20 août 2015

Inferential Statistics

Résultat de recherche d'images pour Learn about inferential statistics, and how they are used and misused in the social and behavioral sciences. Learn how to critically evaluate the use of inferential statistics in published research and how to generate these statistics yourself, using freely available statistical software. More...

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Estadística para investigadores: Todo lo que siempre quiso saber (4.ª edición)

Résultat de recherche d'images pour Si alguna vez has tenido problemas con la estadística, este curso está hecho para ti. Es ideal para investigadores y alumnos que se encuentran cursando trabajos fin de grado, trabajos fin de máster o realizando la tesis y que quieren realizar un análisis cuantitativo en sus estudios. More...

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22 mai 2015

Guide pratique des stages étudiants - Organisme - Dispositions pratiques

Que faire si vous n’êtes pas satisfait de votre stagiaire ?
Si vous constatez des problèmes au cours du stage, vous devez en parler au stagiaire et prendre contact avec son enseignant-référent pour résoudre le problème ou éventuellement décider ensemble de modifier la convention de stage (activités, missions...) ou de la rompre.

Comment est assuré le stagiaire ?
Le stagiaire, sous couvert d’une convention de stage, bénéficie d’une protection contre le risque accidents du travail - maladies professionnelles.
Il reste affilié au régime de sécurité sociale dont il bénéficie en tant qu’étudiant : ayant droit de ses parents, régime étudiant ou couverture maladie universelle.
Vous êtes tenu de contracter une assurance responsabilité civile.

Que devez-vous faire en cas d’accident du travail ?
- Établir la déclaration d’accident (Cerfa n°60-3682) en présence (si possible) du  stagiaire, des témoins et des éventuels tiers en détaillant au mieux les circonstances de l’accident (procédure différente dans l’enseignement supérieur agricole).
- Envoyer le stagiaire consulter un médecin ou le service d’un hôpital.
- Adresser, le jour même, sous pli recommandé avec accusé de réception (AR) le document à l’établissement d’enseignement.

En savoir plus :
Annexe g - Protection sociale et responsabilité civile . Voir l'article...

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26 avril 2015

Unemployment statistics at regional level

http://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/skins/statexpflat/media/StatExplainedTitle-02.pngThis article provides an overview of regional unemployment rates across the 272 NUTS-2 regions of the European Union (EU) in 2014, compiled by Eurostat on the basis of data from the EU Labour force survey.
Just over half of the NUTS 2 regions1 of the European Union (EU) recorded a decrease of at least 0.5 percentage points in their regional unemployment rate in 2014 compared with 2013. Regional unemployment rates varied widely across the 272 NUTS-2 regions of the EU-28 in 2014, with the lowest rates recorded in the regions of Praha in the Czech Republic and Oberbayern in Germany (both 2.5 %) followed by Tübingen, Oberpfalz, Niederbayern and Unterfranken in Germany (all below 3.0 %), while the highest rates were registered in the Spanish regions of Andalucia (34.8 %), Canarias (32.4 %), Ceuta (31.9 %), Extremadura (29.8 %) and Castilla-la Mancha (29.0 %). More...

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23 mars 2015

Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2013-2014 - Note d'info 15.01

Par Diane Marlat et Ophélie Rogel, MENESR-DGESIP-DGRI-SCSESR-SIES-A2.1. En 2013-2014, 1 505 600 étudiants sont inscrits dans les universités françaises (y compris les universités d'outre‑mer et l'université de Lorraine). Ils étaient 1 468 300 en 2012-2013. Les effectifs augmentent de 2,5 %. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 2,5 %) et en cursus master (+ 3,0 %), mais ils diminuent en cursus doctorat (- 1,2 %).

Le nombre de nouveaux bacheliers s'inscrivant à l'université est très dynamique (+ 4,5 %). Dans les disciplines de santé, ils sont en forte hausse (+ 7,6 %). Les bacheliers généraux sont plus nombreux dans les disciplines générales (+ 7,0 %), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques augmente fortement en IUT (+ 13,5 %) et les bacheliers professionnels se dirigent légèrement moins vers l'université. Le nombre d'étudiants étrangers à l'université est en hausse de 0,9 % : leur part atteint 14,5 %. Elle reste stable en cursus doctorat (41,4 %). Voir l'article...
Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2013-2014 - Note d'info 15.01
Le cursus licence
Dans les disciplines générales, c’est-à-dire hors IUT et disciplines de santé, 42 % des effectifs du cursus licence sont inscrits en première année de licence (L1). Les deuxième et troisième années (L2 et L3) représentent respectivement 22 % et 23 % des inscrits du cursus, et la licence professionnelle 7 %. Ces proportions sont relativement proches d’une discipline à l’autre, à l’exception des sciences fondamentales et applications et des sciences économiques-gestion (hors AES), pour lesquelles la licence professionnelle regroupe respectivement 23 % et 22 % des effectifs du cursus licence. En lettres-sciences du langage-arts, 14 % des inscrits en cursus licence préparent un Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU). Enfin, en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS), 54 % des inscrits en cursus licence sont en L1.
Le cursus master
En cursus master, 42 % des inscrits sont en première année de master (M1), 37 % en seconde année (M2). Les autres formations relevant du cursus master (formation d’ingénieurs, diplôme des IEP, etc.) représentent 21 % des inscrits. En particulier, en sciences, 27 % des inscrits en cursus master le sont en formation d’ingénieurs ; les masters Enseignement, éducation et formation (MEEF) créés à la rentrée 2013 représentent 22 % des inscrits du cursus master en STAPS, 15 % en lettres-langues-sciences humaines et 3 % en sciences.
À nouveau moins de doctorants
Pour la cinquième année consécutive, le nombre de doctorants est en baisse (- 1,2 % après - 2,2 % en 2012-2013). Les diminutions sont plus marquées dans les disciplines littéraires (- 1,7 %), notamment en langues (- 3,8 %) et en sciences humaines et sociales (- 1,6 %), mais aussi en droit (- 2,8 %) et en sciences fondamentales (- 1,5 %). Néanmoins, on observe parallèlement une augmentation constante sur les dernières années du nombre de doctorats obtenus, ce qui semble indiquer que la diminution du nombre d’inscrits est due à une réduction de la durée d’obtention du diplôme.
Plus d’étudiants étrangers dans les universités en 2013‑2014
À la rentrée 2013, 217 900 étudiants des universités de France métropolitaine et des DOM sont étrangers (tableau 3). Ces effectifs augmentent (+ 0,9 % par rapport à 2012- 2013). Mais cette hausse étant moins forte que celle de l’ensemble des effectifs, la part des étudiants étrangers diminue légèrement et se situe à 14,5 % (tableau 3). Les étudiants étrangers représentent 10,8 % des étudiants inscrits en cursus licence, 17,7 % des inscrits en cursus master et 41,4 % des inscrits en cursus doctorat. La proportion d’étudiants étrangers non titulaires d’un baccalauréat est également en baisse et représente 77,7 % de l’ensemble des étudiants étrangers (78,3 % en 2012-2013). Ce sont des étudiants n’ayant pas suivi une scolarité classique dans le système secondaire français. Ils viennent suivre des études supérieures en France après une scolarité dans leur pays d’origine, validée par une équivalence du baccalauréat qui leur permet de s’inscrire à l’université.
Les étudiants africains représentent près d’un étudiant étranger sur deux en université (46,0 %). Leurs orientations restent semblables à celles observées en 2012 : ils se dirigent davantage vers les disciplines scientifiques et sportives (32,4 % contre 26,4 % pour la population étrangère tous continents confondus) ou économiques (23,3 % contre 19,7 %) que littéraires (19,6 % contre 31,4 %). Parmi les étudiants africains, 73,7 % sont des non-bacheliers. Les étudiants européens représentent 24,5 % des étudiants étrangers. Parmi eux, les étudiants italiens sont les plus représentés (6 800 soit 12,8 % des Européens), suivis des étudiants allemands (6 700 soit 12,5 %), espagnols (4 600 soit 8,6 %), russes (3 900 soit 7,3 %) et roumains (3 800 soit 7,1 %). Plus de quatre étudiants européens sur cinq sont originaires de l’Union européenne. Les étudiants asiatiques représentent 20,8 % des étudiants étrangers, et les étudiants américains 8,5 %.
Les trois nationalités les plus représentées restent les mêmes : les étudiants marocains sont les plus nombreux (22 500), devant les Algériens (19 700) et les Chinois (18 800). Le nombre d’étudiants marocains est en hausse (+ 10,0 % par rapport à 2012-2013), contrairement à celui des Chinois (- 5,3 % par rapport à 2012-2013) et celui des étudiants algériens (- 7,8 % par rapport à 2012- 2013) dont le nombre continue de diminuer.
Une majorité de filles à l’université, excepté en cursus doctorat
En 2013-2014, plus d’un étudiant inscrit à l’université sur deux est une étudiante (tableau 4). Elles sont majoritaires en cursus licence et en cursus master mais restent minoritaires en cursus doctorat (48,2 %).
Les filles sont majoritaires dans les disciplines littéraires. Elles représentent plus de 70 % des effectifs en lettres et langues et 64,3 % en droit-sciences politiques.
A contrario, elles ne représentent que 38,6 % des inscrits en sciences, 28,7 % des inscrits en STAPS et 39,3 % des inscrits en IUT. La médecine-odontologie et surtout la pharmacie sont des filières fortement féminisées : les filles représentent respectivement 62,0 % et 65,0 % des effectifs. Elles sont également une majorité en PACES (64,7 %). Télécharger la Note d'info 15.01.

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05 juin 2014

Aubagne - Présentation des travaux des principaux producteurs de données sociologiques et économiques régionaux

Numero_VertJournées outils : Marché de l`emploi local, métiers qui recrutent, offre de formation régionale : présentation des travaux des principaux producteurs de données sociologiques et économiques régionaux
- Direccte PACA, le 10 juin 2014 de 9h à 12h
- Pôle emploi PACA, le 10 juin 2014 de 14h à 17h
- Observatoire Régional des Métiers PACA, le 11 juin 2014 de 9h à 12h

Toutes ces présentations se dérouleront au Centre de congrès Agora à Aubagne.
S’inscrire en ligne

Après la matinale inaugurale du 21 Février dernier concernant « les enjeux de l’information sur les données socio-économiques dans la réussite des trajectoires professionnelles » un cycle de journées outils a été mis en place. Construit en lien étroit avec les principaux fournisseurs de données, il permettra d’approfondir la réflexion et de faciliter l’appropriation de ces informations dans les pratiques de conseil.
Il débutera le 10 et 11 Juin prochain par la présentation des travaux de la DIRECCTE PACA, de la Direction régionale de Pôle emploi et de l’Observatoire Régional des Métiers (ORM). Il sera suivi le 20 juin matin par la présentation des travaux de l’APEC.

INTERVENANTS

Pour la DIRECCTE PACA :
- Rémi BELLE, Chef du service Etudes Statistiques et Evaluation,
- Virginie d’ANGELO, Chargée d’études,

Pour le POLE EMPLOI :
- Sébastien RAUDIN, Chargé d’études du service Statistiques, Etudes et Evaluation,

Pour l`ORM :
- Pauline GAY-FRAGNEAUD, Chargée d’études,
- Sonia MILLIARD, Chargée d’études,

Retrouvez le programme complet des 3 demi-journées
S’inscrire en ligne.

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17 mai 2014

Personnels enseignants du supérieur : bilans et statistiques

Etudes et regards statistiques relatifs aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur
Démographie
Enseignants non permanents
Qualification
Recrutement
Origine des recrutés.
Etudes démographiques
maîtres de conférences et professeurs des universités associés
enseignants-chercheurs (2008-2009)
enseignants-chercheurs (2006-2007)
enseignants-chercheurs (2004-2005)
Recrutement et affectation des enseignants-chercheurs : Enquête qualité menée auprès des établissements d'enseignement supérieur
Session 2010
Session 2009.

Contribution aux publications du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2013)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2009)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2007)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 6 - février 2013)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 5 - décembre 2011)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 4 - décembre 2010)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 3 - décembre 2009)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 2 - décembre 2008)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 1 - novembre 2007)

Bilan des campagnes de recrutement et d'affectation

campagne 2012 (session synchronisée)

campagne 2011 (session synchronisée)

campagne 2010 (session synchronisée)

campagne 2009 (session synchronisée)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2008

campagne 2008 (première session)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2007

campagne 2007 (première et deuxième session)

campagne 2007 (première session)

campagne 2006 (première session)

campagne 2005 (première et deuxième session)

campagne 2004 (première et deuxième session)

campagne 2003 (première et deuxième session)

campagne 2002 (première et deuxième session)

campagne 2001 (première et deuxième session)

Etude de la promotion des qualifiés aux fonctions de professeur des universités et de maître de conférences

tableaux excel campagne 2014 (premiers résultats)

tableaux excel campagne 2013  Etude campagne 2013

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005

Etudes de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs

Etude de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs sur la période 1993-2007

Etude de l'avancement spécifique des enseignants-chercheurs sur la période 2002-2009

Etudes pluriannuelles relatives au recrutement des enseignants-chercheurs

Etude du recrutement des MCF dans le corps des PR entre 1993 et 2007

Etude de l'endo-recrutement chez les enseignants-chercheurs entre 1993 et 2007

Bilans des origines des enseignants-chercheurs recrutés

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005

campagne 2004

campagne 2003

campagne 2002

Situation des personnels enseignants non-permanents affectés dans l'enseignement supérieur

année universitaire 2012-2013
tableaux excel 2012-2013

année universitaire 2011-2012
tableaux excel 2011-2012

année universitaire 2010-2011

année universitaire 2009-2010

année universitaire 2008-2009

année universitaire 2007-2008

année universitaire 2006-2007

année universitaire 2005-2006

année universitaire 2004-2005

année universitaire 2003-2004

Notes d'information relatives aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur

N.I. n° 13-07 août : année universitaire 2011-2012

N.I. n° 12-08 juillet : année universitaire 2010-2011

N.I. n° 11-06 mai : année universitaire 2009-2010

N.I. n° 09-24 : année universitaire 2008-2009

N.I. n° 08-25 : année universitaire 2007-2008

N.I. n° 07-46 : année universitaire 2006-2007

N.I. n° 07-03 : année universitaire 2005-2006

N.I. n° 05-35 : année universitaire 2004-2005

N.I. n° 04-29 : année universitaire 2003-2004

N.I. n° 04-03 : année universitaire 2002-2003

N.I. n° 03-36 : année universitaire 2001-2002

N.I. n° 02-42 : année universitaire 2000-2001

N.I. n° 02-06 : année universitaire 1999-2000

N.I. n° 00-43 : année universitaire 1998-1999

N.I. n° 99-25 : année universitaire 1997-1998

N.I. n° 98-33 : année universitaire 1996-1997. Voir l'article...

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30 avril 2014

Les stages effectués dans les universités en 2011-2012

Note d'information Enseignement sup RecherchePar Olivier Capelle, MENESR DGESIP / DGRI SCSESR SIES C1. En 2011-2012, sur 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises, 32 % ont suivi un stage. NI 14.02 : Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.NI 14.02 : Tableaux et graphiques - Les stages effectués dans les universités. Télécharger Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.
Les stages effectués dans les universités en 2011-2012
32%
des 990 000 étudiants inscrits en formation initiale en licence, master, formations d’ingénieurs et instituts universitaires de technologie (hors formations des enseignants, instituts d’études politiques et universités de technologie) dans les universités françaises ont suivi un stage en 2011-2012.
Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. Elle augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnalisantes et se développent dans les formations générales, notamment
en deuxième et en troisième années de licence générale.
Si la grande majorité des stages se déroulent dans la région de l’université, près d’un sur dix a lieu à l’étranger. 63 % des stages durent deux mois ou plus. La moitié des stages sont gratifiés. Parmi eux, un étudiant sur cinq reçoit une gratification se situant au dessus de 600 euros mensuels.
Objet pédagogique particulier, le stage constitue une période de formation, de pratique ou de perfectionnement dans l’entreprise, le secteur public ou le milieu associatif. Il a pour but, d’une part, l’application concrète en milieu professionnel de l’enseignement dispensé à l’étudiant dans le cadre de son cursus, et d’autre part, de faciliter la transition entre le monde de l’enseignement supérieur et celui du travail. Une étude effectuée à partir de l’enquête Génération 2004, présentée par le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Cereq), montre la forte hétérogénéité des stages et leur importance dans le processus de formation et d’insertion professionnelle. À formation identique, la qualité du stage, définie en termes de longueur, gratification, connaissances en lien avec la formation, contacts fructueux avec le maître de stage, pèse plus favorablement sur l’insertion professionnelle. Il est alors considéré comme une expérience professionnelle indiscutable qui donne à son titulaire un avantage durable sur le marché du travail. En outre et toutes choses étant égales par ailleurs, plus le stage est gratifié et formateur, plus les jeunes ont des chances de trouver un premier emploi dans l’entreprise où ils l’ont effectué. De même, l’examen de l’impact du stage sur le salaire des jeunes, trois ans après leur sortie du système éducatif, montre que ce type de stage est également plus valorisé que les autres.
De nombreux textes législatifs et réglementaires ont été produits au cours des dernières années afin d’inscrire le stage dans les cursus de l’enseignement supérieur et de sécuriser juridiquement son usage (voir l’encadré « Quelques textes législatifs ou réglementaires sur les stages »). Sa progressive institutionnalisation dans les cursus a fait apparaître la nécessité de créer un instrument de mesure afin de disposer d’un état des lieux sur les stages professionnels effectués par les étudiants inscrits en formation initiale dans l’ensemble des universités publiques françaises. Le ministère en charge de l‘enseignement supérieur et de la recherche a donc mené une enquête auprès des universités afin de quantifier et de qualifier les stages effectués par les étudiants dans le cadre de leur cursus.
Plus de trois étudiants sur dix font un stage
En 2011-2012, environ un tiers (32 %) des étudiants inscrits en formation initiale en troisième année de licence professionnelle, en licence générale, en master, en formations d’ingénieurs ou en institut universitaire de technologie (IUT) dans les universités françaises de métropole et d’outre-mer ont suivi un stage (graphique 1). Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente. L’observation plus détaillée des différents cursus fait apparaître deux clivages dans le recours au stage : entre les formations générales et les formations professionnalisantes, entre les débuts et les fins de cursus. Ces clivages s’expriment sur la fréquence des stages, leur durée, les niveaux de gratifications et dans la localisation des stages, notamment à l’étranger.
De fortes disparités d’accès au stage suivant le cursus
La proportion de stages augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations à visées professionnalisantes : le diplôme universitaire de technologie, la licence professionnelle et le titre d’ingénieur. Les stages sont en développement dans les formations générales de type licence et master.
En licence professionnelle, le stage fait partie de la maquette du diplôme : l’ensemble des étudiants en formation initiale doivent valider leur stage pour obtenir le diplôme. Pourtant, le taux de stages n’est que de 84 %. En effet, certains, redoublants, ont validé leur stage l’année précédente et sont dispensés de le renouveler, d’autres ont interrompu leurs études pour diverses raisons. Enfin, l’élément stage obligatoire ne se traduit pas automatiquement par une convention de stage. Il peut exister d’autres modalités d’immersion professionnelle reconnues dans les cursus : la validation d’un emploi salarié, l’entrepreneuriat ou l’engagement citoyen.
En licence générale, seulement 3 % des étudiants font un stage en première année (L1), 12 % en deuxième année (L2) et 32 % en troisième année (L3). La licence générale concentre la population la plus importante. Faire en sorte que tout étudiant de licence générale effectue au moins un stage au cours de son cursus représente donc une demande de stages conséquente.
En master, le stage, qui fait partie intégrante du cursus pour les masters professionnels et indifférenciés, est beaucoup plus fréquent : 43 % des étudiants en font un en première année (M1) et 63 % en seconde année (M2). Le stage est lié à la formation d’ingénieurs.
On peut distinguer trois niveaux de compétences : le stage « ouvrier », le stage « technicien » et le stage « cadre ». Le stage de première année constitue une immersion dans le monde du travail, le stage de deuxième année s’oriente plus sur le fond, le stage de dernière année est long et applicatif. Globalement, 83 % des étudiants en formation d’ingénieurs ont effectué un stage sur l’année 2011-2012 : 69 % en première année, 90 % en deuxième année et 93 % en dernière année.
En IUT, le stage est très fréquent, surtout en seconde année. La proportion de stagiaires y est de 44 % en première année et de 91 % en seconde année. Les stratégies des universités dans la conduite de l’offre de stage
En licence générale, en première année, les stages sont rares dans la plupart des universités. La moitié d’entre elles ont des taux de stagiaires qui varient entre 0 % et 2 % (graphique 2), les trois quarts entre 0 % et 4 %. En deuxième année, la moitié des établissements atteignent au moins 11 % de stages. Le pourcentage d’étudiants ayant fait un stage peut atteindre jusqu’à 72 %. En L3, la moitié des établissements ont a minima un tiers de stagiaires (33 %). La moitié des universités se situent entre 28 % et 43 % de stages.
En master, les stages sont plus fréquents. Les trois quarts des universités ont un taux de stagiaires qui se situe au dessus de 34 % en M1 et au dessus de 54 % en M2. Cependant, les pourcentages ne distinguent pas les différentes finalités du master. En formation d’ingénieurs, la moitié des établissements atteignent au moins 78 % de stages en première année, au moins 95 % en deuxième année et au moins 98 % en troisième année. Quelques pourcentages sont faibles en première voire en deuxième année. La compensation s’opère alors avec des stages plus nombreux au cours des deux dernières années du cycle ingénieur.
En DUT, certaines universités proposent peu de stages en première année. Un quart d’entre elles se situent entre 11 et 26 %. Ils sont alors la règle en seconde année comme le prouve le taux médian de 91 %. Le quart des établissements dans lequel la fréquence des stages est la plus forte compte entre 96 et 100 % de stagiaires en seconde année.
Six stages sur dix durent au moins deux mois
En licence professionnelle, en M2 et en dernière année de formation d’ingénieurs, neuf stages sur dix durent deux mois ou plus (tableau 1). En deuxième année d’ingénieur, plus de 80 % des étudiants font un stage d’au moins deux mois. Le DUT est dans une situation singulière. Le stage de deux mois est plutôt rare en première année (12 %) et quasiment la règle en seconde année avec 78 %.
À l’inverse, les stages sont souvent courts en début de cursus. Ainsi, en première année d’ingénieur (72 %), de DUT (88 %) ainsi qu’en première (82 %), deuxième (75 %) et troisième années de licence (59 %), les stages courts inférieurs à deux mois sont très nettement majoritaires. La brièveté des stages est une caractéristique du cursus L.
Un stage sur deux est gratifié, souvent au niveau du seuil règlementaire
52 % des stages sont gratifiés (tableau 2). Parmi eux, 20 % sont gratifiés en dessous de 436 € par mois, 60 % entre 436 et 600 € et 20 % dépassent 600 €. Le niveau de la gratification dépend pour partie de la durée du stage. La rémunération minimale mensuelle est fixée réglementairement à 436,05 € nets lorsque le stage excède deux mois consécutifs.
En licence professionnelle, huit stages sur dix sont gratifiés et souvent entre 436 et 600 € (70 %). Le pourcentage de gratification supérieure à 600 € est très modeste (7 %).
En licence générale, la part des stages gratifiés progresse tout au long du cursus en passant de 9 % en L1 à 28 % en L3. De façon parallèle, ce sont les stages gratifiés entre 436 et 600 € qui augmentent : 46 % en L1, 51 % en L2 et 63 % en L3.
En master, quasiment un stage sur deux (48 %) est gratifié en première année et trois stages sur quatre en seconde année. Parmi les stages gratifiés, la proportion se hissant au-delà de 600 € passe de 20 % en M1 à 30 % en M2.
Ces observations montrent un changement de nature du stage entre les deux années de formation M. En formation d’ingénieurs, les pourcentages de gratification situés en dessous de 436 € sont les plus bas par rapport aux autres cursus. Les pourcentages de stages gratifiés au-delà de 600 € sont les plus hauts et représentent 26 % en première année, 34 % en deuxième année et jusqu’à 60 % en dernière année. Cette configuration est une singularité du cursus d’ingénieur pour lequel on ne constate pas d’effet de seuil. En DUT, 16 % des stages sont gratifiés en première année et 67 % en seconde année. Sur l’ensemble du cursus, l’effet de seuil est patent pour la gratification puisque 74 % des gratifiés se situent entre 436 et 600 €. Les gratifications supérieures à 600 € sont, quant à elles, exceptionnelles (4 %).
Les stages se déroulent fréquemment dans la région de l’université
Deux stages sur trois (66 %) se déroulent dans la région de l’université (tableau 3). Un stage sur quatre (25 %) a lieu dans une autre région. Les stages effectués à l’étranger demeurent peu nombreux avec 9 %, ce qui représente un peu plus de 26 000 étudiants.
Plus de six stages sur dix se déroulent dans la région en licence professionnelle, en master et en seconde année de DUT. La proximité est encore plus marquée dans le cursus de licence avec 78 % en L1, 71 % en L2 et 72 % en L3. A contrario, les formations d’ingénieur ont une offre de stage structurée différemment. En effet, si l’on prend en compte la totalité du cursus, 37 % des stages ont lieu en dehors de la région et 20 % des stages se déroulent à l’étranger, dont 29 % en deuxième année.
Les échanges de stages dans le cadre d’Erasmus : des liens privilégiés avec le Royaume-Uni
En 2010-2011, l’enseignement supérieur compte près de 2,4 millions d’étudiants. Parmi eux, près de 60 % sont inscrits en université, en formation initiale ou en formation tout au long de la vie. Un peu moins d’un million, hors universités, se répartissent dans une grande variété d’établissements et de cursus.
L’enseignement supérieur étant très diversifié, donc très difficile à appréhender dans toutes ses dimensions, il n’existe pas d’information exhaustive sur la localisation des stages à l’étranger.
Toutefois, le programme d’échange européen « Erasmus stages » constitue une information sur la localisation des stages sur le continent. Il compte 40 000 étudiants sur l’ensemble de l’Europe et 6 000 étudiants inscrits dans l’ensemble de l’enseignement supérieur français. Sa surface recouvre les universités mais aussi les sections de techniciens supérieurs, les écoles d’ingénieurs autonomes, les écoles de commerce, les écoles d’art, les formations médicales ou du secteur social, etc.
À l’intérieur de ce programme européen, la Grande-Bretagne, l’Espagne et l’Allemagne constituent les principales destinations des étudiants inscrits en France (graphique 3). Quelques pays comme la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande, voire l’Italie, représentent dans une moindre mesure des destinations attractives. Certains étudiants d’origine étrangère inscrits dans l’enseignement supérieur français font un stage « Erasmus » dans leur pays d’origine (les « home coming »).
Trente-deux pays participent au programme « Erasmus stage ». Les 6 000 étudiants inscrits dans l’enseignement supérieur en France représentent 15 % du total (graphique 4).
Ce pourcentage de 15 % est la contribution la plus importante, même si l’Espagne et l’Allemagne (12 %), ainsi que la Grande-Bretagne (10 %) se situent à un niveau comparable.
Réciproquement, 4 500 étudiants sont accueillis en France pour faire leur stage dans le cadre de ce programme. Parmi eux, plus d’un sur trois suivent un cursus de l’enseignement supérieur en Grande-Bretagne (graphique 5). L’Allemagne et l’Espagne, puis plus modestement la Belgique et l’Italie constituent des pays représentatifs de cette population.
Quelques textes législatifs ou réglementaires sur les stages
22 juillet 2013 – Loi n° 2013-660 (articles 24, 25, 26, 27 et 28). Le bureau d’aide à l’insertion professionnelle a pour mission de favoriser un égal accès aux stages à tous ses étudiants. Il prépare les étudiants qui en font la demande aux entretiens préalables aux embauches. Il recense les entreprises susceptibles d’offrir aux étudiants une expérience professionnelle en lien avec les grands domaines de formation enseignés dans l’université, en vue de leur proposer la signature de conventions de stage. Les stages sont intégrés à un cursus. Un volume pédagogique minimal de formation ainsi que les modalités d’encadrement du stage par l’établissement d’origine et l’organisme d’accueil sont précisés dans la convention de stage. La gratification des stages de plus de deux mois s’impose aux entreprises ainsi qu’à toute administration publique, assemblée parlementaire, assemblée consultative, association ou tout autre organisme d’accueil.
1er août 2011 – Arrêté relatif à la licence (articles 6 et 7). En cohérence avec les objectifs de chaque formation, les enseignements sur site peuvent comporter des stages. Chaque parcours prévoit la possibilité d’un stage obligatoire ou facultatif intégré au cursus et faisant l’objet d’une évaluation concourant à la délivrance du diplôme.
28 juillet 2011 – Loi n° 2011-893 (article 27) pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels. La durée du ou des stages effectués par un même stagiaire dans une même entreprise ne peut pas excéder six mois par année d’enseignement. L’accueil successif de stagiaires, au titre de conventions de stage différentes, pour effectuer des stages dans un même poste n’est possible qu’à l’expiration d’un délai de carence égal au tiers de la durée du stage précédent.
25 août 2010 – Décret n° 2010-956. Il définit la notion de « stages intégrés à un cursus pédagogique » pour consolider l’encadrement des stages et permet parallèlement des exceptions comme les stages de réorientation.
21 juillet 2009 – Décret n° 2009-885. Le stage n’excède pas six mois, sauf exception liée au cursus. La gratification devient obligatoire lorsque la durée est supérieure à deux mois. Elle est du même montant minimum que dans le secteur privé.
10 septembre 2007 – Création du comité des stages et de la professionnalisation des cursus (comité « Sta-pro ») sous l’égide du ministère de l’enseignement supérieur avec la participation du ministère du travail. Ce comité comprend également en son sein les organisations étudiantes, les syndicats et les représentants des établissements d’enseignement supérieur. Ses travaux ont notamment permis de développer le droit à la gratification et de renforcer le lien stage-cursus.
10 août 2007 – Loi n° 2007-1199 (article 21) relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU). Un bureau d’aide à l’insertion professionnelle (BAIP) des étudiants est créé dans chaque université. Il doit diffuser aux étudiants une offre de stages et d’emplois variée en lien avec les formations proposées par l’université, et assister les étudiants dans leur recherche de stages et d’un premier emploi.
29 août 2006 - Décret n° 2006-1093. La convention tripartite, conclue entre le stagiaire, l’établissement d’enseignement et l’employeur, est obligatoire. La gratification intervient lorsque la durée du stage dépasse trois mois. Le montant minimum de la gratification s’élève à 12,5 % du plafond horaire de la Sécurité sociale (équivalent à 30 % du smic) défini en application de l’article L.241-3 du code de la Sécurité sociale. Ce montant est de 436,05 € en 2012 pour 151,67 heures de travail mensuel. Télécharger Les stages effectués dans les universités en 2011-2012.

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26 avril 2014

Joëlle Grille - Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1

Couverture de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche n°7L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche constitue un état des lieux annuel et chiffré du système français, de ses évolutions, des moyens qu'il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international.
Consulter le détail de toutes les fiches : publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/7/index.php.

Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

Bureau des études statistiques sur la formation des adultes, l'apprentissage et l'insertion des jeunes - DEPP A1
61-65 rue Dutot, 75732 Paris cedex 15
http://www.education.gouv.fr/pid25496/statistiques.html

La contribution de l'auteure

enseignement supérieur

18 la formation continue dans l'enseignement supérieur
En 2011, la formation continue dans l'enseignement supérieur a réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros en progression de 6 % par rapport à 2010. Elle représente donc 2 % du chiffre d'affaires de la formation professionnelle en France. Elle a accueilli 450 000 stagiaires, délivré 71 300 diplômes dont 48 000 diplômes nationaux. [lire la suite]

Les autres publications de l'auteure

Note d'information DEPP 13.20 - Croissance modérée de la formation continue universitaire en 2011 - - Septembre 2013
En 2011, les établissements supérieurs publics (universités, écoles, CNAM) ont réalisé un chiffre d'affaires de 411 millions d'euros au titre de la formation continue pour un public composé de 448 000 stagiaires, avec un volume de 69 millions d'heures-stagiaires plutôt stable par rapport à 2010. Pour les universités, les trois quarts des recettes sont d'origines privées, dont la moitié est abondée par les entreprises qui restent ainsi le premier contributeur de la formation continue, pour un public composé de près d'un tiers de salariés. La part des fonds publics ne représente que 22 % des ressources, dont l'essentiel provient des régions (55 %). D'autres sources de financement abondent la formation continue universitaire, comme la vente de formation à d'autres prestataires. À l'université, plus de la moitié des stagiaires inscrits préparent un diplôme, soit un diplôme national (30 %), soit un diplôme d'université (22 %), pour un total de 71 000 diplômes délivrés dont 67 % de diplômes nationaux. Par ailleurs, la durée moyenne de formation se maintient à 143 heures, mais avec une baisse de 7 heures pour les salariés envoyés au titre du plan de formation (87 heures au lieu de 94). [Consulter cette publication]
RERS - 2013 - ouvrage collectif - 2013
Publication annuelle de la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, RERS présente un vaste ensemble d'indicateurs statistiques. Déclinée en plus de 180 thématiques, cette information constitue une référence pour toute réflexion sur l'évolution du système d'enseignement et de recherche français. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°6 - février 2013 - ouvrage collectif - Février 2013
La 6e édition de l'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche, ses évolutions, les moyens mis en oeuvre et leurs résultats. Ces données sont issues des services statistiques ministériels de différents ministères (MESR, MEN, MEFI) mais aussi d'autres organismes comme le CEREQ, l'OVE, l'INSEE, l'OST ou l'OCDE. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.22 - La formation continue universitaire en 2010 est dynamique - - Décembre 2012
La formation continue universitaire dispensée dans les universités, le Cnam et les écoles d'ingénieurs publiques compte 447 000 stagiaires en 2010, soit une hausse de 2 % par rapport à l'année précédente. Elle délivre 10 % des diplômes nationaux et s'affirme comme une voie de certification à part entière de l'enseignement supérieur. L'augmentation de 10 % du nombre de contrats de professionnalisation et l'allongement de la durée moyenne des stages pratiques en entreprises sont autant de signes manifestant le renforcement de la place prise par l'entreprise dans la formation continue à l'université. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°5 - décembre 2011 - ouvrage collectif - Décembre 2011
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme.
Financement, ressources humaines, accès au supérieur, parcours, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 42 fiches de la 5e édition (2011) de cet ouvrage.
[Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.08 - La formation continue universitaire accentue son caractère professionnalisant en 2008 - - Avril 2011
En 2008, la formation continue universitaire compte plus de 466 000 stagiaires, soit une hausse de 6 points par rapport à l'année précédente. Elle délivre 9 % des diplômes nationaux et s'affirme comme une voie de certification à part entière de l'enseignement supérieur. La formation continue universitaire accentue son caractère professionnalisant avec le doublement des contrats de professionnalisation et l'allongement de la durée des stages en entreprise. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.02 - Une présence plus affirmée des entreprises dans la formation continue universitaire entre 2003 et 2008 - - Janvier 2011
Depuis 2003, l'évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs salariés formés. En effet, la moitié des fonds qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises (96 millions d'euros) alors que leurs salariés ne représentent que le tiers des stagiaires (119 000). Parmi ces stagiaires, 81 % s'inscrivent au titre du plan de formation de leur entreprise, 11 % au titre d'un congé individuel de formation et 8 % au titre d'un contrat de professionnalisation. La loi du 4 mai 2004, relative à la formation professionnelle et au dialogue social, a donné un coup d'accélérateur aux contrats en alternance, principalement dans les instituts universitaires de technologie. L'approche régionale montre qu'en dépit de stratégies universitaires très différentes, la place des entreprises s'affirme à peu près partout au sein de la formation professionnelle universitaire. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°4 - décembre 2010 - ouvrage collectif - Décembre 2010
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets, etc. sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 4e édition (2010) de cet ouvrage. [Consulter cette publication]
The state of Higher education and Research in France 4th edition - december 2010 - ouvrage collectif - December 2010
As in previous editions, this 4th edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.05 - La formation continue universitaire offre des stages de plus en plus courts en 2007. - - Mars 2010
En 2007, les établissements supérieurs publics ont réalisé un chiffre d'affaires de 323 millions d'euros au titre de la formation continue pour un public de 454 000 stagiaires, dont 77 % dans les universités. Le nombre de stagiaires sous contrat de professionnalisation a doublé depuis 2005. Les formations courtes sont en hausse (diplômes d'université), de même que les masters professionnels et les licences professionnelles. L'enseignement à distance, dont 16 % au CNAM, ne bénéficie qu'à une minorité de stagiaires. En encadrés : sources, champ et définitions. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°3 - décembre 2009 - ouvrage collectif - Décembre 2009
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche permet de faire le bilan annuel chiffré du système d'enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses évolutions, notamment sur le long terme. Financement, ressources humaines, accès au supérieur, réussite, qualification, insertion des diplômés, vie étudiante, recherche en biotechnologie ou nanotechnologie, participation au PCRD, publications, brevets... sont les thèmes abordés dans les 35 fiches de la 3e édition (2009) de cet ouvrage. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.06 - La formation continue universitaire connaît un bilan positif en 2006. - - Avril 2009
En 2006, 429 000 stagiaires ont suivi un stage de formation continue dans un établissement d'enseignement supérieur public, dont 81% dans les universités. Les employeurs sont les principaux financeurs de la formation continue auprès des universités. On constate une forte augmentation des inscrits en formations courtes ; la préférence se confirme pour les diplômes nationaux, dont plus d'un tiers sont de niveau 2 (licences professionnelles) et près d'un tiers de niveau 1 (masters professionnels). En encadrés : sources, champ et définitions ; zoom sur l'activité propre des IUT en formation continue. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°2 - décembre 2008 - ouvrage collectif - Décembre 2008
Cette deuxième édition, revue et enrichie, témoigne de l'intérêt que la France porte à ces deux leviers indispensables et indissociables de toute croissance que sont l'Enseignement supérieur et la Recherche en faisant le pari de l'intelligence, de la compétitivité et de l'innovation. Dans sa conception même, l'ouvrage se veut à la fois clair, facile d'accès, transparent. Il est par nature un outil d'information à disposition du public, des usagers. Il rend compte des politiques publiques, des choix stratégiques faits pour la Nation. Il a vocation également à être un outil de pilotage pour les décideurs. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 08.07 - L'activité de la formation continue universitaire fléchit en 2005 ; 2 - Diplômes délivrés et chiffre d'affaires. - - Janvier 2008
En 2005, 47 000 diplômes ont été délivrés par les universités, dont plus de la moitié sont des diplômes nationaux. En 2005-5006, le réseau CNAM a délivré 8000 diplômes, dont 44 % dans les domaines économie-gestion et 27 % dans ceux des sciences et techniques de l'information et de la communication. Le chiffre d'affaires des universités a diminué de 1 %, mais celui du réseau CNAM a augmenté (2 %). En encadré : sources. [Consulter cette publication]
L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en France n°1 - novembre 2007 - ouvrage collectif - Novembre 2007
Cette première édition de « L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche », loin de se résumer à un état des lieux d'un système a vocation à devenir un outil d'information à l'usage de tous les citoyens. Illustrant les choix politiques et stratégiques faits pour la Nation, il rend compte de l'efficacité des politiques publiques dans un souci de transparence : démocratisation de l'enseignement supérieur, réussite à l'université, devenir des étudiants, effort de recherche, production scientifique, situation des personnels… [Consulter cette publication]
The state of Higher education and Research in France 1st edition - november 2007 - ouvrage collectif - November 2007
The first edition of The State of Higher Education and Research presents a detailed overview, backed up by figures, of current developments within the French system, the resources it deploys and its outcomes, situating it, wherever data permit, in relation to its international counterparts.
Note d'information DEPP 07.29 - La place de la formation continue universitaire s'affirme entre 2002 et 2004. - - Juin 2007
En 2004, la formation continue dans l'enseignement supérieur accueille 427 000 stagiaires, dont une part toujours plus grande de demandeurs d'emploi et d'individuels payants. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2002 et 2004, la répartition des stagiaires par type de statut, les diplômes délivrés en formation continue, les publics de particuliers inscrits aux conférences inter-âges, les vingt premières universités qui proposent des formations à distance, la répartition des stagiaires selon les spécialités de formation en 2002-2004 dans les universités (y compris IUT et INP), la répartition des recettes de la formation continue dans les universités et INP, écoles et CNAM (en %). En graphiques : répartition des stagiaires selon le type de formations dans les universités, évolution de la durée de formation par statut des stagiaires des universités entre 2002 et 2004. En encadré : le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 05.06 - La formation continue universitaire consacre une part toujours plus importante aux formations diplômantes. - - Février 2005
En 2002, 325 000 stagiaires ont été formés en formation continue dans l'enseignement supérieur. L'enquête a porté sur l'ensemble des établissements publics sous tutelle du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Huit tableaux donnent l'évolution de la formation continue dans l'enseignement supérieur entre 2001 et 2002, l'évolution du nombre de stagiaires par université, leur répartition, en 2002, selon leur statut (salariés, demandeurs d'emploi ou particuliers), la répartition des types de diplômes délivrés ; selon les régions : le nombre de stagiaires, heures-stagiaires en formations à distance, la part des fonds régionaux dans le chiffre d'affaires de la formation continue universitaire ; les universités, grands établissements et écoles publiques d'ingénieurs sont classés selon leur chiffre d'affaires. Quatre graphiques illustrent la répartition des stagiaires selon le type de formation, la part des stagiaires inscrits dans des formations diplômantes selon les régions, l'évolution entre 2001 et 2002 de la durée moyenne des formations, la part des différentes sources de financement. En encadré : le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 00.27 - La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de l'Education nationale. 2. La production de certification en 1998. - & - Août 2000
Répartition des actions de formation continue dans les établissements publics d'enseignement supérieur selon la nature et le niveau de formation en 1998. Nombre de diplômes nationaux et types de diplômes délivrés en 1997 et 1998. Diplômes d'établissements délivrés selon le niveau pour ces deux années. Répartition des diplômes délivrés selon leur nature et le statut des établissements en 1997 et 1998. Définitions et sources. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 99.10 - La formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur en 1996. - & - Avril 1999
Origine des ressources pour la formation continue dans les établissements d'enseignement supérieur, par type d'établissement. Chiffre d'affaires de formation continue des universités et INP. Répartition des stagiaires et des heures-stagiaires selon le dispositif et suivant le type de stagiaires. Répartition des actions selon la nature de l'action et le niveau de formation. Diplômes délivrés en formation continue : par les universités et INP, selon le niveau de diplôme et la filière disciplinaire ; par les IUT selon le département d'enseignement ; par le CNAM selon le type de diplôme, son niveau et la spécialité. Encadrés : l'organisation de la formation continue universitaire ; le réseau du CNAM ; le champ de l'enquête. [Consulter cette publication]

Les publications de sa structure

Trente ans de vie économique et sociale - INSEE références - Edition 2014 - Scolarisation et origines sociales depuis les années 1980 : progrès et limites - ouvrage collectif - Janvier 2014
En 30 ans, l'espérance de scolarisation à 15 ans a fortement augmenté (de 4,7 ans à 6,5 ans) avant de se stabiliser avec la baisse des redoublements. Le niveau d'études s'est nettement élevé. À leur sortie des études, plus de quatre jeunes sur dix ont en poche un diplôme de l'enseignement supérieur, contre moins de deux sur dix il y a 30 ans. Moins de jeunes quittent l'école sans diplôme, mais cela reste fréquent, surtout dans les milieux défavorisés. La généralisation de l'accès au baccalauréat, dans tous les milieux sociaux, masque une grande hétérogénéité des types de baccalauréat obtenu, plus souvent professionnels en bas de l'échelle sociale et généraux en haut. Ces différences se retrouvent dans l'enseignement supérieur, avec des poursuites d'études courtes plus fréquentes (BTS-DUT) pour les jeunes moins favorisés. Pour les jeunes sans diplôme, l'insertion professionnelle est difficile. Fin 2010, à leur arrivée sur le marché du travail, près de la moitié d'entre eux se retrouve au chômage. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.29 - La validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les établissements d'enseignement supérieur de 2002 à 2011 - - Décembre 2013
Après une montée en charge jusqu'au milieu des années 2000, le nombre total de diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités et le Cnam se stabilise. Par contre, la part des validations totales sur l'ensemble des validations accordées (pour tout ou partie de diplôme) en VAE continue de croître. Parmi les diplômes octroyés, en tout ou partie, dans le cadre d'une VAE du supérieur, les licences ont très largement augmenté. Elles représentent aujourd'hui près de la moitié des diplômes attribués. Cette croissance a été fortement portée par le développement de la licence professionnelle. Enfin, avec la mise en place des cursus licence-master-doctorat (LMD) à partir de 2003, la structure des diplômes change : la part des « master ou plus » double entre 2002 et 2011, passant de 22 % à 45 %. [Consulter cette publication]
État de l'École n°23 - 30 indicateurs sur le système éducatif - ouvrage collectif - Octobre 2013
Cette vingt-troisième édition de L'état de l'École propose une analyse synthétique des coûts, des activités et des résultats du système éducatif français. Elle en observe les évolutions et apporte l'éclairage des comparaisons internationales. Elle contribue à actualiser le jugement que nous pouvons porter sur notre École, au moment où sa refondation s'affirme comme une priorité de l'action gouvernementale. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.22 - Le supérieur : moteur de la croissance de l'apprentissage en 2010 et 2011 - - Octobre 2013
Au 31 décembre 2011, les centres de formation d'apprentis accueillent 436 300 apprentis, soit une hausse de 2,4 % par rapport à 2010. Cette évolution est la résultante de deux mouvements contraires : la baisse des effectifs d'apprentis dans le secondaire et l'essor de ceux dans le supérieur. Ceci a pour conséquence de modifier le public concerné avec une augmentation de l'âge moyen des apprentis et une hausse de la part des filles, les formations du supérieur étant plus tournées vers les spécialités des services, plus féminisées. L'autre conséquence concerne l'Île-de-France avec une augmentation de 4,8 % des effectifs. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.31 - La validation des acquis de l'expérience dans le supérieur en 2011 - - Décembre 2012
La validation des acquis de l'expérience (VAE) permet à 4 000 personnes d'obtenir tout ou partie d'un diplôme ou titre de l'enseignement supérieur. Le master et la licence professionnelle restent les diplômes les plus recherchés. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.30 - Diplômes technologiques et professionnels : 21 000 dossiers VAE en 2011 - - Décembre 2012
L'activité de validation des acquis de l'expérience (VAE) pour les diplômes technologiques et professionnels progresse de 4 % en 2011, après le recul de 10 % enregistré entre 2009 et 2010. Cette hausse s'explique en partie par l'introduction de deux nouveaux diplômes sur le marché de la VAE. [Consulter cette publication]
Géographie de l'école n°10 - mai 2011 - ouvrage collectif - Mai 2011
Cette publication vise à repérer les disparités géographiques du système de formation français, en référence au principe d'assurer à tous les jeunes l'acquisition d'une culture générale et d'une qualification reconnue, quelle que soit leur origine sociale, culturelle ou géographique. Trente ans après les premières lois de décentralisation, elle montre la diversité des contextes éducatifs sur notre territoire national et replace les transformations en cours dans leur profondeur historique [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.03 - La validation des acquis dans les établissements de l'enseignement supérieur en 2009 - - Janvier 2011
Depuis 2007, le nombre total de diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE) par les universités et le CNAM est stable avec environ 4 100 validations annuelles. En 2009, pour plus de la moitié, les VAE octroyées sont des validations totales (2 200) ; pour le reste, ce sont des validations d'une partie d'un diplôme (1 900). Le nombre de validations délivrées en totalité sur l'ensemble de ces établissements oscille autour de 2 000 depuis 2007. En 2009, la part des diplômes complets atteint son plus haut niveau (53,1 %), depuis la mise en place du dispositif (loi 2002). Les diplômes les plus recherchés sont la licence professionnelle, en fort développement, talonnée de près par le master. Les grands champs disciplinaires regroupant le plus de demandes restent "les sciences économiques, la gestion et l'administration économique et sociale". [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 11.01 - La croissance de l'apprentissage marque une pause en 2008 et 2009 - & - Janvier 2011
Au 31 décembre 2009, 424 750 jeunes préparent un diplôme en apprentissage, soit une baisse de 0,7 % par rapport à la rentrée précédente. En 2008, la croissance des effectifs avait déjà ralenti (+ 0,6 %), après plusieurs années de développement rapide. Cette contraction résulte à la fois d'un contexte économique défavorable qui pénalise l'alternance dans son ensemble et de la réforme du baccalauréat professionnel. Seules les formations de niveau bac + 4 et plus restent très dynamiques, avec des taux de croissance supérieurs à 10 % par an. Sur ces deux années, les spécialités du bâtiment, du bois et de la mécanique perdent le plus d'apprentis, tandis que celles de l'agriculture et de l'alimentation ne sont pas affectées par ces conditions difficiles. Les évolutions régionales sont également contrastées : les effectifs baissent dans la moitié des académies. Enfin, la réussite des apprentis aux principaux examens varie de 90 % au baccalauréat professionnel à 70 % en BTS à la session 2009. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.09 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2008. - - Mai 2010
Marqué par un essor rapide en début de période (loi de janvier 2002), le nombre total de VAE délivrées stagne depuis 2006. La part que représentent les diplômes complets accordés reste croissante. Les diplômes les plus recherchés sont les masters et la licence professionnelle. Les sciences économiques, la gestion et l'AES regroupent le plus de demandes. En encadrés : source ; l'accompagnement en VAE, les dispositifs de validation des acquis, la VAP 85. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.16 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2007. - - Juin 2009
En 2007, à l'université et au CNAM, 4 200 personnes ont bénéficié de la validation des acquis de l'expérience pour obtenir tout ou partie de diplôme. Cinq tableaux donnent : la répartition de la validation des acquis de l'expérience dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2007, des bénéficiaires selon les différents diplômes obtenus, selon les disciplines, entre les différents diplômes accordés selon l'âge, les validations des acquis professionnels dans les universités et au CNAM. En graphiques : évolution de la VAE de 2002 à 2007, évolution de la répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi ou selon la catégorie socioprofessionnelle. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 09.14 - le développement de la validation des acquis de l'expérience marque une pause en 2007. - - Mai 2009
En 2007, 21 967 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'Éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés, soit 1,4 % de moins qu'en 2006. Un candidat sur trois a bénéficié d'un accompagnement dans sa démarche. Le BTS est le diplôme le plus recherché et 58,5 % des candidats l'obtiennent. Un tableau présente les 35 diplômes les plus demandés : le CAP petite enfance est choisi par 14,5 % des candidats. En encadré : définition. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.43 - Du CAP au BTS : la validation des acquis de l'expérience poursuit son développement en 2006. - - Décembre 2007
En 2006, 22 284 dossiers déposés par des candidats à l'obtention d'un diplôme de l'enseignement professionnel ou technologique de l'Éducation nationale par validation des acquis de leur expérience ont été examinés, soit près de 4 % de plus qu'en 2005. Un candidat sur trois recherche un BTS et l'obtient dans 58 % des cas ; les diplômes de niveau V (CAP-BEP) occupent une place moins importante, mais sept candidats sur dix à un CAP obtiennent leur diplôme complet. 7 tableaux donnent : le bilan de l'activité des DAVA (dispositif académique de validation des acquis) de 1995 à 2006, le nombre total de dossiers examinés par un jury de 2000 à 2006, la répartition des dossiers examinés selon les caractéristiques des candidats (sexe, âge) entre 2002 et 2006, selon le diplôme postulé ; en 2006 : répartition par diplôme des candidats selon qu'ils ont obtenu le diplôme complet ou une partie du diplôme, les diplômes les plus demandés en VAE, les résultats par académie. En graphique : candidats à la VAE ayant bénéficié d'un accompagnement de la part de l'Éducation nationale de 1995 à 2006. En encadré : définition. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.39 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2006. - - Novembre 2007
En 2006, dans l'enseignement supérieur, 1842 diplômes ont été octroyés dans leur totalité au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE). Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2006, la validation des acquis dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2006, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2006, évolution de 2002 à 2006 (répartition entre VAE et diplômes complets), répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 07.08 - La validation des acquis dans l'enseignement supérieur en 2005. - - Février 2007
En 2005, dans l'enseignement supérieur, la validation des acquis de l'expérience (VAE) confirme sa progression avec une hausse de 21,3 % de validations délivrées. Quatre tableaux mettent en lumière la validation des acquis dans les universités et au CNAM en 2005, la validation des acquis de l'expérience (VAE) dans les universités qui ont utilisé le dispositif (et le CNAM) en 2005, la répartition des bénéficiaires entre les différentes formations ou diplômes (en %) et la répartition des bénéficiaires selon l'âge. En graphiques : évolution de la validation des acquis de 1998 à 2005, répartition des bénéficiaires selon leur situation vis-à-vis de l'emploi, répartition par catégorie socioprofessionnelle des bénéficiaires ayant un emploi selon le dispositif choisi. En encadrés : source ; les dispositifs de validation des acquis. [Consulter cette publication]

Les publications de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

Note d'information DEPP 14.01 - La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l'enseignement scolaire ou supérieur en France et dans l'OCDE - - Janvier 2014
En 2010, le coût théorique du parcours d'un élève entre le début de sa scolarité obligatoire et la fin de ses études secondaires en France est dans la moyenne de l'OCDE. Il est inégalement réparti entre le primaire et le secondaire : il dépend d'une part du coût annuel par élève dans chaque cycle et d'autre part de la durée théorique de scolarité dans le primaire et le secondaire. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.28 - Le coût de l'éducation en 2012, évaluation provisoire du compte - & - Novembre 2013
En 2012, la France a consacré 139,4 milliards d'euros à son système éducatif, soit une hausse de 2 % par an en euros constants depuis 1980. Cela représente 2 130 euros par habitant et près de 7 % du PIB, taux comparable à celui de 2006. L'État reste le premier financeur de l'éducation (58 %) devant les collectivités territoriales (25 %) dont la part a augmenté de plus de 3 points depuis 2006. En 2012, la dépense moyenne pour un élève ou un étudiant est de 8 330 euros.
Elle s'élève avec le niveau, allant de 6 010 € pour un écolier à 11 740 € pour un étudiant.
Depuis 2006, alors que le coût d'un élève de l'enseignement scolaire a peu évolué, celui d'un étudiant a crû de près de 10 points.
[Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.14 - Résultats provisoires du baccalauréat 2013 - & - Juillet 2013
À résultats en baisse, porte la part d'une génération obtenant le baccalaréat à 77,5 % contre la session de juin 2012, avec 84,5 % d'admis en France métropolitaine et dans les DOM hors Mayotte, le taux de réussite global au baccalauréat présente une légère baisse (- 1,1 pt) par rapport à la session 2011. Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 1,4 et de 1 point tandis que celui du baccalauréat professionnel est en baisse de 5,6 points en 2012.
Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 89,6 % dans la voie générale, 83,4 % dans la voie technologique et 78,2 % dans la voie professionnelle. L'année 2012 a encore connu une forte progression du nombre des candidats au baccalauréat professionnel (+ 28 %) qui, malgré des 71,6 % l'an dernier. À la session de juin 2013, avec 86,8 % d'admis, le taux de réussite global au baccalauréat en France est en hausse (2,4 points) par rapport à la session 2012.
Les taux de réussite au baccalauréat général et au baccalauréat technologique augmentent respectivement de 2,4 et de 3,3 points. Les résultats du baccalauréat professionnel se stabilisent en 2013 (+ 0,5 point) après trois ans de forte baisse. Le taux de réussite au baccalauréat s'établit à 91,9 % dans la voie générale, 86,4 % dans la voie technologique et 78,6 % dans la voie professionnelle.
La réforme de la voie professionnelle étant achevée, le nombre des candidats au baccalauréat professionnel baisse de 17 % en 2013 (- 40 300) ce qui réduit la part d'une génération obtenant ce baccalauréat à 19,9 % contre 23,6 % l'an dernier. Au total, la part des bacheliers 2013 dans une génération est ramenée à 73,1 % contre 76,4 % en 2012.
[Consulter cette publication]
Note d'information SIES 13.06 - Dépenses de recherche et développement en France en 2011 - Premières estimations pour 2012 - & - Juillet 2013
En 2011, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 45,0 milliards d'euros, en hausse de 2,3 % en volume par rapport à 2010. L'augmentation de la DIRD résulte d'une forte progression des dépenses de recherche et développement (R&D) des entreprises. Ces dernières ont contribué à hauteur de 2,2 points de pourcentage à l'évolution de la DIRD, les administrations ayant contribué pour 0,1 point. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 13.02 - Résultats définitifs de la session 2012 du baccalauréat - - Mars 2013
Avec 721 800 candidats et 609 900 lauréats, le taux de réussite à la session 2012 du baccalauréat s'élève à 84,5 % : 89,6 % dans la voie générale, 83,2 % dans la voie technologique et 78,4 % dans la voie professionnelle.
Les candidats sous statut scolaire, en formation continue ou en apprentissage réussissent mieux que les autres candidats.
Les filles, ainsi que les candidats les plus jeunes, obtiennent de meilleurs résultats.
La généralisation de la réforme de la voie professionnelle a conduit à une augmentation conjoncturelle des effectifs des candidats et des lauréats de cette voie (+ 57 600 candidats et + 34 800 lauréats en un an).
Dans ce contexte, la proportion de bacheliers dans une génération augmente de 5,7 points par rapport à 2011 pour atteindre 76,7 %.
La réforme de la voie professionnelle aura eu pour effet de porter la part des bacheliers professionnels dans une génération à plus de 20 %.
[Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.29 - La dépense par élève ou étudiant en France et dans l'OCDE - , & - Décembre 2012
En France, la dépense moyenne d'éducation par élève ou étudiant est estimée à 8 250 euros en 2011. L'État assure l'essentiel de la dépense moyenne d'éducation, alors qu'au niveau de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays dans la moyenne de l'OCDE. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 12.17 - Coût de l'éducation en 2011 - Évaluation provisoire du compte - & - Novembre 2012
La dépense intérieure d'éducation est estimée à 137,4 milliards d'euros en 2011. Cela représente une baisse de 0,4 % par rapport à l'année précédente, en euros constants. L'effort consenti par la collectivité nationale pour le fonctionnement et le développement du système éducatif correspond à 6,9 % du produit intérieur brut. En 2009, selon les dernières statistiques internationales disponibles, cet effort est légèrement plus important en France que dans la moyenne des pays de l' OCDE (+ 0,1 point). [Consulter cette publication]
État de l'École n°22 - 31 indicateurs sur le système éducatif - Michel Quéré (dir.) & Paul Esquieu - Octobre 2012
Le développement des indicateurs et des études au niveau international (OCDE, Eurostat, Unesco), la définition d'objectifs communs pour les systèmes éducatifs européens, les objectifs assortis à la mise en place en France de la loi organique relative aux lois de finances (Lolf) et l'ambition réaffirmée que tout jeune parvienne à la maîtrise d'un socle commun de connaissances et de compétences au terme de sa scolarité obligatoire incitent à suivre régulièrement les efforts entrepris en matière d'éducation et de formation, les résultats obtenus ainsi que les progrès qui restent à accomplir.
Les moyens mis au service de notre système éducatif, son activité, son fonctionnement, ses résultats, internes comme externes, ont constitué, dès la première édition de 1991, la structure d'analyse des indicateurs synthétiques rassemblés dans l'état de l'École, avec le souci de fournir à la fois des évolutions dans le temps et des comparaisons dans l'espace.
Cette 22ème édition poursuit cette démarche.
[Consulter cette publication]
Note d'information SIES 12.11 - Dépenses de recherche et développement en 2010 - Premières estimations pour 2011 - & - Août 2012
En 2010, la dépense intérieure de recherche et développement (DIRD) s'établit à 43,4 milliards d'euros, en hausse de 2,8 % en volume par rapport à 2009. L'augmentation de la DIRD résulte d'une progression soutenue des dépenses de recherche et développement (R&D) des entreprises. Ces dernières ont contribué à hauteur de 1,65 point de pourcentage à l'évolution de la DIRD, les administrations ayant contribué pour 1,15 point. L'effort de recherche de la nation, mesuré en rapportant la DIRD au produit intérieur brut, s'élève à 2,24 % en 2010. Il devrait se maintenir à 2,25 % en 2011. En raison d'un léger ralentissement des dépenses des administrations, la DIRD augmenterait en 2011 à un rythme moins élevé (+ 2,2 % en volume), mais sa progression resterait supérieure à celle du PIB (+ 1,7 % en volume). En 2010, les activités de R&D dans les entreprises et dans les administrations mobilisent 393 000 personnes en équivalent temps plein. [Consulter cette publication]
Note d'information DEPP 10.21 - Coût de l'Éducation en 2009 Évaluation provisoire du compte - & - Décembre 2011

En 2009, la France a consacré 132,1 milliards d'euros à son système éducatif, soit une dépense en hausse de 1,3 % (en euros constants) après trois années de stabilité. Cela représente 6,9 % du PIB et 2 050 euros par habitant.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7 990 euros : 5 690 euros pour un écolier, 9 380 pour un élève de l'enseignement secondaire, 11 260 pour un étudiant. La part du secondaire (42,0 %) dans la dépense intérieure d'éducation (DIE) tend à décroître, celle du supérieur (19,9 %) progresse de 2,3 points depuis 2005.
L'État reste le premier financeur de l'éducation (59,2 %), devant les collectivités territoriales (24,6 %) dont la part a augmenté de 4 points depuis 2005. Avec 6,0 % de son PIB consacré à l'éducation en 2007, la France se situait 0,3 point au-dessus de la moyenne des pays de l'OCDE sur un champ restreint ne comprenant pas la formation continue (données internationales 2007 publiées en 2010).
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20 mars 2014

Personnels enseignants du supérieur : bilans et statistiques

Logo de la campagneÉtudes et regards statistiques concernant les personnels enseignants de l'enseignement supérieur.

maîtres de conférences et professeurs des universités associés
enseignants-chercheurs (2008-2009)
enseignants-chercheurs (2006-2007)
enseignants-chercheurs (2004-2005).

Recrutement et affectation des enseignants-chercheurs : Enquête qualité menée auprès des établissements d'enseignement supérieur

Session 2010
Session 2009.

Contribution aux publications du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2013)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2009)

état des lieux de l'emploi scientifique en France (rapport 2007)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 6 - février 2013)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 5 - décembre 2011)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 4 - décembre 2010)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 3 - décembre 2009)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 2 - décembre 2008)

état de l'enseignement supérieur et de la recherche en France (n° 1 - novembre 2007).

Bilan des campagnes de recrutement et d'affectation

campagne 2012 (session synchronisée)

campagne 2011 (session synchronisée)

campagne 2010 (session synchronisée)

campagne 2009 (session synchronisée)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2008

campagne 2008 (première session)

étude des candidatures aux postes d'enseignants-chercheurs - campagne 2007

campagne 2007 (première et deuxième session)

campagne 2007 (première session)

campagne 2006 (première session)

campagne 2005 (première et deuxième session)

campagne 2004 (première et deuxième session)

campagne 2003 (première et deuxième session)

campagne 2002 (première et deuxième session)

campagne 2001 (première et deuxième session).

Etude de la promotion des qualifiés aux fonctions de professeur des universités et de maître de conférences

tableaux excel campagne 2014 (premiers résultats)

tableaux excel campagne 2013  Etude campagne 2013

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005.

Etudes de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs

Etude de l'avancement de grade des enseignants-chercheurs sur la période 1993-2007

Etude de l'avancement spécifique des enseignants-chercheurs sur la période 2002-2009.

Etudes pluriannuelles relatives au recrutement des enseignants-chercheurs

Etude du recrutement des MCF dans le corps des PR entre 1993 et 2007

Etude de l'endo-recrutement chez les enseignants-chercheurs entre 1993 et 2007.

Bilans des origines des enseignants-chercheurs recrutés

campagne 2012

campagne 2011

campagne 2010

campagne 2009

campagne 2008

campagne 2007

campagne 2006

campagne 2005

campagne 2004

campagne 2003

campagne 2002.

Situation des personnels enseignants non-permanents affectés dans l'enseignement supérieur

année universitaire 2011-2012

tableaux excel 2011-2012

année universitaire 2010-2011

année universitaire 2009-2010

année universitaire 2008-2009

année universitaire 2007-2008

année universitaire 2006-2007

année universitaire 2005-2006

année universitaire 2004-2005

année universitaire 2003-2004.

Notes d'information relatives aux personnels enseignants de l'enseignement supérieur

N.I. n° 13-07 août : année universitaire 2011-2012

N.I. n° 12-08 juillet : année universitaire 2010-2011

N.I. n° 11-06 mai : année universitaire 2009-2010

N.I. n° 09-24 : année universitaire 2008-2009

N.I. n° 08-25 : année universitaire 2007-2008

N.I. n° 07-46 : année universitaire 2006-2007

N.I. n° 07-03 : année universitaire 2005-2006

N.I. n° 05-35 : année universitaire 2004-2005

N.I. n° 04-29 : année universitaire 2003-2004

N.I. n° 04-03 : année universitaire 2002-2003

N.I. n° 03-36 : année universitaire 2001-2002

N.I. n° 02-42 : année universitaire 2000-2001

N.I. n° 02-06 : année universitaire 1999-2000

N.I. n° 00-43 : année universitaire 1998-1999

N.I. n° 99-25 : année universitaire 1997-1998

N.I. n° 98-33 : année universitaire 1996-1997

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