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Formation Continue du Supérieur
19 février 2012

Hard times: US site links broke students seek with sugar daddies to pay fees

http://www.denmanchambers.com.au/dev/wp-content/uploads/2010/07/The_Australian_logo.gifBy Vinny Vella. LAST year, hundreds of female US university students joined SeekingArrangement.com, an online dating service that aims to connect older, wealthy "sugar daddies'' with younger, attractive "sugar babies'' looking to be pampered in exchange for some affection. See also LA PROSTITUTION ÉTUDIANTE: FANTASME OU RÉALITÉ.
The boom in membership was so high among female students that the website last month released a national ranking of the top 20 colleges and universities whose students joined the website in 2011
SeekingArrangement's founder, Brandon Wade, defended the information, grounding it in firsthand experience with some of the "babies.
"With the economy doing so badly, people are taking matters into their own hands, trying to figure out the best way to pay for college without creating a huge amount of debt,'' said Wade, 41, who has a 26-year-old sugar baby of his own in stunning girlfriend Tanya Kymtsova.
Wade, an MIT grad who started the website in 2005, said that the sugar babies usually join in search of a more luxurious lifestyle. Now, the website is being invaded by more pragmatic college students - women, and some guys, looking for a benefactor to pay their student loans, provide start-up capital for their businesses or help them land jobs.
Sugar babies can chat and arrange dates for free, and college-age members (who sign up with a .edu email address) get special perks like higher placement in search results.
The men seeking these women pay a $50 monthly fee, with an option of upgrading to a "premium'' account for $2,400 a year.
Each woman's account requires some basic information (name, location, age) and one piece that's a little more personal: how much money she expects to receive per date. Prices range from less than $1000 to more than $20,000. Some simply say "open for negotiation.''
"People throw the term 'prostitution' around a lot,'' Wade said. "In reality, what we're doing is not prostitution. These girls are not obligated to sleep with everyone who pays them.''
The website skirts the law by not explicitly promising money for romance, but those familiar with SeekingArrangement say that sex is often synonymous with "sugar.''
See also LA PROSTITUTION ÉTUDIANTE: FANTASME OU RÉALITÉ.

25 septembre 2011

Autonomie et niveau de vie des étudiants

http://a1.idata.over-blog.com/249x98/2/75/37/57/Images-suite2/Portail_gouvernement.jpgAprès les écoliers, collégiens et lycéens, plus de 2,35 millions d'étudiants sont attendus en établissements d'enseignement supérieur (+1,7% par rapport à 2010). En ce début d'année 2011-2012, les efforts se concentrent sur la problématique du niveau de vie des étudiants et de leur autonomie: 10e mois de bourse versé dès septembre et expérimentation lancée dans deux académies visant à faciliter l'accès aux logements en location.
Logement étudiant: comment éviter les abus
A la veille de la rentrée universitaire, nombreux sont les étudiants qui recherchent activement un logement. Face à la pénurie de petites surfaces, il n'est pas rare de constater sur le marché une recrudescence des abus et des escroqueries. Lire l’article sur ce site.
Le coût de la rentrée étudiante suit l'inflation
Le Service statistique de l'Enseignement supérieur et l'Observatoire de la vie étudiante ont réalisé une étude approfondie des composantes de la dépense étudiante. Elle a démontré que le coût de la rentrée étudiante suivait l'inflation. Lire l’article sur ce site.
Rentrée universitaire: les boursiers bénéficieront d'un dixième mois de bourse
Avec l'année d'enseignement universitaire qui s'allonge, les étudiants les plus modestes pourront bénéficier d'un dixième mois de bourse, versé dès le mois de septembre, au lieu des neuf mois perçus précédemment. Lire l’article sur ce site.
Laurent Wauquiez annonce l'expérimentation du passeport logement étudiant
Afin de faciliter l'accès au logement pour les étudiants, Laurent Wauquiez a présenté une nouvelle mesure qui sera expérimentée dès cette rentrée universitaire dans les académies de Lyon et Lille: le passeport logement étudiant. Lire l’article sur ce site.
L'université de Poitiers devient propriétaire de ses murs
L'université de Poitiers est la troisième, après Toulouse Capitole 1 et Clermont 1, à accéder à la pleine propriété de ses biens immobiliers qui appartenaient jusqu'à présent à l'Etat. Etape ultime de l'autonomie, ce transfert permet aux établissements qui le souhaitent de construire une véritable stratégie immobilière. Lire l’article sur ce site.
http://a1.idata.over-blog.com/249x98/2/75/37/57/Images-suite2/Portail_gouvernement.jpg Po szkole, uczniowie szkół średnich, ponad 2.350.000 uczniowie powinni w szkolnictwie wyższym (+1,7% w porównaniu do 2010). Na początku roku 2011-2012, koncentruje się na kwestii poziomu życia uczniów i ich autonomii: 10 cena akcji miesięcy rzucić we wrześniu i uruchomiony dwóch eksperymentalnych szkół mające na celu ułatwienie dostępu do mieszkań lokalizacji. Więcej...
22 septembre 2011

Comment vivent les étudiants en France

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Jean-Claude Lewandowski. Sont-ils les premières victimes de la crise ? Ou s'agit-il d'une population plutôt épargnée par les problèmes de fin de mois ? Sur les conditions de vie des étudiants, le diagnostic varie, selon les interlocuteurs, entre une vision très sombre, voire misérabiliste, et un relatif optimisme. Avec tous les stades intermédiaires.
Cette difficulté à appréhender le phénomène tient à plusieurs raisons. D'abord, les étudiants en tant que tels forment une catégorie sociale peu étudiée, que ce soit par l'Insee ou par le Cereq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications). Résultat: les données statistiques manquent à leur sujet. Mais surtout, il s'agit d'un public très hétérogène. «  Les profils sociaux sont très divers selon les académies ou les institutions, note Camille Galap, président de l'université du Havre et qui dirige la commission vie étudiante à la CPU (Conférence des présidents d'université). De plus, avec les mêmes ressources, on vit plus ou moins bien ici ou là. Un boursier à Paris n'a pas les mêmes contraintes que son collègue au même échelon de bourse à Amiens ou au Havre. »
Disparités régionales

Autre facteur de disparités, l'action des collectivités locales. Certaines régions accordent ainsi des aides significatives à la mobilité internationale. A Compiègne ou en région Paca, les étudiants bénéficient du transport gratuit. La région Centre, de son côté, prête un ordinateur à tous les inscrits en master...
Enfin, une origine modeste n'est pas forcément synonyme de difficultés sociales. «  Nous avons une majorité d'étudiants de milieux peu favorisés. Beaucoup ont une bourse et habitent chez leurs parents. Ils n'ont pas de problème majeur, relève Evelyne Mandroux, assistante sociale au CROUS de Cergy-Pontoise. Alors que d'autres, qui ont des parents aisés, se retrouvent parfois en grande détresse par suite d'une rupture avec leur famille. »
« Les boursiers à l'échelon 6 [le plus élevé, NDLR] peuvent faire face à tous leurs frais et sont dans une situation plutôt satisfaisante, confirme Clotilde Marseault, chargée de mission à la CPU. Alors que les boursiers à l'échelon zéro ont besoin d'être aidés par leurs parents, dont les moyens sont pourtant limités. C'est souvent dans les catégories intermédiaires que les choses se compliquent. » Même pour les apprentis, réputés à l'aise puisque rémunérés, la situation devient tendue s'ils doivent payer deux loyers, dans le cas où leur entreprise d'accueil est éloignée de leur domicile.
Trois sur quatre travaillent

Quelques tendances fortes apparaissent cependant. Premier constat, une proportion très élevée d'étudiants (les trois quarts, selon l'Observatoire de la vie étudiante) exercent au moins un petit travail rémunéré. Là encore, les situations sont très diverses: cours particuliers ou baby-sitting, tutorat universitaire, travail nocturne à la caisse d'un supermarché, job d'été... Certains occupent même un poste à temps plein pour financer leur cursus.
A l'université de Cergy-Pontoise, par exemple, 12% des étudiants sont salariés au moins à mi-temps. «  Au détriment de la réussite des études », s'indigne l'Unef. Sans doute faut-il nuancer: l'expérience de la vie professionnelle est, aux yeux de nombreux recruteurs, un plus dans un CV et une bonne préparation à l'insertion. Encore faut-il ne pas en abuser...
Deuxième tendance forte: le poids croissant du logement. Il s'agit du premier poste de dépense pour un étudiant -souvent 40 ou 50 % du budget. D'autant que les loyers ont flambé ces dernières années: en région parisienne, une chambre dans le privé coûte couramment 500 ou 600 euros par mois. Et les bourses n'ont pas suivi l'envolée. «  De plus, pour signer un bail, il faut disposer d'un minimum de ressources, avoir un garant... », remarque Hélène Thébault, directrice de la vie étudiante à Cergy-Pontoise. Ajouter encore le poste transports, qui peut atteindre 80 euros par mois, notamment en Ile-de-France.
Recul du pouvoir d'achat

La crise n'a rien arrangé. L'emploi se dégrade, le pouvoir d'achat des familles stagne: tout cela finit par rejaillir sur les étudiants. L'Unef estime que, depuis 2006, leurs dépenses obligatoires ont crû de 33%, alors que les aides sociales n'ont progressé que de 13%. Selon elle, le coût de la vie étudiante a augmenté de 4,1% cette année - contre 2,1% pour l'inflation. La Fage, elle, évalue à 2.657 euros le coût de la rentrée pour un étudiant francilien, et 2.266 euros pour un étudiant en province.
Tous les étudiants ne galèrent pas, certes. Mais beaucoup se retrouvent face à une situation tendue. Et quelques-uns affrontent de graves difficultés. Même le prix d'un ticket de resto U (3,05 euros cette année) peut poser problème. A Nantes ou à Tours, des « épiceries solidaires » dédiées aux étudiants ont même vu le jour...
Autre aspect souvent oublié, la santé. Les étudiants ont tendance à repousser (ou à négliger) les soins -notamment dentaires. Surtout, leur situation psychologique se dégrade, comme le montre une enquête récente de la mutuelle LMDE, qui réclame la création d'un plan santé des étudiants. «  Beaucoup de jeunes étudiants connaissent des difficultés d'adaptation à leur nouvelle vie. L'éloignement de la famille, un rythme de travail différent, la liberté, tout cela peut les déstabiliser », note Martine Rosenbacher, directrice de la médecine préventive à l'université de Nancy.
Les pouvoirs publics semblent avoir pris conscience de ces difficultés. Le dixième mois de bourse intégral, qui vient d'être accordé par le gouvernement, constitue une bouffée d'oxygène pour nombre d'étudiants. Le ministre de l'Enseignement supérieur, Laurent Wauquiez, vient aussi d'annoncer le lancement d'un « passeport logement étudiant », avec un fonds national qui financera les dépôts de garantie et pourra se porter caution. Un Fonds national d'aide d'urgence (FNAU) a également été créé il y a deux ans. Les collectivités locales se mobilisent aussi. Midi-Pyrénées annonce ainsi un « pass mutuelle » pour les étudiants. L'agglomération de Cergy leur propose un « pass culture »: moyennant 5 euros d'abonnement, ils ont accès à tous les spectacles pour 5 euros au maximum.
Reste un problème de fond : à vingt ou vingt-deux ans, beaucoup d'étudiants souhaiteraient ne plus dépendre financièrement de leurs parents. Ici ressurgit la vieille revendication de l'Unef d'une « allocation d'autonomie » pour tous les étudiants. Une revendication qui, dans le contexte actuel, a peu de chances d'être satisfaite...
Etre étudiant en 2011 : les documents

Les étudiants en tant que tels forment une catégorie sociale peu étudiée, que ce soit par l'Insee ou par le Cereq. Voici deux des rares études disponibles sur leurs conditions de vie: L'étude 2011 de l'Observatoire de la vie étudiante et La dernière édition de l'enquête nationale sur la santé des étudiants menée par le groupe mutualiste LMDE.
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.png Jean-Claude Lewandowski. Kas nad esimesed ohvrid kriisi? Või on see pigem rahvastiku säästnud probleeme kuu lõpus? On õpilaste elu, diagnoosimine sõltub isiku vahel väga tume nägemine või pessimistlik, ning suhteline optimism. Kõik vaheetappides.
See raske mõista nähtust mitmel põhjusel.
Esiteks, õpilased kui sellisel kujul sotsiaalsesse gruppi vähe uuritud, kas Insee või Cereq (Centre for Study ja Teadusministeeriumi kvalifikatsioon). Üliõpilased kui selline vorm sotsiaalsesse gruppi vähe uuritud, kas Insee või Cereq. Siin on kaks vähesed uuringud kättesaadavad oma elu: 2011 uuring Observatory üliõpilaselu ning viimases numbris riiklikus uuringus üliõpilane haigekassa grupp eesotsas LMDE. Velle...
30 août 2011

Logement étudiant: comment le gouvernement renvoie les étudiants vers les banques tout en s’attribuant les succès des Régions

http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpgDans une interview au journal Le Monde, le ministre de l’Enseignement supérieur annonce l’expérimentation, dès cette rentrée, d’un « Passeport logement étudiant » adossé à un fonds qui permettra de se porter caution solidaire des étudiants en lieu et place des familles. Ces annonces soulèvent toutefois bien des questions.
Emmanuelle COSSE, Vice présidente de la Région Ile de France en charge du logement et Présidente de la Commission logement de l’Association des Régions de France précise : « Le Locapass commençait à atteindre un niveau de notoriété intéressant et permettait à un nombre toujours plus important d’étudiants de bénéficier d’une garantie. Le supprimer est en soi une erreur. Par ailleurs, le financement du dépôt de garantie (1 mois de loyer) est aujourd’hui assuré gratuitement par le Locapass via un prêt à taux zéro or Laurent Wauquiez nous dit que les étudiants seront orientés vers les banques partenaires sans évoquer de taux. Non content de ponctionner 3,25 milliards d’euros sur trois ans sur le 1% logement, le gouvernement cherche ni plus ni moins à transférer vers les banques un service gratuit assuré par Action Logement. ».
Le ministre de l’Enseignement supérieur déclare par ailleurs qu’après avoir été testé en Région Aquitaine, le dispositif sera expérimenté sur les villes de Lyon et de Lille dès cette année.

« Un système de garantie locative à destination des étudiants est en effet en vigueur en région Aquitaine depuis 2006. Il s’agit du dispositif CLE mis en place volontairement par la Région en partenariat avec la Caisse des Dépôts qui a abondé le fonds dans le cadre du fonds de cohésion sociale. Il est heureux de voir que Monsieur Wauquiez sait parfois reconnaître la qualité des politiques mise en œuvre par les Régions. Mais il serait préférable qu’il ne s’en arroge pas la paternité. » a pour sa part déclaré Alain ROUSSET, Président de l’Association des Régions de France et Président de la Région Aquitaine.
Avec ces annonces, le gouvernement cherche à répondre aux interpellations des syndicats étudiants à propos de la hausse considérable des loyers constatée dans plusieurs villes. L’ARF rappelle que si la garantie locative facilite l’accès des jeunes au parc privé, seule la création de nouveaux logements adaptés aux étudiants est à même de contenir la tendance inflationniste du marché.
Les Régions sont devenues des acteurs incontournables dans le logement des jeunes. Elles se sont plusieurs fois prononcées en faveur d’une expérimentation du transfert de la compétence « logement étudiant » aux Régions.
http://www.francequebec400.fr/medias/editor/image/arf.jpg Ühes intervjuus Le Monde, kõrghariduse minister kuulutab eksperiment, alustades sel sügisel, koos "Passport üliõpilaste eluaseme" toetas fond, mis garanteerima üliõpilastele asemel peredele. Need reklaamid, kuid tekitavad palju küsimusi. Emmanuelle POD asepresident Ile de Prantsusmaa eest eluaseme ja president Housing Komisjoni Association of piirkonnad Prantsusmaa ütles: "Locapass hakkaksid jõudma tasemele tuntuse huvitav ja võimaldas üha rohkem Õpilased saavad garantii. Delete on iseenesest viga. Lisaks rahastamise tagatisraha (ühe kuu üür) on nüüd tasuta pakkumist Locapass kaudu intressivaba laenu või Laurent Wauquiez ütles, et õpilased on nimetatud partner pankadele ilma viitemäär. Mitte sisu punktsioon 3250000000 € kolme aasta jooksul 1% eluaseme valitsus püüab midagi vähemat kui kanda pangad tasuta teenus Action Housing." Veel...
18 juillet 2011

Sécurité sociale des étudiants

http://astronomie-auvergne.fr/images/Logo-MESR.jpgChaque étudiant relève du régime étudiant de la  Sécurité sociale. Selon sa situation (âge, activité salariée, etc.), les modalités de sa prise en charge varient.
Règles générales

Les étudiants âgés de moins de 20 ans toute l'année universitaire, du 1er octobre au 30 septembre de l'année suivante, bénéficient de la sécurité sociale de leurs parents salariés. Mais pour le service des prestations, ils sont rattachés au régime étudiant et leurs droits sont gérés par la mutuelle étudiante qu'ils ont choisie lors de leur inscription. Au titre de l'année universitaire 2010-2011, c'est la situation de tout étudiant né après le 30 septembre 1991.
En revanche, de 20 à 28 ans, l'affiliation à la sécurité sociale étudiante est obligatoire, sauf pour les étudiants suivants :
- assuré à titre personnel en qualité de salarié permanent ;

- ayant droit d'un conjoint (non étudiant) dont les droits sont constamment ouverts ;
- dont l'un des parents est salarié d'une entreprise appartenant à un régime spécial de la sécurité sociale.
Conditions d'accès
Âge
L'âge limite de 28 ans peut être reculé dans certains cas : service national, longue maladie ou maternité, études spéciales (report d'un à quatre ans pour les étudiants en études doctorales).
Nationalité
L'arrêté du 28 juin 1999 modifiant l'arrêté du 28 juillet 1989 fixant les conditions d'application du régime de sécurité sociale des étudiants a supprimé la condition pour les étrangers d'être ressortissant d'un Etat ayant passé, en matière de sécurité sociale, une convention internationale avec la France ou d'être reconnu réfugié ou apatride pour accéder au régime applicable aux étudiants.
Établissements
Être inscrit dans un établissement d'enseignement supérieur public ou privé ayant fait l'objet d'un arrêté interministériel d'agrément.
Cotisation
Pour bénéficier de ce régime spécifique de protection sociale, l'étudiant verse une cotisation annuelle forfaitaire et indivisible de 203 euros pour l'année 2011-2012. L'étudiant qui aura 20 ans entre le 1er octobre et le 30 septembre de l'année suivante est tenu de cotiser à l'occasion des procédures d'inscription.
Les étudiants boursiers, sous réserve de n'avoir pas épuisé leurs droits à bourse au titre de leur cycle ou cursus, sont dispensés du versement à titre provisionnel de la cotisation d'assurance maladie lorsqu'ils justifient, soit d'un avis d'attribution conditionnel favorable de bourse, soit, pour un étudiant en instance de bourse qui n'aurait pas encore reçu un avis conditionnel, de l'avis définitif de l'année précédente.
Maintien du droit
Les étudiants bénéficient, à compter de la date à laquelle les conditions ci-dessus ne sont plus remplies, notamment après dépassement de l'âge limite de 28 ans ou à la sortie d'un cursus d'études avant d'occuper un premier emploi, du maintien de leur droit aux prestations de l'assurance maladie, maternité pendant une période maximale de quatre ans. La demande de maintien des droits doit être formulée par l'étudiant auprès de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) dont relève son domicile.
http://astronomie-auvergne.fr/images/Logo-MESR.jpg Iga õpilane õpib kava Social Security. Vastavalt oma olukorrale (vanus, ettevõtjad, jne.) Poolest juhtimise erinevad.
Üldeeskirjad

Õpilased alla 20aastased kogu õppeaasta vältel, alates 1. oktoober - 30. september järgmisel aastal, saavad sotsiaalkindlustuse oma töötavatele vanematele.
Aga hüvitiste andmine, see on seotud üliõpilase ja nende õigusi hallatakse vastastikusel üliõpilane nad valisid registreerimise käigus. Vastavalt 2010-2011 õppeaastal olukorda kõik õpilased on sündinud pärast 30. september 1991.
Seevastu 20-28 aastat, osavõtt õpilane sotsiaalkindlustus kohustuslik, välja arvatud õpilastele on järgmised:

- Kindlustatud töötajad nagu alalistele töötajatele;

- Õigus saada abikaasa (non üliõpilane), kelle õigusi on pidevalt avatud;

- Üks, kelle vanemad on tööandja kuuluva äriühingu erikord sotsiaalkindlustus
. Veel...
5 mai 2011

Enquête « Conditions de vie des étudiants »

http://www.fage.org/images_site/Image/Logos_/Logos_des_institutions_/logo-1.gifLes résultats détaillés de l’enquête « Conditions de vie » 2010 sont dorénavant accessibles depuis le site internet de l’OVE. A partir de cinq entrées principales, vous avez la possibilité de naviguer aisément entre les différents thèmes abordés par le questionnaire:
POPULATION ÉTUDIANTE

Cette première rubrique donne une description des principales caractéristiques socio-démographiques et académiques des étudiants.
ÉTUDES

Cette rubrique aborde les questions du choix des études, de l'emploi du temps, du lieu de travail, des conditions d'études, ainsi que les questions des stages et des séjours à l'étranger.
VIE MATÉRIELLE

Cette rubrique fait le point sur les activités rémunérées des étudiants, leurs dépenses, leurs ressources, leurs conditions de logement, leurs modes de transports.
SANTE ET RAPPORT AU CORPS

Cette rubrique traite à la fois des soins et du handicap, mais également du sport et de l’alimentation, ainsi que des comportements à risque (tabac et alcool).
PRATIQUES CULTURELLES

Cette rubrique s’intéresse aux différentes pratiques culturelles des étudiants, à savoir les pratiques liées à l’utilisation d’Internet, de la télévision, la lecture ainsi que les sorties et les activités associatives.
Télécharger la brochure synthétique Repères 2011. Télécharger le communiqué de presse présentant les principaux résultats commentés. Près de 150 tableaux et graphiques sont consultables en ligne.
Extraits
Part des enfants de cadres et professions intellectuelles supérieures

Les enfants de cadres et professions intellectuelles supérieures sont surreprésentés dans l’enseignement supérieur par rapport à leur proportion dans la population active (Insee, Enquête Emploi). Ceci est particulièrement vrai en écoles de management, en Santé à l’université, en CPGE, en écoles supérieures artistiques et culturelles et en écoles d’ingénieurs où environ la moitié des inscrits est issue des catégories sociales les plus favorisées. À l’inverse, les enfants d’ouvriers et d’employés sont sous-représentés dans l’ensemble de l’enseignement supérieur et dans tous les types d’études, à l’exception notable des STS et des IFSI où ils représentent respectivement 44% et 42% des effectifs.
Durée du travail studieux
Les durées totales de travail varient presque du simple au double selon les filières : de 32 heures par semaine pour les étudiants d’université (hors Santé, IUT et IUFM) à 56 heures pour ceux de CPGE. Ce sont les étudiants en Santé qui ont le temps de travail personnel le plus élevé avec 32 heures hebdomadaires et ceux de STS le plus faible avec 10 heures. La majorité des étudiants assiste régulièrement aux cours, l’absentéisme volontaire étant particulièrement faible en CPGE et STS où respectivement 93% et 83% des élèves déclarent ne manquer les cours qu’exceptionnellement ou jamais.
Part d’étudiants qui pensent trouver facilement du travail avec leur formation (inscrits en Master)

Plus des deux tiers des étudiants inscrits en Master pensent que leur formation leur permettra de trouver facilement du travail. L’estimation des débouchés offerts, et donc des chances de trouver du travail, varie selon les filières. Ainsi, dans les filières sélectives (Santé, écoles de management, écoles d’ingénieurs) la part d’étudiants optimistes quant à leur insertion professionnelle est proche de 100%. À l’inverse, les réponses apportées par les étudiants inscrits en Lettres-SHS indiquent une certaine inquiétude vis-à-vis de l’avenir.
Les stages (inscrits en Master)

La réalisation d’un stage durant les études supérieures se généralise puisque 70% des étudiants de Master déclarent au moins une période de stage pendant l’année universitaire 2009-2010. Ils sont 86% à indiquer qu’il s’agit d’un stage obligatoire. La proportion de stagiaires varie cependant selon le caractère professionnalisant de la formation. C’est en Lettres-SHS que les stages sont les moins fréquents, même s’ils concernent désormais la moitié des étudiants de Master.
Les séjours à l’étranger (étudiants français inscrits en Master)

35% des étudiants de nationalité française inscrits en Master déclarent avoir effectué au moins un séjour à l’étranger en relation avec leurs études depuis leur première inscription dans l’enseignement supérieur. Interrogés sur les motifs de leur(s) séjour(s) à l’étranger, 52% déclarent être partis dans le cadre d’une poursuite d’études, 43% pour exercer une activité professionnelle (stages inclus) et 32% pour un autre motif (cours de langue, école d’été, voyage d’étude…). C’est en écoles de management, dans les établissements d’enseignement supérieur artistique et culturel (particulièrement en architecture) et en écoles d’ingénieurs que ces séjours sont les plus fréquents. En université, c’est en Lettres-SHS que les étudiants sont les plus nombreux à avoir connu une période de mobilité.
http://www.fage.org/images_site/Image/Logos_/Logos_des_institutions_/logo-1.gif Detailed results of the survey "Living" 2010 are now available from the website of SEW. From the five main entrances, you can easily navigate between different topics of the questionnaire. Download the brochure Synthetic Benchmarks 2011. Download press release presenting the main findings discussed. Nearly 150 tables and charts are available online. 35% of French students enrolled in Master report having made at least one trip abroad in connection with their studies since their initial enrollment in higher education. When asked about their reasons(s) stay(s) abroad, 52% reported being left in a further study, 43% for an occupation (internships included) and 32% for a other reason (language courses, summer school, study trip ...). It is in management schools, in institutions of higher education arts and culture (especially in architecture) and engineering schools that these visits are most frequent. In university, it is in literature-that SHS students are more likely to have experienced a period of mobility. More...
22 avril 2011

La prostitution étudiante : Fantasme ou réalité ?

http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i3334-1.gifL'Assemblée Nationale publie un rapport sur la Prostitution en France. Voici quelques passages sur la prostitution étudiante.
La prostitution étudiante fait aujourd’hui l’objet d’une attention particulière de la part des medias, car ce thème porteur mêle jeunesse, sexualité et argent. Il est cependant difficile de démêler le faux du vrai, le fantasme de la réalité, dans ce domaine.
Les chiffres font en effet, là encore, largement défaut. Ainsi, le chiffre de 40000 personnes prostituées étudiantes, avancé par le syndicat Sud-Étudiant, il y a quelques années, était, au dire même de ses représentants, non fondé. Il a d’ailleurs été démenti très rapidement par l’organisation elle-même, dont les membres avaient extrapolé ce chiffre à partir des données relatives à la précarité étudiante fournies par l’Observatoire de la vie étudiante. Les acteurs de la vie étudiante que la mission a auditionnés sont unanimes: la prostitution étudiante existe, dans des proportions toutefois non identifiées.
Plusieurs syndicats, notamment Sud-Etudiant et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), disent avoir reçu des témoignages de plusieurs étudiants se livrant à la prostitution. À l’inverse, l’Union nationale interuniversitaire (Uni) et l’Association de promotion et de défense des étudiants (Pde) ne font état d’aucun cas avéré. De la même façon, l’Union nationale des étudiants de France (Unef) n’a pas souhaité participer à la table ronde organisée par la mission d’information, afin de ne pas accroître la portée médiatique d’un phénomène que ce syndicat juge marginal.
En ce qui concerne les services universitaires de médecine préventive, seuls 3 services sur 59 font état de cas avérés. Ainsi, le service universitaire de médecine préventive de l’université Paris V – Descartes, qui draine près de 4 000 étudiants par an, n’a connu que deux cas avérés de prostitution étudiante ces dernières années. Mme Laure Boisjoly (54), psychologue au service universitaire de médecine préventive de l’université Paris VII – Diderot, n’a eu connaissance de cas de prostitution étudiante que de façon indirecte, via un collègue médecin qui officie également dans un centre de dépistage anonyme et gratuit, où il a été en contact avec des étudiants prostitués.
La mission d’information a également tenu à interroger les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (Crous) de France. M. François Bonacorsi, directeur du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous), a indiqué à la mission d’information l’existence d’environ dix-sept cas de prostitution ou de conduite à risques au cours de ces trois dernières années, à Montpellier, Toulouse, Lille et Dijon. Le Crous de Lyon, entendu au cours d’un déplacement dans le Rhône, fait quant à lui état d’une dizaine de cas par an, sur 7 000 étudiants.
Toutefois, la faiblesse des chiffres avancés par ces organismes ne saurait être comprise comme le reflet d’une réalité finalement très marginale. En effet, il est difficilement concevable que les étudiants se confient spontanément aux personnels de santé et aux assistants sociaux sur ce sujet, qui relève de leur vie privée et qui est vraisemblablement porteur de tabous importants. Il est d’ailleurs révélateur que seul un médecin du service universitaire de médecine préventive de l’université Paris Diderot, officiant alors dans un centre de dépistage anonyme, ait eu connaissance de cas avérés, l’anonymat libérant probablement la parole.
Face à la pénurie de chiffres globaux, les enquêtes ponctuelles menées par différents acteurs (associations, sociologues, services universitaires de médecine préventive…) s’avèrent éclairantes. Par exemple, l’Amicale du Nid de Montpellier a mené une enquête en lien avec l’Université Paul Valéry – Montpellier III, qui fait apparaître que sur 651 étudiants interrogés, 13 ont déjà accepté de l’argent ou autre chose en contrepartie d’un acte sexuel (soit 2% des répondants). Ce chiffre, rapporté à la population étudiante totale, soit près de 2,3 millions de personnes d’après l’INSEE, pourrait faire apparaître une pratique prostitutionnelle étudiante relativement importante en termes absolus, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’étudiants.
De même, Mme Éva Clouet, dans le cadre d’un mémoire de sociologie publié en 2008, a mené une étude auprès des étudiants de médecine et de psychologie de deuxième année de l’université de Nantes. Il apparaît que sur 138 personnes ayant répondu au questionnaire, 4 étudiants affirment connaître, dans leur entourage, un ou une étudiante qui se prostitue. Ce chiffre doit toutefois être interprété avec précaution. En effet, le champ de l’étude étant restreint, il n’est pas impossible que ces quatre étudiants évoquent la ou les mêmes personnes prostituées.
Enfin, le service universitaire de médecine préventive de Poitiers a pu recueillir des données grâce à un questionnaire distribué à l’occasion d’une action de sensibilisation. Il ressort de ce questionnaire que près de 3% des 2622 étudiants interrogés ont déjà été confrontés, eux-mêmes ou leur entourage proche, à une situation de prostitution étudiante.
Là encore, la réalité est difficile à cerner. La prostitution étudiante existe bel et bien. Il est en outre possible que ce soit dans des proportions non négligeables en valeur absolue. Reste toutefois à en mesurer l’importance.
La prostitution des étudiants: concilier études et conditions de vie décentes

Le manque de moyens financiers est la principale motivation de la prostitution des étudiants. C’est ce que montre Mme Éva Clouet à travers le témoignage de Sandrine, étudiante en situation de prostitution. Cette jeune femme a choisi d’étudier l’architecture dans une grande école. Ses parents n’ayant que peu de moyens financiers du fait d’une situation de chômage prolongée, elle ne souhaite pas dépendre financièrement d’eux, et ce d’autant plus qu’un autre membre de sa famille les sollicite déjà sur le plan financier. Les bourses dont elles bénéficient ne lui permettent pas de subvenir à ses besoins. Bénéficiaire d’une bourse d’échelon 1, elle touchait 1200 euros par an seulement. Ainsi, pour assumer ses choix en matière d’éducation – elle aurait pu se contenter d’aller dans une université près de la ville de ses parents – elle se prostitue pour ne pas peser financièrement sur ses parents. C’est également ce que montre le témoignage anonyme de ce jeune homme: « Aucun étudiant sain d’esprit ne se prostitue par plaisir; quand on le fait, c’est qu’on est financièrement au pied du mur. On veut de l’argent pour payer le loyer et poursuivre ses études. »
Un second facteur intervient cependant pour motiver l’entrée dans la prostitution des étudiants, comme les syndicats étudiants représentés devant la mission en ont fait part à la mission: le temps. Les étudiants financièrement autonomes, qui ne dépendent pas ou peu de leurs parents, doivent étudier tout en gagnant de quoi vivre décemment. Or, les étudiants qui s’y adonnent perçoivent l’activité prostitutionnelle, notamment l’escorting, comme un moyen de consacrer plus de temps à leurs études, ce qu’un emploi étudiant classique, mal rémunéré, ne leur permettrait pas, pensent-ils. La réussite universitaire, qui demeure l’objectif premier, les conduit donc à préférer l’activité de prostitution, qu’ils considèrent moins chronophage, à un emploi de garde d’enfant ou de caissier. Le sentiment d’une flexibilité accrue et d’une plus grande compatibilité de cette activité avec un emploi du temps étudiant est un des éléments du choix fait par certains.
Ainsi, comme le résume Mme Éva Clouet, « la prostitution permet aux étudiantes escortes qui ressemblent à Sandrine de poursuivre leurs études dans des conditions matérielles favorables – les besoins quotidiens tels que le loyer ou la nourriture sont assurés – tout en leur laissant suffisamment de temps pour travailler leurs cours et espérer réussir leur année universitaire. »
http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i3334-1.gif The National Assembly publishes a report on prostitution in France. Here are some passages about student prostitution.
Student prostitution is now the subject of special attention from the media because this central theme mixes youth, sexuality and money. It is difficult to disentangle the false from the true, the fantasy of reality in this area. Thus, the figure of 40,000 prostitutes students, advanced by the union South Student, a few years ago, was, even according to its representatives, unfounded. More...
8 avril 2011

Enquête sur les conditions de vie des étudiants

http://www.enquetes-agam.org/enquetes/upload/templates/limespired_AGAM/bandeau-haut.jpgLe rectorat et les universités d'Aix-Marseille organisent en collaboration avec le CROUS et l'Agence d'urbanisme de l'agglomération marseillaise une enquête sur les conditions de vie des étudiants.
Cette enquête se déroule du 21 mars au 21 avril 2011
et vise à:
• Améliorer la connaissance locale des conditions de vie des étudiants, et notamment leurs usages en matière déplacements et de transports.
• Apprécier les points forts et les points faibles de l'offre actuelle services à la vie étudiante, selon les campus de rattachement et les lieux de résidence.
• Formuler des pistes d'amélioration des conditions de vie étudiante.
Participez à l'enquête !

Le questionnaire concerne les étudiants inscrits dans les villes d'Aix-en-Provence et de Marseille. Une tribune libre est proposée à la fin du questionnaire afin de permettre de formuler leurs suggestions et réactions.
Pour remplir le questionnaire, il suffit de cliquer ici : Enquête en ligne sur les conditions de vie des étudiants.
http://www.enquetes-agam.org/enquetes/upload/templates/limespired_AGAM/bandeau-haut.jpg Il-rettur u l-università ta 'Aix-Marsilja jorganizzaw kooperazzjoni ma' l-Studentenwerk u l-Ippjanar Aġenzija tal-belt ta 'Marsilja tinvestiga l-ħajjiet ta' studenti. Biex itemmu l-kwestjonarju, sempliċement ikklikkja hawn: Online stħarriġ fuq il-ħajja ta 'studenti. More...
24 octobre 2010

L’Étudiant et la Cité

Revenir à l'accueil EducPros.fr, un site de l'EtudiantPar Virginie Bertereau. Comment attirer les étudiants: les villes universitaires s’interrogent. Jeudi 21 octobre 2010, à Reims, l’AVUF (Association des villes universitaires de France) consacrait son colloque national au thème « L’Étudiant et la Cité ».
Où vont les étudiants et pourquoi ? Sans surprise, les travaux universitaires présentés en ouverture du colloque de l'AVUF confirment qu'ils sont happés par les grands pôles régionaux. En revanche, les statistiques révèlent que Paris n’a pas le pouvoir d’attraction qu’on pouvait lui prêter : moins de 20 % des jeunes d’autres régions viennent y étudier. Chantal Brutel, responsable de la division statistique régionale, locale et urbaine du département action régionale de l’INSEE, a précisé ces résultats. Selon son étude (« Jeunes et territoires. L’attractivité des villes étudiantes et des pôles d’activité », INSEE, janvier 2010), il apparaît que « trente villes regroupent les trois quarts des étudiants de 18 à 24 ans, conséquence de la forte concentration de l’offre de formations supérieures ». Parmi les villes phares : Poitiers, Montpellier, Nancy, Rennes, Dijon… Toulouse apparaît moins attractive pour les étudiants que pour la population globale. Attirer les étudiants, c’est bien. Garder les diplômés en leur offrant des emplois adaptés à leurs qualifications, c’est mieux. L’étude de l’INSEE montre que « ces trente même villes ne concentrent plus que la moitié des jeunes adultes de 25 à 29 ans ». Et soulève notamment un problème d’aménagement du territoire.
Le logement, frein à la mobilité
Comment attirer et intégrer les étudiants dans la ville ? Le sujet a fait l’objet d’une table ronde au colloque de l’AVUF. « Il faut des niches universitaires et une qualité de vie particulière », affirme Marc Sebeyran, premier adjoint à la ville de Troyes. La cité, sans passé universitaire, a travaillé d’arrache-pied pour installer son campus à 50 mètres de sa cathédrale, en plein centre-ville historique. De leur côté, Arielle Piazza, maire-adjointe de Bordeaux, et Yann Yver, de la fédération InterCampus Reims, ont présenté les dispositifs d’accueil mis en place dans leurs villes respectives : la journée « Bordeaux accueille ses étudiants » et la « Welcome Week ». Une nouvelle fois, la table ronde a soulevé le problème de l’emploi mais aussi celui du logement, principal poste de dépenses pour les étudiants, condition sine qua non pour venir étudier dans une ville et par conséquent, frein possible à la mobilité.
La vie étudiante aux PRES ?
L’après-midi, le colloque de l’AVUF s’est penché sur deux autres problématiques : la participation des étudiants à la vie locale et le partage des compétences entre universités, collectivités, CROUS, etc. Sur ce dernier thème, les participants au colloque sont tombés d’accord : tout le monde intervient sur quasiment tous les domaines (à l’exception des transports, qui reviennent aux collectivités). Comment coordonner les actions ? Communiquer paraît indispensable. Pour le reste, « il n’y a pas de modèle », indique Vincent Labouret, vice-président de l’association des directeurs des CROUS. Valérie Pécresse, la ministre de l’Enseignement supérieur, avait évoqué la participation des PRES à la vie étudiante à titre expérimental. Là encore, « chaque situation est unique », déclare Camille Galap, président de l’université du Havre et représentant de la CPU (Conférence des présidents d’université), absent pour cause d’occupation nocturne de son établissement mais représenté par Pierre Albertini, délégué général de l’AVUF. Et de citer les différences entre le PRES de Montpellier, au site unique, et le PRES de Normandie, partagé entre Rouen, Caen et Le Havre.
Back home EducPros.fr, site of the StudentBy Virginia Bertereau. How to attract students: university towns Ask. Thursday, October 21, 2010, in Reims, the AVUF (Association of university towns in France) devoted its national symposium on the theme "The Student and the City". Where students go and why? Unsurprisingly, the academic work presented at the opening of the symposium AVUF confirm that they are caught by large regional hubs. However, statistics reveal that Paris has no power of attraction that could lend him: less than 20% of young people from other areas come to study. Brutel Chantal, Head of Statistical Division, local and regional Department of Urban Regional Action INSEE, said these results. According to her study (Young and territories. The attractiveness of cities and hubs of student activity ', INSEE, 2010), it appears that "thirty cities account for three quarters of students 18-24 years, reflecting the concentration in the supply of higher education. Among the key cities: Poitiers, Montpellier, Nancy, Rennes, Dijon, Toulouse ... appears less attractive to students than the general population.Attirer les étudiants, c'est bien. Attracting students is good. Keep graduates by offering them jobs suitable to their qualifications is better. The INSEE survey shows that "these thirty cities will focus even more than half of young adults 25 to 29 years." And raises a particular problem of planning. More...
18 août 2010

Pécresse: l'année de dix mois

Pécresse: les universités vont avoir une année organisée sur dix mois. Les universités vont avoir une année organisée sur dix mois, après un vote en ce sens de leurs conseils d'administration en juillet, a assuré mercredi sur RTL la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse.
"Les universités ont fait voter en juillet par leur conseil d'administration le principe de l'allongement de la durée de l'année universitaire sur dix mois (contre neuf, parfois, auparavant), de septembre jusqu'à juin", a-t-elle dit.
Il s'agit de "mieux accompagner les étudiants", "préparer la rentrée", "faire des groupes de niveau", "avoir du tutorat personnalisé", mais aussi de "se caler sur les rentrées universitaires des autres pays", a-t-elle expliqué. "Toutes les universités" ont voté ce principe, "je vérifierai qu'elles le mettent bien en oeuvre", a-t-elle ajouté.
En mai dernier, interrogée sur le versement d'un dixième mois de bourse aux élèves boursiers, promesse du président de la République, la ministre avait affirmé que la mise en place de cette mesure dépendrait de l'engagement, ou non, des universités à mettre en place des cursus de dix mois. Elle avait alors mis au point avec la Conférence des présidents d'universités (CPU) un "cahier des charges" comprenant cet engagement.
Si la CPU n'a pas fait le recen­se­ment pré­cis des uni­ver­si­tés qui ont fait voter en conseil d'administration ce prin­cipe de dix mois, elle rap­pelle avoir signé avec le minis­tère un accord en ce sens qui n'avait pas fait l'objet d'opposition en son sein.
"Mais ces votes ne bou­le­versent pas pour autant l'année uni­ver­si­taire, car on est déjà sur dix mois", a assuré mer­credi à l'AFP au nom de la CPU Jean-Loup Salzmann, pré­sident de Paris-13 Nord Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). "De tout temps, il y avait dix mois dans les IUT, en méde­cine et au niveau des mas­ters. C'était plus aléa­toire en sciences exactes, sciences humaines et sociales, droit et écono­mie, mais depuis deux ans, avec les pré-rentrées, les cours en petit groupe et le plan Licence, pra­ti­que­ment tous les cur­sus sont à dix mois", a-t-il affirmé. "Ce que ces votes changent, c'est que tous les étudiants bour­siers sont main­te­nant en droit d'attendre un dixième mois de bourse, en faveur duquel la CPU s'est pro­non­cée à plu­sieurs reprises", a-t-il ajouté. En guise d'exemple de pré-rentrée, M. Salzmann a expli­qué que l'université qu'il pré­side en Seine-Saint-Denis, où "la culture du livre n'est pas aussi géné­ra­li­sée qu'ailleurs", met en place du sou­tien et de la métho­do­lo­gie pour la lec­ture dans "les pre­mières semaines de septembre".
Un cur­sus de dix mois n'est pas pour autant syno­nyme de début de l'année uni­ver­si­taire dès le 1er sep­tembre, a-t-il pré­cisé, car si cer­taines uni­ver­si­tés tra­vaillent de début sep­tembre à fin juin, d'autres pré­fèrent de mi-septembre à mi-juillet.
Pecresse: universiteiten zal worden gehouden een jaar in tien maanden. Universiteiten zullen worden gehouden een jaar tien maanden na een instemmende stem van hun Raden van Bestuur in juli, woensdag gezegd op RTL-minister van Hoger Onderwijs Valerie Pecresse. "Universiteiten hebben hun stem in juli door de Raad van Bestuur op het beginsel van de verlenging van de duur van het academisch jaar van tien maanden (tegens nieuwe, soms eerder), van september tot juni," Heeft zei ze. Meer...
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