17 juin 2009
Ranking et classement des universités espagnoles

« La grande taille ou la présence d’une équipe de chercheurs brillants faussent notre jugement sur les universités. C’est pourquoi nous avons voulu être novateurs en faisant, pour la première fois à ma connaissance, un ranking basé sur la méthode d’analyse factorielle », explique Mikel Buesa, professeur d’économie appliquée à la Complutense de Madrid.
Le classement de son institut, l’IAIF (Instituto de Analisis Industrial y Financiero) inclut 32 variables contre 9 pour le ranking le plus sophistiqué à ce jour. Conformément à la méthode d’analyse factorielle utilisée au sein de l’OCDE par exemple, les variables sont regroupées en facteurs, 10 en l’occurrence, 5 pour l’enseignement et 5 pour la recherche : ressources humaines, moyens informatiques, thèses, brevets, etc.
« Ce classement connaît un grand retentissement, car il offre enfin une vision objective et équilibrée de la situation », assure un des ses auteurs, Mikel Buesa. Son université, la Complutense n’arrive que 26 ème sur les 69 universités publiques ou privées concernées. Le chercheur ne peut donc être suspecté de favoritisme...
Een instituut van de Universiteit Complutense de Madrid bekendgemaakt in mei 2009 een multi-criteria voor rangschikking van de Spaanse universiteiten, getiteld "La calidad de las Universidades en España". De universiteit van Navarra, eigendom van het Opus Dei, ook tops in het verkrijgen van de maximale score in het onderwijs als in onderzoek.
"De grote omvang of de aanwezigheid van een team van briljante onderzoekers verstoort onze beslissingen over de universiteiten. Dat is de reden waarom wij wilden om innoverend te zijn in te doen, voor het eerst bij mijn weten, een ranglijst gebaseerd op de methode van factor-analyse ", zegt Mikel Buesa, hoogleraar toegepaste economie aan de Complutense de Madrid. Meer...
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