 613-4 et L. 613-5 du code de l'éducation.
Article 5
Chaque étudiant bénéficie d'un dispositif d'accueil et d'orientation destiné à faciliter son intégration à l'université, à l'aider dans ses choix et à lui permettre de devenir autonome dans ses apprentissages par l'acquisition d'une méthode de travail. Des dispositifs spécifiques d'accompagnement sont organisés dès la rentrée en fonction des publics accueillis.
Chapitre III : Organisation de la formation
Article 6
En savoir plus sur cet article...
La formation assure à l'étudiant l'acquisition d'un ensemble de connaissances et compétences diversifiées:
― des compétences disciplinaires, en premier lieu dans la ou les disciplines principales, mais aussi dans des disciplines connexes et, le cas échéant, dans des disciplines d'ouverture, afin de favoriser l'acquisition d'une culture générale;
― des compétences linguistiques, se traduisant notamment par la capacité à lire, écrire et s'exprimer dans au moins une langue étrangère vivante;
― des compétences transversales ou génériques, telles que l'aptitude à l'analyse et à la synthèse, à l'expression écrite et orale, au travail individuel et collectif, à la conduite de projets, au repérage et à l'exploitation des ressources documentaires, ainsi qu'au maniement des outils numériques;
― des compétences préprofessionnelles, fondées sur la connaissance des champs de métiers associés à la formation, sur l'élaboration du projet personnel et professionnel de l'étudiant, ainsi que sur la capacité de ce dernier à réinvestir ses acquis dans un contexte professionnel.
A ces fins, la formation, confiée à une équipe de formation coordonnée par un responsable, associe des enseignements théoriques, méthodologiques, pratiques et appliqués. La formation représente un volume d'au moins 1500 heures d'enseignement sur l'ensemble du cursus de la licence. Un équilibre entre les différentes modalités d'enseignement, et notamment les cours magistraux, doit être assuré. Les équipes de formation sont constituées de façon à garantir que toutes les compétences à acquérir sont prises en compte et que les enseignements, notamment dans les disciplines d'ouverture, sont adaptés aux spécificités des étudiants. En application du 3° de l'article L. 123-3 du code de l'éducation, l'université met en place des actions concourant à l'insertion professionnelle des étudiants. A cet effet, la formation comprend des éléments de préprofessionnalisation et de professionnalisation. Des représentants du monde socioprofessionnel sont associés à la conception des formations et participent aux enseignements dans les conditions prévues à l'article L. 611-2 du code de l'éducation. La formation fait appel aux technologies numériques appliquées à l'enseignement. Elle est dispensée sur site ou à distance ou selon une combinaison de ces deux modes. En cohérence avec les objectifs de chaque formation, les enseignements sur site peuvent comporter cours, travaux dirigés, travaux pratiques, conduites de projets individuels ou collectifs, stages. La formation peut notamment s'appuyer sur la mise en œuvre de projets pluridisciplinaires proposés par les équipes de formation et offrant aux étudiants la possibilité de conjuguer plusieurs types de compétences ou de mettre en perspective, sur un même objet d'étude, les apports de plusieurs disciplines.
Article 7 En savoir plus sur cet article...
L'offre de formation est structurée en semestres et en unités d'enseignement capitalisables. Elle est organisée sous la forme de parcours types de formation initiale et continue formant des ensembles cohérents au regard des objectifs du diplôme. Ces parcours sont constitués d'unités d'enseignement obligatoires, optionnelles et libres. Ils sont conçus de manière à permettre aux étudiants d'élaborer progressivement leur projet personnel et professionnel en favorisant leur intégration, leur orientation et leur spécialisation au fur et à mesure de l'avancée dans le cursus. Ils facilitent également la mobilité, notamment à l'étranger. Chaque parcours prévoit la possibilité d'un stage obligatoire ou facultatif intégré au cursus et faisant l'objet d'une évaluation concourant à la délivrance du diplôme. Les parcours peuvent notamment être organisés en articulant des champs disciplinaires majeurs et mineurs. Les diplômes sont enregistrés au répertoire national des certifications professionnelles dans les conditions prévues à l'article L. 335-6 du code de l'éducation.
Article 8
De manière à favoriser la réussite de chacun, un suivi personnalisé de chaque étudiant est assuré par un enseignant référent. Des actions d'accompagnement et, le cas échéant, de soutien sont également mises en place, notamment sous la forme d'un tutorat.
Pour les étudiants en difficulté, des dispositifs spécifiques sont prévus.
Des sessions spécifiques consacrées notamment à l'accueil d'étudiants en soutien, d'étudiants salariés et d'étudiants étrangers peuvent être organisées, notamment durant les périodes estivales.
Article 9
Afin d'assurer la fluidité des parcours entre formations, tant générales que professionnelles, la possibilité de réorientations à différentes étapes du cursus ainsi que l'accueil d'étudiants issus d'autres filières, les universités mettent en place:
― des passerelles permettant aux étudiants de passer dans de bonnes conditions d'une filière à une autre, que celle-ci soit interne ou extérieure à l'établissement ;
― des dispositifs d'intégration et d'accompagnement prenant en compte les parcours antérieurs des nouveaux venus et favorisant leur adaptation.
Des conventions sont conclues entre les établissements d'origine et d'accueil pour faciliter ces mobilités.
Le recteur d'académie, chancelier des universités, préside chaque année une commission académique des formations post-baccalauréat. Il transmet chaque année au ministre chargé de l'enseignement supérieur un bilan des dispositifs développés à ce titre et formule des propositions d'amélioration. La direction en charge de l'enseignement supérieur au ministère effectue un bilan consolidé qu'elle transmet pour avis au comité mentionné à l'article 24 ci-dessous.
Article 10

Le conseil d'administration fixe, sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire, les modalités pédagogiques spéciales prenant en compte les besoins particuliers des étudiants engagés dans la vie active ou assumant des responsabilités particulières dans la vie universitaire, la vie étudiante ou associative, des étudiants chargés de famille, des étudiants engagés dans plusieurs cursus, des étudiants handicapés et des sportifs de haut niveau.
Chapitre IV : Validation des parcours de formation
Article 11

Les aptitudes et l'acquisition des connaissances et des compétences sont appréciées soit par un contrôle continu et régulier, soit par un examen terminal, soit par ces deux modes de contrôle combinés. Les modalités de contrôle continu prévoient la communication régulière des notes et résultats à l'étudiant et, s'il le souhaite, la consultation des copies. Le mode du contrôle continu et régulier fait l'objet d'une application prioritaire sur l'ensemble du cursus conduisant à la licence. Les modalités du contrôle permettent de vérifier l'acquisition de l'ensemble des connaissances et compétences constitutives du diplôme.
Article 12 En savoir plus sur cet article...
Dans le respect des délais fixés à l'article L. 613-1 du code de l'éducation, les établissements publient l'indication du nombre des épreuves, de leur nature, de leur durée, de leur coefficient ainsi que la répartition éventuelle entre le contrôle continu et le contrôle terminal et la place respective des épreuves écrites et orales. Les modalités du contrôle des connaissances et des aptitudes autorisent une prise en compte transversale ou interdisciplinaire des acquis de l'étudiant et permettent une organisation globalisée du contrôle sur plusieurs unités d'enseignement. Elles sont arrêtées par le conseil d'administration sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire et sur la base d'un bilan de l'application du dispositif de l'année précédente. Elles doivent, en outre, intervenir à des moments pertinents, de manière à permettre à l'étudiant de se situer utilement dans son orientation et dans sa progression par rapport à l'atteinte de ses objectifs de formation et d'insertion professionnelle. Les équipes de formation mettent en perspective et en cohérence ces diverses modalités et en informent les étudiants afin d'expliciter les exigences attendues au regard des objectifs de la formation.
Article 13
Au sein d'un parcours de formation, les unités d'enseignement sont définitivement acquises et capitalisables dès lors que l'étudiant y a obtenu la moyenne. L'acquisition de l'unité d'enseignement emporte l'acquisition des crédits correspondants. Le nombre de crédits affectés à chaque unité d'enseignement est fixé sur la base de 30 crédits pour l'ensemble des unités d'enseignement d'un semestre.
De même sont capitalisables les éléments constitutifs des unités d'enseignement, dont la valeur en crédits est également fixée.
Lorsqu'un étudiant change d'établissement pour poursuivre son cursus dans une même formation, les crédits délivrés dans l'établissement d'origine lui sont définitivement acquis et il valide seulement le nombre de crédits qui lui manquent pour l'obtention de son diplôme. Un processus dématérialisé de suivi des crédits acquis par chaque étudiant est mis en place.
Article 14

Les parcours permettent la validation des périodes d'études effectuées à l'étranger. Lorsque le projet a été accepté par les responsables pédagogiques et que l'étudiant a obtenu la validation de sa période d'études par l'établissement étranger, il bénéficie des crédits correspondant à cette période d'études sur la base de 30 crédits pour l'ensemble des unités d'enseignement d'un semestre.
Article 15

Les parcours de formation organisent l'acquisition des unités d'enseignement et du diplôme de licence selon les principes de capitalisation et de compensation appliqués dans le cadre du système européen de crédits. Dans le cadre du système européen de crédits, la compensation est organisée de la manière suivante: chaque unité d'enseignement est affectée d'un coefficient et d'une valeur en crédits; l'échelle des valeurs en crédits est identique à celle des coefficients. Le diplôme s'obtient soit par acquisition de chaque unité d'enseignement constitutive du parcours correspondant, soit par application des modalités de compensation telles que décrites à l'article 16. Un diplôme obtenu par l'une ou l'autre voie confère la totalité des crédits prévus pour le diplôme. Pour l'application du présent article, les unités d'enseignement sont affectées de coefficients qui peuvent être différenciés dans un rapport variant de 1 à 5.
Article 16 En savoir plus sur cet article...
En outre :
1. D'une part, la compensation est organisée sur le semestre, sans note éliminatoire et sur la base de la moyenne générale des notes obtenues pour les diverses unités d'enseignement, pondérées par les coefficients; d'autre part, elle est organisée entre deux semestres immédiatement consécutifs en application de l'article L. 613-1 du code de l'éducation.
2. Sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire adoptée par le conseil d'administration, un dispositif spécial de compensation peut être mis en œuvre qui permette à l'étudiant d'en bénéficier à divers moments de son parcours et, notamment, lorsqu'il fait le choix de se réorienter, d'effectuer une mobilité dans un autre établissement d'enseignement supérieur français ou étranger ou d'interrompre ses études. Ce dispositif a pour but de permettre à un étudiant qui le souhaite en fonction de son projet personnel d'obtenir à divers moments de son parcours un bilan global de ses résultats et d'obtenir ainsi la validation correspondante en crédits. Le dispositif est placé sous la responsabilité du jury du diplôme et les règles de compensation prennent en compte la nécessaire progressivité des études.
Article 17

Deux sessions de contrôle des connaissances et aptitudes sont organisées: une session initiale et une session de rattrapage après une première publication des résultats. Cette session de rattrapage est organisée au minimum quinze jours après la publication des résultats. Sous réserve de dispositions pédagogiques particulières arrêtées par le conseil d'administration de l'établissement sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire, l'intervalle entre ces deux sessions est au moins de deux mois et un dispositif pédagogique de soutien est mis en place.
Article 18 En savoir plus sur cet article...
Dans les conditions prévues à l'article L. 613-1 du code de l'éducation, le président de l'université nomme le président et les membres des jurys. Leur composition comprend au moins une moitié d'enseignants-chercheurs, d'enseignants ou de chercheurs participant à la formation parmi lesquels le président du jury est nommé, ainsi que des personnalités qualifiées ayant contribué aux enseignements, ou choisies, en raison de leurs compétences, sur proposition des personnels chargés de l'enseignement. La composition des jurys est publique. Le président du jury est responsable de la cohérence et du bon déroulement de l'ensemble du processus, de la validation de l'unité d'enseignement à la délivrance du diplôme. Il est responsable de l'établissement des procès-verbaux. Le jury délibère souverainement à partir de l'ensemble des résultats obtenus par les candidats et la délivrance du diplôme est prononcée après délibération du jury. Le procès-verbal de délibération est élaboré sous la responsabilité du président du jury et signé par lui. Après proclamation des résultats, le jury est tenu de communiquer les notes aux étudiants. De plus, les étudiants ont droit, sur leur demande et dans un délai raisonnable, à la communication de leurs copies et à un entretien, en tant que de besoin, individuel. Le conseil d'administration arrête, sur proposition du conseil des études et de la vie universitaire, les modalités de communication et d'entretien qui sont mises en œuvre par les équipes de formation et peuvent donner lieu à un accompagnement.
Une attestation de réussite et d'obtention du diplôme est fournie aux étudiants trois semaines au plus tard après la proclamation des résultats. La délivrance du diplôme définitif, signé par les autorités concernées, intervient dans un délai inférieur à six mois après cette proclamation.
Le diplôme de licence est accompagné de l'annexe descriptive mentionnée au d de l'article D. 123-13 du code de l'éducation.
Chapitre V : Evaluation des formations et habilitation des établissements
Article 19

Au sein des établissements, des dispositifs d'évaluation sont mis en place pour chaque formation ou pour un groupe de formations, notamment à travers la constitution de conseils de perfectionnement réunissant des représentants des enseignants, des étudiants et du monde socio-professionnel. Une évaluation des formations et des enseignements est également organisée au moyen d'enquêtes régulières auprès des étudiants. Ces dispositifs favorisent le dialogue entre les équipes de formation, les étudiants et les employeurs potentiels. Ils éclairent les objectifs de chaque formation, contribuent à en faire évoluer les contenus ainsi que les méthodes d'enseignement afin de faciliter l'appropriation des savoirs, des connaissances et des compétences et permettent d'en améliorer la qualité. Cette évaluation est organisée dans le respect des dispositions des statuts des personnels concernés. Les résultats des évaluations font l'objet d'un débat au sein du conseil de la composante concernée et du conseil des études et de la vie universitaire.
Article 20 En savoir plus sur cet article...
Dans le cadre de la politique contractuelle, l'offre de formation des établissements fait l'objet d'une habilitation dans les conditions définies par les articles L. 242-1 et L. 613-1 du code de l'éducation et l'article 4 du décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 susvisé.
Article 21 En savoir plus sur cet article...
La demande d'habilitation à délivrer la licence présente l'ensemble des caractéristiques pédagogiques de l'offre de formation proposée, et notamment des parcours qui la constituent. Pour chacune des formations relevant des grands secteurs mentionnés à l'article L. 719-1 du code de l'éducation, elle précise en particulier les objectifs de formation et d'insertion professionnelle, l'organisation des parcours en crédits et l'articulation des unités d'enseignement entre elles, leurs contenus, leurs modalités pédagogiques, les volumes de formation correspondant aux enseignements et à l'encadrement pédagogique, les passerelles prévues et les modalités de validation des parcours. Elle comprend la fiche d'enregistrement du diplôme au répertoire national des certifications professionnelles. S'agissant des renouvellements d'habilitation, la demande présente en outre les résultats obtenus, les réalisations pédagogiques et les taux de réussite et d'insertion professionnelle observés.
La demande d'habilitation définit également la composition et l'organisation des équipes de formation et leurs domaines de responsabilité qui comprennent, notamment, la définition des objectifs des parcours et des méthodes pédagogiques mises en œuvre, la coordination des enseignements et l'harmonisation des progressions pédagogiques, les démarches innovantes proposées s'agissant, en particulier, des pratiques pédagogiques différenciées ou individualisées, la présentation du dispositif d'évaluation des formations et des enseignements, les formes du travail pluridisciplinaire, la nature des travaux demandés aux étudiants.
Le ministre chargé de l'enseignement supérieur prend les décisions d'habilitation après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Article 22 En savoir plus sur cet article...
Les universités sont habilitées à délivrer la licence, seules ou conjointement avec d'autres établissements publics d'enseignement supérieur.
Dans les conditions prévues à l'article L. 613-7 du code de l'éducation, la préparation de ce diplôme peut être assurée par d'autres établissements d'enseignement supérieur, dans les conditions fixées par des conventions conclues avec des établissements habilités à les délivrer et sous la responsabilité de ces derniers.
Article 23 En savoir plus sur cet article...
Le ministre chargé de l'enseignement supérieur prend les décisions d'habilitation en veillant à la cohérence de la carte des formations et à la lisibilité de l'offre de formation sur l'ensemble du territoire national. En cas de renouvellement, ces décisions s'appuient sur les évaluations de l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur mentionnée à l'article 20 et prennent également en compte les évaluations décrites à l'article 19 ci-dessus. La liste des habilitations nationales, présentées en fonction des grands secteurs de formation mentionnés à l'article L. 719-1 du code de l'éducation, à savoir les disciplines juridiques, économiques et de gestion, les lettres et sciences humaines et sociales, les sciences et technologies et les disciplines de santé et en fonction de leur dénomination, est rendue publique chaque année.
Article 24
Le comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle associe le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche, des représentants des universités et des secteurs de formation. Il veille à l'application du présent arrêté et de l'arrêté susvisé relatif à la licence professionnelle et émet des propositions à l'attention du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Il examine la mise en œuvre des référentiels dans les conditions prévues à l'article 3.
Il est notamment chargé de conduire une réflexion sur:
― la qualité des formations, au regard notamment de leurs objectifs en matière de poursuite d'études et d'insertion professionnelle des diplômés;
― l'articulation entre les licences et les licences professionnelles ainsi qu'entre ces formations et les autres filières relevant du cycle conduisant au grade de licence;
― l'évolution du cursus, les innovations pédagogiques et la réussite des étudiants;
― les dénominations des diplômes et leur lisibilité pour les étudiants, les familles et le monde socio-économique.
Le comité peut entendre les établissements et les équipes de formation. Il peut diligenter des missions au sein des établissements. Ses travaux sont rendus publics et présentés chaque année devant le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Article 25

Sont abrogés :
― l'arrêté du 11 avril 1985, modifié par l'arrêté du 5 juillet 1994, portant dénomination nationale de licence d'administration publique ;
― l'arrêté du 7 juin 1994 relatif aux licences pluridisciplinaires ;
― l'arrêté du 23 avril 2002 relatif aux études universitaires conduisant au grade de licence.
Article 26
Les dispositions du présent arrêté entrent en vigueur à la rentrée universitaire 2012.
Toutefois :
1° Le volume horaire d'enseignement mentionné à l'article 6 est mis en place progressivement à compter de la rentrée universitaire 2012 et au plus tard à la rentrée universitaire 2014, en fonction d'un calendrier établi par le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche après consultation des établissements d'enseignement supérieur;
2° L'article 16 entre en vigueur au lendemain de la date de publication du présent arrêté.
Article 27
Le directeur général pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française et au Bulletin officiel de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Tagasi kodulehekülg Légifrance Avaldamise järjekord 1. august 2011, mis on seotud litsentsi (ametlik väljaanne nr 0185 ja 11. august 2011 lehekülge 13 800 Tekst nr 39).
Vt artikkel " Licence - Laurent 1, august 1, "kommenteeris avaldamine ajaveeb Pierre Dubois Stories ülikoolides : Order 1. augustist 2011, avaldatud Euroopa Liidu Teatajas 11. augusti 2011! Rien que des “1″ . Vaid "1".
Allpool on tervikteksti määran:
I peatükk: Üldsätted
Artikli 1
Litsents on riikliku diplomi kõrghariduse annab omanikule auaste litsentsi. See annab võrdsed õigused kõigile omanikud, olenemata institutsioon, mis selle väljastas. Ülikoolis õpinguid litsentsi juhindutakse käesoleva Order. Veel...

3 juillet 2011

« Une ambition : la licence »

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgRéunie en assemblée plénière le jeudi 23 juin 2011, la CPU a adopté à l'unanimité moins une voix et deux abstentions les propositions issues du colloque de la CPU « Une ambition : la licence »
Télécharger les Propositions issues du colloque de la CPU - "Une ambition, la Licence"
.
Première novation
: le cycle licence doit être conçu comme un continuum depuis l’entrée au lycée jusqu’au niveau de la licence. Il s'agit de construire cette licence avec et pour les étudiants. À ce niveau trois principes doivent guider les parcours de formation proposés aux étudiants: lisibilité, fluidité, sécurité. Ces trois principes guident évidemment l’offre de formation à destination des étudiants en formation initiale, mais ils permettent aussi à l’université d’inscrire cette offre de formation dans le cadre de la formation tout au long de la vie.
La seconde novation
touche au coeur même de l’identité des universités: il s’agit de porter pour chacune des formations en licence le même niveau d’ambition et d’exigence que celui que l’on place dans les laboratoires de recherche. Une condition à réaliser pour le respect de cette exigence : l’ensemble des enseignants-chercheurs et, plus largement, de tous les personnels des universités doivent adhérer à la nouvelle licence et se mobiliser pour l’organiser. Cette novation a des répercussions sur la politique de recrutement, sur les méthodes d’enseignement, sur la reconnaissance, l’évaluation et la valorisation de l’activité des personnels qui s’engagent. Elle suppose également une mise à plat des modalités de financement du cycle licence et un investissement sans précédent en termes de moyens humains et financiers à la hauteur de celui des pays européens les plus avancés.
« Une ambition : la Licence » Orientations pour l’avenir et propositions, propositions adoptées lors de la CPU plénière du 23 juin 2011, à l’unanimité moins 1 voix et 2 abstentions.

Première orientation :
Rendre plus attractive la licence universitaire et la placer au coeur du dispositif de formation supérieure
Proposition 1
- Concevoir le passage du lycée aux études supérieures comme un continuum
- Associer les acteurs du secondaire et du supérieur
- Réformer l’orientation des élèves
Proposition 2 - Rendre lisibles et cohérents les parcours de formation de niveau Licence
- Assurer une architecture claire de l’offre de formation post bac
- Privilégier l’orientation vers les S.T.S. des bacheliers professionnels poursuivant leurs études
- Améliorer l’orientation des bacs technologiques pour une meilleure réussite des étudiants
- Organiser des passerelles entre formations post bac et sécuriser les parcours
- Mettre en oeuvre la pluridisciplinarité dans l’offre de formation post bac
- Intégrer la licence Professionnelle dans la cohérence de l’offre licence
Proposition 3 – Organiser l’ensemble des formations post-bac à l’échelle régionale
- Assurer l’égalité d’accès à l’enseignement supérieur en renforçant la lisibilité et la cohérence de l’offre de formation
- Elaborer des schémas stratégiques territoriaux afin de coordonner l’offre de formation Post bac
- Instaurer un pilotage concerté incluant les universités
Deuxième orientation :
Rendre l’étudiant acteur responsable de sa réussite et le soutenir dans ses études
Proposition 4
- Assurer à tout étudiant un accompagnement personnalisé pour construire un projet d’études adapté
Proposition 5 – Diversifier et sécuriser les parcours d’études dans le cycle licence
Proposition 6 - Favoriser le développement personnel de l’étudiant
Troisième orientation :
Engager la révolution pédagogique
Proposition 7
- Innover en considérant la licence universitaire dans sa double finalité : poursuite d’études ou insertion professionnelle immédiate
- Repenser les cursus autour des compétences attendues
- Développer l’employabilité des diplômés
- Privilégier une approche globale des études de licence
Proposition 8 - Mettre en oeuvre une pédagogie fondée sur la démarche de recherche
Proposition 9 - Initier un nouveau modèle d’organisation et de soutien des activités pédagogiques
Proposition 10 - Intégrer les démarches d’évaluation des formations de licence dans un processus global d’amélioration continue de leur qualité
Proposition 11 - Donner aux universités l’habilitation « Licence » a priori et les évaluer a posteriori
Quatrième Orientation
Mobiliser, reconnaître et investir pour la licence

Proposition 12 - Assurer à tout étudiant des conditions d’études favorables et adaptées
Proposition 13 - Soutenir l’engagement des équipes pédagogiques et administratives en licence
Proposition 14 - Garantir une évolution de carrière prenant en compte l’investissement pédagogique de l’enseignant chercheur
Proposition 15 - Investir sur la licence universitaire par une mobilisation sans précédent de moyens humains et financiers
Voir aussi sur le blog: Nouvelle licence: une nouvelle formation pour un nouveau diplôme.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg Spotkanie w sesji plenarnej czwartek, 23 czerwiec, 2011, CPU jednogłośnie z dwóch głosach wstrzymujących i jednym głosie wniosków z konferencji z CPU "ambicją, prawo jazdy"
Pobierz propozycje.
Po pierwsze innowacje: licencja cyklu muszą być tworzone jako kontinuum od wejścia do szkoły aż do licencji. Jest to pozwolenia na budowę z i dla studentów. Na tym poziomie trzy zasady powinny kierować szkolenia dla studentów: czytelność, płynność, bezpieczeństwo. Te trzy zasady kierowania oczywiście prowadzi szkolenia dla studentów w ramach kształcenia, ale także pozwalają na uniwersytecie obejmują prowadzenie szkoleń w zakresie szkolenia przez całe życie.
Drugą innowacją sedna tożsamości uczelni: doprowadzenie do każdego pozwolenia szkolenia tym samym poziomie ambicji i oczekiwań, że wysokie miejsce w laboratoriach badawczych. Warunkiem osiągnięcia zgodności z tym wymogiem: wszystkie wydziały i, szerzej, wszystkich pracowników uczelni muszą być zgodne z nową licencję i podejmuje działania, aby go zorganizować. Innowacja ta ma implikacje dla polityki rekrutacji na metody nauczania, rozpoznawanie, ocena i rozwój działalności osobistego zaangażowania. Zakłada też mieszkania finansowania cyklu pozwoleniami i bezprecedensowych inwestycji w zakresie zasobów ludzkich i finansowych na zgodny z najbardziej zaawansowanych krajów europejskich. Zobacz także blog: Nowa licencja: nowe szkolenia dla nowych dyplom. Więcej...
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