L’Alliance ATHENA - Les investissements d'avenir
Dans le cadre du programme Investissements d'Avenir, 50 laboratoires et équipements SHS ont été sélectionnés.
Les équipements d’excellence
De taille intermédiaire, ces équipements doivent permettre à la recherche française de rester compétitive et de préparer les innovations de demain.
11 des 52 projets retenus projets concernent les SHS. 10% des montants prévus leur ont été alloués, soit 63,9 M€.
SHS 1 | BEDOFIH – D-FIH
SHS 2 | CASD – DIME-SHS – MATRICE – RE-CO-NAI
SHS 5 | Biblissima – iDIVE
SHS 6 | NewAglae – PATRIMEX
+ 1 projet transverse : DILOH, la bibliothèque internationale pour l’édition en libre accès et les humanités numériques
Les laboratoires d’excellence
Entre 2010 et 2012, deux appels à projets ont été lancés. L’objectif est d’attribuer aux laboratoires les moyens d’accroître leur visibilité internationale, d’attirer les chercheurs de renommée internationale et de construire une politique intégrée de recherche, de formation et de valorisation de haut niveau.
Dans ce cadre, 40 projets SHS ont été retenus. Après le secteur de la biologie-santé (26,9%), les SHS est le deuxième ensemble de domaines de recherche le plus représenté avec 40 des 171 projets retenus (23,4%). Les financements alloués dans le cadre des Labex SHS s’élève à 310 M€.
SHS 1 | 10 projets
AMSE - ECODEC - Entreprendre - IAM-TSE - IAST - FCD - MME-DII - OSE - ReFi - SITES
SHS 2 | 8 projets
COMOD - IDGM - IMU - iPOPs - LABEXMED - LIEPP - SMS/SSW - TEPSIS
SHS 3 | 4 projets
AE&CC - DynamiTe - FUTURBAINS - ITEM
SHS 4 | 4 projets
ASLAN - BLRI - EFL - IEC
SHS 5 | 6 projets
ARTS-H2H - GREAM - HASTEC - ICCA - OBVIL - TransferS
SHS 6 | 7 projets
ARCHIMEDE - CAP - EHNE - LaScArBx - PATRIMA - PP - RESMED
+1 projets transverse - Internationalisation des SHS : RFIEA
Le consortium de valorisation thématique
Le Consortium de valorisation thématique de l'Alliance a également été créé dans le cadre du programme « Investissement d’avenir ». Voir l'article...
Quel investissement en formation continue ?

Ces trente dernières années ont été marquées par plusieurs modifications majeures du contexte de mobilisation de la FPC :
- la massification de l’enseignement secondaire et supérieur combiné à un taux important de poursuite d’études supérieures
- les mutations techniques et organisationnelles du travail
- le chômage de masse qui a modifié complètement la donne en matière de « pénurie» de main d’œuvre qualifiée qui avait dominé l’après-guerre.
D’une manière générale l’accès aux savoirs s’est redéployé autour de trois sphères : l’école et l’université, l’activité de travail et la sphère domestique. Chacune de ces trois sphères s’approprie d’ailleurs des éléments qui étaient l’apanage des organismes de formation continue qui perdent peu à peu leur substance de départ. Ce redéploiement fait tomber l’argument des années 70 et 80 de la nécessité d’un développement important des prélèvements obligatoires en matière de stages de formation.
Les organismes de FPC occupent désormais un rôle mineur dans les processus de développement des adultes d’autant plus qu’ils sont assignés institutionnellement dans un rôle de duplication des autres processus alors qu’il leur faut tenir une fonction complémentaire et originale.
La FPC ne peut plus être une prolongation d’un enseignement professionnel qui est lui-même déclinant dans sa forme scolaire (ce qui implique d’ailleurs qu’elle ne peut plus s’insérer dans des systèmes de certification et de validation ciblés sur les finalités éducatives). Elle ne peut pas non plus, sans créer les conditions de la non solvabilité de son activité, se contenter de reproduire les espaces et les réseaux de l’autoformation qui relèvent de processus non mercantiles de diffusion et d’échange de savoirs Elle peut de moins en moins se substituer aux organisations qualifiantes et apprenantes qui se développent dans les secteurs d’activité et les entreprises sauf à ne justifier son existence que dans les secteurs les plus archaïques qui précisément ne sont pas en mesure de développer des politiques de formation de leurs salariés.
Plus largement l’activité d’adaptation professionnelle permanente des salariés que l’on croyait dévolue aux organismes de FPC est assurée majoritairement par des prestataires qui se situent hors du champ des organismes de formation!
Les principaux domaines où les organismes de FPC peuvent assurer une fonction décisive sont ceux où il s’agit:
- d’une part d’accélérer des reconversions professionnelles de fond liées à des besoins de mobilités professionnelles (contraintes ou volontaires), des modifications substantielles des contenus d’activité ou des politiques volontaristes de montée en compétences des moins qualifiés.
- d’autre part d’accompagner les transformations structurelles et culturelles de l’appareil de production comme celles impulsées par les enjeux environnementaux et écologiques qui supposent des modifications importantes des objectifs assignés aux innovations technologiques et des comportements professionnels. Ces deux enjeux sont liés et nécessitent une profonde réorientation des activités et des financements publics de l’appareil de formation continue en lien avec les Universités et les secteurs de pointe.

Ostatnich trzydziestu lat byliśmy świadkami kilku istotnych zmian w kontekście uruchomienia FPC: Umasowienie z wykształceniem wyższym i średnim w połączeniu z wysokim wskaźnikiem prowadzenia szkolnictwa wyższego. Więcej...
L'Université de Lyon fait un site dédié aux investissements d'avenir, Imagine

L’UdL imagine l’Université du futur
Le 7 janvier dernier, l’Université de Lyon a déposé, auprès du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, son projet d’initiative d’excellence: « IMAGINE: Lyon/Saint-Etienne, métropole d’innovation et de création », en réponse à l’appel d’offres Grand emprunt lancé par le Président Sarkozy. Objectif: compter, en France, parmi les 5 à 10 pôles pluridisciplinaires d’excellence d’enseignement supérieur et de recherche de rang mondial. Extraits et synthèse d’un projet résolument audacieux.
Nos dossiers candidats: Equipex, Cohortes, Labex, IHU, SATT, IRT, IEED, IDEX.
Voir aussi sur le blog les articles 22 milliards d'euros pour l'enseignement supérieur et la recherche, Grand emprunt: Universités d'abord, Investir dans la formation professionnelle en alternance.
Kandidati fajls tagħna: Equipex, Cohorts, Labex, IHU, SATT, IRT, IEED, IDEX.
Wkoll fuq l-oġġetti blog EUR 22 biljun għall-edukazzjoni ogħla u riċerka, universitajiet self Dukat Ewwel, Investiment fit-taħriġ vokazzjonali doppju. More...
Investment in continuing training stagnates in European companies
L’investissement dans la formation continue stagne dans les entreprises européennes
L’enquête constate que les grandes entreprises sont plus susceptibles que les petites d’observer les effets des mesures et incitations publiques sur leur offre de formation, en particulier dans les nouveaux États membres. Comme le souligne le rapport du Cedefop, cela montre que les problèmes rencontrés par les petites entreprises pour offrir des formations à leurs salariés ne sont pas traités comme il le faudrait et que les incitations ne sont pas suffisamment bien ciblées. Rapport complet en EN: http://www.cedefop.europa.eu/.
L’investissement dans l’enseignement supérieur en France doit-il augmenter ?

La France dépense 1,3 % de son produit intérieur brut pour financer l’enseignement supérieur alors que les pays de l’OCDE y consacrent en moyenne 1,5 %. Ce résultat s’explique non pas tant par un moindre accès des jeunes à l’enseignement supérieur dans notre pays, mais par une dépense par étudiant plus faible que dans les grands pays développés. Dans la majorité des pays de l’OCDE, le financement public, tout en restant prépondérant tend à diminuer ; les ménages (les étudiants ou leurs parents) et les entreprises (souvent par le truchement de fondations et le développement des coopérations avec les établissements dans le domaine de la recherche) sont davantage mobilisés. La France fait partie des pays où les frais de scolarité sont peu élevés, mais où les étudiants qui perçoivent des aides, sous formes de bourses ou de prêts, ne sont pas les plus nombreux. À l’horizon de dix ou quinze ans, une augmentation des dépenses consacrées à l’enseignement supérieur paraît nécessaire. Si les projections laissent prévoir une stabilité des effectifs étudiants, un rattrapage concernant la dépense moyenne par étudiant contribuerait à améliorer la performance des formations supérieures. Cette note donne des ordres de grandeur de l’effort financier qu’impliquerait un alignement sur la dépense par étudiant dans les pays où le niveau du PIB par habitant est comparable à la France. Elle en explore également les implications sur le modèle de financement de l’enseignement supérieur.



L’adoption d’un nouveau modèle de financement et l’accroissement des moyens ne constitue pas une condition suffisante pour l’amélioration de la qualité de l’offre de formation. Dépenser plus ne dispense pas de la nécessité de dépenser mieux, notamment par la recherche d’une meilleure structuration de l’offre des formations supérieures et des activités de recherche. Ces exigences se trouveront renforcées par les fortes attentes des parents et des étudiants en termes d’accès, de qualité de la formation et des conditions d’étude, d’amélioration des taux de réussite et de bonne insertion professionnelle. Sans amélioration de la qualité de la formation supérieure, la convergence, même relative, du coût des études supporté par les ménages en France avec celui observé dans les autres pays de l’OCDE pourrait également conduire davantage d’étudiants à poursuivre leurs études à l’étranger.

Γαλλία δαπανά 1,3% του ακαθάριστου εγχώριου προϊόντος της για τη χρηματοδότηση της τριτοβάθμιας εκπαίδευσης, ενώ οι χώρες του ΟΟΣΑ δαπανούν κατά μέσο όρο 1,5%. Το αποτέλεσμα αυτό δεν ήταν τόσο πολύ μικρότερο νεολαίας την πρόσβαση στην τριτοβάθμια εκπαίδευση στη χώρα μας, αλλά με χαμηλότερες δαπάνες ανά σπουδαστή από ό, τι στις μεγάλες ανεπτυγμένες χώρες. Περισσότερα...
La CFDT propose un fonds d’investissement pour la formation
pcassuto | 15 février, 2009 22:55
Face à la crise, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque a proposé la création d’un Fonds d’investissement social doté de 5 à 10 milliards d’euros destiné à la formation des demandeurs d’emploi. Objectif : augmenter leur niveau de qualification tout en leur permettant de percevoir un revenu afin de préparer la sortie de crise. Ce fonds s’adresserait également aux « jeunes qui n’ont jamais travaillé », a-t-il précisé. Ce dispositif envisagé pour une durée de deux ans pourrait être financé grâce à la suppression de la loi TEPA (Travail emploi pouvoir d'achat). Une proposition que la CFDT devrait mettre sur la table le 18 février lors de la rencontre entre les partenaires sociaux et le président de la République. Source.
Christine Lagarde : "L'idée de mettre en place un fonds d'investissement pour améliorer la formation professionnelle, pour faire gagner en compétitivité tout le monde, et en particulier les salariés qui, pendant une période de temps, seraient privés d'emploi, c'est une proposition qu'on doit vraiment examiner, qui est très intéressante", a déclaré la ministre de l'Economie sur Canal+.
Mme Lagarde n'a en revanche pas commenté directement la proposition du secrétaire général de la CFDT de financer cette mesure, à hauteur de 5 à 10 milliards d'euros, via la suppression de la loi TEPA (Travail, emploi, pouvoir d'achat). "Il faut qu'on trouve des fonds sans peser sur les finances publiques, parce qu'on ne peut pas s'amuser à creuser un déficit public de manière durable", a-t-elle répondu. Source.