Learn about inferential statistics, and how they are used and misused in the social and behavioral sciences. Learn how to critically evaluate the use of inferential statistics in published research and how to generate these statistics yourself, using freely available statistical software. More...
Inferential Statistics
Estadística para investigadores: Todo lo que siempre quiso saber (4.ª edición)
Si alguna vez has tenido problemas con la estadística, este curso está hecho para ti. Es ideal para investigadores y alumnos que se encuentran cursando trabajos fin de grado, trabajos fin de máster o realizando la tesis y que quieren realizar un análisis cuantitativo en sus estudios. More...
Guide pratique des stages étudiants - Organisme - Dispositions pratiques
Que faire si vous n’êtes pas satisfait de votre stagiaire ?
Si vous constatez des problèmes au cours du stage, vous devez en parler au stagiaire et prendre contact avec son enseignant-référent pour résoudre le problème ou éventuellement décider ensemble de modifier la convention de stage (activités, missions...) ou de la rompre.
Comment est assuré le stagiaire ?
Le stagiaire, sous couvert d’une convention de stage, bénéficie d’une protection contre le risque accidents du travail - maladies professionnelles.
Il reste affilié au régime de sécurité sociale dont il bénéficie en tant qu’étudiant : ayant droit de ses parents, régime étudiant ou couverture maladie universelle.
Vous êtes tenu de contracter une assurance responsabilité civile.
Que devez-vous faire en cas d’accident du travail ?
- Établir la déclaration d’accident (Cerfa n°60-3682) en présence (si possible) du stagiaire, des témoins et des éventuels tiers en détaillant au mieux les circonstances de l’accident (procédure différente dans l’enseignement supérieur agricole).
- Envoyer le stagiaire consulter un médecin ou le service d’un hôpital.
- Adresser, le jour même, sous pli recommandé avec accusé de réception (AR) le document à l’établissement d’enseignement.
En savoir plus :
Annexe g - Protection sociale et responsabilité civile . Voir l'article...
Unemployment statistics at regional level
This article provides an overview of regional unemployment rates across the 272 NUTS-2 regions of the European Union (EU) in 2014, compiled by Eurostat on the basis of data from the EU Labour force survey.
Just over half of the NUTS 2 regions1 of the European Union (EU) recorded a decrease of at least 0.5 percentage points in their regional unemployment rate in 2014 compared with 2013. Regional unemployment rates varied widely across the 272 NUTS-2 regions of the EU-28 in 2014, with the lowest rates recorded in the regions of Praha in the Czech Republic and Oberbayern in Germany (both 2.5 %) followed by Tübingen, Oberpfalz, Niederbayern and Unterfranken in Germany (all below 3.0 %), while the highest rates were registered in the Spanish regions of Andalucia (34.8 %), Canarias (32.4 %), Ceuta (31.9 %), Extremadura (29.8 %) and Castilla-la Mancha (29.0 %). More...
Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2013-2014 - Note d'info 15.01
Par Diane Marlat et Ophélie Rogel, MENESR-DGESIP-DGRI-SCSESR-SIES-A2.1. En 2013-2014, 1 505 600 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d'outre‑mer et l'université de Lorraine). Ils étaient 1 468 300 en 2012-2013. Les effectifs augmentent de 2,5 %. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,5 %) et en cursus master (+ 3,0 %), mais ils diminuent en cursus doctorat (- 1,2 %).
- NI 15.01 : Le nombre de nouveaux bacheliers s'inscrivant à l'université est très
- Tableaux et graphiques.
Le cursus licence
Dans les disciplines générales, c’est-à-dire hors IUT et disciplines de santé, 42 % des effectifs du cursus licence sont inscrits en première année de licence (L1). Les deuxième et troisième années (L2 et L3) représentent respectivement 22 % et 23 % des inscrits du cursus, et la licence professionnelle 7 %. Ces proportions sont relativement proches d’une discipline à l’autre, à l’exception des sciences fondamentales et applications et des sciences économiques-gestion (hors AES), pour lesquelles la licence professionnelle regroupe respectivement 23 % et 22 % des effectifs du cursus licence. En lettres-sciences du langage-arts, 14 % des inscrits en cursus licence préparent un Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU). Enfin, en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS), 54 % des inscrits en cursus licence sont en L1.
Le cursus master
En cursus master, 42 % des inscrits sont en première année de master (M1), 37 % en seconde année (M2). Les autres formations relevant du cursus master (formation d’ingénieurs, diplôme des IEP, etc.) représentent 21 % des inscrits. En particulier, en sciences, 27 % des inscrits en cursus master le sont en formation d’ingénieurs ; les masters Enseignement, éducation et formation (MEEF) créés à la rentrée 2013 représentent 22 % des inscrits du cursus master en STAPS, 15 % en lettres-langues-sciences humaines et 3 % en sciences.
À nouveau moins de doctorants
Pour la cinquième année consécutive, le nombre de doctorants est en baisse (- 1,2 % après - 2,2 % en 2012-2013). Les diminutions sont plus marquées dans les disciplines littéraires (- 1,7 %), notamment en langues (- 3,8 %) et en sciences humaines et sociales (- 1,6 %), mais aussi en droit (- 2,8 %) et en sciences fondamentales (- 1,5 %). Néanmoins, on observe parallèlement une augmentation constante sur les dernières années du nombre de doctorats obtenus, ce qui semble indiquer que la diminution du nombre d’inscrits est due à une réduction de la durée d’obtention du diplôme.
Plus d’étudiants étrangers dans les universités en 2013‑2014
À la rentrée 2013, 217 900 étudiants des universités de France métropolitaine et des DOM sont étrangers (tableau 3). Ces effectifs augmentent (+ 0,9 % par rapport à 2012- 2013). Mais cette hausse étant moins forte que celle de l’ensemble des effectifs, la part des étudiants étrangers diminue légèrement et se situe à 14,5 % (tableau 3). Les étudiants étrangers représentent 10,8 % des étudiants inscrits en cursus licence, 17,7 % des inscrits en cursus master et 41,4 % des inscrits en cursus doctorat. La proportion d’étudiants étrangers non titulaires d’un baccalauréat est également en baisse et représente 77,7 % de l’ensemble des étudiants étrangers (78,3 % en 2012-2013). Ce sont des étudiants n’ayant pas suivi une scolarité classique dans le système secondaire français. Ils viennent suivre des études supérieures en France après une scolarité dans leur pays d’origine, validée par une équivalence du baccalauréat qui leur permet de s’inscrire à l’université.
Les étudiants africains représentent près d’un étudiant étranger sur deux en université (46,0 %). Leurs orientations restent semblables à celles observées en 2012 : ils se dirigent davantage vers les disciplines scientifiques et sportives (32,4 % contre 26,4 % pour la population étrangère tous continents confondus) ou économiques (23,3 % contre 19,7 %) que littéraires (19,6 % contre 31,4 %). Parmi les étudiants africains, 73,7 % sont des non-bacheliers. Les étudiants européens représentent 24,5 % des étudiants étrangers. Parmi eux, les étudiants italiens sont les plus représentés (6 800 soit 12,8 % des Européens), suivis des étudiants allemands (6 700 soit 12,5 %), espagnols (4 600 soit 8,6 %), russes (3 900 soit 7,3 %) et roumains (3 800 soit 7,1 %). Plus de quatre étudiants européens sur cinq sont originaires de l’Union européenne. Les étudiants asiatiques représentent 20,8 % des étudiants étrangers, et les étudiants américains 8,5 %.
Les trois nationalités les plus représentées restent les mêmes : les étudiants marocains sont les plus nombreux (22 500), devant les Algériens (19 700) et les Chinois (18 800). Le nombre d’étudiants marocains est en hausse (+ 10,0 % par rapport à 2012-2013), contrairement à celui des Chinois (- 5,3 % par rapport à 2012-2013) et celui des étudiants algériens (- 7,8 % par rapport à 2012- 2013) dont le nombre continue de diminuer.
Une majorité de filles à l’université, excepté en cursus doctorat
En 2013-2014, plus d’un étudiant inscrit à l’université sur deux est une étudiante (tableau 4). Elles sont majoritaires en cursus licence et en cursus master mais restent minoritaires en cursus doctorat (48,2 %).
Les filles sont majoritaires dans les disciplines littéraires. Elles représentent plus de 70 % des effectifs en lettres et langues et 64,3 % en droit-sciences politiques.
A contrario, elles ne représentent que 38,6 % des inscrits en sciences, 28,7 % des inscrits en STAPS et 39,3 % des inscrits en IUT. La médecine-odontologie et surtout la pharmacie sont des filières fortement féminisées : les filles représentent respectivement 62,0 % et 65,0 % des effectifs. Elles sont également une majorité en PACES (64,7 %). Télécharger la Note d'info 15.01.
Aubagne - Présentation des travaux des principaux producteurs de données sociologiques et économiques régionaux
Journées outils : Marché de l`emploi local, métiers qui recrutent, offre de formation régionale : présentation des travaux des principaux producteurs de données sociologiques et économiques régionaux
- Direccte PACA, le 10 juin 2014 de 9h à 12h
- Pôle emploi PACA, le 10 juin 2014 de 14h à 17h
- Observatoire Régional des Métiers PACA, le 11 juin 2014 de 9h à 12h
Après la matinale inaugurale du 21 Février dernier concernant « les enjeux de l’information sur les données socio-économiques dans la réussite des trajectoires professionnelles » un cycle de journées outils a été mis en place. Construit en lien étroit avec les principaux fournisseurs de données, il permettra d’approfondir la réflexion et de faciliter l’appropriation de ces informations dans les pratiques de conseil.
Il débutera le 10 et 11 Juin prochain par la présentation des travaux de la DIRECCTE PACA, de la Direction régionale de Pôle emploi et de l’Observatoire Régional des Métiers (ORM). Il sera suivi le 20 juin matin par la présentation des travaux de l’APEC.
INTERVENANTS
Pour la DIRECCTE PACA :
- Rémi BELLE, Chef du service Etudes Statistiques et Evaluation,
- Virginie d’ANGELO, Chargée d’études,
Pour le POLE EMPLOI :
- Sébastien RAUDIN, Chargé d’études du service Statistiques, Etudes et Evaluation,
Pour l`ORM :
- Pauline GAY-FRAGNEAUD, Chargée d’études,
- Sonia MILLIARD, Chargée d’études,
Personnels enseignants du supérieur : bilans et statistiques
Etudes et regards statistiques relatifs aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur
Démographie
Enseignants non permanents
Qualification
Recrutement
Origine des recrutés.
Etudes démographiques
maîtres de conférences et professeurs des universités associés
enseignants-chercheurs (2008-2009)
enseignants-chercheurs (2006-2007)
enseignants-chercheurs (2004-2005)
Recrutement et affectation des enseignants-chercheurs : Enquête qualité menée auprès des établissements d'enseignement supérieur
Session 2010
Session 2009.
Contribution aux publications du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2013)
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2009)
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2007)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 6 - février 2013)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 5 - décembre 2011)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 4 - décembre 2010)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 3 - décembre 2009)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 2 - décembre 2008)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 1 - novembre 2007)
Bilan des campagnes de recrutement et d'affectation
campagne 2012 (session synchronisée)
campagne 2011 (session synchronisée)
campagne 2010 (session synchronisée)
campagne 2009 (session synchronisée)
étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2008
campagne 2008 (première session)
étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2007
campagne 2007 (première et deuxième session)
campagne 2007 (première session)
campagne 2006 (première session)
campagne 2005 (première et deuxième session)
campagne 2004 (première et deuxième session)
campagne 2003 (première et deuxième session)
campagne 2002 (première et deuxième session)
campagne 2001 (première et deuxième session)
Etude de la promotion des qualifiés aux fonctions de professeur des universités et de maître de conférences
tableaux excel campagne 2014 (premiers résultats)
tableaux excel campagne 2013 Etude campagne 2013
Etudes de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs
Etude de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs sur la période 1993-2007
Etude de l'avancement spécifique des enseignants-chercheurs sur la période 2002-2009
Etudes pluriannuelles relatives au recrutement des enseignants-chercheurs
Etude du recrutement des MCF dans le corps des PR entre 1993 et 2007
Etude de l'endo-recrutement chez les enseignants-chercheurs entre 1993 et 2007
Bilans des origines des enseignants-chercheurs recrutés
Situation des personnels enseignants non-permanents affectés dans l'enseignement supérieur
année universitaire 2012-2013
tableaux excel 2012-2013
année universitaire 2011-2012
tableaux excel 2011-2012
Notes d'information relatives aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur
N.I. n° 13-07 août : année universitaire 2011-2012
N.I. n° 12-08 juillet : année universitaire 2010-2011
N.I. n° 11-06 mai : année universitaire 2009-2010
N.I. n° 09-24 : année universitaire 2008-2009
N.I. n° 08-25 : année universitaire 2007-2008
N.I. n° 07-46 : année universitaire 2006-2007
N.I. n° 07-03 : année universitaire 2005-2006
N.I. n° 05-35 : année universitaire 2004-2005
N.I. n° 04-29 : année universitaire 2003-2004
N.I. n° 04-03 : année universitaire 2002-2003
N.I. n° 03-36 : année universitaire 2001-2002
N.I. n° 02-42 : année universitaire 2000-2001
N.I. n° 02-06 : année universitaire 1999-2000
N.I. n° 00-43 : année universitaire 1998-1999
N.I. n° 99-25 : année universitaire 1997-1998
N.I. n° 98-33 : année universitaire 1996-1997. Voir l'article...
Les stages effectués dans les universités en 2011-2012
Par Olivier Capelle, MENESR DGESIP / DGRI SCSESR SIES C1. En 2011-2012, sur 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises, 32 % ont suivi un stage. NI 14.02 : Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.NI 14.02 : Tableaux et graphiques - Les stages effectués dans les universités. Télécharger Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.
Les stages effectués dans les universités en 2011-2012
32% des 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises ont suivi un stage en 2011-2012.
Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. Elle augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnalisantes et se développent dans les formations générales, notamment
en deuxième et en troisième années de licence générale.
Si la grande majorité des stages se déroulent dans la région de l’université, près d’un sur dix a lieu à l’étranger. 63 % des stages durent deux mois ou plus. La moitié des stages sont gratifiés. Parmi eux, un étudiant sur cinq reçoit une gratification se situant au dessus de 600 euros mensuels.
Objet pédagogique particulier, le stage constitue une période de formation, de pratique ou de perfectionnement dans l’entreprise, le secteur public ou le milieu associatif. Il a pour but, d’une part, l’application concrète en milieu professionnel de l’enseignement dispensé à l’étudiant dans le cadre de son cursus, et d’autre part, de faciliter la transition entre le monde de l’enseignement supérieur et celui du travail. Une étude effectuée à partir de l’enquête Génération 2004, présentée par le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Cereq), montre la forte hétérogénéité des stages et leur importance dans le processus de formation et d’insertion professionnelle. À formation identique, la qualité du stage, définie en termes de longueur, gratification, connaissances en lien avec la formation, contacts fructueux avec le maître de stage, pèse plus favorablement sur l’insertion professionnelle. Il est alors considéré comme une expérience professionnelle indiscutable qui donne à son titulaire un avantage durable sur le marché du travail. En outre et toutes choses étant égales par ailleurs, plus le stage est gratifié et formateur, plus les jeunes ont des chances de trouver un premier emploi dans l’entreprise où ils l’ont effectué. De même, l’examen de l’impact du stage sur le salaire des jeunes, trois ans après leur sortie du système éducatif, montre que ce type de stage est également plus valorisé que les autres.
De nombreux textes législatifs et réglementaires ont été produits au cours des dernières années afin d’inscrire le stage dans les cursus de l’enseignement supérieur et de sécuriser juridiquement son usage (voir l’encadré « Quelques textes législatifs ou réglementaires sur les stages »). Sa progressive institutionnalisation dans les cursus a fait apparaître la nécessité de créer un instrument de mesure afin de disposer d’un état des lieux sur les stages professionnels effectués par les étudiants inscrits en formation initiale dans l’ensemble des universités publiques françaises. Le ministère en charge de l‘enseignement supérieur et de la recherche a donc mené une enquête auprès des universités afin de quantifier et de qualifier les stages effectués par les étudiants dans le cadre de leur cursus.
Plus de trois étudiants sur dix font un stage
En 2011-2012, environ un tiers (32 %) des étudiants inscrits en formation initiale en troisième année de licence professionnelle, en licence générale, en master, en formations d’ingénieurs ou en institut universitaire de technologie (IUT) dans les universités françaises de métropole et d’outre-mer ont suivi un stage (graphique 1). Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. L’observation plus détaillée des différents cursus fait apparaître deux clivages dans le recours au stage : entre les formations générales et les formations professionnalisantes, entre les débuts et les fins de cursus. Ces clivages s’expriment sur la fréquence des stages, leur durée, les niveaux de gratifications et dans la localisation des stages, notamment à l’étranger.
De fortes disparités d’accès au stage suivant le cursus
La proportion de stages augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations à visées professionnalisantes : le diplôme universitaire de technologie, la licence professionnelle et le titre d’ingénieur. Les stages sont en développement dans les formations générales de type licence et master.
En licence professionnelle, le stage fait partie de la maquette du diplôme : l’ensemble des étudiants en formation initiale doivent valider leur stage pour obtenir le diplôme. Pourtant, le taux de stages n’est que de 84 %. En effet, certains, redoublants, ont validé leur stage l’année précédente et sont dispensés de le renouveler, d’autres ont interrompu leurs études pour diverses raisons. Enfin, l’élément stage obligatoire ne se traduit pas automatiquement par une convention de stage. Il peut exister d’autres modalités d’immersion professionnelle reconnues dans les cursus : la validation d’un emploi salarié, l’entrepreneuriat ou l’engagement citoyen.
En licence générale, seulement 3 % des étudiants font un stage en première année (L1), 12 % en deuxième année (L2) et 32 % en troisième année (L3). La licence générale concentre la population la plus importante. Faire en sorte que tout étudiant de licence générale effectue au moins un stage au cours de son cursus représente donc une demande de stages conséquente.
En master, le stage, qui fait partie intégrante du cursus pour les masters professionnels et indifférenciés, est beaucoup plus fréquent : 43 % des étudiants en font un en première année (M1) et 63 % en seconde année (M2). Le stage est lié à la formation d’ingénieurs.
On peut distinguer trois niveaux de compétences : le stage « ouvrier », le stage « technicien » et le stage « cadre ». Le stage de première année constitue une immersion dans le monde du travail, le stage de deuxième année s’oriente plus sur le fond, le stage de dernière année est long et applicatif. Globalement, 83 % des étudiants en formation d’ingénieurs ont effectué un stage sur l’année 2011-2012 : 69 % en première année, 90 % en deuxième année et 93 % en dernière année.
En IUT, le stage est très fréquent, surtout en seconde année. La proportion de stagiaires y est de 44 % en première année et de 91 % en seconde année. Les stratégies des universités dans la conduite de l’offre de stage
En licence générale, en première année, les stages sont rares dans la plupart des universités. La moitié d’entre elles ont des taux de stagiaires qui varient entre 0 % et 2 % (graphique 2), les trois quarts entre 0 % et 4 %. En deuxième année, la moitié des établissements atteignent au moins 11 % de stages. Le pourcentage d’étudiants ayant fait un stage peut atteindre jusqu’à 72 %. En L3, la moitié des établissements ont a minima un tiers de stagiaires (33 %). La moitié des universités se situent entre 28 % et 43 % de stages.
En master, les stages sont plus fréquents. Les trois quarts des universités ont un taux de stagiaires qui se situe au dessus de 34 % en M1 et au dessus de 54 % en M2. Cependant, les pourcentages ne distinguent pas les différentes finalités du master. En formation d’ingénieurs, la moitié des établissements atteignent au moins 78 % de stages en première année, au moins 95 % en deuxième année et au moins 98 % en troisième année. Quelques pourcentages sont faibles en première voire en deuxième année. La compensation s’opère alors avec des stages plus nombreux au cours des deux dernières années du cycle ingénieur.
En DUT, certaines universités proposent peu de stages en première année. Un quart d’entre elles se situent entre 11 et 26 %. Ils sont alors la règle en seconde année comme le prouve le taux médian de 91 %. Le quart des établissements dans lequel la fréquence des stages est la plus forte compte entre 96 et 100 % de stagiaires en seconde année.
Six stages sur dix durent au moins deux mois
En licence professionnelle, en M2 et en dernière année de formation d’ingénieurs, neuf stages sur dix durent deux mois ou plus (tableau 1). En deuxième année d’ingénieur, plus de 80 % des étudiants font un stage d’au moins deux mois. Le DUT est dans une situation singulière. Le stage de deux mois est plutôt rare en première année (12 %) et quasiment la règle en seconde année avec 78 %.
À l’inverse, les stages sont souvent courts en début de cursus. Ainsi, en première année d’ingénieur (72 %), de DUT (88 %) ainsi qu’en première (82 %), deuxième (75 %) et troisième années de licence (59 %), les stages courts inférieurs à deux mois sont très nettement majoritaires. La brièveté des stages est une caractéristique du cursus L.
Un stage sur deux est gratifié, souvent au niveau du seuil règlementaire
52 % des stages sont gratifiés (tableau 2). Parmi eux, 20 % sont gratifiés en dessous de 436 € par mois, 60 % entre 436 et 600 € et 20 % dépassent 600 €. Le niveau de la gratification dépend pour partie de la durée du stage. La rémunération minimale mensuelle est fixée réglementairement à 436,05 € nets lorsque le stage excède deux mois consécutifs.
En licence professionnelle, huit stages sur dix sont gratifiés et souvent entre 436 et 600 € (70 %). Le pourcentage de gratification supérieure à 600 € est très modeste (7 %).
En licence générale, la part des stages gratifiés progresse tout au long du cursus en passant de 9 % en L1 à 28 % en L3. De façon parallèle, ce sont les stages gratifiés entre 436 et 600 € qui augmentent : 46 % en L1, 51 % en L2 et 63 % en L3.
En master, quasiment un stage sur deux (48 %) est gratifié en première année et trois stages sur quatre en seconde année. Parmi les stages gratifiés, la proportion se hissant au-delà de 600 € passe de 20 % en M1 à 30 % en M2.
Ces observations montrent un changement de nature du stage entre les deux années de formation M. En formation d’ingénieurs, les pourcentages de gratification situés en dessous de 436 € sont les plus bas par rapport aux autres cursus. Les pourcentages de stages gratifiés au-delà de 600 € sont les plus hauts et représentent 26 % en première année, 34 % en deuxième année et jusqu’à 60 % en dernière année. Cette configuration est une singularité du cursus d’ingénieur pour lequel on ne constate pas d’effet de seuil. En DUT, 16 % des stages sont gratifiés en première année et 67 % en seconde année. Sur l’ensemble du cursus, l’effet de seuil est patent pour la gratification puisque 74 % des gratifiés se situent entre 436 et 600 €. Les gratifications supérieures à 600 € sont, quant à elles, exceptionnelles (4 %).
Les stages se déroulent fréquemment dans la région de l’université
Deux stages sur trois (66 %) se déroulent dans la région de l’université (tableau 3). Un stage sur quatre (25 %) a lieu dans une autre région. Les stages effectués à l’étranger demeurent peu nombreux avec 9 %, ce qui représente un peu plus de 26 000 étudiants.
Plus de six stages sur dix se déroulent dans la région en licence professionnelle, en master et en seconde année de DUT. La proximité est encore plus marquée dans le cursus de licence avec 78 % en L1, 71 % en L2 et 72 % en L3. A contrario, les formations d’ingénieur ont une offre de stage structurée différemment. En effet, si l’on prend en compte la totalité du cursus, 37 % des stages ont lieu en dehors de la région et 20 % des stages se déroulent à l’étranger, dont 29 % en deuxième année.
Les échanges de stages dans le cadre d’Erasmus : des liens privilégiés avec le Royaume-Uni
En 2010-2011, l’enseignement supérieur compte près de 2,4 millions d’étudiants. Parmi eux, près de 60 % sont inscrits en université, en formation initiale ou en formation tout au long de la vie. Un peu moins d’un million, hors universités, se répartissent dans une grande variété d’établissements et de cursus.
L’enseignement supérieur étant très diversifié, donc très difficile à appréhender dans toutes ses dimensions, il n’existe pas d’information exhaustive sur la localisation des stages à l’étranger.
Toutefois, le programme d’échange européen « Erasmus stages » constitue une information sur la localisation des stages sur le continent. Il compte 40 000 étudiants sur l’ensemble de l’Europe et 6 000 étudiants inscrits dans l’ensemble de l’enseignement supérieur français. Sa surface recouvre les universités mais aussi les sections de techniciens supérieurs, les écoles d’ingénieurs autonomes, les écoles de commerce, les écoles d’art, les formations médicales ou du secteur social, etc.
À l’intérieur de ce programme européen, la Grande-Bretagne, l’Espagne et l’Allemagne constituent les principales destinations des étudiants inscrits en France (graphique 3). Quelques pays comme la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande, voire l’Italie, représentent dans une moindre mesure des destinations attractives. Certains étudiants d’origine étrangère inscrits dans l’enseignement supérieur français font un stage « Erasmus » dans leur pays d’origine (les « home coming »).
Trente-deux pays participent au programme « Erasmus stage ». Les 6 000 étudiants inscrits dans l’enseignement supérieur en France représentent 15 % du total (graphique 4).
Ce pourcentage de 15 % est la contribution la plus importante, même si l’Espagne et l’Allemagne (12 %), ainsi que la Grande-Bretagne (10 %) se situent à un niveau comparable.
Réciproquement, 4 500 étudiants sont accueillis en France pour faire leur stage dans le cadre de ce programme. Parmi eux, plus d’un sur trois suivent un cursus de l’enseignement supérieur en Grande-Bretagne (graphique 5). L’Allemagne et l’Espagne, puis plus modestement la Belgique et l’Italie constituent des pays représentatifs de cette population.
Quelques textes législatifs ou réglementaires sur les stages
22 juillet 2013 – Loi n° 2013-660 (articles 24, 25, 26, 27 et 28). Le bureau d’aide à l’insertion professionnelle a pour mission de favoriser un égal accès aux stages à tous ses étudiants. Il prépare les étudiants qui en font la demande aux entretiens préalables aux embauches. Il recense les entreprises susceptibles d’offrir aux étudiants une expérience professionnelle en lien avec les grands domaines de formation enseignés dans l’université, en vue de leur proposer la signature de conventions de stage. Les stages sont intégrés à un cursus. Un volume pédagogique minimal de formation ainsi que les modalités d’encadrement du stage par l’établissement d’origine et l’organisme d’accueil sont précisés dans la convention de stage. La gratification des stages de plus de deux mois s’impose aux entreprises ainsi qu’à toute administration publique, assemblée parlementaire, assemblée consultative, association ou tout autre organisme d’accueil.
1er août 2011 – Arrêté relatif à la licence (articles 6 et 7). En cohérence avec les objectifs de chaque formation, les enseignements sur site peuvent comporter des stages. Chaque parcours prévoit la possibilité d’un stage obligatoire ou facultatif intégré au cursus et faisant l’objet d’une évaluation concourant à la délivrance du diplôme.
28 juillet 2011 – Loi n° 2011-893 (article 27) pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels. La durée du ou des stages effectués par un même stagiaire dans une même entreprise ne peut pas excéder six mois par année d’enseignement. L’accueil successif de stagiaires, au titre de conventions de stage différentes, pour effectuer des stages dans un même poste n’est possible qu’à l’expiration d’un délai de carence égal au tiers de la durée du stage précédent.
25 août 2010 – Décret n° 2010-956. Il définit la notion de « stages intégrés à un cursus pédagogique » pour consolider l’encadrement des stages et permet parallèlement des exceptions comme les stages de réorientation.
21 juillet 2009 – Décret n° 2009-885. Le stage n’excède pas six mois, sauf exception liée au cursus. La gratification devient obligatoire lorsque la durée est supérieure à deux mois. Elle est du même montant minimum que dans le secteur privé.
10 septembre 2007 – Création du comité des stages et de la professionnalisation des cursus (comité « Sta-pro ») sous l’égide du ministère de l’enseignement supérieur avec la participation du ministère du travail. Ce comité comprend également en son sein les organisations étudiantes, les syndicats et les représentants des établissements d’enseignement supérieur. Ses travaux ont notamment permis de développer le droit à la gratification et de renforcer le lien stage-cursus.
10 août 2007 – Loi n° 2007-1199 (article 21) relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU). Un bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP) des étudiants est créé dans chaque université. Il doit diffuser aux étudiants une offre de stages et d’emplois variée en lien avec les formations proposées par l’université, et assister les étudiants dans leur recherche de stages et d’un premier emploi.
29 août 2006 - Décret n° 2006-1093. La convention tripartite, conclue entre le stagiaire, l’établissement d’enseignement et l’employeur, est obligatoire. La gratification intervient lorsque la durée du stage dépasse trois mois. Le montant minimum de la gratification s’élève à 12,5 % du plafond horaire de la Sécurité sociale (équivalent à 30 % du smic) défini en application de l’article L.241-3 du code de la Sécurité sociale. Ce montant est de 436,05 € en 2012 pour 151,67 heures de travail mensuel. Télécharger Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.
Joëlle Grille - Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international.
Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.
Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance
Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1
61-65 rue Dutot, 75732 Paris cedex 15
http://www.education.gouv.fr/pid25496/statistiques.html
La contribution de l'auteure
enseignement supérieur
Les autres publications de l'auteure




Financement, ressources humaines, accès au supérieur, parcours, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 42 fiches de la 5e édition (2011) de cet ouvrage. [Consulter cette publication]
















Les publications de sa structure














Les publications de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

Elle s'élève avec le niveau, allant de 6 010 € pour un écolier à 11 740 € pour un étudiant.
Depuis 2006, alors que le coût d'un élève de l'enseignement scolaire a peu évolué, celui d'un étudiant a crû de près de 10 points. [Consulter cette publication]

Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 89,6 % dans la voie générale, 83,4 % dans la voie technologique et 78,2 % dans la voie professionnelle. L'année 2012 a encore connu une forte progression du nombre des candidats au baccalauréat professionnel (+ 28 %) qui, malgré des 71,6 % l'an dernier. À la session de juin 2013, avec 86,8 % d'admis, le taux de réussite global au baccalauréat en France est en hausse (2,4 points) par rapport à la session 2012.
Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 2,4 et de 3,3 points. Les résultats du baccalauréat professionnel se stabilisent en 2013 (+ 0,5 point) après trois ans de forte baisse. Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 91,9 % dans la voie générale, 86,4 % dans la voie technologique et 78,6 % dans la voie professionnelle.
La réforme de la voie professionnelle étant achevée, le nombre des candidats au baccalauréat professionnel baisse de 17 % en 2013 (- 40 300) ce qui réduit la part d'une génération obtenant ce baccalauréat à 19,9 % contre 23,6 % l'an dernier. Au total, la part des bacheliers 2013 dans une génération est ramenée à 73,1 % contre 76,4 % en 2012. [Consulter cette publication]


Les candidats sous statut scolaire, en formation continue ou en apprentissage réussissent mieux que les autres candidats.
Les filles, ainsi que les candidats les plus jeunes, obtiennent de meilleurs résultats.
La généralisation de la réforme de la voie professionnelle a conduit à une augmentation conjoncturelle des effectifs des candidats et des lauréats de cette voie (+ 57 600 candidats et + 34 800 lauréats en un an).
Dans ce contexte, la proportion de bacheliers dans une génération augmente de 5,7 points par rapport à 2011 pour atteindre 76,7 %.
La réforme de la voie professionnelle aura eu pour effet de porter la part des bacheliers professionnels dans une génération à plus de 20 %. [Consulter cette publication]



Les moyens mis au service de notre système éducatif, son activité, son fonctionnement, ses résultats, internes comme externes, ont constitué, dès la première édition de 1991, la structure d'analyse des indicateurs synthétiques rassemblés dans l'état de l'École, avec le souci de fournir à la fois des évolutions dans le temps et des comparaisons dans l'espace.
Cette 22ème édition poursuit cette démarche. [Consulter cette publication]


En 2009, la France a consacré 132,1 milliards d'euros à son système éducatif, soit une dépense en hausse de 1,3 % (en euros constants) après trois années de stabilité. Cela représente 6,9 % du PIB et 2 050 euros par habitant.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7 990 euros : 5 690 euros pour un écolier, 9 380 pour un élève de l'enseignement secondaire, 11 260 pour un étudiant. La part du secondaire (42,0 %) dans la dépense intérieure d'éducation (DIE) tend à décroître, celle du supérieur (19,9 %) progresse de 2,3 points depuis 2005.
L'État reste le premier financeur de l'éducation (59,2 %), devant les collectivités territoriales (24,6 %) dont la part a augmenté de 4 points depuis 2005. Avec 6,0 % de son PIB consacré à l'éducation en 2007, la France se situait 0,3 point au-dessus de la moyenne des pays de l'OCDE sur un champ restreint ne comprenant pas la formation continue (données internationales 2007 publiées en 2010). [Consulter cette publication]
Personnels enseignants du supérieur : bilans et statistiques
Études et regards statistiques concernant les personnels enseignants de l'enseignement supérieur.
Démographie
Enseignants non permanents
Qualification
Recrutement
Origine des recrutés.
Etudes démographiques
maîtres de conférences et professeurs des universités associés
enseignants-chercheurs (2008-2009)
enseignants-chercheurs (2006-2007)
enseignants-chercheurs (2004-2005).
Recrutement et affectation des enseignants-chercheurs : Enquête qualité menée auprès des établissements d'enseignement supérieur
Contribution aux publications du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2013)
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2009)
état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2007)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 6 - février 2013)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 5 - décembre 2011)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 4 - décembre 2010)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 3 - décembre 2009)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 2 - décembre 2008)
état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 1 - novembre 2007).
Bilan des campagnes de recrutement et d'affectation
campagne 2012 (session synchronisée)
campagne 2011 (session synchronisée)
campagne 2010 (session synchronisée)
campagne 2009 (session synchronisée)
étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2008
campagne 2008 (première session)
étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2007
campagne 2007 (première et deuxième session)
campagne 2007 (première session)
campagne 2006 (première session)
campagne 2005 (première et deuxième session)
campagne 2004 (première et deuxième session)
campagne 2003 (première et deuxième session)
campagne 2002 (première et deuxième session)
campagne 2001 (première et deuxième session).
Etude de la promotion des qualifiés aux fonctions de professeur des universités et de maître de conférences
tableaux excel campagne 2014 (premiers résultats)
tableaux excel campagne 2013 Etude campagne 2013
Etudes de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs
Etude de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs sur la période 1993-2007
Etude de l'avancement spécifique des enseignants-chercheurs sur la période 2002-2009.
Etudes pluriannuelles relatives au recrutement des enseignants-chercheurs
Etude du recrutement des MCF dans le corps des PR entre 1993 et 2007
Etude de l'endo-recrutement chez les enseignants-chercheurs entre 1993 et 2007.
Bilans des origines des enseignants-chercheurs recrutés
Situation des personnels enseignants non-permanents affectés dans l'enseignement supérieur
année universitaire 2003-2004.
Notes d'information relatives aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur
N.I. n° 13-07 août : année universitaire 2011-2012
N.I. n° 12-08 juillet : année universitaire 2010-2011
N.I. n° 11-06 mai : année universitaire 2009-2010
N.I. n° 09-24 : année universitaire 2008-2009
N.I. n° 08-25 : année universitaire 2007-2008
N.I. n° 07-46 : année universitaire 2006-2007
N.I. n° 07-03 : année universitaire 2005-2006
N.I. n° 05-35 : année universitaire 2004-2005
N.I. n° 04-29 : année universitaire 2003-2004
N.I. n° 04-03 : année universitaire 2002-2003
N.I. n° 03-36 : année universitaire 2001-2002
N.I. n° 02-42 : année universitaire 2000-2001
N.I. n° 02-06 : année universitaire 1999-2000
N.I. n° 00-43 : année universitaire 1998-1999
N.I. n° 99-25 : année universitaire 1997-1998
N.I. n° 98-33 : année universitaire 1996-1997
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