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Formation Continue du Supérieur
11 novembre 2010

Les 24207 personnels enseignants non permanents du MESR

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpgLa DGRH du MESR vient de publier une étude sur les personnels enseignants non permanents de l'Enseignement supérieur: http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/.

SITUATION DES PERSONNELS ENSEIGNANTS NON PERMANENTS AFFECTES DANS L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
(hors disciplines médicales et odontologiques, dans ces disciplines, au cours de l’année 2009-2010, on enregistre 4249 chefs de clinique, assistants hospitalo-universitaires ou praticiens hospitalo-universitaires).
Depuis 1997, les services en charge des personnels enseignants de l’enseignement supérieur réalisent chaque année une enquête sur la situation des enseignants non permanents de l’enseignement supérieur afin de disposer de données nécessaires au pilotage de la ressource enseignante. La gestion de tous les personnels concernés par l’enquête est déconcentrée.
Cette enquête consiste notamment à recenser les attachés d’enseignement et de recherche (ATER) ainsi qu’à comptabiliser les professeurs invités en fonctions dans les établissements d’enseignement supérieur. Les doctorants contractuels assurant un service d’enseignement ont, pour la première année, été intégrés à cette enquête et ont fait l’objet d’un dénombrement.
Tous les établissements ont répondu à l’enquête qui s’est déroulée entre le 14 décembre 2009 et le 30 juin 2010. Les réponses obtenues ont été complétées dans cette publication, notamment en ce qui concerne les associés et les moniteurs, par des données issues d’autres systèmes d’information.
Les principales tendances révélées par cette étude sont les suivantes:
- La proportion d’enseignants non permanents demeure à son niveau le plus élevé depuis 12 ans, soit 15,5%, -Près des deux tiers de ces enseignants sont moniteurs, doctorants contractuels ou ATER, -Les trois-quarts enseignent à temps partiel, -La catégorie des doctorants contractuels créée par un décret du 25 avril 2009 a connu dès sa première année un certain succès avec 3181 contrats signés en 2009-2010. Une projection de ces chiffres permet une prévision de 10000 doctorants-contractuels à l’horizon 2012-2013, -Les établissements à dominante juridique recourent à une plus grande proportion d’enseignants non permanents que les autres établissements, -Chaque année, les trois-quarts des ATER sont en premier contrat et la part des titulaires d’un doctorat avoisine les 60%, -La population des ATER constitue toujours un vivier pour le recrutement des MCF (30% des MCF recrutés en 2009 étaient ATER en 2008-2009), -Ces ATER sont concentrés sur un petit nombre d’établissements : 50% des ATER dans 21% des établissements.
Depuis 1999 et jusqu’en 2005, ils ont crû à un rythme annuel moyen de 2,95%, soit deux fois plus vite que les effectifs des enseignants titulaires. Toutefois, après une forte progression au cours de l’année 2003, le taux de croissance de ces effectifs s’est ralenti, comme le montre le graphique ci-dessous, au point de devenir négatif à partir de l’année 2005, jusqu’en 2008. La reprise à la hausse en 2009 des effectifs d’enseignants non permanents a été de courte durée, puisqu’en 2010, leur croissance s’est à nouveau annulée.
L’examen de la répartition des enseignants non permanents entre les établissements montre notamment que les établissements dans lesquels la part de ces enseignants sur l’effectif total est réduite (inférieure à 10 %) sont peu nombreux, voire en diminution par rapport à 2009: l’INSA de Rennes ou de Toulouse, l’ENS de chimie de Clermont- Ferrand, les universités de Brest et de Grenoble I, voire quelques établissements spécifiques comme l’ENSEA de Cergy ou SUP MECA Paris. Aucune information complémentaire n’est aujourd’hui disponible pour rendre compte de cette faible proportion.
Au contraire, le recours aux enseignants non permanents est beaucoup plus important dans les universités à dominante juridique, comme Paris II (32,4 %), Lyon III (24 %). De même, dans l’ensemble des Instituts d’Etudes Politiques (non compris l’IEP de Strasbourg intégré à l’université de Strasbourg), le « poids » des non permanents oscille entre 19,3 % à Grenoble et 32,1 % à Rennes. A l’IEP de Paris, le taux enregistre à nouveau un taux toujours élevé en 2010 (32,1% contre 36,8 % en 2009, 34,8 % en 2008, 27,2 % en 2007 et 34 % en 2006).
D’autres établissements à grande spécificité professionnelle recourent, toutes proportions gardées, à de forts contingents d’enseignants non permanents (cf. l’école nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon ou l’école des arts et du spectacle de Noisy-Le-Grand ou encore l’école nationale supérieure de la nature et du paysage de Blois avec respectivement 85,9%, 76% et 69,2% d’enseignants non permanents).
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpg HRB de Mor heeft net een studie gepubliceerd over niet-permanente onderwijzend personeel van hoger onderwijs: http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/.
Status van niet-permanente leerkrachten die IN HET HOGER ONDERWIJS (met uitzondering van medische en tandheelkundige disciplines in deze disciplines in de jaren 2009-2010, geregistreerd 4249 klinische leiders, assistent-academisch ziekenhuis of academisch ziekenhuis beoefenaars). Meer...
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