By Elizabeth Redden. More than 50 academic organizations signed a letter registering concerns about proposed changes to the visa vetting process that would subject a certain subset of applicants to enhanced questioning. More...
Win for university staff as 457 visa eligibility relaxed
Le visa scientifique : pour faciliter l'accueil des scientifiques étrangers au sein de l'Union
Eviter la "fuite des cerveaux" et concurrencer les grandes puissances mondiales ainsi que les nouvelles nations émergentes en matière de recherche scientifique, sont autant de raisons qui ont poussé les instances bruxelloises à réfléchir à une véritable politique d'ensemble conduisant à attirer, maintenir et créditer la recherche au sein de l'Union.
Une procédure rapide et très avantageuse fondée sur un document unique appelé "convention d'accueil " délivré par un organisme public agréé à cet effet, dispense le chercheur de présenter un quelconque contrat de travail visé par les autorités du ministère du Travail. Un visa mention "scientifique" et une carte de séjour "scientifique" ont été créés. La procédure concerne aussi les doctorants étrangers bénéficiant d'un contrat de travail en France
- Les établissements publics ou privés de recherche ou d'enseignement supérieur peuvent, après avoir reçu un agrément du ministère en charge de l'Enseignement supérieur et de la recherche, délivrer une "convention d'accueil" au chercheur étranger.
La liste des organismes agréés et la procédure de demande d'agrémentation a été fixée dans l'arrêté du 24 décembre 2007, publié au J.O. du 4 janvier 2008. - Cette "convention d'accueil" porte le cachet de la préfecture et est adressée au chercheur dans son pays de résidence habituel. Le chercheur signe cette convention et fait sa demande de visa de court séjour (s'il est soumis à cette procédure) ou de long séjour au poste consulaire français territorialement compétent. Ce visa porte la mention "scientifique " (court séjour) ou "L313-8 " (long séjour au delà de 3 mois). Le consulat appose son sceau sur la convention et la remet au chercheur.
- Une fois arrivé en France pour un long séjour, le chercheur se rendra à la préfecture de son lieu de résidence en France pour y déposer une demande de carte de séjour portant la mention "scientifique". Cette carte de séjour est remise sur présentation de la convention d'accueil portant le sceau du consulat. Une carte de séjour pluriannuelle pourra lui être remise lors du renouvellement de cette carte de séjour si ses travaux de recherche sont supérieurs à 1 an.
- Les membres de la famille (conjoint et enfants) ne relèvent pas de la procédure de droit commun de regroupement familial et peuvent accompagner ou rejoindre le chercheur sans délai. La carte de séjour remise au conjoint lui permet de travailler en France (article L313-12 du CESEDA). Plus...
Conservatives will toughen visa rules for students
University chiefs demand return of post-study visas
Students, staff and principals at Scotland’s universities are calling for the reintroduction of a post-study work visa for international students, warning businesses and public services are missing out on vital talent without it, writes Stephen Naysmith for Herald Scotland. More...
457 visa changes won’t impact on wider temporary education workforce. And maybe that’s deliberate
The Turnbull Government’s decision to scrap the 457-skilled temporary worker visa puts the spotlight on temporary migrant workers in Australia. More...
Trump Directs Review of H-1B Visas
By Elizabeth Redden. The H-1B visa program is important to colleges both because many international students look to it as a route to permanent residency in the U.S. and because universities use H-1Bs to hire postdoctoral researchers and others from abroad. More...
Government listens to universities’ fears over visas
By Brendan O'Malley. The government has agreed to address concerns raised by universities over proposed changes to 457 work visas, Universities Australia said on Thursday. The Group of Eight or Go8, comprising Australia’s eight leading research-intensive universities, voiced fears that the changes would put at risk Australia’s AU$21.8 billion (US$16 billion) international education industry. More...
Visas Libres-Savoirs : flyer 2017-2020
Visas and cost could dampen Australia’s growth prospects, agents report
By Anton Crace. Despite Australia’s international student numbers improving while political tensions in the UK and the US appear to deter students, the country may not be as well placed as previously thought to increase its market share, according to education agents at the recent ICEF ANZA workshop in Cairns. More...