Vous êtes apprenti en région Centre-Val de Loire de moins de 21 ans, et votre contrat a débuté entre le 1er juin 2016 et le 31 mai 2017 ? Vous pouvez bénéficier d’une aide forfaitaire de 335 euros. Voir l'article...
Une aide de 4 000 € pour les PME qui embauchent
Les TPE, les PME et les associations qui embauchent ou transforment un CDD en CDI, bénéficient d’une prime trimestrielle de 500 € durant les 2 premières années du contrat concerné, soit 4 000 € au total. Voir l'article...
Jeunes apprenti.e.s, bénéficiez d’une aide financière !
Cette aide s’adresse à tous les apprenti.e.s de moins de 21 ans à la date du début d’exécution du contrat.
Pour pouvoir en bénéficier, la date de début d’exécution de contrat doit se situer entre le 1er juin 2016 et le 31 mai 2017. Voir l'article...
Une aide financière pour les jeunes apprenti.e.s
Cette aide s’adresse à tous les apprenti.e.s de moins de 21 ans à la date du début d’exécution du contrat.
Pour pouvoir en bénéficier la date de début d’exécution de contrat doit se situer entre le 1er juin 2016 et le 31 mai 2017. Voir l'article...
Aide à la reprise d'activité des bénéficiaires de l'ASS et suppression de l'ATA
Publication du décret n° 2017-826 du 5 mai 2017 relatif à l'intéressement à la reprise d'activité des bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique et à la suppression de l'allocation temporaire d'attente
Publics concernés : bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique reprenant une activité professionnelle et bénéficiaires de l'allocation temporaire d'attente.
Objet : simplification du dispositif d'intéressement à la reprise d'activité des bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique et suppression de l'allocation temporaire d'attente.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er septembre 2017.
Notice : le décret simplifie le dispositif d'intéressement propre à l'allocation de solidarité spécifique (ASS). Les bénéficiaires de cette allocation reprenant une activité pourront intégralement cumuler la rémunération tirée d'une ou de plusieurs activités professionnelles avec le versement de l'ASS pendant une période de trois mois, consécutifs ou non. Ils bénéficieront par ailleurs d'un accès facilité à la prime d'activité.
Le décret prévoit également la suppression de l'allocation temporaire d'attente (ATA), dont les bénéficiaires actuels ont accès, dans des conditions plus favorables en termes de montant et de durée, au revenu de solidarité active (RSA), à la garantie jeune et au parcours d'accompagnement contractualisé vers l'emploi et vers l'autonomie.
Aide à la reprise d'activité des bénéficiaires de l'ASS et suppression de l'ATA

En conséquence, la prime forfaitaire de reprise d'activité sera supprimée.
Décret n° 2017-826 du 5 mai 2017. Voir l'article...
Présentation de l'AIP « Aide à l’Installation des Personnels de l’État »

Le ministère chargé de la fonction publique vous accompagne dans votre installation en vous proposant une aide financière pouvant aller jusqu’à 900 €.
La prestation d’« Aide à l’Installation des Personnels de l’État » (AIP) contribue ainsi à financer, dans le cas d’une location vide ou meublée, vos dépenses engagées au titre :
- du premier mois de loyer (provision pour charges comprise),
- des frais d’agence et de rédaction de bail incombant à l’agent,
- du dépôt de garantie,
- des frais de déménagement.
- d'un montant maximal de 900 € :
- si vous êtes affecté(e) en Ile-de-France ou en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
- si vous exercez la majeure partie de vos fonctions en quartiers prioritaires de la politique de la ville. - d’un montant maximal de 500 € si vous êtes affecté(e) dans une autre région. Voir l'article...
Fonction publique › Autres formes d'aide à la restauration

Fonction publique › Aide à l'installation des personnels

Fonction publique › Aide aux parents en repos

Le séjour doit être médicalement prescrit et avoir lieu dans un établissement agréé par la sécurité sociale.
L'enfant doit être âgé de moins de 5 ans au moment du séjour et doit séjourner avec son parent dans l'établissement.
La durée du séjour pris en charge ne peut dépasser 35 jours par an et par enfant. Voir l'article...