Par Mathilde Frénois. Quand Fatima* est arrivée en France en décembre 2015, elle a vécu le « parcours du combattant ». D’abord pour faire sa demande d’asile. Ensuite pour poursuivre ses études sur les bancs de la fac de Nice. « Pour m’inscrire, l’université me demandait des papiers que je n’avais pas. C’était compliqué, explique cette réfugiée politique algérienne de 24 ans. L’administration nous obligeait à passer par Admission post bac. On était sûrs de ne pas être acceptés car ils demandent un statut régulier ou définitif. » Voir l'article...
7 avril 2017
Nice: Enseignants à l’université, ils s’engagent pour l'intégration des réfugiés
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